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  • Un prophète, Aldous HUXLEY (1894-1963)

    Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s'y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l'idée même de révolte ne viendra même plus à l'esprit des hommes. L'idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

    Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l'accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe ; on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l'émotionnel et l'instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon dans un bavardage et une musique incessante, d'empêcher l'esprit de penser.

     

    On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n'y a rien de mieux. En général on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté:; de sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

     

    Aldous HUXLEY 1939
     
    (merci à Dirk)
     
     
  • Grèce : la vengeance du dictionnaire

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    Tout ce qui se passe et se passera en Grèce était écrit. Et tout ce qui s’y passe, ces jours-ci, peut arriver n’importe où en Europe.

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    Tout ce qui se passe et se passera en Grèce était écrit. Et tout ce qui s’y passe, ces jours-ci, peut arriver n’importe où en Europe. Pourquoi ? Parce que, face aux faits réels, on avait oublié de vérifier le sens des mots dans le dictionnaire ; et parce que la répétition des formules apprises par cœur par des perroquets ne peut plus donner l’illusion de la pensée.

    La monnaie n’est pas un hochet pour des technocrates subjugués par les banques cupides, ou pour des politiciens ignares et avides affidés aux USA. La monnaie est définie depuis 2.500 ans (Aristote, Éthique à Nicomaque, GF Flammarion, p. 246-252 ) par ses fonctions :

    – moyen intermédiaire pour les échanges,
    – unité de compte,
    – réserve de valeur.

    D’ailleurs, la monnaie, comme toute chose, est définie par sa fonction et par sa nature : c’est ce qui conduit à toute définition. Seuls veulent nier les choses ou en changer le nom les ignorants, les sots, les fous, les cyniques (tous, au demeurant, aussi dangereux). Et notre classe politique et ses « économistes officiels » en regorge.

    Les fonctions de la monnaie sont encore inchangées aujourd’hui (J.E Stiglitz, prix Nobel d’économie, Principes d’économie moderne, De Boeck, Bruxelles, 2002). Qui se croit assez fort pour bouleverser des théorèmes découverts il y a 2.500 ans ? Va-t-on aussi changer les lois de Thalès, Archimède, Euclide, Pythagore ? Vous avez vu les regards de Delors, Lamy, Barroso, Juncker, Barnier, Juppé, Raffarin, Baroin, Macron (et son gourou Attali) ? Vous avez entendu Chirac, Sarkozy, Hollande ? Vont-ils, eux aussi, nous laisser leurs théorèmes, les en croyez-vous capables ? Je ris, jaune, vous l’aviez déjà compris.

    Car ces fonctions invariables de la monnaie ne s’exercent qu’à trois conditions (H. Temple, Théorie générale de la nation, L’Harmattan, 2014, p.202 et s.). Et si ces conditions ne sont pas respectées, il ne saurait y avoir de monnaie, mais un simple symbole politique, un artefact, une chimère, voués à l’échec.

    Les conditions nécessaires (malheureusement trop peu connues) pour une monnaie sont au nombre de trois :

    – la maîtrise de l’émission, sans quoi l’instrument de mesure perd son sens et sa proportionnalité. Cette émission fut, pendant des siècles, une mission régalienne. Or, on connaît trop peu le phénomène plus récent de fabrication et d’émission de monnaie par les banques (crédit, titrisation, spéculation), qui n’est plus guère maîtrisé, désormais, par personne. Cette fausse monnaie (ainsi que la qualifiait Maurice Allais) conduit à des enrichissements démesurés et immoraux, humiliants pour les travailleurs utiles à la société. Et donc socialement et politiquement corrosifs.

    – la proportionnalité du signe monétaire avec les produits courants (effet facial) : passer à une unité de compte 6,56 fois supérieure à l’ancien signe monétaire a généré des hausses de prix énormes, dont ont été victimes les salariés/consommateurs les plus modestes et les familles.

    – l’adaptation aux besoins d’un système économique et social ouvert au commerce international. La Grèce en est la parfaite et pitoyable illustration ; mais la France, l’Espagne ou l’Italie fournissent aussi de bons exemples. Longtemps attractif du fait de sa gestion cambiaire rigide (à l’allemande), l’euro a été victime de sa fonction réserve : il a été de ce fait surévalué, ce qui a conduit à la destruction irréversible d’une grande partie de l’industrie ou de l’agriculture européennes (particulièrement grecques), victime des prix trop élevés en euros.

    Dès lors, pour tenter de maintenir les budgets de l’État et des régimes sociaux qui ne sont plus abondés par les entreprises en difficulté, les gouvernements, soucieux d’éviter l’émeute, empruntent de plus en plus. Jusqu’au gouffre final.

    C’est la vengeance du dictionnaire sur les illettrés qui ont voulu ignorer le sens du mot monnaie.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Alfortville : Luc Carvounas (PS), premier parlementaire gay à se marier

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    Anne-Laure Abraham | 11 Juil. 2015, 20h32 | MAJ : 11 Juil. 2015, 20h36

     
                                                         Alfortville, ce samedi. Luc Carvounas (PS), sénateur-maire d’Alfortville s’est marié avec son compagnon, Stéphane Exposito devant près de 300 personnes, dont de nombreuses personnalités politiques. (LP/ A.-L. A..)

    Tout un symbole. Le sénateur-maire d’Alfortville, Luc Carvounas (PS) et son compagnon, Stéphane Exposito, tous les deux vêtus de bleu, se sont dits «oui» ce samedi à la mairie d’Alfortville. Tout un symbole car il s’agissait du premier mariage d’un parlementaire gay depuis le vote de la loi sur le mariage pour tous en mai 2013. Les mariés ont scellé leur union devant près de 300 personnes, suscitant les applaudissements et les acclamations de leur famille et de leurs amis. Parmi lesquels figuraient de nombreuses personnalités politiques, dont le Premier ministre, Manuel Valls, proche de Luc Carvounas : «C’est à la fois normal et symbolique. C’est la mise en oeuvre d’une loi, un souffle de liberté et de tolérance». Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, Jean-Christophe Cambadélis, 1er secrétaire du PS, Emmanuelle Cosse, 1re secrétaire nationale d’EELV, la députée Cécile Duflot (EELV) et bien d’autres étaient également présents. Les mariés sont ensuite allés saluer les quelques 250 badauds qui les attendaient à la sortie de la mairie : «C’est un grand jour pour moi et je suis heureux de le partager, lance Luc Carvounas. Les Alfortvillais savent qui je suis. Depuis dix jours, je n’ai que des retours positifs qui viennent contrebalancer ce qui se passe sur les réseaux sociaux.» Deux plaintes ont été déposées pour menaces homophobes envers l’élu et son compagnon et un homme a été arrêté et condamné vendredi pour les mêmes raisons.

    LE PARISIEN

  • Une jeune fille rousse se voit refuser un vol parce que son teint est "trop pâle" !

    http://www.20minutes.fr/insolite/1650355-20150711-rouquine-voit-refuser-vol-parce-teint-trop-pale

  • Entretien avec Ludovine de La Rochère: « Le drapeau LMPT est celui de la Famille, pas celui des hétérosexuels ! »

            

     

      
    « Le drapeau LMPT est celui de la Famille, pas celui des hétérosexuels ! »

     

     

     

     

     

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    Russie unie, le parti de Vladimir Poutine, a dévoilé mercredi son nouvel emblème, censé symboliser ses valeurs face à la « fièvre gay ». Et, comme symbole, il a repris celui de La Manif pour tous… Réaction de Ludovine de la Rochère.

    La branche moscovite du parti de Vladimir Poutine a récemment présenté un « drapeau hétérosexuel » qui n’est autre que celui de la Manif pour tous… Quelle a été votre réaction ?

    En fait, le sujet n’est pas si simple qu’il paraît, plusieurs paramètres entrent en jeu.
    D’abord, le fait que le symbole de LMPT soit repris partout dans le monde est une excellente nouvelle en soi, et je me félicite que des Russes attachés à la famille fondée sur la filiation père/mère/enfant le reprennent, exactement comme je m’en réjouis dans tous les autres pays qui le font. Mais ce drapeau, symbole de la défense du mariage homme/femme et de la filiation père/mère/enfant, ne peut être repris n’importe comment.

    En effet, ces enjeux d’humanité et de civilisation sont universels et essentiels. Ils dépassent, notamment, les clivages politiciens : je regrette donc qu’un parti politique l’ait récupéré. Le commentaire immédiat de certains observateurs a d’ailleurs été : « LMPT est pro-Poutine. » La confusion a été immédiate alors que ce n’est pas le sujet ! C’est pourquoi nous n’y sommes pas favorables et ce quel que soit le parti concerné.

    J’ajoute que, en l’occurrence, cette confusion a été d’autant plus grande que l’un des responsables russes a prétendu que nous avions donné notre accord, ce qui est faux. Mais je regrette surtout une profonde erreur de ces responsables : ils l’ont présenté comme le « drapeau hétérosexuel » par opposition au drapeau LGBT. Or, c’est tomber dans l’idéologie du genre, diviser l’humanité selon des orientations sexuelles. Ce qu’il faut défendre, rappeler et faire respecter, au contraire, c’est que l’humanité est homme ou femme et non hétérosexuel, homosexuel, transsexuel ou autre. Pour le dire autrement, contrairement à ce qu’on essaye d’installer dans les esprits, notamment pour banaliser toutes les pratiques, l’homosexualité ou l’hétérosexualité ne sont pas des identités !

    D’autre part, il est malsain de mettre en opposition hétéros et homos, ce n’est pas ainsi que l’on avancera sur ces enjeux. Et d’autant plus que bien des homosexuels n’ont demandé ni le mariage, ni le bricolage de la filiation pour faire comme si deux hommes ou deux femmes pouvaient concevoir un enfant ensemble. C’est éloigné des préoccupations de certains, et d’autres sont conscients que le mariage ne peut concerner, par définition, que le couple homme/femme et que la filiation ne peut être que père/mère/enfant. Ils savent parfaitement, aussi, que tout enfant a besoin de père et mère et que c’est monstrueux de l’en priver volontairement.

    Comment un parti politique peut-il soutenir ce combat ?

    Si un parti ou une personnalité politique souhaite soutenir ce combat pour la famille, c’est évidemment formidable, mais il y a d’autres manières de le faire savoir, y compris en lien avec LMPT. Vous savez, par exemple, que nous proposons aux élus de s’engager officiellement en faveur des « Principes pour la famille et pour l’enfant », principes issus du Grenelle de la famille organisé par La Manif Pour Tous en 2013-2014. Je souhaiterais d’ailleurs vivement que Vladimir Poutine s’engage en faveur de ces Principes car cela impliquerait qu’il fasse interdire la GPA en Russie alors qu’elle y est légale pour le moment et qu’il n’a jamais rien fait pour changer cela. C’est aussi pour cela que nous contestons sa légitimité à utiliser ce drapeau !

    Avez-vous pu dire à ce parti politique russe ce que vous pensiez de ce drapeau ?

    Nous n’avons pas encore obtenu leur contact, mais nous allons évidemment leur expliquer ce désaccord profond. Nous leur dirons que nous souhaitons et travaillons à ce qu’il devienne un symbole international, mais de la Famille et donc aussi de droits de l’enfant, et certainement pas le symbole de l’hétérosexualité.

    Quelles sont les actualités de la Manif pour tous en France ?

    Nous venons de faire un Tour de France, en 25 étapes, pour aller rencontrer les collectivités locales, élus locaux, parlementaires, médias, mais aussi nos équipes de terrain et nos sympathisants. Nous voulons expliquer aux Français que nous sommes tous concernés par la pratique de la GPA parce qu’elle déconstruit la maternité, la filiation et la famille et parce qu’elle bouleverse la manière dont la société considère la mère, donc la femme, et plus généralement, tout être humain. Ce sujet est également devenu une priorité en raison de l’actualité qui rend la prise de conscience et l’action urgentes. Nous organisons également l’Université d’été 2015 de La Manif Pour Tous à Quiberon, les 19 et 20 septembre, sur le transhumanisme et l’écologie, la famille et l’éducation.

    Pourquoi l’éducation ?

    La diffusion de l’idéologie du genre à l’école nous conduit, depuis le début, à défendre la liberté d’éducation des parents. Celle-ci est d’autant plus mise à mal que certains ministres souhaiteraient clairement que l’État prenne la place de la famille. J’ajoute que la réforme du collège lancée par le ministre de l’Éducation nationale montre sa volonté, par idéologie, de déconstruire la filiation culturelle comme elle-même et d’autres cherchent à déconstruire la filiation biologique.
    C’est aussi le « changement de civilisation », hélas.

    Quel est votre but, à la veille des élections régionales ?

    Nous faire entendre et faire comprendre aux élus que nous sommes nombreux, vigilants et présents sur tout le territoire français : il va être difficile de faire sans nous. Nous voulons encourager les politiques à assumer leur responsabilité qui est la recherche du bien commun, avec cohérence et courage. Nous voulons aussi les encourager à défendre la civilisation.
    L’état de la France est préoccupant. Les politiques doivent comprendre qu’il y a une grande attente des Français !

    Entretien réalisé par Charlotte d’Ornellas

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Tour de France. À Rennes, les jeunes des quartiers dans la roue du ministre, et ce qu'en pensent les Bretons de souche


    Tour de France : le ministre de la Ville à... par OuestFranceFR

     

     

    17h18

    Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, a donné le départ de l’étape du Tour de France à Rennes avec une centaine d’enfants des quartiers prioritaires.

    En visite à Rennes le 20 avril, pour signer le contrat de ville, Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, avait rencontré des jeunes du quartier de Bréquigny.

    D’une discussion informelle autour du Tour de France, ce jour-là, était née l’idée de les inviter à suivre le départ de l’étape.

    « L’engagement a été tenu », se félicitait le ministre, ce samedi matin, au moment de saluer la centaine d’enfants de Bréquigny et de Maurepas venus découvrir les coulisses du Tour à Rennes.

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    Rennes. Patrick Kanner invite des « jeunes des quartiers prioritaires » sur le Tour de France

     

    10/07/2015 – 08H00 Rennes (Breizh-info.com) – Le ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick Kanner,  en visite samedi à Lorient (pour signer un contrat de ville) puis à Rennes, a décidé d’inviter plusieurs dizaines de « jeunes des quartiers prioritaires » (sic) dans les coulisses du Tour de France. Il sera en compagnie de Jean-Yves Le Drian (en campagne ?), de Nathalie Appéré, maire de Rennes, de Christian Prudhomme et de Bernard Hinault avant le départ de l’étape entre Rennes et Mûr de Bretagne, à laquelle ne participera visiblement pas Manuel Valls comme nous l’avions annoncé.

    « Le Tour de France, compétition populaire par excellence, doit être ouvert à tous. Lors d’une visite à Rennes en avril dernier, le ministre a émis le souhait d’ouvrir cette étape aux jeunes des quartiers de la ville, afin qu’ils vivent eux aussi cette belle aventure. Engagement tenu : grâce à la mobilisation de la Ville de Rennes et d’ASO, de jeunes habitants de quartiers prioritaires rennais vont pouvoir découvrir les coulisses du Tour et seront sur la ligne de départ avec le ministre.» indique le communiqué adressé à la presse.

    Pour le grand public – et notamment pour les milliers de jeunes cyclistes bretons, majoritairement issus des campagnes bretonnes – il est tout simplement impossible d’obtenir une accréditation pour accéder au village départ.

    « C’est tout simplement dégueulasse » s’emporte Adrien, un cycliste de Paimpol qui roule en 2ème catégorie et que nous avons contacté pour avoir sa réaction : « Encore une fois, c’est de la démagogie pure et simple. Y a des milliers de jeunes dans nos campagnes qui rêveraient de voir leurs idoles et les coulisses du Tour. Mais il est vrai qu’ils passent plus de temps à bosser et à rouler sur un vélo qu’à se plaindre et à toujours demander aides et privilèges. ».

    Le matin même, certains chargés de communication de la Caravane du Tour nous confirmaient qu’ASO, la société organisatrice, posait énormément de soucis à la presse, mais aussi aux participants dans la Caravane, pour accéder aux coeur du dispositif du Tour de France. Mais avec les jeunes des quartiers, toutes les portes s’ouvrent par miracle …

    L’histoire ne dit toutefois pas si les protagonistes des affrontements entre bandes rivales intervenus ces dernières semaines à Rennes, bandes issues « des quartiers prioritaires » seront de la partie.


    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

    (merci à Dirk)

     
  • Les Etats-Unis à l'assaut des terres algériennes

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-Etats-Unis-a-l-assaut-des-terres-algeriennes-33954.html

  • Tout le monde a son bac! Bac 2015 : 87,8 % de réussite au final, 617 900 nouveaux bacheliers

     

    11 Juil. 2015, 17h10 | MAJ : 11 Juil. 2015, 17h23

     
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    Nouveau grand cru pour le baccalauréat : 87,8 % des candidats ont obtenu le précieux sésame pour cette année 2015 selon les chiffres quasi-définitifs fournis par le ministère de l'Education nationale après les dernières épreuves de rattrapage.

     

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    Ce taux est en légère baisse par rapport à 2014 (-0,1 point). Au total, 617 900 élèves sont désormais détenteurs du diplôme. 

    Dans le détail, le taux de réussite progresse de 0,6 point pour le bac général à 91,5 %, il est stable pour le bac technologique à 90,6%, et recule de 1,6 point pour le bac professionnel à 80,3 %. Au sein de la voie générale, le taux de réussite a atteint 91,8% en série scientifique (S), 90,6%, en série littéraire (L) et 91,2% en série économique et sociale (ES).

    La ministre de l'Education nationale Najat Vallaud-Belkacem a félicité dans un communiqué «les élèves et leurs enseignants pour ces très bons résultats de l'ensemble des voies du lycée». Les chiffres définitifs seront publiés après la session de remplacement de septembre, réservée aux candidats qui ont eu un empêchement en juin.

  • Les policiers français autorisés à porter barbe et tatouages mais sous conditions

     

    10/07/15 à 18:36 - Mise à jour à 18:36

    Source : Belga

    "Oui mais": les policiers français peuvent porter une barbe, si elle est "propre et bien taillée" et des tatouages s'ils ne sont "pas contraires à la déontologie", a-t-on appris vendredi de source syndicale policière.

     

    C'est à la suite d'une demande syndicale, faisant valoir la mode actuelle des barbes de deux ou trois jours chez les hommes, que l'administration a précisé ce qu'il est possible de faire et de ne pas faire.

    La barbe est autorisée pour les troupes "dès lors qu'elle est propre et bien taillée", a ainsi répondu l'administration, citée par le syndicat. Idem pour les tatouages qui ne "doivent pas être contraires à la déontologie" policière, ni "à caractère raciste, politique" ou "religieux". Et pas susceptibles de "provoquer des heurts avec la population".

    Le syndicat a demandé que des instructions en ce sens "soient données" précisément par les chefs de service, ce qui devrait être fait par circulaire, a-t-on précisé vendredi de source officielle.

  • Le Parlement grec autorise Tsipras à négocier avec les créanciers

    http://www.leparisien.fr/economie/en-direct-grece-les-propositions-de-tsipras-soumises-aujourd-hui-au-parlement-grec-10-07-2015-4933535.php

     

    NdB: Syriza sur le gâteau! Pour les mondialistes de l'UE!

  • Églises et mosquées : faux débat et vraie invasion

     

     

    10/07/2015 – TRIBUNE (NOVOpress)
    Transformer les églises en mosquées ? Ce n’est pas le danger le plus immédiat. L’abandon de nos lieux de culte et de notre identité charnelle l’est bien d’avantage, un péril que laisse soigneusement de côté le manifeste crypto-sarkozyste contre la proposition de Dalil Boubakeur. Par Flavien Blanchon.

    Que cherchait exactement Dalil Boubakeur en évoquant par avance, le mois dernier, la phase suivante de l’islamisation de la France – les églises transformées en mosquées ? Il a permis, en tout cas, aux fauteurs et collaborateurs de l’islamisation de se donner à bon compte des allures de résistants. Politiciens qui subventionnent la construction des mosquées, journaleux chantres du vivre-Ensemble, évêques qui souhaitent un bon ramadan, ont été nombreux à expliquer que, bien sûr, il fallait encore plus de lieux de culte pour les musulmans, mais que la transformation des églises n’était pas la bonne solution. Et le bon peuple droitard d’applaudir à tant d’héroïsme.

    La manœuvre a si bien marché que Valeurs Actuelles, le magazine de la récupération sarkozyste, vient de la relancer en publiant à grand fracas un appel à la défense des églises, signé des premiers par Sarkozy en personne, le même Sarkozy qui avait fait rentrer chez nous plus de musulmans que jamais et dont on sait la responsabilité criminelle dans l’actuel déferlement migratoire. Rien de plus plat et de plus terne, du reste, que ce manifeste dû à je ne sais quel écrivaillon chiraquien : quelle différence, de pensée, de sentiment, de style, avec l’appel jadis lancé pour les mêmes églises de France par Maurice Barrès ! Dans La grande Pitié des églises de France, Barrès, il y a juste un siècle, était allé avec sûreté aux vrais enjeux. Il avait su – alors que l’Église de France était certes autre chose que ce qu’elle est devenue – placer le débat sur son vrai terrain, non confessionnel, mais identitaire.

    Il défendait, à travers les églises, « la figure physique et morale de la terre française ». Le manifeste crypto-sarkozyste ne reconnaît à la France que « quinze siècles d’histoire et de géographie ». Barrès allait jusqu’à nos racines les plus profondes : appelant à « achever la réconciliation des dieux vaincus et des saints », à « allier le sentiment religieux catholique avec l’esprit de la terre », il lançait ce cri magnifique : « Tout le divin, à la rescousse ! » En notre temps même, le philosophe anglais Roger Scruton, dans des livres comme England : An Elegy ou Our Church, a su montrer comment l’anglicanisme traditionnel, comme religion nationale, était « l’enchantement de la terre anglaise ». Mais les sarkozystes ne savent pas ce que sont des racines : ils parlent, avec des métaphores dignes de Monsieur Prudhomme, d’« un enracinement mental dont nous avons tous besoin pour étayer notre citoyenneté » ; « cet héritage, selon eux, nous oblige, de quelque souche que nous provenions ». Comment leur demander d’avoir le sens ample, généreux, charnel, de la terre et des morts ?

    Je n’examine pas si Dalil Boubakeur avait entièrement tort de considérer que le culte musulman et celui qui est aujourd’hui célébré, hélas, dans les églises de France, sont des « rites voisins ». D’un point de vue strictement théologique, en raisonnant dans l’abstrait, on pourrait soutenir que la transformation d’églises en mosquées serait moins abominable que ne l’est, depuis plus de quarante ans, la célébration de ce que feu le P. Guérard des Lauriers – dont on peut penser ce qu’on veut, mais qui savait la théologie –, n’hésitait pas à qualifier de « pornographie théologale ; une dégradation, une chose immonde, une chose que l’on ne devrait pas nommer » – la nouvelle messe. Je n’entre pas dans ces discussions. Je laisse la théologie de côté. D’un point de vue identitaire, on ne peut évidemment que s’écrier, comme le faisait Barrès quand il était question de transformer l’église du village en salle de conférences pour « les sociétés philanthropiques » : « J’aimerais mieux qu’elle s’écroulât ». Oui, plutôt nos églises en ruines qu’aux mains des immigrés musulmans !

    Cette transformation en mosquées, qui est, logiquement, la prochaine étape, qui est dans l’ordre des choses si celles-ci continuent à aller du même train, n’est pourtant pas le danger le plus immédiat pour nos églises. Ce qui les menace d’abord, c’est l’abandon, le non-entretien délibéré, des années durant, pour pouvoir les démolir comme dangereuses ou trop coûteuses à réparer, les ravages aussi des bandes de pillards, de vandales et de sacrilèges, que les maîtres du pays laissent agir sciemment, dans une impunité calculée, parce que l’on n’est pas fâché, au fond, que l’on est même secrètement bien aise, de voir s’abolir les traces de l’ancien peuple français et de la religion indigène. Dans sa leçon inaugurale au Collège de France, le grand historien d’art Jacques Thuillier soulignait que « la Révolution française a brûlé en autodafé moins de tableaux qu’on ne le croirait de prime abord : il lui a suffi de laisser s’écailler, dans les églises désaffectées ou les dépôts hâtifs des œuvres qui, lorsqu’elles étaient antérieures au XVIIe siècle, arrivaient au moment où elles exigeaient pour survivre des soins délicats ». Le procédé est toujours le même.

    Le manifeste crypto-sarkozyste n’a pas un mot de cela. Il soutient au contraire, avec une extraordinaire impudence, que « les maires de nos communes rurales entretiennent tous leur église avec une sollicitude filiale ». Dormez tranquilles, catholiques de France, tant que votre église ne sera pas transformée en mosquée, vous n’avez rien à craindre.

    Les mêmes maires qui n’ont pas d’argent pour entretenir leurs églises en trouvent toujours pour subventionner des centres « culturels » islamiques, brader des terrains municipaux, organiser des nuits du ramadan. Paris donne l’exemple. On ne transforme pas l’église en mosquée : on laisse l’église se délabrer pendant que l’on construit une mosquée toute neuve. À en juger par certaines réactions à la provocation de Dalil Boubakeur, beaucoup de musulmans préfèrent cette formule. Et c’est ainsi que s’opère doucement, dans « la concorde civile » célébrée par les sarkozystes de Valeurs Actuelles, le Grand Remplacement.

    La vérité que l’on dissimule et que l’on obscurcit à dessein par ces diversions et ces faux débats, c’est que les mosquées sont par essence étrangères à la terre de France, qu’elles en altèrent, qu’elles en dénaturent ce que Barrès appelait « la physionomie architecturale ». Nous ne voulons pas de mosquées chez nous. Ni à la place des églises, ni à côté d’elles.

    Flavien Blanchon

  • Méthode lâche mais petite frayeur pour Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol

     

     

    E&R

  • La trahison de Tsipras ?

     

    Les propositions soumises par Alexis Tsipras et son gouvernement dans la nuit de jeudi à vendredi ont provoqué la stupeur. Elle reprennent largement, mais non totalement, les propositions formulées par l’Eurogroupe le 26 juin. Elles sont largement perçues dans l’opinion internationale comme une « capitulation » du gouvernement Tsipras. La réaction très positive des marchés financiers ce vendredi matin est, à cet égard, un signe important.

    On sait par ailleurs qu’elles ont été en partie rédigées avec l’aide de hauts fonctionnaires français, même si cela est démenti par Bercy. Ces propositions résultent d’un intense travail de pressions tant sur la Grèce que sur l’Allemagne exercées par les Etats-Unis. La France a, ici, délibérément choisi le camp des États-Unis contre celui de l’Allemagne. Le gouvernement français n’a pas eu nécessairement tort de choisir d’affronter l’Allemagne sur ce dossier. Mais, il s’est engagé dans cette voie pour des raisons essentiellement idéologique. En fait, ce que veut par dessus tout M. François Hollande c’est « sauver l’Euro ». Il risque de voir très rapidement tout le prix qu’il a payé pour cela, et pour un résultat qui ne durera probablement que quelques mois. Car, ces propositions, si elles devaient être acceptées, ne règlent rien.

    Les termes de la proposition grecque

    Ces propositions sont donc proches de celles de l’Eurogroupe. On peut cependant noter certaines différences avec le texte du 26 juin, et en particulier la volonté de protéger les secteurs les plus fragiles de la société grecque : maintien du taux de TVA à 7% pour les produits de base, exemptions pour les îles les plus pauvres, maintien jusqu’en 2019 du système d’aide aux retraites les plus faibles. De ce point de vue, le gouvernement grec n’a effectivement pas cédé. De même, le gouvernement a inclus dans ce plan des mesures de luttes contre la fraude fiscale et la corruption, qui faisaient parties du programme initial de Syriza. Mais, il faut bien reconnaître qu’il s’est, pour le reste, largement aligné sur les demandes de l’Eurogroupe. Faut-il alors parler de capitulation comme le font certains ? La réponse est pourtant moins simple que ce qu’il paraît.

    Lire la suite de l’article sur russeurope.hypotheses.org

     

  • Ecosse : Un ministre musulman du gouvernement indépendantiste exige le remplacement des Ecossais de souche

    http://breizatao.com/2015/07/10/ecosse-un-ministre-musulman-du-gouvernement-nationaliste-exige-le-remplacement-des-ecossais-de-souche/

    (merci à Dirk)

  • EN DIRECT. Grèce : manifestation contre l'austérité devant le Parlement

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    V.G., J.C. et M.-L.W. (avec agences) | 10 Juil. 2015, 06h35 | MAJ : 10 Juil. 2015, 23h12

     
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                                                         Sept à huit mille personnes contre l'austérité vendredi devant le Parlement à Athènes. «Pas d'autres mémorandums», «La Grèce n'est pas une colonie!», «Syriza soutient le capitalisme», pouvait-on lire sur les banderoles. 

    Après avoir transmis ses propositions de réformes à ses créanciers jeudi soir, le Premier ministre grec doit maintenant convaincre son Parlement.

     

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    Les députés vont être amenés à voter pour permettre ou non à Alexis Tsipras de négocier le paquet de réformes, qui sera également examiné dès samedi par les créanciers d'Athènes : l'Union européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI). Ces propositions seront ensuite soumises aux ministres des Finances de la zone euro samedi, avant le sommet extraordinaire des 28 pays de l'UE dimanche à Bruxelles. Contre ces réformes, la Grèce compte obtenir un nouveau programme d'aide sur trois ans.

    La partie ne s'annonce pas gagnée d'avance pour Tsipras, car la copie rendue jeudi risque de faire grincer des dents dans son propre camp. Dans le document de 13 pages, le gouvernement s'engage en effet à adopter une grande partie des mesures proposées par les créanciers le 26 juin. Ce sont ces mesures qui ont été rejetées par les Grecs lors du référendum de dimanche. La hausse de la TVA, pomme de discorde entre Athènes et ses créanciers depuis plusieurs mois, est ainsi acceptée par le gouvernement qui propose «un système unifié des taux de la TVA à 23%, incluant aussi la restauration», qui jusqu'ici était à 13%.  Privatisations et réformes des retraites sont aussi au programme. Certains médias estimaient qu'une dizaine de députés Syriza et quatre de son partenaire de coalition Grecs indépendants (Anel) pourraient voter non ou s'abstenir, mais Nouvelle démocratie, le parti de son prédécesseur Antonis Samaras, devrait voter pour le texte du gouvernement ainsi que d'autres partis d'opposition.

    Le texte comprend également un «paquet de 35 milliards d'euros» consacré à la croissance. Et il y a un point sur lequel Tsipras n'entend pas transiger : le Premier ministre veut une solution «pour régler» le problème de la dette publique qui atteint 180% du PIB (environ 320 milliards d'euros). Jeudi encore, Angela Merkel, la chancelière allemande, a réaffirmé son opposition à toute réduction de la dette. Il semble toutefois y avoir de la friture sur la ligne à Berlin puisque le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble juge que la restructuration ou le rééchelonnement de la dette grecque est un «passage obligé».

    >> Suivez les événements en direct >>

    22h30. Les débats devraient débuter à 0h01 (23h01 à Paris).  Le vote est prévu autour de 3 heures du matin à Athènes (2 heures samedi à Paris). Ce report est dû à des raisons de procédure. A priori, les parlementaires ne peuvent pas voter le jour où le débat a lieu en commission. Ils s'exprimeront donc samedi.

    21 heures. Une leçon de Schäuble destinée à la France, selon Varoufakis. 
    Dans une tribune publiée dans le «Guardian», Yanis Varoufakis accuse le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble d'avoir notamment souhaité un Grexit pour imposer à la France plus de discipline budgétaire.

  • Suède : L’armée privée de fête nationale pour ne pas “heurter” les immigrés musulmans

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    BREIZATAO – ETREBROADEL (09/07/2015) La Suède, désormais dirigée par un gouvernement d’union nationale visant à contrer la montée du vote patriotique et qui a suspendu les élections jusqu’en 2023 à cet effet (lire ici), s’enfonce chaque semaine un peu plus dans l’apocalypse migratoire.

    La Radio Suédoise indique que désormais l’armée du pays n’est plus la bienvenue lors des cérémonies de la fête nationale (source) :

    Les célébrations sont organisées par la municipalité d’Umeå ainsi qu’un musée local et nombre de manifestations ciblent les gens qui viennent de s’installer en Suède. Lillemor Elfgren, du musée Västerbotten, a indiqué à la Radio Suédoise que les véhicules militaires et soldats en uniformes pourraient indisposer des gens qui viennent d’autres pays […] et a donc demandé aux Forces Armées de ne pas prendre part aux événements.