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  • Quand le 13 novembre estompe le 11 Novembre 1918...

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  • L'Union européenne tétanisée par l'électroc Trump

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    La victoire du républicain a plongé l'UE dans le désarroi. Bruxelles recherche les indices d'une politique étrangère articulée du futur président.

    Donald Trump n'est pas le premier à faire de «l'Amérique d'abord!» un tremplin vers la Maison-Blanche. Le slogan avait été lancé dès 1940 - sans succès durable - pour contrer la réélection du président Roosevelt et ses velléités d'entrer en guerre. Le milliardaire à la mèche blonde, lui, a magistralement réussi. Et l'Europe, déjà assaillie par les crises, se retrouve d'un seul coup renvoyée à de très mauvais souvenirs.

    La victoire surprise du champion républicain face à Hillary Clinton laisse les responsables européens interloqués. Comme après le «non» des Britanniques en juin, l'UE connaît un troublant passage à vide. Un premier dîner des 28 ministres des Affaires étrangères, convoqué à la hâte pour jauger les «implications» européennes de l'élection américaine, semble sérieusement compromis. Le Français Jean-Marc Ayrault a fait savoir qu'il n'en sera pas dimanche soir, tout comme son nouveau collègue espagnol Alfonso Dastis Quecedo. Le Britannique Boris Johnson aurait, lui aussi, déclaré forfait. Parmi les «grands» seuls restent à bord Frank- Walter Steinmeier, inspirateur allemand du rendez-vous, et l'Italien Paolo Gentiloni, obligé de Federica Mogherini, la chef-diplomate de l'UE.

    Faute de contacts sérieux avec l'état-major de Donald Trump, les chancelleries européennes sont dans un épais brouillard

    Les chancelleries, faute de contacts sérieux avec l'état-major de Donald Trump, sont dans un épais brouillard. Les unes cherchent encore sur le site officiel de la campagne les signes intelligibles d'une politique étrangère articulée (certains textes ont d'ailleurs mystérieusement disparu dès mercredi). Certaines tentent de repérer dans l'entourage du président élu le profil d'un secrétaire d'État, d'un conseiller pour la Sécurité nationale ou d'un ambassadeur aux Nations unies. Pour se faire une idée, d'autres attendent la diffusion de la première interview en longueur de l'élu, dimanche sur la chaîne CBS. Prendra-t-il la peine de parler de l'Europe? «Mystère!», lâche un diplomate de haut rang.

    Au sommet, l'inquiétude a succédé à l'incrédulité et à des félicitations plutôt tièdes. En termes vagues, Angela Merkel et François Hollande demandent au successeur de Barack Obama d'assumer «sa responsabilité vis-à-vis du reste du monde» et de bien apprécier «les valeurs et les intérêts» que les États-Unis partagent avec l'Europe. L'exigence la plus pressante est celle du chef de l'État, formulée juste avant un premier contact direct avec Donald Trump, par téléphone: il faut «clarifier et faire clarifier des positions, nous devons nous parler franchement». Au bout de quelques minutes d'entretien, les deux hommes sont convenus hier de «travailler en commun» contre le terrorisme, sur l'Ukraine, la Syrie, l'Irak et encore l'accord international sur le climat. Mais des deux côtés de l'Atlantique personne n'oserait dire que le courant est rétabli.

    La question qui fâche? Candidat, Donald Trump a jeté le doute sur la clause de sécurité collective qui scelle l'Alliance atlantique depuis 1949. Les États-Unis, qui pèsent plus de 70 % de la force militaire de l'Otan, ne voleraient plus nécessairement au secours d'un de leurs alliés européens agressé. Tous pour un, un pour tous, la règle jugée «obsolète» ne serait plus automatique.

    Pire, le successeur de Barack Obama est en quête d'une «très, très bonne relation» avec la menaçante Russie de Vladimir Poutine. Newt Gingrich, cheval de retour en piste pour le Département d'État, a résumé d'un trait: pourquoi l'Amérique risquerait-elle la guerre nucléaire pour sauver l'Estonie, «banlieue de Saint-Pétersbourg ?». Les Estoniens, membres de l'Otan et de l'UE, s'alarment en compagnie de leurs voisins baltes et polonais. Sans surprise, le chantier d'une «défense européenne» sera rouvert dès lundi, à Bruxelles. Mais plutôt qu'une solution de rechange, c'est un outil politique destiné à ranimer une union tétanisée par un double électrochoc. Celui du Brexit au début de l'été, puis celui de Donald Trump à l'approche de l'hiver.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 12/11/2016. Accédez à sa version PDF en cliquant ici

     

     

     

  • Armistice du 11 Novembre 1918

    http://www.linternaute.com/actualite/societe/1256729-11-novembre-francois-hollande-commemore-l-armistice-de-1918-le-dernier-de-son-quinquennat/

  • La Lettre du Front National - 11/11/16

    ÉDITO

     

    Victoire de Trump : peuples 2 - caste 0

    Après le Brexit, venant lui-même après les succès des mouvements patriotes partout en Europe, l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis d'Amérique inflige une claque monumentale à tous ceux qui rabâchaient matin, midi et soir que la victoire d'Hillary Clinton était "mathématique". Comme souvent, les commentateurs en tout genre n'avaient rien prévu, rien vu, et démontrent depuis mardi qu'ils n'ont en plus rien compris !
    Donald Trump remporte une victoire nette sur son adversaire, incarnation paroxystique de ces pseudo-élites mondialisées qui entendent dicter aux peuples comment ils doivent se conduire. En promettant de rétablir l'ordre et la souveraineté territoriale, en particulier face à l'immigration massive et incontrôlée, Donald Trump s'est fait le défenseur de l'Amérique profonde.
    Si sa victoire représente un immense espoir pour les Américains laissés-pour-compte de la mondialisation sauvage et du libre-échangisme fou, elle est aussi une bonne nouvelle pour l'équilibre du monde et pour nos intérêts nationaux. Donald Trump a en effet affirmé sa volonté de rééquilibrer les relations internationales, en particulier en renouant le dialogue avec la Russie, et se situe clairement en rupture avec les intentions bellicistes d'Hillary Clinton. Il souhaite aussi renoncer au traité de libre-échange transatlantique, dont la mise en œuvre aurait des conséquences dramatiques pour notre économie et nos emplois.
    Ceux qui ont vécu des nuits difficiles en juin dernier et cette semaine peuvent commencer à se préparer à celles du 4 décembre prochain (pour l'élection présidentielle autrichienne) et de mai 2017. Car les peuples sont de retour !

    Nicolas Bay - Secrétaire Général du Front National

     

  • Marion Maréchal-Le Pen prend la défense de Jean-Pierre Pernaut

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    11/11/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Par un tweet publié il y a moins d’une heure, Marion Maréchal-Le Pen a pris la défense de Jean-Pierre Pernaut : « Honte à tous les soldats du politiquement correct qui s’attaquent à Jean-Pierre Pernaut après qu’il ait osé évoquer une simple évidence. » Le présentateur vedette de TF1 est l’objet d’une vindicte depuis qu’hier, lors du journal de 13 heures, il a eu cette phrase de transition entre le reportage consacré aux SDF à Limoges et les images de centres pour migrants : « Plus de place pour les sans abri mais, en même temps, les centres pour migrants continuent d’ouvrir partout en France. »

    Un « dérapage », se sont indignés plusieurs journaux, rappelant que, sur son compte Twitter personnel, Jean-Pierre Pernaut avait déjà qualifié d’« hérésie », en septembre dernier, le projet d’ouverture d’un camp pour migrants entre Versailles et Saint-Quentin, dans les Yvelines.

    Aux manettes du 13 heures de TF1 depuis 1988 – il a succédé à Yves Mourousi et Marie-Laure Augry –, Jean-Pierre Pernaut attire chaque jour avec son « JT en sabots crottés révérant les belles régions, les métiers oubliés et la maouche ardéchoise cuisinée comme grand-maman », comme l’écrivit Libération, plein de mépris, plus de 6 millions de téléspectateurs, un record en Europe ! 

  • VIDÉO - Victoire de Donald Trump : à Sevnica, fief slovène de Melania Trump, on est fier de sa "First Lady"

    http://www.lci.fr/elections-americaines/video-victoire-de-donald-trump-a-sevnica-fief-slovene-de-melania-trump-on-est-fier-de-sa-first-lady-2011822.html

  • Victoire de Donald Trump : un tournant historique, par Jean-David Cattin

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    10/11/2016 – ETATS-UNIS (NOVOpress) : La grosse artillerie avait été déployée : les médias « mainstream », Wall Street, Hollywood, le pape, le Parti démocrate et même les caciques du Parti républicain. Pourtant, Donald Trump a remporté l’élection présidentielle américaine, et ce en employant beaucoup moins d’argent qu’Hillary Clinton dans sa campagne électorale. Si la performance du candidat est remarquable, elle n’est pourtant pas la raison principale de sa victoire.

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    Jean-David Cattin

     

    L’Amérique n’a pas envie de changer de visage. Certains Américains ont sincèrement voté pour Obama en espérant solder le lourd héritage de l’esclavage, pour mettre fin définitivement à la culpabilisation systématique dont ils étaient victimes. C’est l’inverse qui s’est produit, puisqu’elle s’est accélérée avec le mouvement Black Live Matters et les revendications toujours plus pressantes des minorités. Ils ont compris qu’ils seraient éternellement considérés comme coupables et redevables.

    À cela s’ajoute l’immigration massive non européenne, et en particulier celle d’Amérique latine, qui pourrait dans quelques décennies faire de la population d’origine européenne une minorité aux États-Unis. Ce bouleversement démographique et l’agressivité communautaire ont apeuré et finalement énervé une Amérique qui en a assez de subir en silence. Ce n’est donc pas un hasard si le candidat Trump a pris la tête des sondages après ses déclarations fracassantes sur l’immigration mexicaine et musulmane. Il s’agit même de la raison principale et du point de départ du mouvement de fond qui l’a porté au pouvoir.

    Une demande de protectionnisme. L’Amérique industrieuse, celle qui se lève tôt, celle des cols bleus n’a pas pardonné à ses élites politiques et économiques de l’avoir passé par pertes et profits au nom du libre-échange et des marges ainsi générées, dont elle n’a pas vu la couleur. Les Etats industriels comme le Michigan ont été dévastés par les innombrables délocalisations des industries qui ont fait sa prospérité dans le passé. Les centre-ville y sont en ruines et ravagés par une criminalité meurtrière dont on peine à concevoir la brutalité et l’ampleur en Europe.

    L’insupportable domination de la génération 68. Les colères et les peurs de l’Amérique profonde ont été ridiculisées et ignorées par les médias, il n’y en avait que pour les autres. Même si elle souffrait, elle n’avait pas le droit de se plaindre. Le système de valeur imposé par la génération 68 dominait jusqu’à présent tous les rouages du pouvoir. Il a été vécu comme une entité hostile et quasi dictatoriale, les Américains ont décidé qu’il fallait y mettre fin.

    Les néoconservateurs en échec. L’agressivité d’Hillary Clinton envers la Russie, irrationnelle quand on la compare avec sa mansuétude pour le Qatar et l’Arabie saoudite, n’a d’égale que la bêtise des faucons de l’administration Bush qui ont cru pouvoir exporter la démocratie libérale au Moyen-Orient. Les Américains ont semble-t-il bien compris que le messianisme néoconservateur était voué à l’échec, produisait du désordre et était une ruine pour les finances publiques. L’apaisement probable des relations avec la Russie et le réalisme isolationniste dont Donald Trump semble vouloir faire le cœur de sa politique extérieure est une bonne nouvelle pour l’Europe.

    Samuel Huntington avait raison. Très loin des élucubrations de Francis Fukuyama, qui voyait triompher la démocratie libérale à l’américaine dans le monde entier après la défaite du communisme, ce sont les prédictions de Samuel Hungtinton qui semblent se réaliser. Toutes les grandes puissances mondiales sont aujourd’hui dirigées par des populistes et même des nationalistes. Au Japon Shinzō Abe, en Russie Vladimir Poutine, en Inde Narenda Modi, en Chine Xi Jinping et dans une certaine mesure Theresa May au Royaume-Uni. À cette liste déjà très fournie, il faut aujourd’hui ajouter Donald Trump. Désormais, ce n’est plus l’idéologie ou le marché qui est la valeur dominante, le bien du pays et l’identité passent maintenant en priorité.

    Le mouvement est même en train de s’étendre à l’Europe avec le succès du Front national en France, de l’AFD en Allemagne, de l’UDC en Suisse, du FPÖ en Autriche, de Victor Orbán en Hongrie, etc. mais aussi par les succès et le développement rapide du mouvement identitaire. Les années qui viennent nous diront si l’Europe suivra le même chemin que les grands de ce monde ou si elle deviendra le terrain de jeu de ceux qui n’ont pas renoncé à la puissance et à l’identité.

    Que faut-il attendre de Donald Trump ? Même si le Sénat et la Chambre des représentants sont en majorité républicains, il n’est pas dit qu’ils suivent le nouveau président dans toutes ses réformes. Malgré tout, cela n’est pas décisif pour le futur, il faut surtout retenir que la victoire de Trump a symboliquement fait sauter des verrous psychologiques majeurs et prépare le terrain à d’autres réactions du même acabit en Europe.

    Dans tous les cas, le nouveau président américain ne sauvera pas l’Europe, son isolationnisme s’il se confirme peut en revanche offrir l’espace suffisant pour que le Vieux Continent retrouve son indépendance et les outils pour défendre son identité. Cela dépendra de la volonté et du travail de ceux qui ont à cœur de protéger les leurs et leur civilisation.

    Jean-David Cattin

    Jean-David Cattin est le directeur national à la formation
    du mouvement Les Identitaires
    « Les Identitaires, idées en action depuis 2002 »

  • Election de Trump : le Hongrois Orban salue la fin du « politiquement correct »

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    23h00

     

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban, régulièrement épinglé par l’administration Obama pour ses tendances autoritaires, s’est réjoui jeudi d’une future levée des « contraintes paralysantes du politiquement correct » sous le président américain élu Donald Trump.

    « Nous allons pouvoir revenir à la vraie démocratie, aux discussions honnêtes, loin des contraintes paralysantes du politiquement correct », a-t-il déclaré lors d’une conférence organisée par la Banque européenne pour le reconstruction et le développement (Berd) à Budapest. « Nous vivons un grand moment, à une grande époque » où « la civilisation occidentale a réussi à se libérer de l’emprise d’une idéologie », a estimé M. Orban, qui avait été le seul chef de gouvernement de l’Union européenne à apporter son soutien candidat républicain durant sa campagne.

    Les relations américano-hongroise se sont dégradées depuis le retour de M. Orban au pouvoir en 2010 en raison de ses efforts pour contrôler la justice, les médias et les organisations non-gouvernementales.
    En 2011, la candidate démocrate malheureuse Hillary Clinton, alors chef de la diplomatie américaine, s’était ouvertement inquiétée, lors d’une visite à Budapest, des atteintes aux « contre-pouvoirs démocratiques » en Hongrie.
    En 2014, le président américain Barack Obama avait cité la Hongrie, pourtant alliée des Etats-Unis au sein de l’Otan, parmi une liste d’Etats où « des intimidations visent de plus en plus ouvertement la société civile ».
    L’administration américaine avait la même année interdit de séjour aux États-Unis plusieurs hauts responsables hongrois en raison de soupçons de corruption.

    « La Hongrie a eu des différents avec les Etats-Unis, mais avec le Parti démocrate, pas avec son peuple », a assuré jeudi le bras droit de M. Orban, Janos Lazar, soulignant la perspective d’un « nouveau départ » avec M. Trump.

    Source

  • « Les classes moyennes supérieures blanches et les gens qui ont une éducation supérieure » ont aussi voté pour Trump

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    23h36

    Sylvie Laurent, chercheuse à l’université de Stanford et enseignante à Science Po, a affiné le profil des électeurs qui ont permis à Donald Trump de devenir le 45e président des États-Unis.

    « On a beaucoup voulu penser que le prolétaire blanc était l’archétype de l’électeur de Trump« , a rappelé jeudi 10 novembre sur France Info Sylvie Laurent. Mais selon elle, il s’agit d’une « façon très étroite de voir les choses« .

     

    « En réalité, Donald Trump a emporté l’assentiment chez beaucoup de catégories sociales que l’on n’attendait pas« , a-t-elle précisé, énumérant les autres catégories séduites par le candidat républicain, à savoir « les classes moyennes supérieures blanches« , « les gens qui ont une éducation supérieure » et « les femmes« , « y compris celle qui ont une éducation supérieure« .

    Selon Sylvie Laurent, « Donald Trump est le symptôme, que l’on a vu venir depuis très longtemps, d’une dégradation de la vie démocratique américaine par le creusement des inégalités.  » L’Américain moyen est ainsi devenu « un nouveau précaire« . [...]

    « Et Donald Trump, avec cette parole disruptive, inopportune, a donné l’idée qu’il ne respectait pas les codes« , a affirmé la chercheuse, précisant qu’il ne s’agit « non pas des codes de la bienséance, mais des codes des gens du ‘club’, des gens qui savent, des gens de l’élite, qui disent au peuple ce qu’il doit dire, ce qu’il doit penser, la façon dont il doit manger, l’environnement qu’il doit respecter, le travail qu’il doit accepter et les valeurs qu’il doit embrasser. »

    francetvinfo

    Excellent!

     

  • Donald Trump : « Mes priorités sont l’immigration, l’emploi et la santé »

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    23h47

     

    « Nous avons beaucoup de grandes priorités : l’immigration et le problème des frontières, puis l’emploi, très important, et ensuite la santé. »

    Politico

  • Obama promet à Trump de faire "tout son possible" pour qu'il réussisse

    https://francais.rt.com/international/28590-election-presidentielle-am%C3%A9ricaine-clinton-trump

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  • «Ne pas mettre la charrue avant les bœufs» : Hillary Clinton signait des Unes annonçant sa victoire

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    © Reuters Source: Reuters

    Quelques heures avant l'annonce des résultats de l'élection qu'elle a finalement perdue, la candidate démocrate a été photographiée en train de dédicacer la couverture anticipée du magazine Newsweek portant le titre «Madame le président».

    Les faits se sont déroulés à Pittsburgh en Pennsylvanie, où la candidate démocrate était venue faire un dernier meeting pré-électoral. Elle a alors été photographiée en train de dédicacer des numéros non encore parus du magazine Newsweek dont la Une l'annonçait victorieuse.

    La photo a été prise par le photographe Justin Sullivan et postée sur Twitter par la journaliste d'ABC News, Cecilia Vega. La couverture de Newsweek présente Hillary Clinton, le visage rayonnant, comme célébrant sa victoire que le magazine croyait certaine, ornée du titre : «Madame la Présidente». 

     

    L'affaire de la couverture anticipée de Newsweek a fait grand bruit à l'annonce des résultats. En effet, la fuite sur Twitter de cette Une, le 7 novembre, avait provoqué de vifs remous sur les réseaux sociaux, certains internautes y voyant la preuve que les médias connaissaient déjà l'issue du scrutin du 8. Le magazine avait été obligé de se défendre en assurant qu'une couverture rendant compte d'une victoire de Donald Trump avait également été préparée.

    Lire aussi : Une couverture sur la victoire de Clinton déjà prête ? Le magazine américain Newsweek s'explique

    RT

  • Eric Zemmour : « Trump assume le conflit quand Marine Le Pen tente d’apaiser »

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    10/11/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Eric Zemmour a bien évidemment consacré sa chronique à l’élection de Donald Trump, portant un regard différent de la plupart des observateurs sur Marine Le Pen, d’ordinaire présentée comme l’équivalente française du prochain président des Etats-Unis, ce qu’il n’analyse pas ainsi.

    « Le facteur sonne toujours deux fois. Après le Brexit, Donald Trump. Après l’Europe, les Etats-Unis. Et la France dans tout ça ?, s’est abord interrogé Eric Zemmour. La menace se précise. Pour la bien-pensance. Pour les élites. Pour les médias. Pour les sondeurs qui se sont encore trompé. Pour les communicants qui conseillent toujours aux politiques de lisser leur discours » « Trump, a-t-il ajouté, c’est la défaite du féminisme, de l’antiracisme, du cosmopolitisme, de l’écologie », résumant par cette formule l’événement qui vient d’avoir lieu : « Trump, c’est une subversion inouïe de l’idéologie dominante. »

    Pour Zemmour, contrairement à ce que disait Marine Le Pen hier soir sur France 2, « le nouveau Président américain est élu par une Amérique blanche et populaire, l’Amérique de souche qui ne veut pas mourir, qui se bat contre les tendances démographiques. Trump est le candidat des ploucs, des mâles blancs, des ouvriers, le candidat de l’Amérique périphérique, dédaignée et méprisée par les grandes métropoles. » Et si « nous avons aussi notre France périphérique », à laquelle Marine Le Pen parle en priorité et que Nicolas Sarkozy avait séduite en 2007. « ces deux-là peuvent se réjouir, mais pas trop vite. »

    Marine Le Pen, explique l’essayiste, « a raison de voir [en l’élection de Trump] la légitimation de ses idées protectionnistes ou de sa méfiance pour le système ou la finance internationale ». Mais, ajoute-t-il aussitôt, « Trump provoque délibérément là où Marine Le Pen veut dédiaboliser » :

    « Il assume le conflit quand Marine Le Pen tente d’apaiser. Il a proposé d’interdire l’entrée des musulmans en Amérique, quand elle a déclaré l’islam compatible avec la République. Il est la cible des mouvements féministes et gays, que Marine cherche à séduire. Le vote Trump ne manifeste pas la volonté du peuple américain de recouvrer une souveraineté, qui n’a pas été abandonnée, mais le vote identitaire d’une Amérique qui veut rester l’Amérique. »

    Pour Zemmour, « la victoire de Trump va alerter tous les adversaires du Front national » et [elle] « ne détruit pas le plafond de verre qui empêche l’accès de Marine Le Pen à l’Elysée : elle le renforce. En tout cas, à court terme », favorisant paradoxalement l’élection… d’Alain Juppé.

    « En mai 1981, rappelle Eric Zemmour, la France élisait un président socialiste. Quelques mois plus tôt, Margaret Thatcher s’était installé au 10, Downing Street et Ronald Reagan à la Maison Blanche. Le couple anglo-saxon ouvrait le bal de la mondialisation libéral. La France socialiste était prise à contrepied. […] La France risque encore une fois le décalage historique. Ô elle s’alignera, c’est sûr, mais on sait pas quand, ni comment, ni à quel prix… »

  • La décision du Conseil d’Etat : des crèches oui, Jésus non !

     

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    Le Conseil d’Etat s’est prononcé ce mercredi, quelques semaines après son rapporteur sur l’affaire des crèches. Deux installations de crèches de Noël, l’une par la commune de Melun, l’autre par le département de Vendée, avaient fait l’objet d’une contestation devant le juge administratif. La vision sereine d’une paix tout enfantine avait rendu nos révolutionnaires malades : la France est laïque, mort au petit Jésus. La Cour administrative d’appel de Paris avait d’ailleurs, en dernier lieu, jugé illégale l’installation de la crèche de la commune de Melun tandis que celle de Nantes avait accepté la Vendéenne. C’est donc le Conseil d’Etat qui avait la charge de trancher, saisi d’un recours en cassation contre ces deux arrêts.

    La situation permet effectivement de telles discussions : les Français sont terrorisés par les crèches de Noël et on les comprend aisément.

    Le Conseil d’Etat a donc réfléchi et tranché : on peut autoriser certaines crèches, à l’unique condition qu’elles ne rappellent pas le catholicisme. Il fallait oser écrire pareille bêtise, c’est fait.

    L’institution rappelle en effet, dans sa décision, l’article 28 de la loi de 1905, « qui met en œuvre le principe de neutralité, interdit l’installation, par des personnes publiques, de signes ou emblèmes qui manifestent la reconnaissance d’un culte ou marquent une préférence religieuse. » C’est la loi, et ce n’est pas nouveau effectivement.

    Mais le Conseil d’Etat se permet une lecture d’une souplesse surtout idiote. L’installation d’une crèche est donc légale « si elle présente un caractère culturel, artistique ou festif, mais non si elle exprime la reconnaissance d’un culte ou une préférence religieuse ».

    Sauf que la crèche sans Jésus, et Jésus sans le catholicisme… En clair, il va être difficile de refuser une « préférence religieuse » à une installation qui est une manifestation claire de l’une des plus grandes fêtes de la religion catholique. Elle est en effet devenue une grande fête dans laquelle se reconnaissent tous les Français, même les moins pratiquants… Peut-être parce qu’il existe – que la libre- pensée me pardonne – quelques racines catholiques dans le pays.

    Cette décision du Conseil d’Etat n’a aucun sens mais elle s’explique : la levée de boucliers populaires avait été telle quand certains réclamaient l’interdiction des crèches qu’il fallait bien réagir, le peuple n’étant pas tout à fait prêt à perdre totalement son identité. Alors on en tolère des bribes, sans leur sens… Jusqu’à ce que tout le monde soit perdu.

    Marie Pommeret

    Article et dessin parus dans Présent daté du 11 novembre 2016

  • Élection américaine: l'exécutif et la gauche pris de court par le «scénario catastrophe»

     

    Pour les autorités françaises, qui n'ont pas vu venir l'élection de Donald Trump, cette victoire ouvre une «période d'incertitude» qu'elles veulent aborder avec «lucidité et clarté».

    Le visage des mauvais jours. Quelques heures après la victoire de Donald Trump, François Hollande a félicité du bout des lèvres son nouveau partenaire américain. Dans sa courte allocution prononcée depuis l'Élysée, il a surtout mis en garde celui-ci, expliquant froidement que s'il comptait engager «sans tarder une discussion avec la nouvelle Administration américaine», il le ferait «avec vigilance et franchise». Car «certaines positions prises par Donald Trump pendant la campagne doivent être confrontées aux valeurs et aux intérêts que nous partageons avec les États-Unis», a-t-il ajouté.

    Pour le président, qui n'a jamais caché son aversion pour le milliardaire américain (il avait même confié qu'il lui donnait des «haut-le-cœur»), cette élection ouvre une «période d'incertitude» qu'il veut aborder avec «lucidité et clarté». Une période qui invite à «prendre conscience des inquiétudes qui sont provoquées par les désordres du monde dans tous les peuples». «Nous devons trouver les réponses (…) capables de dépasser les peurs mais aussi de respecter les principes qui fondent la démocratie», a-t-il dit, après s'être entretenu au téléphone avec Angela Merkel.

    «Comme pour la nuit du Brexit, ça s'est retourné»

    Les autorités françaises n'ont pas vu venir l'élection de Trump. Alimenté par l'ambassade de France à Washington, mais aussi par les équipes de Hillary Clinton, l'entourage du président était persuadé «jusqu'à 1h30, 2 heures du matin» que cette dernière allait gagner. Et puis, raconte un conseiller, «comme pour la nuit du Brexit, ça s'est retourné». Ces derniers jours, les conseillers de l'exécutif restaient convaincus que l'Amérique n'oserait pas se lancer dans une «aventure» Trump. L'entourage de Hollande, en lien avec celui de Clinton, préparait d'ailleurs activement le scénario «Hillary». «Le communiqué de l'Élysée est déjà prêt», confiait lundi un conseiller. Les proches du président avaient également organisé l'appel téléphonique que Hollande devait passer à Clinton, après son élection. Raté.

    «La leçon de cette élection est simple: lorsqu'on ne protège plus le peuple, il se venge»

    Benoît Hamon, candidat à la primaire de gauche 

    Selon un conseiller, l'hypothèse Trump n'a jamais été étudiée «avec sérieux» au sommet de l'État. «Nous connaissons les contours de la future Administration Clinton, nous avons tous les contacts, ajoute-t-il. Tout ce travail n'a jamais été fait avec Trump. Nous ne connaissons pas son entourage, nous ne savons pas comment les joindre.» «Trump, ce serait l'inconnu, le scénario catastrophe», confiait la veille de l'élection un diplomate de haut rang. Début août, Hollande estimait pourtant que cette «élection mondiale» aurait des conséquences sur la présidentielle française, «droitisant» la campagne si Trump était élu. Cela va-t-il être le cas? Sans aucun doute. «La victoire de Trump va doper les extrêmes et les populismes», affirme un conseiller.

    À droite mais aussi à gauche, où les positions risquent de se tendre un peu plus, en dépit de l'appel au rassemblement et à la fin des «enfantillages» lancé mercredi par le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis. «La gauche ne se rassemblera pas parce que l'on a affaire à des gens qui ne sont pas responsables et qui se font les porte-parole des angoisses», confie, dépité, un ministre énumérant «Jean-Luc Mélenchon, les écologistes, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon».

    «Les Clinton français»

    De fait, l'ex-ministre de l'Éducation s'est dit convaincu qu'«ici, comme aux États-Unis, ces Clinton français ne gagneront pas contre Marine Le Pen». Selon lui, ces «Clinton français» vont de François Hollande, «résigné à la régression sociale et la crispation identitaire proposées par la droite», à Emmanuel Macron, imprégné d'«angélisme libéral». Conclusion de Hamon: «La leçon de cette élection est simple: lorsqu'on ne protège plus le peuple, il se venge

    De son côté, Jean-Luc Mélenchon, candidat de «la France insoumise», a fustigé le principe de la primaire, estimant que de l'autre côté de l'Atlantique aussi «les primaires ont été une machine à museler l'énergie populaire». Pour Macron, qui se plaît à se présenter en candidat hors système, l'élection de Trump est l'expression d'un «profond» rejet du «système» et démontre que «rien» n'est «jamais écrit à l'avance».

    «Nous ne devons pas mépriser l'Amérique des “casquettes rouges”, celle que beaucoup n'ont pas vue et qui est dans la rue avec fierté en ce moment même» 

    Manuel Valls

    Manuel Valls, qui met en garde depuis des mois sur la montée des populismes, sait que la gauche n'est pas prête à tirer les leçons de cette nouvelle et spectaculaire énième alerte. Au cours du Conseil des ministres, il a lancé un nouvel avertissement: «Nous ne devons pas mépriser l'Amérique des “casquettes rouges”, celle que beaucoup n'ont pas vue et qui est dans la rue avec fierté en ce moment même. Si on se contente d'être “étonné”, “indigné” et “triste”, on aura l'attitude de ceux qui n'ont rien compris, comme pour le Brexit. Le peuple américain n'est pas sur une autre planète. Il a voté en connaissance de cause, en sachant ce que Trump proposait.»

    Plus tard, devant les députés, Valls énumérait les réponses à apporter: «le besoin de frontières» et de «réguler l'immigration», «la nécessité (…) de combattre le terrorisme et de nommer le totalitarisme islamiste», «de mieux redistribuer les richesses». Valls n'a pas fait mouche. À ce stade, l'appel au rassemblement est un fiasco.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 10/11/2016. Accédez à sa version

  • Les Brigandes - Midi Libre

  • JOURNAL TVLibertés DU 10/11/16

  • L’inacceptable soumission du pâtissier

     

    L’affiche trônait au-dessus du comptoir : "nous garantissons à notre aimable clientèle que toutes nos pâtisseries sont réalisées avec de la gélatine de poisson"

    Surpris par cette affiche que je n’avais jamais vue, j’interrogeais la fille du pâtissier sur la raison de cette surprenante et récente annonce. Un peu gênée, elle m’expliqua qu’il avait été décidé de remplacer la gélatine de porc par de la gélatine de poisson pour une question d’hygiène...

    Devant cette explication embarrassée et peu convaincante, je lui demandais alors si cela n’avait pas été décidé pour se soumettre aux exigences de clients musulmans. L’air presque soulagé, elle m’indiqua qu’effectivement il s’agissait de se conformer à leur demande de pâtisseries hallal.

    Voilà le fin mot de l’histoire. Pour satisfaire quelques clients minoritaires et qui n’ont aucun droit à exiger que la loi musulmane s’applique dans les commerces, ce pâtissier bien connu des environs d’Aix les Bains a donc accepté de se soumettre et de soumettre la grande majorité de ses autres clients, à une loi religieuse, la charia, qui ne possède en effet aucune légitimité juridique à s’appliquer en France, pays laïque par excellence.

    Mais les confidences n’étaient pas terminées.

    La fille du pâtissier, qui semblait en avoir gros sur le cœur, poursuivit en m’expliquant que cette aberration était allée plus loin. Leurs clients musulmans avaient ensuite exigé que dans leur magasin de Chambéry, ils fermassent la porte commune que ce pâtissier avait avec un commerce vendant des spécialités savoyardes, fromage et charcuterie. En effet, ces clients "exotiques" craignaient que les parfums et senteurs émanant de ces charcuteries, qui enchantent les papilles de tout bon savoyard ou simple gourmet, rendent impures les pâtisseries voisines.. !

    Voilà comment une simple question de vie quotidienne rend mieux compte que tous les grands discours de l’affrontement de deux civilisations où la plus minoritaire essaye et réussit, grâce à la complicité et au renoncement du plus grand nombre, à imposer ses propres lois et codes culturels.

    Il est donc nécessaire de rappeler à ce pâtissier bien connu qu’islam en arabe veut dire soumission et que rien ne l’oblige en France à se soumettre à la loi de cette religion partagée par seulement 4 à 6 millions de personnes sur, il faut le rappeler, 66,6 millions de Français !

     

    Marcel GIRARDIN

    Conseiller municipal de Voglans  (Savoie)

    (merci à Dirk)

  • Réactions de Florian Philippot à l'élection de Donald Trump

    http://www.frontnational.com/videos/reactions-de-florian-philippot-a-lelection-de-donald-trump/

    Trois vidéos très intéressantes!