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Blog - Page 1055

  • Le Pape Benoît XVI renoncera au trône pontifical le 28 février

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    Copie d’écran ci-dessus : l’annonce par Radio Vatican.

    11/02/2013 – 15h40
    ROME (NOVOPress) – Coïncidence symbolique ? C’est au cours du consistoire pour la canonisation d’Antonio Primaldo et ses compagnons martyrs (les 800 martyrs d’Otrante), massacrés par les Turcs le 14 août 1480 pour avoir refusé de se convertir à l’Islam, que le pape Benoît XVI, en fin de matinée, a annoncé qu’il quitterait le trône pontifical le 28 février. Il avait été élu au Souverain Pontificat le 19 avril 2005.

     

    Le Saint-Père, qui s’exprimait en latin, a déclaré aux cardinaux : « Après avoir examiné ma conscience devant Dieu, à diverses reprises, je suis parvenu à la certitude que mes forces, en raison de l’avancement de mon âge, ne sont plus aptes à exercer adéquatement le ministère pétrinien. Je suis bien conscient que ce ministère, de par son essence spirituelle, doit être accompli non seulement par les œuvres et par la parole, mais aussi, et pas moins, par la souffrance et par la prière. Cependant, dans le monde d’aujourd’hui, sujet à de rapides changements et agité par des questions de grande importance pour la vie de la foi, pour gouverner la barque de saint Pierre et annoncer l’Evangile, la vigueur du corps et de l’esprit est aussi nécessaire, vigueur qui, ces derniers mois, s’est amoindrie en moi d’une telle manière que je dois reconnaître mon incapacité à bien administrer le ministère qui m’a été confié. »

    Au cours d’une conférence de presse, le P. Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, a apporté plusieurs précisions. Il a notamment indiqué que Benoît XVI ne participerait pas au conclave qui serait réuni pour élire son successeur, au mois de mars, mais qu’il se retirerait dans la résidence d’été des papes, à Castel Gandolfo. Il s’installera ensuite dans l’enceinte du Vatican, dans l’ancien couvent des religieuses, pour y finir ses jours dans la prière et la méditation.

    À cette décision qui a fait l’effet d’un coup de tonnerre, il n’y a qu’un véritable précédent, celui de saint Célestin V, qui renonça à la tiare en décembre 1294, après quelques mois de pontificat. Les exemples antérieurs sont obscurs et celui, plus récent, de Grégoire XII, en 1415, se situe dans le contexte très particulier du Grand Schisme d’Occident : on notera en outre que le nouveau pape, Martin V, ne fut élu qu’après la mort de Grégoire, en 1417.

    La validité de l’abdication de Célestin V ayant été mise en doute, les théologiens de la fin du XIIIe siècle et du début du XIVe siècle, en particulier Pierre de Jean Olivi et Gilles de Rome, publièrent les premiers traités de renuntiatione Papae (sur la renonciation du Pape), qui posèrent les principes encore admis aujourd’hui. Le pape, écrit Augustinus Triumphus (Augustin d’Ancône), dans sa Summa de potestate Ecclesiae, « n’a pas de supérieur parmi les hommes. C’est pourquoi, de même qu’en donnant son consentement à l’élection qui a été faite de lui, il la confirme, puisqu’il a immédiatement toute la juridiction papale, de même, le fait de renoncer à sa juridiction revient à la déposer. […] De même que le pape se confirme lui-même en consentant à son élection, de même il se dépose lui-même en renonçant à sa juridiction. »

    Les journalistes qui se hâtent d’annoncer dans la décision de Benoît XVI une « ouverture à plus de démocratie » dans l’Église, une « modernisation » ou un « redimensionnement » de la figure du pape, affichent donc, une fois de plus, leur crasse inculture théologique.

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  • Benoît XVI renonce à son ministère pour raisons de santé

    Lire l'article: http://lci.tf1.fr/monde/institutions/le-pape-va-demissionner-le-28-fevrier-7818614.html

    + 7 VIDEOS

    Une décision quasi inédite dans l'histoire de l'Eglise

    11/02/13

  • Lourdes: 11 février 1858, la première apparition

    Mise en ligne le 11 févr. 2012

    Pour chaque jour anniversaire d'une apparition à la Grotte, le Père Horacio Brito, le recteur des Sanctuaires de Lourdes, évoque la rencontre entre la Vierge Marie et Bernadette Soubirous. Une vidéo de L. Jarneau diffusée sur TV Lourdes pour le site officiel des Sanctuaires http://www.lourdes-france.org

  • L'armée française intervient à Gao pour extraire plus de 50 journalistes

    Posté le 10 février 2013 à 21h41

     

    L'armée française intervient au Mali

    Elle a extrait cet après-midi plus de 50 journalistes après l'attaque organisée d'islamistes dans la ville où l'armée française dispose de nombreuses troupes. Quand on entend ce témoignage en direct au milieu des tirs au centre ville de Gao, on comprend la joie de ces journalistes de voir débarquer nos soldats...

    Lahire

    Le Salon Beige

    Cliquez sur le lien plus haut " ce témoignage en direct"

  • Mariage gay: "10 à 15% des députés UMP pourraient s'abstenir" selon Jacob

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    Le chef de file des députés UMP a estimé, dimanche, que "10 à15%" de ses troupes pourraient s'abstenir mardi lors du vote sur le mariage des couples du même sexe.

    Deux ont déjà publiquement dit qu'ils s'abstiendraient: Nathalie Kosciusko-Morizet et Edouard Philippe. Mais ils pourraient être plus nombreux lors du vote à l'Assemblée, mardi, sur le mariage des couples de même sexe. Christian Jacob, chef de file des députés UMP, estime ainsi à "10 à 15%" le nombre d'abstentionnistes parmi ses troupes.

    "Il y a 10 à 15% de nos collègues dans le groupe qui peuvent peut-être s'abstenir ou certains, moins nombreux, voter" pour, a déclaré Christian Jacob sur France 5. Il a ajouté qu'à ses yeux une abstention n'était "pas grave, parce que sur un sujet comme celui-là, contrairement au Parti socialiste, j'ai toujours souhaité qu'il y ait une liberté totale de vote".

    "Là, je vous dis 10 à 15% mais je pense qu'il y en aura moins parce que compte-tenu du débat, des provocations de la ministre de la Justice et parfois du groupe socialiste, il y aura plus de députés qui voteront contre", a-t-il un peu plus tard nuancé. Au contraire, Benoist Apparu et Franck Riester ont déjà indiqué qu'ils voteraient pour.


    10/02/13
  • Un homme de 32 ans tué en plein centre de Tours

    Un homme, vraisemblablement blessé à l'arme blanche, est décédé samedi après-midi en plein centre historique de Tours.

    Drame mystérieux en plein centre de Tours (Indre-et-Loire) samedi. En plein jour, un homme est décédé alors qu'il traversait le centre historique de la ville, un quartier très animé, notamment le week-end.

    L'homme a traversé vers 14h30 la place Plumereau, un des lieux les plus fréquentés de la ville, avant de s'effondrer. Il était décédé à l'arrivée des secours, a déclaré une source judiciaire. Les circonstances exactes du drame ne sont pas encore établies avec certitude.

    Interrogé sur l'utilisation d'une arme blanche à l'origine du drame, le procureur de la République a déclaré que "c'est l'hypothèse la plus vraisemblable". "Les enquêteurs sont en possession d'un certain nombre d'éléments", a ajouté le magistrat en refusant de développer pour le moment.

     
    10/02/13
  • Italie : le salut romain « pour commémorer un camarade assassiné » n’est pas une incitation à la haine raciale

    sans-titre.png salut romain.png

    Photo ci-dessus : Salut romain dans le tableau “Le Serment des Horaces”, Jacques-Louis David, 1785.

    10/02/2013 – 08h30
    PAVIE (NOVOpress) – Les victimes des « années de plomb » (entre la fin des années 1960 et le début des années 1980) conservent une place considérable dans la mémoire de la droite radicale italienne, notamment à travers la musique alternative et lors des cérémonies commémoratives qui se tiennent fidèlement chaque année dans de nombreuses villes.

    À Pavie, tous les 5 novembre, le parti nationaliste Forza Nuova organise ainsi une marche en l’honneur d’Emanuele Zilli, un ouvrier de 25 ans, militant du Movimento Sociale Italiano, retrouvé agonisant dans la rue en 1973, et mort après trois jours de coma. La police avait conclu qu’il avait dû être victime d’un chauffard qui avait pris la fuite. Il semble aujourd’hui établi qu’il fut assassiné par un groupe d’extrême gauche, qui l’avait menacé à plusieurs reprises.

     

    Italie : le salut romain « pour commémorer un camarade assassiné » n’est pas une incitation à la haine raciale

    Etats-Unis. Etudiants faisant le salut romain dans le cérémonial habituel d’allégeance au drapeau américain, 1941.

    La commémoration se termine par le rituel du « Presente », où les participants font le salut romain, ce qui provoque chaque année des réactions indignées de la part de la gauche locale. Le parquet de Pavie croit en outre utile d’engager régulièrement des poursuites, sur la base de la loi Mancino de 1993 contre l’instigation à la haine raciale (le salut romain étant tenu pour une « manifestation extérieure » propre aux mouvements instiguant à la haine en question).

    Les méandres de la justice italienne sont tels qu’une vingtaine de personnes poursuivies au titre de 2008, n’ont pas encore été jugées : leur procès aura lieu en avril. Mais le procès pour la commémoration de 2009, contre dix-huit jeunes militants de Forza Nuova filmés par des caméras de surveillance en train de saluer le bras tendu, s’était ouvert en septembre dernier et le juge a rendu sa sentence cette semaine.

    Tous les accusés ont été acquittés. Les arrêtés du jugement n’ont pas encore été publiés, mais le juge a admis la thèse de la défense, selon laquelle le délit n’était pas constitué : le salut romain, dans ce contexte, n’a rien à voir avec une incitation à la discrimination raciale mais constitue simplement un hommage à un camarade mort.

    Fallait-il vraiment encombrer les tribunaux pendant plusieurs années pour arriver à cette conclusion ?

    Crédit photo en Une : wartburg.edu, domaine public.
    Crédit photo dans le texte : auteur inconnu, via Wikipédia, domaine public.

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  • Ségrégation raciale en Israël contre les immigrés africains

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    09/02/2013 – 18h00
    PARIS (NOVOpress via Kiosque courtois) – On se rappelle les émeutes et les attaques menées par des Israéliens au printemps 2012 contre les immigrés africains : vitres de magasins brisées, passages à tabac et slogans violents. Un journaliste centrafricain, Kitiki Akouissonne., a publié lundi une tribune cinglante dénonçant la haine que manifesterait l’Etat hébreu à l’encontre des populations africaines, notamment en provenance d’Erythrée ou du Soudan.

     

    Ces immigrés sont ainsi qualifiés « d’infiltrés » et de « ténèbres » par les manifestants qui souhaitent expulser bon nombre de ces individus. Le sort de près de 40.000 immigrés clandestins en Israël reste donc précaire face au rejet grandissant exprimé par les Israéliens comme l’ont prouvé les bons résultats aux dernières élections des partis talmudiques ouvertement racistes.

    Le journaliste centrafricain souligne le silence des médias mondiaux et de l’Union africaine sur ce sujet. C’est ce même silence médiatique qui entoure la construction de véritables murs d’apartheid en Israël, celui de Cisjordanie et celui tout récent qui sépare désormais l’Etat hébreu de son voisin égyptien, en attendant celui qui devrait bientôt se dresser le long de la frontière avec la Syrie.

    En juin dernier, l’opération « Retour à la maison », rondement menée par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui s’est soldée par l’expulsion manu militari de dizaines de milliers d’Africains, n’a soulevé aucune protestation dans notre pays, de la part des habituels gardiens de l’ordre moral antiraciste, qui hurlent contre les expulsions de clandestins en France et empoisonnent la vie publique française depuis trente ans.

    Image en Une : drapeau israélien. Domaine public.

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  • Mali: la menace kamikaze

  • Le légionnaire au foulard aurait été rapatrié et puni de 40 jours d'arrêt

     

    Midilibre.fr
    09/02/2013, 12 h 22 | Mis à jour le 09/02/2013, 19 h 51

     

    Le foulard protégeait le soldat contre la poussière soulevée par un hélicoptère.
     

    La photo d'un légionnaire en service au Mali et portant un foulard représentant une tête de mort avait causé grand bruit dans certains médias, poussant la hiérarchie militaire à réagir.

    Ce foulard protégeait le soldat contre la poussière soulevée par un hélicoptère.

    L'information circule depuis plusieurs jours sur des blogs et sites de revues spécialisés dans les questions de défense : le légionnaire du 1er REC d'Orange pris en photo au Mali alors qu'il portait un foulard représentant une tête de mort a été rapatrié en France et puni de 40 jours d'arrêts. S'il est impossible de faire confirmer l'information de la part de l'Etat-major des armées, une source militaire a cependant souligné à Midi Libre le sérieux des informations contenues dans le blog le mamouth. Samedi matin, Midi Libre n'avait pas réussi à contacter Jean-Marc Tanguy, le rédacteur du site.

    Un ancien légionnaire : "un blâme aurait été suffisant"

    Une décision qui ne passe pas auprès de certains anciens légionnaires. Un d'entre eux a fait part de son indignation à Midi Libre Gard rhodanien : "il n'y a pas eu mort d'homme, un blâme aurait été suffisant". D'autant plus que, selon lui, ce "vol bleu" (rapatriement prématuré pour indiscipline) risque de peser sur la carrière du militaire. "Une campagne, c'est une médaille, une solde augmentée... Autant d'avantages qui peuvent être remis en question après ce retour au pays."

     

    NdB: Scandaleux!

  • Discours de François Hollande lors de la Conférence des organisations juives américaines

     

    Palais de l’Élysée – Mercredi 6 février 2013

     

    Monsieur le ministre,

    Mesdames et Messieurs les présidents, car ici il n’y a que des présidents,

    Mesdames et Messieurs, qui ne sont pas encore présidents,

    Je suis très heureux de vous accueillir, à l’occasion de la première visite en France de la Conférence des présidents, qui représente 51 organisations juives des États-Unis d’Amérique.

    À travers vous, la France salue le judaïsme américain, son dynamisme, sa vitalité, sa diversité. La communauté juive des États-Unis s’est constituée, comme beaucoup de communautés juives, par des vagues d’immigration successives, portées toujours par l’espoir d’un monde libre, démocratique, où les juifs, depuis si longtemps persécutés, pourraient enfin vivre en paix.

    Cette promesse a aussi, au fil des siècles, amené de nombreux juifs vers la France. Avec la même idée : trouver là stabilité, tranquillité et prospérité.

    Vous connaissez l’importance du judaïsme dans l’histoire de la France. La communauté juive, ici représentée, est la 3ème du monde. Elle est marquée par une grande diversité de ses origines : des pays de l’Est, d’Europe centrale et orientale, mais aussi des pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient... La France ne serait pas la France sans l’apport des juifs qui, depuis toujours, aiment leur pays, le servent et l’honorent.

    Vous connaissez aussi dans votre intimité profonde la tragédie subie par les juifs de France et d’Europe au siècle dernier, les humiliations, les persécutions, les violences, qui ont fait fuir beaucoup de vos parents, de vos grands-parents – qui se sont réfugiés dans le meilleur des cas aux États-Unis et pour d’autres, qui sont restés ici et ont été victimes de la Shoah. En France, et c’est une douleur de le rappeler, 76 000 juifs ont été tués entre 1942 et 1945, un quart des juifs de notre pays.

    Il y a 70 ans, quand notre continent tout entier était régi par l’ordre barbare du nazisme, je l’ai dit, les États-Unis étaient un refuge pour la dignité humaine et pour la liberté et un espoir pour ceux qui ne parvenaient pas à y accéder. Depuis, les représentants du judaïsme américain se considèrent, et vous en êtes ici les témoins, comme des protecteurs des juifs d’Europe et même des juifs du monde.

    Les communautés juives du monde entier perçoivent tout acte antisémite, tout propos, comme une violence qui les concerne directement. Sachez qu’il en est de même de la République française qui vit comme une atteinte à son essence la plus profonde toute agression commise sur son territoire contre un juif parce que juif.

    Vous étiez à Toulouse hier, où il y a un an une tragédie nous a tous saisis d’effroi et d’horreur. J’imagine ce qu’ont inspiré à chacun d’entre vous les actes commis ce 19 mars 2012. Ils n’ont pas été commis par hasard, ni dans n’importe quelle circonstance. Ils ont été dirigés contre une communauté dans ce qu’elle pouvait avoir de plus précieux : ses enfants. Celui ou ceux qui ont commis ces actes ont donc, d’une certaine manière voulu atteindre l’avenir même des juifs. C’est toute la France qui en a été bouleversée et qui s’est rassemblée. Je réaffirme aujourd’hui la volonté qui est la mienne de veiller sur le souvenir des enfants de Toulouse, qui sont nos enfants, ceux de la République française.

    Je me suis rendu à Toulouse, avec le Premier ministre israélien, justement pour que nous partagions la même émotion et puissions tenir le même engagement : veiller sur le souvenir et faire preuve d’un devoir de vigilance. Et d’intransigeance. Le ministre de l’Intérieur, qui est à mes côtés, est chaque jour attentif à tout acte qui pourrait être commis et aussi à prévenir tout renouvellement d’une telle tragédie.

    Dans ces circonstances, vous le savez, où la France est engagée au Mali pour lutter contre le terrorisme, nous sommes encore plus attentifs et vigilants. Nous n’avons pas besoin d’être encore plus intransigeants ; nous avons besoin d’être plus soucieux encore de la sécurité de nos concitoyens.

    Les pouvoirs publics sont d’ailleurs pleinement mobilisés. Nous avons pris des mesures – déjà depuis plusieurs années – pour garantir la sécurité des juifs de France. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, dirigera dans quelques semaines une réunion avec les principaux ministres du gouvernement, pour établir un plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme.

    C’est un comble qu’au début du XXIe siècle, il soit nécessaire de réunir des ministres pour faire un plan pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme, alors que le XXe siècle a été marqué par la barbarie. Et pourtant nous faisons face à des menaces. Nous savons aussi que le développement des nouvelles technologies, d’internet peut être un moyen de diffuser la haine. Nous faisons donc preuve d’une vigilance et d’une intransigeance.

    Vous êtes vigilants sur ce qui se passe dans le monde, mais vous êtes aussi aux côtés d’Israël. Parce que pour les juifs du monde entier, je sais ce que représente Israël. Je mesure aussi la crainte qui est la vôtre, parce que c’est aussi la nôtre, par rapport à la prolifération nucléaire et la volonté, jusque-là non démentie de l’Iran, de vouloir accéder à l’arme nucléaire.

    Je recevais, il y a quelques jours, le Vice-président des États-Unis, Joseph Biden et nous avons partagé nos analyses sur ce qui pouvait se produire en Iran.

    Nous avons lancé un nouvel avertissement, appelé à une négociation, exigé la transparence et surtout le renoncement clair par l’Iran à la recherche de tout ce qui pourrait lui permettre d’accéder à l’arme nucléaire. Il y a les sanctions, elles seront renforcées. Elles sont coûteuses pour la population de l’Iran et nous le savons. Elles sont nécessaires, car nous devons contraindre l’Iran à renoncer.

    La France est aussi aux côtés d’Israël pour l’affirmation de son droit à la sécurité, c’est-à-dire le droit à défendre sa propre existence. Nous sommes aussi aux côtés des Palestiniens pour qu’ils puissent disposer d’un État. C’est l’intérêt même d’Israël car tant que la Palestine n’aura pas de frontières reconnues, Israël n’en aura pas non plus. Tant que la Palestine n’aura pas conquis la stabilité, Israël n’aura pas conquis la sécurité.

    Nous souhaitons donc qu’il y ait une reprise des négociations. Faut-il encore que toutes les parties veuillent aboutir, non pas à ouvrir la négociation, mais à la conclure.

    Je vous l’ai dit, la France est engagée, elle aussi, dans la lutte contre le terrorisme. Si nous sommes au Mali, ce n’est pas pour défendre quelque intérêt que ce soit en tant que puissance, c’est pour agir au nom de la communauté internationale, pour veiller à ce qu’aucun groupe terroriste ne puisse conquérir un pays, car il s’agissait de cela au Mali.

    Voilà ce qui nous rassemble, Mesdames et Messieurs, ce sont des principes, ceux de la démocratie, les valeurs universelles de la liberté et c’est ce qui fonde notre amitié, l’amitié entre la France et les États-Unis et également l’amitié entre l’organisation que vous représentez, cette Conférence des présidents, et la République Française.

    En vous recevant ici, nous recevons des amis.

    Merci d’être là.

    François Hollande, président de la République française

    E&R

  • Pédocriminalité sataniste : résumé de l’affaire Véronique Liaigre

     

    [...] Véronique Liaigre et ses deux sœurs sont victimes de viols et viols aggravés entre 1984 et 1997. Les actes ont été commis par les parents qui prostituaient leurs trois filles. Le 15 novembre 2001, le père et la mère de Véronique Liaigre, Georges Liaigre et Marie-Pierre Collasseau sont jugés et condamnés respectivement à 12 et 16 ans de prison.

    Les faits sont exposés de cette manière par les médias. Tournée de cette façon cette histoire est déjà abominable, mais Véronique avait pourtant livré un témoignage précis en plein scandale Dutroux, voici son résumé:

    Véronique et ses deux sœurs sont prostituées par leurs parents dans le village de Jallais, près d’Angers. Tout le village savait ou participait à des orgies pédophiles. Pire encore, la victime rapporte des voyages durant lesquels elle a assisté et pratiqué des sacrifices d’enfants (Nanterre, Londres, Bruxelles, Agen...) sur des enfants nés de viols, sous x et qui ne sont destinés qu’aux sacrifices.

    Louée à des gens fortunés, Véronique parle de l’implication de notables et se reconnait même sur les CD-ROM de Zandvoort.

    Lors d’un long témoignage elle parle également de la petite Marion Wagon, disparue le 14 novembre 1996 à Granges-sur-Lot. Elle explique que la fillette était gardée pendant un temps par un couple de gouines pédophiles aux alentours d’Agen et dit savoir qu’un charnier d’enfants se trouve à Granges-sur-Lot.

    Egalité & Réconciliation

  • 435 000 pétitions ce soir : le rendez-vous avec le CESE est pris pour vendredi 15 février à 9h00

     

    Lu sur le site de Philippe Brillault, mandataire pour la pétition :

    Sans-titre"Le rendez-vous avec le CESE est pris : vendredi 15 février à 9H.

    Poursuivons la mobilisation ! On ne lâche rien, encore 65 000 pétitions à réunir !!!!

    La date de clôture des envois est fixée au 12 février.
    Télécharger, imprimer et signer la pétition CESE + l’Appel au Référendum à adresser à la Manif Pour Tous, 15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY

    Demain pas de dépouillement pour des raisons de disponibilité de la salle. Reprise du dépouillement 10h Dimanche."

    Philippe Carhon

    Le Salon Beige - 08/02/13

  • C'est Lévy qui a tué Chokri

    09/02/2013

    C'est Lévy qui a tué Chokri




        Le terroriste Bernard-Henri Levy, c’est ainsi que doit être appelé cet instrument qu’Israël a utilisé pour mener son entreprise de déstabilisation des pays arabes dans le cadre de l’alliance diabolique entre les sionistes et les wahhabites. Tout ce qui s’est passé depuis que les Occidentaux, à son instigation, ont commencé à intervenir dans cette partie du monde, dévoile le caractère criminel de ce pseudo-intellectuel. Les victimes en sont les peuples arabes d’abord, mais aussi les citoyens de pays occidentaux dont les dirigeants se sont coalisés pour semer le désordre et le chaos en Libye, en Tunisie, en Egypte et en Syrie, avec l’ambition d’étendre leur opération à l’Algérie. Le premier choc fut ressenti lors de l’attaque, le 11 septembre, du consulat américain à Benghazi qui entraîna la mort de l’ambassadeur des Etats-Unis, puis, tout récemment, impact direct de la situation en Libye, l’agression contre le complexe de gaz algérien de Tiguentourine (In Amenas) et la prise d'otages qui coûtèrent la vie à 37 étrangers qui travaillaient sur ce site. Et maintenant, c’est l’assassinat d’une figure marquante de l’opposition populaire en Tunisie, Chokri Belaïd. Derrière tous ces crimes, il y a l’œuvre de Bernard-Henri Levy, le terroriste. La communauté internationale et les peuples arabes, en premier lieu, doivent engager les démarches pour le traduire devant les juridictions internationales compétentes qui traitent des affaires de terrorisme. Les intellectuels, les syndicalistes, hommes politiques, journalistes et plus généralement tous ceux qui se sentent révoltés par les agissements du terroriste BHL et de leurs conséquences non seulement dans les pays touchés par le pseudo-printemps arabe mais aussi dans le Nord-Mali, doivent lancer une pétition internationale pour le traîner devant les tribunaux et le juger pour incitation au terrorisme.   

    http://www.algeriepatriotique.com/content/cest-levy-qui-tue-chokrihttp://www.algeriepatriotique.com/content/cest-levy-qui-tue-chokri

    ALTERINFO

     

     

  • Mali: la France prise la main dans le sac

    08/02/2013

    Mali : La France prise la main dans le sac




        Alors qu’elle est engagée avec son armada au nord du Mali pour traquer les terroristes, la France vient d’être prise la «main dans le sac», comme étant l’un des financiers indirect d’Al Qaida dans le Sahel.

    Cette grave révélation faite aujourd’hui par l’ancienne ambassadrice des États‑Unis à Bamako (2002 à 2005) Vicki J. Huddleston, tombe comme un cheveu sur la soupe de la France qui bombe le torse grâce à ses maigres succès militaires en terre malienne.

    Et sur le plateau d’un média français, I>Télé, en l’occurrence, que l’ex responsable des Affaires africaines au département d’État a révélé le pot aux roses.

    «Il y a deux ans, Aqmi a pris des Français en otages dans une mine d’uranium au nord du Niger. Pour faire libérer ces otages, la France a payé une rançon d’environ 17 millions de dollars», soutient la diplomate américaine dans une déclaration qui s’apparente à une pierre dans le jardin de la France. Elle a aussi précisé que ces rançons ont été payées «indirectement».

    L’ex ministre de l’intérieur sous Sarkozy, Claude Guéant s’est en effet empressé de nier que l’Etat français ait versé une quelconque rançon pour faire libérer les otages. Or, Mme Huddleston suggère justement que cette somme faramineuse (17 millions de dollars soit 12 millions d’euros) a pu être payé «indirectement», c’est-à-dire via la compagnie Areva qui employait les captifs.

    La diplomate américaine souligne que : «C’est le chiffre dont j’ai entendu parler et que j’ai vu écrit noir sur blanc».

    Les "dollars de la mort" de Sarkozy

    Mieux encore le payement des rançons n’est pas une spécialiste française puisque Mme Huddleston enfonce beaucoup de pays européens (qu’elle n’a pas cité) qui auraient versé 89 millions de dollars entre 2004 et 2011 pour obtenir des libérations d’otages.

    La diplomate américaine qui semble vouloir régler ses comptes à la France voire à l’Europe enfonce encore le clou, en retraçant l’itinéraire de ces rançons avant d’arriver aux mains des terroristes d’AQMI.

    «Elles ont (les rançons) terminé entre les mains du gouvernement malien et ensuite elles sont retournées, du moins une partie, aux salafistes», a‑t‑elle précisé, ajoutant que «cet argent alimente la trésorerie d’Aqmi pour acheter des armes et recruter».

    Voilà qui ne manquera pas de donner froid dans le dos à la France qui voudrait jouer les redresseurs des torts au Mali alors que c’est grâce à ses millions d’euros que AQMI et le MUJAO ont acquis un matériel de guerre pour lancer leur «conquête» du nord du Mali.

    Jusque là, la France a toujours nié avoir versé la moindre rançon pour résoudre des prises d’otages à l’étranger. On s’en souvient de la fameuse transaction effectuée par la France via le président Amadaou Toumané Touré poçur récupérer l’espion Pierre Camatte en contrepartie de la libération par les autorités maliennes d’alors de quatre dangereux terroristes dont deux algériens. L’affaire avaient même provoqué une crise diplomatique entre Alger, Nouakchott d’un côté et Bamako de l’autre. Tout le monde avait compris alors que Paris a payé le prix fort pour récupérer son espion que Sarkozy est aller personnellement chercher à Bamako.

    Un tir «ami» contre la France

    La France a tout de même refusé de reconnaître la transaction. Alger a poursuivi son lobbying qui avait abouti à la criminalisation du payement des rançons considérée à juste titre comme un financement indirect du terrorisme.

    Voilà maintenant que l’implication de la France est clairement confirmée et par un haut responsable d’un pays «ami».

    Par cette mise en accusation même tardive, la diplomate américaine envoie un message subliminal à la France et ses responsables, qu’ils sont quelque part complices de ce qui se passe aujourd’hui au nord du Mali.

    Il est alors tout à fait logique que l’armée française se charge aujourd’hui de réparer les dégâts qu’elle a pu provoquer grâce à ses millions d’euros qu’elle a généreusement offert aux terroriste d’AQMI.

    L’Algérie qui a fait de la condamnation du versement de rançons aux groupes terroristes un principe non négociable bien que cinq de ses diplomates sont encore aux mains des terroristes, s’en trouve réconforté dans sa démarche face au conflit malien.

    Pour la France qui joue actuellement l’«héroïne» au Mali, ces sulfureuses révélations constituent un coup très dur pour sa réputation. Elle passe ainsi du statut de «libérateur» du Mali à celui peu glorieux de financier d’AQMI.

    A la décharge du président François Hollande, ces versements dans les comptes d’AQMI ont été effectués du temps de Nicolas Sarkozy. Mais pour le coup, c’est la France de gauche comme de droite qui est éclaboussée.   

    http://www.algerie1.com/actualite/mali-la-france-prise-la-main-dans-le-sac/http://www.algerie1.com/actualite/mali-la-france-prise-la-main-dans-le-sac/
     
    ALTERINFO

     

     

  • Papouasie-Nouvelle-Guinée: une femme brûlée vive pour sorcellerie par des villageois

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    Ils l'accusaient d'avoir utilisé ses pouvoirs pour tuer un enfant de six ans...

    La police et les pompiers sont arrivés trop tard. Jeudi, une femme a été brûlée vive par des villageois de la province de Western Highlands, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L'information est rapportée par le Post Courier, un journal local.

    Kepari Leniata, 20 ans, était accusée par les villageois d'avoir utilisé la sorcellerie pour tuer un enfant de six ans, mort à l'hôpital d'une mystérieuse maladie. Deux membres de la famille du jeune garçon ont mené la chasse. La femme a été torturée avec des barres métalliques chauffées à blanc et aurait reconnu tremper dans les arts obscurs. Elle a ensuite été déshabillée, traînée pieds et poings liés, recouverte de pétrole et brûlée sur une pile d'ordures.

    Un problème récurrent

    Les autorités ont indiqué qu'elles traiteraient l'affaire comme un meurtre et que les coupables seraient arrêtés.

    Les exécutions tribales sont un problème sur cette île du Pacifique où la sorcellerie fait partie de la culture populaire. Le premier ministre, Peter O'Neill, a condamné «un acte ignoble». «Les meurtres barbares pour des soi-disant actes de sorcellerie se multiplient dans certaines parties du pays», a-t-il déclaré, promettant que justice serait rendue.

    P.B.
    20minutes - 07/02/13