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Blog - Page 1058

  • Hommage à Robert Brasillach, fusillé le 6 février 1945

    sans-titre.png Robert Brasillach.png

    LA MORT EN FACE

    6 février 1945

    Si j'en avais eu le loisir, j'aurais sans doute écrit le récit des journées que j'ai vécues dans la cellule des condamnés à mort de Fresnes, sous ce titre. On dit que la mort ni le soleil ne se regardent en face. J'ai essayé pourtant. Je n'ai rien d'un stoïcien, et c'est dur de s'arracher à ce qu'on aime. Mais j'ai essayé pourtant de ne pas laisser à ceux qui me voyaient ou pensaient à moi une image indigne. Les journées, les dernières surtout, ont été riches et pleines. Je n'avais plus beaucoup d'illusions, surtout depuis le jour où j'ai appris le rejet de mon pourvoi en cassation, rejet pourtant prévu. J'ai achevé le petit travail sur Chénier que j'avais commencé, j'ai encore écrit quelques poèmes. Une des mes nuits a été mauvaise, et le matin j'attendais. Mais les autres nuits, ensuite, j'ai dormi bien calmement. Les trois derniers soirs, j'ai relu le récit de la Passion, chaque soir, dans chacun des quatre Évangiles. Je priais beaucoup et c'est la prière, je le sais, qui me donnait un sommeil calme. Le matin, l'aumônier venait m'apporter la communion. Je pensais avec douceur à tous ceux que j'aimais, à tous ceux que j'avais rencontrés dans ma vie. Je pensais avec peine à leur peine. Mais j'essayais le plus possible d'accepter.

    Robert Brasillach

    Robert Brasillach est né le 31 mars 1909 à Perpignan et a été fusillé le 6 février 1945 au fort de Montrouge sur ordre de De Gaulle.

  • Des imams se recueillent au Mémorial de la Shoah

    Lire: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/04/01016-20130204ARTFIG00708-des-imams-se-recueillent-au-memorial-de-la-shoah.php

    + VIDEO

     NdB: Un festival d'hypocrisies!

  • Les médias préfèrent les mosquées taguées aux églises vandalisées

    sans-titre.png Mosquée taguée.png

    PdB: Mosquée taguée" à Ozoir-la-Ferrière

    sans-titre.png Eglise dégradée.png

     

    Deux événements notoires au moins concernent des édifices religieux ces 30 janvier et 2 février.

    Le 30 janvier, l’église St Nom de Jésus à Lyon voit une des statues de son porche renversée et brisée comme le montre un extrait de presse du Progrès de Lyon (voir la photo).

    http://www.leprogres.fr/rhone/2013/01/31/degradation-sous-le-porche-de-l-eglise-st-nom-de-jesus

    Le 2 février, la mosquée d’Ozoir-la-Ferrière est taguée de slogans et de croix gammées.

    http://www.leparisien.fr/avon-77210/des-croix-gammees-taguees-sur-la-mosquee-04-02-2013-2537789.php

    Quel est le traitement « lisible » de ces événements déplorables dont je me garde bien de les classer dans la stupidité ?

    - Pour ce qui concerne la destruction de la statue (du 19ème siècle probablement) de l’église de Lyon, classé « faits divers » un seul article de presse régionale d’une sobriété égale à sa brièveté (60 mots max), désormais peu accessible. Pas de réaction d’une autorité religieuse (concernée ou non) si ce n’est celle du curé. Ni politique… Aucun qualificatif…

    Un point c’est tout, hors la presse internet directement concernée ou vigilante !

    Si vous ne me croyez pas, faites la recherche…

    - Pour ce qui est des tags et slogans de la mosquée d’Ozoir, pas besoin de demander (ce que je fais cependant pour mesurer l’équité médiatique)…

    Presse nationale : Le Figaro, Libération, Le Parisien, Métro… Les hebdo : Le Point, L’Express… La presse régionale : Ouest-France, La dépêche, La Montagne… Etc. Autrement dit, à foison !

    Pour ce qui concerne les contenus (environs 270 mots chez Le Parisien loin derrière Libération ou Le Point, 170 sur la Dépêche), outre la description des faits, les réactions des associations ou organismes musulmans (CFCM, voire UOIF et l’observatoire de l’islamophobie), du Ministre de l’intérieur et d’élus… Enfin, la confirmation d’une plainte… Le vocabulaire n’est pas neutre à l’opposé de ce qui concerne l’église de Lyon, « raciste, nauséabond, islamophobe, haineux, … ». Loin de la qualification de fait divers, « Cette profanation est fermement condamnée de toutes parts » comme l’écrit Le Parisien, a contrario du silence sur la destruction de la statue de l’église St Nom, il faut bien le relever…

    J’insiste LOURDEMENT sur la différence dans le traitement de deux faits qui sont tous les deux l’atteinte à un édifice religieux quelque en soit la gravité, pas aussi LOURDEMENT cependant que l’iniquité de comportement de nos politiques, de nos médias, des représentants religieux. Après ceux-ci s’indigneront de ce que le peuple les rejette au bénéfice d’un soi-disant populisme… Un peu de décence mesdames et messieurs nos pseudo-élites…

    Pour un iota de rétablissement de l’équité ci-dessus l’article du Progrès.

    Jean-Paul Saint-Marc

    RIPOSTE LAÏQUE

     

  • Le 1er février, journée mondiale du hijab: non merci !

    sans-titre.png Hijab day.png

    05/02/2013 – 12h00
    LONDRES (NOVOpress) - Depuis quelques années des femmes musulmanes tentent de faire du 1er février la journée internationale du hijab.

    Toutes les femmes du monde, musulmanes et non musulmanes, sont « invitées » à se mettre dans la peau d’une femme voilée pendant une journée et à réfléchir à la question suivante : « Le hijab est-il oppressant ou libérateur ? ».

     

    L’initiative n’est pas nouvelle mais l’idée a été relancée avec vigueur en 2004, après la campagne soi-disant « anti-hijab » à l’école, menée par les autorités françaises. Depuis, l’idée a même été récupéré et encouragé par le maire de Londres, Ken Livingston !

    Nazma Khan, considérée comme la fondatrice du mouvement « Hijab for a day » déclare : « J’ai pensé que la seule façon de mettre fin à la discrimination si nous demandons à nos consœurs de faire l’expérience hijab par elles-mêmes » !

    Une ancienne édition de la journée mondiale du hijab

    Relayé par un article paru sur BBC News, Jess Rhodes, 21 ans, étudiante de Norwich au Royaume-Uni s’est laissée convaincre par une amie de tenter l’expérience. Elle indique ainsi,(naïvement pourrait-on dire) : « Elle m’a assuré que je n’avais pas besoin d’être musulmane, que c’était juste sur la modestie, bien évidemment liée à l’islam, alors j’ai pensé, pourquoi pas ? ». Elle ajoute un petit conseil mode et pratique : « Parce que je ne suis pas très douée, je porte ce que vous pourriez appeler un hijab une pièce – il suffit de le tirer dessus de votre tête. Il y a toutes sortes d’options ».

    Actif sur Twitter et sur Facebook, le collectif World Hijab Day avait initialement lancé cette manifestation en juillet (voir ci-contre), mais espérait que la date du 1er février aurait permis de toucher le plus grand nombre d’internautes possible. A tel point que leur campagne d’affichage avait, cette année, été traduite en quinze langues.

    Cet « événement » avait donc lieu un peu partout dans le monde vendredi dernier. Mais sans grand succès médiatique semble-t-il…

    Julien Lemaire

    Crédits photos : Cynthia Frost et Radio Nederland Wereldomroep via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Dictature

     

    Hongrie : un négationniste condamné à visiter Auschwitz ou un mémorial de la Shoah

    Un homme reconnu coupable de négation de l’Holocauste a été condamné vendredi à 18 mois de prison avec sursis et devra se rendre soit à Auschwitz soit dans un des mémoriaux consacrés à la Shoah.

    Le tribunal de Budapest devant lequel il comparaissait lui a en outre ordonné d’écrire ses réflexions et ses sentiments à l’issue de sa visite.

    Il a le choix entre le Mémorial de l’Holocauste à Budapest, l’ancien camp de concentration d’Auschwitz (sud de la Pologne) et le Mémorial Yad Vashem de Jérusalem.

    Il s’agit de la première condamnation dans ce genre d’affaire depuis l’entrée en vigueur en 2010 de la nouvelle loi sur la négation de l’Holocauste.

    Cet informaticien de 42 ans n’a également plus le droit de participer à des rassemblements et événements politiques.

    Pancarte offensante

    Au cours d’une manifestation politique à Budapest en 2011, il avait brandi une pancarte avec l’inscription en hébreu : « La Shoah ne s’est pas produite. »

    La pancarte avait été visible pendant 15 minutes avant qu’il ne soit arrêté par la police, a rapporté l’hebdomadaire HVG.

    Depuis février 2010, la négation du génocide des juifs par le régime nazi fait encourir une peine pouvant aller jusqu’à trois ans de prison.

    Après l’arrivée au pouvoir du parti conservateur de Viktor Orban en avril 2010, le parlement avait adopté une loi condamnant par ailleurs la négation des crimes contre l’Humanité commis sous le régime communiste en Hongrie. L’an passé, les incidents antisémites se sont multipliés dans ce pays.

    Nazis réhabilités

    Le prix Nobel de la paix et survivant de l’Holocauste Elie Wiesel avait renvoyé en juin une décoration au gouvernement hongrois pour dénoncer la réhabilitation d’anciens nazis.

    Mi-novembre, le président du Congrès juif mondial Ronald Lauder avait demandé à Viktor Orban de se distancer clairement des extrémistes de son pays.

    Il l’avait appelé à « non seulement dénoncer ceux qui font campagne contre les Roms, les Juifs et autres minorités », mais aussi à « entreprendre des actions efficaces » contre ces attaques.

    E&R

  • 5 février 1917 : mort d'Edouard Drumont

    Journaliste, écrivain et homme politique.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89douard_Drumont

    Presque aveugle, Edouard Drumont décède peu avant 20h dans sa résidence de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, à l’âge de 72 ans.

    Outre de nombreux ouvrages consacrés à Paris, ce brillant pamphlétaire est l’auteur d’une description réaliste de la société française au XIXe siècle : La France juive, « livre magique » pour Bernanos qui lui consacrera un ouvrage fameux, La Grande Peur des bien-pensants.
    Drumont fonda en 1892 et dirigea le journal La libre parole et fut un leader du camp nationaliste, antidreyfusard et antisémite.
    Après avoir connu succès et notoriété, Drumont finira ses jours seul et démuni, alors que la France est toute tournée vers la ligne de front avec l’Allemagne.

    Drumont élu député

    Charles Maurras, dans son Dictionnaire politique et critique, dit que « la formule nationaliste est ainsi née presque tout entière de lui ; et Daudet, Barrès, nous tous, avons commencé notre ouvrage dans sa lumière. » Plus loin, Maurras ajoute : « Chroniqueur merveilleux, historien voyant et prophète, cet esprit original et libre s’échappait aussi à lui-même. Il ne vit point tout son succès. »
    Léon Daudet (dont le père Alphonse était un ami de Drumont) rendra un puissant hommage à l’écrivain dans son livret Edouard Drumont ou le sens de la race.

    Ecrits de Drumont et autour de lui ici.

    Contre-info.com

     
  • Les soldats français malades de la guerre du Golfe veulent se faire entendre

    Lire: http://www.leparisien.fr/politique/les-soldats-malades-de-la-guerre-du-golfe-veulent-se-faire-entendre-04-02-2013-2538479.php

  • Attaque anti-chrétienne à la bombe, deux jeunes enfants hospitalisés à Kosovska

    Ranjena-deca_bis.jpg Kosovo.jpg

    A l'hôpital de Kosovska Mitrovica, l'enfant et sa maman attendent le médecin

    Deux enfants de 3 et 10 ans ont été victimes d’une attaque à la bombe qui visait une maison serbe dans le quartier mixte appelé « La Petite Bosnie », situé dans la partie nord de Kosovska Mitrovica.

    Les faits se sont produits hier dans la journée. Avant d’être hospitalisés en soins intensifs, les deux enfants jouaient sur la terrasse de leur maison.

    Selon les déclarations des médecins de garde de l'hôpital de Kosovska Mitrovica, Trajce Bogevska et Miroslav Dancetovic : « les enfants ont été pris en charge à la suite de blessures causées par un engin explosif qui a été jeté à travers la fenêtre de leur domicile privé. Les blessures ont été provoquées par des éclats d'obus dans la tête et du cou. Pour l’heure, le pronostic vital n’est engagé ni pour la petite fille ni pour le petit garçon. »

    Au chevet de ses enfants hospitalisés, la maman bouleversée se confiait hier aux journalistes serbes pour exprimer sa peur et alerter les autorités sur les drames quasi-quotidiens dont est victime la population serbe de Kosovska Mitrovica.

    Cette attaque contre un foyer serbe est la deuxième du genre au cours de ces dernières 48 heures.

    Pour Alexandre Vulin, Ministre du Kosovo et de la Métochie « Ceci est une attaque terroriste contre une famille serbe ! Je demande aux autorités internationales présentes sur place de tout mettre en œuvre pour rechercher l’auteur de cet attentat afin qu’il ne reste pas impuni à l’instar de toutes les attaques antichrétiennes dont les Serbes sont victimes depuis des années.»

    Solidarité Kosovo condamne avec la plus grande fermeté cet attentat à la grenade commis contre des enfants. L’association tient à assurer la population serbe du Kosovo de sa plus vive émotion et de son entière solidarité.

    L'équipe de "Solidarité Kosovo"

    PS : les personnes souhaitant nous aider peuvent contribuer au développement de nos activités en nous faisant un don. Par chèque à l’ordre de « Solidarité Kosovo », BP 1777, 38220 Vizille.

    05/02/13

     

  • Marseille: l'attaque du TGV organisée comme un divertissement

     
     
     

    Publié le mardi 05 février 2013 à 10H16

     

    Les suspects ont minutieusement préparé l'opération. Huit mis en examen

    Les enquêteurs ont pu analyser plusieurs vidéos d'après lesquelles ils ont reconstitué l'ensemble de la scène, à laquelle ont participé une trentaine de personnes.

    Les enquêteurs ont pu analyser plusieurs vidéos d'après lesquelles ils ont reconstitué l'ensemble de la scène, à laquelle ont participé une trentaine de personnes.

    Photo Cyril Sollier

     

    Une démarche artistique, un coup d'éclat ou bien un jeu stupide d'adolescents ? Toutes les versions restent encore envisageables après l'"attaque" du TGV Marseille-Nice, samedi en début d'après-midi, à hauteur de la cité Air Bel. Même si le mobile demeure incertain, il est désormais établi que les faits avaient été minutieusement préparés par leurs auteurs, selon un scénario bien réfléchi. Des éléments révélés hier par le procureur de la République, Jacques Dallest, le préfet de police, Jean-Paul Bonnetain, et le directeur départemental de la sécurité publique, Pierre-Marie Bourniquel, ont confirmé cette thèse. Signe du niveau de gravité auquel les autorités ont placé cette affaire, les trois hauts fonctionnaires ont participé de concert à la conférence de presse en détaillant l'acte délibéré. "Il y avait le projet d'arrêter le train et de filmer, précisait Jacques Dallest. C'était organisé, il fallait placer les objets sur la voie, rien n'était improvisé."

    "Il y avait le projet d'arrêter le train et de filmer."

    La justice et les enquêteurs fondent notamment cette démonstration sur la présence de "pétards à griffe". Ces engins pyrotechniques sont utilisés par les techniciens de la SNCF pour arrêter un train en urgence. Un dispositif évidemment inconnu du grand public, mais manifestement bien maîtrisé par les suspects. Les pétards avaient été installés sur les rails, en amont de l'attaque et lorsque le chauffeur a freiné, il s'est retrouvé précisément au niveau de la cité Air Bel (11e), où les assaillants ont commencé à se regrouper autour de la rame, en agitant des fumigènes dérobés à l'intérieur de la motrice. Parmi les dix personnes arrêtées, huit ont été mis en examen, notamment pour "destruction ou détérioration d'un bien appartenant à l'autorité publique, entrave à la circulation ferroviaire et vol en réunion". Le parquet a requis hier des mesures de contrôle judiciaire pour les suspects. Quatre mineurs figurent parmi eux, dont le plus jeune est âgé de 13 ans et demi. Le plus âgé, un homme de 36 ans, portait la caméra professionnelle qui filmait la scène. Durant sa garde à vue, il a continué à évoquer "un mouvement spontané, dans un souci ludique et artistique".


    La version du producteur : "On a été dépassé, c’est sûr !" (Zam)

    Il s’appelle Zam, de Soli Music et il est depuis dix ans sur la place marseillaise. "C’est un incident, nous assure-t-il. Nous, on invite le monde pour faire passer des messages qui soient autres que négatifs sur les cités de Marseille. On l’a fait à la Castellane, la Solidarité, la Marine Bleue, la Savine ou encore à la Sauvagère. Le nom de notre clip, c’est "Rassemblement". Du coup, Zam volait hier au secours de Daniel, son réalisateur, placé en garde à vue : "Libérez notre caméraman, il n’y est pour rien ! On a été dépassés, c’est sûr. Quand il y a un effet de masse, ça peut dérailler !" Zam joue sans le savoir de la métaphore ferroviaire. Dépassés par les jeunes d’Air Bel ?

    Et de nous expliquer que son groupe en est à sa "troisième session" et que déjà 21 artistes ont accepté d’aller ainsi à la rencontre des cités de Marseille. "Dès qu’on est arrivés, le train était stoppé. On n’est pas des pirates ! insiste-t-il. On n’avait pas besoin de faire du buzz. Beaucoup de choses peuvent déraper dans la vie. Nous, notre message, c’était juste de dire qu’il y a des talents dans les cités des quartiers Nord de Marseille."

    La Provence

  • Fertilité: trop de télé nuirait gravement à la qualité du sperme

    sans-titre.png simpson devant la télé.png

    Messieurs, il est temps de lâcher la télécommande... et de se mettre au sport ! Une étude vient de révéler que les accrocs à la télévision seraient moins fertiles que les autres, tandis que les sportifs acharnés auraient un sperme de meilleure qualité. C'est ce qu'ont montré des chercheurs de l'école de publique de Harvard (Harvard Public School, à Boston, Etats-Unis), qui publient leur , ce mardi, sur le site de la revue britannique British Journal of Sports Medicine.

    20 heures de télé contre 15 heures de sport

    Cette enquête, menée sur un échantillon de 129 hommes de 18 à 22 ans, a montré que le sperme des hommes passant plus de 20 heures par semaine devant leur petit écran avait une concentration en spermatozoïdes de 44% inférieure à ceux qui restaient très peu de temps scotchés à leur écran.

     

                     A contrario, le sperme des mâles qui font de l'exercice physique au moins 15 heures par semaine contient 73% de spermatozoïdes de plus que les fainéants qui font moins de 5 heures de sport durant la même période.

    LeParisien.fr -04/02/13

    NdB: Ce qui est à craindre pour tous, c'est le lavage de cerveau !

  • En Inde, Trierweiler sera traitée en "épouse"

    sans-titre.png  Inde.png

     

    Le protocole indien se relâche... Lors de la visite d'état qu'effectuera en Inde François Hollande, les 14 et 15 février, sa compagne Valérie Trierweiler sera traitée en "épouse". En 2008, Carla Bruni n'avait pas eu cette chance.
     
    Tapis rouge pour Valérie ! C'est en "first lady" qu'elle débarquera en Inde, un pays dans lequel elle a effectué plusieurs voyages en tant que journaliste, notamment lorsqu'elle "couvrait" les voyages présidentiels. La presse indienne en est tout émoustillée.
     
    "Delhi V-Day, red carpet for Valérie", écrit le quotidien Asian Age, qualifiant la compagne du président de "femme redoutable de l'Elysée". Tous les honneurs réservés aux épouses des chefs d'état seront donc rendus à Valérie Trierweiler lors de ce déplacement éclair, les 14 et 15 février. Outre le volet politique de la visite à New Delhi, le couple pourrait se rendre à Bombay.
     
    L'"Indian Express" rappelle le casse-tête qu'avait constitué le voyage officiel de Nicolas Sarkozy en Inde en 2008, alors que Carla Bruni n'était que la "petite amie du président". "Le ministère indien des Affaires étrangères avait fait savoir à Paris que Carla Bruni n'aurait pas le rang de 'first lady', obligeant l'ancien mannequin à se désister alors qu'elle avait prévu d'accompagner Nicolas Sarkozy au Taj Mahal", écrit le journal. Celui-ci s'était rendu seul au superbe mausolée érigé par l'empereur moghol Shah Jehan à la mémoire de Mumtaz, son épouse préférée. Mais, rappelle l'Indian Express, il avait promis d'y retourner avec Carla. Promesse tenue deux ans plus tard... Entre temps, le président avait épousé sa "Mumtaz".
     
    La visite de François Hollande en Inde ne devrait pas donner lieu à des annonces fracassantes et devrait plutôt se borner à un suivi des dossiers déjà en cours. Dont celui du nucléaire civil et la vente aux Indiens de 126 Rafale.
     
     
  • Hollande sort son revolver, ses amis parlent de culture

      

    bourrage de crane

    Nos avions frappent des « bases logistiques », des « camps d’entrainement » désertés, nos troupes pénètrent dans des villes vides de dhjihadistes qui se sont évaporés dans la nature…Gageons que les coups les pus durs qui seront assénés aux groupes armées islamistes le seront pas nos forces spéciales lesquelles par définition agissent dans l’ombre et hors des « conventions » de la guerre classique. C’est un discours a contrario bien conventionnel que François Hollande a tenu samedi, lors de sa visite éclair au Mali, à Bamako.

    Le chef de l’Etat a exhorté les militaires français à «être exemplaires » et à respecter « les droits de l’homme. » Les djihadistes qui tomberont sous les coups de nos soldats de la paix et du camp du bien, seront donc tués dans le respect des immortels principes, ce qui est un motif de satisfaction d’une hypocrisie foncièrement socialiste.

    Mais surtout, pour écarter l’accusation infamante de néo-colonialisme qu’entraîne cette intervention militaire, François Hollande a utilisé un vocabulaire choisi. Il a évoqué la « dette » que la France paierait aujourd’hui par cette intervention aux Maliens et aux Africains qui se sont battus dans nos troupes… coloniales. Tartufe pas mort…

    Le même jour en France, le TGV assurant la liaison Marseille-Nice était attaqué par une bande d’une vingtaine de « jeunes »…très jeunes, apparemment âgés de 15 à 20 ans. Ils sont parvenus à immobiliser le train sur la voie avant de tenter de pénétrer dans les rames.

    « On est revenu à l’époque de l’attaque des diligences, on est en plein Far West. Nous avons déjà eu à Marseille des attaques de trains de marchandises dans les quartiers Nord, et des agressions régulières sur les contrôleurs, maintenant on a franchi un cran supplémentaire dans le sud de la ville avec cette attaque hors normes », a estimé David-Olivier Reverdy, du syndicat de policiers Alliance.

    Lors de leur intervention, les forces de l’ordre ont été accueillies à coups de jets de pierre puisque les assaillants avaient stoppé le TGV à hauteur de la cité Bel Air dans le 11e arrondissement, un quartier lui aussi très jeune de Marseille.

    Une dizaine d’entre eux ont été arrêtés. Le lendemain c’est cette fois dans le train circulant entre Perpignan et Avignon que les « jeunes » ont montré leur talent en frappant un contrôleur et en le menaçant avec un couteau alors qu’ils bloquaient les portes, empêchant le train de repartir de la gare de Frontignan.

    Pour en revenir à l’attaque du TGV Marseille-Nice, la presse a rapporté, citant quelques « sources », que l’objectif des jeunes aurait était de faire du buzz sur Internet, dans le cadre d’un clip promotionnel pour un groupe de rap.

    Si c’est au nom de la culture urbaine, ne doutons pas que nos jeunes artistes devraient bénéficier de circonstances atténuantes, tant il est vrai que douter de la pertinence du concept de culture jeune expose à des risques d’excommunication hors du champ républicain.

    Nous l’avons vu encore en fin de semaine dernière avec les réactions suscitées par le geste rabelaisien de Bruno Gollnisch contestant « les décisions culturelles de la région, qui subventionne à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d’euros des groupes musicaux » aux propos particulièrement obscènes.

    Il a fallu cette réaction symbolique pour que les médias rapportent, même si ce fut souvent de manière partiale et tronquée, le combat du groupe FN en Rhône-Alpes notamment, contre le gaspillage des impôts des contribuables.

    TF1, Libération, Le Figaro, BFM TV Le Parisien, La provence, 20 minutes, Europe 1, , France 3 le Progrès de Lyon, La dépêche, directmatin.fr , le Huffington post, Le Point, Le Nouvel obs, des dizaines de blogs d’information se sont fait l’écho de cette séance au Conseil régional.

    Il est intéressant de noter que dans neuf cas sur dix, les sites des médias concernés, à l’instar de la dépêche de l’ AFP, n’ont pas vraiment cité les paroles les plus choquantes du groupe « Brice et sa pute » que l’exécutif régional entend promouvoir.

    Au nombre des commentateurs offusqués par la réaction de Bruno, le plus (involontairement) drôle fut Yves Delahaie « Ex-MoDem, prof, auteur », dont la prose (déjà citée par nous) est hébergée par un blog du Nouvel Obs

    « J’ai toujours été de ceux qui se sont offusqués du verrouillage de nos institutions avec le refus de la proportionnelle afin de faire le barrage au Front National a-t-il notamment écrit. Ne serait-ce que parce qu’il est inefficace à partir du moment où le parti de Marine Le Pen flirte avec les 20%. »

    «Mais, poursuit-il, il faut bien avouer que les élus FN ne font rien pour légitimer leur présence parmi les représentants de la République. Surtout quand on se souvient que le même Bruno Gollnisch avait déjà provoqué un coup de force à l’Assemblée nationale en 1987. »

    En fait de coup de force, le citoyen Delahaie cite un livre de Renaud Dély qui évoque ce fameux soir du 10 octobre 1987 ou, pour mettre en lumière « l’absentéisme des députés, les élus frontistes avaient (enfreint le règlement) pour tourner les clés de vote électronique de leurs adversaires ». La république en tremble encore !

    Ce que ni lui M. Dély n’ont compris ( ?), c’est qu’au cours de ce débat relatif à la répression du trafic de drogue, l’absentéisme des élus partis du Système –à l’exception de 6 élus, toutes tendances confondues- était tout sauf anodin et donnait lieu à chaque vote à un tournage des clés, qu’ILLÉGALEMENT les députés de droite comme de gauche laissaient sur leur pupitre.

    Enfin, avait été greffé sur ce texte, en violation de la constitution, une disposition qui préfigurait la loi Gayssot et qui prétendait interdire certaines revues historiques hétérodoxes, ce qui n’avait rien à voir avec le débat initial sur la drogue.

    «Oui extrémiste, il (Bruno Gollnisch, NDLR) l’est assurément affirme cependant M. Delahaie. Et ces attitudes sont tout simplement indignes de notre République. Montrer ses fesses à l’Assemblée, voter à la place d’un autre élu, voler le perchoir… Autant de forfaits qui siéent mal à celui qui se revendique de la tradition et des valeurs de la France. Autant de preuves, après tant et tant d’autres, qui confirment la véritable nature d’un parti extrême, d’extrême droite. Sans l’ombre d’un doute. »

    Si M. Delahaie s’échine à faire trembler le lectorat bobo, qui en matière de culture peut toujours faire son éducation avec les petites annonces si rafraîchissantes du Nouvel Obs, le FN tente tout simplement de briser l’ostracisme médiatique, de faire entendre la voix de la raison , y compris dans le fameux « domaine culturel »

    Le site Rue 89 Lyon le résume assez maladroitement en affirmant que « le FN s’est globalement fait une spécialité de la contestation des propositions portant sur le domaine culturel, refusant systématiquement les subventions attribuées à des compagnies, des associations ou des groupes, plus particulièrement quand le propos tenu ne lui convient pas »

    Relevons en guise de conclusion qu’il est très révélateur de la décadence française et occidentale que ce qui devrait ressortir du simple « divertissement » auditif -il en faut après tout pour tous les goûts-, puisse, par un incroyable glissement sémantique, par démagogie, jeunisme ou réelle confusion, être apparenté au « domaine culturel ».

    Des rebelles en carton pâte financés par les impôts des bourgeois et autres céfrans qu’ils méprisent, là aussi le symbole est parlant et résume bien la victoire (les dégâts) de l’idéologie soixante-huitarde et libérale-libertaire.

  • Mali: Hollande exprime sa "gratitude" à Biden

     VIDEO: http://videos.tf1.fr/infos/2013/mali-hollande-exprime-sa-gratitude-a-biden-pour-le-mali-7809554.html

     

     

  • Drame de Port-Royal: la maternité n'était pas surchargée

    Selon les premiers éléments de l'enquête sur le décès in utero d'un bébé alors que sa mère s'était présentée à la maternité de Port-Royal, le choix de la renvoyer chez elle était une décision médicale. Il ne s'agirait pas de saturation du service comme évoqué un temps.

    La prise en charge de la patiente n'a pas été "jugée médicalement nécessaire". Ce sont les mots du communiqué de presse de l'AP-HP, Assistance publique des hôpitaux de Paris, publié lundi soir. Le document indique également que les effectifs soignants et les lits disponibles étaient en nombre suffisant. En substance donc, ce ne serait pas parce que le service était saturé que la jeune femme aurait été renvoyée chez elle à deux reprises.

    Les effectifs étaient au complet, indique même l'AP-HP qui précise que les résultats d'une enquête approfondie sur le décès de l'enfant à la clinique Port-Royal, dans le XVe arrondissement, sont attendus pour le début du mois de mars. Cette enquête administrative et médicale a été demandée par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, tandis que des investigations judiciaires ont été ordonnées par le parquet.

    Le mari de Deborah, dont le bébé est mort en fin de semaine dernière, a porté plainte après que la mère eut été renvoyée chez elle par le personnel de la maternité Port-Royal où son accouchement, jugé à risques, était programmé. Le couple a mis en cause l'établissement hospitalier et son service "débordé", qui aurait expliqué, selon le couple, ne pouvoir les prendre en charge faute de chambre disponible.

    Une autre affaire ?

    Patrick Houssel, directeur des hôpitaux universitaires du groupe Paris Centre à l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, dont dépend Port-Royal, avait déjà affirmé dimanche sur France Info que des lits étaient disponibles jeudi à la maternité. Une triple enquête (médicale, administrative et judiciaire) a été ouverte sur la mort in utero d'un bébé dans cette maternité, décès imputé par les parents à la saturation de l'établissement. L'autopsie du bébé pourrait avoir lieu mardi, selon une source judiciaire. (Lire : Mort d'un bébé in utéro à Paris : Pelloux réclame une enquête parlementaire)

    Lundi, l'avocate d'une autre patiente dont le bébé est mort en 2011 lui aussi in utero a indiqué qu'elle allait déposer plainte "dans les jours qui viennent" au nom de la jeune femme. Celle-ci était suivie pour une "grossesse à risque" à la maternité de Port-Royal, à Paris, a déclaré Me Nedjma Abdi. En fin de grossesse, elle s'était présentée le 24 novembre à la maternité. La sage-femme qui l'avait reçue l'aurait renvoyée chez elle, expliquant que le "col de l'utérus n'était pas encore suffisamment dilaté", a expliqué Me Abdi.

    04/02/13