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Blog - Page 1076

  • La Mordovie offre à Depardieu une maison et le ministère de la Culture

    L’acteur français Gérard Depardieu, qui a reçu la veille un passeport russe, sur décision du président Vladimir Poutine, a été accueilli dimanche en grande pompe dans la région de Mordovie (Volga) où on lui a offert le poste de ministre de la culture et une maison.

    A sa descente d’avion à l’aéroport de Saransk, ville de 300.000 habitants et capitale de la Mordovie (640 km à l’est de Moscou), Depardieu a été accueilli en fanfare par le gouverneur de la région et des femmes en costumes traditionnels qui ont chanté sur le tarmac.

    « Gérard Depardieu a été accueilli comme un héros » à Saransk, a indiqué une journaliste de la chaîne de télévision russe d’informations en continu Russie 24, ajoutant que l’acteur était venu fêter Noël orthodoxe, célébré le 7 janvier.

     

    Portant un manteau et une chemise à col ouvert, l’acteur français a aussitôt exhibé son nouveau passeport russe devant une nuée de caméramen et photographes qui l’attendaient à l’aéroport sous la neige.

    « Je suis très content, c’est très beau ici », a déclaré Depardieu, selon l’agence Interfax.

    Rencontre avec Poutine

    Le président Vladimir Poutine a accordé la citoyenneté russe à Gérard Depardieu qui a annoncé vouloir quitter la France et rendre son passeport français pour échapper à des impôts qu’il juge trop lourds.

    Peu après, l’acteur s’était félicité de ce geste dans une lettre où il exprimait son amour pour la Russie et pour le président russe.

    Il y faisait aussi l’éloge de la démocratie dans ce pays, ce qui a provoqué un concert de critiques en Russie et à l’étranger.

    Le Kremlin a confirmé dimanche que Depardieu avait reçu son passeport russe samedi soir lors d’une « brève rencontre » avec Vladimir Poutine dans la résidence présidentielle de Sotchi, sur les bords de la Mer Noire.

    La télévision russe a diffusé des images montrant une rencontre très informelle entre Depardieu et Poutine, qui se sont donnés une chaleureuse accolade.

    Atmosphère cordiale

    Vêtu de façon décontractée, en chemise blanche et veste sombre, l’acteur a demandé au président, en le tutoyant, s’il avait vu son nouveau film, une co-production franco-russe, où il interprète Raspoutine.

    « Est-ce que tu as vu mon film ? Je te l’ai envoyé », entend-on l’acteur demander à Poutine, dans une atmosphère manifestement très détendue.

    « Gérard, es-tu satisfait de ton travail ? », questionne à son tour le président russe, lui aussi en chemise sans cravate. « Je suis vraiment très satisfait de tout », répond Depardieu, en louant les acteurs russes qui jouent dans le film avec lui.

    A la question de savoir si Depardieu avait reçu le passeport de la main de M. Poutine, son porte-parole, Dmitri Peskov, a répondu par la négative, sans donner plus de détails.

    « L’acteur est en Russie en visite privée », a indiqué un communiqué du Kremlin.

    Ministre de la Culture de Mordovie

    En Mordovie, le gouverneur de la région, Vladimir Volkov, a offert au citoyen russe Depardieu de choisir un appartement ou un endroit pour se faire construire une maison, au milieu d’une forêt et près d’une rivière, selon l’agence Itar-Tass.

    Selon une source locale citée par l’agence Ria Novosti, le gouverneur a même proposé à l’acteur de devenir ministre de la Culture de Mordovie : « si M. Depardieu le souhaite, nous pouvons lui proposer ce poste », a-t-il dit.

    Au cours de ce séjour en Mordovie, en présence de nombreux journalistes russes, Depardieu a demandé aux représentants des médias français de quitter la salle, selon la télévision russe.

    Camps de prisonniers et Pussy Riot

    La Mordovie est moins connue pour ses attraits touristiques que pour la vingtaine de camps de prisonniers qu’elle abrite aujourd’hui, et dont la création remonte à l’époque stalinienne, quand ils faisaient partie du Goulag.

    L’une des deux jeunes femmes membres du groupe Pussy Riot, condamnées à deux ans de camp pour une prière anti-Poutine en février 2012, purge sa peine en Mordovie.

    Les médias russes, qui ont accordé une large couverture à la visite de Depardieu, ne précisent pas combien de temps l’acteur français envisage de rester en Russie.

    Mardi en France, au tribunal

    Depardieu doit comparaître mardi devant un tribunal de Paris pour conduite en état d’ivresse fin novembre.

    Très célèbre en Russie, Depardieu apparaît régulièrement dans diverses publicités, notamment pour la banque Sovietski et pour une marque de ketchup.

    Ouest-France - 06/01/13

  • Najat Vallaud-Belkacem a défendu le mariage gay dans un collège


    Najat Vallaud-Belkacem dans un collège pour... par BFMTV

    En visite dans une école du Loiret en octobre, Najat Vallaud-Belkacem présentait le mariage homosexuel comme « une avancée ». La porte-parole du gouvernement se défend aujourd’hui de tout « prosélytisme ».

    La consigne de Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale, qui a jugé hier qu’il ne lui semblait pas « opportun » d’importer le débat sur le mariage gay à l’école, n’a pas toujours été scrupuleusement respectée par les membres du gouvernement, souligne-t-on chez les opposants à ce projet de loi.

    Lors d’une visite dans un collège du Loiret cet automne, la ministre du Droit des Femmes, Najat-Vallaud Belkacem, a présenté le « mariage pour tous » comme une « avancée ». « Cela va permettre plus d’épanouissement. Plus de liberté. Plus d’égalité dans la société », a-t-elle dit à une assistance d’une dizaine de collégiens dans le cadre d’une action de sensibilisation à la lutte contre l’homophobie, selon des images prises par BFM-TV.

    Source

     

  • Bachar al-Assad a proposé un plan du règlement de la crise

     

     

    6.01.2013, 18:25, heure de Moscou
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    башар асад обращение сирия

     
    © Vesti.Ru

    Le président de Syrie Bachar al-Assad a appelé le conflit armé se prolongeant dans le pays dès le mois de mars de 2011 « la lutte de la nation contre les extrémistes couvant les idées d'Al-Qaïda ». Dans son appel au peuple syrien dimanche, le 6 janvier, Asad a proposé un plan du règlement de la crise.

    D’après l'avis de Bachar Assad, pour le règlement de la crise en Syrie, il faut que les sponsors étrangers des adversaires du régime fassent le premier pas. Les États étrangers doivent s’engager à cesser le soutien financier des extrémistes. Après cela, il faut convoquer la conférence gouvernementale sur le dialogue national. Et la création du nouveau gouvernement, puis l'amnistie générale deviendront la troisième étape du processus du règlement pacifique.

    Le plan est bon, cependant Assad a passé sous silence une chose importante – s'il partira ou non en démission, souligne l'expert de l'Institut du Proche-Orient Sergei Seregitchev.

    L'amnistie est une bonne chose, la formation du gouvernement aussi. Mais la figure du président est centrale dans la structure moderne du pouvoir syrien. Et plusieurs choses dépendent de celui qui occupera ce poste. C'est pourquoi, nous pouvons avoir la situation suivante – les opposants modérés seront mécontents parce qu'Assad n'a pas dit quand il partira. Et les radicaux diront que c’est tout, le régime s'est déjà essoufflé, pourquoi se réconcilier avec celui se trouve déjà à un pas de la fin, nous l'achèverons. Ils diront que le régime fait des manœuvres, fait durer le temps.

    Dans son intervention, Bachar Assad a traité les rebelles de criminels et de marionnettes de l'Ouest, avec qui on ne peut pas entrer en dialogue. Il a marqué qu’il ne voyait pas de partenaires pour les négociations sur le règlement du conflit dans le pays. D'autre part, Assad a souligné que les pouvoirs de Syrie ne rejetaient pas dès le début la possibilité de la solution politique de la crise, remarque le chef du Centre de l'étude du Proche-Orient moderne à Saint-Pétersbourg Goumer Isaev.

    C'est un moment très important, puisque les forces qui soutiennent l'opposition syrienne par l'argent et les armes, comprennent que pour le moment, la situation est sans issue. Bien que les opposants fassent des actes de sabotage, des attentats et que certains territoires soient mal contrôlés par les militaires syriens, on peut dire que l'opposition n'a pas réussi à renverser le pouvoir d'Assad et à obtenir des succès sérieux. En Syrie il n'y a même pas de ville-îlot de résistance, comme, par exemple, la ville de Benghazi en Libye. C'est pourquoi des initiatives aussi sérieuses avec la proposition de la création d’un gouvernement du sauvetage national, avec la participation des différentes forces, y compris des opposants modérés, c’est une variante qui pourrait être réalisée.

    Bachar Assad a rappelé au peuple que la protection du pays contre les ennemis était un devoir de tous les citoyens syriens. Il a déclaré que la Syrie était reconnaissante à la Russie et à la Chine, ainsi qu’à d'autres États qui n'ont pas admis l'intervention étrangère dans les affaires intérieures du pays. Assad a promis au peuple que la Syrie resterait un pays libre et indépendant.

    La réaction aux propositions d'Asad ne s'est pas tardé. La coalition nationale de l'opposition syrienne a déclaré qu’elle n’allait pas accepter la proposition du règlement pacifique du conflit dans le pays.

    La Voix de la Russie

  • Comme de bien entendu (1939)

    Chanson : "Comme de bien entendu" paroles de Jean Boyer (éditions musicales : Sam-Fox)
    Chantée par : Michel Simon, Suzanne Dantès, Arletty, Andrex ...
    Extrait du film: " Circonstances atténuantes" , Jean Boyer 1939
    Comme de bien entendu est le titre d'une chanson populaire interprétée par Arletty et Michel Simon dans le film Circonstances Atténuantes (1939).
    Les paroles sont de Jean Boyer et la musique de Georges van Parys.

  • Mariage homo: la mobilisation bat son plein

    sans-titre.png Mariage homo.png

     

    5 janvier 2013

     

     
     

    05/01/2013 – 08h00
    PARIS (NOVOpress) –
    Les indicateurs sont au vert pour les opposants au mariage homosexuel, que le pouvoir socialiste cherche à imposer. La grande manifestation nationale contre la remise en cause la filiation humaine, organisée à Paris le dimanche 13 janvier, s’annonce ambitieuse. « Six cents cars sont déjà recensés, et les cinq trains supplémentaires spécialement affrétés pour l’occasion sont déjà presque remplis », témoigne Tugdual Derville, d’Alliance VITA, coordinateur de la mobilisation dans les régions. Le 13 janvier prochain, à 13 heures, trois cortèges en faveur de la famille s’élanceront à Paris, porte d’Italie, dans le XIIIème arrondissement, porte Maillot dans le XVIIème arrondissement et place Denfert-Rochereau dans le XIVème arrondissement. Le chiffre des 500.000 manifestants pourrait être atteint.

     

    Autre signe positif : les Français sont de plus en plus favorables à un référendum sur la question. Un sondage IFOP pour Valeurs actuelles, publié jeudi, révèle que 69 % des sondés pensent que les Français devraient « être appelés à décider par référendum ». Toutes les générations souhaitent une consultation populaire : 70 % des moins de 35 ans sont favorables à un référendum et 69 % chez les plus de 35 ans. Adopté en Conseil des ministres le 7 novembre dernier, le projet de loi pour le mariage des couples homosexuels ainsi que le droit à l’adoption sera examiné à l’Assemblée nationale à la fin du mois de janvier.

    Henri Guaino, député des Yvelines, veut aussi un référendum sur ce sujet. « Ce projet ne peut pas être adopté par une simple loi, une loi ordinaire dans l’enceinte du Parlement, a-t-il plaidé. Tout de même, pour faire voter les étrangers aux élections municipales, il faut changer la Constitution (…) Je ne demande qu’une chose : sur un tel projet, dont la ministre de la Justice dit elle-même que c’est un changement dans la civilisation, eh bien un changement dans la civilisation ça n’est pas au Parlement tout seul d’en décider, c’est au peuple. Monsieur le Président de la République, donnez la parole au peuple », a-t-il déclaré vendredi au micro d’Europe 1. Dommage seulement que l’ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy n’ait pas eu le courage d’exiger un tel appel au peuple sous le mandat de son ex-mentor, sur de nombreux enjeux cruciaux pour l’avenir des Français : immigration, islamisation, Europe…

    Crédit photo : redking via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Quand Frigide Barjot célébrait un mariage homosexuel

    Lire l'article: http://www.leparisien.fr/societe/quand-frigide-barjot-celebrait-un-mariage-homosexuel-05-01-2013-2456475.php

  • On lui retire sa légion d’honneur pour faits d’OAS !

     

    Jean-François Collin

    Vu sur Le Gaulois :

    « Les bassesses se succèdent. Les socialistes décorent un imam de la Légion d’Honneur mais la retirent à Jean-François Collin, un Ancien Combattant mutilé pendant la guerre d’Algérie. Prétexte invoqué par la mafia socialiste : il a appartenu à l’OAS.
    Nous avons vraiment à faire à un État pourri jusqu’à la moelle qui patauge en pleine trahison !
    Les socialistes et leurs vassaux auront un jour des comptes à rendre ! Et ils le savent. C’est pourquoi « les chacals craignent pour leur peau… »
    Ainsi, cet ex-membre de l’Organisation de l’Armée Secrète (OAS) s’est vu retirer sa Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur. Elle lui avait été décernée en 2011 à titre militaire comme mutilé de guerre en Algérie.
    Rappelons ici que François Hollande est Grand Maître de l’Ordre en « qualité » de président de la république. Cette décision inique croit pouvoir s’appuyer sur l’article R96 du code de la Légion d’Honneur qui stipule que les peines disciplinaires (censure, suspension totale ou partielle, exclusion) « peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l’honneur ». Comme si l’appartenance à l’OAS était un manquement à l’Honneur !…
    Or, de plus, les membres et les faits relatifs à l’OAS ont été amnistiés depuis longtemps .

    C’est à cet « homme » qu’il devrait être interdit d’arborer la Légion d’Honneur !

    * Marc Noé a été président de la section UNP-Essonne qu’il avait faite baptiser « Section Colonel Jeanpierre – 1er REP » avec Pierre Sergent pour parrain.

    Amnisties de l’OAS
    Dès le mois de décembre 1964, les prisonniers OAS condamnés à des peines inférieures à quinze ans de détention sont amnistiés, car il s’agit de prisonniers politiques.
    En mars 1966, une centaine de condamnés est graciée et, trois mois plus tard, une seconde loi d’amnistie efface les condamnations des condamnés libérés.
    Le général Jouhaud, condamné à mort le 13 avril 1962, passe 235 jours dans une cellule de condamné à mort, sa peine est commuée en perpétuité, il est libéré en décembre 1967.
    En 1968, des anciens de l’OAS rencontrent Jacques Foccart pour lui proposer leur ralliement au régime gaulliste contre la «chienlit» et demander l’amnistie des membres de l’organisation encore incarcérés, ce qu’ils obtiendront.
    Cette amnistie est promise par De Gaulle à Massu, lors de sa visite à Baden Baden.
    En juillet 1974, une amnistie complémentaire efface d’autres condamnations pénales.
    En décembre 1982, les officiers survivants sont réintégrés dans les cadres de l’armée par une nouvelle amnistie (loi du 24 novembre 1982). C’est ainsi que le Capitaine Pierre Sergent, Chef de l’OAS-Métropole, atteindra le grade de Colonel de Réserve.
    En 1987, une loi sur les rapatriés amnistie les dernières condamnations encore effectives.»

    Contre-info.com

  • La France horrible - Sorti de l’hôpital, un SDF de 72 ans est remis à la rue presque nu à Toulon

     

    Déplorable ! C’est un ancien combattant et c’est ainsi que la France le remercie ? Certains ont eu la Légion d’honneur pour moins que cela, lui, ne demande qu’un toit !

    Cette scène incroyable s’est déroulée le 31 décembre devant les portes closes, à ce moment-là, du SAMU social à Toulon.

    Pris en charge à l’hôpital Sainte-Anne, puis à La Seyne pour une infection pulmonaire et une plaie à la jambe, un marginal impotent, ancien combattant, a été déposé sur le trottoir à l’issue de ses soins par les ambulanciers, dans une simple chemise hospitalière et sans son fauteuil roulant.

    Informé par les membres du SAMU social, Gilles Rebèche, délégué épiscopal de la solidarité du diocèse Fréjus/Toulon a pris les choses en main et finalement trouvé, jeudi, une solution d’hébergement pour le vieil homme.

    Source : Var Matin

  • Hollande soutient Peillon concernant les écoles privées

    LOUVIERS, Eure (Reuters) – François Hollande, a apporté samedi, au nom de la laïcité, son soutien au ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, qui s’est inquiété d’une éventuelle introduction dans les écoles privées du débat sur le mariage homosexuel.

    « La laïcité, c’est un principe de la République » et « chacun doit y veiller », a déclaré le président de la République à la presse en marge d’un déplacement à Louviers, dans l’Eure.

    « La laïcité, c’est le respect des consciences », a-t-il ajouté. « Nous devons faire en sorte que toutes les sensibilités soient respectées, que toutes les religions puissent être pratiquées et en même temps, il y a une règle qui s’appelle la vie commune et il y a un principe qui s’appelle la neutralité de l’Etat et notamment dans les établissements d’enseignement sous contrat comme les établissements de service public ».

    Le secrétaire général de l’enseignement catholique a envoyé en décembre une lettre à ses chefs d’établissements, leur rappelant l’opposition de l’Eglise au projet de « mariage pour tous » et suggérant la tenue de débats à ce sujet.

    Le ministre de l’Education nationale a dit voir dans cette démarche une « faute » et annoncé vendredi aux recteurs l’envoi d’un courrier leur demandant « la plus grande vigilance » par rapport à ces établissements.

    « Il ne me semble pas opportun d’importer dans l’école le débat sur le mariage pour tous. Je considère même qu’en adressant une lettre aux chefs d’établissement, le secrétaire de l’enseignement catholique a commis une faute », dit Vincent Peillon.

    « PRINCIPE DE NEUTRALITÉ »

    « Cet enseignement, qui est sous contrat avec l’Etat, doit respecter le principe de neutralité et de liberté de conscience de chacun », ajoute-t-il.

    Les propos du ministre ont provoqué une polémique et des critiques de l’opposition de droite.

    Sur Radio Notre-Dame, le cardinal archevêque de Paris, André Vingt-Trois, a défendu le droit de débattre du projet de loi avec les parents d’élèves et dénoncé l’existence d’une « police de la pensée ».

    « S’il n’y a aucun lieu de débat possible, alors à ce moment là ce n’est plus la peine de parler de réflexion ou d’échange respectueux les uns des autres, c’est-à-dire qu’il y a une doctrine officielle et une police de la pensée », a-t-il déclaré.

    Dans Le Figaro de samedi, l’ancien ministre UMP de l’Enseignement supérieur Laurent Wauquiez évoque « une grande manipulation politique qui cherche à faire culpabiliser les chrétiens et à faire croire que l’opposition au mariage homo et à l’adoption est le fait d’une minorité. »

    Une manifestation contre le projet de mariage homosexuel, auquel toutes les religions monothéistes sont opposées, est prévue dimanche 13 janvier.

    Le texte introduisant cette réforme a été présenté le 7 novembre en conseil des ministres. Il doit être soumis à l’Assemblée nationale fin janvier.

    Deux millions d’enfants, soit quasiment un sur cinq, sont scolarisés dans le privé en France.

    Elizabeth Pineau, avec Yann Le Guernigou, édité par Jean-Loup Fiévet

    BOULEVARD  VOLTAIRE - 05/01/13

  • Une crèche vandalisée dans le Finistère

    sans-titre.png Chateaulin.png

    Reçu d’un lecteur cette information qui ne fait aucun bruit dans le Landernau médiatique et politique :

    « Je me permets de vous écrire pour vous transférez une photo prise hier à Châteaulin , sous-préfecture 29, en pleine ville devant l’office du tourisme. Les visages de Saint Joseph et de la Sainte Vierge ont été sciés, la mangeoire renversée et le petit Jésus a disparu ».

    Saint Joseph et la Vierge Marie décapités… cela ne vous rappelle rien ?

    Source : Le Salon Beige

    Observatoire de la christianophobie - 04/01/13

  • Concert du Nouvel An 2013 par l' Orchestre philharmonique de Vienne

    Sous la direction de Franz Welser-Möst

    (Regarder la vidéo en mode Plein écran)

  • Aujourd'hui Fernandel serait condamné pour... homophobie


    FERNANDEL ON DIT QU'IL EN EST CLIP CHANSON LIVE... par kirivalse

    Fdesouche - 04/01/13

  • Manifestation du 13 janvier : "Oui à la famille, non au mariage homo"

     

    Communiqué d’Alain Escada, président de Civitas

    Le 13 janvier, nous ferons entendre un message de vérité !

    Oui, il faut manifester le 13 janvier prochain pour dire NON au « mariage » homosexuel et à l’adoption d’enfants par les duos homosexuels. Mais manifester comment ?

    Pour bien agir, il faut d’abord penser juste et voir loin. J’ai déjà exprimé mon avis sur Mme Barjot et ses « dérapages » verbaux dont la répétition ne peut laisser penser qu’ils sont accidentels. Pour autant, il reste indispensable de manifester ce jour-là dans les meilleures conditions et c’est pourquoi CIVITAS, avec l’appui de nombreux autres mouvements, vous fixe rendez-vous à 13h place Pinel dans le 13ème arrondissement (métro Nationale). D’emblée, afin d’éviter toute interprétation erronée, je précise que nous n’avons pas été maîtres du choix de notre point de départ. Mais je veux maintenant m’entretenir avec vous d’une vision à long terme de la bataille engagée pour défendre la Famille, le mariage et la parenté, et me baser pour cela sur les déclarations du Président de la République et de ses ministres.

    À tous les Français de bon sens : manifester contre l’homophobie ?

    Lorsque les organisateurs de la « Manif pour tous » affirment que le 13 janvier, ceux qui marcheront avec eux devront aussi le faire « contre l’homophobie », reprenant à leur compte un concept inventé par le lobby homosexuel, ils commettent une faute grave dont il est important de mesurer les conséquences pour l’avenir.

    En effet, il est bon de rappeler que François Hollande et son gouvernement ont dans leurs tiroirs une série d’autres projets législatifs qui devraient venir compléter celui sur l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe et la possibilité pour eux d’adopter des enfants. François Hollande a ainsi prévu de rétablir un dispositif public spécifique de lutte contre les « discriminations » « doté des moyens adaptés » sur le modèle de la Halde (Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) de sinistre mémoire. C’est cette Halde (créée en 2005 et dissoute en 2011) qui fut à l’origine d’un méchant procès fait au député Christian Vanneste. M. Hollande a précisé que les associations LGBT seront représentées au sein de cet outil répressif. En outre, M. Hollande a prévu que soient ajoutés aux motifs de « discriminations » condamnables « l’identité du genre », au même titre que « l’orientation sexuelle », imposant de la sorte un affermissement du terrorisme intellectuel.

    Dans le même ordre d’idées, François Hollande réclame :
    - un renforcement de « la lutte contre les discriminations dans le monde professionnel (y compris dans le secteur public) » qui augure d’une nouvelle vague de « discrimination positive » à l’embauche ;
    - de « faciliter l’accès au statut de demandeur d’asile » aux personnes qui se prétendraient persécutées « en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre » ;
    - de permettre aux porteurs du virus VIH étrangers « y compris en situation irrégulière » de bénéficier de soins « et d’un titre de séjour » ;
    - de soutenir « au niveau international toutes les initiatives visant à combattre les LGBT-phobies ».

    Imposer aux manifestants du 13 janvier opposés à la dénaturation du mariage et de la parenté de marcher également contre l’homophobie, c’est légitimer la police de la pensée qui sera demain en charge de réprimer la libre parole de tous ceux qui s’opposent aux revendications du lobby homosexuel, y compris la théorie du gender. C’est légitimer un processus liberticide qui, demain, forcera les esprits rebelles, d’Ivan Rioufol à Éric Zemmour, de Robert Ménard à Alain Soral, de Serge Dassault à Jacques Bompard, à se taire ou à subir les nouvelles foudres d’une justice inique. C’est, à terme, préparer la voie de la censure aux organisations LGBT qui estiment que la Bible contient des passages « homophobes ».

    Manifester pour « l’homo-éducation » ?

    Lorsque Mme Barjot reconnaît au nom de la « Manif pour tous » la revendication « d’homo-éducation », elle commet encore une faute grave, légitimant là-aussi d’autres mesures prévues par François Hollande. Notamment, avec le ministère de l’Éducation nationale et de l’enseignement supérieur, d’agir « sur les programmes scolaires afin de lutter contre les préjugés sexistes et homophobes » et ce « dès le plus jeune âge (primaire) ». M. Hollande a également prévu de soutenir « l’intervention des associations LGBT en milieu scolaire » et précise que « l’éducation devra faire une place aux questions de genre et d’orientation sexuelle pour changer la perception sociale de l’homosexualité ». Par ailleurs, François Hollande annonce la mise en œuvre de « formations aux réalités des vies des personnes LGBT ». Des formations destinées aux enseignants et aux cadres scolaires, mais aussi aux juges aux affaires familiales, aux médiateurs, aux travailleurs sociaux, aux personnels de maison de retraite, aux personnels de santé, etc. Un vrai reformatage des Français !

    (Toutes les citations de François Hollande sont reprises du dossier Les 17 questions d’Homosexualité et Socialisme – les réponses de François Hollande)

    Aux catholiques en particulier

    Même dans les moments les plus graves, certains s’efforcent d’amener le moindre mouvement de résistance populaire à la rupture entre la Foi et lui. Sous le couvert de tactiques stériles, on lui explique que le christianisme est « clivant ». Mais réclamer la non-intervention de la religion dans le débat politique, c’est contribuer au développement d’un véritable athéisme social que l’on retrouve précisément chez les rédacteurs du projet de loi que l ‘on prétend combattre.

    Laïcité républicaine et « mariage » homosexuel

    Au lendemain de Noël, Michèle Delaunay, ministre délégué chargée des personnes âgées et de l’autonomie diffusait un tweet cathophobe : « Aujourd’hui les catholiques condamneraient la Sainte Famille : un mari qui n’était pas le père, une mère vierge… ». Imaginez un peu le tollé si un ministre se permettait un message offensant le judaïsme ou l’islam au lendemain d’une de leurs fêtes religieuses !

    Mais c’est tout au long du mois de décembre que François Hollande et son gouvernement ont multiplié les déclarations agressives à l’égard du catholicisme.

    Le 3 décembre, Cécile Duflot, ministre du Logement, menaçait de réquisitionner des biens immobiliers de l’Église catholique.

    Le 9 décembre, François Hollande annonçait la création d’un « Observatoire de la laïcité » qui devra notamment énoncer des propositions sur l’enseignement de la morale laïque à l’école ainsi que faciliter la préparation de l’inscription de la loi de 1905 dans la Constitution, et indiquait, tel un dogme : « La loi de 1905 n’est pas une loi comme les autres, qui peut être modifiée ; elle a fondé des principes immuables (…) » . Il va falloir lui faire savoir que c’est l’institution du mariage qui est fondée sur des principes immuables, et non la loi de 1905 !

    Le 11 décembre se déroulaient les « Rencontres de la laïcité » organisées par le groupe socialiste à l’Assemblée. Trois ministres y sont intervenus. M. Vincent Peillon, ministre de l’Éducation, y a rappelé son intention que la morale laïque devienne une discipline à part entière dans les établissements scolaires dès la rentrée de 2014. M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, a parlé de traquer la « pathologie religieuse » (cf. dépêche de l’Agence Reuters), déclarant « il est temps que le camp laïque reprenne l’étendard » et annonçant « une réorientation de la mission des préfets sur le sujet », les « conférences départementales sur la liberté religieuse » devenant les « Conférences de la laïcité ». Enfin, Mme Christine Taubira, garde des Sceaux, a insisté sur la dimension « laïque et républicaine du mariage pour tous ».

    En vérité, c’est un véritable totalitarisme laïciste que met en place François Hollande. Et c’est ce fanatisme d’irréligion qui a pour corollaire une volonté de détruire la Famille.

    Face à ce péril, c’est d’un réveil catholique dont la France a besoin. Et il faut l’assumer sans plus tarder. « La vérité, écrivait Saint Pie X, ne veut pas de déguisement : notre drapeau doit être déployé ; c’est seulement par la loyauté et la franchise que nous pourrons faire un peu de bien, combattus, certes, par nos adversaires, mais respectés par eux, de manière à conquérir leur admiration et, peu à peu, leur retour au bien. » Mais, objecteront certains, ne faut-il pas être habiles pour obtenir une meilleure couverture médiatique ? « Si je cherchais à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur du Christ », leur a déjà répondu Saint Paul (Ga 1, 10).

    À la lecture de ces différents arguments, vous aurez compris les raisons pour lesquelles nous estimons nécessaire de manifester le 13 janvier prochain séparément de Mme Barjot. Il ne s’agit pas de simple désaccord dialectique, encore moins de tirer la couverture à soi. Il ne s’agit pas non plus de confondre manifestation et procession. Il s’agit d’avoir bien en tête les principes fondamentaux sur lesquels reposent l’action et de considérer les enjeux à long terme et dans leur globalité afin de ne pas faire inconsciemment le jeu de l’adversaire.

    Le 13 janvier à 13h, place Pinel (métro Nationale) dans le XIIIème arrondissement, nous rassemblerons de nombreux catholiques pour la Famille, sans que cela soit signe d’exclusion. Nous serons capables d’unir à nous, au-delà des catholiques pratiquants, quantité de Français de bon sens, sans que cela n’entraîne pour autant ni neutralité ni anonymat. Notre addition des forces se fera sur un discours de vérité. Parce que seule la vérité rend libre.

    Alain Escada
    Président de Civitas

    Egalité et Réconciliation

  • Nantes: les Soeurs de Bethléem s'emploient à faciliter le Grand Remplacement

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    04/01/2013 – 08h00
    NANTES (NOVOpress Breizh) –
    Depuis un an un réseau intitulé « Welcome » s’active à Nantes pour mettre en relation des « demandeurs d’asile » issus du Tiers-monde avec des particuliers ou des congrégations religieuses afin de leur trouver un logement. Les Sœurs de Bethléem participent activement à l’action de ce réseau.

    Dans son édition du 1er janvier, le quotidien La Croix consacre un reportage à Sœur Marie-Thérèse et Sœur Marie-Reine, deux membres de la communauté des Sœurs de Bethléem de Nantes, qui s’emploient à accueillir des personnes – pour la plupart originaires d’Afrique – venues s’installer en France.

     

    Dans la belle propriété de la congrégation nantaise (photo ci-dessus), qui comprend une trentaine de religieuses, des chambres sont donc réservées aux personnes que le réseau Welcome, la Cimade ou le Samu social leur envoient. « L’une de nos salariées parle arabe, ce qui nous a bien aidées à communiquer », déclare au quotidien catholique Sœur Marie-Reine en évoquant le cas d’Aïsha, une Érythréenne de 26 ans arrivée à Nantes il y a un an et demi et qui ne parle pas le français. « Je me sens mieux car j’entrevois l’avenir, a confié celle-ci en arabe. Je vais d’abord étudier, trouver un travail puis me marier et avoir des enfants

    Concernant l’accueil reçu auprès des Sœurs, Aïsha – qui est une musulmane « très pratiquante » – déclare qu’elle a été « très touchée par leur chaleur et leur humanité. Elles ont respecté ma religion et j’ai beaucoup appris auprès d’elles. » Sœur Marie-Reine affirme de son côté s’être enrichie par cette ouverture « à des réalités douloureuses et à de nouvelles cultures ».

    Crédit photo : DR

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  • Un chat se rend chaque jour sur la tombe de son maïtre et lui apporte des cadeaux

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    Le chat Toldo en médaillon

    On connaît les histoires de chiens fidèles à leur maître après leur mort. Depuis un an, c’est un chat, en Italie, qui se rend quotidiennement sur la tombe de son maître. Avec un cadeau.

    L’histoire serait incroyable s’il n’y avait pas autant de témoins. Mais les habitants de Montagnana, un hameau de la commune de Marliana en Toscane, ne parlent plus que de Toldo. Et la presse italienne vient de leur emboîter le pas…

    Toldo est un chat gris et blanc, âgé de 3 ans. Il a été recueilli, chaton, sur le bord de la route, par un habitant de Montagnana, qui s’appelait Renzo Iozzelli. Celui-ci est décédé en septembre 2011, à 71 ans.

    Présent à l’enterrement

    Le jour de l’enterrement, Ada Iozzelli, la veuve de Renzo, a remarqué que le chat accompagnait la procession jusqu’au cimetière.

    Le lendemain, elle a trouvé sur la tombe un rameau d’acacia… Elle a dit à sa fille qu’elle était persuadée que c’était un hommage de Toldo à son maître, celle-ci ne l’a pas prise au sérieux.

    Mais les jours suivants, plusieurs habitants du village ont croisé Toldo au cimetière. Depuis, on le voit quotidiennement se rendre sur la sépulture de son maître.

    Petits cadeaux

    Plus surprenant encore, Toldo dépose parfois sur la tombe des petits cadeaux ! Des trouvailles de chat : il y a parfois des brindilles, un petit tas de feuilles, un mouchoir en papier, ou un gobelet en plastique…

    Ada Iozzelli raconte que son mari était très affectueux avec Toldo. Le chat lui en est visiblement toujours reconnaissant.

    Ouest-France - 04/01/13

  • Un ancien membre de l'OAS privé de sa Légion d'honneur obtenue à titre militaire

     

    vendredi 04 janvier 2013
     
     
     

    Un ex-membre de l’Organisation de l’armée secrète (OAS) a été privé de sa décoration de chevalier de la Légion d’honneur, obtenue en 2011 à titre militaire comme mutilé de guerre en Algérie, par un décret paru vendredi sur la version papier du Journal officiel.

    Selon l’article R96 du code de la Légion d’honneur cité dans le décret, les peines disciplinaires (censure, suspension totale ou partielle, exclusion) « peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l’honneur ».

    Une mesure extrêmement rare

    Cette mesure d’exclusion pour « acte contraire à l’honneur » est extrêmement rare, les exclusions étant généralement prononcées contre des légionnaires condamnés à des peines de prison.

    Jean-François Collin, 73 ans, avait été nommé chevalier de la Légion d’honneur avec traitement, dans la promotion du 5 mai 2011 réservée aux militaires et anciens militaires au titre de mutilé de la guerre d’Algérie, durant laquelle il avait servi comme sous-lieutenant. Il préside l’Association de défense des intérêts moraux des anciens détenus (Adimad) ayant appartenu à l’OAS.

    M. Collin ne s’est pas étonné outre mesure de son exclusion, rappelant le discours qu’il avait prononcé devant la stèle de l’Adimad à Marignane (Bouches-du-Rhône) le 1er novembre 2011, après avoir reçu sa décoration d’un ex-membre de l’OAS.

    Condamné à la réclusion criminelle puis amnistié

    Il avait dédié sa croix de chevalier « à tous les combattants de l’OAS qui sont morts les armes à la main ou ont été fusillés par le plus grand traître de l’Histoire de France (le général De Gaulle). Ce sont eux, aujourd’hui, qui devraient être honorés à ma place ! »

    « Et pour que les choses soient limpides, je vous promets que je ne porterai jamais cette croix tant qu’il y aura un gaulliste ou un ami du FLN à l’Elysée ! » avait-il ajouté.

    Gravement blessé au combat en Algérie en 1960, M. Collin avait ensuite rejoint l’OAS « Métro » à Paris. Arrêté en février 1962, il avait été condamné à douze années de réclusion criminelle, dont il avait purgé cinq ans avant d’être amnistié, de même que l’ensemble des membres de l’OAS, en juillet 1968 par le général De Gaulle.

    En 1982, le président François Mitterrand avait fait voter une loi permettant aux anciens condamnés de l’OAS de toucher leur retraite.

     Ouest-France

  • Bardot menace de devenir russe pour sauver 2 éléphantes tuberculeuses

     

    Par lefigaro.fr Mis à jour le 04/01/2013 à 15:52 | publié le 04/01/2013 à 14:43                  
    Brigitte Bardot, en septembre 2007, lors d'un rendez-vous à l'Élysée.

     

    L'ancienne actrice assure qu'elle fuira la France «si ceux qui ont le pouvoir ont la lâcheté et l'impudence de tuer les deux éléphantes Baby et Népal», menacées d'euthanasie.

    Puisque Gérard Depardieu a obtenu la citoyenneté russe, une autre légende du cinéma français a décidé de pas être en reste. Dans un court communiqué, Brigitte Bardot a menacé vendredi de prendre la nationalité russe pour sauver deux éléphantes de l'euthanasie.

    Le tribunal administratif de Lyon a confirmé le 21 décembre un arrêté préfectoral condamnant Népal et Baby, deux éléphantes de 42 ans malades de la tuberculose, propriété du cirque Pinder mais prêtées à un zoo lyonnais.

    Malgré l'émotion suscitée chez les défenseurs des animaux - le directeur du cirque Pinder, Gilbert Edelstein, est allé jusqu'à demander une «grâce présidentielle» -, le tribunal a retenu le risque d'une propagation de la maladie à l'homme.

    Dans son communiqué, Brigitte Bardot, qui milite depuis plusieurs décennies pour la cause animale, regrette que les propositions de sa fondation pour sauver Baby et Népal soient restées lettre morte. «Si ceux qui ont le pouvoir ont la lâcheté et l'impudence de tuer les deux éléphantes (...), j'ai pris la décision de demander la nationalité russe afin de fuir ce pays, qui n'est plus qu'un cimetière d'animaux», écrit-elle.

    Si elle passe à l'acte, l'ancienne égérie du cinéma français des années 1950 et 1960 rejoindra donc l'acteur Gérard Depardieu à qui le président Vladimir Poutine vient d'accorder la nationalité russe pour lui permettre de fuir le fisc français.

    Le Figaro - 04/01/13

  • "Peillon cherche à faire culpabiliser les chrétiens"

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    INTERVIEW - Laurent Wauquiez s'insurge contre les propos «scandaleux» du ministre de l'Éducation, qui a tancé vendredi l'enseignement catholique pour ses prises de position sur le mariage gay.

    Député (UMP) de la Haute-Loire, Laurent Wauquiez a été ministre chargé des Affaires européennes puis ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Conseiller politique de l'UMP depuis 2009, il a fondé La Droite sociale, un club de réflexion de parlementaires voué à faire entendre la sensibilité sociale au sein de la droite.

    LE FIGARO. - Comment réagissez-vous aux déclarations de Vincent Peillon?

    Laurent WAUQUIEZ. - C'est parfaitement scandaleux de laisser croire que la vision de la famille dans l'enseignement catholique serait responsable de suicides chez les jeunes homos. Cela relève au mieux de l'ignorance, au pire du mépris pour l'enseignement catholique. C'est une grande manipulation politique qui cherche à faire culpabiliser les chrétiens et à faire croire que l'opposition au mariage homo et à l'adoption est le fait d'une minorité.

    Les débats autour du mariage homosexuel donnent jour, selon vous, à une «cathophobie intolérable», que dénoncez-vous précisément?

    La volonté de rejeter tout rapport avec les religions est très frappante depuis ce nouveau gouvernement socialiste. Tout particulièrement avec les chrétiens, à en juger par la violence et la cristallisation dont ils font l'objet dans les débats sur le «mariage pour tous». Au lieu d'être le projet de tolérance dont se réclament ses défenseurs, cette réforme est d'abord la réforme du rejet, du mépris et de la haine à l'égard des religions.

    Vous vous scandalisez que l'on réduise l'opposition au projet aux seuls catholiques…

    Le mariage homosexuel et l'homoparentalité, c'est un sujet pour tous et pour toutes les religions. Les juifs, les musulmans, les protestants s'y opposent. Or le gouvernement marque une volonté scandaleuse de réduire l'opposition à un seul groupe réactionnaire qui serait les cathos. Bien commode.

    Vous accusez particulièrement certains ministres, que leur reprochez-vous?

    Les lignes rouges ont été franchies de manière inacceptable avec l'attitude insultante de plusieurs membres du gouvernement et du rapporteur socialiste du projet de loi qui, lors des auditions, a accusé les religions d'un «défaut d'intelligence». Passons sur le ridicule dont s'est couverte Cécile Duflot avec son intention de réquisitionner les biens de l'Église pour loger les sans-abri. Le plus inacceptable vient de la ministre déléguée aux Personnes âgées et à l'Autonomie, Michèle Delaunay, qui a relayé un tweet outrageant et discriminant («Aujourd'hui les catholiques condamneraient la sainte Famille: un mari qui n'était pas le père, une mère vierge…», NDLR). Elle insulte juste la foi de millions de Français. Dans quelle république est-on si un ministre se permet ce genre de dérive? Sommes-nous condamnés à devoir tout accepter? Stop, ça suffit!

    C'est ça la cathophobie?

    Jamais on n'aurait accepté ces propos sur l'islam ou sur les juifs. Tout le monde l'aurait aussitôt taxée d'antisémitisme ou de racisme. Toutes les religions ont droit à un égal et même respect. Nous devons être très vigilants avec ce sectarisme et cette intolérance. Cette attitude est un vrai dévoiement de la vision de la laïcité car, pour ces responsables politiques, l'idéal serait d'extirper toute forme de religion de la société or la laïcité est tout le contraire: c'est le respect de toutes les religions.

    C'est le point de vue de l'homme politique ou une conviction personnelle?

    Les religions sont une richesse pour notre société, elles font partie de notre histoire et de notre civilisation. Si je tire la sonnette d'alarme, ce n'est pas en tant que croyant mais en tant qu'élu car je crois sincèrement que c'est une vraie dérive pour la société et la République.

    Que demandez-vous au gouvernement?

    Un seuil intolérable a été franchi et cela mérite des éclaircissements de la part de Jean-Marc Ayrault. Il doit rappeler à l'ordre ses ministres et faire un geste de respect et de dialogue avec les religions.

    Le Figaro - 04/01/13