La Madoff du Chinonais mise en examen à Tours par BFMTV
29/12/11
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La Madoff du Chinonais mise en examen à Tours par BFMTV
29/12/11
Les membres de la Chambre de commerce française en Turquie (CCFT) ont annoncé jeudi à Istanbul qu'ils feront pression sur les sénateurs français pour qu'ils enterrent une proposition de loi réprimant la contestation du génocide arménien, déjà adoptée par les députés.
"Nous allons engager une action déterminée auprès des sénateurs afin de les sensibiliser (...) aux importants dommages que (cette initiative) est susceptible de provoquer dans un pays où la francophilie et la francophonie restent fortes", a déclaré Zeynep Necipoglu, présidente de la CCFT, lors d'une conférence de presse.
"Nous allons nous employer à faire valoir que cette proposition de loi est ressentie ici comme une véritable déclaration d'hostilité par les citoyens turcs", a ajouté Mme Necipoglu, affichant "l'espoir de voir le monde politique français prendre la mesure réelle de la question et agir pour que la proposition de loi puisse être rejetée par le Sénat".
Les députés français ont voté le 22 décembre une proposition de loi réprimant d'un an de prison et d'une amende la contestation des génocides réconnus par la loi, dont le génocide des Arméniens en 1915 sur le territoire ottoman.
Le texte a provoqué la colère de la Turquie, qui ne reconnaît pas la caractère génocidaire des massacres d'Arméniens survenus à cette époque --les Arméniens parlent de 1,5 millions de morts, Ankara de 500.000 tués--, et qui a annoncé des mesures de rétorsion contre la France.
La proposition de loi doit encore être adoptée par le Sénat pour prendre force de loi.
La CCFT compte quelque 400 membres, dont un tiers de sociétés françaises.
La Turquie est le troisième marché de la France à l'exportation hors Union européenne et Suisse, avec un montant de 6,3 milliards d'euros exportés en 2010. Elle est aussi un important fournisseur avec 5,4 milliards d'euros d'importations en 2010.
Les entreprises françaises sont massivement implantées en Turquie, avec quelque 400 compagnies installées et 11,5 milliards d'euros d'investissements directs cumulés.
OLJ/Agences
http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/738186/Genocide_armenien%3A_des_entreprises_appellent_le_Senat_francais_a_enterrer_la_loi.html
ALTER INFO - 29/12/11
1895 : date considérée comme la naissance du cinéma. Il s’agit en fait de la première représentation publique et payante - dans le sous-sol du Grand-Café (boulevard des Capucines à Paris) - du « cinématographe », par les célèbres frères Auguste et Louis Lumière.
La mémoire de ces hommes incarnant excellemment le génie français est peu honorée par la République.
Il leur est reproché d’avoir soutenu fermement l’Etat français (pourtant légal et légitime) du maréchal Pétain.
Ils furent décorés de la Francisque. Louis fut membre du « Conseil national » mis en place par Vichy, et Auguste fut même membre du comité de parrainage de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme.
Contre-info.com - 29/12/11
Dans la commune de Benais, ce mercredi matin, les conversations tournaient toutes autour de l'affaire Sylviane Hamon. Soupçonnée d'avoir mis sur pied une vaste escroquerie, cette femme de 54 ans a en effet été mise en examen, hier soir, et placée en détention provisoire.
Une trentaine de victimes déjà recensées
Plus d'une trentaine de victimes - dont certains habitants de Benais - ont déjà été recensées. Alors que plusieurs médias nationaux ont débarqué dans la commune à la recherche de témoignages, les personnes qui ont connu Sylviane Hamon restent discrètes.
L'ancien maire "très surpris"
L'ancien maire, Roger Le Coz, a effectué deux mandats avec l'ex-employée de la BNP, au conseil municipal. Il indique n'avoir jamais eu aucun problème avec elle du temps où elle était élue. Il a aussi travaillé avec son mari, Michel, à la centrale nucléaire de Chinon. " Moi, ce qui me surprend, c'est qu'elle ait pu aller aussi loin, commente-t-il. J'avais confiance en elle, je suis très très surpris".
Dans la rue, Virginie et Jacqueline, deux habitantes de Benais, commentent la nouvelle : " On ne s'attendait vraiment pas à ça, expliquent-elles. On la connaissait, bien sûr, comme tout le monde ici. Cela nous fait un coup ".
Une réunion d'information ce jeudi matin à Chinon
Les gendarmes de la section de recherches d'Orléans restent très discrets sur l'enquête qui a permis de confondre Sylviane Hamon. On sait seulement que les investigations ont démarré il y a plus d'un an. Depuis l'annonce de l'arrestation de Sylviane Hamon, de nouvelles victimes se sont apparemment fait connaître. L'association d'aide aux victimes d'infractions pénales organise ce jeudi matin une réunion d'information, à partir de 9 h 30, à la gendarmerie de Chinon.
Une de ses coreligionnaires, Sylviane Hamon, a tenté de créer une escroquerie de type « pyramidal » en Touraine, qui aurait fait des dizaines de victimes, comme l’a révélé la Nouvelle République.
Selon l’Association d’aide aux victimes d’infractions pénales (Adavip) d’Indre-et-Loire, une trentaine de personnes ont déjà porté plainte contre cette femme âgée de 49 ans.
« Beaucoup vont devoir faire des dossiers de surendettement, avec des interdictions Banque de France », a expliqué la responsable de l’Adavip, Marie-Paule Carrey. Certains craignent même de devoir vendre leur maison pour rembourser, selon elle.
Comme l’escroc new-yorkais Bernard Madoff, cette femme est soupçonnée d’avoir fait miroiter pendant plusieurs années des placements juteux rapportant jusqu’à 30%, à des personnes qui lui faisaient confiance. Elle ciblait des amis, des voisins, et même des membres de sa propre famille ou belle-famille, a révélé l’enquête menée par la section de recherches de la gendarmerie à Orléans.
Il est amusant de noter que le quotidien de gauche Libération (propriété du milliardaire franco-israélien Edouard de Rothschild) refuse de donner le nom de l’inculpée dans son article consacré à l’affaire.
Contre-info.com - 29/12/11
Corée du Nord: Kim Jong-Un intronisé "leader... par euronews-fr
29/12/11
Refusant toute sortie de la matrice libérale et feignant de croire que le « protectionnisme » consisterait en une fermeture complète et totale des frontières, Jean-François Copé a notamment affirmé que «personne ne peut penser raisonnablement que le mot de protectionnisme est un mot moderne».
Pour le secrétaire général, le vrai sujet est de « relocaliser les activités, faire du made in France c’est-à-dire de gagner la bataille des coûts et de la qualité, qu’on imagine demain, une organisation du travail et donc du temps de travail, qui nous permette d’être plus compétitifs».
On regrettera cependant que Jean-François Copé n’aient pas donné les recettes pour atteindre cette compétitivité sur un marché ouvert et dérégulé où la France se trouve en concurrence avec des pays sans systèmes sociaux, sans salaires minimum, où le travail des enfants et le quasi-esclavage sont admis comme des formes normales de la production économique.
A part faire du « dumping social » et de nouvelles attaques contre les acquis sociaux et les salaires du peuple français, on voit en effet assez mal comment y parvenir.
C’est d’ailleurs peut-être ce qu’entend le cadre Ump quand il conclut : «On peut imaginer aussi de baisser le coût du travail ».
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine![]() La France a débloqué 5 millions d'euros pour la préservation de l'ancien camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne, a annoncé mardi 27 décembre 2011 la direction du musée d'Auschwitz.
Cet argent sera versé pendant cinq ans, à partir de 2012, a indiqué dans une lettre adressée à Simone Veil, ancienne déportée d'Auschwitz et présidente d'honneur de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, le Premier ministre français, François Fillon, cité sur le site internet du musée.
Photo : D.R.
Source : TF1
Le Crif - 29/112/11
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29/11/12
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29/12/11
Selon les premiers éléments fournis par la force d’occupation l’OTAN en Afghanistan (Isaf), deux légionnaires, appartenant au 2e Régiment étranger de génie (2e REG), ont été tués ce matin dans la province de Kapisa, au nord-est de Kaboul, une région très infiltrée par les taliban dans laquelle évolue une partie des forces françaises.
Ils s’installaient à un poste permanent de l’ANA (Armée nationale afghane), quand un soldat afghan a surgi et a ouvert le feu sur deux légionnaires avant d’être lui même neutralisé. Ils étaient en mission de soutien à l’armée afghane, quand le soldat afghan a délibérément tiré à bout portant sur les deux militaires français. Dans la journée, les taliban ont revendiqué cette attaque (voir ici).
L’un des deux légionnaires tué est l’adjudant-chef Mohammed el-Gharrafi, 39 ans, marié et père de quatre enfants, qui a rejoint les rangs de la Légion étrangère, le 3 décembre 1992 (sa biographie est disponible ici). En revanche, conformément aux vœux de la famille du sergent également tué ce matin en Kapisa, aucun élément biographique le concernant ne sera rendu public.
Un tragique épisode qui pose une fois de plus le problème de la fiabilité de l’ANA. Pour l’armée française, cet énième épisode de la guerre en Afghanistan confirme que la situation est de plus en plus difficile.
Cela porte à 78 le nombre de soldats français tués en Afghanistan, pour rien.
Qu’ils reposent en paix !
Une jeune femme a échappé de peu à la mort, vendredi, après une agression d’une extrême violence perpétrée dans son appartement à Paris. La victime, âgée de 29 ans, a été frappée puis violée par un inconnu. Plus effroyable encore, l’homme a également tenté de la tuer en la poignardant à une vingtaine de reprises avant de prendre la fuite.
Le Parisien - 29/12/11
Un élu de l'opposition communiste du Conseil général du Loiret a dénoncé mercredi la décision de cette collectivité de supprimer la traditionnelle distribution de chocolats à Noël dans les maisons de retraite du département, dans le cadre de nouvelles restrictions budgétaires. "Les gens trouvent cela choquant, on a besoin d'un peu d'humanisme, de social, de lien avec ces personnes qui n'ont pas grand-chose dans la vie", s'est indigné Michel Ricoud, élu du Front de gauche au Conseil général, dirigé par l'UMP Eric Doligé.
Chaque fin d'année, les conseillers généraux vont porter des colis de Noël - chocolats, pâtes de fruits et autres friandises- aux quelque 60 maisons de retraite gérées par le département, a-t-il expliqué. Début décembre, lors du vote du budget 2012, l'assemblée départementale a voté la suppression de cette mesure à partir de l'an prochain, une décision "passée complètement inaperçue" sur le moment, selon l'élu.
"S'ils veulent faire des économies, qu'ils en fassent ailleurs !"
"Cette mesure coûtait moins de 30.000 euros", a estimé Michel Ricoud. "S'ils veulent faire des économies, qu'ils en fassent ailleurs ! Ce n'est pas ça qui grève le budget du Conseil général. On a besoin de convivialité". De son côté, le Conseil général explique que la suppression des "colis de Noël" représentait une économie de 80.000 euros, soit 5.800 boîtes distribuées dans 60 établissements.
L'assemblée justifie cette décision par la nécessité de financer d'autres priorités dans les domaines de l'enfance, la famille, les personnes âgées et handicapées notamment, sur fond de stagnation des recettes. "La suppression de cette action en direction des personne âgées fait partie des actions supprimées, assez rares, mais aussi des actions dont les montants sont réduits ou maintenus et d'autres plus prioritaires qui augmentent", souligne le Conseil général.
28/12/11
http://fr.wikipedia.org/wiki/Y%C3%A9zidisme
Cette religion ou secte monothéiste, de dialecte kurde, pratique la lapidation des femmes
28/12/11
Les images, filmées sur un téléphone portable, circulent sur l’Internet. La victime s’appelait Doaa Khalil Assouad, elle avait 17 ans, elle vivait à Bashika, une ville majoritairement kurde, dans le nord de l’Irak. Un jour d’avril 2007, un groupe d’hommes l’a traînée hors de sa maison, et pendant une demi-heure elle a été bombardée de lourdes pierres jusqu’à ce qu’on soit sûre qu’elle était morte, le tout sous le regard d’un policier qui n’est pas intervenu et n’a pas appelé ses collègues.
Attention : les images suivantes sont d’une extrême violence et ne doivent pas être montrées aux enfants et aux personnes sensibles.
Cette vidéo qui refait son apparition sur internet est parfois faussement présentée comme étant la lapidation d’une jeune fille de 12 ans.
VIDEO http://tom-goldschmidt.blogspot.com/2009/11/les-images-de-la-video-qui-suit-ne-sont.html
Sources: Défrancisation et Blog de Tom Goldschmidt
(Cliquez sur la photo)
Dix jours après la mort de leur fils Benjamin, 16 ans, un adolescent d’Albertville décédé lors d’une soirée trop alcoolisée à Tournon (Savoie), Laurence et Arménio Mendes-Condeixa, ses parents, ont décidé de sortir de leur silence. Ils lancent aujourd’hui un appel à la prudence à destination de tous les jeunes, afin d’éviter d’autres drames alors que pour le réveillon du 31 décembre, l’alcool va de nouveau couler à flots.
Victime d’un coma éthylique, Benjamin affichait 4,5 g d’alcool dans le sang lorsqu’il est mort, le 18 décembre. Il s’est étouffé en régurgitant. Laurence Mendes-Condeixa est une maman détruite : « C’est l’horreur. On ne peut pas accepter de voir son fils mourir comme ça à 16 ans. Benjamin était plein de joie de vivre, avec un cœur en or. C’était un passionné de vélo BMX, de musique. Il était bassiste dans un groupe. Elève de 1re bac pro, il voulait devenir électricien. Je lance un appel à tous les jeunes : faites attention! On peut faire la fête, mais sans boire autant. On ne doit pas faire des concours avec de l’alcool, jouer à celui qui tombera le premier. Il y a des ados plus faibles que d’autres. Et là, c’est mon petit Benjamin qui a ramassé », lâche-t-elle, des sanglots dans la voix.
Le drame s’est déroulé dans la maison d’un lotissement de Tournon. En l’absence des parents de la jeune fille et du jeune garçon qui organisaient la fête. Benjamin et trois de ses copains sont arrivés avec un pack de bière. Mais d’autres jeunes majeurs ont apporté plusieurs bouteilles de vodka.
« Tout est allé très vite. Vers 20 heures, j’ai accompagné mon fils à cette soirée. Et vers 22h50, on m’a appelé car il allait très mal, explique Arménio Mendes-Condeixa. Quand je suis arrivé sur place, il y avait le Samu, les pompiers. Mon fils avait le visage tout bleu. J’ai compris que c’était fini. Benjamin buvait un peu, comme beaucoup de jeunes. Mais il a dû aller trop loin. Les jeunes ont une expression qui résume tout : se mettre minable, en buvant une quantité énorme d’alcool en peu de temps. Pour être le plus mal possible. C’est un effet de mode. Ils sont dans un esprit de compétition. Ils ne veulent pas décevoir les copains. Alors, ils boivent cul sec. Ce n’est plus de la fête, c’est de l’autodestruction, qui peut être mortelle. Le décès de Benjamin est malheureusement là pour le prouver. »
« Outre l’alcool, c’est aussi l’indifférence qui a tué mon fils, reprend le papa en deuil. Alors qu’il y avait une trentaine de jeunes, on l’a laissé seul dans une pièce, allongé sur le dos. Il n’avait plus la force de se tourner sur le côté pour régurgiter sans s’étouffer. Si quelqu’un l’avait mis en position latérale de sécurité, on aurait peut-être pu le sauver. Lorsqu’on voit que quelqu’un ne va pas bien, il ne faut pas attendre en se disant que ça va passer, qu’il va cuver son alcool. Il faut tout de suite appeler les secours, les parents », insiste le père de Benjamin.
Le Parisien - 28/12/11
28/12/11