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Blog - Page 1354

  • Carla Bruni: encore des rumeurs!

    Carla Bruni-Sarkozy a choisi de communiquer le moins possible sur sa grossesse, son accouchement, et la naissance de enfant. Conséquence : les médias et les journalistes lancent des bruits à tout va, certains semblent assez extravagants.

     L'un des plus repris concerne la réservation d'un étage complet de la clinique de la Muette, là où la "Première Dame de France" doit accoucher. Certains observateurs supposent que le blocage du premier étage de l'établissement aurait été ordonné par le couple présidentiel.

    Contactée par téléphone, une infirmière du service maternité de la clinique parisienne du XVIe arrondissement dément formellement : « C'est une rumeur totalement fausse et farfelue. Nous ne pouvons pas réserver un étage complet d'un service, en monopolisant autant d'espace et de personnel. En plus, je ne pense pas que Madame Sarkozy apprécierait de recevoir un tel traitement de faveur."

    28/09/11

  • Claire Thibout rouvre la plaie Bettencourt

    Le témoignage de l’ex-comptable de la milliardaire est une nouvelle pierre dans le jardin de l’Elysée. Peut-être la plus gênante.

    Par ERIC DECOUTY, VIOLETTE LAZARD

     

    Elle parle doucement, pèse ses mots, mais le ton est ferme, sans hésitation. Dans un long entretien à Libération (lire l'interview), Claire Thibout, l’ex-comptable de Liliane Bettencourt, sort du silence dans lequel elle s’était murée depuis plus d’un an. Elle raconte dans le détail l’histoire des enveloppes distribuées aux politiques, les visiteurs du soir chez les Bettencourt et les incroyables pressions qu’elle a subies durant des mois. Car, en juillet 2010, après avoir livré ce même témoignage aux enquêteurs, Claire Thibout avait été vouée aux gémonies. Accusée de mythomanie, de manipulation et même de vol, ses déclarations avaient alors été partiellement discréditées, aussi bien par les policiers que par Philippe Courroye, le procureur de Nanterre, à l’époque maître de l’enquête.

    Explosif. Ce temps est révolu. La comptable a été lavée de tous soupçons et la procédure est désormais entre les mains de trois juges d’instruction bordelais, dont l’indépendance n’est pas en doute. Ce sont eux - Jean-Michel Gentil, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël - qui ont longuement interrogé l’ex-comptable mercredi 14 septembre.

    Un autre témoin clé, dont l’identité reste à ce jour mystérieuse, a également été entendu, tout comme Isabelle Prévost-Desprez (1), la juge de Nanterre venue s’expliquer pour ses propos dans le livre Sarko m’a tuer où elle affirme que l’ancienne infirmière de Liliane Bettencourt a dit un jour à sa greffière : «J’ai vu des remises d’espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais le dire sur procès-verbal.»

    De source proche du dossier, on affirme que le volet le plus explosif de l’affaire Bettencourt, qu’on croyait enterré à Nanterre, «ressuscite à Bordeaux». Mais dans la plus grande discrétion. Il vise l’éventuel «trafic d’influence, le financement illicite de parti politique ou de campagne électorale». En clair, les juges cherchent à vérifier si la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 a bien été légalement financée.

    Rebondissements. Dans cette perspective les explications de Claire Thibout sont cruciales. Elle raconte dans le détail comment Eric Woerth, le trésorier de cette campagne, aurait reçu 50 000 euros des mains de Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. Un épisode qui se serait déroulé le 19 janvier 2007, trois mois avant le premier tour de l’élection.

    Il est d’autant plus crédible qu’un certain nombre de documents saisis par les enquêteurs confirmeraient les rendez-vous entre Claire Thibout et Patrice de Maistre, puis entre l’homme de confiance de la milliardaire et Eric Woerth. Interrogés à Nanterre, l’été dernier, les deux hommes avaient nié sans être davantage inquiétés. Il pourrait en aller tout autrement d’ici quelques semaines face aux magistrats bordelais.

    De la même façon, les magistrats s’intéressent à la remise de Légion d’honneur à Patrice de Maistre par Eric Woerth puis à l’embauche de l’épouse de celui-ci au sein du holding des Bettencourt. Là encore, les explications de Claire Thibout sont capitales, comme sa narration des incroyables pressions dont elle aurait fait l’objet.

    Au final, alors que les rebondissements se succèdent dans l’affaire dite de Karachi, que des proches du chef de l’Etat sont mis en examen, que des hauts policiers risquent d’être poursuivis pour avoir espionné le téléphone d’un journaliste du Monde(lire page 5), l’enquête Bettencourt pourrait bien s’avérer être la plus embarrassante pour le pouvoir.

    La convocation inéluctable d’Eric Woerth en sa qualité de trésorier de la campagne de Nicolas Sarkozy, avec la menace d’une mise en examen pour «trafic d’influence» et «financement illicite de campagne électorale», placerait le chef de l’Etat en première ligne.

    (1) Suite à ses déclarations dans le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Isabelle Prévost-Desprez est convoquée vendredi par sa hiérarchie. La présidente de la 15e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre est attendue pour «un entretien préalable à l’engagement de poursuites disciplinaires» dans le bureau du premier président de la cour d’appel de Versailles.

    Photo Bruno Charoy

    Libération - 28/09/11

  • Un Parlement juif européen à Bruxelles avant la fin de l'année

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    L’Union juive européenne (European Jewish Union, EJU) a annoncé l’élection et l’établissement avant la fin de cette année d’un parlement juif de 120 membres, un organisme qui devrait servir à "rassembler et coordonner les voix des communautés juives à travers le continent européen’’.

    ’’Nombreux sont ceux qui dans le monde juif ont envisagé la création d’un parlement européen juif qui réunirait pensées, croyances et idées et représenterait et exprimerait les préoccupations des juifs d’Europe à l’égard des dirigeants européens et mondiaux,’’ explique l’EJU, un organisme voué au renforcement de la vie juive en Europe.

    L’idée de la création d’un parlement européen juif a été pour la première fois envisagée il ya plusieurs années par le président de l’Etat d’Israël, Shimon Peres.

    Le parlement juif européen permettrait de s’assurer que les intérêts des communautés juives de l’Est, d’Europe centrale et occidentale soient incluses et convenablement représentés dans cette nouvelle plateforme. Il permettrait de relever les défis et de présenter des réponses innovantes et pertinentes.

    Les Juifs résidant dans les pays de l’UE et les pays de la famille de l’EJU auront l’occasion d’être élus et d’élire le Parlement, indépendamment de leur affiliation politique, religieuse ou communautaire.

    Les 120 membres du parlement seront des représentants issus de tous les horizons : personnalités publiques, responsables laïcs, hommes politiques, artistes, écrivains, musiciens, animateurs et mentors religieux.

    Leur dénominateur commun sera leur identité juive et leur passion à faire avancer les intérêts juifs à l’échelon international.

    Le parlement aura son siège à Bruxelles où se tiendront régulièrement des assemblées générales ordinaires.

    La constitution du parlement sera préparée dans la première année par un comité constitutionnel qui sera mis en place immédiatement après les élections et sera composé de membres du parlement.

    Le projet de constitution sera soumis à débat, examen et au vote de l’assemblée générale.

    Les élections au parlement juif européen seront organisées via Internet, via le site de l’EJU pour permettre une totale transparence et accessibilité à chaque Juif en Europe.

    L’EJU invite ceux qui sont intéressés à devenir candidats ou à recommander des candidats à s’inscrire sur la page web des élections.

    L’inscription pour les élections a débuté le 15 août et les résultats seront annoncés en octobre.

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Un-parlement-juif-europeen-avant-la-fin-de-l-annee-8275.html

    ALTER INFO - 27/09/11

     

     

     

  • Paris - En plus de se moquer des Harkis, Sarkozy empêche une délégation FN de leur rendre hommage

     

    Marie-Christine Arnautu en compagnie de Louis de Condé, ancien combattant pour l'Algérie française

    Compte-rendu de Marie-Christine Arnautu

    Une délégation du Front National devait assister ce dimanche à l’hommage rendu aux Harkis par Nicolas Sarkozy aux Invalides. L’entrée fut cependant refusée à la vice-présidente du FN, Marie-Christine Arnautu, et aux militants qui l’accompagnaient, au motif que leurs noms ne figuraient pas, comme pourtant annoncé, sur les listes du protocole… Ils ont alors appris que si certaines associations de Harkis avaient pu entrer, Zora, Amid et leurs amis (Harkis qui campent depuis plus d’un an devant l’Assemblée nationale afin de faire reconnaitre l’honneur de leurs parents), eux, étaient fermement bloqués au Trocadéro par les forces de l’ordre.

    Le commissaire de police du quartier avait reçu ordre d’arrêter leurs voitures afin de les empêcher d’accéder aux Invalides, sans leur en donner la moindre raison et sans doute parce que le texte de leur banderole n’aurait pas convenu au chef de l’Etat…

    Marie-Christine Arnautu et les militants les ont alors rejoints. Ils sont alors appris, sans grande surprise, que Nicolas Sarkozy n’avait fait aucun discours et s’était juste contenté de remettre une médaille à une dizaine des leurs.

     Le Front National ne s’était donc pas trompé en mettant en garde les Harkis : si lors de sa campagne électorale en 2007, Nicolas Sarkozy avait promis de reconnaître « officiellement la responsabilité de la France dans l’abandon et le massacre des Harkis », il n’en serait rien. Pas plus dans ce domaine que dans tant d’autres, ses engagements seraient respectés. Il est donc dommage qu’hier certains d’entre eux se soient montrés sensibles aux sirènes des honneurs… Ils n’en ont été que plus déçus.

  • Les féministes veulent bannir le terme de "Mademoiselle"

    Deux associations féministes protestent contre la différenciation imposée aux femmes sur les documents administratifs.

    Les associations féministes ont le sens des priorités, elles l'ont prouvé depuis quelques années. S'il en fallait une nouvelle preuve, les Chiennes de garde et leurs cadettes d'Osez le féminisme lancent une grande campagne contre la case «Mademoiselle» sur les documents administratifs. Au nom de quoi, protestent-elles, une femme devrait-elle préciser si elle est mariée ou non, alors qu'un homme n'est jamais interrogé sur cette dimension de son état civil? Au nom de quoi devrait-on accepter un qualificatif, «Mademoiselle», qui signifie «pucelle»?

    De fait, cette distinction n'a rien d'officiel, et dès 1972, René Pleven, ministre de la Justice, avait rappelé que la mention n'était absolument pas réglementaire. Yvette Roudy, ministre des Droits des femmes en 1983, avait même parlé de «discrimination». Mais la force de l'habitude, en la matière, est plus qu'ailleurs cause d'inertie.

    Qu'à cela ne tienne, les deux associations féministes, célèbres, l'une pour son combat pour la féminisation des noms de fonction (mais non pour la masculinisation des «sentinelles» et autres «ordonnances») et l'autre pour sa récente campagne d'affichage intitulée «Osez le clito», ont décidé de mettre fin à cette injustice en incitant les femmes à systématiquement cocher la case «Madame».

    80 % des emplois précaires, en France, sont occupés par des femmes ; celles-ci sont davantage touchées par la pauvreté; la pyramide des âges des assistantes maternelles laisse présager un manque dramatique de gardes d'enfants dans les cinq années à venir. Les combats sont pléthore. Mais leur hiérarchisation est sans doute révélatrice de la vitalité du féminisme contemporain.

    Le Figaro - 27/09/11

    NdB: Une telle sottise laisse sans voix!

     

  • DSK: l'immunité diplomatique, un pari risqué

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    (Cliquez sur la photo)

    La protection invoquée par l'ex-directeur du FMI donne lieu à controverse et devrait ralentir la procédure. 

    «J'ai une immunité diplomatique», déclarait le 14 mai à New York celui que les policiers venaient de menotter à l'aéroport JFK. Quatre mois plus tard, cette immunité est soulevée par les avocats de Dominique Strauss-Kahn pour demander le classement de la plainte au civil déposée le 8 août par Nafissatou Diallo. Voici l'état du dossier soumis au tribunal du Bronx. 

    Les arguments de DSK 

    Selon ses avocats, DSK, comme directeur général du FMI, bénéficiait d'une «immunité absolue en matière civile». Cette protection découle de la convention de 1947 sur les privilèges et immunités des institutions spécialisées des Nations unies. Elle s'est prolongée, selon eux, jusqu'à ce qu'il retrouve sa liberté et rentre en France le 4 septembre.

    Bien que les États-Unis n'aient pas ratifié la convention de 1947, elle s'imposerait en vertu du «droit coutumier international». Les avocats estiment même que le patron du FMI bénéficie de «l'immunité absolue accordée aux diplomates selon le droit international». Ils rappellent que le 14 mai, lorsqu'il fut arrêté à l'aéroport Kennedy, leur client voyageait avec un passeport français et un laissez-passer de l'ONU. Mais non avec passeport diplomatique.

    À son retour en Europe, après ce vol New York-Paris, leur client devait rencontrer la chancelière Angela Merkel puis d'autres responsables, expliquent les conseils, pour montrer que, malgré la parenthèse de Manhattan, DSK n'était pas en simple visite privée ce week-end-là. Au passage, ils regrettent qu'« à cause des accusations mensongères de la plaignante, le FMI ait dû fonctionner sans son directeur général à une période critique de la crise économique mondiale»… Sur le strict plan du droit, leur requête est «solide, argumentée, riche en jurisprudence», note l'avocat franco-américain Christopher Mesnooh.

    Une immunité aux contours flous 

    Personne ne se risquait pourtant mardi à livrer une réponse définitive sur l'immunité de DSK. «On est dans la zone grise», remarquait une source officieuse au FMI. Un FMI, aujourd'hui dirigé par Christine Lagarde, qui ne s'aventure pas à commenter une requête judiciaire de son ancien patron, comprenait-on.

    Les statuts de l'institution prévoient une forme d'immunité, limitée aux actes accomplis dans l'exercice des fonctions. En cas de poursuites pénales, cette immunité ne joue pas. Au lendemain de l'arrestation de DSK pour tentative de viol, le FMI avait d'ailleurs précisé que «l'immunité du directeur général est limitée et n'est pas applicable dans cette affaire». En revanche, en matière civile, les juristes n'ont pas fini de débattre. À New York, la requête était accueillie avec un certain scepticisme.

    À Paris, même prudence. Le Quai d'Orsay a fait plancher sa direction juridique et a interrogé la Cour de cassation dès le mois de mai. Puis, il a de nouveau consulté ces experts à propos de Christine Lagarde, susceptible d'être poursuivie par la Cour de justice de la République dans l'affaire Tapie. Conclusion ? «La matière est mouvante, il n'existe pas de jurisprudence établie pour le FMI.»

    Un choix stratégique 

    Sur un plan tactique, beaucoup d'avocats saluent la performance des avocats de DSK. «Leur stratégie, c'est d'épuiser l'adversaire. Ils gagnent du temps et ils l'obligent à dépenser des sommes colossales», note ainsi l'avocat new-yorkais Kevin McCarthy. Certains estimaient mardi que les 25 pages d'analyse juridique livrées lundi au tribunal du Bronx avaient dû coûter «au moins 100.000 dollars». En principe, les conseils de Nafissatou Diallo doivent répondre à cette demande de rejet dans les premiers jours d'octobre. Une gageure pour un cabinet comme celui de Kenneth Thompson. À moins que le juge McKeon ne leur accorde un délai. «On est partis pour des mois et des mois d'échanges de conclusions», pronostique un connaisseur.

    Source Le Figaro - 27/09/11

  • Humour de Na!

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  • Mathieu Madénian traite les électeurs du Front National de "fils de pute"

  • Front National: "Nous ne laissserons pas ces injures impunies"

     

    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, avocat à la Cour

    Lorsque les représentants de la caste, comme Caroline Fourest, ne diffament pas, ils injurient. Cette haine grandit d’ailleurs en même temps que la popularité de Marine Le Pen.

    Les propos ignobles de Messieurs Darmon et Madénian ne peuvent rester impunis et, en ce qui me concerne, je prépare les procédures nécessaires. J’interviens aussi auprès du CSA. En effet, France Télévisions a sciemment diffusé les propos orduriers de Monsieur Darmon.

    On n’ose imaginer les réactions au cas où les électeurs de François Hollande ou de Nicolas Sarkozy seraient traités de « fils de pute ». Il faut dire que M. Goasguen et Mme Aram (encore sur le service public) ont montré la voie.

    Malgré le silence assourdissant et la complicité des « autorités » de tout genre, le Front National, ses adhérents et ses millions d’électeurs traînés ainsi dans la boue, sauront se défendre et répliquer.

    Message à l’attention des adhérents, sympathisants et électeurs du Front National :

    Les procédures nécessaires sont mises au point pour réagir aux injures très graves dont nous sommes les victimes.
    Si vous voulez vous joindre à ces procédures, notamment à celle concernant un M. Madénian qui vous traite publiquement de « fils de pute » (au seul motif que vous votez FN ou Marine Le Pen), merci de nous adresser un message dans ce sens, par mail ou par courrier, mentionnant votre nom, votre prénom, votre adresse et votre numéro de téléphone.

    Pour nous joindre par mail : contact@frontnational.com
    Pour nous joindre par courrier : FN – Service Juridique – 78 rue des Suisses – 92000 Nanterre

    NPI - 27/09/11

  • La Droite populaire trompe les électeurs ! Elle roule pour Sarkozy!

    Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National

    La Droite populaire vient ce jour de publier douze mesures destinées, une nouvelle fois, à tromper les électeurs.

    Alors, que scrutin après scrutin, les Françaises et les Français délaissent le vote UMP et abandonnent un président qui n’a tenu aucune des promesses sur lesquelles il s’était fait élire, certains députés tentent comme ultime recours de photocopier en partie nos propositions en matière d’immigration et d’insécurité pour préserver des situations acquises.

    Doit-on rappeler que depuis que ce groupe existe, aucune de ses propositions n’a été reprise par la majorité gouvernementale ?
    Il est maintenant acquis que cette droite d’apparence sert de leurre pour empêcher le basculement massif de l’électorat populaire vers la candidature de Marine Le Pen.

    L’heure n’est pas au calcul politicien mais au rassemblement de toutes celles et ceux qui restent attachés à l’indépendance nationale, à la souveraineté du peuple, à la sécurité, à l’identité et à la justice sociale.

    Il est peut-être temps que ces députés prennent leurs responsabilités et rejoignent la dynamique lancée par Marine Le Pen autour d’un programme de salut public qu’une immense majorité de Français appelle de ses vœux.

    NPI - 27/09/11

  • Droit de vote aux étrangers façon UMPS

    27/09/11

  • "Mallettes africaines": pourquoi Bourgi s'est-il rétracté ?

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    Le président sénégalais Abdoulaye Wade a renoncé à poursuivre en diffamation l’avocat Robert Bourgi qui a déclaré s’être trompé en accusant le chef d’Etat africain d’avoir remis des fonds occultes à des hommes politiques français, a indiqué mardi son avocat.

    "Il a reconnu son erreur. Pourquoi l’accabler davantage ?", a déclaré Me Jean-René Farthouat, en précisant que la plainte du président sénégalais n’avait pas encore été envoyée au parquet de Paris.

    Me Bourgi, un ancien conseiller officieux de l’Elysée pour les affaires africaines, avait créé une vive polémique en accusant les 11 et 12 septembre dans plusieurs médias des présidents africains d’ex-colonies françaises, dont M. Wade, d’avoir versé, entre 1997 et 2005, 20 millions de dollars transportés dans des mallettes à l’ex-président Jacques Chirac et à son ex-Premier ministre Dominique de Villepin.

    Le porte-parole de la présidence sénégalaise avait d’emblée démenti les accusations de Me Bourgi et des proches de M. Wade avaient ensuite annoncé leur intention de poursuivre l’avocat en diffamation.

    Me Bourgi avait également accusé Karim Wade, le fils du président sénégalais, d’avoir remis 500 millions de FCFA (760.000 euros) à M. Villepin alors qu’il était secrétaire général de l’Elysée.

    A la suite des accusations de Me Bourgi, le parquet de Paris a diligenté le 13 septembre une enquête préliminaire.

    Lors de son audition jeudi par la brigade financière de la police judiciaire à Paris, Me Bourgi a cependant déclaré aux enquêteurs qu’il s’était trompé en accusant Abdoulaye Wade et son fils, avait indiqué lundi son avocat, Me Eric Dupond-Moretti.

    Outre M. Wade, Me Bourgi avait mis en cause quatre dirigeants africains -Blaise Compaoré (Burkina Faso), Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et Omar Bongo (Gabon).

    Robert Bourgi avait aussi accusé l’ex-dirigeant d’extrême droite Jean-Marie Le Pen d’avoir reçu des fonds occultes de M. Bongo pour financer sa campagne présidentielle de 1988.

    Les responsables mis en cause ont tous démenti.

    MM. Chirac, Villepin et Le Pen ont annoncé leur intention de porter plainte en diffamation. Si M. Le Pen a saisi le tribunal de grande instance de Paris d’une citation directe à l’encontre de Me Bourgi, les plaintes de MM. Chirac et Villepin n’avaient pas encore été envoyées mardi.

    27/09/11

  • Angoulême- Une fillette meurt à la suite d'un coup de pied dans la file d'attente de la cantine

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    (Cliquez sur la photo)

    Une fillette de 10 ans est morte mardi midi dans une école de Soyaux (16) des suites d'un coup de pied reçu au thorax. Le maire de Soyaux et l'inspecteur d'académie témoignent.

     Terrible drame ce mardi midi à l'école Jean Moulin de Soyaux en Charente. Une fillette de 10 ans, scolarisée en CM2, est décédée des suites d'un coup de pied porté au thorax. C'est un garçon de 9 ans qui a porté le coup, à la suite, semble-t-il, d'une bousculade involontaire.

    Malgré l'arrivée rapide des secours, qui lui ont prodigué des massages cardiaques pendant près de 45 min, la fillette, prénommée Tynane, est décédée vers 13h40.

    A la sortie de l'école, aucun enfant n'était au courant du drame. Le soin a été laissé aux familles d'annoncer la triste nouvelle. "Les enfants ont été normalement pris en charge cet après-midi. Ils n'ont pas réalisé ce qui s'était passé, l'information quand au décès de leur camarade n'a pas été donnée", indique l'inspecteur d'académie Jean-Marie Renault.

    Maire de Soyaux et par ailleurs médecin généraliste, François Nebout s’est aussitôt rendu sur les lieux du drame. Il témoigne : « Les enfants étaient en rang. Il n’y avait pas de chahut particulier. La fillette est morte d’un arrêt cardio-respiratoire inexpliqué. Les premiers secours ont été portés par un animateur qui était présent, pendant que l’équipe enseignante donnait l’alerte. Le Samu est très rapidement intervenu. L’équipe médicale a tenté de réanimer la fillette pendant au moins une heure. En vain. »

    "Pour ce que l'on sait des circonstances, il n'y a pas eu de violence avérée. Il y a un chahut. C'était sans doute très limité à une petite partie de la queue qui attendait à la cantine", explique l'inspecteur d'académie Jean-Marie Renault.

    Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes du décès. Une autopsie sera pratiquée mercredi à Bordeaux.

    Sud-Ouest - 27/09/11

  • Libye - Abou Salim: un vrai-faux charnier? La version du CNT est constestée

    Dimanche dernier, un porte-parole militaire du CNT annonçait, lors d’une conférence de presse, que les autorités avaient découvert les "restes de 1.700 prisonniers exécutés en 1996 à la prison d’Abou Salim à Tripoli". Il ajoutait "nous avons découvert le lieu où étaient enterrés tous ces martyrs" en affirmant avoir "la preuve qu’il s’agissait d’actes criminels".

    Le massacre de la prison d’Abou Salim, il y a maintenant quinze ans, n’a rien d’une révélation. Voilà longtemps que les organisations de droits de l’homme et les témoignages des proches des victimes ont dressé le tableau d’une véritable tuerie, par balles et à la grenade, d’un grand nombre de prisonniers alignés et massacrés dans la cour parce qu’ils avaient eu l’audace de se révolter. Le CNT parle de 1.700 morts, d’autres sources indiquent 1.270 victimes.

    On rappelle que c’est bien parce que l’avocat des familles des victimes a été enlevé et a disparu en février dernier qu’une autre manifestation, elle aussi réprimée, puis un mouvement de colère général a abouti à l’insurrection générale. Le massacre d’Abou Salim est donc bien un événement historique de la Libye d’aujourd’hui.

    De là à découvrir les preuves tangibles de ce massacre, c’est-à-dire un charnier, des ossements humains en grand nombre et identifiés comme ceux des prisonniers victimes, il y a un pas que le CNT a décidé de franchir.

    Il ne suffit pas que des proches éplorés ou des combattants grattent la terre autour de la prison, découvrent quelques vêtements et des ossements pour établir ces preuves. D’autant que les reporters sur place mettent en doute cette version : les ossements exhumés à la va-vite ressembleraient davantage à des restes d’animaux, - chameaux, chiens, moutons -, qu’à des squelettes humains.

    On sait combien il est difficile de pratiquer ce genre d’investigation. Pour analyser un "charnier" supposé, il faut des experts en anatomo-pathologie, des médecins légistes rompus à ce genre d’exercice. Sans entrer trop dans les détails morbides, plus d’un millier d’hommes enfouis depuis quinze ans forment un magma d’ossements, de vêtements, de débris divers, parfois imbriqués, mélangés à des tonnes de terre après avoir été enterrés à la va-vite, sur un ou plusieurs sites. En Bosnie, au Rwanda ou ailleurs, des équipes d’experts ont travaillé des années durant pour avoir une vue d’ensemble de leurs fouilles. Quant au bilan...

    La complexité de l’investigation, l’émotion des familles, de tout un peuple, la tentation de la récupération politique des nouvelles autorités, tout ceci peut brouiller les faits et la vérité.

    D’autant que l’opinion publique a gardé le souvenir de l’affaire de Timisoara, en Roumanie, où quelques corps autopsiés découverts dans un hôpital sont devenus l’emblème de la terreur de Ceausescu. Et ont permis de mobiliser tout un pays pour la "révolution" ! Au Vietnam, des escrocs ont régulièrement envoyé vers les Etats-Unis et contre paiement, des os de vache et des papiers falsifiés aux parents des disparus, en les faisant passer pour les restes de leurs époux, de leurs enfants. Tout cela ne résiste pas longtemps à l’analyse en laboratoire, encore faut-il avoir le temps et les moyens de procéder à l’expertise.

    Dans le contexte libyen d’une "révolution en marche" contre Mouammar Kadhafi, la "découverte" du charnier d’Abou Salim est un élément fort émotionnel et politique. Les autorités  - partiales ou trop pressées ? - annoncent avoir des preuves. Il est urgent qu’elles les fournissent, autres que les vêtements sales et les ossements non-identifiés exhibés sur place.

     27/09/11

  • Dans les grandes villes allemandes, un enfant sur deux est d'origine immigrée

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    26/09/2011 – 16h15
    BERLIN (NOVOpress) -
    Près de la moitié des enfants dans les grandes villes d’Allemagne vivent dans des familles immigrées. Après l’Angleterre, où un tiers des enfants nés en 2010 avait au moins un parent étranger , et l’Italie, où, en dix ans, le nombre d’élèves étrangers a augmenté de 400%, c’est d’Allemagne que viennent les dernières statistiques sur le grand remplacement de population en cours en Europe.

    Les chiffres qui viennent d’être publiés par l’Institut fédéral statistique de Wiesbaden, sur la base du recensement de 2010, révèlent que, dans les villes allemandes de plus de 500.000 habitants (il y en a 14, de Berlin, Hambourg et Munich à Nuremberg en passant par Francfort, Brême et Leipzig), 46% des enfants et des jeunes appartiennent à des familles issues de l’immigration. Par familles issues de l’immigration, on entend qu’au moins un des parents possède une nationalité étrangère ou a obtenu la citoyenneté allemande par naturalisation – définition qui inclut donc les mariages mixtes mais laisse de côté une bonne partie des immigrés de deuxième et troisième générations.

    La proportion est presque identique dans les villes de 100.000 à 200.000 habitants (comme Offenbach, Sarrebruck et Wurtzbourg). Elle est un peu plus faible (41%) dans les villes de 200.000 à 500.000 habitants (comme Bonn, Magdebourg et Mannheim). Dans les villes de 50.000 à 100.000 habitants, le taux est de 36,5%. Seules les campagnes sont encore un peu protégées : dans les bourgs de moins de 5.000 habitants, seuls 13% des enfants et des jeunes appartiennent à des familles immigrées.

    Dans l’ensemble de l’Allemagne, on en est à presque un enfant sur trois (31%). Cela fait deux points de plus par rapport au pourcentage de 2005, la première année pour laquelle cette statistique est disponible.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Montpellier - L'adolescent tombé du 2e étage de son lycée affirme qu'il a été poussé

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    Un adolescent de 17 ans, fragile psychologiquement, est tombé du 2e étage d'un escalier extérieur situé dans le lycée Pierre-Mendès-France de Montpellier. Gravement blessé, il affirme avoir été poussé.

    Vers 8 h 15, la victime a chuté de cinq ou six mètres, alors qu’elle se trouvait au deuxième étage, en basculant d’une balustrade extérieure d’un bâtiment un peu à l’écart où bon nombre d’enseignants stationnent leur véhicule.

    Cet élève en seconde comptabilité, souffrant de multiples fractures notamment au nez, au bassin ou encore aux jambes, a pu être entendu cet après-midi.

    Après avoir gardé le silence, "il a indiqué qu’il aurait été poussé par quelqu’un", indique-t-on à l’inspection d’académie. Du coup, c’est la brigade criminelle de la sûreté départementale, qui a été chargée de l’enquête par le parquet.

    En fin d’après-midi, les policiers étaient encore à pied d’œuvre dans l’établissement.

    Midi Libre - 26/09/11

  • DSK veut le rejet de la plainte civile de Nafissatou Diallo

    INFO LE FIGARO - Dominique Strauss-Kahn, par le biais de ses avocats américains, demande à la justice américaine de classer la plainte au civil déposée le 8 août dernier par Nafissatou Diallo. Sa requête est parvenue lundi, à quelques heures de l’échéance, au juge du tribunal du Bronx qui suit la procédure. Il appartient désormais au juge McKeon de se prononcer.

    Dans leur requête, que Le Figaro a pu consulter, ses avocats expliquent que DSK bénéficiait d'une immunité judiciaire en matière civile en tant que directeur général du FMI et que malgré sa démission en mai 2011 de l'institution, cette immunité a perduré jusqu'à ce qu'il puisse quitter les Etats-Unis, après l'abandon des poursuites pénales.

    26/09/11