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Blog - Page 1364

  • Nice: Collard s'adresse "à la France qui en a marre.."

    L'avocat, président du comité de soutien de Marine Le Pen à la présidentielle, a ouvert la deuxième journée des journées d'été du Front national...

    C’est «à la France qui en a marre», que s’adresse Gilbert Collard, ce dimanche matin à Nice. Le président du comité de soutien de Marine Le Pen pour la présidentielle 2012 ouvre la deuxième journée du rassemblement frontiste, avec un discours intitulé «Avec Marine Le Pen, un avenir pour la France».

    Devant plusieurs centaines de cadres frontistes, Gilbert Collard, ami de 25 ans de la présidente du FN déroule, pendant une cinquantaine de minutes – trente étaient prévues initialement– un discours bien rôdé. Se succèdent la dénonciation du «tribalisme» puis des «grandes firmes apatrides», la victimisation de sa personne et des militants FN, ainsi que la critique, émaillée de jeux de mots parfois grossiers, des adversaires politiques.

    Discours frontiste

    Devant les centaines de militants rassemblés du palais des congrès, Gilbert Collard juge que la «xénophobie a changé de camp». Il rappelle les propos de l’ancien ministre UMP Alain Marleix à propos de l’écologiste Jean-Vincent Placé, tenus le week-end dernier journées d’été de l’UMP à Marseille.

    «Ce n'est pas Marine Le Pen qui a traité Jean-Vincent Placé de 'Coréen national'», avant d’ajouter: «Quand on est Français, on est Français», tonne-t-il à la tribune. A propos d’Eva Joly, candidate d'Europe Ecologie-Les Verts, qui a estimé que la petite phrase d’Alain Marleix est un reflet d’une «lepénisation des esprits», Gilbert Collard rétorque: «Au lieu de dénoncer ce que dit Alain Marleix, Eva Joly dit 'lepénisation des esprits'. Autrement dit, quand Alain Marleix pète, c'est le Front national qui pue», a-t-il ajouté.

    A la recherche des ralliements

    L’ancien Président socialiste François Mitterrand n’est pas oublié. A un journaliste qui lui aurait affirmé que certains militants frontistes présents lors des conférences portaient la francisque, une décoration du régime de Vichy, Gilbert Collard répond «entre nous, je ne sais pas comment c’est foutu, il aurait fallu demander à Mitterrand !».

    «Qui aura les couilles de faire quelque chose ?», questionne Gilbert Collard. La salle scande: «Marine !». Et c’est bien Marine Le Pen qui a été rejointe par l’avocat, et non le Front national. Gilbert Collard aime à rappeler qu’il ne prendra pas de carte de membre car il veut garder sa liberté de parole, notamment sur la peine de mort.  

    Au chapitre des ralliements, qui pour le moment sont encore rares, l'avocat affirme qu’une « liste» fournie de ces derniers sera rendue publique en octobre. Ce qui serait utile, après le démenti, ce dimanche matin, d’Yves Bertrand, l’ancien patron des Renseignements généraux, qui n'entend pas rejoindre le FN.

    20minutes.fr - à Nice, Anne-Laëtitia Béraud
     
    NdB: Gilbert Collard était franc-maçon à 18 ans et Vénérable à 25. (Wikipédia)
  • Gilbert Collard: "L'heure de Marine Le Pen a sonné"

    MarineLePen-GilbertCollard Président du comité de soutien à Marine Le Pen, Gilbert Collard, très médiatique avocat marseillais qui avait voté François Mitterrand en 1981 et blanc en 2007, s’engage officiellement au côté de celle qui a, selon lui, toutes les chances d’être élue en 2012. Malgré les sondages. Marine Le Pen présidera, ce week-end à Nice, les journées d'été du Front National.

    Pourquoi cet engagement soudain avec Marine Le Pen ?

    Je connais Marine depuis vingt ans. Mon amitié est née avec elle, pendant le divorce de ses parents. Elle me téléphonait pour parler de sujets divers, de dissertations, du métier d’avocat. Comme le dit Paris-Match, c’est le soutien d’un vieux copain.

    Qu’est-ce qui à séduit le vieux copain au point de présider son comité de soutien ?

    Marine a un vrai amour de la France, et ça me touche vraiment. Ça paraît démodé, mais quand elle parle de la France, on sent que ça coule dans ses veines.

    Avez-vous le même amour que Marine Le Pen pour la France ?

    Oui. Mon père était originaire de Vitry-le-François. La maison de mes grands-parents a été détruite en 1870. Reconstruite, elle a été détruite en 1914. Reconstruite, elle a été détruite en 1940 et j'ai joué, à l'âge de huit ans, dans la maison de mes grands-parents au milieu des décombres, parce qu'elle n'était pas encore reconstruite. Et mon père m'avait dit : « Tu vois, la France c'est ça ! On croit qu'elle est détruite, et elle se reconstruit ». J'ai été marqué par cette histoire familiale de voir mes grands-parents assumer sans aucune récrimination le fait que c'était le prix à payer pour la défense du pays.

    Auriez-vous pu vous engager de la même façon avec Jean-Marie Le Pen ?

    De la même manière que j’ai passé mon temps à m’engueuler avec mon père, je passerais mon temps à me quereller avec Jean-Marie. On n’est pas de la même époque. Marine a sauté sur les genoux de son père, elle n’a pas sauté sur Dien Bien Phu. On n’a pas vécu la même histoire. Jean-Marie Le Pen incarne, et c'est le dernier, tout un pan de notre histoire qui disparaît. Je ne fais pas partie de ces gens qui disent que Le Pen c'est un fasciste. Je ne le crois pas du tout. Je pense que c'est un libertaire.

    Auriez-vous pu défendre les dérapages verbaux de Jean-Marie Le Pen ?

    Oui. J'aurais pu le défendre et j'aurais surtout essayé d'expliquer qu'il est un fou des jeux de mots. Jeux de mots, jeux de vilains parfois, je suis d'accord. Mais on ne peut pas, comme le dit d'ailleurs Jean-François Kahn, juger un homme sur une ou deux phrases. On ne peut pas emprisonner la pensée et vie d'un homme dans une formule qui contient quatre mots. Je ne fais pas partie de ces gens qui disent que Le Pen est un fasciste. Je pense que c'est un libertaire.

    Comment avez-vous réagi aux propos d'Alain Marleix (UMP) vis-à-vis de Jean-Vincent Placé qu'il a qualifié de « coréen national » ?

    J'ai été profondément choqué par les propos tenu par Alain Marleix au sujet de Jean-Vincent Placé parce que quand on est Français, on est Français. Et ce qui m'a choqué aussi, c'est que Jean-Vincent Placé dise que la France était sa patrie d'adoption. La France c'est sa patrie. Point !

    Qu’y a-t-il pour vous d’essentiel dans le programme de Marine Le Pen ?

    Il n’y a rien de nouveau pour moi car j’ai toujours milité contre l’euro. J’ai toujours été partisan de la préférence nationale, parce que je l’ai appris dans Léon Blum. On n’a pas de raison de ne pas donner la préférence pour un emploi à un Français d’origine marocaine, turque ou italienne au profit d’un étranger. Pourquoi n’aurait-on pas ce geste familial. Les gens de gauche, à l’époque où ils étaient vraiment de gauche et qu’ils aimaient vraiment le peuple, avaient pour priorité de donner du travail au peuple de France. Ça n’a jamais fait de Léon Blum, ni de ses amis, des xénophobes.

    Avez-vous adhéré au FN ?

    Non ! Parce que je veux garder ma liberté de parole.

    Avez-vous toujours voté FN ?

    Non ! J’ai très souvent voté blanc. Je suis longtemps resté prisonnier de ce formalisme logique de l’endoctrinement très bien mis en place par les socialistes et la droite. Je me suis dit : ils nous prennent pour des cons ! C’est insupportable cet argumentaire qui consiste à dire que d’un côté il y a le bien et de l’autre le mal.

    Pourquoi avoir aussi longtemps attendu avant de vous engager ?

    Parce que je suis profondément anarchiste. Il a fallu que je me rende compte que mon pays est à l’abandon et qu’il n’y aura pas de solution qui pourra venir, ni de Nicolas Sarkozy qui a montré, ô combien, ses limites, ni de cette gauche menteuse, comédienne qui se bat entre elle, et qui donne des leçons de morale tout en violant la morale. J’ai compris qu’il fallait rejoindre une jeune femme qui est capable de se hisser au niveau du quotidien, qui a le courage d’avenir, ose dire ce que les autres ne disent pas et tirer les conséquences de ce qu’on nous dit tout les jours.

    Marine Le Pen présidente, vous y croyez vraiment ?

    Je pense que l’heure de Marine à sonné pour une raison sociologique. Il y a eu la France d’en-haut, la France d’en-bas, la France qui se lève tôt, la France qui se lève tard. Je crois qu’il y a maintenant la France qui en a marre ! Je sais que Marine est capable de lutter contre ce sentiment d’abandon. Notre volonté est de redonner à l’État sa place et permettre aux Français de ne plus se sentir étrangers chez eux.

    Quel ministère vous serait confié si Marine Le Pen était élue ?

    Elle a annoncé à la télé que je serai ministre de la Justice. C’est un domaine où il y a énormément à faire. La justice est le symbole central d’un état. Un état qui a une justice pipée est un état qui ne tient pas. D’ailleurs, 78% des Français ne croient pas en la justice.

    Serez-vous candidat aux législatives ?

    Je ne suis pas un lâche. Si Marine me le demande et me dit qu’il faut le faire, j’irai.

    Entrer en politique, c'est se préparer à prendre des coups et vous n'êtes pas épargné.

    L'autre jour, sur Europe1, un journaliste s'adresse à moi et affirme : « Votre père a été collaborateur ». Je lui réponds : « Monsieur, grâce au ciel, j'ai sur moi la carte de mon père qui est reconnu comme victime de l'Allemagne, du nazisme et de Vichy. Je vous la montre et après je vous gifle ou vous vous excusez ? » Mon père a toujours été du côté des minorités. C'est là où il faut du courage. J'ai été l'avocat des enfants d'Izieu contre Klaus Barbie. On a tenté de m'assassiner à Marseille parce qu'en 1973 je défendais un nord-africain, Mohamed Laïd Moussa. Il n'y avait pas le MRAP (ndlr : créé en 1949) à côté de moi, ni SOS racisme (ndlr : créé en 1984). Ils n'étaient pas là ces braves gens parce que ce n'était pas à la mode de défendre les arabes. J'ai devancé la mode au risque de ma peau parce que j'ai été sous protection policière pendant quatre mois. On a tué Laïd Moussa et je devais y être. Donc, je n'ai pas de leçon à recevoir de ces mondains qui ferraillent à coup de petites phrases et de petits gâteaux fourrés...

    Source Nice-matin - 09/09/11

  • "Patriotisme européen" : une réponse à la crise ?

      Déjà le 12 mars 1991, plus de dix ans avant l’adoption de l’euro,  décrivant le processus menant de la coordination des politiques monétaires à l’harmonisation des politiques fiscales et à l’unification des politiques sociales et salariales, Bruno Gollnisch mettait en garde: «Jusqu’où va-t-on aller? N’est-on pas en train de construire une redoutable machine à broyer les souverainetés ?  Les souverainetés  ne sont pas des notions abstraites méritant simplement d’être défendues pour elles-mêmes. Elles  sont l’expression des identités et des libertés des Nations si diverses qui composent l’Europe.»

     En attendant, l’actuelle Union européenne ne parvient pas  à faire naître au sein des peuples de notre continent  un « patriotisme européen », lequel induit la capacité d’accepter de se  « sacrifier », notamment  financièrement pour aider nos voisins grecs aujourd’hui et demain peut être espagnols, portugais ou italiens…Dans Marianne, Elie Arié  note justement que « le patriotisme ne peut découler que du sentiment d’appartenance à un même peuple, qui ne peut se décréter dans des traités élaborés autour d’une table de négociations; on peut le déplorer, mais il n’existe pas aujourd’hui de  peuple européen. »

    Et ce, au moment ou « le monde est aujourd’hui livré à l’affrontement sans merci d’un petit nombre de grands blocs économiques, chacun tirant ses forces d’un véritable chauvinisme, comme on peut le constater en Chine ou aux Etats-Unis ; et c’est le grand handicap de l’Union Européenneque d’en être dépourvue. Mais pouvait-il en être autrement ? »

    En effet,  « nous sommes aujourd’hui victimes du projet européen inconsciemment marxiste (ce seraient les infrastructures économiques qui engendreraient les superstructures idéologiques) de Jean Monnet, fondé sur l’idée qu’un sentiment national découlerait automatiquement d’une union économique et monétaire, et qu’il accoucherait inévitablement d’une union politique. »

    « Le seul intérêt d’avoir fait ratifier le traité de Lisbonne (par les Parlements, faute d’avoir pu le faire par les peuples) est d’avoir démontré par l’absurde l’inanité des processus de décision politique qu’il avait voulu mettre en place, et qui ne fonctionnent bien que lorsqu’il n’y a rien à décider (…) »

     « On imagine mal poursuit-il,  la Chine, le Japon ou les Etats-Unis renoncer à leur patriotisme national, comme y sont invités les pays de l’Union Européenne ; et il n’est pas étonnant que les Etats-Unis aient tellement poussé à l’élargissement de l’Union Européenne, y inclus jusqu’à la Turquie, avec pour seul but, dans cette guerre qu’est la mondialisation, de réduire à l’impuissance un adversaire en le disloquant sous prétexte de l’unifier, alors qu’eux-mêmes se gardent bien, dans la zone de libre-échange qu’ils ont constituée avec d’autres pays du continent américain (l’ALENA), de déléguer la moindre parcelle de leur souveraineté politique ou monétaire à une quelconque instance supranationale. »

     « La société américaine a été souvent comparée, par ses théoriciens, à une mosaïque qui ne faisait sens que parce que ses différents fragments étaient tenus en place par le ciment qu’était le patriotisme ; en renonçant au sien, la France cessera un jour de faire sens. »

     Pour prolonger les réflexions d’Elie Arié, précisons qu’il y a pourtant moyen de concilier un engagement européen sincère mais rejetant le  processus actuel  tendant vers le  fédéralisme, et la préservation de nos intérêts nationaux. Cette alternative  fut  décrite  par Jean-Marie Le Pen: «L’Europe pourrait se construire sur le modèle suisse, Etat confédéral, éminemment respectueux de chaque particularité de ses zones romande, germanique, italienne, romanche, ou encore de chaque canton et même de chaque vallée. »

      «Nous choisissons donc l’instrument souple de la confédération, afin de mettre en commun la défense des intérêts géopolitiques et économiques essentiels des Etats d’Europe, tout en respectant leur souveraineté ainsi que la liberté de leurs habitants (…).»  Bref,    à  l’Europe cosmopolite et technocratique, le FN  oppose l’Europe des patries, respectueuse des identités et des souverainetés nationales,   qui n’a pas il est vrai les faveurs de ceux pour qui l’UE n’est qu’une première étape sur le chemin d’une gouvernance mondiale

    Blog de Bruno Gollnisch - 07/09/11

  • Discours de Marine Le Pen aux "Journées d'été de Marine Le Pen"

     

     

    Discours de Marine Le Pen prononcé lors de la clôture des « Journées d’été de Marine Le Pen »

    Merci à tous, mes chers amis, pour ces magnifiques universités d’été. Merci à tous les intervenants pour leurs contributions passionnantes, et merci à vous tous d’être venus les écouter et échanger avec eux.

    En cette rentrée politique, je crois mes chers amis que nous pouvons être fiers de nous !

    Souvenez-vous ! Ce n’est pas si loin, même si cela semble faire une éternité. C’était en 2007 au lendemain des législatives notre mouvement, le seul dans lequel les Français auraient pourtant dû avoir confiance, s’est retrouvé considérablement affaibli, à tous niveaux.

    Nous avons depuis remonté la pente. C’est peu de le dire. Sans faiblir et sans nous laisser impressionner par les rodomontades du système, nous avons patiemment travaillé à faire éclore la vérité. Et aujourd’hui, cette lumière crûment jetée sur le pouvoir sarkozyste le révèle tel qu’il est vraiment : une immense tromperie.

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     NPI - 11/09/11

  • Yves Bertrand dément avoir rejoint Marine Le Pen

    Le scoop de Causeur.fr selon lequel Yves Bertrand, ex-patron des Renseignements généraux, annonçait dans une interview qu'il fallait dédiaboliser Marine Le Pen et que le principe du cordon sanitaire ne pouvait plus fonctionner entre la droite traditionnelle et le FN a fait des vagues sur les ondes, plusieurs radios annonçant — un peu vite — son ralliement au Front National.

     

    Contacté par Marianne, Yves Bertrand dément vigoureusement avoir rejoint d'une quelconque manière le Front national. « Ce sont des raccourcis journalistiques », explique l'ancien directeur des RG. « Je n'ai pas adoubé le FN et ne le ferai jamais », ajoute-t-il, s'inscrivant en faux contre ce qu'ont pu rapporté les radios aujourd'hui.

     Considéré comme un fidèle de Jacques Chirac, l'ex grand flic soutient en revanche que « Marine Le Pen doit jouer dans le jeu politique normal » et qu'il convient de « dédiaboliser le FN », explique-t-il. « Un parti qui fait 18 % des voix ne peut être marginalisé ». Quant à apporter un jour son soutien à la fille Le Pen, l'idée ne l'aurait même pas effleuré.

    De son côté, Marine Le Pen avait déclaré en fin d'après-midi à Marianne : « J'espère qu'il va nous rejoindre, mais ça n'est pas encore fait. »

    Dont acte.

    Marianne 2 - 11/09/11

     



  • Anne Roumanoff parle de ses origines juives

    J’ai un grand-père catholique de Bordeaux, mais comme cela passe par la mère… J’ai deux grands-parents russes, ashkénazes donc, et une grand-mère juive du Maroc. J’ai même un arrière grand-père qui s’appelait Cohen. Ma grand-mère était la petite-fille du grand rabbin Haim Cohen de Fez où il est enterré. À la WIZO du XVIe arrondissement de Paris, on se souvient très bien d’elle et pas seulement comme grande donatrice. On l’appelait la générale Cassous du nom de son mari.

    La figure de ma grand-mère du Maroc est très importante dans ce que je suis. C’est une femme dont je me sens assez proche, une forte personnalité, très expansive, rigolote, sociable. C’est aussi la première écrivaine juive francophone du Maroc. Elle a eu sept enfants.. Elle a disparu il y a vingt ans et ne m’a donc jamais vu sur scène. Elle repose en Israël au Mont des Oliviers. Le fait que mes grands-parents russes aient changé de pays sous la contrainte me donne un sentiment d’insécurité. Mes deux grands-mères ont quitté leur lieu de naissance brutalement, et de ce fait je ne me sens jamais établie nulle part ; c’est même plus par rapport à ces grands-parents qui ont changé de pays que par le fait d’être juive. Ce que j’ai aussi de juif, c’est une grande vivacité d’esprit et le sens de la famille. J’ai hérité, par mes origines ashkénazes, du sens de la culture et de l’art mais aussi du doute et de la crainte.

    J’admire le côté joyeux des séfarades, la capacité à faire la fête. J’ai un grand-oncle qui vit encore à Casablanca, j’aime son côté chaleureux et entraînant. Quand je suis avec eux, je me sens bien, cela me rassure. J’aurais aimé faire partie d’un groupe. Au lycée Carnot, les gens de l’aumônerie n’arrêtaient pas de raconter qu’ils s’éclataient pendant les week-ends, je n’y allais pas parce que je n’étais pas catholique. Les juifs faisaient des fêtes et s’éclataient, et je n’étais pas invitée non plus. Je ne trouve pas cela bien d’élever un enfant sans religion.
     
    Je suis croyante, mais je ne me vois pas aller toute seule à la synagogueanne-roumanoff-r92t8.jpg...

  • Des défenseurs des animaux demandent de rendre sa liberté au crocodile géant

     

     
    Des défenseurs des animaux demandent de rendre sa liberté au crocodile tueur

     

    IRIB- Un groupe de défense des droits des animaux a demandé, samedi, aux Philippines, de rendre sa liberté à un crocodile marin géant, capturé, dans le Sud de l'archipel, et soupçonné d'avoir attaqué des hommes et du bétail.

     

     Un responsable du groupe de défense des animaux de l'Asie-Pacifique, l'ONG "PETA" (People for the Ethical Treatment of Animals), Ashley Fruno, a déclaré qu'en dépit des soupçons de mangeur d'homme qui pèsent sur lui, il vaudrait mieux renvoyer l'animal à son milieu naturel, loin des régions habitées. Dans un communiqué, il appelle le gouvernement des Philippines à faire preuve de compassion et exige que ce crocodile soit rendu à son milieu naturel, considérant que c'est une erreur de le maintenir en captivité.

    On estime son âge à une cinquantaine d'années. Il mesure exactement 6,40 m et pèse un peu plus d'une tonne.

    IRIB - 10/09/11

     

     
  • Al Qaida a ciblé en dix ans le monde entier, sauf Israël

    Les attaques du 11 septembre 2001 contre les Etats-Unis signaient le début du « djihadisme international », puisque les adeptes de Ben Laden ont durant ces dernières années laissé leurs empreintes dans plus d’une capitale européenne, asiatiques, du golfe, du nord de l’Afrique, mis à part Israël qui n’a connu aucune opération attribuée à l’organisation.

    Les attentats perpétrés par Al-Qaida sur le territoire américain en 2001, ont encouragé les adeptes de Ben Laden à réaliser l’idée du « djiahadisme international » qui est la base de l’idéologie de l’organisation, ces attentats ont également permis à l’organisation d’attirer de nouveaux adeptes qui n’étaient avant le 11 septembre pas prêts à rejoindre Ben Laden.

     Moins d’un an après l’attaque contre les USA, Bali en Indonésie était secoué par un attentat a la voiture piégé près d’une boite de nuit faisant 202 morts dont un grand nombre de touristes étrangers. La Tunisie non plus n’a pas été épargné par les attaques d’Al-Qaida, puisque cette même année, 2002, l’organisation a fait 21 morts dont 14 allemands lors d’un attentat kamikaze contre une synagogue à Djerba, et le fait que de nombreux saoudiens aient été aux cotés de Ben Laden dans les camps en Afghanistan, ne lui a pas évité d’être également ciblé, puisque qu’Al Qaida a exécuté une opération à Ryad en mai 2003, faisant 35 morts dont 9 américains dans trois attentats contre un complexe.

     Le Maroc a lui aussi été visé la même année, l’organisation faisant 45 morts au cours de cinq attaques presque simultanées à Casablanca contre des restaurants et des hôtels fréquentés par des étrangers et des sites juifs. En novembre c’était au tour de la Turquie, où 63 personnes ont été tuées dans quatre attentats kamikaze à la voiture piégée contre deux églises, le consulat britannique et une banque britannique à Istanbul.

     Les capitales européennes n’ont pas été à l’abri des attaques d’Al Qaida, le mois de mars 2004 a été un épisode mémorable dans l’histoire de l’organisation, avec les attentats de Madrid en Espagne qui ont fait 191 morts et plus de mille blessés dans une série d’attaques contre des trains dans trois stations de Madrid et de ses environs, et en juillet 2005 venait le tour de la Grande Bretagne lorsque 65 personnes ont été tuées dans quatre attentats kamikaze contre le métro londonien et un bus.

     L’Egypte a également vu les mêmes attentats ce même mois avec une série d’attentats kamikaze contre des lieux touristiques dans le complexe de Charm El Cheikh faisant 68 morts, puis en Jordanie au mois de novembre où l’organisation a fait 60 morts dans trois attentats kamikaze contre des hôtels de la capitale Amman.

    L’organisation a également perpétré des attentats sanglants en Algérie quelques mois après l’annonce de l’allégeance du « GSPC » à Al-Qaida, en frappant en force en avril 2007 au palais du gouvernement, puis le 11 décembre en faisant 41 morts dont 17 employés des Nations Unies dans deux autres attentats terroristes contre le siège des nations unies et le siège du conseil constitutionnel.

    http://fr.elkhabar.com/?Al-Qaida-a-cible-en-dix-ans-le

    Alter Info - 10/09/11

  • Italie - Dans les centres d'accueil, c'est l'émeute permanente

    10/09/2011 – 18h00
    ROME (NOVOpress) —
    Une poudrière dont les mèches sont allumées d’un bout à l’autre de l’Italie : voilà ce qu’a créé le gouvernement italien en allant ramasser en mer des dizaines de milliers de clandestins, pour ensuite les enfermer dans des centres d’accueil le temps que le système – complètement engorgé et pour cause – arrive à faire le tri entre « réfugiés » plus ou moins plausibles et imposteurs complets à renvoyer d’où ils viennent. Pressés de commencer au plus vite la colonisation de l’Europe, les immigrés ne sont pas disposés à attendre et moins encore à se laisser rapatrier. On les a laissés rentrer, ils ne repartiront pas.

    Les émeutes de Bari, conduites par des professionnels de la guérilla, avaient fait les gros titres au début du mois d’août à cause de l’ampleur des dégâts et du nombre de blessés. Mais, de façon un peu moins spectaculaire, l’état d’émeute est devenu permanent dans les centres d’accueil italiens sans que les médias s’en émeuvent beaucoup.

    Voici un échantillon des dernières semaines – la liste est loin d’être exhaustive. Dans la nuit du 22 août en Sicile, à Pozzallo, une centaine de Tunisiens, armés de barres de fer arrachées à leurs lits, dévastent le centre d’accueil, défoncent toutes les portes et prennent la fuite. Cinq agents sont blessés. 55 Tunisiens étaient encore recherchés le lendemain. On ne sait combien ont finalement été retrouvés.

    Le 24 août, au cours de ce que les journaux qualifient de « énième révolte au Centre d’identification et d’expulsion de Bologne », réservé aux femmes, les immigrées incendient les matelas, brisent les tables et les chaises, lancent des objets et des bouteilles remplies d’urine sur les forces de l’ordre. On ne compte aucune blessée parmi les immigrées, huit blessés parmi les policiers. Une Nigériane de 29 ans est arrêtée en flagrant délit de résistance à la force publique et de dégradations.

    Le 1er septembre, à Turin, une trentaine de Tunisiens attaquent les forces de l’ordre en leur lançant des objets divers, de la nourriture, des bouteilles. Ils se ruent ensuite sur les grilles pour tenter de s’enfuir. La police parvient à les en empêcher en lançant du gaz lacrymogène.

    Le 5 septembre, 200 Tunisiens s’échappent du centre d’accueil de Lampedusa et manifestent contre les rapatriements forcés et pour exiger d’être transférés sur le continent. La protestation se transforme rapidement en assaut contre les forces de l’ordre et deux agents sont blessés. Les manifestations des clandestins se poursuivent les jours suivants.

     Le 7 septembre, après que 300 Tunisiens se sont à nouveau répandus dans la ville, le maire terrifié lance un appel à Silvio Berlusconi pour qu’on leur donne satisfaction immédiatement : « Cela fait une semaine que j’avais lancé l’alarme. Est-ce qu’on attend qu’il y ait un mort ou que les immigrés mettent le feu au centre d’accueil, comme c’était arrivé il y a deux ans ? »

    Le 9 septembre, à Ponte Galleria, à côté de Rome, 21 étrangers de diverses nationalités s’enfuient du Centre d’identification et d’expulsion en profitant d’un transfert de routine à l’intérieur du bâtiment. Là encore, cette fuite est décrite dans les journaux comme « la énième fuite de Ponte Galleria ».

    Énième révolte, énième évasion, énième débarquement un peu partout aussi (32 Pakistanais et Afghans mercredi dans le Salento, une centaine de Tunisiens lundi en Sicile)… Est-ce que tout cela va pouvoir continuer très longtemps ?

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Libye - Bataille autour du bastion pro-Kadhafi de Bani Walid

    Les forces anti-Kadhafi qui tentent de s'emparer de Bani Walid, ont rencontré samedi, dans ce bastion de l'ex-homme fort de Libye, une forte résistance. Les forces loyalistes refusent de déposer les armes malgré la fin de l'ultimatum lancé par le nouveau pouvoir.

    Les dirigeants du Conseil national de transition (CNT) avaient donné jusqu'à samedi aux pro-Kadhafi pour se rendre à Bani Walid, à Syrte, la ville natale de Mouammar Kadhafi et à Sebha.

    Après avoir reçu le feu vert du CNT, les anciennes forces rebelles ont progressé de 500 mètres vers le centre de Bani Walid samedi avant de rebrousser chemin pour laisser le champ libre à l'OTAN. Des avions de l'Alliance atlantique ont mené au moins cinq frappes dans le secteur, a constaté un journaliste.

    Saïf al Islam retranché

    Selon des combattants du CNT, l'un des fils de Mouammar Kadhafi, Saïf al Islam, et le porte-parole de l'ancien gouvernement se trouvent retranchés dans Bani Walid.

    Deux commandants du CNT ont été tués et deux autres blessés dans les combats samedi. Selon des médecins, deux soldats de Kafhafi et un du CNT ont été tués vendredi. Un responsable du CNT a pour sa part fait état de 4 ou 5 civils tués dans la nuit.

    Combats intenses

    Des pièces de métal et des carcasses de voitures témoignent de la violence des combats qui ont éclaté entre les deux camps vendredi à Bani Walid et à Syrte.

    Samedi, le calme était revenu sur les lignes de front autour de Syrte après les affrontements de la veille. A Sebha, des centaines de combattants du CNT ont été dépêchés ces deux derniers jours en prévision de l'assaut final. Peu d'informations filtrent de cette ville de 100.000 habitants située dans le désert.

    On ignore si Mouammar Kadhafi s'est réfugié dans un des ces trois bastions. Plusieurs hauts responsables de l'ancien régime ont trouvé ces derniers jours refuge au Niger.

    (ats)
    SWISSCOM - 09/09/11
  • Le Caire- L'armée déployée près de l'ambassade d'Israël - 3 morts, un millier de blessés

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    Démolition du mur de protection entourant l'ambassade israélienne

    Des forces de l'armée et de la police égyptiennes étaient déployées en masse samedi devant l'ambassade d'Israël au Caire, au lendemain d'une attaque sans précédent lancée par des manifestants égyptiens contre la chancellerie. Le bilan des heurts fait état de 3 morts et d'un millier de blessés.

    L'ambassade d'Israël en Egypte, bâtiment symbolique de la paix conclue en 1979 entre les deux pays mais qui cristallise aussi la colère d'une partie de l'opinion égyptienne, a été envahie vendredi par des manifestants qui ont jeté des documents depuis un de ses bureaux et retiré le drapeau israélien, malgré un déploiement policier imposant.

    Trois personnes ont été tuées dans les heurts nocturnes entre manifestants et policiers devant l'ambassade d'Israël au Caire. Une quatrième personne, blessée, a succombé à une crise cardiaque, selon des sources hospitalières samedi.

    Selon des sources de sécurité et médicales, les affrontements qui ont duré toute la nuit dans les environs de l'ambassade ont fait plus de 1000 blessés, parmi lesquels environ 300 policiers.

    Samedi matin, des véhicules blindés étaient déployés devant l'ambassade et une trentaine de véhicules des forces anti-émeutes étaient postés aux alentours de la chancellerie et près du commissariat proche dans le quartier de Guizeh.

    Le ministère de l'Intérieur a proclamé la mobilisation générale, en annulant les permissions des policiers, et une réunion de la cellule de crise du gouvernement devait se tenir dans la journée.

    L'ambassadeur israélien en Egypte, Yitzhak Levanon, a quitté tôt samedi Le Caire par avion avec son escorte, selon des sources aéroportuaires. Selon un responsable israélien, des commandos égyptiens ont en outre sauvé six Israéliens bloqués dans l'ambassade.

    C'est la première fois que l'ambassade est ainsi attaquée depuis la signature de la paix entre les deux pays. L'attaque s'est produite après un rassemblement sur la place Tahrir.

    Le Temps- 10/09/11

  • Washington utilisera son veto contre la reconnaissance d'un Etat palestinien

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    Wendy Sherman

    Lors de son audition de confirmation par le Sénat des États-Unis, le 8 août 2011, Wendy Sherman a annoncé que le département d’État userait de son droit de veto au Conseil de sécurité des Nations Unies si celui-ci était invité à se prononcer sur la reconnaissance d’un État palestinien.

    Mme Sherman est l’assistante de l’ancienne secrétaire d’État et actuelle présidente du NDI/NED, Madeleine Albright. Elle a été désignée comme nouveau sous-secrétaire d’État chargée des Affaires politiques, ce qui ferait d’elle le numéro 3 de Foggy Bottom.

    Plusieurs États ont annoncé leur intention de reconnaître un État palestinien lors de l’Assemblée générale des Nations Unies à la mi-septembre, conformément à l’ancien plan de partage de la Palestine, jamais appliqué depuis 60 ans. Cependant, cette reconnaissance aurait lieu sans que les frontières du nouvel État soient définies, et sans qu’il puisse exercer ses prérogatives régaliennes.

    En Palestine même, de nombreuses voix s’élèvent qui craignent que cette reconnaissance virtuelle ait pour conséquence d’invalider le droit inaliénable des Palestiniens au retour sur leurs terres, et ne transforme les Territoires palestiniens en bantoustans.

    De son côté, le président Barack Obama a dénoncé cette possible reconnaissance comme une manœuvre visant à déligitimer l’État d’Israël.

    En définitive, on ne voit pas à quel titre le Conseil de sécurité aurait à se prononcer sur la reconnaissance d’un État ; sujet qui ressort des compétences de l’Assemblée générale.

    voltairenet.org - 08/09/11

  • Collard: "Si un jour elle dérape elle aussi, je me casse!"

    Quatre mois après son ralliement officiel à , Gilbert Collard franchira dimanche un nouveau cap : juste avant le discours de clôture de la candidate à la présidentielle, aux journées d’été de Nice, le célèbre avocat prendra la parole devant un millier de personnes pour une conférence modestement intitulée « Avec Marine Le Pen, un avenir pour la France ».

    Etonnante trajectoire pour celui qui, jadis, avait pris sa carte au Parti socialiste. « C’est triste, mais le PS a réussi à m’écœurer de la gauche. Encore plus aujourd’hui, quand je vois le spectacle affligeant de la primaire », explique-t-il. Il n’est pas tendre non plus avec qui, selon lui, « a désymbolisé l’image du président de la République et mis le fonctionnement de l’Etat au ras des pâquerettes ».

     Collard dénonce le système, « les castes », les élites. « Mais je ne prendrai jamais ma carte au FN », prévient-il, pour marquer son désaccord avec les provocations régulières de Jean-Marie Le Pen : « Je suis là bénévolement pour Marine, une amie de vingt-cinq ans. En revanche, si un jour elle dérape elle aussi, je me casse! Et elle le sait. On s’appelle, on déjeune une fois par semaine, je la coache un peu quand elle fait une grosse émission, confie-t-il. On s’engueule aussi, notamment quand nous ne sommes pas d’accord. Par exemple sur la peine de mort qu’elle veut rétablir. » Ses défauts? « Elle fume trop, répond-il, catégorique. Ça abîme la voix. »

    Il se verrait bien garde des Sceaux

     Dans quelques jours, l’avocat posera ses cartons dans le QG de campagne de la candidate, boulevard Malesherbes à Paris (VIIIe). « En tant que président de son comité de soutien, ça sera plus simple pour travailler. J’y serai tous les jours. » A l’entendre, 200 personnes l’auraient déjà rejoint, mais il ne dévoile aucun nom : « Certains ont peur du qu’en-dira-t-on. Il faut au moins cinq casques pour supporter tout ce que les gens peuvent dire sur vous. » La semaine dernière à la synagogue de Marseille, il a dû annuler sa participation à un colloque où il était invité : « Il y a eu tellement de menaces que j’ai dû me décommander. Et puis encore récemment, mon contrat de consultant avec la chaîne Planète Justice n’a pas été renouvelé. Mais ça n’est pas grave, je suis solide. »

    Sera-t-il candidat aux législatives en 2012? « Si on me le demande, j’irai », assure l’avocat, qui se verrait bien garde des Sceaux si Marine Le Pen était élue : « D’accord, mais pas trop longtemps, minaude-t-il. Juste le temps de mettre en place quelques mesures importantes à mes yeux, comme la responsabilité civile des magistrats, la suppression de l’Ecole nationale de la magistrature ou encore le droit de révision pour le président de la République. »

    Source Le Parisien - 10/09/11

  • Paul-Marie Coûteaux rallie Marie Le Pen

     

    Les ralliements se suivent au Front National. Après l’avocat Gilbert Collard il y a quelques mois, voici venu le tour du souverainiste Paul-Marie Coûteaux.

    Depuis les premières heures de l’université d’Eté du Front national à Nice, les responsables du parti laissaient filtrer, l’air entendu, qu’un ralliement de poids allait être annoncé. S’agit-il de l’ancien patron des Renseignements Généraux, Yves Bertrand, qui vient de déclarer sa flamme à la présidente du FN dans un interview très politique au site Causeur.fr ? A suivre. Plus sûrement, le souverainiste Paul-Marie Coûteaux, fondateur d’un petit parti, le Rassemblement pour l’indépendance de la France vient de prendre clairement position. « Cette fois les choses sont claires, a-t-il déclaré à Marianne, il ne s’agit plus d’un rapprochement. Je me rallie en bonne et due forme. »

    L’ancien député européen élu en 1999 sur la liste Pasqua, l’ancien collaborateur de Philippe Seguin, celui qui a participé de près à la campagne de Jean-Pierre Chevènement en 2002 « se retrouve dans les positions de Marine Le Pen quand elle défend la souveraineté de la France ». « Ce ralliement a été possible parce que c’est elle, poursuit-il. J’avais de bonne relations avec son père, mais cette fois c’est différent. Le FN est en train d’évoluer, il y a des hommes nouveaux, un discours nouveau. » Se rallie-t-il uniquement sur la base de la défense de la souveraineté nationale ? « C’est très important, mais nous sommes d’accord avec elle sur la préférence nationale, sur l’immigration, sur la sécurité. » Mais alors pourquoi ne pas prendre sa carte au FN ? « Parce que je ne suis pas d’accord sur quelques points de détail, répond-il. Moi, par exemple, je suis contre la peine de mort. »

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    Nations Presse Info - 10/09/11

  • Six hommes mis en examen après la mort d'une femme suite à des viols répétés

    Six hommes âgés de 25 à 45 ans ont été mis en examen vendredi à Orléans après la découverte mercredi du corps d'une femme de 42 ans victime d'une succession de viols dans la nuit de mardi à mercredi, a-t-on appris de sources judiciaires.

     "La victime a subi une succession de viols qui ont occasionné des traumatismes extrêmement importants", a expliqué le procureur de la République d'Orléans, Franck Rastoul, lors d'une conférence de presse.

    TF1 - 09/09/11

    Horreur!

  • Procès Chirac: Alain Juppé sera entendu par le tribunal

    09/09/2011 – 08h30
    BORDEAUX (via
    Info Bordeaux) – Alain Juppé devrait être entendu à la barre le 15 septembre prochain, lors du procès des emplois fictifs de la mairie de Paris devant le tribunal correctionnel. Secrétaire général du RPR, et adjoint aux Finances de Jacques Chirac à la Ville de Paris à l’époque des faits (période 1992-1995), l’actuel ministre des Affaires étrangères avait été cité à comparaître en juin dernier. Cette citation comme témoin a été demandé par l’association anti-corruption Anticor (partie civile).

    Il faut dire que le maire de Bordeaux connaît le dossier. En janvier 2004, il a été condamné par le tribunal correctionnel de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis et à une peine de dix ans d’inéligibilité dans la même affaire.

    Renvoyé devant la justice pour « détournement de fonds publics », « abus de confiance » et « prise illégale d’intérêt », l’ancien chef de l’Etat encourt dix ans de prison et 150.000 euros d’amende.

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