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Blog - Page 1363

  • Lombez (32) : elle accouche au travail et jette son bébé à la poubelle

    Après les aveux ce week-end, d'une jeune mère de famille qui avait accouché sur son lieu de travail la semaine dernière, les gendarmes cherchent le corps du nourrisson qu'elle aurait jeté à la poubelle

     
    L’affaire évoque de douloureux précédents. Mais pour l’instant, les gendarmes gersois sont toujours à la recherche du petit corps. Depuis vendredi et les aveux de la jeune maman, ils retournent, dans des conditions apocalyptiques dûes à la chaleur des derniers jours, la décharge de la communauté de communes de Lombez où cette trentenaire aurait envoyé son bébé.

    Tout a commencé le samedi 3 septembre. Alors qu’elle s’active normalement à son travail, au supermarché discount Aldi de Lombez, la jeune femme ressent les symptômes d’un accouchement imminent. C’est avec l’aide d’une collègue qu’elle met au monde son bébé, dans un local isolé du magasin. C’est cette même collègue qui la raccompagnera chez elle, dans un village entre Lombez et Auch, avant de la quitter rassurée, puisque la jeune mère lui assure que tout va bien et qu’elle a déjà eu des enfants.

    A Lombez, la brigade de gendarmerie, avisée de cet accouchement un peu exceptionnel par le personnel de l’Aldi, entame une vérification de routine. La jeune mère déclare alors que l’enfant va bien. Mais interrogée de nouveau, elle craque et confie que lors de son retour à la maison, elle a laissé l’enfant seul et endormi, le temps d’aller prendre une douche. Et qu’à son retour, le bébé était mort.

    Cette mère de famille de 32 ans aurait alors commis l’impensable en mettant le nourrisson dans un sac plastique, avant d’aller le jeter dans un conteneur à poubelles, à une centaine de mètres de son habitation.

    Forts de ces déclarations, les gendarmes ont aussitôt entrepris des vérifications, mais les poubelles ayant été ramassées déjà deux fois depuis le samedi 3 septembre dernier, ils n’ont rien trouvé dans les conteneurs. Depuis, c’est donc à la décharge qu’ils concentrent leurs efforts. Les gendarmes de Lombez, mais aussi la brigade de recherches, avec le renfort de la brigade canine du Centre d’études de Gramat (Lot) spécialisée dans la recherche de restes humains, ratissent inlassablement le site. Ce soir, ils n’avaient toujours pas trouvé la moindre trace du bébé.

    Quant à la jeune mère, elle a été placée en garde à vue vendredi en fin d’après-midi. Une garde à vue qui a été prolongée, avant son défèrement hier après-midi au pôle d’instruction d’Agen.

    Du côté du parquet d’Auch, on ne croit guère au décès naturel de l’enfant. D’après les premiers éléments d’une enquête «qui ne fait que commencer» insistait tout à l'heure la procureur de la République, Alix Chaumeton, personne n’était au courant de la grossesse de la jeune femme, pas même son mari qui semble pour l’instant être hors de cause. La jeune femme a donc été mise en examen pour homicide volontaire et elle est désormais placée en détention à Agen. Une information judiciaire a été ouverte et les gendarmes travaillent désormais sur commission rogatoire, sous l’autorité du juge d’instruction lot-et-garonnais.

    «Trouver le corps est notre priorité» affirmait ce soir Alix Chaumeton qui ne cache pas son inquiétude quant à la famille de la jeune femme et en particulier ses trois enfants âgés de 5 à 10 ans et scolarisés dans les environs. «On touche à l’intimité d’un couple et d’une famille. Ces enfants doivent être protégés». Il y a cependant fort à parier que cette affaire retentisse bien au-delà des côteaux du Gers.

     Si l’infanticide n’existe pas en tant que tel dans le code pénal (on parle alors d’homicide volontaire sur personne de moins de 15 ans), il reste un tabou puissant.

    Source Sud-Ouest - 12/09/11

  • "Qui sommes-nous?" "Où essayons-nous d'aller?" Fabrice Robert à l'Université de rentrée du Bloc Identitaire

    Chers amis,

    Conclure une université d’été ramène souvent au passage obligé d’un rappel de nos fondamentaux. Qui sommes-nous ? Où essayons-nous d’aller ? Confronté au flux massif, quotidien, de l’écume de l’histoire, de ce qu’on appelle l’actualité, il faut savoir régulièrement lever la tête du quotidien et recalculer notre cap. Il faut savoir penser à l’essentiel.

    Qui sommes-nous ?

    Nous sommes les Identitaires. C’est-à-dire que nous sommes une famille politique de pensée et d’action. Nous ne sommes ni des socialistes, ni des libéraux. Nous avons rompu avec les idéologies mortes qui courent encore comme les poules qui ne savent pas qu’elles n’ont plus de tête. Nous ne sommes pas non plus de simples patriotes car nous savons que le patriotisme est un sentiment et n’est qu’un sentiment. Le patriote est souvent un réactionnaire dans le sens où il réagit à une action qu’il subit, sans pour autant clairement en discerner les causes essentielles. C’est ainsi que l’on peut aimer la France et voter à gauche, que l’on n’en peut plus de l’immigration et voter pour le discours de Sarkozy.

    Cette famille identitaire est toute entière rassemblée autour de nous. Soyons clairs ! En dehors de nous, il peut exister des gens qui se disent identitaires parce que ça fait bien, parce que lorsqu’on n’a pas d’autre imagination que le fantasme du passé, le mieux est encore de copier. Mais n’est pas Identitaire qui veut mais seulement qui le prouve !

    “Qui sommes-nous ? Où essayons-nous d’aller ?” Fabrice Robert à l’UDR du Bloc Identitaire

    Fabrice Robert pendant la conférence

    Être Identitaire, ce n’est pas ronchonner à 50 dans une salle parisienne en disant du mal des américains, des musulmans, des sionistes, des banquiers, des marxistes et des traîtres. Être identitaire ce n’est pas se déguiser une ou deux fois par an pour descendre deux heures sur le pavé et ensuite échanger des photos floutées sur facebook.

    Être identitaire, c’est une attitude de tous les jours, une volonté de chaque instant, c’est se montrer à visage découvert et accepter le risque comme un honneur.

    Être identitaire, c’est aussi sur le fond avoir dépassé les petits égoïsmes nationaux et avoir compris qu’au troisième millénaire, seule la communauté de civilisation prime. Il a sans doute existé à la fin de l’Empire Romain des souverainistes de la Rome seule. Ils ont disparu sans comprendre le monde qui se faisait autour d’eux.

    Dans un monde où l’homme européen est aujourd’hui ultraminoritaire, dans un monde où la Chine et l’Inde alignent près de trois milliards d’hommes, dans un monde où l’Afrique ne connaît pas de transition démographique, le souverainisme est une faute majeure.

    Pour sauver la France, pour que soit transmise l’essence de sa culture particulière, il faut l’Europe. Qu’importe que celle-ci soit entre les mains de nos ennemis ! Qui demanderait la suppression de la France au prétexte qu’elle est dirigée par Sarkozy ? Qui ne comprend qu’avec ou sans Union Européenne, ceux qui nous dirigent veulent la disparition des peuples, des nations, et, au premier chef, la disparition des peuples européens et de l’homme européen ?

    Notamment, face à la crise économique, nous n’accepterons jamais le repli sur la France seule. Face à cette crise, il faut se garder des « ya ka ». La crise économique est la crise d’un système. Vouloir arranger les choses sans toucher au système consisterait à larguer les chaloupes de sauvetage dans la soute du Titanic et non dans l’océan.

    La crise ne doit pas provoquer les égoïsmes nationaux des nations d’Europe. Le réflexe national qui consisterait à se renfermer sur la France seule, avec ses 10 millions d’allogènes, afin soi-disant de ne pas sombrer avec des Grecs ou des Espagnols, ne peut pas être le nôtre.

    La crise doit permettre l’émergence d’une vraie conscience européenne, de même, qu’elle doit permettre de revenir à une vraie conscience française. L’ennemi, c’est l’universaliste ! Il est l’ennemi de l’Europe comme il est celui de la France. Cette idéologie mortifère, aliénante, transforme les êtres humains, avec leur enracinement, avec leur personnalité propre, en des « citoyens du monde », c’est-à-dire des consommateurs of the world.

    C’est là, entre autres, notre travail politique. Incarner la voie vers l’Europe, la voie vers l’avenir de la puissance. Laissons le rabougrissement à ceux qui ne se sentent bien que recroquevillés.

    L’Europe est un mythe. Mais un mythe du Devenir. Il n’est pas une chimère du passé. Ce mythe est une réalité de l’avenir. Ou l’Europe aux Européens, ou bien la France, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne, à tout le monde !

    Ce mythe européen n’est pas un sentiment et un romantisme ou, du moins, il nait d’une triple réalité universelle qui définit la position identitaire. Cette position se caractérise par trois faits majeurs :

    L’impératif du territoire.

    La singularité des peuples.

    La nature comme entité vivante et non comme chose.

    - L’impératif du territoire implique qu’à un sol correspond un seul peuple. Toute autre vision n’est qu’idéologie et viol des réalités. C’est ce qui se passe actuellement en Europe. C’est ce qui nous imposera à court terme des événements dramatiques auprès desquels l’insécurité actuelle n’est rien.

    - La singularité des peuples. La diversité dont on nous parle tant est réelle. Les peuples sont singuliers, les ethnies sont différentes, les civilisations par nature frontières psychiques. Penser que le métissage permet la diversité est un mensonge à usage des bobos et autres bonobos de la pensée. Un Chinois en Afrique ne se comportera jamais à l’égard des Africains comme un Européen. Un Africain, où qu’il soit, se comportera comme un Africain. C’est le propre de la psyché européenne, et son malheur, d’être dans l’empathie et la capacité à se mettre à la place des autres.

    - La nature comme entité vivante. Les principales idéologies du passé – capitalisme, marxisme… – voient le monde comme un lieu à exploiter. Elles ignorent le sacré et l’enchantement du monde. Elles ne fixent aucune limite à la destruction des sols, des océans, des airs.

    Ces trois principes sont, pour nous, fondamentaux. On voit qu’il s’agit de principes au long cours et pas d’un programme présidentiel. L’islam passera, des banques disparaîtront, des empires sombreront, ces principes seront toujours valides.

    Dans le contexte de risques de haute intensité de ce début de siècle, notre mission est de nous préparer au mieux pour y faire face et pour triompher.

    C’est le « où essayons-nous d’aller »

    Je le redis : le mouvement identitaire n’est pas un parti politique. Le parti, c’est le Bloc. Il est notre vitrine, notre outil pour aller à des élections. Il est une étiquette, un moyen. Parmi d’autres.

    Qui sommes-nous ? Où essayons-nous d’aller ? : Fabrice Robert à l’UDR du Bloc Identitaire Le Bloc est à la fois groupe de pression, tête de réseaux, syndicat d’associations et mouvement politique à part entière qui dispose de ses propres particularités.

    Mais à côté du Bloc, il existe des structures politiques locales, bien implantée comme, par exemple, Nissa Rebela ou Jeune Bretagne, la Ligue du Midi ou ADA. Il existe aussi le réseau des groupes jeunes, celui des maisons de l’identité. Il existe des blogs, des associations et des outils de réinformation comme Novopress.

    C’est ça le mouvement identitaire. C’est ce foisonnement toujours en mouvement qui fait notre force politique, métapolitique, militante, financière. Nous devons rester souples et manouvriers, trouver le juste équilibre entre nécessaire structuration et logique de réseau. Ne comptez pas sur moi ni pour le Léninisme, ni le Stalinisme. Le centralisme est par essence mortifère. Certes, il faut des chefs. Mais il en faut à tous les échelons et dans tous les secteurs du combat. Et c’est en respectant au maximum la règle du réseau que nous le développerons au-delà de nos propres frontières politiques.

    Le parti de type XXème siècle est obsolète. A la limite, il est encore adapté pour les partis du Système. Mais nous ne battrons pas le système avec ses propres outils.

    Quelle est notre tactique ?

    D’abord, nous faire connaître toujours davantage. Notre taux de notoriété est encore faible. La majorité de nos concitoyens ne nous connaît pas. Se faire connaître passe par internet. Encore faut-il nourrir la toile de faits et d’actions. L’apéro saucisson-pinard a plus fait pour nous qu’une distribution d’1 million de tracts. Nous allons donc très bientôt lancer de nouvelles actions d’envergure de ce type.

    Ensuite, augmenter notre puissance de feu financière. En deux ans, nous sommes passés des finances d’un groupe de province à celles d’un petit parti national. Je pense que le meilleur reste à venir.

    N’oublions jamais que sans argent, nous ne pourrons mettre en place la communauté militante apte à faire face aux combats – politiques ou non politiques… – qui nous guettent.

    Enfin, développer cette communauté. Numériquement. Mais aussi sectoriellement. Nous avons les maisons de l’identité. Il en faut plus. Nous devons mettre l’accent sur le développement associatif. Nous devons développer les fédérations du Bloc identitaire sur l’ensemble du territoire. Nous lançons une maison d’édition. Nous avons besoin à terme de créer des écoles, des colonies de vacances pour nos enfants. Nous avons besoin de créer des zones de libération.

    Voila nos buts de guerre politique. Ils sont à l’échelle d’une génération. Nous devons agir dans l’urgence, être prêts à tout, et, en même temps, penser au cycle long.

    C’est dans ce contexte que nous avons placé notre candidature à la candidature présidentielle. Une candidature dans laquelle nous n’avons pas jeté toutes nos forces, ni militantes, ni financières. Arnaud vous a dit ailleurs les raisons qui nous conduisent à arrêter cette candidature. Je n’y reviendrai pas si ce n’est pour vous dire que nous sortirons de ce dossier comme nous y sommes entrés. La position du mouvement identitaire aux Présidentielles sera décidé par la consultation de nos membres. Sous deux mois, tout le monde pourra donner son avis. Abstention, pas de consignes de vote, vote blanc, vote pour tel candidat… Toutes les positions peuvent être validées et offrir un intérêt Je ne peux et ne veux préjuger du résultat et c’est la raison pour laquelle je ne vous dirai pas aujourd’hui quelle est ma position personnelle.

    Mais ce que je peux vous affirmer, c’est que quelle que soit la position majoritaire, nous ne changerons pas un atome de l’ADN identitaire.

    Depuis maintenant la convention d’Orange, tout prouve une montée en puissance de notre mouvement. Nous ferons plus que doubler cette année notre nombre d’adhérents, nous multiplions par cinq les dons recueillis. Certes, il reste tant à faire… Mais ce qui a été réalisé, au milieu de difficultés inouïes, en partant du néant, est le gage que nous sommes capables d’aller beaucoup plus loin et de devenir le mouvement de libération dont notre peuple a besoin.

    Nous avons déjà réalisé de grandes choses. Nous allons en réussir de plus grandes encore. En nous battant ! En restant des militants ! En nous engageant !

    N’oublions jamais que tout ne dépend que de notre volonté, de notre engagement, de notre patiente résolution. Face à ceux qui disent : « tout est foutu », nous affirmons : « tout est en train de se faire ». Attirons à nous les meilleurs, les hommes de caractère, sachons conserver l’esprit de camaraderie, soyons imperturbables dans les épreuves et joyeux dans le combat, alors, aux côtés des autres forces identitaires du continent, nous serons dignes d’être les chefs de la France et de l’Europe retrouvés.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

    12/09/11

  • VIDEO - 11 Septembre: 10 ans d'une phénoménale arnaque

    http://www.contre-info.com/11-septembre-10-ans-dune-phenomenale-arnaque

    L’arnarque du 11 septembre aura permis de :

    - mener des guerres illégitimes pour des motifs idéologiques et financiers.
    - accentuer la marche vers la mondialisation.
    - augmenter l’allégeance des gouvernements démocratiques en place.
    - augmenter les pouvoirs de surveillance et de répression envers les populations, sous couvert de sécurité : par exemple Patriot Act aux Etats-Unis, lois Perben I & II en France.

    Croyez-vous à la version officielle du 11 septembre 2001 ?

    • Non (85%)
       
    • Oui (8%)
       
    • Ne se prononce pas (7%)

    A voir absolument!

    Contre-info.com - 12/09/11

  • Marine Le Pen à 19% sans avoir débuté sa campagne

    Dans l’émission « Les éditorialistes » du 12 septembre 2011, le sujet d’un des débats était consacré au Front National avec pour question : « Marine Le Pen est-elle fréquentable ? » La présentatrice relève les thèmes de l’insécurité et de l’immigration du discours tenu par Marine Le Pen lors des « Journées d’été de Marine Le Pen », son attrait auprès des français dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012.

    Judith Waintraub, journaliste au Figaro, souligne les nouvelles têtes autour de Marine Le Pen : « On note l’arrivée de Paul-Marie Couteaux, un chevènementiste souverainiste dans le camp des recrues les plus fraîches de Marine Le Pen aux côtés de Gilbert Collard. Il y a Yves Bertrand, c’est le patron des RG qui ne s’est pas rallié mais qui dans Causeur [...] explique finalement que Marine Le Pen est tout à fait respectable … ».

    Muriel Gremillet, journaliste à Causeur.fr, pour le mot de la fin déclare que « Marine Le Pen revient aux fondamentaux et en même temps elle n’a rien besoin de faire parce qu’elle a fait campagne contre l’euro et la sortie de l’euro, là on voit que la Grèce commence à s’éloigner de l’euro. [...] Et par ailleurs quand j’entends les commentateurs dire « elle commence à se tasser ça devient vraiment difficile pour elle », honnêtement elle est toujours à 19 %, elle n’a pas commencé la campagne ! »

    NPI - 12/09/11

     

  • Guéant s'en prend aux Comoriens de Marseille, qui seraient la cause de beaucoup de violences

    2011091121111722.jpg Guéant Marseille.jpg

    L'onde de choc n'a pas tardé à secouer Marseille. Interrogé, hier soir, sur les racines de l'insécurité dans la cité phocéenne, lors du Grand jury RTL -LCI-Le Figaro, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, vient d'avoir cette phrase : "Il y a une immigration comorienne importante qui est la cause de beaucoup de violences. Je ne peux pas la quantifier."

    Les réactions indignées se sont multipliées à Marseille. Des représentants des quelque 80000 Comoriens d'origine y résidant, mais aussi des élus. À gauche, Patrick Mennucci, leader de l'opposition socialiste, se dit "stupéfait. Sur quelles statistiques se fonde Claude Guéant pour stigmatiser une population qui fait partie de l'histoire et l'avenir de la ville ? Comme toujours, la droite désigne un bouc émissaire."

    Consternation aussi, chez l'écologiste Sébastien Barles qui voit dans "cette injure raciste scandaleuse une volonté de courir derrière le FN" et chez le communiste Frédéric Dutoit qui dénonce "des statistiques ethniques condamnables" et demande "la démission d'un ministre qui déshonore la République".

    Sénatrice-maire PS dans les quartiers Nord, où vit une grande partie de la communauté comorienne, Samia Ghali pousse l'analyse. "La ghettoïsation de certaines communautés est une réalité ici. Les conditions de vie et de scolarisation sont déplorables. De là à dire qu'une d'entre elles est la cause des violences, c'est un raccourci scandaleux. Beaucoup de jeunes Comoriens subissent au quotidien les violences des autres, quelle que soit leur origine."

    Claude Guéant a multiplié les sorties du genre ces derniers mois. En mars, sur Europe 1, il notait que "les Français ont parfois le sentiment de ne plus se sentir chez eux." En mai, il expliquait, à propos de l'immigration, ne pas avoir "besoin de maçons, de serveurs de restaurants. Il y a en France de la ressource parmi les Français."

    En rentrant hier des Journées d'été du Front national à Nice, l'élu marseillais au Conseil régional Stéphane Ravier se demandait en souriant "quelle mouche a piqué monsieur Néant (sic) ? Jamais Le Pen n'a stigmatisé une communauté. On est au-delà du caricatural."

    À l'UMP, en revanche, personne n'avait envie de rire. "En tant que maire, souligne Jean-Claude Gaudin, j'ai toujours oeuvré pour faciliter la coexistence des nombreuses communautés immigrées dans notre ville, même si cela engendre parfois des problèmes difficiles à gérer. Pour autant, on ne peut pas incriminer une communauté en particulier."

    Même ton chez son premier adjoint, le député Roland Blum qui estime que "c'est une erreur profonde de stigmatiser une communauté qui a toute sa place dans notre ville." Encore présent samedi à Marseille, Claude Guéant est venu quatre fois depuis le mois de mai. Pas sûr qu'il se risque de sitôt à s'inviter sur le Vieux-Port.

    François TONNEAU-  La Provence - 12/09/11

     

  • Accident nucléaire dans le Gard: l'urgence de la sécurisation des centrales

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’accident qui a fait un mort et quatre blessés dans l’installation nucléaire Centraco, située près du site de Marcoule (Gard) illustre la dangerosité de cette énergie et la nécessité d’envisager une sortie progressive et réfléchie du nucléaire

    Comme l’avait déjà demandé le Front National après la catastrophe du Fukushima au Japon, il appartient à l’Etat de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour sécuriser les 58 centrales nucléaires françaises et d’investir dans les recherches pour traiter les déchets nucléaires, recherches arrêtées sous la pression des Verts.

    Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle, rappelle la volonté du Front National d’engager la diversification énergétique de la France notamment par un programme ambitieux de recherche sur l’hydrogène.

    NPI - 12/09/11

  • Pour Les Echos, une salle pleine à craquer est "forcément clairsemée"!

    Article et photos:  http://www.nationspresse.info/?p=143555

    NPI - 12/09/11

  • Pour Les Echos, une salle pleine à craquer est forcément "clairsemée"!

    Article et photos: http://www.nationspresse.info/?p=143555

    NPI - 12/09/11

  • DSK entendu comme "témoin" dans l'affaire Banon

    L'ex-directeur général du FMI est visé par une plainte pour tentative de viol déposée en juin par la romancière.

    Une semaine après son retour sur le sol français, Dominique Strauss-Kahn s'est à nouveau retrouvé face à des enquêteurs. L'ex-directeur général du FMI, visé par une plainte pour tentative de viol déposée par Tristane Banon, a été entendu en qualité de témoin par les services de police, ont annoncé ses avocats. L'audition s'est déroulée entre 8h et 11h dans les locaux de la brigade de la répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne. «A la demande de Dominique Strauss-Kahn, cette audition a eu lieu aussitôt que possible au regard du calendrier de l'enquête», ajoutent Me Frédérique Baulieu et Henri Leclerc.

    En juin, après l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn à New York, Tristane Banon avait déposé une plainte contre DSK pour une tentative de viol qui remonterait à 2003. Une enquête préliminaire diligentée par le parquet de Paris a été ouverte dans la foulée. La BRDP a déjà entendu Tristane Banon. L'entourage de la romancière et celui de DSK ont également dû témoigner, ainsi que plusieurs responsables socialistes que la plaignante dit avoir informés de l'agression, dont François Hollande.

    Vers une requalification des faits ?

    L'audition de DSK était donc attendue. Selon ses proches, elle doit permettre de «solder cette affaire», qui empoisonne le retour en France de l'ex-patron du FMI. Dominique Strauss-Kahn a toujours réfuté fermement les accusations formulées par Tristane Banon, qualifiant d'«imaginaire» la scène d'agression. L'ancien ministre des Finances a porté plainte pour dénonciation calomnieuse contre la romancière.

    A l'issue de l'enquête préliminaire, qui n'est soumise à aucun délai, le parquet peut décider d'ouvrir une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction, ou de classer l'affaire sans suite. Les faits allégués, datant de 2003, pourraient également être requalifiés en agression sexuelle présumée : ils seraient alors prescrits depuis 2006 et l'enquête serait classée sans suite. Passible de 15 ans de réclusion, la tentative de viol est un crime prescrit au bout de dix ans. L'agression sexuelle est en revanche un délit, prescrit trois ans après les faits.

    Réagissant au retour de DSK, Tristane Banon a regretté dimanche que la France ait accueilli «en héros un homme qui n'a pas été blanchi». «Je ne peux pas croire que mon pays accueille en héros un homme qui n'a pas été blanchi», écrit-elle dans un message posté sur Facebook. «J'entends les gens me dire leur écoeurement, j'avale leur soutien pour tenir debout et pourtant c'est moi qui baisse la tête et longe les murs quand d'autres sourient aux caméras.»

    Source Le Figaro - 12/09/11

  • Arthur RIMBAUD (1854-1891)

    Voyelles

    A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
    Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
    A, noir corset velu des mouches éclatantes
    Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,

    Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes,
    Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ;
    I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
    Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;

    U, cycles, vibrements divins des mers virides,
    Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides
    Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;

    O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
    Silences traversés des Mondes et des Anges ;
    - O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux !

  • Le meeting d'Estrosi à Nice perturbé par les Identitaires

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    (Cliquez sur la photo)

    11/09/2011 – 19h40
    NICE (NOVOpress) —
    Les Identitaires de Nissa Rebela ont réussi un joli coup aujourd’hui en s’invitant au meeting de l’UMP à Nice, organisé sous l’égide du maire de la ville, Christian Estrosi. Durant le discours de l’édile de la ville, plusieurs militants identitaires se sont invités parmi le public, criant le slogan et brandissant des pancartes « Estrosi complice – pas de mosquées à Nice ! ».

    Christian Estrosi a ainsi eu beaucoup de mal à garder son calme et a dû s’interrompre à plusieurs reprises. Cette intervention n’a pas été du goût des militants UMP présent puisque les militants de Nissa Rebela ont été physiquement pris à partie. Les Identitaires niçois entendaient dénoncer par cette action le soutien réitéré et permanent de Christian Estrosi à l’islamisation de leur ville.

    Dans son communiqué, Nissa Rebela souligne que le maire Christian Estrosi est “passif et complice quand il laisse un squatt islamique perdurer rue de Suisse (les locaux de la mosquée sont occupés illégalement depuis ONZE ans) en projetant seulement de racheter les locaux pour les louer aux musulmans ! Estrosi qui joue les durs dans les médias mais ne fait rien pour faire cesser les prières de rue occupant la même rue de Suisse chaque vendredi !”

    Enfin les Identitaires souhaitaient, par cette intervention bruyante et inattendue, “souligner le caractère anti-démocratique de la gestion municipale et réclamer ENFIN un véritable débat autour de la question de l’islamisation de notre cité.”

  • Marine Le Pen veut supprimer les aides sociales aux délinquants récidivistes

    Marine Le Pen a promis dimanche à Nice la suppression des aides sociales pour les délinquants récidivistes, lors du discours de clôture de ses Journées d'été, axé sur les fondamentaux du FN, immigration et insécurité en tête.

    "Je prends l'engagement concret suivant : plus aucune aide sociale ne sera versée aux délinquants récidivistes ou criminels justiciables d'une peine de 1 an ou plus. Plus aucune", a-t-elle lancé, devant plus de 2 000 sympathisants au Palais des congrès de Nice (Acropolis).

     

    "Les récidivistes, qui sont un véritable poison pour notre communauté nationale, n'auront plus droit sous ma présidence au logement social. Ni à aucune aide sociale", a-t-elle promis, sous les acclamations d'une assistance conquise.

    Au premier rang, avaient pris place les récents ralliés, comme le souverainiste Paul-Marie Coûteaux, l'avocat Gilbert Collard ou l'ancien maire de Nice et ex-FN Jacques Peyrat, juste à côté de Jean-Marie Le Pen. Celui-ci, lunettes de soleil aviateur sur le nez et costume crème, a été ovationné par les militants.

     La présence du leader niçois du Bloc Identitaire, Philippe Vardon, a aussi été remarquée.

    Dénonçant "l'immigration massive" à "la charge des contribuables", Marine Le Pen a reparlé d'"inversion des flux" migratoires, ce qui n'est plus systématique dans son discours, promettant aussi la suppression du droit du sol et la préférence nationale. "Cette arrivée massive, en un temps très bref, 20 ou 30 ans, de femmes et d'hommes ayant pour une très grande majorité une culture très différente de la nôtre, rend toute assimilation inopérante, voire impossible", a-t-elle dit.

    Avant la Marseillaise, entonnée par Jean-Marie Le Pen, sa fille a terminé son discours en promettant la "réindustrialisation" de la France, qui "suppose de rompre avec les dogmes qui font toute la doxa économique des grands prêtres de l'UMP, du PS et du CAC 40".

    Source Midi Libre - 11/09/11

  • Bourgi: "J'ai vu Chirac et Villepin compter les billets"

    Lire l'article: http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/L-avocat-Robert-Bourgi-raconte-comment-il-a-convoye-jusqu-a-l-Elysee-les-millions-des-chefs-d-Etat-africains-interview-387001/?from=cover

     L’avocat Robert Bourgi, 66 ans, successeur de Jacques Foccart, révèle vingt-cinq ans de pratiques occultes sous Chirac. Pour la première fois, un homme avoue des financements occultes en provenance d’Afrique...

    Le JDD - 11/09/11

  • Ahmadinejad: "L'oppression reste le problème majeur aujourd'hui"

    Téhéran.Irna.11 septembre 2011.

     Prononçant un discours à l'ouverture de la Vème Conférence internationale de Bait Ahlul qui se tient à Téhéran, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a estimé que le problème principal de la société humaine de nos jours reste l'oppression.


    Il a poursuivi en déclarant que tout au long de l'histoire, une grande partie des discriminations, de la corruption, des guerres et des atrocités qui ont entravé le mouvement progressiste et l’élévation des êtres humains sont le fruit de la domination exercée par des personnes indignes qui ne se sont pas engagées sur les voies spirituelles.


    Notant qu'au cours du siècle passé, des centaines de guerres ont coûté la vie à des millions de personnes et fait des centaines de millions de sans-abri, le président iranien a souligné que les richesses des nations ont été consacrées aux rivalités sans fin et à la production d'armes de destruction massive au lieu d’être utilisées pour développer la prospérité et la splendeur de l'humanité.


    Se référant au 11 Septembre aux Etats-Unis, il l’a également qualifié de jeu complexe visant à influencer l'esprit des gens afin d’ouvrir la voie à des attaques sur les territoires islamiques comme l'Afghanistan et l'Irak qui ont conduit à tuer plus d'un million de personnes.


    A l’occasion de la Vème Conférence internationale de Bait Ahlul qui dure quatre jours, plus de 600 étrangers ainsi que 400 invités iraniens, dont de nombreux savants chiites et personnalités politiques et scientifiques du monde entier.

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    Lire l'article:  http://www.lecourrierdelarchitecte.com/article_2130

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