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Blog - Page 1516

  • Une curieuse affaire: la police grecque intercepte des colis piégés, dont l'un destiné à Nicolas Sarkozy

    L'affaire, confiée à la brigade anti-terroriste, a démarré avec l'explosion d'un premier colis piégé destiné à l'ambassade du Mexique, qu'un inconnu venait de déposer dans une société de messagerie express située dans le centre d'Athènes.

    Le jugeant suspect, l'employée l'avait jeté par terre, déclenchant la déflagration, de faible puissance, qui l'a légèrement blessé à la main.

    Très vite, des artificiers ont neutralisé un deuxième paquet piégé, adressé à l'ambassade des Pays-Bas, qui avait été déposé dans une agence proche, avant qu'un ratissage de la zone ne conduise à l'arrestation de quatre suspects, deux hommes et deux femmes.

    La police a annoncé dans un communiqué avoir trouvé en la possession des hommes, âgés de 22 et 24 ans, deux autres paquets piégés, "avec comme destinataires l'ambassade de Belgique en Grèce et le président de la République française, qui ont été neutralisés par des explosions contrôlées".

    Les suspects étaient également en possession "de deux pistolets Glock avec cinq chargeurs", et l'un "portait une perruque et un gilet pare-balles", a précisé le communiqué.

    Le plus jeune était recherché par la police pour appartenance présumée au groupe extrémiste d'obédience anarchiste "Conspiration des cellules de feu", tandis que l'autre "est actif dans la mouvance anti-autoritaire", a indiqué à l'AFP, le porte-parole de la police, Thanassis Kokalakis.

    "L'affaire apparaît en fait assez absurde, dans le cas de M. Sarkozy il est évident que ce paquet n'aurait jamais pu atteindre son destinataire", a commenté cet officier.

    AFP. 01/11/10

  • Toussaint sanglante à Bagdad: plus de cinquante morts tués dans l'attaque de l'église chrétienne

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-internationale/au-moins-cinquante-morts-apres-la-prise-d-otages-dans-la-cathedrale-chretienne-de-bagdad-1643967

    Une messe au coeur de Bagdad, la veille de la Toussaint, s'est terminée en carnage dimanche soir après une attaque d'Al-Qaïda contre une cathédrale catholique, qui a fait 46 morts parmi les fidèles, en majorité des femmes et des enfants, a indiqué un responsable du ministère de l'Intéreur.

    Sept membres des services de sécurité ainsi que cinq terroristes présumés ont aussi trouvé la mort lorsque les commandos irakiens ont donné l'assaut, avec les troupes américaines, pour libérer les chrétiens pris en otage dans la cathédrale syriaque catholique.

    Cette attaque est l'une des plus meurtrières commises contre les chrétiens en Irak, et devrait accélérer l'exode des membres de cette communauté, dont le nombre est passé de 800.000 à 500.000 depuis l'invasion conduite par les Etats-Unis en 2003.

    Elle a été revendiquée par un groupe de la mouvance d'Al-Qaïda qui a donné un ultimatum de 48 heures à l'Eglise copte d'Egypte pour libérer des musulmanes "emprisonnées dans des monastères" de ce pays, selon le centre américain de surveillance des sites islamistes (SITE).

    "Il y a eu 46 tués parmi les fidèles, notamment des femmes et des enfants, et 60 blessés, dont une vingtaine dans un état grave", a indiqué une source du ministère de l'Intérieur.

    Sept membres des forces de sécurité ont été tués et 15 autres ont été blessés.

    Concernant les assaillants, trois ont été tués et deux autres se sont suicidés en faisant détonner leur ceinture d'explosif. Huit suspects ont été appréhendés, selon la même source.

    Peu auparavant, Mgr Pios Kasha, le vicaire épiscopal syriaque catholique de Bagdad, avait fait état de 42 fidèles tués, dont deux prêtres, et 25 blessés, précisant que moins de 80 personnes assistaient à la messe.

    "C'est un immense sentiment de tristesse qui m'envahit. C'est inhumain. Même les animaux ne se comportent pas ainsi entre eux", a déclaré à l'AFP l'évêque chaldéen de Bagdad, Shlimoune Wardouni.

    La cathédrale Sayidat al-Najat (Notre-Dame du Perpétuel secours) ressemblait à un champ de bataille lundi. Des balles ont criblé le fronton où est inscrit "Gloire à Dieu au ciel et paix sur la terre". Un bas relief de la Vierge est égratigné par des éclats de balles. Le sol et les murs sont maculés de sang et jonchés de verre brisé, alors que des morceaux de chair sont visibles.

    "Nous n'avons plus notre place place ici. Qu'est ce qu'ils veulent de nous? Que leur a-t-on fait? Ils ont tué des innocents qui priaient. Ils veulent nous faire partir, et que fait le gouvernement? Absolument rien", a affirmé plein de douleur Mgr Kasha.

    "Tout le monde va partir. Ils attendent la fin de l'école et partiront", a-t-il ajouté. Il n'y a plus que 20.000 syriaques catholiques en Irak contre 60.000 avant 2003.

    "Comme chaque dimanche, la messe a commencé vers 17H00 (14H00 GMT). Un quart d'heure plus tard, nous avons entendu des explosions et des bruits d'arme automatique, puis les terroristes ont pénétré par la porte principale dans l'église", a raconté Bassam Sami Youssef, 21 ans, un rescapé de la tuerie rencontré près du lieu de l'attentat.

    "Le père Athir a interrompu son sermon, et le père Wassim a tenté de mettre dans une pièce une cinquantaine de fidèles dont moi. Il a ensuite essayé de parlementer avec les assaillants mais ces derniers l'ont immédiatement abattu, ainsi que le père Athir", a-t-il ajouté.

    Selon lui, les attaquants, armé de kalachnikovs, de grenades et vestes d'explosifs, ont immédatement ouvert le feu. "C'était la panique. Les terroristes ont jeté une grenade sur sept fidèles qui tentaient de s'échapper", a-t-il dit.

    Le commandement des opérations de Bagdad, cité par la télévision officielle, a annoncé lundi l'arrestation de deux employés de la chaine Bagdadiya qui ont reçu une communication au cours de laquelle les assaillants ont détaillé leurs revendications.

    AFP. 01/11/10

    Des questions se posent sur les véritables commanditaires de ce carnage dans une église chrétienne.

  • 69: Gilles de Rais, seigneur de Tiffauges...

    BRAVO à Orion et à Iacchos! (les deux premiers dont j'ai reçu la réponse)

    Une fois de plus, ils ont deviné juste!

    69: Gilles de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais  (1404 - 1440)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_de_Rais et beaucoup d'autres sites.

    Le 70 n'a pas encore été identifié: il s'agit d'un écrivain et d'un homme politique français très connu.

    Félicitations aux gagnants pour leur perspicacité!

    Le jeu continue!

     

     

     

     

     

  • STATS OCTOBRE 2010

    Visiteurs uniques:  11 926

    Visites:  25 690

    Pages:  104 216

    Pages par jour (Moy/Max):  3361 / 5659

    Visites par jour (Moy/Max):  828 / 1112

  • Qui est-ce? 69 - 70

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    69

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    70

  • Tsahal en Gironde

    Une délégation de 60 soldats de l’Armée de l’Air Israélienne était en France sur la base aérienne 120 de Cazaux, en Gironde pour un programme d’échanges, de formation et de coopération avec l’Armée Française, qui s’est déroulé entre le 7 et le 22 octobre 2010 dernier.
     
    Hébergée sur le site militaire de Biscarosse, cette délégation a bénéficié du soutien logistique et de l’accompagnement de l’Aumônerie Israélite des Armées mis en place par Moshé Taieb, aumônier régional Sud-Ouest. C’est ainsi que l’ensemble des personnels participants à cette mission a pu manger casher sur la base et les lieux d’hébergement.
    Deux Shabbat ont été organisés grâce au prêt d’un Séfer Torah de la communauté de Bordeaux et les militaires israéliens ont pu apprécier l’hospitalité française et... le bon vin casher de Bordeaux.
     
     
    Source : lettre d’information du Grand Rabbinat de France
    CRIF - 29/10/10

  • VIDEO Le dîner du Siècle

    http://www.dailymotion.com/video/xffniv_le-diner-du-siecle-avec-dati-chain-carolis-bompard_news

    Le 27 octobre se tenait dans de prestigieux salons situés place de la Concorde à Paris le rendez-vous mensuel du « dîner du Siècle », qui réunit sur parrainage le gratin politico-médiatico-industriel. Un rendez-vous mondain d’ordinaire discret, voire secret.

    Au regard des activités du club « le Siècle » l’on a ainsi la clé du parti pris médiatique que l’on retrouve sur les ondes, les colonnes de presse (le référendum de 2005 en fût un exemple flagrant).

    Comment mettre à mal dans un éditorial, une émission la politique de dirigeants avec qui l’on a dîné la veille, comment prendre le contre-pied ou mettre devant leurs contradictions des hommes politiques avec lesquels on trinque mensuellement sous les hauts plafonds lambrissés de l’Automobile Club de France. Chez les journalistes on n'est pas disgracieux avec les convenances de la caste.

    Dans les pays anglo-saxons une telle réalité serait impossible, pas chez nous. Les murs qui séparent le bureau d’un ministre, d’un député ou d’un décideur économique et la salle de rédaction sont particulièrement poreux. La vidéo éclaire (site www.bakchich.info) sous un jour nouveau ce que le Front National dénonce depuis longtemps, les coteries entre politiques et médias et dont il faut l’avouer le Front National a été la principale victime (rappelons-nous de l’entre deux tours de 2002).

    Ces amicales se doivent de rester secrètes, on peut comprendre pourquoi Alain Lambert (sénateur UMP) ayant filmé et publié sur son blog (le 24 juillet 2008) une vidéo de l’un de ces dîners, a été contraint de retirer l’ensemble des images.

    L’on pouvait y croiser notamment :

    Nathalie Kosciusko-Morizet (Secrétaire d’Etat au développement de l’Economie numérique),Arlette Chabot (journaliste, ex-directrice de la rédaction de France 2), Rachida Dati (ex-Garde des Sceaux, maire du VIIe arrondissement de Paris, députée européenne, UMP), Guillaume Pépy (patron de la SNCF), Louis Gallois (patron d’EADS), Nicolas Seydoux (président des cinémas Gaumont, héritier de la famille Schlumberger), Pascal Clément (avocat, ancien Garde des Sceaux), Sylvie-Pierre Brossolette (rédactrice en chef au magazine Le Point), Marc Tessier (ex président de France Télévisions ), Alexandre Bompard (patron d’Europe 1), Dominique Perben (Ex Garde des Sceaux, ex ministre des transports, UMP), Michel Field (animateur télé et radio, LCI-Europe1), Patrick de Carolis (ex PDG de France Télévisions), Françoise de Panafieu (UMP, ex maire du XVIIe arrondissement de Paris), Alain-Gérard Slama (journaliste, RTL), Olivier Duhamel (chroniqueur et animateur, Europe 1), Benoît Genuini (ex médiateur de Pôle emploi), et bien d’autres…

    Qu’est ce que le Club « le Siècle » ?

    Fondé en 1944, le Siècle est un club qui réunit les principaux dirigeants d’entreprise, responsables politiques, journalistes, syndicalistes. Un mercredi par mois, place de la Concorde à Paris, ces élites se retrouvent pour dîner dans les salons de l’Automobile club de France. C’est l’occasion pour des politiques et des journalistes influents de discuter librement, en toute confidentialité. Car l’une des principales règles du Siècle est la discrétion : les membres sont cooptés chaque année, les discussions qui y sont tenues ne doivent pas filtrer et aucune caméra n’est tolérée.

    Actuellement, le club du Siècle compte un peu plus de 580 membres (la plupart des grands patrons, des personnalités politiques de premier plan et des journalistes médiatiques). Plus d’une centaine de personnalités ont le statut d’invités et attendent leur acceptation comme membres. La cotisation annuelle est de 150 euros, et la participation à chaque dîner coûte un peu plus de 60 euros.

    NPI - 31/10/10

  • Un des suspects du meurtre du viticulteur gardois est écroué

    Pierre Confort 68 ans.jpg

    Pierre Confort, 68 ans

    Un homme a été interpellé jeudi dans l’Hérault après la mort d’un agriculteur qui avait été roué de coups à Sauzet (Gard), le 24 août. Le suspect, issu de la communauté des "gens du voyage", est âgé de 28 ans. Son casier judiciaire porte mention de nombreuses condamnations pour « escroqueries et vols ».

    Hier après-midi, il a été mis en examen à Nîmes pour « vol avec violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et écroué.
    Au départ, c’est une affaire de vol de piquets de vigne qui va se terminer par le décès de l’agriculteur propriétaire du vignoble.
    Le 24 août, à l’heure du déjeuner, Pierre Confort, 68 ans, surprend en flagrant délit trois hommes en train de lui dérober des piquets métalliques utilisés pour les vignes. « Depuis plusieurs mois, de nombreux vols sont à déplorer dans la région, liés à la flambée du cours des métaux. Des équipes se sont spécialisées dans ce domaine et pillent les exploitations », témoigne un agriculteur de Sauzet, lieu où s’est déroulé le drame.
    Lorsque Pierre Confort arrive sur ses terres, une altercation éclate. « L’homme interpellé explique qu’il a esquivé un coup de l’agriculteur et qu’ensuite il a donné à son tour un coup de poing au visage du vigneron, lui ouvrant l’arcade sourcilière, déclare le procureur de la République de Nîmes. Ses explications ne correspondent pas avec les constatations médico-légales. »

    Vif émoi des habitants du canton

    Sur le visage et la tête de Pierre Confort, de nombreux coups ont en effet été constatés. Selon les éléments de l’enquête, ce jour-là, Pierre Confort, malgré le déluge de coups, est parvenu à fuir pour chercher du secours et des renforts au bar du village. Une course-poursuite s’est ensuite engagée entre les trois voleurs et Pierre Confort, aidé de plusieurs jeunes. C’est au cours de la course-poursuite que Pierre Confort est décédé, victime d’un arrêt cardiaque au volant de sa voiture.
    La nouvelle de sa mort a suscité un vif émoi parmi les habitants de ce canton rural. Les paysans se sont mobilisés pour « éviter que l’enquête ne somnole et pour voir les tueurs de Pierre en prison », avait expliqué, peu après le drame, le président de la cave coopérative. Si un des membres de cette virée mortelle a été interpellé, confondu par son ADN, ses deux autres équipiers n’ont pas été retrouvés. L’homme mis en examen hier a prétendu ne pas connaître les deux complices qui étaient avec lui au moment de l’agression! Il prétend les avoir rencontrés juste avant le vol.

    Le Parisien - 31/10/10

     

     

  • Un cimetière juif profané à Bar-le-Duc: le préfet de la Meuse se déplace

    Des pierres tombales renversées, brisées en deux, des grilles arrachées... Quarante-neuf tombes ont été profanées au cimetière israélite de Bar-le-Duc (Meuse). Les policiers ont été alertés vendredi soir vers 19 heures, par un riverain qui promenait son chien et qui a été surpris de voir ouverte la grille du cimetière généralement verouillée.

     Il a prévenu la police qui a comptabilisé 49 stèles renversées parmi les 126 tombes.

     Selon le site de l'Est Républicain qui a révélé cette profanation, la première dans ce cimetière vieux de deux siècles, situé à l'abri d'un sous-bois dans le quartier de Marbot, aucune inscription n'a été laissée par les auteurs. C'est la première fois que ce cimetière est la cible d'un tel acte.

    Le procureur de la République a ouvert une enquête pour «dégradations graves et violation de sépultures» précisant qu'il n'a pas été porté atteinte à l'intégrité des défunts. L'enquête a été confiée au service régional de la police judiciaire de Nancy.

    Le préfet de la Meuse Colette Desprez, le député Bertrand Pancher, le sénateur Gérard Longuet, le maire de Bar-le-Duc Nelly Jaquet et plusieurs familles concernées se sont rendus sur place.

    Le Parisien - 31/10/10

     

     

  • Des Roms portaient des maillots de bain de femme pour cacher l'alcool volé

    Six personnes, dont quatre hommes, ont été arrêtées en flagrant délit de vol dans un hypermarché de la région d'Orléans: tous portaient sous leurs vêtements des maillots de bain de femmes, pour mieux y cacher des bouteilles dérobées, a-t-on appris vendredi de source policière.

     Au total, les policiers ont eu la surprise de retrouver 30 bouteilles d'alcool ainsi que des barquettes de viande, cachées dans les maillots de bain une pièce portés par les quatre hommes et deux femmes d'origine roumaine.

    Ce stratagème permettait de mieux contenir les objets volés près du corps, afin d'éviter qu'ils ne glissent dans les pantalons ou sous les jupes, selon la même source.

    Les six voleurs, interpellés mercredi, ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire à l'issue de leur garde à vue. Ils seront convoqués par la justice à une date ultérieure.

    AFP. 31/10/10

  • Yémen: l'enquête avance à grands pas, malgré des interrogations...

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-internationale/l-enquete-sur-les-colis-pieges-progresse-1640286

    Alors que deux colis piégés, prêts à exploser, ont été interceptés vendredi à Dubaï et en Angleterre, celui retrouvé dans les Emirats arabes unis a été acheminé via Doha, sur un vol passagers de Qatar Airways, a affirmé dimanche à l'AFP une source au sein de la compagnie.

    Qatar Airways a confirmé que le colis piégé avait été acheminé sur l'un de ses avions, mais sans préciser s'il s'agissait d'un avion cargo ou d'un vol commercial.

    La compagnie a rejeté toute responsabilité à propos du contenu du colis: "Ce n'est pas la responsabilité du pays dans lequel transite la cargaison de l'inspecter ou de le soumettre aux rayons X, mais celle du pays d'où la cargaison a été acheminée".

    Selon un responsable anti-terroriste américain, le "suspect clé" dans l'enquête sur ces colis est un jeune Saoudien connu pour être un artificier d'Al-Qaïda au Yémen.

    "Les activités passées de Ibrahim Hassan Al-Asiri font de lui un suspect clé", a dit à l'AFP ce responsable sous couvert d'anonymat, ajoutant: "Nous disposons d'éléments suggérant qu'il a joué un rôle dans plusieurs complots d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique, dont la tentative d'assassinat d'un responsable saoudien et la tentative d'attentat à Noël l'an dernier".

    Le conseiller du président américain Barack Obama pour l'antiterrorisme, John Brennan, avait auparavant lui aussi fait des déclarations dans ce sens.

    "Les indications dont nous disposons à l'heure actuelle, basées sur les analyses criminelles, montrent que l'individu responsable d'avoir fabriqué ces engins est le même" que celui ayant fabriqué la bombe pour l'attentat raté de Noël, a-t-il déclaré sur la chaîne ABC, mais sans citer de nom.

    Agé de 28 ans et installé au Yémen, Ibrahim Hassan al-Asiri, à qui l'on attribue la conception de la bombe à la penthrite placée dans le slip de Farouk Abdulmutallab, le jeune Nigérian auteur de l'attaque manquée de Noël, figure sur la liste des hommes les plus recherchés par Ryad.

    Par ailleurs, M. Brennan a affirmé qu'il n'y avait "aucune indication qu'il y (ait) encore d'autres (colis piégés) en circulation", ajoutant que le gouvernement avait pris les mesures nécessaires au cas où il y en aurait.

    La ministre britannique de l'Intérieur, Theresa May, a indiqué pour sa part sur la BBC qu'un examen des procédures de sécurité allait être réalisé dans le fret aérien: "Nous regardons de près la façon dont le fret est inspecté, nous allons entamer des discussions avec les professionnels du secteur sur le sujet".

    Son homologue allemand, Thomas de Maizière, a indiqué que l'Allemagne avait averti les Britanniques, grâce à une information de "services secrets amis", de la présence d'un colis suspect ayant transité par l'aéroport de Cologne.

    Les autorités yéménites continuaient dimanche de traquer des suspects au lendemain de l'annonce de l'arrestation d'une jeune femme "suspectée d'avoir envoyé des bombes dans des colis" et dont le numéro de portable figurait sur les bordereaux des paquets.

    La jeune femme de 22 ans, Hanane al-Samaoui, est étudiante en ingénierie, selon l'organisation yéménite de défense des droits de l'Homme Hood, qui a mis en doute sa culpabilité.

    L'organisation a souligné qu'il y avait "plus d'un point d'interrogation dans cette affaire", "Al-Qaïda ne laissant jamais de traces".

    Plus de 500 étudiants de la Faculté de génie de l'Université de Sanaa ont manifesté dimanche pour réclamer la libération de la jeune étudiante suspectée.

    Dans la plupart des quartiers de Sanaa, les forces de sécurité ont établi des points de contrôle, vérifiant l'identité des passagers des voitures, selon un correspondant de l'AFP.

    Les autorités ont fermé samedi les bureaux des compagnies FedEx et d'UPS à Sanaa, qui devaient acheminer les deux colis. Elles ont saisi 26 colis suspects et interpellé des employés des compagnies de transport aérien et de la division cargo de l'aéroport de Sanaa.

    Selon un haut responsable yéménite de l'aviation civile, Mohammad Abdel Rahmane Abdel Kader, "le gouvernement est en train d'examiner un renforcement des mesures de sécurité du fret aérien de manière à pouvoir examiner les cargaisons à 100% avant qu'elles ne soient chargées sur les avions".

    AFP. 31/10/10

  • Oui, le 67, c'était Jules Renard!

    67 - Jules RENARD  (1864 - 1910)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Renard

    Un grand bravo à ceux et celles qui l'ont identifié! Ce n'était pas si facile!

    A bientôt!

     

     

     

  • "L'inflation " peut conduite en prison!

    Rachida dati en bikini.jpg

    La prochaine fois, Rachida Dati tournera la langue 7 fois dans sa bouche avant de parler. Car son lapsus du 26 septembre dernier au cours de l'émission politique Dimanche +, durant laquelle l'ancienne garde des Sceaux avait confondu "inflation" et "fellation", continue de faire parler, cinq semaines après, et de lui causer des soucis.

    Il y a quelques jours, un homme de 39 ans a envoyé plusieurs mails demandant une "petite inflation" à l'eurodéputé, ce qui n'a pas fait rire du tout Rachida Dati, dont la plainte a été reçue au commissariat. Quelques jours plus tard, le 20 octobre au matin, l'homme, originaire de la Drôme, a été cueilli à son domicile par l'antenne de la police judiciaire lyonnaise à Valence. Il a été immédiatement placé en garde vue durant 48 heures, son appartement perquisitionné, et son ordinateur saisi.

    L'homme a ensuite été déféré devant le parquet puis présenté au juge des libertés et de la détention qui l'a placé sous contrôle judiciaire, avec "interdiction de rencontrer la plaignante". Le dernier mail évoquait en effet la possibilité d'une rencontre, selon les précisions du procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli. L'homme a par ailleurs dû subir une expertise psychiatrique dont les conclusions ont affirmé qu'il était "sain d'esprit".

    Et tout n'est pas terminé pour l'auteur de ces mails puisqu'il a été placé sous contrôle judiciaire et doit comparaître devant le tribunal correctionnel de Valence pour répondre d'"outrage à personne dépositaire de l'autorité publique". Un contrôle judiciaire motivé par le procureur de la République pour qui "l'outrage est caractérisé dès lors qu'une expression est de nature à rabaisser la considération réservée à une personne publique. En l'espèce, c'est Rachida Dati en tant que député européen, qui est visée à travers sa messagerie". Une réponse judiciaire que l'avocat du Drômois juge "disproportionnée". Il compte plaider la relaxe estimant que son client s'est adressé "à la femme et non à l'élue".

    Enfin, l'ancienne ministre de la Justice a tenu à expliquer les conditions de sa plainte sur son blog. Dans un billet d'humeur intitulé "Pour lever tout malentendu..." et daté du 29 octobre, Rachida Dati explique s'être sentie "menacée" par l'insistance des mails. "Au delà d’être une élue, je suis une femme et une mère, et j’ai tout simplement eu peur pour ma sécurité et surtout celle de ma fille".

    L'énamouré connaîtra son sort le 3 décembre prochain. Il risque 6 mois d'emprisonnement et 7500 euros d'amende. (Fanny Borius/DioraNews).

    AFP. 31/10/10

  • Félicitations pour le 66 et le 68!

    66 - Alphonse ALLAIS  (1854 - 1905 ), journaliste, écrivain et humoriste français

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphonse_Allais et autres sites

    68 - Pierre DRIEU LA ROCHELLE  (1893 - 1945 ), un grand écrivain français

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Drieu_La_Rochelle et autres sites

    Bravo à Orion, Iacchos et Georges!

    Vous êtes décidément très forts!

    Je vais essayer de mettre la barre plus haut!

    Reste à découvrir le 67, un autre grand écrivain français très connu! Vous avez lu sûrement au moins une de ses oeuvres.

    Merci à tous les participants!

  • Katz, criminel de guerre

    general_joseph_katz.jpg

    Joseph Katz, le bourreau d'Oran  (1907 - 2001)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Katz

    Libres propos

    « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » (Racine)

    En ce début d’année 1962, l’OAS était arrivée à l’apogée de sa puissance et le slogan « l’OAS frappe où elle veut, quand elle veut », n’avait jamais été aussi vrai. A Oran, elle était maîtresse de la ville. A sa tête figurait des noms prestigieux comblés de gloire et d’honneurs qui entretenaient un climat de confiance malgré le tragique de la situation…

    Le gouvernement gaulliste ne pouvant admettre pareille humiliation, avait nommé à la tête du secteur autonome d’Oran, afin de réduire cette « OAS narguante » – et pour le malheur des Oranais – le 19 février 1962, le général Joseph Katz en remplacement du général Fritsch qui refusait de pratiquer sur les membres de l’OAS cette besogne de basse police qu’était la torture. La mission de Katz : « Mettre au pas la ville sous contrôle de l’OAS ». Celle-ci était alors dirigée par les généraux Jouhaud et Gardy, le colonel Dufour, le commandant Camelin, le lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume, Charles Micheletti et Tassou Georgopoulos.

    En bon exécutant, Katz, s’apprêtait à écraser ceux qui refusaient d’obéir aux ordres de l’Elysée et ceux qui persistaient à crier « Algérie française ! », maxime désormais classée comme « cri séditieux », ajoutant aux vertus de l’obéissance passive, une haine que même le règlement de la gendarmerie ne prescrivait pas. Car Katz n’était pas un soldat comme les autres. C’était une sorte de prolétaire patrouillant avec délice dans la hiérarchie militaire, un ancien gardien de vaches bousculant les usages et les convenances. Carré d’épaules, rond de ventre, aussi peu distingué que son complice d’Alger, Debrosse, outre celle de leur cruauté, on leur prêtait une certaine ressemblance : même corpulence massive, même front de taureau, même manie de traiter tout le monde de « con » ou de « bon à rien », même dénuement de préjugés.

     

    Katz était un militaire républicain que De Gaulle avait cueilli à Bordeaux pour l’envoyer mater la « racaille d’Oran ». Son sentiment à l’égard des Pieds Noirs était celui-ci : « Un ramassis de descendants de déportés de droit commun, de négriers qui veulent conserver leurs privilèges. ». Cet homme, arrêté en mai 1958 pour avoir soutenu Pflimin, c’est-à-dire la République pure et dure, avait obéi parce qu’en 1962, la République, c’était De Gaulle… et l’assurance d’une foudroyante promotion. Encore un spécialiste du « retour de veste ».

    Alors qu’à Alger, depuis la sanglante affaire des Barricades, on avait surnommé Debrosse : « Le sanguinaire », très vite, aux yeux des Oranais, Katz allait devenir « Le boucher ». Pour briser toute résistance, la première consigne qu’il donna à sa troupe essentiellement constituée de « gens sûrs », en l’occurrence les Gendarmes Mobiles, dits « les rouges » fut celle de tirer à vue sur tout Européen qui aurait l’audace de paraître sur une terrasse ou un balcon lors d’un bouclage. « Le feu – précisa-t-il – sera ouvert sans sommation sur les contrevenants à partir du 23 avril. De même, le feu sera ouvert, par tous les moyens y compris l’aviation, sur les éléments OAS circulant en ville. ». C’était ratifier une pratique que les « gendarmes rouges » utilisaient déjà depuis un mois…

     

    Gendarmes mobiles (« les rouges ») arborant le drapeau du FLN en signe de « victoire ». La honte ne se raconte pas, elle s’encaisse !

    Gendarmes mobiles (« les rouges ») arborant le drapeau du FLN en signe de « victoire ». La honte ne se raconte pas, elle s’encaisse !

    Les premières victimes du « boucher d’Oran » furent deux adolescentes de 14 et 16 ans : Mlles Dominiguetti et Monique Echtiron qui étendaient du linge sur leur balcon. Elles furent tuées par les gendarmes. Les projectiles d’une mitrailleuse lourde de 12/7 traversèrent la façade et fauchèrent dans leur appartement, Mme Amoignan née Dubiton, dont le père était déjà tombé sous les balles d’un terroriste du FLN, ainsi que sa petite fille, Sophie, âgée de deux ans et demi et sa sœur, Frédérique, âgée de treize ans qui, atteinte à la jambe, eut le nerf sciatique arraché et dut être amputée. « Il est beau qu’un soldat désobéisse à des ordres criminels » ; à l’évidence, ces soldats par trop zélés n’avaient pas lu Anatole France…

    Toutefois, tirer à vue sur tout ce qui bougeait ne semblait pas briser la résistance oranaise. Alors, « en désespoir de cause », Katz demanda à son officier de liaison Air, le colonel Grégoire, d’étudier les possibilités d’armement des bombardiers B-26 avec des roquettes et des bombes de 260 livres.

    Le général Hautière, commandant de l’aviation en Oranie, protesta avec vigueur bien que ses sentiments anti-OAS ne fussent pas douteux. Bombarder une ville de quatre cent mille âmes avec un tel armement, cela relevait de la monstruosité, du machiavélisme le plus immoral, ou tout simplement… de la folie. Cependant Katz insista tant et si bien qu’à titre expérimental une mission fut toutefois déclenchée. Lorsque l’aviation se trouva au-dessus de l’agglomération, ordre lui fut donné de ne tirer qu’à la mitrailleuse et de larguer ses bombes au-delà de l’objectif, dans la mer. Le vacarme fut tel que le « brave général » en aurait, paraît-il, pâli !…

    Cette lutte « impitoyable et par tous les moyens », selon l’ordre donné par de Gaulle, faisait partie d’un plan mûrement concerté : IL FALLAIT ABATTRE L’ALGERIE FRANÇAISE ; il fallait aussi montrer aux masses musulmanes, longtemps hésitantes, qu’elles devaient maintenant et définitivement, opter pour le FLN dont la France était désormais l’alliée, luttant, avec ce mouvement terroriste, contre l’ennemi commun : LE FRANÇAIS D’ALGERIE ! Et cette alliance n’avait aucune limite, ne souffrait d’aucun scrupule dès lors qu’elle permettrait de venir à bout de l’OAS… Pour preuve : au mois de mai 1962, la gendarmerie « blanche » arrêta un assassin de la pire espèce, Slémani Slimane, qui reconnut avoir torturé et tué vingt-sept Européens. Il fut inculpé. Katz le fit libérer et rapportera que ce dernier « lui rendra de grands services dans les jours les plus agités ».

    S’adressant à un membre de l’Exécutif Provisoire, Katz eut ces mots terribles :

    « Donnez-moi un bataillon de l’ALN et je réduirai l’OAS à Oran ». Ces propos, monstrueux et inqualifiables de la part d’un officier français firent l’objet d’une question à l’Assemblée nationale (JO du 8 mai 1962 – page 977).

    Ce « bataillon de l’ALN », Katz allait néanmoins se le procurer –avec l’assentiment discret de l’Elysée- en procédant au recrutement de la plus immonde espèce d’assassins qui eut été donné de voir…

    Ce renfort était constitué par les « martiens », ces révolutionnaires du mois de mars, qui, le cessez-le-feu prononcé, venaient sans danger rejoindre les rebelles. Ils étaient les combattants de la dernière heure, impatients de fêter dans le sang leur baptême de « libérateurs » et de se parer d’états de service de pillages et de tueries à faire pâlir le plus chevronné des assassins. Leur unique but était de se faire prévaloir et surtout de faire oublier qu’ils s’étaient abstenus de combattre durant sept années, attendant de connaître l’issue des armes pour se ranger du côté du vainqueur. De ce fait, ils étaient devenus les plus sanguinaires : exactions, tortures, viols, massacres d’Européens et de harkis se multipliaient, mais on n’en parlait pas. Leurs bandes anarchiques allaient être à l’origine du pogrom anti européen du 5 juillet…

    Au hasard des rafles qui avaient lieu, le jour dans les rues, la nuit dans les maisons, les Européens étaient entassés dans des camions de CRS ou de Gardes mobiles et promenés, enchaînés, dans les quartiers arabes pour y exciter la foule et montrer comment la France traitait ses ennemis. Pareille épreuve fut même infligée à l’Inspecteur Général des Ponts et Chaussées, venu à Oran pour le fameux plan de Constantine !

    La fraternisation entre Gardes mobiles et FLN était sans retenue : le soir, les premiers étaient généreusement pourvus en prostituées envoyées par les seconds. On ne peut, dès lors, s’étonner de l’attitude passive qui fut celle de Katz et de ses gendarmes lors de la tuerie du 5 juillet 1962 à Oran… Sur ce point, rappelons cette anecdote impliquant un officier français d’origine algérienne, le lieutenant Rabah Kheliff qui commandait la 4e compagnie du 30e BCP (30e Bataillon de chasseurs portés). Le 5 juillet 1962, celui-ci, apprenant que des civils européens étaient regroupés en divers points de la ville d’Oran, dans l’attente d’être exécutés, il décida de passer outre les ordres de Katz de ne pas intervenir et de se porter à leur secours. Il prévint par téléphone son colonel, qui répondit : « Faites selon votre conscience, quant à moi je ne vous ai rien dit »

    À la tête de la moitié de sa compagnie, le lieutenant Kheliff gagna un des points de regroupement, devant la préfecture. « Il y avait là une section de l’ALN, des camions de l’ALN et des colonnes de femmes, d’enfants et de vieillards dont je ne voyais pas le bout. Plusieurs centaines, en colonnes par trois ou quatre, qui attendaient là avant de se faire zigouiller (sic) ». Le lieutenant Kheliff exigea et obtint du préfet, Souiyah El Houari, leur libération. S’étant quelque peu éloigné de son détachement, il fut lui-même pris à partie et blessé par des civils algériens, puis dégagé par ses hommes, à qui il interdit d’ouvrir le feu. Après quoi, il établit des patrouilles sur les axes routiers menant à l’aérodrome et au port pour « arracher littéralement » des malheureux des mains de leurs agresseurs.

    A la suite de cet acte héroïque, il fut mis aux arrêts de rigueur, et convoqué par Katz qui lui adressa ces mots terribles : « Si vous n’étiez pas arabe, je vous casserais ! ».

    Katz échappera cependant à plusieurs attentats dont celui qui, le 14 juin 1962, coûtera la vie au général Ginestet, commandant alors le corps d’armée d’Oran, que les auteurs de l’attentat confondirent avec Katz (terrible méprise qu’ils paieront de leur vie). Dès le lendemain, le « boucher d’Oran » obtiendra ce commandement.

    La « victoire » acquise, l’indépendance accordée à ses alliés, KATZ quitta Oran pour la Métropole le 13 août 1962, après avoir fait l’objet, le 4 août, d’une citation à l’ordre de l’armée comportant l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec palme pour, entre autres, « avoir su rétablir et préserver avec force et dignité l’autorité légale et l’ordre public »… décoration qui lui sera remise par le Ministre des armées, Pierre Messmer. Une nouvelle étoile vint également rappeler ses « bons et loyaux services ». De Gaulle savait payer ses séides !…

    Nommé fin 63 à la tête de la 4e Région militaire (Bordeaux), il quitta le service armé début 1968 avec le grade de général d’armée (5 étoiles).

    En 1978, ayant gagné une retraite « bien méritée », il briguera un mandat parlementaire. Quel groupe pouvait lui accorder son investiture ? Le parti gaulliste, l’UDR, évidemment. Dans l’Allier où il se présenta, il subit un cuisant échec. Les Pieds Noirs installés dans le Bourbonnais se rappelèrent à son souvenir et eurent la gentillesse de lui offrir, à Gannat, un drapeau tricolore sur lequel était inscrit en lettres de sang :

    « A Katz, bourreau d’Oran »

    D’autres affronts lui seront octroyés et, entre autres, celui-ci : Katz assistait à une messe officielle à Saint Jean de Luz (64). A la sortie, une jeune fille, métropolitaine de surcroît, réussit à lui parler :

    « Général, je viens de communier et de prier pour vous ». Katz, interloqué, la remercia toutefois et lui demanda les raisons de sa touchante attention : « J’ai prié pour que le Seigneur vous pardonne tous vos méfaits… » Dès le lendemain, la Sécurité Militaire enquêtait pour identifier la jeune insolente…

    Une plainte pour « complicité de crime contre l’humanité et obéissance à des ordres criminels » fut déposée le 16 octobre 1999 entre les mains du doyen des juges du Palais de Justice de Paris au nom de 47 familles des victimes du massacre du 5 juillet à Oran ainsi que du Comité VERITAS. Cette plainte fut déclarée irrecevable mais suivie d’une décision par le juge de non informer. Un appel de cette décision n’aura pas de suite en raison du décès du « Boucher d’Oran » intervenu le mardi 6 mars 2001 à Amélie-les-Bains (66). Rejeté par ses pairs, il finira ses jours, seul, et sa famille choisira de l’inhumer au cimetière de Rosas, en Espagne. –

    « Rien d’humain ne battait sous son épaisse armure » (Lamartine)

    « Pour la honte éternelle de la France, De Gaulle s’est comporté envers la population profrançaise d’Algérie –aussi bien d’origine européenne que d’origine musulmane- comme s’il s’agissait de criminels et il a autorisé d’incroyables atrocités perpétrés contre elle par la gendarmerie mobile, tandis que dans le même temps il ordonnait à l’armée de ne pas gêner les sévices, les enlèvements et les massacres du FLN. » (Thomas Molnar – Journal National Review, septembre 1962)

    « Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune  » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc)

    José CASTANO

    Source

    NPI - 30/10/10

  • Qui est-ce ? 68

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    (Il s'agit de la même personne)

  • Qui est-ce? 66 -67

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    67

  • Miracle! Les colis piégés auraient pu exploser en plein vol s'ils n'avaient pas été interceptés...

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    (Cliquez sur la photo)

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-internationale/colis-suspects-dans-2-avions-en-route-vers-les-etats-unis-1636070

    "Les forces de sécurité yéménites ont arrêté une femme soupçonnée d'avoir envoyé les colis contenant les bombes", a déclaré le ministère de la Défense yéménite, sans plus de précisions.

    Selon un responsable des services de sécurité, cette femme, arrêtée avec sa mère, est "une étudiante en médecine à l'université de Sanaa".

    Les services de sécurité yéménites ont trouvé son numéro de téléphone portable sur les bordereaux des colis, a-t-il ajouté.

    Le chef de la police de Dubaï, le général Dahi Khalfane, a indiqué que le colis intercepté vendredi à l'aéroport international de Dubaï aurait pu "exploser" dans l'avion s'il n'avait pas été intercepté à temps.

    La police a indiqué avoir trouvé un mélange de penthrite et de plomb, un explosif très puissant, dissimulé dans une imprimante d'ordinateur et muni d'un détonateur.

    "L'engin a été préparé de manière professionnelle et doté d'un circuit électrique relié à une carte de téléphone portable cachée dans l'imprimante", selon la police, pour qui la méthode est "caractéristique" des groupes terroristes comme Al-Qaïda.

    L'autre paquet, trouvé le même jour dans un avion cargo de la compagnie américaine UPS à l'aéroport d'East Midlands, dans le centre de l'Angleterre, devait exploser à bord de l'appareil en partance pour les Etats-Unis, a déclaré à la BBC le Premier ministre britannique, David Cameron.

    "Nous pensons que l'engin devait exploser dans l'avion. Nous ne pouvons pas être sûrs du moment où cela devait se produire", a-t-il ajouté.

    La ministre britannique de l'Intérieur, Theresa May, avait indiqué plus tôt que le paquet contenait "du matériel explosif" et "était opérationnel".

    Selon elle, la cible de l'attaque "pourrait avoir été un avion", qui se serait écrasé au sol si la charge explosive avait été activée.

    A Dubaï, l'Autorité générale de l'aviation civile (GCAA) a annoncé que le colis découvert à l'aéroport avait transité par le Qatar, alors que Scotland Yard a affirmé que l'avion ayant transporté l'autre paquet était passé par l'Allemagne après le Yémen.

    "Nous savons que les auteurs de cet acte -qui porte l'empreinte d'Al-Qaïda-péninsule arabique (Aqpa)- font tout ce qu'ils peuvent pour tester notre système" de sécurité, a indiqué samedi la secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Janet Napolitano.

    Une alerte mondiale avait été déclenchée vendredi après la découverte des colis.

    Au Yémen, pays auquel les Etats-Unis ont demandé une "collaboration étroite" dans la lutte antiterroriste, le président Ali Abdallah Saleh a réitéré samedi soir l'"engagement" de son pays à "lutter contre le terrorisme".

    "Mais nous ne permettrons à personne de s'ingérer dans nos affaires intérieures et nous combattrons le terrorisme par nos propres moyens", a-t-il ajouté au cours d'un bref point de presse.

    Al-Qaïda au Yémen est une source d'inquiétude aux Etats-Unis depuis l'attentat raté à l'explosif contre un avion de ligne le jour de Noël 2009, mené par un Nigérian qui avait caché de la penthrite dans ses sous-vêtements.

    Dix ans après l'attentat - revendiqué par Al-Qaïda - contre le navire américain USS Cole qui avait tué 17 Américains le 12 octobre 2000 dans le port yéménite d'Aden, le réseau continue de prospérer dans le pays, multipliant les attentats contre les intérêts économiques et les cibles étrangères.

    Le président américain Barack Obama avait indiqué vendredi que les colis étaient adressés "à des lieux de culte juifs, à Chicago", son fief électoral, où il doit passer la nuit de samedi à dimanche, dans le cadre d'une ultime tournée avant les législatives de mardi.

    Selon la Maison Blanche, M. Obama avait été tenu au courant jeudi soir d'une "éventuelle menace terroriste" visant les Etats-Unis.

    La Maison Blanche a remercié vendredi l'Arabie saoudite qui a permis "d'obtenir des renseignements relatifs à l'imminence d'une menace émanant du Yémen".

    Les transporteurs américains UPS et FedEx ont annoncé vendredi soir mettre fin à leurs services à partir du Yémen. La Direction générale de l'Aviation civile française (DGAC) a annoncé samedi la suspension du fret aérien en provenance du Yémen tandis que la Belgique a demandé une "vigilance accrue" pour les vols de et vers le Yémen, et à destination des Etats-Unis.

    AFP. 30/10/10

    Les colis piégés devaient-ils exploser dans les avions OU dans les synagogues où ils avaiet été adressés? Ce n'est pas très clair...

     

     

  • Miss Etats-Unis couronnée Miss Monde...

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    Miss Etats-Unis, Alexandria Mills, 18 ans, a remporté samedi le titre de Miss Monde 2010 devant plus de 100 concurrentes, lors d'une cérémonie dans la station balnéaire de Sanya, sur l'île tropicale chinoise de Haïnan.

    AFP. 30/10/10

  • Communautarisme musulman: Mouloud Aounit exige la prison ferme pour Jean-Marie Le Pen

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    Dupont dans TINTIN

    Le président du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) a jugé « bonnes » les réquisitions à l’encontre de Jean-Marie Le Pen, Président du Front National, à l’occasion du procès concernant une affiche du FNJ qui dénonçait l’islamisation de notre pays.

    S’il estime que le sursis est « léger » pour un « multirécidiviste cultivant la haine raciale », Mouloud Aounit a souhaité une application « totale » de la loi, car il juge « un peu regrettables » pareilles réquisitions à l’encontre de celui qui a « incité à la haine raciale et profané le drapeau de l’Algérie ».

    Nous avons eu beau chercher, nous ne trouvons aucune trace de haine raciale dans le fait de refuser la montée de l’Islamisme en France alors que nos compatriotes vivent dans la peur des attentats depuis des lustres et que le niveau d’alerte du plan Vigipirate n’est jamais redescendu, depuis le 7 juillet 2005, sous le niveau rouge. Il n’y a, d’ailleurs, pas plus de profanation de l’emblème national algérien que de beurre en broche. Les tee-shirts, où la carte de France est bariolé aux couleurs du drapeau algérien, existent. Ils existent et sont portés par des immigrés ou des Français de fraîche date. Ce colonialisme là, le MRAP ne le dénonce pas puisqu’il en est le poste avancé.

    En 2005, déjà, il « condamnait sévèrement la liberté de blasphème, qui ouvre le champ du racisme. » Le « blasphème »?  Pas pour les catholiques, rassurez-vous. Mais Mouloud Aounit confondait déjà les genres en croyant deviner un « islamophobe » virtuel derrière tout citoyen attaché à la laïcité. Comme l’écrivait Jack Dion sur Marianne2.fr, si Mouloud Aounit veut réhabiliter le blasphème, il lui faudra débaptiser le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples pour en faire le « Mouvement religieux sous l’autorité des prophètes ».

    NPI - 30/10/10