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Blog - Page 1586

  • VIDEO Tsahal à l'abordage du "Rachel Corrie"

    http://www.2424actu.fr/actualite-international/tsahal-a-l-abordage-du-rachel-corrie-943031

    05/06/10

  • VIDEO Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°193

    http://www.dailymotion.com/video/xdjz6d_news

    - Actu internationale : Le raid israélien contre une flottille internationale
    - La position de la Turquie sur ce conflit.

    04/06/10

  • Jésus était-il Celte? - Une mystérieuse découverte...

    http://marie.roca.over-blog.com/article-les-galileens-dont-jesus-etaient-celtes-la-decouverte-interdite-46937547.html

    05/06/10

  • Le cargo irlandais en route vers Gaza n'a pas peur du blocus israélien

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    Avigdor Lieberman - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    JERUSALEM — Un cargo d'aide se rapprochait vendredi soir de la bande de Gaza, quatre jours après l'interception sanglante d'une flottille en route pour le territoire palestinien, au terme d'une journée de mobilisation palestinienne et arabe israélienne sans incident majeur.

    Le Rachel Corrie, affrété par une organisation irlandaise pour acheminer de l'aide humanitaire, espère arriver samedi matin à Gaza, selon les passagers.

    Le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman a réaffirmé que son pays entendait interdire l'accès au port de Gaza de ce cargo.

    "Je viens d'indiquer au directeur général du ministère irlandais des Affaires étrangères que ce cargo ne pourra pas se rendre à Gaza sans être préalablement inspecté", a-t-il affirmé à la première chaîne publique de la télévision israélienne.

    Auparavant, son ministère a publié un communiqué indiquant: "Nous n'avons aucun désir d'aborder le navire. Si le bateau décide d'aller jusqu'au port d'Ashdod, alors nous ne l'aborderons pas".

    Israël voudrait inspecter la cargaison pour s'assurer que le navire ne transporte pas d'armes ou de matériel de guerre et est prêt à livrer ensuite tout le chargement à Gaza, selon le texte.

    "L'un des éléments qui nous parviennent est qu'Israël pense que nous allons diriger ce navire et sa cargaison vers Ashdod. Mais nous n'avons aucune intention d'aller à Ashdod qui est en Israël", a répondu l'Irlandaise Mairead Maguire, 66 ans, prix Nobel de la paix, qui est à bord.

    "Nous sommes partis pour livrer cette cargaison à la population de Gaza et ce que nous souhaitons faire, c'est briser le siège de Gaza", a expliqué Mme Maguire. "Nous n'avons pas peur".

    "On nous a bien averti que les Israéliens avaient l'intention de nous stopper et de nous intercepter", a dit de son côté Denis Halliday, ex-haut responsable de l'ONU, également à bord. "Nous sommes donc prêts au pire mais en espérant que, peut-être, il y aura une exception et qu'Israël nous autorisera à amener cette cargaison à Gaza".

    Mme Maguire a estimé acceptable l'éventualité que le cargo soit contrôlé par l'ONU ou un organisme indépendant pour vérifier qu'il ne transporte aucun matériel dangereux.

    "Mais nous ne sommes pas disposés à autoriser Israël à le faire. Notre cargaison a été inspectée par des responsables du gouvernement irlandais, des responsables syndicaux à Dundalk (port d'Irlande du Nord) et des responsables du parti écologiste", a-t-elle relevé.

    Le ministre irlandais des Affaires étrangères Micheal Martin a pressé Israël de pas intercepter le bateau et l'a appelé à la retenue.

    L'Irlande "a clairement indiqué qu'elle pensait que le Rachel Corrie devrait être autorisé à progresser vers Gaza et à y décharger sa cargaison humanitaire", a déclaré M. Martin.

    "Ceux qui sont à bord du Rachel Corrie ont dit clairement que leurs intentions étaient pacifiques et indiqué qu'ils n'offriraient pas de résistance aux troupes israéliennes", a poursuivi M. Martin.

    Transportant 15 personnes, de nationalité irlandaise et malaisienne, ainsi qu'un millier de tonnes d'aide, selon les organisateurs, le Rachel Corrie devait initialement faire partie de la flottille arraisonnée lundi.

    AFP. 04/06/10

  • Même dans le Limousin!

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

  • Flottille: la Grèce ouvre une enquête

    La Grèce a indiqué aujourd'hui qu'elle enquêterait sur des accusations de brutalités contre des Grecs qui se trouvaient à bord de la flottille humanitaire pro-palestinienne prise d'assaut par les forces israéliennes.

    "Des Grecs affirment qu'ils ont été maltraités. Notre cellule de crise va contacter tous nos ressortissants qui se trouvaient à bord pour enquêter sur ces accusations", a affirmé le porte-parole du ministère des Affaires Etrangères, Grigoris Delavekouras.

    Il a par ailleurs relevé que la "communauté internationale veut une enquête approfondie" sur les circonstances de l'assaut des forces israéliennes contre la flottille, qui a fait neuf morts lundi.

    Reprenant des accusations lancées par des activistes rapatriés mardi, un autre militant, Vangelis Pissias, rentré jeudi à l'aube, a affirmé avoir été sévèrement battu à son arrivée dans le port d'Ashdod, quand il a refusé de donner ses empreintes digitales.

    "Ils m'ont jeté à terre, menotté et piétiné. Ils devaient être une quinzaine (...) le pire est quand il m'ont cloué à plat ventre et m'ont piétiné (...) j'ai fini par perdre conscience", a affirmé à l'Agence de presse grecque (Ana) ce militant quinquagénaire.

    Le Figaro - 04/06/10

  • Il jouait au foot en pleine nuit avec des amis...

    Un jeune homme était  entre la vie et la mort à l'hôpital après avoir été blessé par balle, alors qu'il faisait vraisemblablement trop de bruit en jouant au football en pleine nuit avec des amis à Clermont-Ferrand, a-t-on appris de source judiciaire. L'homme de 28 ans, hospitalisé au CHU de Clermont-Ferrand après les faits, a été touché à l'omoplate droite par une balle, extraite ensuite par les médecins.

    "Il se trouve toujours entre la vie et la mort", a-t-on appris de même source. Dans la nuit de jeudi à vendredi, comme il en avait semble-t-il l'habitude, le jeune homme jouait au football avec trois amis près d'une barre d'immeubles, dans le quartier sensible de la Gauthière quand il a été touché par un projectile tiré de l'un des appartements.

    "L'hypothèse la plus probable est que l'un des occupants de l'immeuble ait été excédé par le bruit", a-t-on précisé de même source. La police judiciaire (PJ) de Clermont-Ferrand, saisie de l'enquête, a procédé à des perquisitions dans le quartier afin de retrouver l'arme.

    Un homme, en possession d'une carabine, a alors été interpellé, placé en garde à vue, puis "mis hors de cause par les constatations techniques et relâché en début de soirée", a-t-on appris de même source.

    Le Figaro - 04/06/10

  • A Chypre, en terre orthodoxe, le Pape appelle à la paix et à l'unité

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    Le président chypriote Demetris Christofas accueille le pape à Paphos - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)
    PAPHOS — Benoît XVI a entamé vendredi à Chypre son premier voyage en terre orthodoxe en appelant à la patience dans la recherche de la paix et à l'unité de tous les chrétiens.

    Pour son premier déplacement sur cette île méditerranéenne aux portes du Proche-Orient, divisée depuis 36 ans entre communautés chypriotes grecque et turque, le pape a souhaité que "le désir de vivre en harmonie avec vos voisins" permette de résoudre "patiemment" les problèmes "en suspens".

    Commentant dans l'avion l'amenant à Chypre l'assaut israélien meurtrier contre une flottille d'aide pour Gaza, il a affirmé que dans "tous ces épisodes que nous vivons, il y a toujours le danger qu'on perde patience et dise 'je ne veux plus chercher la paix' (...) il ne faut pas perdre la patience et le courage mais recommencer toujours avec la certitude qu'on peut parvenir à la paix".

    Arrivé à Paphos dans le sud-ouest de Chypre, pays à forte majorité orthodoxe, Benoît XVI a béni un olivier planté à l'aéroport et participé à une "célébration oecuménique" à l'église d'Agia Kyriaki Chrysopolitissa.

    Quelques centaines de personnes étaient massées aux abords du site portant pour certains des T-shirts avec l'icône de la Vierge ou une représentation du pape tenant une carte de Chypre, dans une ambiance de kermesse.

    Des Philippins, essentiellement des femmes qui sont nombreuses à travailler à Chypre comme domestiques, l'ont accueilli avec des drapeaux aux couleurs du Vatican. A une centaine de mètres de l'autel, des touristes britanniques étaient juchés sur les barrières de sécurité, certains en maillots de bain.

    "L'unité de tous les disciples du Christ est un don qui doit être imploré auprès du Père dans l'espérance qu'elle affirmera le témoignage de l'Evangile dans le monde d'aujourd'hui", a dit le pape lors de la cérémonie.

    Il a appelé à continuer le dialogue pour "surmonter les controverses passées" entre les différentes Eglises.

    Le site de l'église de Paphos est le lieu d'une des premières prédications de l'apôtre Paul et, selon la tradition, l'endroit où il a été flagellé devant le gouverneur romain avant que celui-ci ne se convertisse au christianisme.

    L'objectif officiel du voyage est la remise dimanche par Benoît XVI au Conseil pré-synodal du document de travail pour le synode sur le Moyen-Orient en octobre au Vatican.

    Selon le pape, ce synode "réfléchira sur le rôle vital des chrétiens dans cette région  et contribuera à promouvoir une coopération plus grande entre les chrétiens de la région".

    Il a mis en avant "les défis que les catholiques affrontent parfois dans des circonstances éprouvantes" au Moyen-Orient.

    La visite papale, pour laquelle un important dispositif de sécurité a été mis en place, a suscité les critiques de certains responsables de la communauté orthodoxe à Chypre, qui ont été rappelés à l'ordre par l'archevêque Chrysostomos II, chef de la communauté orthodoxe de l'île.

    A son arrivée à Chypre, le pape a "salué comme un frère dans la foi" l'archevêque orthodoxe qui a dénoncé l'occupation turque de l'île.

    "Depuis 1974, Chypre et son Eglise connaissent la période la plus difficile de leur histoire" après "une invasion par la Turquie", a-t-il déclaré en dénonçant "le grand martyre de l'Eglise orthodoxe" et en demandant au pape une "coopération active".

    Le déplacement du pape a été assombri par le meurtre jeudi du chef de l'Eglise catholique en Turquie, Mgr Luigi Padovese, tué par son chauffeur turc.

    Mais pour le pape ce meurtre "n'assombrira pas le dialogue" avec l'islam. "Il faut être capable de dialoguer avec nos frères musulmans et poursuivre ce dialogue pour une coexistence toujours plus fructueuse", a-t-il ajouté.

    Le pape devait se rendre en soirée à Nicosie. Samedi il rencontrera le président Dimitri Christofias puis célèbrera une messe et dimanche il en célèbrera une autre. Il n'ira pas dans la partie nord de l'île occupée par la Turquie.

    AFP. 04/06/10

  • Poignardé en tentant de voler une voiture

    Un homme de 33 ans a poignardé un garçon de 20 ans qui tentait de voler sa voiture à Groslay (Val-d'Oise). Les faits se sont déroulés dans la nuit de mercredi à jeudi.

    Atteint de plusieurs coups de couteau au niveau du thorax et de l'abdomen, le jeune a été transporté dans un hôpital parisien, selon les pompiers.

    D'après une source proche du dossier, le propriétaire du véhicule était sur son balcon quand il a vu deux hommes essayer de s'emparer de sa voiture.

    Il aurait alors tenté de les empêcher en les repoussant, puis se serait saisi d'un couteau récupéré dans sa voiture.

     Interpellé par la police, cet homme, qui était sous l'emprise de l'alcool, a été placé en garde à vue, a-t-on expliqué de même source. Le second jeune auteur de la tentative de , âgé de 20 ans, qui n'a pour sa part pas été blessé, a également été placé en garde à vue.

    Le Parisien - 04/06/10

  • Une fillette de 16 mois retrouvée morte dans une voiture

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    Elle serait restée dans la voiture quatre heures avant qu'on ne la remarque... Une fillette âgée de 16 mois a été découverte, sans vie, vendredi vers 14 h 35, dans une voiture stationnée Cité du Chaperon Vert à Arcueil (Val-de-Marne). C'est un couple de retraités qui promenait son chien qui a remarqué la petite fille, seule, dans la voiture.

    Ils ont aussitôt donné l'alerte et cassé une vitre pour dégager l'enfant.

     

    La maman est arrivée quelques minutes plus tard alors que les secours tentaient de ramener l'enfant à la vie. Des efforts qui sont restés vains. La mère, dont on ne connait pas l'âge, est actuellement entendue par les enquêteurs. Selon les premiers éléments de l', le bébé était dans la voiture depuis 10 h 30 du matin.

    Le Parisien - 04/06/10

  • Le cargo Rachel Corrie se rapproche de Gaza, Israël en état d'alerte

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    Le cargo irlandais "Rachel Corrie" - (Cliquez sur la photo)

    JERUSALEM — Un cargo d'aide se rapprochait de Gaza, quatre jours après l'interception sanglante d'une flottille en route pour le territoire palestinien, tandis que les forces de sécurité israéliennes étaient en alerte de crainte de violences après les prières du vendredi.

    "Le Rachel Corrie poursuit sa route vers Gaza", a affirmé la Campagne de solidarité Irlande Palestine, précisant avoir réussi à joindre les passagers dans la matinée.

    "Jenny Graham, une passagère à bord, a déclaré ce matin par téléphone satellitaire: "Nous sommes à environ 150 milles de Gaza, avançant à bonne allure, et espérons arriver à Gaza samedi matin", selon le texte.

    A Chypre, une porte-parole de Free Gaza, Mary Hughes Thompson, a indiqué que le navire à sa vitesse actuelle serait en mesure d'atteindre Gaza dans la soirée mais attendrait sans doute samedi pour achever sa route "parce qu'il serait assez dangereux de le faire de nuit".

    Transportant 15 personnes, de nationalité irlandaise et malaisienne, dont un prix Nobel de la paix et un ancien responsable de l'ONU, ainsi qu'un millier de tonnes d'aide, selon les organisateurs, le Rachel Corrie devait initialement faire partie de la flottille arraisonnée le 31 mai.

    A Gaza, le chef du gouvernement du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a souhaité lors du prêche du vendredi que "ces convois continuent pour briser le siège".

    "La stratégie de l'ennemi a échoué et la stratégie de la patience a gagné à Gaza aujourd'hui", a-t-il estimé de la chaire de la mosquée, entre un drapeau palestinien et un drapeau turc.

    Des prières à la mémoire des neuf martyrs de la flottille, tous turcs, dont un ayant également la nationalité américaine, ont été récitées dans les mosquées.

    Une manifestation à l'appel du Hamas près du camp de réfugiés de Nousseïrat (centre de la bande de Gaza) a rassemblé plusieurs milliers de personnes brandissant des drapeaux turcs et palestiniens et scandant des slogans en faveur de la Turquie. Un rassemblement similaire se déroulait à Khan Younès (sud) à l'appel du mouvement radical Jihad islamique.

    La Turquie a annoncé qu'elle allait réduire ses liens économiques et d'industrie de défense avec Israël. Elle a rapatrié trois de ses ressortissants blessés lors de l'assaut en avion médicalisé, deux autres étant encore jugés intransportables.

    Dans l'avion qui l'amenait à Chypre, aux portes du Proche-Orient, le pape Benoît XVI a appelé à ne pas renoncer à "chercher la paix".

    Dans le même temps, comme à chaque journée de mobilisation palestinienne après la prière du vendredi, la police israélienne était placée en état d'alerte et interdisait l'accès à l'esplanade des Mosquées dans la Vieille ville de Jérusalem aux hommes de moins de 40 ans.

    "Nos forces ont été placées en état d'alerte dans tout le pays mais plus particulièrement à Jérusalem", a indiqué le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld, signalant le déploiement de centaines de policiers dans la Vieille ville.

    Aucun incident notable n'avait été signalé dans la ville en milieu d'après-midi.

    En Cisjordanie, où plusieurs rassemblements étaient prévus, le cortège à Bilin, un village accueillant des manifestations hebdomadaires contre le mur de séparation érigé par Israël, devait comprendre une réplique de bateau de 5 mètres montée sur une voiture.

    Par ailleurs, dans une déclaration à l'occasion de l'anniversaire de l'occupation israélienne des territoires arabes lors de la guerre des Six-Jours, le principal négociateur palestinien Saëb Erakat a estimé qu'"après 43 ans d'occupation Israël semble avoir choisi l'apartheid plutôt que la paix".

    "La colonisation israélienne détruit tout espoir de solution à deux Etats", a-t-il affirmé, accusant Israël de "non-respect continuel du droit international et des droits de l'Homme".

    AFP. 04/06/10

  • Evêque catholique tué en Turquie: inculpation de l'assassin

    Le Turc qui a poignardé à mort jeudi le chef de l'Eglise catholique de Turquie, Monseigneur Luigi Padovese, a été inculpé vendredi par un tribunal du sud de la Turquie, sa mère déplorant chez son fils des troubles psychologiques.

    Murat Altun, 26 ans, a avoué lors de son interrogatoire à la police avoir tué au couteau le prélat de nationalité italienne, âgé de 63 ans, dans le jardin de sa maison d'Iskenderun, située non loin de la frontière syrienne, selon l'agence Anatolie.

    Déféré devant une cour de cette ville, il a été inculpé de meurtre et écroué.

    L'homme, qui était le chauffeur depuis plus de quatre ans du vicaire apostolique d'Anatolie et président de la conférence épiscopale turque (CET), a été arrêté peu après son geste, avec l'arme du crime.

    Une autopsie a révélé des blessures à la gorge et au ventre.

    L'accusé a affirmé à la police avoir agi après avoir reçu une "révélation" divine, rapporte la presse. "J'ai eu une révélation et je l'ai tué", a-t-il dit aux enquêteurs, selon la chaîne d'information NTV. Il avait quitté les services psychiatriques d'un hôpital il a quelques jours après y avoir suivi un traitement, selon la presse.

    L'évêque officiait depuis 2004 à Iskenderun, non loin d'Antakya, l'ancienne Antioche. C'est dans cette petite ville que se trouve la grotte dans laquelle l'apôtre Pierre aurait prêché et où les premiers chrétiens se réunissaient en secret.

    La zone est réputée être un havre de tolérance entre musulmans et chrétiens de rites catholique, orthodoxe ou syriaque.

    Les autorités locales se sont empressées d'exclure un acte politique. Mehmet Celalettin Lekesiz, le gouverneur local, a indiqué vendredi que l'enquête se poursuivait pour faire toute la lumière sur ce meurtre qu'il a lié au l'état mental du suspect.

    Son avocat et sa mère ont confirmé vendredi qu'il souffrait de problèmes psychologiques.

    "Ils étaient comme père et fils, mais mon fils avait des problèmes psychologiques surtout ces deux derniers mois", a indiqué, en pleurs, devant la presse Sulan Altun.

    "La mort de l'évêque me fait plus de peine que de voir mon fils aller en prison", a-t-elle dit, citée par Anatolie. "Mon fils ne voulait pas travailler le jour du crime, mais l'évêque l'a convoqué, avec insistance", a-t-elle ajouté.

    L'avocat a rejeté lui aussi la thèse d'un acte politique. "Mon client n'avait pas de casier judiciaire et souffrait de troubles mentaux. Rechercher d'autre motivations ne ferait que d'attrister sa famille et l'Eglise catholique", a-t-il affirmé.

    Il a aussi démenti que le meurtrier s'était converti au catholicisme, comme l'affirme la presse.

    Une messe funèbre devait être célébrée samedi dans l'église du prélat, à d'Iskenderun. On ignorait quand sa dépouille serait rapatriée en Italie.

    Ces dernières années ont été marquées par plusieurs attaques violentes et pour certaines meurtrières à l'encontre de la communauté chrétienne en Turquie, pays à écrasante majorité musulmane.

    Le Vatican s'est dit "consterné" par ce meurtre. "Un fait horrible et incroyable", a indiqué le porte-parole du Saint-Siège, le père Federico Lombardi.

    Les dirigeants turcs ont aussi condamné le meurtre.

    Le président Abdullah Gül a adressé un message de condoléances au pape Benoît XVI, qui a entamé vendredi une visite à Chypre.

    Le Point- 04/06/10

    Ndb: Un meurtre téléguidé par des services secrets?

  • Erdogan: le Hamas n'est pas terroriste

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    Le Hamas n'est pas un groupe terroriste, a affirmé aujourd'hui le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan dans des déclarations retransmises à la télévision.

    "Le Hamas a des résistants qui luttent pour défendre leur terre. Ils ont remporté une élection", a déclaré M. Erdogan. 

    "Je l'ai dit aux responsables américains... Je ne considère pas le Hamas comme une organisation terroriste. Je pense la même chose aujourd'hui. Ils défendent leur terre", a-t-il ajouté.
    Le Figaro - 04/06/10

  • Brice Hortefeux condamné pour injure raciale

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    Le 3 juin 2010

    Attaqué en justice suite à des propos adressés en septembre dernier à un jeune militant UMP d'origine arabe, le ministre de l'Intérieur a écopé d'une amende de 750 euros. Il a décidé de faire appel.

    La scène a eu lieu à Seignosse, le 5 septembre dernier, lors des universités d'été de l'UMP. Répondant à une sympathisante qui expliquait qu'un jeune militant d'origine arabe, Amine Brouch-Benalia, mangeait du cochon et buvait de la bière, signe d'«intégration» selon elle, Brice Hortefeux avait lâché : «Ah mais ça ne va pas du tout, alors, il ne correspond pas du tout au prototype». «C'est notre petit arabe», avait alors ajouté la militante. Ce à quoi Brice Hortefeux avait répondu : «Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes».

    Filmée par les caméras de Public Sénat puis diffusée par lemonde.fr, la séquence avait immédiatement provoqué un tollé. Le PS s'était notamment emparé de l'affaire en demandant la démission du ministre. Face à la polémique, Brice Hortefeux avait assez rapidement exprimé des «regrets», estimant que ses déclarations avaient fait l'objet «d'une interprétation totalement inexacte». Pour se défendre, il avait notamment assuré que ses propos ne concernaient pas les Arabes mais les Auvergnats, les habitants de la région dont il est originaire. Une argumentation qui n'avait pas convaincu le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) qui avait décidé de porter l'affaire en justice, poursuivant le ministre pour délit d'injures publiques à caractère racial.

     

    Propos «outrageants» et «méprisants»

     

    Dans un verdict prononcé vendredi par le tribunal correctionnel de Paris, Brice Hortefeux, absent à l'audience comme au délibéré, a écopé d'une amende de 750 euros. Une condamnation plus sévère que les réquisitions du procureur. Lors du procès, le 16 avril, le parquet avait en effet demandé la relaxe, reconnaissant que les propos incriminés étaient «outrageants» et «méprisants» mais doutant de leur caractère public. Brice Hortefeux ne pouvant «être pénalement comptable d'un propos non destiné à être entendu», le tribunal a requalifié le délit en simple contravention de 4e classe. Les juges ont cependant confirmé que l'injure stigmatisait les personnes d'origine arabe, «présentées négativement du seul fait de leur origine»

    Outre la simple contravention de 750 euros, Brice Hortefeux a été condamné à verser 2.000 euros de dommages et intérêts au Mrap, partie civile. Une «grande victoire» pour l'association, qui appelle le ministre de l'Intérieur «à en tirer les conséquences politiques». Dans un communiqué, les Jeunes Socialistes estiment que «l'unique issue pour le gouvernement est de démettre Brice Hortefeux.» Mais Brice Hortefeux ne semble pas prêt à accepter cette condamnation et a décidé de faire immédiatement appel. «C'est une décision juridiquement critiquable», explique son avocat, Me Nicolas Bénoit.

    Le Figaro - 04/06/10

     

     

  • La technique de la désinformation par Michel Geoffroy

    http://fr.novopress.info/59870/la-technique-de-la-desinformation-par-michel-geoffroy/

    NOVOPRESS- 03/06/10

  • Sarkozy: "L'Afrique constitue l'avenir de l'Europe"

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    (Cliquez sur le dessin pour l'agrandir)

    « Le sommet est parti, l’Afrique est restée », c’est ce que conclut Nissa Rebela du sommet Afrique-France qui s’est déroulé à Nice les 31 mai et 1er juin.

    C’est finalement la réflexion que doivent se faire de très nombreux Niçois en parcourant leurs quartiers livrés à l’immigration massive et incontrôlée en provenance du continent africain…

    Jamais lors de ce sommet, il n’a été question de soumettre les (pharamineuses) aides françaises et européennes aux pays africains à une lutte conjointe contre l’émigration (drame pour l’Afrique) et l’immigration (drame pour l’Europe). C’est pourtant cette saine logique de collaboration (que la Libye et l’Italie, sous l’impulsion de la Ligue du Nord, ont mise en place avec succès) qui seule peut constituer une véritable réponse.

    Nicolas Sarkozy a trouvé intelligent (c’est bien le seul) de proclamer lors de ce sommet que l’Afrique constitue l’avenir de l’Europe. C’est malheureusement ce que nos rues semblent vouloir démontrer…

    NOVOpress - 03/06/10

  • Attaque meurtrière de la flottille : Israël refuse une enquête internationale

    Benyamin Nétanyahou cherche un compromis qui satisfasse Washington sans heurter l'état-major de Tsahal. 

    Laisser retomber la vague «d'hypocrisie qui déferle dans le monde» contre Israël : telle est la tactique adoptée par Benyamin Nétanyahou. Le premier ministre a ordonné la libération des quelque 700 militants propalestiniens à bord des bateaux arraisonnés en pleine mer lundi soir. Ils ont été rapatriés sans qu'aucune poursuite judiciaire ne soit engagée, contrairement à ce qui avait été envisagé dans un premier temps.

    Les corps des neuf passagers tués - dont un citoyen américain d'origine turque - ainsi que les blessés (à l'exception de sept militants intransportables) ont également été transférés en Turquie. Ainsi, les prisons ont été vidées, histoire de réduire quelque peu la tension avec Ankara, qui menaçait de représailles si les détenus turcs n'étaient pas libérés rapidement. Jeudi, six Français ont pu rejoindre Paris.

     

    «Vérifier» les faits 

     

    Sur le front diplomatique, Benyamin Nétanyahou tente de désamorcer une deuxième mine, en négociant discrètement avec les Américains à propos de la mise sur pied d'une commission d'enquête sur cette affaire. Il souhaiterait se contenter d'une commission exclusivement israélienne chargée de «vérifier» les faits, sans désigner nommément d'éventuels responsables de ce que les médias israéliens présentent comme une «opération fiasco». «Nous sommes assez grands pour mener notre propre enquête, Israël est un pays démocratique et pas une république bananière», a lancé Moshe Yaalon, vice-premier ministre, tandis qu'Avigdor Lieberman, le chef de la diplomatie, proclamait que son pays, qui n'a «rien à cacher, n'a pas besoin d'un tuteur étranger».

    Ces déclarations à l'emporte-pièce cachent mal, cependant, un profond malaise. Selon un sondage, près des deux tiers des Israéliens estiment que la flottille aurait dû être interceptée de façon «différente». De source américaine, l'Administration Obama aurait mis en garde Israël avant l'opération, l'invitant à la «prudence» et à la «retenue».

    L'opinion publique israélienne reste profondément divisée sur la nécessité d'une commission d'enquête. Mais la communauté internationale exige que toute la lumière soit faite. Pour trouver un compromis qui ne heurte pas l'état-major de l'armée et satisfasse Barack Obama, plusieurs options sont étudiées, y compris la participation «d'observateurs» américains qui seraient garants de la «transparence» des investigations. Il n'est pas question pour Israël d'accepter une «mission d'enquête» préconisée par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU qui siège à Genève. «Le crédit moral de cet organisme qui s'acharne avec obsession contre Israël a atteint un zéro absolu», tranche Ygal Palmor, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

    L'an dernier, l'État hébreu avait déjà refusé de coopérer avec ce Conseil, qui avait mandaté le juge sud-africain Richard Goldstone pour enquêter sur l'opération menée par l'armée israélienne dans la bande de Gaza durant l'hiver 2008-2009. Dans son rapport, ce juriste avait accusé Israël et des «groupes palestiniens» de crimes de guerre et recommandé la saisine de la Cour pénale internationale (CPI) si l'État hébreu refusait d'ouvrir une enquête «crédible». Le gouvernement Nétanyahou garde la même ligne. «Djibouti, le Pakistan, Cuba ou l'Arabie saoudite sont très mal placés pour se présenter comme des défenseurs des droits de l'homme qu'ils violent allègrement», a insisté Ygal Palmor.

    Le Figaro - 03/06/10

  • Meurtre du représentant de l'Eglise catholique en Turquie

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    (Cliquez sur la photo)

    Monseigneur Luigi Padovese, vicaire apostolique d'Anatolie, a été tué par son chauffeur. Ce meurtre n'aurait pas de mobile politique.

    Le Vatican s'est dit «consterné et horrifié». Son vicaire apostolique d'Anatolie et président de la conférence épiscopale turque a été mortellement poignardé jeudi dans le jardin de sa maison d'été de Karaagac, dans la banlieue d'Iskenderun au sud de la Turquie. Retrouvé gisant dans une marre de sang, Monseigneur Luigi Padovese, 63 ans, est mort lors de son transfert à l'hôpital.

    L'agresseur du prêtre italien a été rapidement interpellé. Selon le gouverneur de la région, il s'agit du chauffeur de Luigi Padovese. Murat A., qui s'était converti au catholicisme, travaillait pour le religieux depuis 4 ans et demi. Selon les premiers éléments de l'enquête, le meurtre n'aurait pas de mobile politique. Murat A. souffrait de troubles psychiatriques. «Cela relève a priori d'une affaire privée», affirme le gouverneur. Murat et Luigi Padovese étaient amis. Comme le chauffeur «souffrait d'une grave dépression depuis au moins 15 jours, il voyait souvent Mgr Padovese qui essayait de l'aider», a témoigné l'assistante du prêtre.

    Le ministère turc des Affaires étrangères a déploré la perte d'un «ami de la Turquie», soulignant que ce meurtre avait provoqué l'indignation dans le pays. Mgr Padovese avait été particulièrement actif dans l'organisation de la visite du pape Benoît XVI en Turquie fin 2006.

     

    Des précédentes attaques contre des religieux

     

    Depuis quatre ans, plusieurs religieux chrétiens ont été victimes d'attaques en Turquie. En février 2006, un prêtre catholique, lui aussi italien, avait été assassiné par balles dans la ville de Trabzon, au nord-est du pays. Le meurtre avait été imputé aux ultranationalistes. Son jeune assaillant de 16 ans avait écopé d'une peine de près de 19 ans de prison.

    En 2007, un prêtre catholique d'Izmir, Adriano Franchini, avait été légèrement blessé au ventre par un jeune homme de 19 ans au sortir de la messe dominicale. La même année, un commando avait fait irruption dans une maison d'édition qui imprimait des Bibles à Malatya en Anatolie, et tué trois chrétiens dont un missionnaire allemand. Les cinq agresseurs, qui avaient égorgé leurs victimes, doivent bientôt être jugés. Les chrétiens représentent moins d'un pour cent de la population turque -72 millions d'habitants- .

    Le Figaro - 03/06/10 

  • Pas question de mourir pour Israël

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    Communiqué de Robert Spieler,
    Délégué général de la
    Nouvelle Droite Populaire

    Neuf morts, des dizaines de blessés dans l’attaque de la flottille humanitaire qui cherchait à rejoindre la bande de Gaza. Les commandos israéliens ont fait une boucherie : dans les eaux internationales. La France réagit en « condamnant cet événement », tout en condamnant la « provocation » que représente à ses yeux la volonté de rompre cet insupportable siège d’une terre martyrisée. Misérable…

    Dieu sait que je refuse l’islamisation de notre terre. Pour autant, je n’accepte pas l’injustice faite au peuple palestinien.

    Si j’étais palestinien (la Palestine compte encore nombre de Chrétiens), je me battrais pour la libération de ma terre. Certes, si j’étais israélien, je serais aux côtés de Liebermann pour exiger le Grand Israël.

    Il se trouve que je suis européen et que ce conflit, a priori ne me concerne pas, même si j’éprouve une profonde compassion pour ceux qui sont traités comme des chiens sur leur terre.

    Prétendre qu’Israël est le bouclier anti-islamiste de l’Europe est un mensonge et une imposture.

    Nous n’avons pas à accepter que le conflit du Proche-Orient soit importé sur notre sol.

    Nous n’avons pas à accepter que demain l’Europe soit entraînée dans une conflagration avec l’Iran.

    Il n’est pas question pour nous de nous plier à la propagande officielle.

    Pas question de mourir pour Israël.

    Altermedia Info -  02/06/10