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Blog - Page 1590

  • Les déclarations de Vatican II sur le judaïsme sont irrévocables

    http://intransigeants.wordpress.com/2010/05/28/exclusif-les-declarations-de-vatican-ii-sur-le-judaisme-sont-irrevocables/

    Les Intransigeants - 28/05/10

    Le Christ recrucifié

  • Honneurs militaires vendredi pour le capitaine Barek-Deligny

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    Christophe Barek-Deligny, 38 ans
    CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes). Toute la journée d'hier, le 3e régiment du Génie de Charleville-Mézières a continué à se préparer, dans la gravité, à la cérémonie solennelle qui se déroulera, sur le site même du quartier Dubermion - probablement après un office religieux - pour rendre les honneurs à la dépouille du capitaine Christophe Barek-Deligny, tombé samedi au camp d'honneur, victime d'une mine sauvage en Afghanistan et qui devrait être rapatrié ce mercredi. En fait, il ne faut plus parler du « capitaine » Barek-Deligny, puisque le brillant officier a été promu, immédiatement, hélas à titre posthume, chef de bataillon, c'est-à-dire « commandant ».
    Ce sera vendredi à 11 heures
    Un grade auquel il aurait probablement de toute façon très vite accédé, eu égard à la qualité de ses états de service et de son comportement exemplaire.
    Le protocole des funérailles n'est pas encore arrêté. Ce qui est sûr, c'est que le public ne sera pas autorisé à pénétrer dans l'enceinte militaire, mais qu'il y aura, en revanche, de nombreuses personnalités, au premier rang desquelles le ministre de la Défense, Hervé Morin, qui représentera le Président de la République. Sous réserve que celui-ci, parfois imprévisible, ne décide de venir lui aussi saluer ce soldat qui a payé de sa vie l'engagement déterminé de la France, au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan, mission à laquelle Nicolas Sarkozy est particulièrement attaché.
    On sera fixé vendredi, sur cette présence, ou non du chef de l'Etat, puisque c'est ce jour-là, à onze heures, qu'aura lieu la cérémonie.
    L'Union - L'Ardennais - 26 mai 2010
    CHARLEVILLE-MEZIERES (Ardennes). A l’occasion des honneurs funèbres militaires en hommage au chef de bataillon Christophe Barek-Deligny - 42e victime au sein de l'armée française sur le sol afghan - le ministre de la Défense, Hervé Morin lui a remis à titre posthume les insignes de chevalier de la Légion d’honneur, "un témoignage de la fierté et de la reconnaissance de la Nation".
    L'Union - L'Ardennais - 28 mai 2010

  • Un employé d'un village-vacances tué à coups de couteau

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    Champtercier
    Un employé d'un village-vacances des Alpes-de-Haute-Provence a été poignardé mortellement, jeudi. Le procureur de la République de Digne, Pierre-Jean Gaury, a annoncé qu'un homme suspecté d'être l'agresseur avait été interpellé.

    L'économe du village-vacances de Chandourène, à Champtercier, âgé de 37 ans, a reçu une dizaine de coups de couteau, vers 18 heures, sur son lieu de travail.

    Des témoins ont vu s'enfuir un ancien employé qui avait été licencié et était déjà venu à plusieurs reprises demander des comptes au personnel.

     Cet ancien employé, âgé d'une cinquantaine d'années et originaire d'Algérie, a été interpellé dans la soirée de jeudi à Marseille, après avoir été localisé grâce à son portable. Placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Digne, il aurait reconnu les faits sans pour autant les expliquer.

    L' a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Digne. Le parquet de Digne va se dessaisir au profit du pôle d'instruction criminelle d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).

    Le Parisien - 28/05/10

  • La perpétuité pour Cédric Horneck

    Cédric Horneck a été condamné vendredi à la réclusion criminelle à perpétuité, avec une période de sûreté de dix-huit ans, pour le d'Anne Deriez et la tentative d'assassinat contre le fils de celle-ci, Antoine, 8 ans, en mai 2008.

    Le petit garçon, qui avait échappé miraculeusement à la noyade, avait alors été surnommé «l'enfant du lac».

     Avant que les jurés se retirent pour délibérer, Cédric Horneck a déclaré : «Avec le procès, ça m'a permis de prendre conscience de certaines choses que je ne réalisais pas seul en prison.» «Je ne peux que reconnaître ma responsabilité dans ce qui s'est passé, je demande pardon aux victimes, à la famille des victimes et à la société», a-t-il dit.

    Le Parisien - 28/05/10

  • Editorial de Bernard Lugan dans le dernier numéro de "L'Afrique réelle"

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    Dans le dernier numéro de L’Afrique réelle, le professeur Bernard Lugan se penche sur la fuite des cerveaux du continent africain. Nous mettons en ligne son éditorial.

    Éditorial de Bernard Lugan

    Depuis un quart de siècle l’historiographie africaine a fait des progrès considérables, bouleversant les dogmes de la pensée dominante sur laquelle est fondée la culture d’asservissement de l’Europe. Ainsi :

    - En 1986, puis durant la décennie 1990, le postulat selon lequel la richesse de l’Europe fut fondée sur l’exploitation de ses colonies africaines a été pulvérisé par Jacques Marseille et par les historiens britanniques. Journalistes, artistes et invités des émissions de télévision continuent à pourtant à ânonner les poncifs éculés du « pillage colonial ».

    - En 2005, Daniel Lefeuvre démontra que la France s’était ruinée en Algérie et que les « 30 glorieuses » ne devaient rien à la main d’œuvre immigrée venue d’Algérie. Le président Bouteflika exige pourtant des excuses de la part de la France.

    - Dans le domaine de la traite des Noirs, Olivier Pétré-Grenouilleau et les historiens anglo-saxons réduisirent à néant le postulat selon lequel la révolution industrielle européenne résultait directement de la traite. Ils mirent également en évidence l’étroite association de bien des royaumes africains au phénomène, démontrant qu’en réalité, une partie de l’Afrique avait vendu l’autre aux Européens. L’acte d’accusation de la seule Europe est pourtant toujours psalmodié, cependant que la Traite musulmane est régulièrement occultée.

    - Pour ma part, j’ai longuement mis en évidence, et cela depuis une quarantaine d’années, l’importance du fait ethnique. Après avoir été nié jusqu’à l’absurde, ce dernier est désormais cité par les journalistes parce qu’ils ne peuvent plus l’occulter. Ils tentent cependant de l’amoindrir, cherchant à faire croire qu’il serait en partie le résultat de la colonisation, ou bien ils le vident de son sens. Ainsi au Nigeria les affrontements traditionnels entre pasteurs peuls (Fulani) et agro pasteurs birom (voir Afrique réelle n°3) sont présentés comme un choc religieux, explication tronquée car ces heurts sont multi séculaires alors que l’islam n’est présent dans la région que depuis la fin du XVIIIe siècle et le christianisme que depuis les années 1900-1920… Il en coûte aux universalistes de reconnaître que les hommes sont différents et que partout dans le monde quand le principe de vie « une terre, un peuple » n’est pas respecté, les affrontements sont inéluctables.

    - En Afrique du Sud, tous les historiens admettent désormais que, sur 1/3 du pays les Blancs ont l’antériorité sur les Noirs et cela pour des raisons climatiques que je détaille dans mon dernier livre[1], mais, dans les médias, il est toujours affirmé que les Blancs ont dépossédé les Noirs.

    - Sous nos yeux, les mythes imposés par l’actuel régime de Kigali explosent les uns après les autres, alors que, dans les médias, l’histoire officielle du génocide du Rwanda est encore ultra dominante.

    Si les historiens se remettent en cause, actualisant constamment l’état des connaissances, le monde médiatique demeure donc enfermé dans les certitudes et les approximations imposées par le politiquement correct. Comme les citoyens l’ont enfin compris, ils ne font donc plus confiance aux journalistes et c’est pourquoi la presse d’information sur support papier est moribonde. Le Figaro est certes encore lu, mais essentiellement pour son carnet du jour.

    Libération et Le Monde ne survivent que par les aides de l’État et les abonnements institutionnels ; quant à la presse régionale, elle se maintient grâce aux renseignements de proximité qu’elle donne.

    Désormais, la vraie information libre est faite par Internet qui permet de contourner la censure ou les pesanteurs de la pensée dominante. C’est dans cet appel d’air que s’est engouffrée L’Afrique réelle. Pour devenir une tornade il lui faut encore augmenter son audience, donc ses abonnés.

    Bernard Lugan

    [1] Histoire de l’Afrique du Sud, Ellipses, mars 2010.

    NP Info - 28 mai 2010

  • A Paris, Berlusconi cite Mussolini

    Hier, à Paris, lors du sommet de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Silvio Berlsuconi s’est fait remarquer en citant Mussolini. «J'ose vous citer une phrase de celui qui était considéré comme un dictateur, un grand, un puissant dictateur, Benito Mussolini», a déclaré le chef du gouvernement italien, poursuivant : «Dans son journal, j'ai lu récemment cette phrase : 'Ils disent que j'ai le pouvoir. Ce n'est pas vrai. Peut-être est-ce le cas des responsables de mon parti. Mais ce n'est pas vrai pour moi. Tout ce que je peux faire, c'est dire à mon cheval d'avancer vers la droite ou vers la gauche. Et de cela, je dois me contenter.'»


    Par cette petite phrase, Berlusconi a voulu exprimer le manque de pouvoir inhérent, selon lui, à sa fonction. « "En qualité de président du Conseil, je n'ai jamais eu l'impression d'être au pouvoir", a-t-il expliqué, ajoutant: "Parfois, comme homme d'affaires, avec 56.000 employés, j'ai eu l'impression d'être en mesure de décider et de contrôler les choses. Mais aujourd'hui, dans une démocratie, je suis au service de tout le monde et tout un chacun peut me critiquer voire m'insulter."

    Le Figaro - 28/05/10

  • Profanation de 95 tombes de soldats allemands à Guebwiller

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    (Cliquez sur la photo)

    PARIS — Le secrétaire d'Etat aux Anciens combattants, Hubert Falco, a condamné vendredi avec "fermeté (les) actes odieux" que constituent les profanations d'une centaine de tombes de soldats allemands au cimetière de Guebwiller (Haut-Rhin).

    Dans un communiqué, M. Falco a estimé que "soixante-dix ans après la Seconde Guerre mondiale, c'est tout le monde combattant français qui est choqué, dans ses principes, par un tel vandalisme". "A Guebwiller, a-t-il poursuivi, les anciens ennemis reposaient dans la même terre. Troubler le repos des uns, c'est violer aussi celui des autres".

    "La mort emporte avec elle toutes les différences et commande à chaque vivant le plus profond respect. Le respect dû aux morts est certainement la plus ancienne règle de l'humanité. Ces profanations ne contreviennent pas simplement à notre droit : elles heurtent la conscience de tout homme", a-t-il ajouté.

    Hubert Falco a demandé "à la police de retrouver les auteurs de cet acte scandaleux, afin que la justice puisse leur appliquer les plus sévères sanctions".

    Il a également "transmis à son homologue allemand son amitié et sa solidarité".

    Au total, 95 tombes du cimetière franco-allemand de Guebwiller ont été profanées dans la nuit de jeudi à vendredi. Les croix de certaines des tombes ont été brisées, d'autres ont été renversées, selon la préfecture du Haut-Rhin. Une mention injurieuse figurait sur l'une des tombes.

    Ce cimetière rassemble les tombes de 1.238 soldats allemands et à peu près autant de soldats français tombés lors des Première et Seconde guerres mondiales.

    AFP. 28 mai 2010

  • La seconde mort des Rois de France

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    La basilique Saint Denis abrite une nécropole où reposent 43 rois, 32 reines, des princes et des chevaliers, qui incarnent pareillement les mille cinq cents ans de l’histoire de France.

    Dagobert, Pépin le Bref, Hugues Capet, Saint Louis, François Ier, Henri IV, Louis XIV, tous les rois qui ont fait France y sont inhumés, dans un commun témoignage de la vocation fondatrice de la monarchie française.


    Plus que tout autre, ce lieu emblématique symbolise et récapitule, dans une continuité généalogique impressionnante, une histoire de France qui se confond puissamment avec la destinée de ses souverains, dont beaucoup ont marqué à jamais notre imaginaire national.

    Dans un heureux reportage paru dans son édition du 7 mai 2010, sous le titre alarmiste « La seconde mort des Rois de France », le Figaro Magazine nous fait découvrir l’état de délabrement avancé de ce prodigieux lieu de mémoire, laissé aujourd’hui à l’abandon dans la parfaite indifférence des pouvoirs publics.

    Sous l’effet des travaux de construction du RER B, qui ont profondément modifié le cours de rivières souterraines, le sanctuaire royal est miné par de redoutables infiltrations dont l’action irrésistible se conjugue aux désordres dramatiques nés autant de la dissémination sournoise des sels de salpêtre que de la pollution moderne.

    Les conséquences en sont épouvantables.

    La solidité des caveaux est gravement fragilisée et, atteints par une inexorable humidité, des cercueils, brisés, gisent éventrés, laissant sans protection leurs précieuses reliques…..

    Signe de l’incurie patente du Ministère de la Culture, chargé de la conservation des lieux, aucun plan de sauvetage n’a été programmé pour préserver un site qui, par ailleurs, ne bénéfice plus, depuis vingt ans, des crédits budgétaires qui lui permettraient de financer la reprise d’un chantier de fouilles archéologiques, pourtant jugées prometteuses par tous les historiens.

    Conséquence logique de ces innombrables inerties, opposées dans la plus grande opacité : le projet d’inscrire la basilique de Saint-Denis et sa nécropole royale au patrimoine mondial de l’UNESCO demeure plus que jamais en panne.

    Que penser de tout ce gâchis ?

    Tandis que nos amis russes redécouvrent lucidement la splendeur de l’histoire tsariste de leur pays, en mettant au cœur de leurs préoccupations contemporaines la protection d’un patrimoine historique monumental inséparable de sa dimension religieuse et que, outre-Rhin, nos voisins s’apprêtent à reconstruire à Berlin le Palais des Hohenzollern, en ne se dissimulant plus le rôle décisif de la dynastie impériale dans la construction de la nation allemande, la France tourne manifestement le dos à une période insigne de son histoire, celle que l’on désigne communément sous le vocable d’Ancien Régime.

    En vérité, ce n’est pas tant la France que ses élites qui, malmenant à ce point son identité millénaire, entendent abolir, dans une rage amnésique, un passé jugé encombrant, au nom d’une vision idéologique de l’histoire.

    Comment en l’espèce comprendre autrement la carence à agir dont, en effet, la rue de Valois fait preuve avec autant de constance, sinon par la volonté opiniâtre, qui anime inlassablement nos innombrables oligarchies, de détourner les Français d’une composante aussi essentielle de leur passé ?

    Sur cette question, disons le tout net, une fois de plus : la France n’est pas née sous X en 1789 !!

    Les Français se doivent de le rappeler résolument, encore et toujours, et affirmer partout, loin de toute conception hémiplégique de leur mémoire, que l’Histoire de France ne saurait débuter aux prémices de la Révolution française.

    Défendons le caractère indivisible de notre histoire, en désavouant dans ce registre toute manipulation intellectuelle, et manifestons notre indéfectible attachement au souvenir de la monarchie française.

    Dans l’effort incessant des peuples à préserver et à transmettre l’intégrité de leurs identités séculaires, il est des querelles à affronter qui honorent un peuple et qui attestent, en son sein, d’une vitalité en rien défaillante.

    Le sauvetage de la nécropole des Rois de France est de ces combats valeureux.


    Le Post - 26 mai 2010



  • L'extrême pénurie de nos forces armées

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    La Jeanne d'Arc 
    Communiqué de Presse de Bruno GOLLNISCH, Vice-Président exécutif du FN, Député Européen :

    La Jeanne d’Arc, rentrée à Brest de son ultime navigation, va être retirée du service actif après quarante-cinq années de bons et loyaux services.

    Au delà d’une nostalgie bien légitime, se manifeste l’extrême pénurie de nos forces armées. Aucun navire n’est actuellement disponible pour prendre la relève de la « Jeanne » comme navire-école d’applications pour les officiers-élèves. Le BPC (Bâtiment de Projection et de Commandement) envisagé est encore à l’état de projet, à moins que l’on ne prélève l’un des deux actuellement en service. Au lieu de mettre en chantier un nouveau bâtiment, on s’est bercé de chimères : navire civil (!), navire école européen, etc.

    Pénurie dramatique aussi dans les autres domaines : absence de deuxième porte-avions, désarmement des avisos, restriction du nombre des sous-marins nucléaires, ralentissement dans le programme de construction des frégates multimissions.

    Comme parlementaire et comme officier supérieur de marine de réserve, je déplore ces carences qui obèrent la protection de nos côtes, de nos communications et de notre domaine maritime, pourtant le troisième du monde.

    Altermedia Info - 27/05/10

  • Un nouveau-né découvert abandonné au Chesnay

    Un bébé âgé de deux heures à peine a été retrouvé abandonné dans un sous-bois du Chesnay (Yvelines), jeudi matin. Vers 7 heures, avenue de la Bretèche, une jeune femme qui promenait son chien a découvert le bébé. «Elle a entendu des petits et a trouvé sur un petit chemin, situé en face d’un arrêt de bus, l’enfant qui était enfermé dans un sac», précise une source proche de l’affaire.

     

    La jeune femme, prise de panique, a aussitôt prévenu sa voisine et les deux femmes sont retournées sur les lieux avant de prévenir les secours.

    Appel à témoins

    L’enfant, dont le pronostic vital était engagé, a été dirigé vers le centre hospitalier André Mignot, situé à quelques centaines de mètres. A midi, le petit miraculé se portait beaucoup mieux. «Il a eu de la chance, estime une autre source. La température était fraîche ce matin et il est heureux qu’il ait été découvert rapidement».

    L’enquête a été confiée à la brigade départementale de protection de la famille (BDPF), qui dépend de la sûreté départementale des Yvelines. La Brigade départementale de protection de la famille invite tout témoin d'une scène qui permettrait d'identifier le nourrisson de la contacter au 01 39 07 42 00.

    Le Parisien - 27/05/10

  • Au procès Horneck, Antoine, "l'enfant du lac", raconte sa nuit d'épouvante

    Antoine, 10 ans, a expliqué avec émotion comment Cédric Horneck a tenté de le noyer le 30 mai 2008.

    L'émotion était à son comble, jeudi matin, à la cour d'assises de la Vendée, au deuxième jour du procès de Cédric Horneck, accusé d'avoir tué le 30 mai 2008 sa compagne et d'avoir tenté de noyer le fils de celle-ci. Antoine, le garçonnet miraculé, s'est présenté à la barre pour raconter la nuit cauchemardesque qu'il a vécu. De quelle façon Cédric Horneck est venu le chercher dans sa chambre pour l'emmener au lac. Comment, une fois là-bas, l'homme lui a maintenu la tête sous l'eau pour l'empêcher de remonter à la surface.

    D'abord, il y a eu «des cris», dans la maison isolée de Bois-de-Céné, qui l'ont réveillé, s'est souvenu l'enfant, venu vêtu d'un pull gris clair, d'un pantalon court blanc et de baskets. Ces cris, ce sont ceux de sa mère, Anne Deriez, une aide-soignante de 30 ans, que Cédric Horneck s'apprête à asphyxier à l'aide d'un coussin.

    Puis, Cédric Horneck «est venu, il avait une tache de sang. Il est revenu, il n'en avait plus», a raconté à demi-mots Antoine, très ému. «On est partis dans la voiture, toutes les lumières étaient allumées, on est partis au lac puis voilà», a-t-il ajouté d'une voix troublée. Lors du trajet, selon lui, pas un mot n'est échangé entre Cédric Horneck et l'enfant. «Je n'ai pas posé de questions, j'avais très peur», a-t-il précisé.

     

    «Il portait des gants»

     

    Une fois arrivé au lac, au bout du ponton «il m'a dit de regarder dans l'eau et il m'a poussé, il m'a tenu par la main», a indiqué Antoine, avant de préciser qu'il a essayé de se raccrocher au ponton et que son agresseur a repoussé sa main. Puis, l'enfant perd connaissance. Cédric Horneck le croit alors mort et quitte les lieux, ignorant que l'eau glacée a déclenché une hypothermie qui a empêché l'enfant de se noyer en bloquant ses poumons. Le garçonnet sera repêché quelques heures plus tard par un promeneur et aussitôt pris en charge à l'hôpital, où il se réveillera.

    L'enfant a également précisé jeudi matin que l'homme portait des gants de jardinier dans la maison, puis au lac. Des gants ensuite retrouvés à l'endroit où l'accusé a tenté de faire disparaître les preuves. Un détail que conteste Cédric Horneck, qui nie toute préméditation. «Je ne portais pas de gants, j'avais les gants dans la voiture, ils étaient à ses pieds», a-t-il affirmé d'une voix claire.

    Pendant dix minutes, le jeune Antoine a creusé dans sa mémoire pour tenter de restituer tous les détails de cette nuit. Comme convenu, l'avocat de l'enfant, Me Alexandre Varaut, s'est interposé de façon à ce qu'Antoine, encore effrayé, ne voie pas son agresseur, lequel s'est tenu la tête dans les mains pendant toute le témoignage.

     

    Un accusé «impulsif» et «jaloux»

     

    «Il était impressionné, mais il a répondu du mieux qu'il a pu, sans rien inventer», a déclaré à la sortie de la salle d'audience son grand-père, son tuteur depuis le décès de sa mère. «Pour un gamin de 10 ans, venir témoigner devant une cour d'assises, c'est quand même courageux, surtout après ce qu'il a vécu», a ajouté Michel Deriez:

     

     Plus tôt dans la matinée, une ancienne compagne de Cédric Horneck est venue témoigner à la barre de «l'impulsivité» et de la «jalousie» de l'accusé. «Il était très gentil, mais il pouvait demander beaucoup et s'énerver facilement quand il n'avait pas ce qu'il voulait», a déclaré aux jurés Anne, une infirmière de 29 ans. «Il était aussi jaloux et était dominant sur sa compagne». Des traits de caractère semblables à ceux décrits mercredi par les experts psychiatriques, qui ont décrit Cédric Horneck comme étant «pulsionnel» et possessif.

    La jeune femme a également rapporté comment ce grand fumeur de cannabis - qui vivait dans «l'oisiveté» selon elle - s'était «acharné» sur sa chienne, un soir où l'animal lui avait montré ses crocs. «J'ai cru qu'il allait la tuer», a-t-elle raconté. «Quand je lui ai demandé s'il était capable de me faire ça, il m'a répondu qu'il ne toucherait jamais une femme, car il savait que ses coups pouvaient faire mal».

    Le Figaro - 27/05/10

  • Netanyahu fait escale à Paris pour marquer l'admission d'Israël à l'OCDE

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    Accueil chaleureux sur le perron de l'Elysée le 27 mai 2010
    (Cliquez sur la photo)

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu est arrivé jeudi à Paris pour s'entretenir avec le président Nicolas Sarkozy de la situation au Proche-Orient, et pour marquer l'admission de son pays à l'OCDE, le club des économies les plus développées.

    L'adhésion officielle d'Israël représente l'aboutissement de 16 ans d'efforts et une victoire diplomatique pour l'Etat hébreu, même si le défi de la pauvreté, toujours répandue dans le pays, reste à relever.

    Les Palestiniens ont d'ailleurs vivement protesté contre la nouvelle, leur ministre des Affaires étrangères Riyad al-Malki regrettant l'adhésion à l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) d'"un Etat occupant violant quotidiennement les droits de l'Homme et le droit international".

    "L’un des défis actuels est aussi de développer la situation économique des Palestiniens et de nos voisins (...). Cela ne se substitue pas à la paix politique, mais cela pourrait grandement l’aider", a répondu le Premier ministre israélien, dans un entretien publié jeudi par le quotidien français le Figaro.

    Arrivé peu avant la mi-journée à Paris, Benjamin Netanyahu devait participer à un déjeuner de travail avec Nicolas Sarkozy, avant de s'exprimer devant l'OCDE, puis de s'entretenir avec le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi. Ce dernier exerce actuellement la présidence de cette organisation, dont le siège est à Paris.

    Pour M. Netanyahu, le feu vert de l'OCDE ouvre de nouvelles sources de capital pour Israël, passé du statut d'économie émergente (inflation à trois chiffres et dévaluations régulières au début des années 1980) à celui d'économie développée, avec un produit intérieur brut par habitant qui le classe au 22e rang des membres de l'OCDE.

    Israël rejoint l'OCDE en même temps que l'Estonie et la Slovénie.

    "L'adhésion à l'OCDE montre les capacités d'Israël à faire prévaloir ses vues, en dépit d'une évolution générale hostile à sa politique (rapport Goldstone, bras de fer avec l'administration Obama...)", a estimé Denis Bauchard, spécialiste du Moyen-Orient à l'Institut français des relations internationales (IFRI).

    Après Paris, Benjamin Netanyahu doit d'ailleurs se rendre à Washington, après une halte à Ottawa, à l'invitation du président américain Barack Obama, qu'il rencontrera mardi prochain à la Maison Blanche.

    Cette invitation est interprétée comme une tentative d'apaiser les relations entre les Etats-Unis et Israël, qui ont récemment traversé une grave crise de confiance provoquée par la poursuite de la colonisation juive à Jérusalem-Est annexée.

    Depuis, le climat s'est quelque peu détendu, notamment après l'annonce des pourparlers de paix israélo-palestiniens, dits "de proximité", sous l'égide des Etats-Unis.

    Benjamin Netanyahu a ainsi défini "les deux éléments critiques" pour parvenir à la paix, alors que le processus est gelé depuis décembre 2008 après l'offensive israélienne contre le mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza.

    "Le premier est qu’un partenaire palestinien accepte la reconnaissance de l’État juif. Ce qui signifie la fin des revendications ultérieures et que la question des réfugiés palestiniens soit résolue en dehors des frontières d’Israël", a indiqué le Premier ministre dans le Figaro.

    "Le second est que cet État palestinien soit démilitarisé", a-t-il ajouté.

    Les discussions achoppent cependant jusqu'à présent sur le contentieux des colonies juives, Israël refusant de s'engager à un gel de la colonisation à Jérusalem-Est.

    L'annexion de Jérusalem-Est par Israël en 1967, suivie par des constructions massives dans de nouveaux quartiers de colonisation, n'a jamais été reconnue par la communauté internationale.

    TV5 Monde - AFP. 27/05/10

  • Bientôt encore plus d'Albanais et de Bosniaques chez nous!

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    A Sarajevo (Bosnie-Herzégovine)

    Alors que Bernard Kouchner et Franco Frattini, respectivement responsables de la diplomatie française et italienne, ont affirmé souhaiter une « libéralisation » des visas pour les Albanais et les Bosniaques dans l’Espace Schengen, la Commission européenne annoncera aujourd’hui qu’elle est favorable à cette mesure qui devrait permettre un accroissement très sérieux de l’immigration de ces populations majoritairement musulmanes sur notre territoire.

    En avril dernier, le commissaire européen chargé de l’Élargissement, Stefan Füle, avait estimé que l’Albanie avait fait des « progrès » pour répondre aux exigences d’un régime sans visa avec l’UE, sans toutefois préciser lesquels. Il avait toutefois souligné que des « efforts supplémentaires » étaient encore nécessaires avant que la Commission soit en mesure de présenter au Conseil et au Parlement européen une proposition d’exemption de visa pour les Albanais voyageant dans l’UE.

    Il est à craindre qu’une telle décision ne permette dans les faits d’ouvrir grand les portes à des réseaux mafieux très bien implantés en Bosnie-Herzégovine et en Albanie, la partie nord de ce dernier pays étant une plaque tournante pour la mafia albanaise et tout ce qui s’y rattache ; sans parler des problèmes liés à la réislamisation de populations slavophones en Fédération de Bosnie-Herzégovine depuis les années 1990 et qui impliquent notoirement des réseaux salafistes.

    Au moment où la Suisse connaît de plus en plus de difficultés avec ses musulmans issus des Balkans, il est surprenant de constater que l’Union européenne entend prendre une décision définitive sur cette question qui ne peut être que favorable. Une décision qui, soyons-en sûrs, aura des conséquences évidentes quant à la possible et très prochaine adhésion de la Turquie dans l’Union européenne.

    NP Info - 17/05/10

  • Tirs de Kalachnikov contre un fourgon de police à la Courneuve: trois remises en liberté

    La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a ordonné mercredi la remise en liberté de trois personnes poursuivies dans une enquête sur des tirs de Kalachnikov contre un fourgon de police en mai 2009 à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), qui transportait deux gardés à vue. Une vive polémique avait suivi cet événement dramatique qui mettait à nu l’incompétence sarkozyenne en matière de sécurité des biens et des personnes.

    Le 17 mai 2009 vers 2h du matin, une camionnette de police transportant deux personnes vers un hôpital était bloquée par deux véhicules, une personne cagoulée ouvrant le feu en direction du véhicule de police. L’un des gardés à vue a alors essayé de s’enfuir mais a été rattrapé par les policiers. Quelques jours plus tard, trois personnes, dont une femme, étaient interpellées. Parmi les deux hommes figurait le frère de la personne qui avait tenté de s’échapper lors de ce guet-apens.

    Mis en examen notamment pour tentative d’homicide, les deux hommes avaient été placés en détention provisoire, tout comme celui qui avait tenté de s’enfuir du fourgon.

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    flamme_front_national_moderne_2Décision scandaleuse des juges de la Cour d’Appel de Paris

    Communiqué de presse du Front National

    Les juges de la Cour d’appel de Paris saluent, à leur manière, le lendemain de l’hommage public qui lui a été rendu, la mémoire d’Aurélie Fouquet.

    Contre l’avis du Procureur, désavouant le juge d’instruction, ils ont remis en liberté les trois personnes soupçonnées d’avoir attaqué, il y a un an, à l’arme de guerre, un fourgon de police à La Courneuve.

    Cette décision, particulièrement scandaleuse, est évidemment ressentie comme une gifle par les forces de l’ordre, douloureusement mises à l’épreuve en ce moment.

    Le Front National dénonce ce laxisme impudent et exige que ces actes de terrorisme soient rapidement jugés et punis

    NP Info - 27/05/10

  • Le Front National présent aux obsèques d'Aurélie Fouquet

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    Communiqué de presse du Front National

    Wallerand de Saint-Just, vice-président du Front National, a représenté le Front National aux obsèques de Madame Aurélie Fouquet, policière municipale, tuée dans les circonstances dramatiques que l’on sait. Wallerand de Saint-Just a déposé aux responsables de la police municipale de Villiers-sur-Marne une lettre de Marine Le Pen qui est jointe à ce communiqué.

    Le Front National demande à nouveau que la peine de mort soit rétablie pour ceux qui assassinent ou tentent d’assassiner les policiers.

     

    Vendredi 21 mai 2010

    Aux membres du service de la police municipale de Villiers-sur-Marne

    Je tiens par le présent courrier à vous témoigner toute ma sympathie et ma solidarité dans l’épreuve que vous traversez. Le décès de votre collègue, une jeune mère de famille lâchement abattue par un commando lourdement armé, est un drame épouvantable qui a profondément ému les Français. J’ai également une pensée pour son mari, son fils ainsi que pour vos collègues et l’automobiliste blessés.

    Ce qui s’est passé illustre d’une façon très choquante la montée continue de la criminalité dans notre pays, mais révèle avant tout un fait alarmant : des pratiques ultraviolentes, autrefois inexistantes, se multiplient et traduisent un changement de niveau, l’atteinte d’un nouveau pallier.

    L’extrême barbarie avec laquelle les auteurs du meurtre de Villiers-sur-Marne ont agi témoigne de la banalisation des pires conduites, qui s’apparentent à des actes de guerre, et de l’effroyable mutation des comportements de criminels qui ne reculent plus désormais devant aucune extrémité pour commettre leur exactions ou échapper à la poursuite des forces de l’ordre.

    Le rôle d’un responsable politique est d’essayer d’apporter des solutions aux problèmes du pays. Cette fusillade et ses conséquences doivent nous amener à faire le bilan des politiques publiques de maintien de l’ordre et surtout, d’urgence, doivent obliger nos dirigeants à passer à l’action.

    Nos compatriotes ressentent durement la poussée de l’insécurité, notamment des atteintes aux personnes, en très forte progression, mais c’est bien vous, forces de l’ordre sur le terrain, qui devez les premiers en subir les effets. Un récent rapport de l’Observatoire de la Délinquance a mis en lumière la hausse du nombre de policiers blessés en service : 27 % d’augmentation en 10 ans. Ce chiffre atteint 93 % en ce qui concerne les gendarmes, du fait de l’explosion de l’insécurité dans les zones rurales. De toute évidence, les conditions d’exercice de votre métier sont devenues plus que périlleuses, et pour le dire simplement, elles sont désormais intolérables.

    Votre situation particulière, celle de tous les policiers municipaux, est encore plus difficile. En effet, vous êtes de plus en plus souvent amenés à suppléer la police nationale et la gendarmerie, dans des tâches de maintien de l’ordre pour lesquelles vous n’avez pas les véritables moyens d’agir. La loi elle-même rapproche désormais vos missions de celle de la police d’Etat. Consciente du décalage entre les objectifs qui vous sont fixés et les moyens dérisoires dont vous disposez, je partage vos exigences en matière de renforcement de vos capacités d’intervention et de défense. La question du port d’armes est à mes yeux cruciale : je ne peux admettre que votre police soit de ce point de vue largement sous-équipée et que le port d’arme soit dépendant de démarches administratives très contraignantes. Je soutiens également votre demande d’une meilleure formation et d’une organisation plus efficace de vos services. Ces revendications sont plus que légitimes.

    Il est par ailleurs impossible de déconnecter les évolutions de vos conditions de travail de la situation générale dans laquelle se trouvent aujourd’hui l’ensemble des forces de l’ordre du pays. C’est une véritable saignée dans les effectifs de la police nationale et de la gendarmerie à laquelle se livre le gouvernement (18 000 postes auront au total été supprimés entre 2007 et 2012). Cela n’est pas sans conséquence sur vos propres tâches de policiers municipaux : c’est bien parce que le ministère de l’Intérieur taille d’une manière aveugle dans ses effectifs que vous êtes de plus en plus souvent amenés à prendre le relais d’une police nationale réduite à peau de chagrin, sans en avoir les moyens.

    Cette situation, que vous vivez dans votre chair, doit être connue des Français, notamment parce qu’ils sont soumis en permanence à de belles paroles qui leur font croire que le gouvernement fait de la lutte contre l’insécurité une priorité nationale. La réalité est l’inverse de ce que proclame sans cesse Nicolas Sarkozy : derrière les discours de fermeté régulièrement entonnés devant les caméras, il n’y a rien d’autre que le vide et des mesures néfastes, comme celles qui consistent à mépriser les polices municipales et à vider de leur substance police nationale et gendarmerie.

    Il y a pire encore de la part de ce gouvernement : son indifférence face à l’évolution de la criminalité.

    Qu’on puisse aujourd’hui se livrer à des actes d’une telle cruauté, qu’on parvienne à se doter d’équipements de guerre, qu’on n’hésite plus à tirer, à l’arme lourde, pour éliminer ceux qui osent s’interposer sur le chemin de l’impunité, tous ces éléments témoignent de ce que notre pays a pris une très mauvaise pente, de ce que la France n’est plus aujourd’hui un Etat de droit. Une évolution de cette nature, qui transforme certaines parties du territoire, et notamment nos banlieues, en zones de non droit, montre qu’il n’y a plus guère de différences entre ce qui se passe en France et ce que nous observons dans certains pays.

    Cela touche durement nos compatriotes, vous-mêmes, l’ensemble des forces de l’ordre, mais ne provoque aucune réaction officielle.

    En réalité, ce recul, cette relégation en dehors de la civilisation, nous le devons à l’incurie et à l’inaction de nos dirigeants politiques eux-mêmes. Par leur indifférence, leur laxisme, par leur volonté de toujours privilégier la communication sur la réalité de l’action, ils contribuent jour après jour à détériorer la situation. Ce sacrifice du courage politique favorise l’escalade de la violence et prépare le terreau de toutes les folies meurtrières.

    C’est à une véritable révolution que j’appelle en matière de lutte contre toutes les formes de délinquance et de criminalité. Les coupables doivent désormais être sévèrement et réellement punis. Les forces de l’ordre doivent en particulier bénéficier de la présomption de légitime défense.

    Depuis huit ans aux responsabilités, Nicolas Sarkozy ne semble pas capable de cette évolution salutaire. Il préfère les postures et l’imposture du verbe à l’action efficace.

    Cette situation n’est plus acceptable. Combien de policiers et de gendarmes tués en service faudra-t-il pour que le gouvernement accepte enfin d’agir et de cesser de mentir aux Français ? Quels sommets la violence devra-t-elle atteindre pour qu’on sorte de la léthargie actuelle et des beaux discours sans lendemain ?

    Je vous prie d’accepter mes sentiments de grande solidarité.

    Marine Le Pen
    Député européen
    Vice-présidente du Front National.

    NP Info - 26/05/10

  • Obsèques nationales pour la jeune policière tuée sur l'A4 au cours d'une fusillade

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    Obsèques nationales à Villiers-sur-Marne
    Un dernier hommage a été rendu à Villiers-sur-Marne à la jeune policière municipale tuée lors d'une fusillade.

    Des milliers de personnes ont rendu hommage ce mercredi à Aurélie Fouquet, policière municipale tuée jeudi dernier lors d'une fusillade dans le Val-de-Marne. Des obsèques nationales ont eu lieu cet après-midi à Villiers-sur-Marne en présence de Nicolas Sarkozy et François Fillon.

    Le président de la République a prononcé un éloge funèbre et rencontré la famille. Nicolas Sarkozy a déclaré "que nul n'en doute, la police dispose des éléments qui permettront d'interpeller tous les membres de cette bande de lâches assassins, tous"

    Aurélie Fouquet, maman d'un bébé de 14 mois, est par ailleurs citée à l'Ordre de la Nation. Samedi elle avait été nommée par décret chevalier de la Légion d'honneur.

    Une minute de silence a également observée dans tous les commissariats de France à 15h30.

    Les policiers municipaux seront reçus jeudi par Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur.

     Des obsèques nationales se sont déroulées à la mairie de Villiers-sur-Marne à 15h30, puis un enterrement s'est déroulé dans l'intimité à Pontault-Combault (Seine-et-Marne), où vivent les parents de la policière. Une marche silencieuse a également lieu jusqu'au  lieu de la fusillade où Aurélie Fouquet a été tuée. 

    INFO PARIS ILE-DE-FRANCE  - 27/05/10

  • HUMOUR La Suisse et les minarets

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    (Cliquez sur le dessin)

  • STEPHANE MALLARME (1842-1898)

    Brise marine

    La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres.
    Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres
    D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !
    Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
    Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
    Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
    Sur le vide papier que la blancheur défend
    Et ni la jeune femme allaitant son enfant.
    Je partirai ! Steamer balançant ta mâture,
    Lève l'ancre pour une exotique nature !

    Un Ennui, désolé par les cruels espoirs,
    Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs !
    Et, peut-être, les mâts, invitant les orages,
    Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages
    Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots ...
    Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots !