Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1638

  • VIDEOS - La Journée sans immigrés: un fiasco!

    http://www.youtube.com/watch?v=SzElQZahYFk

    http://www.youtube.com/watch?v=-0h4qVhuNt0

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen

    Non content de copier les Etats-Unis sur le modèle communautariste de société, le lobby immigrationniste de France a voulu plagier l’exemple américain de la « journée sans immigrés ».
    Le résultat est une démonstration au-delà des espérances du Front National.
    La journée se révèle être un fiasco total avec à peine 70 000 messages de soutien sur Facebook et une mobilisation inexistante malgré le battage médiatique.

    Cet échec appelle une double conclusion :
    - Soit la France est totalement insensible à la présence ou à l’absence des travailleurs immigrés ce qui conforte l’analyse des adversaires les plus farouches de l’immigration ; cela signifierait surtout que toute nouvelle immigration est superflue et qu’il est possible d’engager une politique de retour dans des conditions humaines et dignes des immigrés sans travail.
    - Soit les promoteurs de cette action ne représentent qu’eux-mêmes ; les immigrés qui travaillent ont ainsi montré qu’ils sont totalement opposés aux tentatives d’embrigadement auxquelles des agitateurs d’extrême gauche voudraient les soumettre.

    Les médias qui ont donné du crédit à cette opération par des articles ou des commentaires d’une complaisance puérile en sont pour leur frais.

    NPI - 02.03.10

  • Un ancien SS de 88 ans condamné à la perpétuité

    heinrich_boere.jpg
    Heinrich Boere, 88 ans
    Le parquet allemand a requis aujourd'hui la prison à perpétuité à l'encontre d'un ancien SS de 88 ans jugé pour avoir participé à l'exécution de trois civils aux Pays-Bas pendant la seconde guerre mondiale, a indiqué le procureur général Ulrich Maas. Soixante-six ans après les faits, "nous devons tout simplement aux victimes de ne pas les oublier", a déclaré M. Maas, estimant "d'une importance capitale" de faire publiquement la lumière sur les atrocités du nazisme.

    Heinrich Boere, d'origine néerlandaise, qui vit depuis 55 ans en Allemagne où il réside aujourd'hui en maison de retraite, est l'une des dernières personnes à être jugée pour des faits remontant à la seconde guerre mondiale. Il s'est montré imperturbable à l'énoncé du réquisitoire.

    En décembre, il avait reconnu avoir abattu trois Néerlandais, soupçonnés d'entretenir des "sentiments anti-allemands", en juillet et septembre 1944, précisant qu'il s'agissait de mesures de représailles prises à l'encontre des mouvements de résistance. Il avait affirmé avoir obéi aux ordres et n'avoir pas estimé, à l'époque, avoir commis de crimes, tout en reconnaissant qu'il voyait les choses autrement aujourd'hui.

    Né aux Pays-Bas, Heinrich Boere avait rejoint les SS en 1940, à l'âge de 18 ans. Emprisonné peu avant la fin de la guerre, il s'était évadé en 1947 mais avait passé 7 ans caché aux Pays-Bas avant de s'installer en Allemagne. Il a été déchu de sa nationalité néerlandaise lors de sa condamnation à mort dans ce pays en 1949.
    Le Figaro - 02.03.10

  • 500.000 contrats d'accueil et d'intégration

    Le 500.000ème Contrat d'accueil et d'intégration (CAI) a été signé solennellement mardi au ministère de l'Immigration et de l'Intégration par le ministre Eric Besson et un jeune Libanais, chercheur dans une grande entreprise de cosmétiques.

    Le CAI concerne les ressortissants étrangers arrivant légalement en France pour de longs séjours, a indiqué le ministre. Il s'agit d'un contrat moral par lequel "le migrant s'engage à respecter les valeurs républicaines qui régissent notre société, à apprendre la langue, à entreprendre activement de s'intégrer à la société française", l'Etat s'engageant de son côté à "dispenser les formations nécessaires à une bonne intégration dans la société", a souligné Eric Besson.

    Le CAI est assorti d'un système de sanctions : si le migrant ne respecte pas ses obligations, le préfet peut décider de ne pas renouveler son titre de séjour, a ajouté le ministre.

    Le CAI a été instauré à titre expérimental en 2003 et généralisé en 2007. L'âge moyen des signataires est de 32 ans. Ce sont le plus souvent des personnes qualifiées : en 2009 plus de 25% d'entre eux avaient suivi des études supérieures et seulement 6% n'avaient jamais été scolarisés, précise le ministère.

    Un migrant sur trois vient du Maghreb.

    Le Figaro - 02.03.10

  • La Vendée sous les eaux: en 2008 la DDE prévoyait le danger

    Aiguillon-sur-Mer.jpg
    L'Aiguillon-sur-Mer après la tempête
    (Cliquez sur la photo)
    Le sud de la Vendée où, depuis le XVII e siècle, on s’efforce de gagner des terres sur la mer, les risques d’inondation sont connus de longue date. Dans une note datée d’octobre 2008, l’ancien chef du Service maritime et des risques de la Direction départementale de l’équipement (DDE), Stéphane Raison, rappelle que « sur le secteur littoral, la zone de l’estuaire du Lay (NDLR : où se trouvent précisément les communes de La Faute-sur-Mer et de L’Aiguillon-sur-Mer, les plus frappées par la tempête) est la zone la plus dangereuse du département, le Lay étant un d’eau majeur drainant une surface représentant la moitié du département de la Vendée, exposée à des phénomènes marins extrêmes, amplifiés par l’effet de baie dans la baie de l’Aiguillon ».
    Il précise que « la commune de La Faute-sur-Mer a été construite sur de vastes espaces gagnés sur la mer, ne tenant pas compte de la mémoire du risque. Plus de trois mille maisons sont construites derrière des digues en terre».  

    Ce week-end, le barrage de la Faute a tenu. Le maire assure d’ailleurs que des travaux de renforcement sont en cours mais celui de L’Aiguillon a cédé, comme en 1999. Ironie du sort, c’est à partir d’une démarche pilote, menée depuis 2005 dans l’estuaire du Lay, que le décret du 11 décembre 2007 « relatif à la sécurité des ouvrages hydrauliques » a vu le jour. Toutes les digues de doivent être passées à la loupe, rénovées si besoin, avant d’être mises sous surveillance.  Depuis 2005, plus de 16 digues en Vendée ont déjà été inspectées par les spécialistes.

    Le parisien - 02.03.10

     
  • VIDEOS Les digues étaient-elles trop vétustes? - L'Ile de Ré en partie submergée

    http://videos.tf1.fr/jt-20h/tempete-les-digues-etaient-elles-trop-vetustes-5752041.html

    Le chef de l'Etat a annoncé lundi un plan pour renforcer les digues qui ont cédé. Mais la polémique commence à poindre. Entre l'Aiguillon et la Faute-sur-Mer, la digue détruite datait de 200 ans.

    http://videos.tf1.fr/jt-20h/sur-l-ile-de-re-un-paysage-devaste-5752046.html

    L'île de Ré a été en partie submergée par les eaux. Les digues qui devaient être consolidées n'ont pas résisté. Et les habitants redoutent une nouvelle montée des eaux.

    TF1 - 01.03.10

  • La tempête n'est pas due au "réchauffement climatique"

    Un météorologue explique pourquoi Xynthia a été beaucoup plus violente qu'une tempête hivernale ordinaire.

    La tempête Xynthia, qui a traversé la France d'ouest en est au cours du week-end, est l'une des plus puissantes qu'ait connue le pays depuis 1999 avec des pointes de vent à 160 kilomètres/heure enregistrées dans l'île de Ré. Quatre départements (Vendée, Deux-Sèvres, Vienne et Charente-Maritime) ont été placés en vigilance rouge, le niveau le plus élevé du système d'alerte créé par Météo-France en 2001.

    En Bretagne et sur la majeure partie du littoral atlantique, ces vents violents, conjugués à de très forts coefficients de marée, ont engendré une élévation du niveau de la mer de plus d'un mètre. «C'est ce phénomène, et non la pluie, qui a provoqué des inondations meurtrières en Charente-Maritime et en Vendée» où une digue s'est rompue, note Patrick Galois, ingénieur à Météo-France.

     

    Le froid anticyclonique protecteur  

     

    Pour ce spécialiste, Xynthia s'est formée «lorsque des vents froids d'altitude très puissants, les fameux jets streams, sont entrés en contact avec une masse d'air chaud située en basse couche» au milieu de l'Atlantique à environ 30° de latitude nord. La forte différence de température entre les deux masses d'air a généré le «creusement » d'un énorme tourbillon, ou dépression, qui s'est ensuite évacué vers le nord-est. Samedi, Xynthia frappait le Portugal puis l'Espagne avant de traverser la France en écharpe depuis les Pyrénées et la région Poitou-Charentes jusqu'en Champagne-Ardenne, en passant par le Centre et la Bourgogne.

    «Ces tempêtes hivernales sont relativement courantes mais la plupart du temps, elles naissent beaucoup plus au nord au large de l'Islande et des îles Britanniques et n'atteignent pas une telle intensité, poursuit M. Galois . La violence de Xynthia provient du fait qu'elle s'est formée beaucoup plus au sud que d'habitude et qu'elle a mobilisé une très grande quantité d'air chaud.» Selon ce météorologue, le froid anticyclonique qui s'est abattu sur la France en janvier et février nous a protégés d'une grande partie de ces coups de vents.

    Avec la tempête Klaus qui avait dévasté le Sud-Ouest en janvier 2009, Xynthia est le deuxième événement le plus violent survenu depuis les deux tempêtes exceptionnelles de décembre 1999, qui s'étaient abattues alternativement sur les deux moitiés du pays. «A priori, on ne peut faire aucun lien avec le changement climatique, conclut M. Galois. La tempête de ce week-end rentre dans la variabilité naturelle du climat

    Le Figaro - 01.03.10

  • POURIM

    Fête de Pourim.jpg
    Les enfants se déguisent pour la fête de Pourim
    Le 28 février 2010, dans la Yeshiva Belz, séminaire rabbinique de Jérusalem, des enfants et hommes ultra-orthodoxes lisent la Megila d’Esther (rouleaux), qui raconte l’histoire de la fête juive de Pourim.
     La fête de Pourim commémore le sauvetage des juifs d’un génocide dans la Perse ancienne.
    IsraelValley - 01.03.10

  • FRANCE-EUROPE-RUSSIE - Dïner conférence

    diner_conference_20_mars.jpg
    diner_conference_20_mars-2.jpg
    (Cliquez sur les affiches  pour les agrandir)
    NPI - 01.03.10

  • Evian-les-bains: des policiers frappés en marge du carnaval

    Bouteille voyou Evian.gif
    Quatre jours d'ITT pour l'un des policiers, un jour pour le second, autant dire que la surveillance du carnaval d'Évian a été musclée. Pour autant, ce triste fait divers survenu samedi n'avait rien à voir avec les festivités bon enfant qui ont animé le centre-ville. Simplement étaient-elles menacées : une rumeur faisait état de jets de bouteilles remplies d'acide dans la foule.

    Vers 17 heures, un équipage formé de deux fonctionnaires remarquait, dans le quartier de la Rénovation, un groupe de cinq à six jeunes occupés à remplir des bouteilles. Rapidement le contrôle a tourné au vinaigre. D'autres jeunes venant en renfort, les policers ont reçu de nombreux coups. Ils ont tenté de s'enfuir, mais ont été bloqués par le meneur qui a encore asséné deux coups de poing à l'un d'eux.

    L'excité a été interpellé par les renforts, ainsi que deux autres gaillards. Ils ont été placés en garde à vue.

    Dans la nuit, un quatrième protagoniste était arrêté à proximité du casino d'Évian. Interpellation mouvementée, car son acolyte, qui n'était pourtant pas impliqué dans l'affaire, s'en est pris aux policiers. Tous deux ont été placés en garde à vue.

    Les suspects sont, pour la plupart, majeurs et, certains, déjà connus des services de police.

    Le dauphiné libéré.com - 01.03.10

     

  • Flux démographiques: 700 millions d'émigrants!

    01/03/2010 – 16h50
    PARIS (NOVOPress) : Une enquête Gallup réalisée dans 135 pays entre 2007 et 2009 montre que 700 millions d’hommes et de femmes dans le monde, soit 16% des plus de 18 ans, veulent quitter leur pays pour émigrer, essentiellement vers l’Europe et l’Amérique du Nord.

    Si une situation économique désastreuse et le manque d’opportunités constituent de sérieux motifs d’émigration, l’insécurité dans les pays source devient un facteur de plus en plus décisif. Vols, enlèvements, viols et meurtres sont autant de fléaux qui déclenchent la décision d’abandonner sa terre natale. On peut imaginer la désillusion de ces migrants quand ils débarquent dans les « zones de non-droits » de nos banlieues. A moins que leur accoutumance à la violence ne les aide à intégrer à leur tour les réseaux mafieux.

    Le critère majeur qui décide ceux qui rêvent de partir à passer à l’acte est le fait d’avoir de la famille ou des amis installés à l’étranger avec qui les émigrants potentiels ont gardé le contact. Gallup a constaté que 59% de ceux qui souhaitent émigrer ont un proche qui vit dans un pays d’accueil depuis plus de cinq ans. A peine 13% des candidats à l’émigration n’ont personne sur qui compter à l’étranger.

    Vient ensuite le critère de l’âge : 10% de ceux qui désirent partir ont plus de 35 ans, tandis que 22% ont entre 15 et 34 ans. Le critère de l’instruction arrive en troisième lieu : 40% ont suivi un enseignement secondaire ou supérieur, et seulement 11% n’ont pas été jusqu’au bout du secondaire. Une véritable hémorragie de savoir-faire et de talents sur laquelle les immigrationnistes des pays « d’accueil » font silence, jouant les idiots utiles des nouveaux négriers et des patrons voyous (photo). Un racket planétaire qui prive le tiers-monde – l’Afrique en premier lieu – de toute possibilité de décollage économique. Une situation dramatique dénoncée entre autres par l’Association Camerounaise de Lutte Contre l’Emigration Clandestine et son président Emile Bomba.


  • Contrôle routier: un gendarme meurt percuté par un motard

    Un gendarme de la brigade motorisée de Bergerac, en Dordogne, effectuait dimanche après-midi, un contrôle routier avec un collègue sur la route départementale 933 à Saint-Julien-d'Eymet quand il a été percuté par un motard. Vers 17 heures, il a fait le geste demandant à un motard de s'arrêter mais ce dernier, refusant d'obtempérer, l'a percuté avant de prendre la fuite, selon le Centre opérationnel de gendarmerie (COG).
     
    Le conducteur de la moto, âgé de 50 ans, s'est rendu de lui-même à la gendarmerie de Bergerac une heure plus tard après avoir dans un premier temps pris contact avec les gendarmes par téléphone, selon la même source.
     
    Le militaire blessé souffrait dimanche soir de "fractures ouvertes aux membres inférieurs", selon le COG. Il est décédé dans la soirée à l'hôpital de Bergerac, a indiqué Catherine Delorme, officier de communication de la gendarmerie d'Aquitaine. Elle ne pouvait donner plus de précisions sur les raisons du décès du militaire.
     
    La brigade de recherches de Bergerac est en charge de l'enquête.

    TF1 News - 01.03.10

  • La certification Voltaire - "De la tenue et de l'orthographe!" comme disait Octave Mirbeau

    Certification Voltaire.gif

    Les dames meilleures que les messieurs, des aînés qui surclassent la jeunesse, les Caennais nettement plus forts que les Parisiens, des confusions massives entre « à l’attention de » et « à l’intention de », ou « quelque » et « quel que »… Voici quelques-uns des premiers enseignements à tirer de la certification Voltaire, un test d’orthographe né il y a un mois jour pour jour.

    Celui-ci fonctionne sur le même principe que le TOEFL (ce test évalue les aptitudes des candidats non anglophones à parler et à comprendre l’anglais, tel qu’il est pratiqué dans l’enseignement secondaire et supérieur ). Moyennant la somme de 59,90 €, étudiants, jeunes diplômés, chômeurs ou cadres sup sont invités à plancher sur une série de 300 questions portant sur des règles grammaticales, lexicales ou syntaxiques, afin d’évaluer leurs compétences. Si leur performance est honnête, ils peuvent en faire un argument de poids sur un CV, à l’heure où les recruteurs se plaignent de voir passer des lettres de motivation truffées de fautes.

    Les femmes à l’honneur. Trois cents candidats (dont 70 % de femmes, parmi lesquelles une… retraitée !) ont pris part à cet examen qui se déroule, pour l’instant, dans 29 centres, le plus souvent dans des IUT ou des chambres de commerce*. Mille autres sont déjà inscrits pour faire certifier leur niveau d’ici juin. Moyenne d’âge : 30 ans. Le résultat au test est compris entre 0 et 1 000 points. A partir de 300 sur 1 000, le postulant a des « aptitudes pour rédiger sans faute des textes simples ». A 500, il peut s’attaquer à des « textes élaborés et nuancés ». A 700, il devient un « référent » au travail, ayant des « aptitudes pour relire et corriger les textes de ses collaborateurs ». A 900, c’est un « expert ». A ce jour, le score moyen s’élève à 430. « C’est l’équivalent d’un 12 ou 13/20, ce n’est pas mal du tout », juge Pascal Hostachy, patron de la société Woonoz, conceptrice du nouveau label. La gent féminine (avec une moyenne de 435 sur 1 000) devance d’une courte la gent masculine (420).

    La jeunesse à la traîne. Les plus de 40 ans (en moyenne 480 sur 1 000) donnent une correction aux moins de 25 ans (390). « C’est une confirmation. La maîtrise de l’orthographe est une question de génération, qui a malheureusement perdu de sa superbe chez les jeunes », regrette Bruno Dewaele, agrégé de lettres modernes et champion du monde d’orthographe en 1992. C’est au centre de Caen (551) qu’on a le mieux dompté les pièges de notre langue. A côté, (450) et (390) font pâle figure. Le score à battre culmine à 921. Il est l’oeuvre d’une formatrice en français dans un centre de formation d’apprentis.

    « S’accaparer de » et « je concluerai » au panthéon des erreurs. Parmi les difficultés ayant donné du fil à retordre aux candidats, on trouve le participe passé suivi d’un infinitif, comme « je l’ai fait parlé » au lieu de « je l’ai fait parler ». Ou bien « accaparer » (qui existe), maltraité en « s’accaparer de » (qui n’existe pas), « je conclurai » (du verbe conclure au futur) transformé en « je concluerai » (non valable), ou bien « parti » (comme dans tirer parti) confondu avec « partie » (de prendre à partie). Autre grand classique, la subtile distinction entre « ci-joint » (invariable en début de phrase ou quand il est situé juste devant le mot qu’il détermine, comme dans « je vous envoie ci-joint copie de la lettre ») et ci-jointe (« je vous envoie ci-jointe la copie »). Les candidats sont aussi nombreux à s’être plantés sur les nuances entre « va-t-en » (… guerre) et « va-t’en » (… tu m’énerves). Il ressort que les moins de 25 ans sont particulièrement fâchés avec « vingt » et « vingts » ou « fond » et « fonds ». Les hommes, eux, ont plutôt trébuché sur « acompte » (qui existe) et « accompte » (qui est faux), ainsi que sur le « je vous serais gré » qui… n’a pas lieu d’être ! « On dit Je vous saurais gré, du verbe savoir », rectifie le crack Bruno Dewaele.
    *www.certification-voltaire.fr.
    Le Parisien - 01.03.10
  • La première "Journée sans Immigrés"

    Journée sans immigrés 01.03.10.jpg
    1er mars 2010
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    La première "journée sans immigrés", un nouveau mode d'action consistant à se "retirer" de la vie économique pour montrer l'apport de l'immigration, a mobilisé lundi des centaines de personnes à Paris et a suscité de multiples initiatives en Italie

    De 12H00 à 14H00, le parvis de l'hôtel de ville à Paris, a été la scène de débats, d'histoires familiales partagées, de musique, d'échanges entre plusieurs centaines de personnes d'horizons différents se reconnaissant dans un refus de stigmatisation de l'immigration.

    Chefs d'entreprise et cadres d'origine étrangère, étudiants d'Europe de l'Est, militants du collectif "24H00 sans nous" ou collectifs de sans-papiers ont martelé leur "ras-le-bol de l'instrumentalisation politique de l'immigration".

    "Le message des citoyens qui sont ici est clair", résume Alexandre Mesin, jeune ingénieur venu en compagnie de sa femme Weiwei, née en France de parents chinois, "nous en avons marre d'entendre parler de l'immigration comme d'une menace et non comme une richesse".

    "La France ne serait rien sans ses immigrés", renchérit Rym Cherifa, 24 ans, styliste d'origine marocaine. "Ce rassemblement réveille le vivre-ensemble".

    Le collectif, lancé en juin dernier, a calqué l'idée de boycott économique (24H00 sans consommation et sans travailler) sur un vaste mouvement de protestation mené par les Latinos-Américains aux Etats-Unis en 2006 contre la politique d'immigration.

    Le "déclic" de la quinzaine de personnes à l'origine du mouvement a été provoqué par les propos lancés par Brice Hortefeux à un jeune militant d'origine maghrébine lors de dernière université d'été de l'UMP.

    La date du 1er mars a été choisie car elle marque le cinquième anniversaire de l'entrée en vigueur du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CESEDA), qui instaurait une immigration "choisie" sur des critères économiques.

    "On nous demande aujourd'hui de quantifier notre action, or il est nécessairement difficile de mesurer l'impact de notre appel à cesser de travailler ou de consommer pendant 24H00", a expliqué à l'AFP Peggy Derder, vice-présidente du collectif. "Ce qui est certain, c'est que ce mouvement a eu un impact qualitatif sur la société française et a notamment contribué à changer le regard sur l'immigration".

    "Le collectif a le mérite d'avoir mis en relation des mondes qui s'ignoraient souvent", rappelle Nadia Lamarkbi, jeune journaliste franco-marocaine et présidente du collectif. "Même si la démocratie participative est parfois difficile à gérer au quotidien!".

    Soutenue par plusieurs syndicats et des associations comme la Cimade, le Gisti, le Réseau éducation sans frontières ou France Terre d'Asile, l'initiative a suscité des actions plus modestes en province, avec par exemple des rassemblements d'une centaine de personnes à Toulouse et sur le Vieux-Port de Marseille ou encore un "Freeze" à Lille.

    "L'aventure ne fait que commencer. Nous espérons maintenant faire de cette journée un évènement annuel et européen", explique Mme Lamarkbi.

    Plusieurs collectifs se sont déjà formés en Grèce, en Espagne ou en Italie. Dans ce pays, la journée a déjà été marquée lundi par de multiples initiatives, notamment une manifestation à Milan, une exposition de photos à Bologne sur les "nouveaux Italiens" ou à Trieste, des opérations de nettoyage de graffitis racistes.

    Le Point - 01.03.10

  • Un peu tard... Sarkozy veut "un plan digues"

    Le président Nicolas Sarkozy a demandé "un plan digues" à Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, après la tempête Xynthia qui a balayé la Vendée et la Charente-Maritime, aujourd'hui lors d'une visite à L'Aiguillon-sur-Mer.

    Le Figaro - 01.03.10

  • Tempête: Sarkozy promet de débloquer 3 millions d'euros

    Arrivé lundi matin en Charente-Maritime, le chef de l'Etat promet également de signer dès mardi l'arrêté de catastrophe naturelle. Le dernier bilan de la tempête Xynthia fait état de 50 morts.

    En visite en Charente-Maritime, particulièrement frappée par la tempête Xynthia, Nicolas Sarkozy a annoncé lundi matin qu'il signera dès mardi l'arrêté de catastrophe naturelle, promettant par ailleurs de débloquer trois millions d'euros pour faire face aux dépenses des victimes. Le chef de l'Etat a par ailleurs demandé une mission d'inspection au ministère de l'Intérieur et aux services de l'Equipement, qui rendra «un rapport dans les dix jours pour comprendre ce qui s'est passé».

    Pendant ce temps, les recherches se poursuivent sur la côte vendéenne pour retrouver des survivants de la tempête Xynthia, qui a fait 50 morts en France, selon un bilan provisoire arrêté en début de matinée. La Sécurité civile rapporte aussi 9 disparus, 7 en Vendée et 2 en Charente Maritime. Une trentaine de blessés ont par ailleurs été admis dans des hôpitaux de la région. Plus de 500 rescapés ont été hébergés pour la nuit dans différents centres et d'autres ont été accueillis par des proches. Deux départements, le Finistère et le Morbihan, restent en vigilance orange lundi matin pour risque d'inondations.

    En tout, 9.240 sapeurs-pompiers sont à l'oeuvre sur le terrain pour venir en aide aux sinistrés, a précisé le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux. Ils ont repris leurs recherches en embarcations légères, notamment en direction des maisons inondées dont les volets sont restés fermés, tandis qu'un hélicoptère survole la zone. Il reste encore «une trentaine de personnes dont nous n'avons pas de nouvelles», soit parce qu'elles sont absentes, soit parce qu'elles sont bloquées chez elles, avait dit dimanche le président du conseil général Philippe de Villiers.

     

    Mobilisation du gouvernement

     

    Xynthia, une des plus violentes tempêtes depuis celle de 1999, laisse en France un sillage de destruction et un lourd bilan humain. Sur le littoral atlantique, zone la plus lourdement touchée, la plupart des victimes se sont noyées, surprises par la brusque montée des eaux dans les terres. «Le bilan est susceptible de s'alourdir avec nos reconnaissances plus en avant à l'intérieur des terres dans les maisons, dans les parkings», a prévenu le porte-parole de la Sécurité civile. En 1999, la tempête avait provoqué la mort de 92 personnes.

    Le président Nicolas Sarkozy est arrivé dans la matinée en Charente-Maritime, un des deux départements, avec la Vendée, les plus touchés par la tempête. Le président de la République a demandé «au gouvernement d'agir sans attendre». Une réunion s'est tenue dimanche après-midi à Matignon, au terme de laquelle François Fillon a promis que les arrêtés de catastrophe naturelle seraient publiés «dans les 48 heures». «C'est une catastrophe nationale», a déploré le premier ministre François Fillon. Il a également annoncé «un plan exceptionnel de construction et renforcement des digues», en accord avec les collectivités locales. Le ministère de l'Intérieur va débloquer 1 million d'euros de crédit d'urgence qui seront mis à disposition des préfets pour venir en aide aux régions sinistrées.

     

     

    La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a de son côté pris contact avec les assureurs pour que soient mis en place des dispositifs permettant des avances pour que les remboursements soient rapides. Son collègue Eric Woerth a prié les services de la Direction générale des finances publiques d'examiner «avec une bienveillance particulière» les demandes de délai de paiement des impôts. Les demandes de remise ou de diminution d'impôts directs restant à payer feront également l'objet «d'un examen attentif». Le ministre du Budget a également décidé que les cotisations de l'année 2010 de la taxe d'habitation et de la taxe foncière seront «remises en totalité», sur demande du contribuable, lorsque les locaux ont été détruits.

    La France compte enfin demander à l'Union européenne de lui accorder des fonds sur son budget de solidarité pour l'aider à faire face aux ravages de la tempête.

    Le Figaro - 01.03.10

  • Conversion à l'islam: Besson débouté contre Bakchich

    Le ministre de l'Immigration, Eric Besson a perdu le procès qu'il avait intenté au site Bakchich Info, qui avait écrit qu'il comptait se convertir à l'islam pour épouser une jeune Tunisienne, selon une ordonnance de référé consultée lundi par l'AFP.

    Le 8 février, dans un article intitulé «Besson trébuche dans le tapis de la prière», Bakchich avait écrit que Besson, «tombé raide amoureux, cet été d'une jeune étudiante tunisienne», avait «promis à la belle-famille de se convertir à l'islam», «avant les noces en juin prochain».

    demandait un de dommages et intérêts

    Le lendemain, le ministre avait démenti une telle conversion, se disant «très attaché au caractère laïque de notre République». Il avait alors engagé une action devant le juge des référés du tribunal de grande instance de Paris, au titre de l'atteinte à l'intimité de la vie privée. Il réclamait un euro de dommages et intérêts. Dans une ordonnance rendue vendredi, le juge Alain Bourla a débouté l'ancien socialiste. Il a d'abord estimé que Bakchich n'avait pas été valablement assigné. Les poursuites contre le site lui-même ont donc été déclarées nulles.

    Si l'assignation du directeur de publication, Xavier Monnier, est elle régulière, le tribunal a considéré qu'il n'était pas compétent. Il a estimé que seul un juge du fond a le pouvoir d'apprécier si les propos poursuivis sont ou non attentatoires à l'intimité de la vie privée.

    Le Parisien - 01.03.10

  • Vendée: rupture de la digue construite sous Napoléon

    Vidéo: http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafv9_T.html

    Béatrice Lagarde, sous-préfète des Sables-d'Olonne, explique que cette catastrophe est due à la rupture de digues. «Un risque qui était imprévisible», souligne-t-elle.

     

     C'est la Vendée qui paie le plus lourd tribut, à cause de la rupture d’une digue : une trentaine de victimes, essentiellement sur le front de mer - du côté de La Faute-sur-Mer et de l’Aiguillon-sur-Mer.

    Plus de 500 personnes ont été évacuées de la zone aujourd’hui.

    L’Aiguillon-sur-Mer a été construite sur des terres gagnées sur la mer, grâce à des polders et une digue de cinq kilomètres construite à l’époque de Napoléon.

    France Info - 28.02.10

  • 28 février 1794 - Massacre des Innocents aux Lucs-sur-Boulogne (Vendée)

    Les Lucs sur Boulogne massacre dans l'église.jpg
    Les Lucs sur Boulogne massacre vitrail.jpg
    Déplacement de la colonne infernale
    Le 28 février 1794, tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne. Mais sur le chemin, ils sont attaqués par Charette et mis en déroute. Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, se retire. Martincourt, un lieutenant de Cordellier s'en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers Les Lucs avec l'intention d'y exercer des représailles.
    Le massacre
    Les Républicains, une fois entrés dans le village, rassemblent la population devant l'église. Les villageois n'étaient guère en mesure de se défendre, la population présente comptant principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans. La quasi-absence d'hommes adultes convainquit les Républicains que ces derniers avaient participé aux combats sous les ordres de Charette. Matincourt avait choisi de ne pas faire de quartier ; de plus, il souhaitait que l'opération se fasse en économisant le plus de cartouches possibles. Les soldats firent donc entrer la population dans l'église jusqu'à ce que, tout à coup, la cohue s'arrête, l'église s'avérant trop petite pour pouvoir contenir toute la population du village. Les Républicains mirent leur baïonnette au canon, chargèrent et massacrèrent toutes les personnes restées à l'extérieur. Les portes de la chapelle furent ensuite fermées, emprisonnant les civils à l'intérieur. L'église fut ensuite incendiée et des tirs de canons provoquèrent son éboulement. (Wikipédia)

  • Menacé, un élève de seconde est rescolarisé en 3ème

    Parce qu'il se sentait menacé, André*, 15 ans, a demandé à changer d'établissement. Inscrit en seconde professionnelle, section climatisation, au lycée Maximilien-Perret d'Alforville (Val-de-Marne), l'élève a finalement été rétrogradé en troisième, au collège !

    André, qui avait intégré le lycée professionnel Maximilien-Perret d'Alfortville à la rentrée 2009, raconte avoir été rapidement victime «d'embrouilles de quartier».

      «Ils s'en prenaient à tous les gars de Villeneuve-le-Roi», ville dont il est originaire, a-t-il confié. Accompagné par sa famille, l'adolescent demande à être affecté dans un autre lycée. «J'étais prêt à aller n'importe où mais pas à Alfortville.»

     Mais l'inspection académique lui propose une solution singulière : un retour en troisième. «On m'a dit il n'y avait plus de place en seconde technologique, c'était ça ou je restais chez moi», assure le jeune homme. Résultat : depuis le 1er décembre, André a été rétrogradé en classe de 3e au collège Georges-Brassens de Villeneuve-le-Roi, atteste un document officiel que le Parisien.fr s'est procuré (lire le document ci-contre).

    Saisi par la famille, Me Romain Sabon entend contester cette décision devant le tribunal administratif. «Cet élève est la victime de violences et la seule réponse de l'administration, c'est de le déclasser au plan scolaire alors qu'il n'a jamais redoublé», dit l'.

    A la FCPE, qui s'était alarmée en septembre d'une «crise de l'affectation» en filière technologique, «on n'a jamais vu ça». Ce cas suscite l'étonnement. «J'ai rarement vu ce genre de choses», a déclaré à l'AFP son , Jean-Jacques Hazan. L'inspecteur d'académie du Val-de-Marne, Didier Jouault, reconnaît une «erreur». «Réaffecter cet élève en 3e n'était pas la bonne solution d'autant que la famille n'avait pas donné son autorisation écrite», explique-t-il.

    Selon lui, un rendez-vous vient d'être pris avec la famille et André réintégrera une classe de seconde à la rentrée des vacances de février. «On va trouver une place pour ce garçon», assure-t-il. Me Sabon n'exclut pas de demander réparation du préjudice subi devant les tribunaux. Et veut obtenir un soutien scolaire pour qu'André ne redouble pas en fin d'année.

    * Le prénom a été modifié

    Le Parisien - 25.02.10