Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1791

  • Israël a utilisé des obus au phosphore contre la population civile de Gaza

    Ruines hôpital Al-Quds à Gaza -phosphore.jpg
    Dans les ruines de l'hôpital al-Quds à Gaza - 22 janvier 2009

    Un trou dans le plafond calciné, des débris d'obus et des fragments de phosphore qui s'enflamment au moindre contact: cette maison au nord de Gaza est une preuve de plus pour Amnesty International qui enquête sur les violations par Israël des conventions internationales sur les armes.

    Lundi 5 janvier, l'artillerie israélienne bombarde la périphérie de Beit Lahya, dans le nord de la bande de Gaza. Pour se protéger, Sabah Abou Halima et sa famille se réfugient à l'étage de leur maison, dans un couloir sans fenêtre.

    Deux semaines plus tard au même endroit, Chris Cobb-Smith, un expert britannique en armement, raconte la suite. "C'est ici que l'obus a transpercé le toit. Là, il a explosé en heurtant le mur, et distribué tous les fragments de phosphore dans la maison", montre-t-il. "C'est ce qui explique que tout l'intérieur soit aussi calciné."

    Depuis le 17 janvier, M. Cobb-Smith parcourt la bande de Gaza avec une délégation d'Amnesty venue enquêter sur l'utilisation, par l'armée israélienne, des bombes au phosphore, substance qui a la propriété de s'enflammer au contact de l'oxygène.

     

    L'emploi de ces armes est réglementé par la Convention sur les armes classiques de 1980, plus spécifiquement par le protocole III "sur l'interdiction ou la limitation des armes incendiaires", entré en vigueur en 1983, et qui prohibe notamment leur utilisation dans les zones peuplées de civils.

    Dans le bombardement de la maison de Beit Lahya, cinq civils ont été tués et quatre autres grièvement brûlés, dont Sabah Abou Halima. "Ca me fait tellement souffrir, ma peau me brûle. Je ne dors plus", confie-t-elle, alitée dans l'unité des grands brûlés de l'hôpital Chifa, à Gaza.

    Les hôpitaux de Gaza ont été dépassés par cette substance qu'ils ne savaient pas traiter parce que "le phosphore n'avait jamais été utilisé contre Gaza", assure Elizabeth Hodgkin, spécialiste du Proche-Orient pour Amnesty de 1994 à 2002.

    A l'hôpital Chifa, des rescapés racontent que leurs plaies se mettaient à fumer quand on les lavait ou qu'on retirait leurs bandages, car le phosphore blanc demeure actif très longtemps, et ne cesse de se consumer que lorsqu'on l'étouffe.

    En théorie, cette arme explose en l'air et est utilisée pour générer un "écran de fumée" de protection, ou pour marquer des cibles pour l'aviation, explique M. Cobb-Smith. "Il n'y a aucune justification tactique à son emploi à Gaza", estime-t-il. "Je pense que c'est ici une arme de terreur qui vise à effrayer les gens, mais aussi infliger des dommages physiques et détruire des bâtiments."

    Un crime de guerre pour Amnesty, qui a trouvé de multiples particules encore actives de phosphore dans des zones civiles, y compris dans l'hôpital al-Quds de Gaza, indique Donatella Rovera, qui dirige la délégation. D'éventuelles sanctions, ajoute-t-elle, dépendront "de la volonté politique des pays qui ont de l'influence, essentiellement des Etats-Unis et des pays de l'Union européenne".

    Rappel: l'offensive israélienne (27 décembre-17 janvier) a fait 1.330 morts palestiniens, dont plus de 430 enfants, et 5.450 blessés.

    Côté israélien, 10 militaires et 3 civils ont péri, selon les chiffres officiels.

    Le rapporteur spécial de l'ONU pour les territoires palestiniens, Richard Falk, a estimé jeudi que les opérations militaires israéliennes avaient eu un "caractère sans aucun doute inhumain" qui évoque "le spectre de crimes de guerre systématiques".

    AFP. 23.01.09

  • Obama s'engage en faveur de l'avortement

    Avortements Obama.jpg
    Le 22 janvier 2009 à la Maison-Blanche

    Le président Barack Obama a affirmé jeudi son engagement à défendre le droit des femmes à l'avortement.

    "Je reste déterminé à protéger la liberté des femmes de choisir" entre avoir un enfant ou pas, a dit M. Obama dans un communiqué publié à l'occasion du 36ème anniversaire d'une décision de justice capitale sur le droit des femmes à l'avortement aux Etats-Unis.

    Ce 36ème anniversaire "nous rappelle que cette décision non seulement protège la santé des femmes et la liberté de reproduction, mais symbolise un principe plus large: que le gouvernement n'a pas à se mêler des affaires de famille les plus intimes", a-t-il dit, marquant une nouvelle fois de manière spectaculaire sa différence avec son prédécesseur George W. Bush.

    M. Obama évoquait l'une des décisions les plus fameuses et les plus controversées de la Cour suprême. L'arrêt du 22 janvier 1973, "Roe contre Wade", dit que le droit à la vie privée, présent en filigrane dans la Constitution, garantit aux femmes la liberté d'avorter.

    Cet arrêt est depuis lors soumis aux attaques constantes de ceux qui militent contre l'avortement et qui se sont encore mobilisés jeudi à l'occasion du 36ème anniversaire.

    M. Bush adressait régulièrement un message de soutien aux opposants à l'avortement à l'occasion de cet anniversaire.

    Les opposants à l'avortement s'inquiètent à présent que M. Obama ne publie rapidement un décret revenant sur des politiques de M. Bush interdisant que de l'argent américain ne finance des programmes internationaux qui promeuvent l'avortement ou conseillent les femmes sur le sujet.

    AFP. 23.01.09

  • Obama a prêté serment une seconde fois, mais sans Bible...

    Serment deux fois - Obama.jpg
    A la Maison-Blanche, mercredi 21 janvier 2009
    Cette seconde prestation de serment s'est réalisée sans cafouillage et sans Bible. Mardi, Barack Obama avait prêté serment sur la Bible d'Abraham Lincoln, son modèle en politique.

    Scène rarissime à la Maison-Blanche, Barack Obama a tenu «par précaution» à répéter son serment, après le cafouillage de mardi.

    En raison d'un adverbe mal placé, le président américain, investi en grande pompe et devant les yeux du monde entier mardi, a tenu à reprêter serment, de manière extraordinaire mercredi. L'événement historique de mardi ne s'était en effet pas déroulé comme prévu. Le président de la Cour suprême John Roberts a récité dans le désordre les mots du serment, dont le texte est inscrit dans la Constitution.

    Au lieu de proclamer à l'adresse du président démocrate pour qu'il répète après lui «Je jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des Etats-Unis», le magistrat avait déclaré «Je jure solennellement de remplir les fonctions de président des Etats-Unis fidèlement». Perturbé, Barack Obama avait alors prêté serment en modifiant à son tour la phrase, sortant ainsi du texte constitutionnel.

    Il n'a pas prêté serment sur la Bible chrétienne...

     

  • VIDEO Israël paralyse Gaza

    http://www.wat.tv/video/gaza-point-220109-13h00-news-17y8x_14e2h_.html

    La situation à Gaza le 22 janvier 2009

    Israël continue à humilier la population de Gaza et à l'enfermer dans un ghetto

  • Parce qu'il est "surdoué", il agresse sa prof avec des ciseaux...

    Un élève de 12 ans, d'une classe de 5e au lycée Jean XXIII de Montigny-lès-Metz (Moselle), a agressé jeudi avec des ciseaux et blessé à la joue son professeur d'allemand, a-t-on appris auprès de l'inspection académique de la Moselle à Metz.

    «L'agression s'est produite dans la matinée à la fin d'un cours alors que l'enseignante et ses élèves rangeaient leurs affaires.

    Le garçon, un bon élève sans antécédent, s'est approché du bureau et lui a donné un coup de ciseau», a-t-on expliqué. L'enseignante, dont l'identité n'a pas été révélée, a «une estafilade à une joue et ses jours ne sont pas en danger», a-t-on précisé de même source.

     «Il s'agit d'un élève surdoué. Ces élèves ont souvent des problèmes de comportement», a indiqué une source proche de l'enquête en précisant que les ciseaux utilisés pour l'agression «étaient à bouts ronds».

    Selon les résultats d'une récente étude Sofres, plus de la moitié des enfants considérés comme intellectuellement précoces en France présenteraient des troubles du comportement. D'après cette étude, un enfant intellectuellement précoce dispose d'un quotient intellectuel de 125, voire de 130.


    A la suite de l'agression de leur collègue, les 160 maîtres de l'ensemble scolaire messin ont exercé leur droit de retrait et ont refusé d'assurer les cours de l'après-midi, a indiqué le chef d'établissement, Michel Larrory. Ils ont toutefois surveillé leur classe jusqu'à 17 heures, a-t-il ajouté.

    Le lycée catholique Jean XXIII, établissement scolaire privé lié par un contrat d'association à l'Etat, accueille plus de 2 000 élèves, de la maternelle à la classe préparatoire.

    Leparisien.fr avec AFP -22.01.09

    S'il était surdoué, il ne serait pas à 12 ans en 5ème, âge normal pour cette classe!

  • Obama "décide" de fermer Guantanamo - l'épouvantail du "terrorisme" a fait son temps - le WTC aux oubliettes

    Guantanamo Obama signe 21 janvier 09.jpg
    Obama et Joe Biden dans le Bureau Ovale le 21 janvier 2009

    Le président américain Barack Obama a décrété jeudi la fermeture du centre de détention de Guantanamo d'ici un an, marquant une rupture avec la politique controversée de lutte contre le terrorisme de George W. Bush.

    M. Obama a signé le décret de fermeture de Guantanamo dans le Bureau Ovale, entouré de militaires à la retraite, après une réunion sur la politique d'interrogatoire et de détention des personnes suspectées de terrorisme.

    Le président a également imposé que les Etats-Unis se conforment aux conventions de Genève sur les prisonniers de guerre.

    APP. 21 janvier 2009

  • Guantanamo: les cinq suspects du 11-Septembre ne seront sans doute pas jugés "parce qu'ils ont été torturés"...

    Guantanamo -suspects 11 sept jamais jugés.jpg

    Les Etats-Unis ne pourront peut-être jamais juger Mohammed al-Qahtani parce qu'il a été torturé, selon une haute responsable du Pentagone, laissant planer le doute sur la possibilité de juger un jour les cinq hommes accusés d'avoir organisé le 11-Septembre.

    Mercredi dans le Washington Post, Susan Crawford, une juge militaire à la retraite chargée dans l'administration Bush de décider du renvoi des détenus de Guantanamo devant un tribunal, a expliqué les raisons pour lesquelles elle avait abandonné les charges contre ce Saoudien, en mai dernier.

    "Nous avons torturé Qahtani", a-t-elle affirmé. "Son traitement correspond à la définition légale de la torture. Et c'est pour cette raison que je ne renvoie pas ce cas" devant la justice d'exception créée pour les détenus de Guantanamo, a ajouté celle qui supervise ces tribunaux.

    M. al-Qahtani, 30 ans, est soupçonné d'être le vingtième terroriste chargé de détourner les avions de ligne le 11-Septembre. Mais il aurait été interdit d'entrée sur le territoire américain en août 2001.

    "Le FBI a des preuves fiables que Qahtani a appelé Mohammed Attah en arrivant à Miami", qui peuvent encore permettre de le traduire devant une cour fédérale, a nuancé pour l'AFP Sarah Mendelson, directrice d'études au Centre d'études stratégiques et internationales. En revanche, a-t-elle précisé, "il est possible que le juge le place en soins psychiatriques". "Il a été extrêmement malmené".

    Isolement prolongé, privation de sommeil, nudité, humiliations et exposition prolongée au froid figurent parmi les techniques utilisées par les militaires américains à son encontre, selon Mme Crawford.

    Interrogée, une porte-parole du Pentagone, Cynthia Smith, a affirmé à l'AFP "ne pas savoir pourquoi Mme Crawford a décidé de parler à la presse".

    Pour Mme Mendelson, en effet, la question se pose. A une semaine de la prise de fonction du nouveau président, Barack Obama, "lance-t-elle le débat parce qu'elle craint des poursuites contre les haut-responsables de l'administration Bush ?", a interrogé la spécialiste.

    Les techniques d'interrogatoires décrites étaient "autorisées" à l'époque, en 2002-2003, par le secrétaire d'Etat Donald Rumsfeld, mais ne le sont plus à l'heure actuelle, a par ailleurs expliqué à la presse un autre porte-parole du Pentagone, Bryan Whitman.

    Cette situation inédite laissée par l'administration Bush à Barack Obama, devrait prendre une place de choix dans les différents casse-tête auxquels ce dernier va être confronté dès mardi.

    Il va en effet devoir décider très vite de poursuivre la détention du Saoudien, sans charge mais au nom de sa dangerosité potentielle, de le faire déférer devant une cour fédérale ou militaire classiques, ou de le libérer.

    Au-delà du simple cas d'école Qahtani, ces révélations pourraient avoir un impact sur le sort judiciaire de cinq hommes soupçonnés d'avoir organisé les attentats du 11-Septembre.

    Le vice-président sortant Dick Cheney a confirmé récemment que Khaled Sheikh Mohammed, qui affirme en avoir été le cerveau, et deux autres, avaient été soumis à la technique consistant à simuler leur noyade ("waterboarding").

    "Le président et le vice-président des Etats-Unis ont pris une décision importante parce que des agents du FBI, nous le savons, écrivaient dans des mémos "vous êtes en train de mettre en péril de nombreuses poursuites", a expliqué à l'AFP le lieutenant-commandant Brian Mizer, avocat militaire d'un des cinq hommes.

    "Nous avons peut-être perdu la possibilité d'aller devant un tribunal et de juger ces hommes", a-t-il regretté, jugeant qu'"il pourrait être impossible, devant une cour classique, d'obtenir une condamnation". AFP. 14.01.09

    Il semble qu'on ne saura jamais la vérité sur les attentats du 11-Septembre!

  • Les foetus avortés deviennent du matériel médical

    foetus.jpg
    En Grande-Bretagne, les scientifiques ont obtenu l’autorisation de traiter les patients souffrant d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) avec des injections de cellules souches provenant de fœtus avortés qui devaient jusque-là être incinérés.

    En injectant dans le cerveau des patients des cellules souches de fœtus âgés de douze semaines, les experts pensent que les cellules endommagées lors d’un AVC pourraient se régénérer et permettre aux malades de recouvrer l’ensemble de leur mobilité et de leurs facultés mentales. L’essai de deux ans, qui démarrera l’an prochain, consistera en l’injection de cellules souches chez quatre groupes de trois patients.
    Ces cellules seront développées en laboratoire, à partir de cellules de cerveaux de fœtus. Pourtant, une autre équipe de scientifique a opté pour le prélèvement sur des adultes pour éviter de se heurter aux opposants de l'utilisation de cellules souches de foetus issus d'avortement. Le professeur Bal Dhillon de la clinique Princesse Alexandra d'Edimbourg, en collaboration avec l'hôpital général Gartnavel de Glasgow, doit débuter d'ici un mois des tests sur un traitement de la cécité cornéenne à partir de cellules souches prélevées sur des donneurs adultes décédés.

    ReNeuron, qui fabriquera les cellules, préfère utiliser des cellules de fœtus plutôt que d’adultes, car elles seraient "plus adaptables". Les cellules souches sont capables de se transformer en n’importe quel type de tissu humain. Les tests réalisés sur des rats ont montré la capacité des cellules souches à rendre leur mobilité aux animaux handicapés par une attaque. Les scientifiques espèrent qu’une seule injection pourra apporter une réelle amélioration à long terme pour l’homme.

    La polémique naît donc sur l'utilisation des foetus comme simple matériel médical. Rien n'est communiqué sur l'accord éventuel des mères.
    D'autres polémiques étaient déjà nées sur l'utilisation des foetus par les industries cosmétiques.
     Les groupes anti-avortement ont vivement condamné ces essais. Si même toutes les cellules ne sont issues que d’un seul fœtus, ces groupes dénoncent « une vie sacrifiée pour des bénéfices hypothétiques ».
    La Grande-Bretagne, par le biais de son Agence nationale de régulation des produits de santé et médicaments, est le premier pays du monde à donner cette possibilité à des scientifiques. La Grande-Bretagne a une législation particulièrement laxiste en matière de bioéthique.

    (Sources : Maxiscience via Yahoo Actualité - Avortementivg.co)
    La peau de foetus utilisée pour greffer de grands brûlés:
    Demain, des mères (qu'on ne peut qualifier que de femelles humaines) avorteront volontairement pour procurer aux médecins de la "peau de foetus" et se feront peut-être rémunérer pour ce crime.
    On voit toutes les dérives que peut prendre l'avortement volontaire dit IVG. Les foetus tués in utero deviendront sources de greffons pour développer la recherche médicale et améliorer la vie d'autres humains ... Mais eux n'auront pas eu le droit de vivre.
    Culture de mort!

  • VIDEO Le médecin palestinien revient chez lui où ses trois filles ont été tuées ...

    http://www.wat.tv/video/toubib-palestinien-revient-17xfp_14e2h_.html

  • Les armes au phosphore de Tsahal

    Armée israëlienne achève son retrait le 21 janv 09.jpg
    L'armée israélienne achève son retrait  mercredi 21 janvier 2009
    Chars planqués frontière de Gaza 21 janv 09.jpg
    Chars à la frontière de Gaza le 21 janvier 2009

    Plus aucun soldat israélien ne foule le sol de la bande de Gaza. C'est en tout cas ce qu'annonce mercredi l'armée, qui précise toutefois que des forces restent déployées le long de la frontière "pour faire face à toute éventualité". Les combats dans la bande de Gaza ont cessé dimanche à la faveur d'un cessez-le-feu qu'Israël et les groupes armés palestiniens, dont le Hamas qui contrôle le territoire, avait décrété chacun de son côté.
     
    Plus de 1300 Palestiniens ont été tués dans l'offensive israélienne, la plus vaste jamais menée par Israël dans la bande de Gaza. Et certains d'entre eux ont été victime d'obus au phosphore, des armes très critiquées par la communauté internationale. Selon le quotidien libéral israélien Haaretz, Tsahal enquête sur une éventuelle utilisation "fautive" par une unité de parachutistes d'une vingtaine d'obus de ce type dans une zone peuplée dans le nord de la bande de Gaza. Un porte-parole de l'armée a démenti qu'il y ait une "enquête officielle"...
     
    Brûlures de la peau, foie, cœur ou rein endommagé
     
    Selon des sources militaires citées par le journal, l'armée a tiré deux types d'obus contenant du phosphore : des obus d'artillerie fumigènes contenant une faible quantité de phosphore, et des obus de mortier à forte concentration de phosphore. Une vingtaine d'obus de ce second type, qui causent des brûlures très graves, ont été tirées sur des quartiers de la localité de Beit Lahiya, selon le journal.
     
    L'organisation Amnesty International, dont une équipe s'est rendue dans le territoire palestinien, accuse l'Etat hébreu de "crimes de guerre" pour avoir usé des obus de phosphore. "Nous avons vu des rues jonchées de débris, qui prouvent l'utilisation de phosphore blanc, y compris des particules incandescentes et des restes d'obus tirés par l'armée israélienne", a déclaré un expert en armement qui faisait partie de l'équipe d'Amnesty. L'exposition à ce produit toxique peut se révéler fatale. Il peut provoquer des brûlures de la peau et endommager le foie, le coeur ou les reins. L'équipe d'Amnesty affirme avoir trouvé des particules de phosphore et des obus qui les contenaient à l'intérieur et à proximité de maisons et bâtiments, dont notamment trois obus au phosphore près du complexe de l'agence de l'ONU pour l'aide aux réfugiés palestiniens à Gaza-ville.
     
    Enquête sur l'utilisation de munitions à uranium appauvri. L'agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) va ouvrir, à la demande des États arabes, une enquête sur des allégations selon lesquelles Israël aurait utilisé des munitions à uranium appauvri durant son offensive à Gaza. "Nous allons enquêter sur le sujet dans la mesure de nos compétences", affirme la porte-parole de l'agence onusienne, Melissa Fleming. La requête a été présentée lundi au nom des pays arabes par l'Arabie saoudite, sous la forme d'une lettre que l'AIEA "est en train de diffuser auprès des États membres". La forme précise de l'enquête sera établie après consultation de ceux-ci, indique Mélissa Fleming.

    Quel réglementation pour ces bombes au phosphore ?

    Les bombes au phosphore blanc ne sont interdites par aucun traité international, en dépit de leur caractère controversé. La manière dont ces armes incendiaires sont utilisées est en revanche réglementée par la Convention sur les armes classiques de 1980, plus spécifiquement par le protocole III "sur l'interdiction ou la limitation des armes incendiaires", entré en vigueur en 1983 mais auquel Israël n'a pas souscrit. Le texte prohibe leur utilisation dans les zones peuplées de civils. L'armée israélienne n'a pas démenti avoir usé des obus au phosphore, soulignant toutefois n'utiliser que des armes non prohibées par les conventions internationales.

  • Israël sait déjà qu'il n'y aura pas de "changement" avec Obama...

    BHO en visite à Sdérot - Israêl le 23 juillet 2008.jpg
    Barack Obama, un mondialiste sioniste convaincu - A Sdérot (sud Israël) le 23 juillet 2008

    Israël ne s'attend pas à un changement de la politique américaine au Proche-Orient sous l'administration du nouveau président Barack Obama, a déclaré mercredi le vice-Premier ministre Haïm Ramon.

    "La politique des Etats-Unis ne va certainement pas changer sur le fond", a estimé M. Ramon, dans une interview à la radio publique.

    "Cette politique se fonde sur deux principes: "la lutte contre le terrorisme et la nécessité de parvenir à une paix sur la base de deux Etats", israélien et palestinien", a-t-il souligné.

    De son côté, le député du Likoud Yuval Steinitz, un dirigeant du principal parti de l'opposition de droite, a rappelé les déclarations de soutien à Israël de Barack Obama durant sa campagne.

    "Je suis convaincu qu'après les élections de février, Barack Obama aura d'excellents rapports avec Benjamin Netanyahu à la tête de l'Etat, avec lequel il avait eu des entretiens fructueux", a ajouté M. Steinitz.

    L'ancien Premier ministre Benjamin Netanyahu, leader du Likoud, est le grand favori selon les sondages pour former le prochain gouvernement après les législatives anticipées du 10 février en Israël.

     M. Netanyahu avait lui-même estimé mardi que M. Obama comprenait la "détresse" des Israéliens et la "cruauté des ennemis que nous combattons" en allusion aux islamistes palestiniens du Hamas contre lesquels l'armée israélienne a mené une opération (27 décembre- 17 janvier) dans la bande de Gaza qui a fait plus de 1.300 morts...

    M. Obama avait déclaré dimanche qu'il mettait en place une équipe qui puisse s'engager immédiatement dans "le processus de paix" au Proche-Orient, dès son investiture le 20 janvier.

    Selon le Washington Post, il prévoit de nommer le sénateur à la retraite George Mitchell, artisan de la paix en Irlande du Nord, comme envoyé spécial pour le Proche-Orient, chargé en particulier du conflit israélo-palestinien.

    Dans un rapport qu'il avait préparé en 2001 sur les causes de la seconde Intifada palestinienne, M. Mitchell avait recommandé des mesures de confiance, un retour aux négociations de paix et un gel total de la colonisation juive dans les territoires palestiniens occupés. Cette dernière exigence est complètement rejetée par le Likoud.

    Au cours des dernières semaines, M. Obama a "résisté aux pressions" pour qu'il s'exprime sur l'offensive israélienne, expliquant qu'il n'y avait "qu'un président à la fois" aux Etats-Unis. Il n'en a pas fait mention dans son discours d'investiture.

    Son prédécesseur George W. Bush avait toujours apporté un appui inconditionnel à Israël. Le Premier ministre israélien sortant Ehud Olmert lui a rendu un vibrant hommage en novembre affirmant que "son nom restera gravé en lettres d'or pour de longues années dans le coeur d'Israël".

    AFP.21.01.09

  • LOUIS XVI, ROI DE FRANCE ET MARTYR

    LouisXVIexecution guillontine 21 janv 1793.jpg
    Le 21 janvier 1793, une date fatale pour la France
    Louis XVI, âgé de 38 ans, est exécuté le 21 janvier 1793 sur la place de la Révolution (précédemment place Louis XV, aujourd'hui place de la Concorde).

    Le roi martyr meurt en homme digne et courageux.

    Les mains liées dans le dos, il s'avance vers le bord de l'échafaud et lance à la foule : «Français, je meurs innocent ; je pardonne à mes ennemis ; je désire que ma mort soit...» Un roulement de tambour couvre ses dernières paroles.

    Sitôt Louis XVI décapité, le bourreau montre sa tête à la populace et celle-ci répond par un cri : «Vive la nation ! Vive la république !»

     
  • Jean-Marie le Pen: lourde peine de prison avec sursis confimée en appel!

    Le Pen - prison - 21 janv 09.jpg

    Jean-Marie Le Pen, qui avait déclaré que l'Occupation allemande en France n'avait pas été "particulièrement inhumaine", a vu mercredi sa peine de prison avec sursis confirmée, la cour d'appel considérant qu'il avait minimisé les crimes commis par les Nazis.

    Voyant dans cette décision "une atteinte extraordinaire à la liberté d'expression", son avocat, Me Wallerand de Saint-Just, a indiqué qu'il se pourvoirait en cassation, voire devant la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) où il espère que son client pourra "bénéficier d'un climat plus favorable".

    Il a rappelé que la semaine dernière, la CEDH avait condamné la France dans l'affaire Aussarresses, estimant que l'ancien général ne s'était pas rendu coupable d'apologie de crimes de guerre, en évoquant dans un livre la torture en Algérie.

    Le 8 février 2008, le tribunal correctionnel de Paris avait reconnu Jean-Marie Le Pen coupable de "complicité d'apologie de crimes de guerre" et de "contestation de crime contre l'Humanité", à la suite de propos publiés en janvier 2005 dans l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol.

    Les magistrats l'avaient condamné à 10.000 euros d'amende et trois mois de prison avec sursis, une peine extrêmement lourde en la matière.

    Le président du Front national avait notamment déclaré : "En France du moins, l'Occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine, même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550.000 kilomètres carrés".

    Il avait également présenté une version jugée choquante du massacre d'Ascq, perpétré dans la nuit du 1er au 2 avril 1944, et durant lequel 86 Français avaient été fusillés en représailles au déraillement d'un train allemand.

    Concernant le massacre d'Ascq, a jugé la cour, M. Le Pen l'a certes raconté d'une manière approximative, mais il ne l'a pas pour autant jugé favorablement. Pas plus qu'il n'a tenté de réhabiliter cet épisode qu'il qualifie lui-même de "massacre".

    La 11e chambre l'a donc relaxé de "complicité d'apologie de crimes de guerre", qui était le chef de poursuites retenu par le parquet.

    En revanche, elle a confirmé l'analyse du tribunal pour les faits de "complicité de contestation de crimes contre l'Humanité", poursuivis par l'association des Fils et filles de déportés juifs de France (FFDJF), qui a déposé la plainte initiale.

    Elle a considéré que M. Le Pen avait bien minimisé de façon outrancière les exactions commises par les nazis et laissé entendre que la Gestapo avait joué en France un rôle protecteur de la population.

    A l'audience du 29 octobre, Jean-Marie Le Pen avait dénoncé un "procès d'intention", estimant que les propos qu'il avait tenus n'étaient "pas monstrueux". Il avait également soutenu que les propos poursuivis étaient "une conversation à bâtons rompus" que Rivarol n'aurait pas dû publier. La cour a rejeté ces arguments.

    Elle a, par ailleurs, confirmé les peines d'amende (respectivement 2.000 et 5.000 euros) du journaliste Jérôme Bourbon et de la directrice de publication de Rivarol, Marie-Luce Wacquez (Camille Galic), pour avoir publié ces propos.

    L'avocat de la FFDJF, Me Olivier Maudret, s'est réjoui d'un tel arrêt qui "confirme que le délit poursuivi peut l'être y compris lorsqu'il est commis par voie d'insinuations, même lourdingues".

     

    AFP. 21.01.09
  • Un octogénaire se pend à la clinique - on appelle la police 9 heures plus tard!

    Un homme de 86 ans, hospitalisé à la polyclinique Saint-Claude de Saint-Quentin (Aisne) a été retrouvé pendu dans sa chambre, dans la nuit de jeudi à vendredi.

    Si l’octogénaire a bien  été découvert au cours de la nuit, les services de police quand à eux n’ont été avertis que neuf heures plus tard…

    Et quand les policiers sont arrivés sur les lieux du suicide, ils ont constaté que la victime avait été détachée, ce qui n’est pas la règle en matière de suicide.

    En effet, en cas de suicide, la police doit être prévenue immédiatement pour procéder aux premières constatations.

    Ce qui n’a pas été le cas à la polyclinique Saint-Claude.

    Face à ce dysfonctionnement, le parquet de Saint-Quentin a ouvert une information judiciaire en recherche des causes de la mort.

    Une autopsie devrait être pratiquée sur le corps de la victime dans les prochains jours.

    Le Post - 18 janvier 2009

    Comment ce vieil homme s'est-il pendu? Il n'y avait donc aucune surveillance...

    Pourquoi la police n'a-t-elle été appelée que neuf heures plus tard?  

    Que s'est-il passé entre-temps?

    Voilà le sort des vieux en France...Ca n'empêche pas la pimpante Bachelot de dormir!

  • "Yes! Oui! Kahn!"

    Courrier Picard Dessin-d-Alex-du-20090120_medium.jpg
    Dessin d'ALEX dans Le Courrier Picard - 20 janvier 2009

  • VIDEO Hommage aux ambulanciers de Gaza

    http://www.dailymotion.com/video/x82yac_exclusif-avec-un-ambulancier-gaza_news

    Malgré toutes les précautions oratoires, les images parlent d'elles-mêmes!

  • La Planète des Obamas

    Obama feme vendant T-sh à HARLEM 20 Janv 09.jpg
    Femme vendant des T-shirts à Harlem  - 20.01.09
    Obama supporters noirs à W 20 janv 09.jpg
    Supporters à Washington  - 20.01.09
    Obama tee-shirt 20 janv.jpg
    Washington - 20.01.09
    Obama soldat Us pleurant Bagdad.jpg
    Soldat US pleurant devant la télévision en Irak près de Bagdad
    Obama en famille 20 janv 09.jpg
    Avant de prêter serment - 20.01.09
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

  • Julien Dray est protégé par la police!

    Julien DRAY sous surveillance policière pour le protéger.jpg

    Julien Dray bénéficie depuis le week-end dernier d'une discrète protection policière, a révélé mardi matin RTL. Cette surveillance avait été réclamée par Me Léon-Lef Forster, l'avocat du député socialiste de l'Essonne. Visé par une enquête préliminaire pour abus de confiance, Julien Dray aurait en effet reçu des menaces, notamment à caractère antisémite.

     

    Selon l'avocat, il s'agit non pas d'une escorte permanente, mais de «surveillances renforcées», avec des patrouilles plus nombreuses dans le quartier où vivent le parlementaire et sa famille. Ce dispositif se justifie, selon lui, par les mises en causes répétées de Julien Dray dans les médias et notamment la diffusion d'attaques antisémites sur Internet.

    leparisien.fr -20.01.09

     Internet, c'est la plus dangereuse des inventions