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Blog - Page 346

  • A l’hôpital, le discours FN gagne du terrain

    20h37

    La santé, nouvelle terre de conquête pour le Front national ? Mardi 17 mai, le parti lance un collectif consacré à ses « usagers », au premier rang desquels figurent les personnes âgées, en majorité rétives à voter pour la formation dirigée par Marine Le Pen. Une opération séduction qui ne se limite pas à ce seul électorat. Elle s’accompagne d’un discours en direction des personnels hospitaliers.

    Il Le malaise à l’hôpital n’est pas un phénomène nouveau, mais désormais, il y a le « contexte général », celui d’une « libération » de la parole aussi dans les établissements, même si le FN n’y a pas de relais. [...] Nous avons de plus en plus de gestion de conflits autour du racisme envers les personnels, mais aussi envers les patients. » « Les gens ne se cachent plus. Le FN, ce n’est plus un vote sanction, ça devient de plus en plus pérenne… », raconte Jean-Marc Devauchelle, secrétaire général de SUD Santé Solidaires de l’AP-HP.

     

    Selon la troisième vague de l’enquête du Cevipof sur la présidentielle 2017, menée en mars, près de 25 % des agents de la fonction publique hospitalière ont l’intention de glisser un bulletin « Marine Le Pen » dans l’urne au premier tour du scrutin – dans l’hypothèse où Alain Juppé et François Hollande seraient candidats (ces derniers obtiendraient 29,8 % et 14,4 % des voix). La présidente du FN recueille même 38 % des intentions de vote parmi les actifs de catégorie C (agents techniques et administratifs, aides-soignants…), tandis que l’actuel chef de l’Etat n’en attire, lui, que 7 %. [...]

    « Le discours actuel est trop économique, pas assez porté sur les soins », abonde un directeur d’établissement. L’instauration de la tarification à l’activité dans les hôpitaux qui a imposé un discours plus financier, est passée par là. Une réforme que M. Hollande avait promis d’amender, et que Mme Le Pen promet d’abroger en cas de victoire en 2017. [...]

    D’autres évoquent des professionnels en première ligne face aux problèmes de laïcité – un sujet que Mme Le Pen ne se prive pas d’enfourcher. « Il y a parfois un double discours » de la part des directions, explique M. Rouban, selon qui ces dernières ont tendance à lâcher du lest sur le sujet pour éviter les conflits. Et de pointer une « sorte d’anomie », de « perte de repères » dans le milieu hospitalier.

    Le Monde

  • Le Chesnay (78) : le centre des migrants jette un froid

     

    21h10

    Les habitants du Chesnay ont découvert qu’une plate-forme pour migrants allait bientôt être créée. Surpris, ils demandent des comptes et exigent de la sécurité.

    Les riverains de la rue Laurent-Gaudet du Chesnay et les parents d’élèves du prestigieux groupe scolaire Saint-Jean-Hulst de Versailles sont inquiets. À la surprise générale, ils viennent d’apprendre que la préfecture allait ouvrir une Plate-forme d’accueil pour les demandeurs d’Asile (Pada). Elle se situera sur le territoire du Chesnay, à 20 mètres de la frontière avec Versailles. Mais le plus perturbant pour eux est le délai de lancement du site. « Si nous n’avions pas réagi, cela aurait été mardi prochain, s’indigne une habitante. La décision est très rapide et nous n’avons aucune information sur ce qui va se passer. »

    C’est donc cette carence qu’une centaine de personnes a voulu pallier en attendant de pied ferme le maire, Philippe Brillault, et le secrétaire général de la préfecture.

    Ce mardi 17 mai, une véritable réunion publique s’est tenue sur le bitume, juste en face de l’immense façade grise. Dans la cour, les ouvriers poursuivaient l’installation de grilles vertes et les travaux intérieurs de peinture.

    (…) 78actu.Fr

  • Finkielkraut réagit à la polémique Black M : « Une grande fête d’Auschwitz avec Booba ou Nekfeu ? »

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    17h26

     

    « Le tout-festif est le grand cauchemar de notre temps. Il s’agissait de commémorer à Verdun le centième anniversaire d’une des batailles les plus effroyables et les plus meurtrières de l’histoire des hommes. La commémoration suppose le recueillement et voilà que l’on imagine, pour clore les cérémonies, une fête, car les jeunes, nous dit-on, ont d’autres valeurs et d’autres références que les adultes : ils ne peuvent se souvenir qu’en dansant. Si tel est le cas, il faut prévoir, pour sensibiliser la jeunesse à la Shoah, une grande fête d’Auschwitz, avec Booba ou Nekfeu en guest-stars.

    (…) Le Point

  • À l'École des elfes en Islande

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    Les volcans, très utile pour produire les ressources énergétique de l'Islande © iStock

     

    16/05/16 à 10:49 - Mise à jour à 10:48

     

    Hôtes de la lande battue par les vents, les elfes nourrissent depuis des temps immémoriaux les contes populaires d'Islande dont les habitants vous diront, quoi qu'on en pense, qu'ils apparaissent à ceux qui savent les voir.

     

    Des chantiers modifiés pour ne pas les déranger, des pêcheurs qui évitent de sortir en mer avant une tempête grâce à leurs augures: ces créatures font partie de la vie de tout un pays.

    Alors, les elfes existent-ils? Magnus Skarphedinsson, après des décennies passées à rassembler des témoignages, est convaincu que oui, et transmet son savoir en tant que "professeur principal" de l'École des elfes à Reykjavik.

    "Il n'y a pas de doute qu'ils existent!", lance ce solide gaillard de 60 ans à ses "élèves", des touristes venus tenter de comprendre une croyance qui les fascine.

    Qu'est-ce qu'un elfe? Un être, plus petit qu'un homme, qui vit dans la nature, et en général ne parle pas. Mais il y a aussi les "Huldufólk" ("peuple caché"), plus proches de l'apparence humaine, et qui parlent "presque tous", en islandais.

    Pour convaincre qu'il ne s'agit pas que de mythes, l'anthropologue rapporte, à la manière d'un conteur, deux témoignages.

    Le premier est celui d'une femme qui a connu un pêcheur doté du pouvoir de voir les elfes, eux-mêmes pêcheurs. Un matin de février 1921, il constate que les elfes ne partent pas en mer. Il convainc les autres de ne pas partir, mais le patron ne veut rien entendre. Une tempête d'une rare violence se déchaîne ce jour-là dans l'Atlantique. Quand les pêcheurs, restés près des côtes, reviennent sains et saufs, leurs proches n'en croient pas leurs yeux.

    En juin 1928, les elfes, une nouvelle fois, ne partent pas pêcher. Mais jamais on n'a vu de méchant coup de tabac en cette saison. Obligés encore par leur patron à sortir en mer, les pêcheurs naviguent effectivement sur des eaux calmes. Seul souci: c'est un jour sans poisson, et "les elfes le savaient", assure l'anthropologue.

    L'autre "témoin" est une octogénaire: en 2002, elle croise un jeune adolescent assurant la connaître. Où nous sommes-nous rencontrés? demande-t-elle. Et lui de citer une adresse où elle n'habite plus depuis 53 ans et où sa fille disait jouer autrefois avec un garçon invisible pour les autres. "Mais maman, c'est Maggi!" (diminutif de Magnus), lui dira sa fille quand elle lui décrira le garçon. "Il avait vieilli cinq fois moins vite qu'un être humain", calcule M. Skarphedinsson.

    Accord officiel avec les elfes

    Si des enquêtes montrent qu'un Islandais sur deux à peu près croit aux elfes, "la plupart des gens disent qu'ils ont entendu ça de leurs grands-parents quand ils étaient enfants", remarque Michael Herdon, Américain de 29 ans.

    Comme l'écrit Iceland Magazine, les ethnologues ont constaté qu'il était rare qu'un Islandais y croie vraiment, mais souvent difficile de le lui faire avouer.

    "La plupart des gens font très attention quand ils entrent dans un territoire connu pour abriter des elfes", soulignait cette publication anglophone en septembre.

    C'est aussi le cas des entrepreneurs de travaux publics. Cela peut faire sourire ailleurs, mais le respect de l'habitat des elfes est une question posée chaque fois que l'on construit dans la superbe campagne islandaise, au milieu des champs de lave ou des landes sauvages.

    Le promoteur de l'École des elfes raconte l'histoire en 1971 du chantier de la nationale qui part de Reykjavik vers le nord-est, perturbé visiblement par les elfes qui refusaient la destruction d'un rocher où ils vivaient.

    "Ils ont trouvé un accord en fin de compte pour que les elfes quittent le rocher pendant une semaine et qu'on le bouge de 15 mètres. (...) C'est probablement le seul pays dans le monde dont le gouvernement a officiellement parlé aux elfes".

    D'après lui, l'Islande est pourtant loin d'être le seul lieu où ils habitent. Elle a seulement une population (humaine) plus réceptive aux témoignages.

    "La vraie raison, c'est que les Lumières sont arrivées très tard en Islande. Dans d'autres pays, on dit que les témoins sont sujets à des hallucinations: c'est l'arrogance scientifique occidentale, le déni de tout ce qu'on n'a pas découvert soi-même", tempête M. Skarphedinsson.

  • Eric Zemmour : « L’Angleterre du Brexit, c’est l’Egypte de la Bible »

     

     

    17/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Eric Zemmour a raillé ce matin la campagne contre le Brexit menée par la City comme par Christine Lagarde pour le FMI, et, bien sûr, par l’Union européenne. A entendre les arguments des partisans du maintien de l’Angleterre dans l’Union européenne, une victoire du Brexit serait « Apocalypse now, ou plutôt Apocalypse tomorrow. Brexit is not good ! ». Zemmour caricature à peine la propagande anti-Brexit quand il dit : « Les Londoniens mangeront des rats, comme les Parisiens lors du siège de Paris en 1870 par l’armée prussienne. »

    Il y a 25 ans, le traité de Maastricht devait apporter prospérité et félicité en Europe. Un million d’emplois allaient être créés rien qu’en France se souvient-il. Hélas… D’où cette forte sentence : « Maastricht, c’était la Terre promise par Dieu au peuple hébreu où coule le lait et le miel, un paradis sur terre. L’Angleterre du Brexit, c’est l’Egypte de la Bible : on la menace des dix plaies si elle laisse sortir son peuple d’Europe. »

    Conclusion : « L’Europe est devenue une question de foi, c’est ce qui reste quand on a tout perdu. »

  • Casseurs : à Paris, la justice annule les interdictions de manifester

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    Le tribunal administratif de Paris a suspendu mardi neuf des dix arrêtés interdisant à des militants antifascistes de se joindre aux manifestations contre la loi El Khomri. Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a annoncé que 53 arrêtés d'interdiction de manifester avaient été pris dans toute la France.

     
     

    Sérieux revers pour le ministre de l'Intérieur: le tribunal administratif a suspendu mardi neuf arrêtés sur dix émis par le préfet de police de Paris, Michel Cadot, qui empêchaient des militants antifascistes de se joindre aux manifestations contre la loi El Khomri.

    Dans ses neuf ordonnances de rejet, le juge relève que ces interdictions constituent une «atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d'aller et venir et à celle de manifester». Dans le dixième cas étudié, les magistrats ont maintenu l'interdiction, estimant que la personne concernée «ne conteste pas sérieusement les agissements graves et précis qui lui sont reprochés», en l'occurrence des violences contre deux militaires, lors de précédents rassemblements.

    «L'État ne doit pas céder»

    Pour Patrice Ribeiro, patron de Synergie-Officiers, «ces suspensions d'interdiction de manifester risquent de donner un sentiment de pouvoir et une légitimité à des gens qui s'en prennent aux forces de l'ordre. C'est un très mauvais signal envoyé alors qu'une série de manifestations commence. Mais ce n'est qu'un jugement de première instance...»

    Jean-Claude Delage, patron d'Alliance (premier syndicat de police) renchérit: «l'État ne doit pas céder, car nous sommes confrontés ici à une forme de terrorisme de rue. Au besoin, il faudra faire voter des textes plus adaptés.»

    Manque de preuves

    Le gouvernement avait donc choisi de s'appuyer non pas sur l'article 6 de la loi sur l'état d'urgence, qui autorise des «assignations à résidence», mais sur l'article 5, qui permet d'interdire de «séjour» un suspect. Encore faut-il pourvoir le justifier, car l'état d'urgence a été voté au nom de l'antiterrorisme et non pour museler une fronde sociale.

    «La justice a reconnu que la quasi-totalité des arrêtés émis n'étaient pas solides», a déclaré l'un des avocats des militants mis en cause. Pour étayer son raisonnement aux allures de syllogisme, le préfet, qui alléguait des violences, a manqué de preuves. Mardi, Bernard Cazeneuve a annoncé que 53 arrêtés d'interdiction de manifester avaient été pris dans toute la France.

    LE FIGARO

  • EN DIRECT. Loi Travail : incidents lors des manifs, 87 interpellations

    http://www.leparisien.fr/economie/en-direct-loi-travail-nouvelle-journee-de-manifestations-ce-mardi-17-05-2016-5802461.php

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     Hollande déclare qu'il ne cédera pas

  • L'Etat prêt à mettre « les moyens » pour sécuriser un concert de Black M à Verdun, assure Hollande

    L’Etat est prêt à mettre « les moyens » pour sécuriser un éventuel concert de Black M à Verdun, a indiqué le président de la République François Hollande au micro d’Europe 1, ce mardi matin. « Si le maire voulait – c’est à lui d’en décider – eh bien l’Etat mettrait les moyens pour sécuriser le concert », a dit le chef de l’Etat.

    Le maire « a subi des pressions (…) inouïes de violences, de haine parce que c’était Black M qui avait été choisi », a remarqué François Hollande. « Ne voulant pas créer d’incident, voulant sans doute préserver l’ordre public, il y a renoncé (…) C’est sa seule décision, puisque l’Etat n’avait pas à en connaître. »

    Le rappeur et membre du groupe Sexion d’Assaut Black M devait se produire le 29 mai, après la cérémonie de commémoration de la bataille de Verdun, à laquelle sont attendus le président François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel.

    Cette programmation avait suscité l’indignation de nombreux élus, essentiellement d’extrême droite et de droite. Après plusieurs jours de polémique, le maire de Verdun Samuel Hazard a annulé le concert, justifiant cette annulation par des « risques forts de troubles à l’ordre public », entraînant de vives réactions à gauche

    BV

    Hollande ne comprend-il pas que Verdun n'est pas un lieu où l'on a envie de s'amuser et de "faire la fête" ? Un peu de respect pour les morts quand on est le président de la France!

  • Montpellier (34) : contrôlé sans ticket, il injurie les contrôleurs de « sales Français de merde »

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    17h52

    L’homme était sorti de geôle cinq jours plus tôt. Le voilà reparti pour dix mois ferme, dans cette affaire de fraude dans le tramway.

     

    « Ben, c’était mardi. J’ai pris le tram pour aller à ma formation. À Saint-Denis, les contrôleurs faisaient leur travail. Ils m’ont contrôlé. J’avais pas de carte. Ils m’ont demandé de sortir, je suis sorti. J’étais énervé. J’avais pas eu le temps de faire ma carte… », raconte le jeune homme depuis le box de la correctionnelle.
    Six condamnations en cinq ans

    Là où, quatre mois plus tôt, il se trouvait déjà pour des faits similaires. À l’endroit de policiers à l’époque, ce sont des agents de Tam qui, cette fois, ont subi sa violence, mardi dernier donc, au matin. Ajoutant aux insultes “plus traditionnelles” un « Sale Français de merde ! ». Finissant par les outrager et leur lancer des propos racistes.

    (…) Le Midi Libre

    (Merci à Ski)

  • VIDEO - Gérard Depardieu : « j’ai honte d’être Français »

    https://youtu.be/Jz71i_-w090

     

    18h47

    Gérard Depardieu était de retour dimanche sur la Croisette avec « Tour de France ». Présenté dans la sélection parallèle de la Quinzaine des réalisateurs, ce second film de Rachid Djaïdani -après « Rengaine », fiction coup de poing sur le racisme entre Noirs et Arabes remarquée à Cannes en 2012- a été abondamment applaudi dimanche. « J’ai honte d’être français », a lancé, chancelant, le monstre sacré du cinéma français en évoquant les "souffrances causées en Algérie et en Indochine".

     

  • Le pape reproche à la France «d'exagérer la laïcité»... envers l'islam

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    Le pape François effectuera une visite en France au printemps 2017. Crédits photo : Alessandra Tarantino/AP

    Dans un entretien à La Croix, François prend également la défense du cardinal Barbarin qui «a pris les mesures qui s'imposaient».

     
     

    Après une première interview à un média français donnée à Paris Match, le pape François a accordé un entretien au quotidien catholique La Croix daté du mardi 17 mai. Il y annonce en tout premier lieu un voyage en France, pays dont il dresse un éloge intellectuel quant à son apport au catholicisme. Ce voyage est prévu après l'élection présidentielle des 23 avril et 7 mai 2017. Avec trois étapes probables, Marseille, Lourdes et Paris. Voici ce que dit le pape à La Croix : «J'ai reçu il y a peu une lettre d'invitation du président François Hollande. La Conférence épiscopale m'a aussi invité. Je ne sais pas quand aura lieu ce voyage car l'année prochaine est électorale en France et, en général, la pratique du Saint-Siège est de ne pas accomplir un tel déplacement en cette période. L'an dernier, quelques hypothèses ont commencé à être émises en vue d'un tel voyage, comprenant un passage à Paris et dans sa banlieue, à Lourdes et par une ville où aucun pape ne s'est rendu, Marseille par exemple, qui représente une porte ouverte sur le monde.»

    L'autre confirmation importante de cette interview est le soutien que le Pape donne au cardinal Philippe Barbarin. Sans attendre le résultat de l'enquête préliminaire qui vise cet archevêque et plusieurs cadres du diocèse de Lyon à la suite d'affaires de prêtres pédophiles, le pape François, qui connaît depuis longtemps ce cardinal, lui exprime toute sa confiance: «Il est vrai qu'il n'est pas facile de juger des faits après des décennies, dans un autre contexte. La réalité n'est pas toujours claire. Mais pour l'Église, en ce domaine, il ne peut y avoir de prescription. (…) D'après les éléments dont je dispose, je crois qu'à Lyon le cardinal Barbarin a pris les mesures qui s'imposaient, qu'il a bien pris les choses en main. C'est un courageux, un créatif, un missionnaire. Nous devons maintenant attendre la suite de la procédure devant la justice civile.» Interrogé sur la démission du cardinal, François est très net: «Non, ce serait un contresens, une imprudence. On verra après la conclusion du procès. Mais maintenant, ce serait se dire coupable.»

    «Une femme musulmane doit pouvoir porter le voile»

    Dernier axe fort de cette interview, qui permet par ailleurs de mieux comprendre la vision du Pape sur la France, la question des racines de l'Europe, des migrants, de l'islam et de la laïcité. Le pape François reconnaît les «racines» de l'Europe mais «au pluriel». Quand il entend parler «de racines chrétiennes de l'Europe», il «redoute» une vision «triomphaliste ou vengeresse», «colonialiste». Bien sûr l'Europe ne peut pas «ouvrir grandes les portes de façon irrationnelle» aux migrants, il faut être «juste et responsable», mais «le pire» serait de les «ghettoïser» alors «qu'il faut au contraire les intégrer». Quant à l'islam, il pense «sur le fond que la coexistence entre chrétiens et musulmans est possible. Je viens d'un pays où ils cohabitent en bonne familiarité», et précise: «Si une femme musulmane veut porter le voile, elle doit pouvoir le faire. De même, si un catholique veut porter une croix.» Il conclut: «La petite critique que j'adresserais à la France à cet égard est d'exagérer la laïcité. (…) La France devrait faire un pas en avant à ce sujet pour accepter que l'ouverture à la transcendance soit un droit pour tous.»

    LE FIGARO

     

  • La Rouge Hermine par les Brigandes

    A écouter sans modération !

    (merci à Dirk)

  • De Verdun à Cannes : le triomphe du dérangeant

     

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    Comme si le but de la vie sociale, du culte du passé, de la saveur du présent, de l’art était de « déranger ».


    Magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole

     
     

    Ainsi, depuis quelques jours, parce que le rappeur Black M avait été invité à chanter le 29 mai à Verdun pour, croyait-on, "la commémoration du centenaire et en souvenir des centaines de milliers de morts pour la France", une controverse qui n’avait pas été suscitée que par l’extrême droite, avait pris de l’ampleur […].

    Le maire de Verdun, le socialiste Samuel Hazard, confirmait que sa future présence résultait d’un "choix collégial et unanime" validé par la Mission du Centenaire, l’Etat, le département et la région lors d’un comité interministériel.

    En raison des "risques forts de troubles à l’ordre public" et de cette effervescence "de haine et de racisme" imputée principalement par le maire à l’extrême droite, la venue de Black M était annulée et on apprenait que son concert était prévu dans la soirée pour 4000 jeunes et qu’il n’avait pas de lien avec "l’hommage mémoriel".

    Faut-il […] continuer à s’étonner que, pour une telle journée et en suite d’une aussi solennelle et grave cérémonie, un accord unanime ait pu accepter un tel concert et avec ce rappeur ? Convient-il de se féliciter parce que l’impudeur et l’indécence n’étaient pas allées jusqu’à une inacceptable confusion ou cependant déplorer que personne n’ait songé, dans ce processus du haut jusqu’en bas, de l’Etat à la mairie, à signaler l’aberration de ce tour de chant dont le rappeur précisait qu’il n’était fait que pour "donner du plaisir" ? Par quelle aberration pensait-on pouvoir distinguer, le 29 mai, aussi artificiellement, la conscience, le respect et la mémoire du divertissement et de la vulgarité ? […]

    Je ne peux pas m’empêcher de relever dans cette dérive officielle "le triomphe stupide du dérangeant", l’envie frénétique de s’échapper d’une belle et classique normalité, de provoquer, de surprendre et d’avoir une conception de la jeunesse, si médiocre qu’on l’aurait souhaitée prise par le rap plus que par l’Histoire.

    Le rapprochement que j’opère avec le Festival de Cannes n’est pas artificiel parce que "le triomphe stupide du dérangeant" y est en quelque sorte chez lui et qu’on a parfois l’impression, quand on voit après les films qui ont été sélectionnés, que, pour sa bonne santé et sa qualité, le cinéma devrait échapper au cinéma et cet art ne plus être confié aux seuls professionnels mais au moins faire une large place aux amateurs.

    Quand J’entends le cinéaste Alain Guiraudie déclarer avec un air de fierté que son film, le premier en compétition – Rester vertical – est dérangeant et que même certains critiques, qui généralement s’accommodent de tout, le trouvent trash, je m’inquiète. "On y filme en direct un accouchement, les sexes féminins et masculins sont filmés de très près et il y a une sodomie avec un mourant sur fond de musique planante " […]

    Comme si le but de la vie sociale, du culte du passé, de la saveur du présent, de l’art était de "déranger".

    Déranger est devenu l’alibi des "créateurs" qui n’ont que cette unique corde à leur arc […]. Le dérangement, comme tant d’autres procédés qui pourraient être valablement utilisés, sans en abuser, comme moyens de l’expression, s’est dégradé en une fin. […]

    Le triomphe stupide du dérangeant. Que tous ceux qui en profitent ne s’en plaignent pas et l’exploitent, soit. […] Mais que cette déliquescence du goût soit accompagnée, théorisée, magnifiée par des regards, des écoutes et des esprits qui devraient au contraire la dénoncer, c’est la tragédie d’aujourd’hui.

    Dans une telle critique, rien de réactionnaire ni de poussif. Seulement un désir de faire revenir au coeur la plénitude et la chaleur de l’humain, la force éblouissante de l’universel et de son partage avec tous.

    Rien qui dérange, tout qui exalte.

    Extrait de : Le triomphe stupide du dérangeant….

    BV

  • Point trop n'en faut

    Par Le veilleur de nuit de Délit d’images

    Après l’annulation du concert de Black M, faisant à nouveau preuve d’une amnésie de très mauvaise foi, la presse subventionnée se déchaîne, à l’instar du Monde, contre cette « fachosphère qui a fait annuler le concert ». Dans un parfait amalgame, lui aussi atteint d’une grave crise d’amnésie, oubliant les nombreuses insultes proférées par ce chanteur et le groupe Sexion d’assaut à l’encontre de la France, des Français… ramenant, par des mensonges éhontés, cette polémique à la couleur de derme de Black M et ses origines africaines… Notre salarié, le secrétaire d’Etat aux Anciens combattants, Jean-Marc Todeschini, que nul ne connaissait jusqu’alors, en profite pour se faire enfin un peu de pub, auprès des 12% d’électeurs restant au PS : « C’est un premier pas vers le totalitarisme, vers le fascisme », a-t-il osé claironner sur iTélé.

    « Je veux dire ma colère de voir qu’un déferlement de haine, d’injures et de menaces forcer un élu à annuler le concert d’un artiste dans un pays où la liberté d’expression et de création sont des valeurs et des droits fondamentaux », a-t-il ajouté dans un communiqué. « Ce déferlement de haine, d’injures et de menaces est indigne d’une démocratie et du respect que méritent les élus d’une ville dont la guerre a fait une martyre ».

    A aucun moment, l’un des responsables de cette programmation scandaleuse, par exemple Joseph Zimet, époux de Rama Yade et directeur de la mission du Centenaire de la Grande Guerre, n’a évoqué une erreur, une décision malencontreuse,… prouvant ainsi qu’il s’agissait bien d’un choix délibéré avec ses corollaires: haine de la France, acculturation, etc.

    Bien au contraire, la gauche bien-pensante continue à insulter ceux qui osent ne point penser comme eux!

    Il est « amusant » de constater combien alors que la décision fut semble-t-il collégiale, ils se renvoyaient tous la baballe. Courageux mais pas téméraires comme nous le verrons plus loin…

    Au même moment, Black M faisait part « de son incompréhension et de son inquiétude », dans une « lettre ouverte » publiée sur Facebook. Soudainement, il  rappelle que son grand-père a combattu durant la Deuxième Guerre mondiale parmi les tirailleurs sénégalais et déplore les « propos haineux » dont il a été victime ces derniers jours, se souvenant brutalement s’appeler Alpha Diallo, aimer ce pays de kouffar, de youpins et les pédés qui y vivent. Se poser en martyr quand l’on sait ce que fut l’enfer de Verdun…

     

    Commentant, dans l’Est Républicain, la décision (pour lui cruelle) d’annuler le concert Black M, Samuel Hazard, maire PS de Verdun, a osé ajouter : »je maintiens que Black M n’a pas entretenu de propos homophobes*. Mais ces explications ne sont pas entendues ».

    Malencontreusement, ces violents propos homophobes nous les avons entendus et ils ne peuvent être niés puisqu’enregistrés dans la chanson Désolé soit: « Je crois qu’il est grand temps que les pédés périssent, coupe leur le pénis, laisse les morts, retrouvés sur le périphérique ».

    Comme cela ne suffisait pas, lors d’une interview le leader du groupe avait exprimé très clairement leur homophobie car c’est « une déviance qui n’est pas tolérable ».

    Entre 2010 et 2013, nombre de médias, qui crient aujourd’hui au scandale quant à cette annulation, leur étaient alors tombés sur le dos, non ceux que la gochosphère qualifie de fachosphère mais des bien-pensants sponsorisés par vos deniers tels Les Inrocks ou le nouvel Obs, etc.

    Selon Charts in France: « Publiée en juin de cette année-là mais relayée au mois de septembre, l’interview du groupe de rap dans le magazine International Hip Hop avait créé une énorme polémique. « Pendant un temps, on a beaucoup attaqué les homosexuels parce qu’on est homophobe à 100% et qu’on l’assume. Mais on nous a fait beaucoup de réflexions et on s’est dit qu’il était mieux de ne plus trop en parler parce que ça pouvait nous porter préjudice » déclarait Lefa à l’époque, qualifiant l’homosexualité de « déviance qui n’est pas tolérable ». Devant l’ampleur de l’incident, plusieurs radios ont décidé de boycotter Sexion D’Assaut et plusieurs de ses concerts ont dû être annulés. Une période qui a visiblement été très difficile pour eux. « Je l’ai très mal vécu, je voulais disparaître, tout arrêter, le groupe aussi. Je me disais « On est mort » » a confié Maître Gims, assurant plus tard ne pas vouloir être un modèle. »

    Selon Le monde: « Les tubes, Désolé, Casquette à l’envers, ont squatté les ondes, et deux « générations » (les 10-13 ans et les 13-20 ans) ont appris ces hymnes par coeur (« J’ai préféré partir et m’isoler/Maman comment te dire que j’suis désolé « ) à la vitesse du SMS. Sur Facebook, la page Sexion d’Assaut a dépassé 1,2 million de connexions. « La plus forte communauté de France, avant Christophe Maë », dit leur producteur Dawala.
    Mais voilà que ces enfants de la diffusion par la Toile sont aujourd’hui rattrapés par celle-ci. En janvier, alors que le groupe est encore méconnu, l’un de ses membres, Lefa, grandi dans la rue des Abbesses, déclare au magazine français International Hip-hop : « Pendant un temps, on a beaucoup attaqué les homosexuels parce qu’on est homophobe à 100 % et qu’on l’assume. » Il ajoute qu’à ses yeux l’homosexualité est une « déviance qui n’est pas tolérable ». Publié en juin, l’entretien reste circonscrit à un cercle d’amateurs. Il en va autrement quand il est divulgué, à mi-septembre, via Twitter et des blogueurs. »

    Selon Yagg: »C’est la maison de disques, Sony, éditrice du dernier album de la Sexion d’Assaut, qui livre un début de réponses sur Tetu.com. Les propos seraient véridiques, mais n’auraient été tenus que par un seul membre du groupe, Lefa. C’est peut-être la version qui sera défendue par l’ensemble du groupe un peu plus tard. En effet, sur sa page Facebook, on peut lire: « Nous ne sommes pas homophobes, nous nous exprimerons à ce sujet ». En attendant la conférence de presse et la localisation du « prophète chez des gays », on peut toujours relire les paroles de la chanson Cessez le feu: « Lointaine est l’époque où les homos se maquaient en scred/ Maintenant se galochent en ville avec des sappes arc-en-ciel/ Mais vas-y bouge, vas-y bouge/ Toutes ces pratiques ne sont pas saines ». Ou le titre On t’a humilié, du 3è Prototype, dont les membres font maintenant partie de la Sexion d’Assaut: « Je crois qu’il est grand temps que les pédés périssent, coupe leur le pénis, laisse les morts, retrouvés sur le périphérique ». La Sexion d’Assaut va devoir trouver un peu mieux que « Désolé » pour faire passer de telles pilules. »

    (En vous baladant sur le net, vous trouverez des dizaines d’articles très précis développant le sujet.)

    Nous prenant encore et toujours pour des crétins ignares avachis, les politicards ont essayé de nous imposer leur idéologie mortifère via un chanteur de rap, de l’ère du vide, de la haine et du fric étalé, que peu connaissaient mais désormais plus que célèbre. Leur stratégie indigne et insultante a lamentablement capoté, ces lâches ont eu peur et ont fui, non parce que poursuivis par le déferlement d’une quelconque haine mais parce que une très grande majorité de patriotes français outrés ont fait savoir, haut et fort, que l’on ne pouvait célébrer Verdun et ses centaines de milliers de morts par un divertissement musical où on allait s’amuser, comme le précisait si sympathiquement Black M, ce jeune Français qui connait bien l’histoire de son pays lequel, évoquant l’hommage dû aux Poilus, a dit:  « C’est la scène et c’est quelque chose que j’aime énormément […] Je les invite à venir me voir, qu’ils aiment ou pas ma musique, on va s’amuser« .

    Serait-ce enfin le début de la fin de cette dictature de la pensée unique malsaine, périlleuse et mensongère?

    De plus, nous avons économisé 150 000 euros. A quels réfugiés-déracinés-expatriés va-t-on les offrir?

    Fini les veaux?

  • Morale et valeurs au service exclusif de l’idéologie

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    Le billet de François d’Usclat

        Nous connaissons les principes républicains hérités de la Révolution : Liberté, Egalité, Fraternité, laïcité, République une et indivisible. Mais sont venues s’y ajouter depuis de présumées valeurs comme la « citoyenneté » et le « vivre ensemble ». Les inventeurs de ces formules passe-partout s’imaginent que les invoquer suffiront, par le seul effet de la tympanisation, à gommer les effets d’une gestion désastreuse du pays.

        Traduisons tout d’abord. Citoyenneté signifie adopter un consensus républicain comme on embrasse un catéchisme sans exclusion. Il faut en toutes circonstances avoir un comportement citoyen… Ainsi, exemple parmi tant d’autres, une entreprise citoyenne est celle qui procédera à l’embauche par « discrimination positive ». Et, a contrario, à un journal qui pense de manière non consensuelle l’État n’allouera pas de subventions. Bref, on distribue les bons et les mauvais points. Français, encore un effort si vous voulez être (de bons) républicains !

        Quant au vivre ensemble, l’expression commence à être usée jusqu’à la corde depuis qu’il s’avère de façon très évidente que le territoire offre plutôt le décor d’un exister-ensemble que ses acteurs n’ont qu’à subir en se taisant. Ces exaltations universalistes ont connues leur apogée lors l’élection d’un maire musulman pour Londres. Anne Hidalgo en a été tout émoustillée…
     

     

     

        En attendant, encore faudrait-il savoir ce qui est entendu et considéré comme « valeurs ». Il est absurde d’en faire la louange quand nous voyons qu’elles portent atteinte aux principes de liberté et de laïcité. Comme si cette tambouille n’était pas assez épaisse et indigeste, on y rajoute de pleines brassées de morale. Difficile de ne pas être frappé par ce phénomène : la société civile est plus que jamais placée sous étroite surveillance. Les censeurs voient des déviants partout, et nombreuses sont désormais les figures politiques et médiatiques qui passent leur temps à s’excuser et à rendre des comptes ; le moindre dérapage devient bavure, les réseaux sociaux sont encombrés de roquets et d’inquisiteurs.

        Le règne du politiquement correct n’est que le reflet de cette « normalisation » de l’espace public. La moindre atteinte ou présumée atteinte à la dignité de chacun (plus souvent, en fait, la susceptibilité ou l’irritabilité) est mise en accusation par les moralistes auto-institués. Situation qui convient bien à nos déclarés adeptes de la tolérance encore et toujours convaincus que les sociétés s’ouvrent en se pacifiant… Cette grosse machine, les supplétifs du système l’alimentent avec d’autant plus de hargne que, à l’encontre de leurs attentes, elle laisse entendre des trépidations quelque peu alarmantes qui annoncent la panne.

        Mais que l’on se rassure, dans cette campagne de moralisation générale (en auront fait les frais dernièrement un footballeur complice de chantage et un élu vert chaud lapin, pourtant tous affidés du système) : pas touche à l’étranger, ce nouveau damné de la terre ! Lui, il faut le comprendre ; ses valeurs et sa morale sont siennes, et nous ne sommes plus au temps du paternalisme colonial mais de la relativisation des cultures. À ce propos, nous avons encore en tête le souvenir amer du traitement médiatique (édulcoré) du harcèlement et du viol de centaines de femmes blanches à Cologne par des immigrés musulmans la nuit de la Saint-Sylvestre. L’angélisme et la duplicité des bonnes âmes prêtes à tout excuser, sauf évidemment à l’autochtone, ont la vie dure…

        Partout on recourt donc à l’artifice et au procédé pour tenter de masquer l’évidence, celle d’un fiasco national et même européen qui a nom ethnocide par submersion. D’ailleurs, et ce n’est pas vraiment une surprise, les peuples commencent à ne plus croire en l’efficacité des transferts de pouvoirs et de la trans-nationalité quand ils voient que c’est pour en arriver là. Que d’aberrations ! On légifère avec rigueur sur le calibre des fruits et des légumes ou la pasteurisation des fromages mais guère sur les flux migratoires (en tout cas : pas de sanctions pour l’Allemagne et sa candide chancelière). Bref, ce n’est pas de ceux qui ont conduit leur pays au fond de l’impasse qu’il faudra attendre la moindre solution. Les élites continueront à louer leurs « valeurs » et à asséner leurs leçons de bonne conduite pour tenter d’endiguer la colère qui monte.

        Mais, dès lors qu’elles n’abusent plus grand-monde, on peut mesurer ce que ces valeurs et cette morale ont d’éphémère.
     
    Ligue du Midi, les Identitaires du Languedoc-Roussillon
  • On ne peut pas être patriote si on ne défend pas la famille

    https://youtu.be/41S-F6_LCQ0

     

    176

    Le 17 mai prochain, le SIEL organise une manifestation pour les 3 ans de la loi Taubira. Rendez-vous est donné Place Saint Augustin à Paris, à 18h.
    Karim Ouchikh, président du SIEL, et Maître Frédéric Pichon, vice-président, expliquent pourquoi le combat reste essentiel.

    BV 15 05 2016

  • Langue arabe à l'école, une enseignante témoigne

    Vidéo 

    Ajoutée le 17 avr. 2016

    Valérie Laupies, directrice d'école à Tarascon, témoigne à propos des ELCO, les « enseignements de langue et de culture d'origine ».

    (merci à Dirk)