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Blog - Page 94

  • Téléphone dans les cellules de prison : Dupont-Aignan se demande s'il vit «dans un pays de fous»

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    Le 2 janvier, Le Monde annonçait que le ministère de la Justice prévoyait d'installer des téléphones fixes dans les cellules des détenus. Une action qui a fait vivement réagir certains politiques, dont le président de Debout la France.

    L'information du Monde, daté du 2 janvier, a scandalisé un certain nombre de responsables politiques. Selon le quotidien, le ministère de la Justice a lancé un appel d'offres pour installer des téléphones fixes dans plus de 50 000 cellules de 178 établissements pénitentiaires. «Je suis indigné», s'est offusqué le président de Debout La France (DLF), Nicolas Dupont-Aignan, invité sur le plateau des 4 Vérités sur France 2, le 5 janvier.

    Vous trouvez normal que quand on a violé, quand on a tué, on ait le téléphone ? Vous trouvez normal qu'en prison, cela soit comme un hôtel ? 

    «Vous savez qu’il y a des zones rurales en France où il n’y a pas le téléphone. Et les voyous en prison vont avoir le téléphone. Mais quand j’ai su ça, je me suis demandé si j’étais dans un pays de fous et je me suis demandé si au ministère de la Justice, il y avait des fous !», s'étrangle le souverainiste.

     

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  • LE JOURNAL TVL DU 05 JANVIER

  • Rome : un migrant enfile une blouse, entre en salle d'accouchement et tente de violer une femme

     

    © Andreea Campeanu Source: Reuters
     
     

    Un migrant somalien résidant depuis cinq ans en Italie avec un permis de séjour a été interpellé dans un hôpital à Rome le 31 décembre : déguisé en infirmier, il s'apprêtait à violer une femme venue pour accoucher.

    Le 31 décembre, un migrant somalien de 38 ans, déguisé en infirmier, s'est introduit dans une salle d'accouchement à l'hôpital de Sant'Eugenio, à Rome.

    Une femme de 43 ans qui s'apprêtait à accoucher se trouvait là, en plein travail. Selon le témoignage de la victime, l'agresseur présumé lui aurait tout d'abord caressé la cuisse gauche, puis la vulve, avant de se masturber devant elle.

    Très effrayée, elle a alors commencé à crier, ce qui a alerté deux infirmières et un médecin qui sont venus à son secours. La police a ensuite été prévenue, a interpellé l'agresseur présumé, ce dernier ayant tenté de s'enfuir entre temps, en vain. L'homme a été inculpé pour violence sexuelle aggravée et vol. Les juges de la cinquième section pénale de Rome ont ordonné une mise en détention préventive pour ce migrant qui vivait depuis cinq ans en Italie avec un permis de séjour. 

    Le 1er janvier, lors de l'audience préliminaire, quand on lui a demandé pourquoi il avait commis ce geste, l'agresseur présumé a répondu : «Dieu seul le sait», selon les informations du journal La Stampa. Son avocate a annoncé qu'elle allait demander une expertise psychiatrique. La date du procès a été fixée au 10 janvier.

    RT

  • Etre opéré en Afrique tue deux fois plus qu’ailleurs, 1 patient sur 5 connait des complications post-opératoires

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    10h55
     

    Le taux de mortalité lors des opérations chirurgicales est deux fois plus élevé en Afrique qu’en moyenne dans le monde, ont affirmé, mercredi 4 janvier, des chercheurs dans une étude mettant au jour un fléau rarement discuté.
    En théorie, la mortalité pourrait être moins élevée sur ce continent qu’ailleurs. Les patients y sont en effet plus jeunes et y subissent des interventions moins lourdes.

    Mais, d’après les auteurs de cette étude parue dans la revue médicale The Lancet, « près d’un patient sur cinq en Afrique a des complications après une opération ».

    Et là où existent des chiffres comparables, à savoir dans la chirurgie non urgente, la mortalité atteint 1 % sur le continent, contre 0,5 % dans le monde. L’étude est décrite comme la plus vaste et la plus fouillée sur la chirurgie africaine.

       

    Elle a réuni plus de 30 chercheurs qui ont rassemblé les données de 247 hôpitaux dans 25 pays du continent, de l’Algérie à l’Afrique du Sud en passant par le Sénégal et les deux Congos. Ont été suivis les dossiers de 10 885 patients, dont un tiers a subi une césarienne.

    L’étude montre « qu’une pénurie de main-d’œuvre et de ressources aboutit à une chirurgie moins sûre dans la région. Pour améliorer ces résultats, elle appelle à une amélioration de la surveillance des patients pendant et juste après leur opération », a souligné The Lancet.

    Au total, 18,2 % de ceux-ci ont connu des complications, et parmi eux presque 10 % en sont morts. Pourtant, quatre patients sur cinq étaient considérés à risque faible, sachant leur jeune âge et leur bon état de santé.  (….)

  • Saint-Etienne-du-Rouvray : les renseignements auraient falsifié des documents pour cacher une bévue

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    Les funérailles du père Hamel, le 2 août 2016 à la cathédrale de Rouen
     

    L'attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray aurait-il pu être évité ? Selon Mediapart, les renseignements auraient eu connaissance des messages d'un des terroristes plus d'une semaine avant l'attaque, mais l'information ne serait pas remontée à temps.

    Fruit d'une investigation de plus de six mois et reposant sur le témoignage de plusieurs policiers, une enquête publiée par Mediapart le 4 janvier 2018 épingle la direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP) dans l'attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray. Les faits remontent au 26 juillet 2016. Le père Jacques Hamel est alors assassiné dans son église par deux islamistes, Adel Kermiche, sous contrôle judiciaire, et Abdel Malik Nabil-Petitjean. Un acte qui avait été revendiqué le jour même par l'organisation terroriste Daesh. 

    L'attentat aurait-il pu être évité ?

    Selon les informations du média en ligne, la DRPP aurait bel et bien eu connaissance des messages de l’un des deux tueurs, et ce plus d'une semaine avant l'égorgement du père Hamel.

    Selon Mediapart, un service de police, la section T1, chargée de la lutte antiterroriste au sein de la DRPP, aurait ainsi intercepté et décrypté un message électronique d'Adel Kermiche, daté du 19 juillet, dans lequel il se moque des autorités : «Mort de rire, je suis dissimulé. Là je ne suis pas grillé, tranquille. Aucun soupçon. Gloire à Allah, il les aveugle».

    En s'infiltrant sur une conversation du service de messagerie cryptée Telegram baptisée «Haqq-Wad-Dalil» (La vérité et la preuve) et rassemblant des partisans de Daesh, le renseignement français réussit, cinq jours avant l'attentat, à suivre Adel Kermiche et parvient à connaitre certains préparatifs de l'acte à venir. Sauf que les informations ne sont pas parvenues à la DGSI et, «une fois le crime survenu, la hiérarchie aurait alors fait postdater des documents pour masquer sa responsabilité» selon plusieurs témoignages concordants cités par Mediapart.

    Traque sur le net

    Les cyberpatrouilleurs traquent les potentiels terroristes dont Adel Kermiche. Un rapport de police mentionnera, après les faits tragiques, que ce dernier avait «un profil djihadiste qui s’orientait de manière explicite vers l’organisation Etat islamique». Durant la surveillance, et avant le passage à l'acte, l'un des policiers remarque d'ailleurs le projet d'Adel Kermiche, celui de créer un Etat islamique en France, avec la mise en place d'un émir qui permettrait «aux frères de s'entraider pour partir ou préparer des choses ici».

    Alors qu'il est sous pseudo, Adel Kermiche donne assez de détails pour que les services de renseignement l'identifient. Affichant sa volonté de «faire un carnage en tranchant deux ou trois têtes», il préconise notamment dans un message vocal long de 7 minutes et 20 secondes l'attaque d'églises. Mediapart reprend un rapport, consacré à l'assassinat du père Hamel, dans lequel les renseignements notaient que le terroriste «incitait ses abonnés à se procurer des armes pour mener à bien ce type d’attaque».

    Le policier, nommé Paul (un prénom choisi au hasard) par Mediapart, qui constate toutes les intentions de l'islamiste, remplit une fiche Gesterext, le fichier de renseignement dévolu à la DRPP. Cette note a pour finalité de «prévenir les actes de terrorisme», de «surveiller les individus, groupes, organisations et phénomènes de société susceptibles de porter atteinte à la sûreté nationale»Il se serait apprêté à dévoiler ces informations à la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) qui contrairement à la DRPP, est compétente pour les menaces non pas uniquement sur le secteur parisien mais sur le territoire national.

    La fiche de signalement se perd

    Sauf que les deux services échangent peu, et seuls certains agents peuvent directement traiter avec l'autre administration. Paul, lui, n'a pas ce droit là. Selon Mediapart, il doit transmettre sa note, destinée à être corrigée et validée par quatre échelons hiérarchiques. Et quand certains d'entre eux sont en vacances, d'autres sont débordés. Les informations de Paul se perdent donc dans les fichiers informatiques.

    La veille de l'attentat dans l'après-midi, Adel Kermiche divulgue des nouvelles sous forme d'adieu sur le groupe Telegram, et promet à ses abonnés de se préparer à relayer un contenu «exceptionnel» et «surprenant». Le même jour, il se présente en tenue de camouflage sur le réseau social Snapchat aux côté de son compère Abdel Malik Nabil-Petitjean.

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    Adel Kermiche

    Le mardi 26 juillet, à une heure de l'attentat, il se fait encore plus précis, demandant aux utilisateurs de sa chaîne : «Télécharger ce qui va venir et partager le en masse !!!!! [sic]»

    Après l'assassinat barbare du père Hamel, au terme duquel les deux assaillants seront abattus par les forces de l'ordre, la DRPP panique, selon le journal. Elle s'aperçoit en effet avoir omis de transmettre les éléments en sa possession sur l'assassin, disponibles plusieurs jours avant le drame.

    Falsification de documents

    Dans l'embarras le plus total, la hiérarchie convoque alors Paul. Celle-ci lui ordonne «d'écraser sa fiche» sur le terroriste pour éviter tout scandale.

    D'ailleurs, Mediapart affirme, après avoir recueilli le témoignages de plusieurs sources, que Paul se voit demander de réécrire «les documents en les postdatant au jour même afin de masquer l’énorme bévue de la DRPP». Sauf que l'informatique laisse des traces.

    Ainsi, la date de création du document, qui se trouve facilement dans l'onglet des propriétés, affiche toujours l'ancienne, soit quelques jours avant l'attentat. Voyant cette faille, la direction impose précipitamment à Paul de modifier cette date et lui ordonne également d’effacer son historique de navigation les jours où il accumulait des preuves contre Adel Kermiche.

    Une falsification dénoncée et mise en avant par le média en ligne. Ce dernier a évidemment tenté de joindre la direction de la section T1 de la DRPP, sans succès.

    RT

  • Europe : la Pologne et la Hongrie veulent faire bloc contre l’immigration

     

    1h41

    Non seulement la politique migratoire de l’Union européenne ne fonctionne pas, mais elle a échoué de manière spectaculaire, a déclaré Viktor Orbán, en marge de sa rencontre avec le Premier ministre polonais ce mercredi à Budapest. Les deux chefs de gouvernement veulent former une alliance en matière économique et de sécurité.

     

    « Il est évident que les Européens ne veulent pas d’immigration, pendant que plusieurs dirigeants européens continuent à faire pression en faveur d’une politique d’immigration ratée. La position hongroise que j’ai exprimée aujourd’hui est que nous devons continuer à protéger les frontières, que nous devons stopper le flux migratoire et les immigrés ne doivent pas venir« , a déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orban.

     
     
     
     

    « En matière d’immigration et en ce qui concerne les quotas qui devaient être imposés aux pays membres de l’Union européenne, nous rejetons fermement une telle approche, car elle empiète sur les décisions souveraines des Etats membres, nous sommes d’avis que la Commission européenne n’a pas le droit d’appliquer de telles solutions« , a estimé le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki.

    La Pologne a été élue membre du Conseil de sécurité de l’ONU pour 2018-2019. Le Premier ministre hongrois espère que les pays d’Europe Centrale pourront ainsi grâce à la Pologne se rapprocher des instances de décision internationales.

    « Les Premiers ministres polonais et hongrois ont mis en avant l’importance du renforcement de l’indépendance économique, soulignant que l’axe franco-allemand est important dans l’UE, mais pas le seul, et qu’à l’avenir ils souhaiteraient renforcer la coopération entre l’Allemagne et l’Europe Centrale« , souligne Gabor Acs, notre correspondant à Budapest.

    RT

  • JOURNAL TVL DU 04 JANVIER 2018

  • PSA s'apprêterait à supprimer des postes grâce à la réforme du Code du travail

     

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    Chaîne d'assemblage d'une usine PSA à Mulhouse
     

    Les syndicats du groupe PSA ont été invités par la direction à une négociation portant sur le recours à une rupture conventionnelle collective, un nouveau dispositif créé par la réforme du Code du travail portée par Emmanuel Macron.

    Le nouveau Code du travail fait déjà des premiers heureux : selon les informations du Parisien, le constructeur automobile PSA a proposé le 19 décembre dernier aux syndicats un projet de suppressions de postes grâce à la procédure de la rupture conventionnelle collective créée récemment par les ordonnances du gouvernement d'Edouard Philippe.

    PSA a invité les organisations syndicales le 9 janvier prochain à une discussion. A l'ordre du jour : l'ouverture de pourparler quant à une rupture conventionnelle collective. Ce dispositif autorise l'employeur à se séparer des salariés sans recourir à un licenciement ou à une démission, tout en évitant le plan social – et donc se dispensant de devoir prouver devant l'Etat l'existence de difficultés économiques justifiant les suppressions de postes. Pour ce faire, il lui faut préalablement obtenir un accord majoritaire avec les syndicats.

    «Cet agenda social a bel et bien été envoyé à nos partenaires sociaux», assure Bruno Bertin, directeur des ressources humaines de PSA. Ce dernier se refuse en revanche à préciser le nombre de postes et les sites concernés. «Ce sujet va être abordé lors du comité central d'entreprise», commente un porte-parole du groupe.

    «Cela va lui permettre de faciliter les départs collectifs et ainsi poursuivre la fonte des effectifs en CDI dans les usines. C'est un recul supplémentaire pour les droits des travailleurs», dénonce Jean-Pierre Mercier, délégué syndical central CGT du groupe PSA Peugeot-Citroën. La CGT faisait partie des organisations qui avaient manifesté à l'automne contre la réforme du Code du travail.

    Lire aussi : Patrimoine : la ministre du Travail la plus riche, devant l'écologiste Nicolas Hulot

    RT

  • Bonsecours (76) : la décapitation des quatre moutons de pierre protégeant la statue de Jeanne d’Arc volontairement passée sous silence ?

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    17h40
     

     

    Stupeur depuis quelques jours sur les réseaux sociaux, pour les visiteurs, les associations de sauvegarde du patrimoine et la population autour du monument Jeanne d’Arc édifié en 1892 à quelques dizaines de mètres de la basilique Notre-Dame.

    En effet, les quatre moutons, œuvres du sculpteur Gardet, protégeant la pucelle et surplombant la vallée de la Seine ont été décapités probablement à l’aide d’outils.

      

     

    Une dégradation passée sous silence

    Cibles d’un vandalisme gratuit et qualifié comme « bêtise humaine », les morceaux n’ont pour le moment pas été retrouvés ou ont été ramassés par les services techniques de la Ville, ce qu’elle ne confirme pas pour le moment. D’ailleurs, la dégradation a été largement passée sous silence. «Cela s’est passé il y a plus d’un mois. Nous regardons ce que nous allons faire. Pour une restauration, il faut attendre le budget 2018. Mais, comme elles sont abîmées régulièrement, nous ne savons pas si elles seront réparées », déclare timidement l’adjoint à la culture Hervé Couillard joint par téléphone. Seulement, déjà des appels sont lancés pour que les sculptures retrouvent leur état. L’association Urgences patrimoine, fondée par Alexandra Sobczak via sa page Facebook, propose même son aide afin de mettre des tailleurs de pierre en relation avec la commune. Consulté, le maire n’a pour le moment pas réagi.

  • « Pourquoi les Africains courent plus vite »

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    18h48
     

    Depuis 1960, les Kényans et les Éthiopiens dominent les courses de fond et de demi-fond. Ces athlètes ont-ils des avantages naturels?

    Depuis les JO de Rome en 1960, année de la première victoire sur marathon d’un Noir africain (l’Éthiopien aux pieds nus Abebe Bikila), Kényans et Éthiopiens squattent les podiums des courses de fond et de demi-fond.

    Lorsqu’ils débarquent sur le Vieux-Continent, ils ne laissent que des miettes à leurs concurrents européens. Leur domination a donné lieu à de nombreuses études. Ces coureurs ont-ils réellement des avantages naturels et, si oui, lesquels? Julien Wanders, surnommé le «Kényan blanc», prouve-t-il que les coureurs de type caucasien sont tout aussi performants si on adopte le mode de vie et l’entraînement des ténors africains?

    Deux spécialistes, Grégoire Millet, professeur de physiologie et spécialiste de la performance à l’Université de Lausanne, et Louis Heyer, coach longue distance de Swiss Athletics, nous éclairent.

    LES VALEURS ANTHROPOMÉTRIQUES: LA TRIBU DES KALENJIN A UN ATOUT
    Grégoire Millet: «La performance peut être décryptée en trois critères: la consommation maximale d’oxygène (VO2max), la capacité à maintenir un niveau de VO2max, et le rendement (puissance/ VO2). C’est seulement sur ce dernier critère que les Africains de l’Est ont un net avantage. Ils possèdent des valeurs anthropométriques qui leur permettent d’avoir un «coût énergétique» très bas. Le rapport jambe/tronc est élevé. Ils ont un mollet fusiforme et plus léger (jusqu’à 400 grammes de moins par mollet), et un tendon d’Achille plus long, ce qui leur permet de stocker de l’énergie pour la produire au moment de l’impulsion.»

       

    On appelle ce mouvement «stretch shortening cycle». Le mouvement répété de la foulée est beaucoup plus aisé. «Les athlètes qui ont ces caractéristiques viennent génétiquement de la même tribu, les Kalenjin, un groupe ethnique originaire de la vallée du Rift, à l’ouest du Kenya.» Les gènes des Kalenjin se sont retrouvés, à la suite des colonisations, des guerres et des exodes, dans de nombreux pays voisins, l’Éthiopie, l’Ouganda, ou l’Érythrée. Et ainsi dans les jambes de nombreux athlètes.

    UN FAIBLE TAUX DE MASSE GRAISSEUSE: ILS ÉVACUENT PLUS DE CHALEUR
    Grégoire Millet avance un autre avantage: «La masse grasse des coureurs est- africains est très faible et, de par leur petite taille et leur maigreur, leur surface corporelle est proportionnellement plus grande. Ces athlètes sont donc capables d’évacuer plus de chaleur qu’un athlète grand et athlétique.» Louis Heyer confirme que cet aspect est un facteur clé. De surcroît, ces sportifs ont une alimentation simple, équilibrée. Ils ne font pas d’excès et n’ont pas de problème d’obésité.

    LES FACTEURS SOCIOCULTURELS: C’EST UN MOYEN DE RÉUSSIR SA VIE
    (…)

    LES CHARGES D’ENTRAÎNEMENT: ILS SE PRÉPARENT EN ALTITUDE
    (…)

    LeMatin.ch

  • Allemagne : la hausse des violences est presque exclusivement due aux migrants, selon une étude du ministère de la Famille

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    19h41

    Le criminologue Christian Pfeiffer a présenté une nouvelle étude sur la criminalité des réfugiés. En utilisant l’exemple de la Basse-Saxe, il montre que les demandeurs d’asile sont très souvent responsables d’infractions pénales.

     

    L’ancien ministre de la justice de Basse-Saxe, en collaboration avec les criminologues Dirk Baier et Sören Kliem, a enquêté sur la situation en Basse-Saxe au nom du ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse.

    Dans leur étude, les auteurs traitent, entre autres, de l’augmentation des crimes violents entre 2014 et 2016, que les statistiques policières sur la criminalité ont déjà établies. En conséquence, le nombre de crimes violents enregistrés en Basse-Saxe a augmenté de 10,4% – 92,1% de cette augmentation était imputable aux réfugiés. Cela n’est pas surprenant dans la mesure où une grande partie des réfugiés sont des jeunes hommes dans la tranche d’âge où les gens seraient plus criminels.

    Les Nord-Africains sont proportionnellement plus fréquents parmi les suspects

    Les différences entre les pays d’origine sont très importantes. Par exemple, les suspects Syriens, irakiens et Afghans sont nettement moins fréquents, alors que les suspect Marocains, Algériens et Tunisiens sont particulièrement fréquents.

    Les Tunisiens ne représentaient que 0,9% des personnes enregistrées en Basse-Saxe en 2016, mais 17,1% des suspects. Les criminologues expliquent cela par le manque de perspectives socio-économiques de ce groupe, qui se compose principalement d’hommes entre 14 et 30 ans.

    En effet, les Nords-Africains font face à un certain rejet. Alors que les réfugiés sont eux beaucoup mieux accueillis.

    Pfeiffer ne critique pas la décision politique de ne pas reconnaître les personnes originaires d’Afrique du Nord comme demandeurs d’asile. « Nous ne pouvons pas être la terre qui ramasse laborieusement tous ceux qui sont chargés. » Mais il ne suffit pas d’appeler à l’expulsion: « Je pense qu’il est temps maintenant d’utiliser les nouvelles négociations de coalition pour une nouvelle perspective dans la politique des réfugiés, à savoir investir des sommes énormes pour un programme de retour. »

      
     
     

    Pour Pfeiffer, les demandeurs d’asile déboutés devraient recevoir davantage de soutien dans leur pays d’origine. L’état devrait massivement financer des projets dans ces pays.

    Mais de tels programmes n’ont de sens que s’ils réussissent à sécuriser les frontières. « Tout le programme de retour dépend de la capacité de l’UE à sécuriser les frontières extérieures ».

    Une autre explication à cette violence sureprésentée tiendrait à la cohabitation d’individus de différentes origines [culture, NDT] ou de différentes religions dans des endroits exigus, ce qui favoriserait la violence.

    Un autre aspect important du problème est que les réfugiés en Allemagne vivent souvent dans des groupes exclusivement masculins – sans partenaire, mère ou soeur- comme l’indique l’étude.

    « Le manque de femmes a forcément un effet », a déclaré Pfeiffer. Cette pénurie augmente le risque que les jeunes hommes «se basent sur des normes de masculinité et de violence pour trouver leur légitimité ». Pfeiffer considère que l’idée de la réunification familiale [regroupement familiale, NDT] n’est pas « stupide » pour enrayer cette spirale de violence.

    Les scientifiques qui ont mené l’étude considèrent enfin qu’une loi stricte sur l’immigration dans laquelle seraient clairement réglementées les conditions d’accès à la nationalité, serait bénéfique : « Cela les inciterait fortement à faire un effort pour satisfaire aux exigences de l’immigration. »

    Enfin, pour lutter à court-terme contre les actes violents des réfugiés, Pfeiffer préconise une meilleure prévention. Entre autres choses, il devrait y avoir de meilleures offres telles que des cours de langue, des sports et des formations pour aider pour les jeunes réfugiés.

    Spiegel

    Merci à PierreTerrail

  • JOURNAL TVL DU 03/01/18

  • MARE NOSTRUM

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    Marseille, matin du 1er janvier 2018 

    (Photos EB)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Un ministre israélien encourage les manifestations en Iran, mais dément toute ingérence

    https://francais.rt.com/international/46952-iran-ministre-israelien-encourage-manifestations-dement-ingerence

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  • Rohani demande à Macron de neutraliser un "groupe terroriste" iranien en France

    https://francais.rt.com/international/46979-president-iranien-rohani-demande-macron

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  • Des milliers d'Ukrainiens défilent en hommage au collaborateur nazi Stepan Bandera (VIDEOS)

     

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    © Valentyn Ogirenko / Reuters
    Des nationalistes ukrainiens commémorant Stepan Bandera
     

    Plus de 6 000 Ukrainiens ont participé à des marches le 1er janvier 2018 pour commémorer l'anniversaire de Stepan Bandera, un nationaliste ukrainien considéré comme un héros malgré ses méthodes violentes et son passé de collaborateur.

    A travers l'Ukraine, 57 événements commémorant la naissance du nationaliste ukrainien Stepan Bandera, connu pour avoir collaboré avec l'Allemagne nazie, ont eu lieu le 1er janvier 2018, selon les chiffres de la police ukrainienne.

    Le plus important a eu lieu à Kiev, où près d'un millier de personnes se sont rassemblées avec des torches en scandant des slogans comme «Bandera reviendra mettre de l'ordre» ou encore «Gloire à l'Ukraine, mort aux ennemis». 1 200 policiers et 730 militaires avaient été déployés pour assurer le bon déroulement de l'événement.

    Auteur: RT France

     

    D'autres rassemblements de moindre ampleur ont eu lieu dans d'autres villes, comme Lvov ou Odessa.

    Des partisans du parti d'extrême droite Svoboda, qui a participé au mouvement ayant abouti à la destitution du président Viktor Yanoukovitch en 2014, étaient présents avec des drapeaux de leur mouvement.

    Auteur: RT France

     

    Stepan Bandera est un personnage controversé de la Seconde Guerre mondiale qui dirigeait l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et coopérait avec les troupes nazies. En 1941, il avait appelé les Ukrainiens à aider le IIIe Reich pour se battre contre le gouvernement soviétique et lutter contre l’Armée rouge dans l’Ouest de l’Ukraine. Il avait finalement été arrêté par ses alliés nazis et envoyé en camp de concentration. Libéré en 1944, Bandera essaya de miner la politique de l’Union soviétique depuis l'Allemagne avant d'être tué en 1959.

    En 2010, l’ancien président ukrainien Victor Iouchtchenko avait accordé le titre de «Héros de l’Ukraine» à Stepan Bandera à titre posthume. Cette décision avait été bloquée par la Cour administrative de Donetsk, ce que Iouchtchenko avait qualifié de «grave erreur».

    RT

  • Populisme : l’UE pourrait se désintégrer à cause de la crise des migrants

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    20h10
     

    Pour le politologue bulgare Ivan Krastev, très influent en Europe de l’Est et dans les pays anglo-saxons, l’Union européenne risque bel et bien de se désintégrer à cause de la crise des migrants.

    Allemagne, Autriche, Catalogne… Le politologue bulgare Ivan Krastev, qui a publié cet automne « Le Destin de l’Europe », un petit livre aussi passionnant qu’inquiétant sur l’état de l’Europe depuis l’arrivée massive des réfugiés, revient sur les dernières crises qui ont secoué le Vieux continent. Interview.

    Brexit, crise politique en Allemagne, extrême droite au gouvernement en Autriche… Toutes ces turbulences que traversent les pays de l’Union européenne sont-elles liées à la crise des migrants ?

      

    Oui, car la crise des migrants a eu pour effet spectaculaire de refaçonner les mentalités et les politiques nationales dans les différents Etats membres de l’Union européenne, que ce soit dans les pays qui ont connu un réel afflux de migrants et de réfugiés, comme l’Allemagne et l’Autriche, ou dans des pays où le changement est pour beaucoup le résultat de l’imagination, comme en Europe centrale et de l’Est.

    L’une de ses conséquences les plus visibles, c’est une rébellion de l’électorat contre les élites méritocratiques. En Allemagne, en Autriche et dans de nombreux pays, on assiste à un glissement majeur des votes du centre-gauche, en plein effondrement, vers l’extrême droite. […]

    Le Nouvel Obs

  • ISRAËL DONNE L’EXEMPLE DE LA FERMETÉ ENVERS LES IMMIGRÉS CLANDESTINS

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    Le marais centriste « En Marche » de Macron, face à la marée migratoire de plus de 300.000 immigrés extra-européens par an, ne fait que pratiquer la politique d’Henri Queuille.

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

     
     
     
     

    Macron, espérons-le, sera le Gorbatchev de la pensée unique avec, pour succéder à « En Marche », une union des droites et une révolution conservatrice que le peuple de France attend depuis cinquante ans, suite à la folle plaisanterie irresponsable de Mai 68 !

    Son gouvernement semble prendre conscience, mais avec des mots seulement, de la gravité du problème migratoire, du Grand Remplacement en cours de la France par les immigrés économiques extra-européens. Alors que rien n’est fait en pratique, si ce n’est pour se donner bonne conscience face aux pays africains et aux belles âmes, d’affréter les premiers avions qui nous ont déjà amené à nos frais quelques immigrés de plus en provenance d’Afrique. Quant au ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, il a tenu à faire savoir publiquement qu’il ne voulait surtout pas « passer pour le facho de service »

    C’est paradoxalement d’Israël, d’une façon très opportune, que nous vient l’exemple en matière migratoire. Après l’Australie, Israël nous démontre que seules des actions fermes au nom du réalisme, du bon sens, de l’efficacité, de l’éthique de la responsabilité, de la raison d’État, de l’identité des peuples et leur sécurité, et non des discours humanistes au nom de la morale individualiste ou chrétienne, peuvent régler le problème migratoire.

    En effet, 40.000 immigrants africains arrivés illégalement sur le sol israélien seront confrontés, dès début janvier 2018, au dilemme suivant : départ « volontaire » vers le Rwanda ou la prison. Le gouvernement de Netanyahou souhaite expulser les Érythréens et les Soudanais infiltrés sur le territoire israélien. Il considère, à juste titre, que l’immense majorité d’entre eux sont des demandeurs d’asile « fictifs » attirés uniquement par de meilleures conditions de vie, bref, des immigrés économiques – ce qui est aussi le cas en France.

     

    Des ghettos sont apparus dans le sud de Tel Aviv. Kigali a accepté d’accueillir 10.000 migrants moyennant 5.000 dollars par personne. Les contribuables européens devront sans doute, eux aussi, payer un jour une deuxième fois pour réparer les erreurs laxistes bien-pensantes de leurs dirigeants, style François Mitterrand (« Ils sont ici chez eux ») ou de madame Merkel (« Wir schaffen das »/On peut le faire, c’est-à-dire, résoudre sans difficulté le problème migratoire).

     

    Les immigrés africains qui accepteront de plier bagage en Israël recevront un pécule de 3.500 dollars. Ceux qui refuseront auront, au moment de la prolongation de leur permis de résidence, trois mois pour partir ou se retrouver sinon derrière les barreaux d’une prison, et non pas dans un centre de rétention avec un régime de semi-liberté. Tout est fait pour les pousser au départ.

    Il convient de noter également que l’immigration sauvage s’est totalement tarie en Israël avec la construction d’une clôture électronique le long des 240 kilomètres de frontière avec l’Égypte par où passaient les immigrés clandestins. Cela n’est pas sans nous rappeler ce que vient de réaliser la Hongrie en Europe et le mur de Trump, déjà construit en partie par les gouvernements états-uniens précédents, avec le Mexique.

    Qui veut la fin doit se donner les moyens ! Tout le reste n’est que littérature. Israël, après l’exemple « fasciste » couronné de succès de l’Australie, montre à nos supposées élites, aux Macron, Raffarin, Juppé, Pécresse – qui osent revendiquer une filiation avec de Gaulle, ce même de Gaulle qui ne voulait pas que son village s’appelle un jour « Colombey-les-Deux Mosquées » -, qu’on peut le faire, pour reprendre la fameuse phrase de Mme Merkel !

    Winston Churchill disait que « le courage est la première des qualités humaines car il garantit toutes les autres ». Le marais centriste « En Marche » de Macron, face à la marée migratoire de plus de 300.000 immigrés extra-européens par an, ne fait que pratiquer la politique d’Henri Queuille. Elle ne consiste pas à résoudre les problèmes, mais à faire taire d’une façon malhonnête ceux qui les posent, afin de se faire élire !

    BV