Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1553

  • VIDEO Big Brother pour les petits...

    http://videos.tf1.fr/infos/2010/une-creche-teste-le-bracelet-puce-pour-les-enfants-6063588.html

    Une crèche parisienne va expérimenter un système de surveillance électronique d'un nouveau genre. Les enfants seront munis de bracelets avec une puce. Une méthode qui ne plait pas à tout le monde.

    09/09/10

  • VIDEO Pourquoi les Roms veulent-ils revenir en France?

    http://www.youtube.com/watch?v=H9AWtNYmFNQ

    extrait du JT de 13h de TF1 (09/09/2010)

    09/09/06

  • Affaire Tapie: Christine Lagarde sommée de s'expliquer

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-economique/un-cheque-de-210-millions-d-euros-pour-tapie-1365375

    La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a nié avoir accordé quelque privilège fiscal à Bernard Tapie, alors qu'elle est sommée de s'expliquer sur le montant reversé par l'Etat à l'homme d'affaires dans le dossier Adidas, plus élevé qu'annoncé.

    Bernard Tapie, ex-ministre de la Ville dans le gouvernement socialiste de Pierre Bérégovoy au début des années 1990, "a et il continuera à faire l'objet d'un traitement fiscal de droit commun sans exception, sans privilège", a assuré jeudi Mme Lagarde.

    Elle a toutefois refusé de confirmer le montant de 210 millions d'euros évoqué par la presse et la commission des Finances de l'Assemblée nationale qui lui a demandé des comptes, invoquant le "secret fiscal".

    Le Canard enchaîné a relancé la polémique en affirmant mercredi que M. Tapie devrait empocher 210 millions de l'Etat et non entre 20 et 50 millions comme l'avait assuré Mme Lagarde en 2008.

    "C'est à pleurer", a commenté le centriste François Bayrou, qui s'était insurgé en 2008 contre la décision d'indemniser M. Tapie. "Révoltant", "scandale d'Etat", a aussi dénoncé le député UMP villepiniste François Goulard. Benoît Hamon, porte-parole des socialistes s'en tenait à relever "un mensonge" de plus du gouvernement.

    A l'époque, l'opposition s'étaient élevée contre le recours à un tribunal arbitral très controversé qui avait donné raison, en juillet 2008, à Bernard Tapie contre le Crédit Lyonnais dans la vente d'Adidas en 1993, après une quinzaine d'années de procédures.

    L'Etat avait donc été condamné à lui verser 285 millions d'euros d'indemnités (400 millions avec les intérêts). Au centre de la critique, Mme Lagarde avait alors assuré que M. Tapie ne percevrait en fait qu'entre 20 et 50 millions d'euros.

    Selon Mme Lagarde, dans les 210 millions, "on mélange des carottes et des choux. On mélange des sommes qui résultaient de condamnation de justice au mois de septembre 2008 avec des résultats de la liquidation consécutive des sociétés du groupe Tapie".

    Sans contester la somme globale, M. Tapie estime lui aussi que 95 millions proviennent de la vente d'actifs qui ne peuvent être pris en compte.

    Reste qu'entre sa déclaration d'impôts sur la fortune de 2008 et celle de 2009, "M. Tapie a vu son patrimoine s'enrichir de 210 millions d'euros", indique une source proche du dossier.

    "Tout ça coûte 210 millions aux contribuables français", s'insurge aussi Charles de Courson, vice-président de la commission des Finances de l'Assemblée et auteur d'un rapport d'information sur le sujet en 2008.

    Les époux Tapie ont déjà perçu 45 millions au titre du préjudice moral, "du jamais vu en France", dénonce-t-il.

    Le reste proviendrait en grande partie des indemnités versées à la société Groupe Bernard Tapie dont Bernard Tapie est actionnaire à plus de 90%.

    Le président socialiste de la commission Jérôme Cahuzac, tenu au secret fiscal, a lui demandé à Mme Lagarde de s'expliquer sur une somme "nettement plus élevée" que ce qu'elle avait indiqué en 2008.

    La commission a décidé de publier ses lettres à Mme Lagarde ainsi que la réponse écrite de la ministre dès qu'elle l'aura envoyée, a indiqué M. de Courson. Le député a fait appel après avoir été débouté d'un recours contre Bercy pour "excès de pouvoir".

    Autre procédure en cours contre la décision d'un tribunal arbitral: celle menée par l'association "contribuables associés" devant le tribunal de commerce de Paris dont le jugement est attendu le 21 septembre.

    Pour son président Alain Mathieu, "les sommes versées ne sont pas méritées et Tapie doit rembourser. Car ce n'est pas lui qui a redressé Adidas".

    AFP. 09/09/10

     

  • Interpellé après 55 fausses déclarations de paternité

    Âgé de 54 ans, l'homme se faisait rémunérer de 150 à 200 euros par reconnaissance frauduleuse. Le préjudice annuel du dispositif pour les organismes sociaux est évalué à près d'un million d'euros.

    Le 31 août dernier, les policiers de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris ont arrêté un homme pour un délit peu banal. Ce Français d'origine sénégalaise aurait rédigé, moyennant rémunération, des dizaines de reconnaissances de paternité, pour permettre aux mères d'obtenir des titres de séjour. Les enquêteurs avaient été alertés fin décembre 2009 après cinq reconnaissances d'enfants suspectes.

    L'homme a reconnu avoir rédigé ces documents moyennant la somme de 150 à 200 euros. Une perquisition à son domicile a permis aux policiers de découvrir des documents établissant la domiciliation d'une cinquantaine de personnes à cette adresse. Les calculs des enquêteurs établissent à un million d'euros le préjudice annuel de cette fraude pour les organismes sociaux. Certaines des bénéficiaires ont déclaré percevoir environ 7500 euros mensuels d'allocations diverses.

    L'homme aurait contacté ces femmes au gré de rencontres sur la voie publique, dans des bars ou discothèques ou directement au Sénégal. Á ce jour, 42 mères ont été identifiées, précise le Panorama hebdomadaire de la préfecture de police, dans lequel l'affaire a été dévoilée. «Toutes sont d'origine africaine, essentiellement originaires du Cameroun, et âgées entre 25 et 50 ans», précise le site d'informations de TF1.

    Sur les 17 qui ont été déjà entendues, une seule aurait reconnu avoir payé le suspect, les autres maintenant la version selon laquelle il est bien le père biologique de leur enfant. Des expertises ADN devraient être pratiquées pour vérifier les liens familiaux. Les mères sont aujourd'hui poursuivies pour «obtention indue de documents administratifs et complicité de déclaration frauduleuse de paternité». Placé sous contrôle judiciaire, l'homme est lui poursuivi pour «déclaration frauduleuse de paternité, aide au séjour et complicité d'obtention indue de documents administratifs».

    Le Figaro - 09/09/10

  • Une crèche va équiper les enfants de puces électroniques

    Un établissement parisien va tester dès l’an prochain un système de surveillance électronique des enfants grâce à une puce intégrée à leurs vêtements.

    Comment surveiller plusieurs dizaines de bambins dans une crèche sans faire appel à une multitude d’auxiliaires de puériculture? Grâce aux puces intelligentes! Pour la première fois en France et en Europe, une crèche parisienne expérimentera, dans le courant du premier semestre 2011, le contrôle électronique sans fil de ses petits pensionnaires.

     
    En savoir plus
    Comment ça marche ?
    Des élèves californiens équipés
     

    Chaque enfant accueilli dans l’établissement, vraisemblablement une structure d’accueil associative, privée ou d’entreprise, mais pas municipale, sera équipé d’une puce radio sans fil reliée à un centre de contrôle vidéo.

    Réactions indignées

    « L’expérimentation, menée pour le compte d’une grande société d’assurances, vise à valider l’efficacité du système du point de vue de la sécurité des enfants, explique Patrick Givanovitch, PDG de l’entreprise Lyberta, conceptrice du projet. Nous installerons des sondes un peu partout dans la crèche pour établir une cartographie complète du lieu. Grâce à la puce portée par chaque enfant (NDLR : insérée dans un vêtement spécialement fourni), il sera possible de savoir instantanément si l’un d’entre eux quitte la crèche. La direction de la crèche sera immédiatement alertée, tout comme les parents, par SMS sur leurs téléphones portables. » Aussi novatrice soit-elle, l’arrivée d’un tel système se heurte déjà à de fortes oppositions.
    Pour Dominique Ratia-Armengol, présidente de l’Association nationale des psychologues de la petite enfance, l’idée est « tout simplement effrayante ». « Enfermer les enfants dans une cage virtuelle, c’est créer des conditions de méfiance et d’angoisse inutile face à un danger qui n’existe pas. C’est également déresponsabilisant en coupant les liens avec les adultes à l’écoute et formés pour éduquer et établir une relation de confiance avec eux. »
    Même réaction indignée de Maria Da Costa Pereira, auxiliaire de puériculture à Paris et responsable syndicale CGT: « C’est la porte ouverte à des économies énormes de personnel au détriment d’une relation humaine essentielle avec des adultes professionnels. D’autant qu’il n’y a pas besoin de sécuriser électroniquement des crèches qui sont déjà des lieux fermés et absolument sans risque de fugue… »

    Le Parisien - 09/09/10

     

  • Drame de Saint-Aignan: le gendarme qui a tiré en légitime défense va être mis en examen

    Saint-Aignan.jpg

    Saint-Aignan après la mort d'un gitan - (Cliquez sur la photo)

    Le gendarme à l'origine du tir qui a coûté la vie au jeune gitan Luigi Duquenet, dans le Loir-et-Cher, en juillet dernier, devrait être prochainement mis en examen. Les autorités avaient toujours plaidé la légitime défense

    La famille du jeune gitan a été reçue jeudi matin par le juge d'instruction Xavier Girieu, en présence de leur avocat, Me Jean-Claude Guidicelli.

    Selon ce dernier, le juge a expliqué à la famille que «le gendarme a reçu une convocation pour être mis en examen fin août».Toutefois, la convocation ne serait pas parvenue au fonctionnaire, muté depuis le drame...

     

    «La famille est soulagée de cette mise en examen», a déclaré Me Guidicelli après l'entretien avec le juge.

    La du jeune gitan, âgé de 22 ans, alors qu'il était recherché pour avoir volé 20 euros, avait suscité la colère de sa communauté. Plusieurs des siens avaient mené une action spectaculaire dans le village de Saint-Aignan, laissant derrière eux des voitures brûlées, deux vitrines brisées et quatre arbres coupés.

    Dans le prolongement de ces faits, avait annoncé une réunion sur les «problèmes que posent les comportements de certains parmi les gens du voyage et les Roms», première étape de sa politique de reconduite aux frontières.

    Le Parisien - 09/09/10

     

     

  • Cette Europe n'est pas la nôtre!

    Intervention de Jean-Marie Le Pen au Parlement européen de Strasbourg, session du 6 au 9 septembre 2010

    Le Traité de Lisbonne a institué un énième exercice d’autosatisfaction appelé « Discours sur l’état de l’Union ». Moment insipide où les européistes du Parlement européen de Strasbourg auront pu se féliciter des politiques successives et des grands projets d’avenir de la Commission européenne et de son actuel Président José Manuel Barroso. Une mascarade politique qui devait s’accompagner d’une disposition de type nord-coréenne, sanctionnant financièrement les députés européens qui auraient déserté l’hémicycle à cette occasion. Mesure à la fois scandaleuse et profondément insultante qui, bien qu’elle ait été retirée in extremis, démontre la médiocrité de l’Union européenne et de ses disciples.

    Cette turpitude rapidement étouffée démontre aussi que leur Empire de pacotille vacille à un moment clé de son histoire. En effet, avec son discours sur « l’état de l’Union », Monsieur Barroso en singeant le président américain Barack Obama a voulu ainsi jouer au Président des Etats-Unis d’Europe. Monsieur Barroso qui ne devrait toutefois pas oublier qu’il n’a lui été élu par personne ! Leur objectif d’Etats-Unis d’Europe renforcera l’asservissement des peuples et des Nations et ce qui semblait n’être qu’une arrière-pensée nous a été clairement dévoilé cette semaine. Un plan funeste qui voudra d’abord renforcer leur entreprise par le moyen de finances plus importantes, commençant par exemple avec l’instauration à venir d’un impôt direct européen.

    Nous avons toujours dénoncé et combattu et continuerons de combattre le plan despotique de cette Europe jusqu’au-boutiste, s’éloignant chaque jour un peu plus des peuples et de leurs vraies préoccupations. Seul le Front National a désormais la volonté, le courage et la capacité à défendre la France et ses intérêts. Seul le Front National, et ses alliés en Europe, pourront proposer une alternative réaliste, juste et démocratique, pour une Europe des peuples libres fondée sur la coopération et le respect des souverainetés.

    NPI. 09/09/10

  • Enseignement "catholique" et... élèves musulmans!

    Le quotidien La Croix publie dans son numéro d’hier un article surprenant consacré aux difficultés de l’Enseignement catholique avec ses élèves et enseignants musulmans. Un grand morceau d’anthologie du politiquement correct !

    On y apprend qu’en cette rentrée le Secrétariat général de l’enseignement catholique a publié un vademecum à destination des équipes de directions des écoles catholiques, dont La Croix nous informe qu’elles scolarisent parfois jusqu’à 70 % d’élèves musulmans !

    Que faire donc si « Des lycéens musulmans prient régulièrement dans la cour. Un jour de pluie, la directrice leur propose une salle. Ce lieu devient la salle de prière où les élèves invitent des personnes extérieures à l’établissement. La directrice ne peut plus disposer de cette salle pour d’autres activités. »

    Que faire encore si « Le jour de la rentrée, les garçons ne répondent pas à leur nom lorsque la nouvelle directrice, qui succède à un directeur, fait l’appel des classes. Par contre, les élèves répondent à leur professeur principal qui est un homme. »

    Nous aurions tendance, sans doute naïvement, à répondre : faire acte d’autorité, infliger quelques colles et le cas échéant des conseils de discipline.

    Pas du tout répond l’enseignement catholique, il faut « organiser rapidement une réflexion avec l’équipe éducative », ne « pas mélanger islam et réaction d’adolescents, identitaire, culturelle et religieuse » et « faire intervenir des médiations : un musulman, en priorité un enseignant ou personnel d’éducation, sinon un responsable de mosquée, ou un expert, par exemple le responsable diocésain pour les relations avec l’islam  ».

    Et ce n’est pas tout, les écoles catholiques emploient aussi des … musulmans, et le Secrétariat général de l’enseignement catholique se sent coupable vis-à-vis d’eux ! En effet, ils seraient victimes d’« un certain racisme », selon Pierre Robitaille, une des huiles du SGEC, puisque n’étant pas chrétiens, ils ne peuvent pas participer pleinement au projet éducatif d’écoles qui prétendent l’être…

    On croit rêver et marcher sur la tête et pourtant c’est la triste réalité d’une Église qui se couche et pratique, comme tant d’autres, l’ethno-masochisme.

    NPI.  09/09/10

  • Reconduites à la frontière: Eric Besson symbolise l'imposture sarkozyste

    Eric Besson.jpg

    Drapeau européen derrière Éric Besson : c’est la marque du collier qui tient la France en laisse.

    La phrase du jour, c’est l’aveu du ministre de l’immigration, Éric Besson dans un article publié par Le Monde : « plus de 75 % des décisions de reconduite à la frontière des étrangers en situation irrégulière en France ne sont pas exécutées ».

    Autrement dit les chiffres, déjà modestes, annoncés à grand bruit par l’exécutif (environ 29.000 décisions de reconduite à la frontière en 2009) doivent être divisés par 4 ! Autant dire une goutte d’eau dans la mer.

    Il espère y remédier par un nouveau projet de loi… oubliant toutefois de préciser que ce n’est plus la France qui décide en la matière, mais l’Europe. En signant, contre la volonté des Français, le traité de Lisbonne, Nicolas Sarkozy a de facto renoncé à la souveraineté de la France. Son agitation fébrile ne relève par conséquent que de l’électoralisme, et il continue à mentir aux Français.

    Source

    NPI - 09/09/10

  • Dans un internat d'excellence, Sarkozy célèbre les mérites des jeunes de banlieue

    Sarkozy internat d'excellence.jpg

    A Marly-le-Roi, le 9 septembre 2010 - (Cliquez sur la photo)

    Nicolas Sarkozy a profité jeudi d'une visite de l'internat d'excellence de Marly-le-Roi, destiné aux élèves méritants des milieux défavorisés, pour nuancer le ton très répressif de son discours de Grenoble en rendant hommage à la banlieue qui réussit.

    Devant l'équipe éducative du tout nouvel établissement, les élèves et leurs parents, le chef de l'Etat a longuement détaillé la philosophie de ce nouveau dispositif, issu du plan "Espoirs banlieues", en soulignant qu'il ne constituait "pas un exil, mais une chance qu'on donne aux enfants".

    "Les internats d'excellence, c'est pas une machine où on prend les meilleurs pour en faire les "super meilleurs". C'est un milieu où tous les jeunes qui veulent s'en sortir, qui veulent réussir et qui font des efforts, on va leur donner une chance supplémentaire", a indiqué Nicolas Sarkozy.

    "L'élève méritant n'est pas seulement celui qui a des bons résultats à l'école, c'est celui qui, face à des difficultés immenses, continue à se battre, qui ne renonce pas, qui ne baisse pas les bras", a-t-il ajouté.

     Reprenant l'un de ses thèmes favoris sur "la République des droits et des devoirs", Nicolas Sarkozy a fait le parallèle entre ces internats et les futurs établissements de réinsertion scolaire (ERS) destinés à accueillir des "jeunes qui empoisonnent la vie des autres".

    "La République, c'est celle qui doit promouvoir celui qui le mérite et qui doit sanctionner celui qui le mérite", a-t-il estimé.

    Après les remous alimentés, jusque dans sa majorité, par son discours sécuritaire musclé de Grenoble, le chef de l'Etat a cherché à nuancer son message en soulignant les mérites des jeunes des quartiers sensibles.

    "Je veux qu'on sorte de ce discours de misérabilisme, de fatalité et de renoncement, qui consiste à assimiler origine, quartier et échec", a demandé Nicolas Sarkozy. "Parce que je vis dans tel quartier, parce que j'ai tel problème social, c'est trop facile de dire "je renonce". Vos parents ne renoncent pas, vous ne renoncez pas, c'est pour ça qu'on vous aide", a-t-il lancé.

    "J'ai dit que je ne laisserai pas les quartiers dériver dans le trafic de drogue, dans le n'importe quoi (...), quand les enfants de ces quartiers sont la fierté de la République, alors on va leur donner plus de chances. L'égalité, c'est pas de donner la même chose à tout le monde, c'est de donner plus à ceux qui ont moins", a conclu le chef de l'Etat.

    AFP. 09/09/10

  • Le banc de méditation

    Le petit banc 06 09 10.JPG

    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Photo Gaëlle Mann - 06.09.10

  • VIDEO Pétition contre le retrait de Louis XIV et Napoléon des programmes d'Histoire à la rentrée 2010

    http://www.youtube.com/watch?v=aSuwmdGnUYI

    08/09/10

     

     

  • A Issou, les gitans ont transformé le parc en décharge géante

    Issou011.jpg

    ACHERES (NOVOpress) – Les centaines de nomades qui faisaient régner la terreur à Issou depuis une semaine sont partis hier… pour s’installer plus loin, à Achères près de Poissy (Yvelines), sur un terrain fréquenté habituellement par un centre hippique. A Issou, les gitans ont laissé le parc du château qu’ils occupaient illégalement dans un triste état, comme à Triel-sur-Seine il y a un an : immondices et excréments laissés en pleine nature, bancs arrachés, grillages défoncés, arbres coupés, éclairage public piraté…

    Cette invasion a suscité beaucoup de haine. Selon Le Parisien, un cocktail Molotov aurait été jeté contre l’une des caravanes du camp, dans la nuit de samedi à dimanche. A qui profite le crime ? Le quotidien note que « de nombreux riverains s’étonnent qu’une personne extérieure ait pu lancer cet engin incendiaire au milieu des caravanes alors que les gens du voyage surveillaient soigneusement les abords de leur campement, notamment avec des chiens ». Aujourd’hui, c’est une nouvelle commune des Yvelines qui doit subir le fléau de quelque 150 caravanes. Plus de doute : certaines populations vivent bien au dessus des lois en France.

    NOVOpress -06/09/10

  • René Galinier: les soutiens se font entendre partout

    Le comité d'entraide aux prisonniers européens (CEPE) était, hier matin, rassemblé devant la maison d'arrêt de Béziers où est incarcéré René Galinier : ce retraité de 73 ans avait fait feu sur deux cambrioleuses roms qui étaient en train de lui voler ses biens. Ces militants exigeaient, hier encore, la libération de René Galinier. Ils entendent organiser d'autres rassemblements pour « sauver le soldat Galinier injustement mis en prison, mais encore obtenir une réforme de la loi sur la légitime défense qui doit passer par la sanctuarisation du domicile ».

    Par ailleurs, le député UMP des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca, a communiqué lundi pour défendre la cause de René Galinier : « Sans doute vaut-il mieux être un récidiviste braqueur de casino comme à Uriage, que d'être un retraité de 73 ans, détenu en prison à Béziers depuis un mois pour avoir voulu protéger une vie de travail et peut-être... sa vie. L'argument évoqué de "mettre fin au trouble exceptionnel et persistant de l'ordre public" paraît bien caduc et c'est au contraire son maintien en détention, incompréhensible pour l'opinion comme pour sa famille déjà suffisamment traumatisée, qui va devenir un véritable trouble de l'ordre public. »

    Chantal Macaire, la présidente de Riposte Laïque, a écrit au Président de la République et à la Garde des Sceaux, en comparant deux faits divers survenus dans l'Hérault cet été : l'agression dans un bureau de tabac à Montpellier, où la buraliste est décédée, et la fusillade chez René Galinier où les voleuses présumées ont été grièvement blessées. « Il est scandaleux, à mes yeux et pour bon nombre de Français qui s'expriment sur internet, de constater que, pour un avocat général, le délinquant n'est pas celui qui trouble l'ordre. » À Nissan, le comité de soutien à René Galinier attend le résultat de la prochaine demande de libération pour agir.

    Midi Libre - 08/09/10

     

  • Limoges: un prof de sport passé à tabac par quatre jeunes

    Lundi, un professeur de sport du collège Firmin-Roz à Limoges (Haute-Vienne) a été roué de coups à proximité de son établissement par quatre adolescents d'une quinzaine d'années.

    L'homme, âgé de 60 ans, avait tenté de s'interposer alors que les adolescents étaient en train de molester une élève de 4ème.

     

    A la fin des cours, les jeunes sont revenus et s'en sont pris au professeur, le rouant de coups de pied et de poing.

    L'enquête ouverte par la Sûreté départementale de la police de Limoges pour «violences volontaires en réunion sur personne chargée d'une mission de service public» a permis retrouver rapidement les agresseurs.

    Placés en garde à vue mercredi matin au commissariat de Limoges, ils pourraient être présentés jeudi à un juge des enfants.

    L'état de l'enseignant n'a pas nécessité d'interruption temporaire de travail (ITT). En revanche, des examens complémentaires ont été demandés pour déterminer la gravité des blessures de la jeune fille.

    Dans un témoignage recueilli par le quotidien Le Populaire du Centre, le professeur a dit qu'il «pratiquait la boxe et le full-contact» et qu'il avait préféré «ne pas répliquer» et «encaisser sans réagir». 

    Le Parisien - 08/09/10 

  • Le meurtrier "présumé" travaillait pour les Restos du Coeur

    Alain Penin a été mis en examen pour enlèvement et séquestration en récidive légale, viol avec arme en récidive légale et meurtre précédé d'un viol avec récidive légale. Un mandat de dépôt a été requis par le Parquet. Le tueur présumé a été écroué, alors que la tension est vive autour du tribunal, avec la présence d'une quinzaine de membres de la famille de la victime. (actualisé à 16h30)

     

     Né à Béthune en janvier 1971, Alain Penin avait agressé une joggeuse en 2004. Les faits s'étaient déroulés à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine. L'homme avait violé une joggeuse dont le signalement correspond en tout point à celui de Natacha, la jeune Marcquoise de 29 ans dont le corps a été retrouvé dans la nuit de lundi à mardi près de Phalempin.

    Pour ces faits de viol sous la menace d'une arme, Alain Penin avait été condamné en 2006 à dix ans de réclusion criminelle et inscrit au fichier des délinquants sexuels. Incarcéré à Loos, il avait été libéré en septembre 2009 après avoir passé cinq ans (?)derrière les barreaux. Une libération conditionnelle assortie d'un suivi socio-judiciaire dont l'homme a pu bénéficier grâce à sa conduite exemplaire en prison.

    Depuis sa libération, Alain Penin avait été hébergé dans deux foyers de réinsertion situés à Tourcoing. Suivi au quotidien par une association tourquennoise, l'homme semblait être en bonne voie : « Il a toujours respecté les obligations liées à sa liberté conditionnelle. Sa réinsertion professionnelle se déroulait sans problème. Ici, c'est la stupéfaction. On ne comprend pas », explique la directrice de l'association.

    Chauffeur de poids lourd aux Restos du Coeur

    Même son de cloche au foyer où Alain Penin avait emménagé il y a un mois : « Il se comportait très bien, était toujours souriant. Il n'a jamais eu un mot de travers. Je suis écoeuré », confie le responsable de la résidence sociale où Alain Penin a été interpellé lundi en début d'après-midi.

    Mais c'est surtout à la plateforme départementale des Restos du Coeur, à Wattrelos, que la nouvelle en a choqué plus d'un. C'est là-bas qu'Alain Penin travaillait depuis un an en tant que chauffeur de poids lourd et tout laissait penser qu'il avait tourné la page : « C'est quelqu'un qui avait son caractère, qui pouvait parfois être un peu agressif mais on n'a jamais eu de problème avec lui. Quand vous sortez de prison, l'obéissance, ça n'est pas toujours facile. Quand ça n'allait pas, une discussion suffisait pour que tout rentre dans l'ordre », explique Jean-Yves Vasseur, directeur de la plateforme départementale des Restos du Coeur.

    « Il était pleinement réinséré. Il pouvait aller travailler dans n'importe quelle entreprise », poursuit un de ses collègues. Une autre n'arrive pas à concevoir que l'homme avec lequel elle a travaillé pendant un an puisse avoir « commis un tel acte ».

    Mais lundi matin, après avoir entendu parler de la disparition inquiétante d'une joggeuse, tous se sont interrogés lorsqu'Alain Penin s'est rendu à son travail pour ensuite indiquer que s'étant blessé lors de la Braderie, il devait rentrer chez lui. En fin de matinée, l'homme présentait un arrêt de travail pour une blessure au genou. Deux heures plus tard, il était interpellé à son domicile par la police. L'enquête s'attachera à déterminer si cette blessure a un lien avec la mort de la jeune Marcquoise.

    La Voix du Nord - 08/09/10

  • L'Etat pourrait verser 210 millions d'euros à Bernard Tapie...

    Bernard Tapie.jpg

    Le Canard Enchaîné affirme mercredi que l'homme d'affaires va recevoir 210 millions d'euros du Trésor public dans le cadre du règlement de l'affaire Adidas. L'intéressé conteste la méthode de calcul.

    Une fois n'est pas coutume, Bernard Tapie risque bien de faire parler de lui dans les prochains jours. Selon Le Canard Enchaîné de cette semaine, l'homme d'affaires s'apprête à recevoir quelque 210 millions d'euros du Trésor public dans le cadre du règlement de l'affaire Adidas.

    Un tribunal arbitral avait condamné en 2008 le Consortium de réalisation (CDR), la structure publique chargée de liquider le passif du Crédit Lyonnais, à verser une indemnité de 285 millions d'euros aux liquidateurs du Groupe Bernard Tapie, dans le cadre de l'affaire de la vente du groupe sportif Adidas. Une fois les intérêts pris en compte, la fiscalité et les créances du CDR, l'ancien homme d'affaires aurait dû toucher entre 20 et 50 millions d'euros, indiquait en juillet 2008 le ministère de l'Economie.

    Selon Le Canard Enchaîné, qui ne cite pas ses sources, c'est en fait 210 millions d'euros que l'Etat va reverser à l'homme d'affaires : 45 millions d'euros pour les époux Tapie au titre du préjudice moral et 165 millions d'euros de dommages et intérêts pour sa société personnelle.

     

    Tapie évoque le chiffre de 55M€

     

    Interrogé par l'AFP, l'entourage de la ministre de l'Economie Christine Lagarde n'a pas souhaité commenter ces chiffres. De son côté, Bernard Tapie n'a pas contesté ce montant mais a souligné que ce calcul «mélangeait les résultats de l'arbitrage et (ses) actifs personnels». Sur les sommes citées, «environ 95 millions d'euros ne sont pas liés à l'arbitrage», mais correspondent, selon lui, au produit de la vente d'actifs lui appartenant et saisis par la justice au cours des procédures. Dans le détail, 75 millions d'euros correspondent à des actions vendues, 20 millions d'euros à d'autres actifs : «Mon bateau, des tableaux, deux-trois maisons, un appartement, une maison à Marrakech». «Il reste au tribunal à trancher sur des créances en suspens qui représenteront de 10 à 15 millions d'euros et sur le solde, il y aura de l'impôt.» Au final, Bernard Tapie assure que dans le cadre de la procédure d'arbitrage, il lui restera effectivement «entre 50 et 55 millions d'euros».

    A l'Assemblée nationale, des documents de la commission des Finances de l'Assemblée permettent d'obtenir une estimation similaire à celle du Canard Enchaîné. «On peut penser que Bercy savait déjà (en juillet 2008) que (20 à 50 millions d'euros) ce n'est pas ce que Bernard Tapie toucherait», estime le député Jean-Pierre Brard (app. PCF). «On peut raisonnablement penser que la différence entre les deux chiffres résulte de la bienveillance des services fiscaux de l'Etat. C'est une bonne manière du gouvernement à l'égard de Bernard Tapie ou un cadeau», ajoute Jean-Pierre Brard avant de s'interroger : «en échange de quoi ?»

    Le Figaro - 08/09/10

  • Affaire de la "capote géante": pour que l'(in)justice ne fasse pas taire les nationaux!

    Capote géante.JPG

    Abondamment commentée dans la presse de ces derniers jours, la condamnation d’Alexandre Simonnot – secrétaire départemental FN, conseiller municipal de Taverny (Val d’Oise) – à 10.000 € d’amende réjouit les bien pensants du microcosme politique. Avec pareille sanction financière, c’est une arme de dissuasion massive qui a été utilisée par la justice, dont le message peut ainsi s’interpréter : « Ne vous en prenez pas aux symboles du vivre-ensemble ni à ceux des pseudo-grandes causes nationales imposées par les lobbies, sinon… ».

    Qu’un élu fasse recouvrir un obélisque de sa ville par un préservatif géant – pour la modique somme de 9.000 € pris dans les poches de ses administrés – paraît normal pour les faiseurs d’opinion.
    Qu’un autre élu crève d’un coup de clef cette œuvre obscène, potentiellement choquante pour les enfants de la commune concernée, et le cirque médiatico-judiciaire se met en branle !

    Alexandre Simonnot n’ayant violenté personne, le seul moyen de faire un exemple consistait à infliger une amende suffisante pour « casser les reins » d’un simple citoyen comme lui : les juges n’ont pas hésité à user de cette facilité…

     

    Pendant ce temps, des racailles incendient des bâtiments publics, dégradent des biens communaux ou brûlent le drapeau français en toute impunité. Lorsque ces individus sont interpellés – ce qui est rare –, ils sont le plus souvent condamnés à des peines symboliques (travaux d’intérêt général, versement d’1 euro et autres admonestations solennelles) ; leur jeunesse constitue sans doute une excuse…
    Jeune, Alexandre l’est également, et sera bientôt père : en le contraignant à s’endetter, la justice prend-elle la mesure des répercussions matérielles qui toucheront toute une famille ?

    Afin que les adversaires du Front National comprennent que rien ne saurait nous contraindre au silence, nous devons démontrer notre soutien à « Alex », unique victime de cette affaire :

    - Si chaque fédération accepte de lui envoyer 50 €, son action politique n’en sera que renforcée.

    - Le reste pourra être compensé par les dons individuels des militants : à raison de 10, 20 € ou davantage en fonction de la situation de chacun, nous pouvons espérer permettre à notre ami de poursuivre la lutte politique à nos côtés.

    - Il est bien évidemment pas question de lui payer son amende, ce que la Loi interdit fermement.

    - Chèques à adresser à : Alexandre Simonnot – 1, rue Jean XXIII – 95150 Taverny.

    D'avance, un grand merci aux patriotes.

    NPI - 08/09/10

  • La Mairie PS de Nantes doit indemniser des Roms expulsés

    Camp de Roms à Nantes.jpg

    Un camp de Roms près de Nantes en août - (Cliquez sur la photo)

    Le tribunal de grande instance a condamné la municipalité pour une opération menée au printemps.

    C'est une affaire qui risque fort de gêner le Parti socialiste dans la campagne qu'il mène contre la politique de Nicolas Sarkozy sur les Roms. La Mairie PS de Nantes a été condamnée lundi à indemniser une trentaine de gens du voyage roumains qu'elle avait expulsés d'un terrain municipal au printemps dernier. L'histoire remonte à avril dernier. À l'époque, les services de Jean-Marc Ayrault, maire PS de Nantes et président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, demande au tribunal de grande instance l'autorisation d'expulser une trentaine de Roms, qui s'étaient installés de manière illégale sur une parcelle de terrain en bordure de l'agglomération.

    Une fois l'ordonnance rendue et la notification faite par l'huissier mandaté par la Mairie, les forces de l'ordre s'étaient rendues sur place pour évacuer le terrain. Mais l'avocate des Roms, Me Sylvie Bourjon, s'est saisie de ce qu'elle considère comme un vice de forme pour contester cette expulsion. Elle a sollicité l'octroi d'une indemnité de 1000 euros au profit de chacun des 29 membres de la communauté.

     

    Nullité des actes en question

     

    Or, le juge de l'exécution, Daniel Castagne, vice-président du tribunal de grande instance de Nantes, connu pour avoir rendu des décisions favorables à la communauté Roms, a condamné la commune de Nantes à payer une indemnité de 300 euros par Roms concernés. Selon lui, en notifiant aux Roms leur expulsion, l'huissier, mandaté par la Mairie, n'a indiqué, en guise de date limite, que la formule «immédiatement et sans délai». «Or, l'article 194 de la loi de juillet 1992 précise qu'une date explicite doit être mentionnée, sous peine de nullité», explique Daniel Castagne.

    Cet article précise en effet que «l'acte d'huissier contient, à peine de nullité (…) l'indication de la date à partir de laquelle les locaux devront être libérés». Me Sylvie Bourjon ajoute que «sans indication spécifique de date, ces gens ont été privés de l'option du départ volontaire». En 2008, l'avocate avait déjà obtenu gain de cause sur une affaire similaire concernant un terrain appartenant au ministère de l'Écologie. Un jugement également rendu à l'époque par Daniel Castagne. L'affaire a été portée en appel et devrait être jugée en octobre.

    Selon Romain Reveau, avocat de la ville de Nantes, «c'est absurde, car tout d'abord, c'est au tribunal dans l'ordonnance d'expulsion de préciser le délai bien entendu et l'ordonnance mentionnait un départ immédiat des Roms, formule qu'a reprise l'huissier!». La Mairie a décidé de faire appel de cette décision.

     

    Scolarisation des enfants

     

    Mais il y a plus: selon cet avocat, l'article de loi sur lequel s'est fondé le juge nantais concerne des locaux d'habitation et non des terrains.

    «D'ailleurs, la cour d'appel de Rennes a déjà infirmé une décision de Daniel Castagne reposant sur le même argumentaire», poursuit Damien Reveaux. Ce juge a en effet rendu plusieurs décisions concernant notamment des sursis à exécution de décision d'expulsion.

    Reste qu'il est un fait avéré, dans cette affaire: la Ville de Nantes, représentée par son maire Jean-Marc Ayrault, a bien demandé l'expulsion de ces Roms au printemps dernier. L'avocat de la Ville confie au Figaro que «la politique d'intégration de la Ville de Nantes, notamment de scolarisation des enfants Roms, a attiré beaucoup de membres de la communauté des Roms». Or, poursuit-il, «cette politique a une limite matérielle». De son côté, Philippe Barbo, du collectif Romeurope, indique que, si la Ville de Nantes montrait il y a peu une volonté d'intégrer les Roms, elle a depuis peu durci sa politique.

    À la Mairie, on voulait insister mardi sur la démarche d'intégration des Roms menée par la Ville. «Depuis 2005, au total plus de 1500 Roms ont été accueillis par la Ville, qui a mis en place trois aires d'accueil», explique-t-on. Elle a notamment signé avec 50 familles, soit 200 personnes, un contrat d'insertion comprenant la scolarisation des enfants, l'alphabétisation et la recherche d'emplois. Reste que, depuis 2008, la Ville admet avoir reçu beaucoup de Roms… «Le maire a toujours été clair, ajoute-t-on dans l'entourage de Jean-Marc Ayrault. Toute occupation illégale sera suivie d'une demande d'ordonnance d'expulsion.»

    Le Figaro - 08/09/10

     

     

     

  • AUDIO "Je savais qu'il recommencerait"

    http://www.dailymotion.com/video/xeqczw_quot-je-savais-qu-il-recommencerai_news

    Témoignage Europe1 - Caroline, la première victime de l'assassin présumé de la joggeuse retrouvée morte lundi témoigne. Pour elle, il était clair qu'il allait recommencer.

    08/09/10