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GAELLE MANN - Page 1664

  • Le hangar de Calais: les migrants, les altermondialistes, Besson et Morano...

    Calais altermondialistes et migrants évacués.jpg
    Altermonialistes évacués du hangar
    Calais migrants hanger.jpg
    Les migrants après une distribution de repas
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    Le hangar occupé samedi soir par une petite centaine de migrants à Calais n'abritait plus, dimanche en début d'après-midi, qu'une dizaine de migrants avec des militants altermondialistes. Vers 14h, une cinquantaine de migrants partis à une distribution de repas ont essayé de regagner le hangar mais en ont été empêchés par une vingtaine de CRS qui avaient barré la rue, sans échange de coups.

    Samedi soir, accompagnés de militants altermondialistes, les migrants avaient forcé l'entrée du bâtiment, devant lequel une quinzaine de policiers étaient postés. Des policiers et environ 75 CRS avaient ensuite été appelés en renfort pour boucler le quartier autour du bâtiment loué par l'association «SOS soutien ô sans-papiers».

    «Le sous-préfet nous a demandé d'évacuer les lieux, nous promettant en échange qu'aucune interpellation de migrants ne serait faite. Mais les migrants, eux, ne veulent pas bouger», expliquait samedi soir Rodolphe Nettier, de «SOS soutien ô sans-papiers».

    Besson : il n'y aura pas de «nouvelle jungle»

    Dimanche matin, les membres du s'étaient relayés pour condamner cette occupation : «L'Etat ne laissera pas se reconstituer un lieu qui servirait de base arrière aux filières mafieuses de l'immigration clandestine à proximité du port de Calais», a déclaré le ministre de l'Immigration dans un communiqué, réaffirmant sa «détermination» à «ne pas laisser se créer de nouvelle jungle ou de nouveau Sangatte sur le territoire français».

    Même détermination pour la secrétaire d'Etat à la famille, Nadine Morano : «Nous ne laisserons pas des personnes aller dans les bois ou s'installer dans des hangars. Nous voulons une immigration qui soit digne. Il y a des procédures pour tous ceux qui sont candidats au statut de réfugié politique. Ces procédures doivent être respectées», a-t-elle insisté, sur Radio J.

    Un hangar prévu pour le stockage de matériels

    Le hangar de 600 mètres carrés a été loué il y a quelques semaines par l'association «SOS soutien ô sans-papiers», qui en a ensuite confié la gestion aux militants altermondialistes d'une autre association, No Border. Ceux-ci n'ont jamais caché leur intention de s'en servir comme hébergement pour les migrants. Cependant, ce hangar, destiné à la base au stockage de matériels, n'est pas aux normes pour recevoir du public, a fait valoir la préfecture du Pas-de-Calais.

    Depuis la fermeture du centre d'hébergement et d'accueil d'urgence humanitaire administré par la Croix-Rouge de Sangatte en 2002, les migrants sont dispersés sur le littoral en attendant de pouvoir passer en Angleterre.

    Le parisien - 07.02.10

  • Les mécanismes et les acteurs de l'escroquerie

    Le système mis en place autour de la société de placements immobiliers Apollonia reposait sur son fondateur, ses commerciaux, les notaires et les banques. Voici les principaux mécanismes et acteurs de l’escroquerie mise au jour par l’enquête judiciaire.

    1 Le principe général
    Des commerciaux prennent contact avec des clients en leur proposant d’investir dans des projets immobiliers neufs aux quatre coins de la .

    Les clients doivent acheter des appartements en empruntant de l’argent aux banques. En contrepartie, on leur garantit que les revenus locatifs de ces appartements couvriront le remboursement de leur prêt.  Mais entre des prêts faramineux et des appartements surévalués au moment de leur construction, les investisseurs se sont tous retrouvés avec des mensualités dépassant très largement les revenus procurés par les loyers. Résultat, un endettement moyen de 3 millions d’euros par client.

    2 Le rôle de la famille Badache
    La maison mère de l’escroquerie est une société familiale. Apollonia, société de conseil et , était en effet dirigée par Jean Badache et sa femme Viviane. Leur fils Benjamin était officiellement le PDG de la structure. Lors de sa mise en examen il a expliqué qu’Appolonia avait un rôle d’« agence immobilière ». La famille Badache aime l’immobilier. Témoins, leur chalet dans la très chic station helvète de Crans-Montana, évalué à 7 millions d’euros, et un riad à Marrakech au Maroc, sans oublier la demeure familiale de Cassis (Bouches-du-Rhône) où ils vivent toujours : 1 300 m 2 habitables dans une villa de luxe équipée d’une pièce secrète, façon bunker. Aujourd’hui, la justice s’intéresse à ces biens familiaux et a bloqué les comptes bancaires des Badache en Suisse.

    3 Des commerciaux efficaces
    Lorsque Apollonia démarre en 1999, les commerciaux ne proposent « que » l’achat de trois ou quatre biens immobiliers, mais très vite leurs offres sont plus importantes. « Ils étaient parfaitement rompus à l’exercice, se souvient une victime. Un premier contact était pris par téléphone. Ils parlaient de capitalisation pour la retraite et de défiscalisation.  Ils insistaient si vous refusiez. » Lors du premier rendez-vous, le commercial exhibe sa voiture, souvent une berline de luxe. Une fois le client ferré grâce au « manuel de l’embrouille » (lire encadré), la machine peut se mettre en place.
    Les commerciaux répètent souvent la même phrase : « Ne vous en faites pas, on s’occupe de tout. » A tel point que certains iront jusqu’à falsifier des relevés de comptes bancaires transmis par leurs clients à destination des banques prêteuses.  Le jour de la signature avec le notaire, il y avait souvent un ultime numéro de prévu : « Les gens d’Apollonia faisaient vraiment très sérieux, jusqu’à tancer le notaire qui arrivait en retard. Avec le recul, on se dit que tout ça devait être programmé », relate aujourd’hui une victime.

    4 Des notaires peu scrupuleux
    Les commerciaux d’Apollonia n’auraient sans doute pas pu escroquer des milliers de personnes. Des notaires pas trop regardants sur la légalité de leurs actions étaient nécessaires. Trois sont actuellement mis en examen et incarcérés.
    Selon le dossier d’instruction : certains actes ont été rédigés et signés dans un hôtel parisien, à l’aéroport de Toulouse, dans une cafétéria de Tarbes ou, pire, dans une chambre d’hôpital de Briançon. Sauf que tout acte notarié doit être signé dans l’étude d’un notaire « aux heures d’ouverture ».
    En garde à vue, un notaire a été confronté à un acte signé de sa main soi-disant rédigé dans son étude d’Aix-en-Provence. Or, le client, médecin, se trouvait ce jour-là à Paris.  Après avoir nié, le notaire a dû avouer. Selon un proche de l’enquête, les notaires auraient empoché des millions d’euros en participant au système Apollonia. Les avocats des trois notaires mis en examen dénoncent de leur côté leur placement en détention et ont déjà demandé leur remise en liberté.

    Le Parisien - 07.02.10

     







     
     

     

  • Apollonia: une gigantesque arnaque immobilière portant sur plus d'un milliard d'euros

    On leur a vendu la « bonne affaire », le « placement de père de famille ». Ils sont aujourd’hui ruinés et endettés sur plusieurs générations. « Ils », ce sont les victimes de l’affaire Apollonia, une gigantesque arnaque au placement évaluée à 1 milliard d’euros que sont en train de décortiquer deux d’instruction marseillais.

    Le principe était séduisant : proposer aux clients de capitaliser pour leur retraite en leur faisant acheter des biens immobiliers neufs qui s’autofinançaient par l’argent des loyers. Le tout en défiscalisant.

    La complicité des banques

    « Ce n’est pas une escroquerie traditionnelle, c’est un système organisé, une machine créée dans le but d’endetter les gens avec, au bout, des personnes peu scrupuleuses qui se font de l’argent sur le dos des investisseurs », prévient d’emblée M e Jacques Gobert, l’avocat qui défend l’association des victimes. « Des familles sont plongées dans des tragédies absolues », souffle-t-il.
    L’an dernier, les enquêteurs de la police judiciaire de Marseille se sont attaqués au premier cercle de l’arnaque, des investigations qui ont abouti aux mises en examen de Jean Badache, l’homme fort d’Apollonia, ses proches ainsi que des commerciaux de la société. Mais la procédure s’est accélérée ces dernières semaines. Trois notaires des Bouches-du-Rhône ont à leur tour été mis en examen et incarcéré aux Baumettes. L’enquête ne va pas s’arrêter là.
    Avec les policiers de Marseille, les enquêteurs de la Division nationale des investigations financières (DNIF) cosaisis du dossier s’intéressent au comportement de plusieurs banques, notamment le , le Crédit agricole et le Crédit immobilier de France. « Leur responsabilité est engagée », assène Me Jacques Gobert. Des banques qui auraient prêté des millions d’euros dans des conditions souvent obscures et au mépris parfois des règles les plus élémentaires de la profession. Deux juges marseillais décideront bientôt si l’affaire Apollonia peut se transformer en scandale bancaire.

    Le Parisien - 07.02.10

  • Le bon réflexe

    Un gendarme a tiré à 3 ou 4 reprises avec son arme de service sur une voiture en fuite qui venait de renverser son collègue vendredi en milieu de soirée à Marcoussis (Essonne), a-t-on appris samedi en fin de journée auprès de la gendarmerie et d'une source judiciaire. Le gendarme renversé, souffrant de contusions et de plaies ouvertes, a été hospitalisé à Orsay (Essonne). Les médecins lui ont prescrit 20 jours d'incapacité totale de travail (ITT), indique la même source. Il est ressorti de l'hôpital en fin de nuit.

    Vendredi, vers 22h15, appelés pour un problème de voisinage, les deux militaires de la gendarmerie de Nozay (Essonne) ont croisé deux voitures roulant à vive allure dans les rues de Marcoussis. L'une d'elles s'est arrêtée et les gendarmes ont fait de même pour procéder à un contrôle routier. Alors que l'un d'eux se portait à hauteur du conducteur, le second militaire s'est posté de l'autre côté du véhicule. C'est à ce moment que le conducteur a démarré, a donné un coup de volant et a renversé le gendarme se trouvant du côté passager. Son collègue a alors sorti son arme et tiré à 3 ou 4 reprises. Le tireur ne sait pas si ses tirs ont touché ou pas le véhicule en fuite.

    Le plan épervier a été déclenché. L'enquête a été confiée à la Section de recherche (SR) de la gendarmerie de Paris.

    Le Figaro - 06.02.10

     

  • Allemagne: CD néo-nazis devant l'école

    Le parti néo-nazi NPD a été autorisé par l'office allemand de protection de la jeunesse à distribuer gratuitement devant les écoles un CD qu'il a produit, indique le Süddeutsche Zeitung ce matin.

    Le disque en question contient des interviews de membres du NPD et de chanteurs sympathisants, entrecoupés de 12 chansons de groupes aux noms évocateurs, tels que Division Germania ou Noie Werte (nouvelles valeurs). Mais selon la directrice de l'"Office allemand de vérification des oeuvres dangereuses pour la jeunesse", Elke Monsen-Engberding, interrogée par le quotidien, ses membres n'ont pas trouvé d'arguments pour l'interdire.

    Le contenu du CD relève de la simple expression d'opinions politiques, a-t-elle assuré. Dans des vidéos postées sur son site internet, le NPD salue cette décision.
    Claus Cremer, responsable du parti d'extrême-droite pour la Rhénanie du Nord, où est basé l'office fédéral, se réjouit que son parti puisse "continuer à essayer de porter ses idées auprès des jeunes, des écoliers et des premiers votants".

    Dans la même vidéo, figure également Frank Schwerdt, responsable des affaires juridiques au sein du parti, et qui a déjà purgé deux peines de prison ferme pour incitation à la haine raciale ou encore pour la production et diffusion de matériel de propagande nazie. Selon ce dernier, la demande d'interdiction avait été formulée par l'Etat fédéral de Basse-Saxe (nord-est).

    Le Figaro - 06.02.10

  • Pôle emploi rose

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  • Hommage aux Héros du 6 février 1934

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    Communiqué d’Alexandre Simonnot, chargé de mission du FN en Seine-Saint-Denis, conseiller municipal de Taverny (95)

    Rendons un vibrant hommage à nos camarades de combat de la Droite Nationale, morts en Héros de la Patrie il y a aujourd’hui 76 années, le 6 février 1934.

    Manifestant contre la corruption et l’impuissance du pouvoir en place, et tentant légitimement d’occuper l’Assemblée Nationale, les Héros et Martyrs du 6 février 1934 tombent sur le pavé parisien et offrent ainsi leur sang à notre France éternelle.

    76 ans après, l’Assemblée dite « Nationale » est toujours occupée par les mêmes ennemis de la Nation et elle demeure tout aussi illégitime. Non seulement le Palais Bourbon est devenu une simple chambre d’enregistrement des décisions euro-mondialistes de Bruxelles, mais il continue d’empêcher, par un mode de scrutin antidémocratique, le Front National et ses millions d’électeurs d’y être représentés, et ce depuis plus de 15 ans !

    Quel scandale en effet que cette parodie de démocratie qui se prétend « Assemblée Nationale » alors qu’elle prive notre Mouvement de toute représentation, tandis que le parti stalinien, le parti des goulags, y siège encore et toujours !

    N’oublions jamais les Héros du 6 février 1934. Honneur à ces morts, honneur à leur martyre, honneur à leur sacrifice.

    Qu’ils reposent en Paix.

    NPI - 06.02.10

  • Manifestation de Juifs en Crète

    Une centaine de Juifs ont manifesté aujourd'hui à La Canée, en Crète (sud de la Grèce), où la synagogue a été incendiée à deux reprises en janvier entraînant des dégâts importants, a-t-on appris auprès de la police locale.

    "C'est la première fois qu'il y a une telle mobilisation de la communauté juive grecque, cette réponse est à la hauteur de la gravité, sans précédent, de l'attaque", a déclaré à l'AFP, David Saltiel, président du Conseil central des communautés juives grecques (KIS).

    Organisée par la communauté juive d'Athènes, cette manifestation a rassemblé des représentants des communautés juives de toute la Grèce pour protester contre "cet acte antisémite", condamné par le gouvernement grec.

    Quatre personnes, un Américain, deux Britanniques et un Grec ont été arrêtés et inculpés fin janvier pour avoir mis le feu, les 5 et 16 janvier, à la synagogue de La Canée, qui date du Moyen-Age et qui est l'un des derniers monuments juifs de Crète. L'un des deux Britanniques avait été placé en détention provisoire.

    Le feu a causé des dégâts importants au bâtiment abritant la bibliothèque de la synagogue, détruisant 2.500 livres rares, selon les responsables de la fondation.
    La communauté juive en Grèce, qui a été exterminée à 80% sous les Nazis, ne ne compte plus que quelques milliers de personnes. Des actes de vandalisme visent sporadiquement des cimetières et des bâtiments juifs en Grèce.

    Le Figaro - 06.02.10

  • Réchauffement climatique? Fortes tempêtes de neige dans l'est des Etats-Unis

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    Alors que la capitale américaine s'est réveillée samedi sous 30 cm de neige, les habitants de l'Est du pays s'attendent à un «Armageddon de neige». Deux personnes sont mortes en Virginie.

    Les internautes l'ont baptisée «snowpocalypse» ou «snowmageddon». Depuis hier soir, l'Est des Etats-Unis subit de fortes chutes de neige, qui pourraient battre le record du siècle. Prévenus avant les premiers flocons, les habitants de la région ont pris d'assaut les supermarchés par crainte d'une paralysie des transports.

    Washington s'est réveillée samedi sous au moins 30 centimètres de neige et la tempête, prévue jusqu'à samedi soir, ne semblait pas faiblir. Elle a atteint New York ainsi que la Caroline du Nord et plusieurs gouverneurs -Virginie, Maryland et Delaware- ont décrété l'état d'urgence. Au sud de la capitale, sur une route de Virginie, un père et son fils qui s'étaient arrêtés pour porter secours à un motard en difficulté du fait des intempéries, ont été heurtés par un tracteur et sont décédés.

     

    Washington attend 75 cm de neige

     

    La seconde grande tempête de neige de la saison pourrait charrier jusqu'à 75 centimètres de neige dans la capitale américaine, selon les services de météorologie nationale qui ont dû revoir à la hausse leurs prévisions.

    Cette tempête pourrait ainsi battre le record de 1922, quand 71 centimètres de neige avait recouvert la capitale, selon Klaus Wolter, un climatologue de l'université du Colorado (ouest des Etats-Unis). «Même si nous n'avons que 50 cm, ce sera la troisième plus grosse chute de neige» à Washington, dit-il. Selon le météorologue Brian van de Graaf, il ne manque encore «que» 47,5 petits centimètres de neige pour faire de cet hiver le plus enneigé depuis 100 ans dans la capitale.

    Le National Weather Service (NWS) prévoit «de fortes perturbations dans les transports tout au long du week-end», soulignant que les déplacements seront «très risqués, voire presque impossibles vendredi». L'alerte concerne plusieurs Etats, du New Jersey à la Caroline du Nord, et jusqu'à l'Indiana vers l'ouest.

     

     

    Dès l'annonce de l'arrivée de la tempête, les habitants de la capitale se sont rués dans les supermarchés pour faire des provisions, d'autant plus que l'après-midi de dimanche est consacrée au Super Bowl, la finale du championnat de football américain, plus grand événement sportif de l'année aux Etats-Unis. Dans les rues de Washington, les saleuses et les chasse-neige ont commencé à tourner début d'après-midi.

    Vendredi, de nombreuses écoles et édifices publics avaient tout simplement fermé leurs portes ou s'apprêtaient à des fermetures anticipées. Le soir, la très grande majorité des quelque 200 vols annoncés au départ de l'aéroport international de Dulles étaient déjà annulés.

    Même s'il avait critiqué l'an dernier la propension de la capitale à se mettre en catalepsie dès le moindre flocon, le président «respecte des prévisions annonçant 60 centimètre de neige», a assuré le porte-parole de la Maison Blanche Robert Gibbs. Barack Obama, qui a la chance de ne «même pas devoir déblayer son allée», passera son dimanche à regarder le Superbowl avec «30 à 40» personnes à la Maison Blanche, a précisé avec humour le porte-parole.

    Le Figaro - 06.02.10

       
  • GB - Aide aux clandestins: prison ferme pour une élue française et son fils

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    La anglaise a condamné vendredi, Christiane Chocat, une conseillère municipale française à trois ans de prison vendredi par un tribunal de . Son fils Benjamin a écopé de cinq ans de prison. Tous les deux étaient poursuivis pour avoir aidé des immigrés clandestins à entrer au Royaume-Uni.

    Les deux accusés avaient plaidé coupable d'avoir fait illégalement entrer 16 Vietnamiens sur le territoire britannique le 1er octobre. Ils n'ont donc pas fait l'objet d'un procès, comme le prévoit le système judiciaire britannique, et leur peine a été directement prononcée ce vendredi par le tribunal royal de Portsmouth (sud de l'Angleterre).

    Le fils considéré comme l'initiateur

    Christiane Chocat, 51 ans, conseillère municipale à Lumigny-Nesles-Ormeaux en Seine-et-Marne et son fils, Benjamin, 20 ans, avaient été interpellés dans le port de Portsmouth à leur descente du ferry en provenance de Cherbourg (ouest de la ). Ils avaient été maintenus en détention depuis lors. Le mari de l'élue nous avait confié être «descendu en enfer» après l'annonce de l'arrestation de son épouse.

    Selon l'accusation, le fils était l'initiateur de l'opération: Mme Chocat «s'est impliquée en suivant un souhait mal avisé de prêter assistance à son fils», avait relevé le procureur Martyn Booth lors d'une audience préliminaire. «Elle a clairement joué un rôle en louant le véhicule».

    Les clandestins, treize hommes et trois femmes, étaient dissimulés derrière des boîtes de nouilles aux crevettes dans une fourgonnette de location. Ils avaient été renvoyés en France.

    Le Parisien - 06.02.10

  • Mairie de Paris: la parole aux étrangers

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    Roger Yoba

    La mairie de Paris va créer mardi une assemblée des Parisiens non européens. Un moyen de les associer à la vie locale, avec en arrière-plan le droit de vote des étrangers.

    Encore une fois, Roger Yoba va prendre son bâton de pèlerin. Ce Camerounais de 56 ans, arrivé en en 1978, est un inlassable promoteur de la citoyenneté pour tous, même pour les étrangers. Depuis 2001, il est un des pivots du conseil de la citoyenneté des résidents étrangers dans le XXe arrondissement, pionnier de ce débat à .

    Il est candidat aujourd’hui pour figurer dans la future assemblée des citoyens parisiens extracommunautaires (ACPE), créée mardi par la mairie de Paris. « Depuis 2001, l’impression est mitigée, analyse cet intellectuel, titulaire d’un DEA de . C’est très difficile d’intéresser, de motiver les étrangers non européens sur la citoyenneté, le droit de vote… Souvent on me demande : A quoi ça va servir ton truc ? Quel pouvoir tu as ? Qui représentes-tu ?

    » Roger, lui, est persuadé de l’utilité de ces structures : « A chaque élection, je me dis : Pourquoi un Bulgare, ressortissant de l’Union européenne, peut voter aux élections locales, et pas moi, Camerounais dont l’histoire est intimement liée à celle de la France ? C’est une discrimination très dure à accepter. » Son opiniâtreté a payé. Dans le XXe, le conseil a abouti à la création d’une fête de la République « laïque et métissée », à la prise en compte de la question des foyers de travailleurs migrants, la création d’un guide d’accueil traduit en 6 langues… « Certains de nos voeux ont même été votés par le Conseil de Paris ! » lance-t-il fièrement. La participation à ce conseil a même poussé des membres à se faire naturaliser, dont une Camerounaise devenue depuis conseillère d’arrondissement.
    Mais huit ans après, il faut renouveler le conseil du XXe , et la tâche est lourde. « On veut des femmes, des représentants de toutes les nationalités, ce n’est pas facile, témoigne Danielle Simonnet, conseillère de Paris (Parti de gauche) qui a monté le conseil du XXe en 2001. On a du mal à convaincre les Chinois, les Turcs, les Tamouls, mais aussi les femmes. » Roger Yoba l’accompagne depuis plusieurs semaines dans les cours d’alphabétisation, dans les centres sociaux, pour trouver du sang neuf. « Il y a des barrières culturelles et psychologiques très fortes à briser, notamment sur la pratique démocratique, explique Roger. Pourtant, c’est une reconnaissance pour nous, ça fait partie de notre dignité. »

    Le Parisien - 06.02.10

  • Les braqueurs de la Poste portaient la burqa!

    Les deux braqueurs qui se sont attaqués ce matin à la Poste d'Athis-Mons (Essonne) ne sont pas vraiment passés inaperçus. Au lieu des habituelles cagoules et autres écharpes, ils ont choisi d'opérer vêtus de la burqa et chaussés de baskets.

    Un butin d'environ 4500 euros

    Il était environ 10 h 30 lorsque les deux hommes ont fait irruption dans le bureau, situé dans le quartier sensible du Noyer-Renard et où patientaient une vingtaine de clients.

    En menaçant le personnel avec une arme de poing, ils sont parvenus à se faire remettre une somme d'environ 4500 euros. Dix minutes plus tard, ils ressortaient et prenaient la fuite à pied en direction du parking voisin. L' a été confiée à l'antenne d'Evry de la police judiciaire.
    Le Parisien - 06.02.10

  • Haïti: la France va faciliter les procédures d'adoption

    La France propose aux autorités haïtiennes la création d'une commission bilatérale chargée d'examiner les dossiers d'adoption d'enfants pour lesquels aucun jugement n'avait été rendu avant le séisme du 12 janvier, ou n'a pu être produit suite à la catastrophe, a annoncé vendredi le Quai d'Orsay.

    L'ambassadeur chargé de l'adoption internationale, Jean-Paul Monchau, est "actuellement à Port-au-Prince pour proposer aux autorités haïtiennes un mécanisme conjoint, une commission bilatérale, qui nous permette de traiter ensemble, là-bas, les dossiers d'adoption", a expliqué le porte-parole Bernard Valero lors d'un point de presse.

    Cette commission est d'une part destinée à "faciliter le traitement des procédures pour lesquelles des éléments probants permettent d'établir l'existence d'un jugement mais qui ne peut être produit suite au séisme" du 12 janvier, selon un communiqué de Valero. Et d'autre part à "émettre des recommandations pour les procédures dans lesquelles aucun jugement haïtien n'avait été rendu avant le séisme".

    Les autorités françaises sont en contact avec "un peu plus de 900 familles" françaises et environ 950 enfants haïtiens sont "concernés par des procédures d'adoption", a précisé le porte-parole.

    La première priorité est de "hâter la venue en France des enfants haïtiens pour lesquels un jugement d'adoption avait été prononcé par la justice haïtienne avant le tremblement de terre", soit "près de 400 enfants", a expliqué Valero. A ce jour, 277 ont déjà rejoint leur famille française d'adoption et "d'autres arrivées sont prévues dans les prochains jours", a-t-il souligné, ajoutant que chacun de ces départs avait été "approuvé" par les autorités haïtiennes.

    Le Figaro- 05.02.10

  • La policière voilée en conseil de discipline: une affaire qui dure...

    Fonction publique et signes religieux sont incompatibles : une charte de la laïcité datant d'avril 2007 , signée par le premier ministre de l'époque , le stipule clairement. Persévérante, l'agent de surveillance de (ASP), Nora B., qui portait le voile islamique durant son service ne voulait rien entendre.

    Ce jeudi elle devrait comparaître en conseil de discipline.

     Affectée dans le XIe arrondissement et chargée de la régulation de la circulation dans la capitale, elle portait dans le service de police où elle était affectée le voile simple (non intégral) et a toujours refusé de l'enlever. Après avoir été à plusieurs reprises admonestée par sa hiérarchie, Nora B. avait été suspendue pour un manquement à son obligation de neutralité en novembre 2009 par le préfet de police de , avec plein traitement, selon des sources proches du dossier.

    Suspendue, elle avait continué de venir travailler voilée...

    Mais refusant de signer cette suspension,  elle a cependant continué de venir travailler avec le voile dans son service, «provoquant des tensions», et allant jusqu'à le porter récemment, «revêtue de son uniforme sur la voie publique», selon des sources proches de l'enquête. Elle été l'objet d'une procédure administrative en 2004 pour ces raisons et avait accepté de retirer son voile après avoir été reçue par le préfet de police de l'époque, Jean-Paul Proust.

    Les ASP, qui assurent en uniforme la surveillance de la circulation, ont été créés en novembre 2001. Ils sont rémunérés par la Ville de Paris et mis à disposition du préfet de police de Paris. Outre la surveillance de la circulation, ils s'occupent depuis quelques années de lutter contre les «incivilités quotidiennes» grâce à de nouvelles qualifications. Sollicité, le ministère de l'Intérieur a précisé qu'il s'agit d'une «décision» du préfet de police (de Paris) qui «a agi dans le cadre de ses pouvoirs de police municipale», dans la capitale, en sanctionnant une «fonctionnaire municipale».

    Le parisien - 03.02.10

     

     

  • Paris: mort mystérieuse d'une femme de 43 ans à la gare du Nord

    Laurence Delgrange n’est jamais montée dans l’Eurostar. Elle n’a jamais rejoint ses deux amies à Londres, où les trois femmes avaient prévu de faire du shopping, comme chaque année. Le 11 décembre dernier, vers 6h30 du matin, le corps sans vie de cette mère de deux enfants, âgée de 43 ans, a été retrouvé sur la mezzanine de la gare du Nord, au pied d’une guérite d’informations : sa aurait violemment heurté un marchepied en métal.

    A-t-elle été bousculée? Est-elle tombée seule? Dans quelles circonstances? Personne n’est encore parvenu à établir avec certitude comment cette jeune femme sans le moindre problème de est brutalement décédée sous les yeux de dizaines de voyageurs. Mais, curieusement, aucun témoin direct de la scène ne s’est fait connaître au commissariat de la gare du Nord, chargé de l’enquête.
    Bruno, son époux, est bien décidé à tout mettre en œuvre pour comprendre et a mis l’affaire entre les mains d’un
    , Me Laurent Absil, qui a déposé plainte contre X auprès du procureur de Paris pour « homicide involontaire ». « Je ne veux envoyer personne en prison, souligne Bruno Delgrange. Il m’importe simplement de savoir ce qui est arrivé à ma femme. Il pourrait s’agir d’une bousculade, des gens pressés de prendre l’Eurostar, qui auraient poussé mon épouse, poursuit-il. L’identité de ces personnes aurait d’ailleurs été vérifiée en gare de Londres après la découverte du corps de Laurence, mais aucune information officielle ne m’a été transmise. »

    Rien non plus du côté des caméras de vidéosurveillance de la gare du Nord : « On nous a répondu qu’elles filment le plafond! s’agace Me Absil, mais nous n’avons pas pu visionner les bandes. » Enfin, l’autopsie du corps de la victime a bien été pratiquée à l’Institut médico-légal (IML), mais le résultat des recherches toxicologiques risque de prendre encore quelques semaines…
    Bruno Delgrange, lui, vit avec le douloureux souvenir d’un simple coup de téléphone, lui annonçant que sa femme venait d’être admise en réanimation à l’hôpital Saint-Louis (Xe). C’est lui, ensuite, qui a prévenu les deux amies de son épouse, qui l’attendaient à Londres. « Nous avons le droit de savoir la vérité, soupire-t-il. On ne meurt pas, comme ça, au beau milieu de la gare du Nord, sans que personne ne sache ce qu’il s’est passé… »

    Le parisien - 05.02.10

    Plus de détails et des photos sur le Post: http://www.lepost.fr/article/2010/02/05/1925209_mort-d-une-mere-de-famille-gare-du-nord-elle-a-chute-de-plein-pied.html

     

     

  • Pôle emploi propose aux jeunes femmes des emplois "coquins"

    Appelons la Kenza. Laissons-lui son âge véritable, 29 ans… Dont deux ans de recherche d’emploi peu fructueuse dans la catégorie webmaster. Lundi, la quête de cette jeune Parisienne a enfin été couronnée de succès. Alors qu’elle pianote sur le site de Pôle , organisme né de la fusion de l’ANPE et des Assedic, la jeune femme découvre une nouvelle annonce dans sa rubrique.

     
     
    L’intitulé : « Animations de chats pour adultes (messagerie rose), travail de jour ou de nuit. » Les débutants sont acceptés, la rémunération varie de 1 400 € à 2 000 € avec des primes et le contrat est un CDI. « J’ai été très surprise mais j’ai quand même postulé, raconte Kenza. Je cherche du travail. Animer un chat, même rose, ne demande pas une grande implication. » Elle envoie donc son CV… et reçoit un coup de téléphone quelques minutes plus tard. « Mon interlocuteur m’a immédiatement expliqué que je n’utiliserai pas de clavier, mais un téléphone ou une webcam pour des rapports coquins. » Kenza reste bouche bée.
    Son interlocuteur est bavard. « Il m’a indiqué qu’il faudrait que je porte une nuisette et que je fasse le genre de truc qu’on fait pour son petit copain. » Puis, si le client est d’accord, Kenza est invitée à « s’effeuiller ». « Comme une strip-teaseuse en fait, poursuit la jeune fille. Mais il m’a assuré que les vidéos n’étaient pas sauvegardées.
    Et que ma famille et mes amis ne me reconnaîtraient jamais. » Perruques et maquillage sont en effet plus que conseillés. « Et l’homme a ajouté que le numéro de téléphone qui permettrait aux hommes d’avoir accès à moi ne se trouvait que dans des magazines très hard, du genre de ceux que les kiosquiers gardent bien cachés. »
    Pour persuader un peu plus son interlocutrice, l’homme décline enfin des conditions séduisantes : un CDI immédiat et six heures de travail quotidien de jour comme de nuit dans un salon individuel.
    Dix minutes plus tard, Kenza a un rendez-vous dans le XIe arrondissement de où cette entreprise, qui se présente comme une spécialiste du télémarketing, est installée. « Bien sûr, je n’irai pas, réagit Kenza.
    C’est ultra-choquant. La frontière avec la prostitution n’est vraiment pas loin et cette offre d’emploi se trouve sur le site de l’Etat ! La dérive est énorme. » Réponse de Pôle emploi : cette annonce est légale. Les
    , eux, n’hésitent pas à convoquer la morale. « Même si c’est un travail autorisé, personne ne voudrait que sa fille le pratique, rétorque le Syndicat national unitaire (SNU) Pôle emploi.
    Il est vraiment regrettable que le site en vienne à publier de telles offres. Mais les conseillers n’ont plus le temps d’aller chercher eux-mêmes des offres d’emploi intéressantes dans les entreprises… Du coup, le site est à l’affût de tout. »

    Le parisien - 05.02.10

  • Un prêtre de 83 ans agressé et séquestré dans son presbytère

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    Le presbytère de Cailloux-sur-Fontaines (Rhône)
    (Cliquez sur la photo)
    Un prêtre auxiliaire de 83 ans a été agressé et séquestré mercredi à Cailloux-sur-Fontaines (Rhône) par deux individus qui lui ont dérobé une carte bleue et un chéquier avant de prendre la fuite, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la gendarmerie.

    Les faits se sont déroulés vers 22H30 quand le père Jacques Gautier et son aide-ménager ont ouvert la porte du presbytère à leurs agresseurs, dont un "était encagoulé" et pointait dans leur direction "une arme de poing".

    Les malfaiteurs ont ensuite attaché leurs victimes avec des cravates avant de fouiller durant une heure et demie la maison et de soutirer violemment le code de la carte bancaire au prêtre, légèrement blessé après un coup reçu à une tempe, a précisé le quotidien Le Progrès.

    Après la fuite des agresseurs, les victimes ont réussi à se libérer au bout d'une heure avant de donner l'alerte. Le père Gautier a été hospitalisé.

    Un appel à témoin a été lancé par la brigade de recherches de Bron (Rhône), en charge de l'enquête, selon la même source.
    Le Figaro - 05.02.10

  • Russie: les cadettes de la Poutine académie

    Ecole russe militaire.jpg
    (Cliquez sur la photo)

    À Moscou, l'école des cadettes numéro 9 forme à la dure les futures recrues du FSB (ex-KGB), les services secrets russes.

    Elles ne sont autorisées à se maquiller qu'une fois par an, à l'occasion du bal russe d'hiver. Les aînées, 16 ans à peine, affichent des robes de soirée, froufrous kitsch à l'élégance surannée. Les plus petites, âgées de 10 ans, ressemblent à des demoiselles d'honneur. À leur bras, de jeunes garçons, des enfants parfois, portent un uniforme sombre et de grandes casquettes sur de petites têtes. Unique visite masculine autorisée jusqu'à l'année suivante. Ces jeunes filles sont issues de l'école des cadettes numéro 9 de Moscou, académie nouvelle, première en son genre, où, comme l'a souhaité Vladimir Poutine, premier ministre de la Fédération de Russie, on forme l'élite militaire féminine de la patrie. Des amazones promises aux départements du FSB (ex-KGB), les services secrets russes, où elles traiteront de contre-espionnage, d'antiterrorisme et de crime organisé. Et si la couture, la cuisine, le chant, le dessin et la danse leur sont enseignés - il s'agit aussi de préparer ces demoiselles à devenir de fidèles épouses et de bonnes mères -, les matières principales relèvent plutôt du maniement de l'AK47 (kalachnikov) et des grenades.

    Les écoles militaires russes, issues du modèle prussien, apparurent en 1732, sous le règne de l'impératrice Anna, nièce de Pierre le Grand, puis disparurent avec l'avènement du communisme. Avec l'ère Poutine, le concept a été réhabilité. D'abord pour les garçons. Puis pour les filles, qui ont désormais leur école : 300 élèves, majoritairement issues de familles de militaires et recrutées d'après des tests d'aptitude, suivent en ce lieu six jours d'enseignement par semaine. Les téléphones portables sont interdits en dehors des quelques minutes de communication autorisées chaque jour pour contacter les familles.

    Les cours débutent dès 7 heures du matin. Enseignement des langues étrangères - à 16 ans, la plupart des cadettes parlent couramment cinq langues -, apprentissage du défilé au pas de l'oie, du secourisme, de l'autodéfense. Et des bonnes manières. Les uniformes sombres aux épaulettes rouges sont impeccables, repassés chaque soir. Ces filles doivent être des modèles, au menu desquelles on inclut chaque jour une dose de caviar, afin de développer leur force physique. L'exigence est totale. Totale aussi pour les professeurs de l'école, triés sur le volet, militaires de réserve, vétérans de l'occupation afghane par l'Armée rouge, souvent décorés de l'ordre du Courage. Ainsi, à chaque fin d'année scolaire sont-ils sommés d'organiser un «spectacle» destiné à mettre en valeur les connaissances acquises par les élèves durant leurs cours. Que le résultat ne soit pas optimal, et le professeur est remercié, tout comme les élèves dont le niveau ne serait pas jugé satisfaisant.

    Le Figaro - 05.02.10