Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1666

  • Les deux retraités ont reçu 87 coups de couteau

    Communiqué de Michel Guiniot

    Les résultats de l’autopsie réalisée hier, font encore monter d’un cran dans l’horreur, l’assassinat de ces pauvres retraités de l’Oise. C’est un véritable martyre que ce couple a vécu puisque M. Prévost a reçu 27 coups de couteau et son épouse 60 !

    Face à cette sauvagerie les réponses du ministre Hortefeux, chargé de la sécurité des Français, apparaissent non seulement dérisoires mais surtout révoltantes au regard de l’insécurité qui touche, aujourd’hui, les Français jusque dans leur habitation :

    Proposer des rondes supplémentaires alors que le gouvernement diminue chaque année le nombre de gendarmes et de policiers, c’est se foutre des Français !

    Proposer d’effectuer un suivi des agresseurs de personnes âgées après leur sortie de prison, alors que les exploits des pédophiles, violeurs, assassins multirécidivistes sortis de prison s’étalent chaque jour dans la presse, c’est se foutre des Français !

    Proposer d’aggraver les sanctions alors qu’un meurtrier ne reste réellement en prison que 8 à 10 ans, c’est se foutre des Français !

    Le Front National propose de généraliser l’installation de la téléalarme chez les personnes âgées, de ne plus réduire les effectifs de la police et de la gendarmerie mais au contraire de les augmenter, de renvoyer dans le pays d’origine les délinquants ayant effectué leur condamnation et le rétablissement de la peine de mort pour les assassins de personnes âgées, d’enfants, ainsi que pour les auteurs de crimes particulièrement odieux et d’actes de tortures.

    Face à la barbarie qui s’installe en France, il est temps de réagir !

    Michel GUINIOT et le Front National présente ces sincères condoléances à la famille des époux Prévost.

    Michel GUINIOT
    Secrétaire Régional
    Président du Groupe FN
    au Conseil Régional de Picardie
    Tête de liste aux élections régionales de 2010

    NPI - 03.02.10

  • Le Louvre attend les pharaons noirs

    Nécropole de Méroé Soudan.gif
    Pyramides et nécropole de Méroé

    A quelques kilomètres des rapides du Nil et de la route reliant Khartoum (Soudan) à la mer Rouge, elles surgissent, tel un mirage, sur des dunes de sable fin balayées par le vent, au coeur d’une plaine désertique. Une trentaine de sublimes pyramides de grès ocre brun, dont certaines ont été rénovées, témoignent de la majesté du royaume de Méroé qui régna sur cette partie de l’actuel Soudan, entre 270 avant et 350 après Jésus-Christ.

    C’est la nécropole des pharaons noirs. L’une des civilisations antiques les plus énigmatiques, avec son mélange d’influences africaines, égyptiennes et gréco-romaines. Beaucoup moins célèbres que les pyramides d’Egypte, les vestiges de Méroé constituent pour les archéologues une mine d’informations et de trésors enfouis. Des restes qui font l’objet de campagnes de fouilles , et dont le Musée du Louvre montrera pour la première fois les plus belles pièces dans l’exposition « Méroé, un empire sur le Nil », du 26 mars au 6 septembre.
    Ces pyramides furent découvertes par le Nantais Frédéric Caillaud dans les années 1800, puis visitées par des archéologues allemands et maintes fois pillées. « Contrairement à l’Egypte, on n’a jamais trouvé une tombe vierge », précise l’égyptologue Claude Rilly, chercheur au CNRS. Mais on a découvert des sculptures, des bronzes, des céramiques, des bijoux et des ossements. Pas de momies, car les Méroïtes n’embaumaient pas les corps. On estime que 40 rois, 5 reines et 45 princes furent inhumés ici. Plus pointue que le modèle égyptien, chacune des pyramides comporte une chapelle, une stèle, une table d’offrandes et une chambre funéraire. Les murs sont gravés de représentations des souverains. Des dieux aux traits moyen-orientaux côtoient des divinités aux cheveux crépus et aux traits africains. Ce genre de témoignages, on le retrouve au nord-est de Khartoum, dans un paysage de désert et de pitons rocheux en pierres volcaniques, où se dressent les temples de Naga et Moussarawat. Des vestiges sacrés d’une richesse inouïe, édifiés en hommage au dieu Amon. On peut y admirer des colonnes merveilleusement ouvragées, des statues d’éléphants de l’Atlas, des déesses aux seins nus et des scènes de victoire où les prisonniers sont représentés avec des traits de soldats romains ou de guerriers nubiens.
    Le Parisien - 02.02.10
  • Patrick Partouche, le patron des casinos Partouche, placé quelques heures en garde à vue

    partouhce-original.jpg
    Patrick Partouche

    Patrick Partouche, patron du groupe de casinos Partouche, a été placé en garde à vue puis relâché mardi après-midi à Nice (Alpes-Maritimes) dans le cadre d'une concernant Michel Soret, considéré comme un des parrains du milieu niçois.

    Selon le site de Nice matin, «c'est dans le cadre du volet de cette affaire de grand bandistisme présumé», que Patrick Partouche a été entendu au commissariat, précisant que «son n'avait pu être joint».


    Selon le parquet de Marseille (Bouches-du-Rhône), qui diligente l'enquête, la garde à vue de Patrick Partouche a été «suspendue» et «sera reprise ultérieurement». En l'état des investigations, M. Partouche a été laissé libre mardi en fin d'après-midi, a précisé une source proche de l'enquête.

     

    L'interpellation de Patrick Partouche s'inscrit dans le cadre du volet financier de l'enquête ouverte sur Michel Soret par le juge Dominique Voglimacci de la Juridiction interrégionale spécialisée de Marseille (Jirs, chargée des affaires liées au crime organisé).

    Michel Soret, un ancien boucher, a été mis en examen et incarcéré pour tenue de jeux clandestins, trafic de cigarettes et extorsion de fonds notamment.

    Le parisien - 03.02.10

  • Propos insultants de Yann Moix contre la Suisse

    Yann Moix.jpg
    Yann Moix

    Les propos violemment anti-Suisse proférés par l'écrivain et cinéaste français, Yann Moix, suscitent une vive polémique. Sur son site, le quotidien helvète, le Matin , a recueilli mardi un grand nombre de témoignages d'internautes suisses, très choqués.

    Qu'est-ce qui a déclenché le courroux helvète ? En fait, il s'agit d'une histoire en deux épisodes. Lundi dernier, Yann Moix publiait un texte, en fait un extrait de son livre à paraître le 24 février prochain, chez Grasset, intitulé «La meute» sur le site : La règle du jeu. Son titre : «J’aime Polanski et je hais la Suisse». Puis il récidivait dans un deuxième écrit, «Je hais la Suisse, deuxième volet...».

    Sous prétexte de défendre Roman Polanski, assigné à résidence en Suisse, ses propos au vitriol comparent entre autre la Suisse à une prostituée et décrivent un pays antisémite, qui ne sait «rien faire» et ne «sert à rien». Et le réalisateur de Podium de conclure : «Je te hais, Suisse. Je te demande de m’arrêter, moi aussi, le jour où je viendrai te voir. Pour cracher sur ton sol immonde».

    Les deux textes ont été depuis retirés du site et remplacés par cette explication : « En réponse aux lecteurs et amis suisses de La Règle du jeu qui nous ont fait part de leur étonnement quant au retrait du texte de Yann Moix publié le 1er février 2010 et intitulé «J’aime Polanski et je hais la Suisse», la Rédaction précise que ce retrait a été effectué à la demande de l’auteur. Nous vous invitons à lire la version longue de ce texte, très controversé, dans son livre La Meute, à paraître chez Grasset le 24 février prochain .

    Le Parisien - 03.02.10

  • Alain Jakubowicz, nouveau président de la LICRA

    licra_inline Jacubowixz.jpg
    « Nous sommes tous des enfants de réfugiés et nombre de nos grands-parents ne sont pas venus en France par hasard, dit Alain Jakubowicz. Ils sont arrivés ici parce que la France représente pour le monde le pays des droits de l’homme. Je souhaite qu’elle le reste. »

    Cet avocat, né à Villeurbanne en 1953, et élu dimanche 31 janvier, pour trois ans, président de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), a invité cette association à élargir ses combats, particulièrement vers l’aide aux réfugiés : « En tant qu’héritière des réfugiés d’hier, la Licra doit être aux côtés de ceux d’aujourd’hui. »

    Alain Jakubowicz veut également s’attaquer à l’image de son association. « Je ne veux plus entendre dire que nous nous intéressons uniquement à l’antisémitisme », dit-il, précisant que la grande majorité des affaires traitées par la commission juridique de la Licra concerne en fait le racisme.

    Il a plaidé dans les grands procès pour crimes contre l’humanité

    « On nous a collé cette image, regrette-t-il. Peut-être parce que les procès contre des faits antisémites sont souvent plus médiatiques… » « Il existe des spécificités de l’antisémitisme qui en font un racisme à part, ajoute-t-il toutefois. Pas plus grave, mais distinct. Et qui demande un traitement distinct. »

    Avocat depuis 1976, Alain Jakubowicz s’est rapidement engagé dans les combats pour les droits de l’homme et contre le racisme. On l’a entendu plaider dans les grands procès pour crimes contre l’humanité : Klaus Barbie (1987), Paul Touvier (1994) ou Maurice Papon (1997). De 1989 à 1995, il s’est engagé aux côtés de Michel Noir à Lyon dont il était devenu l’adjoint chargé du respect des droits. Il sera l’un des artisans de la construction de la grande mosquée de Lyon. « J’ai suivi un homme et pas un parti », dit-il en insistant sur son indépendance.

    Quand on lui demande si la société française a changé face au racisme, il répond que le « curseur a évolué positivement ». Mais il fustige le débat sur l’identité nationale. « Il a malheureusement permis que des propos indignes s’entendent dans les préfectures qui représentent pourtant l’État français », dénonce-t-il. Un État que son propre grand-père avait rejoint, fuyant l’Allemagne nazie, en 1933, et dont il disait : « Heureux comme Dieu en France. »

    la-Croix.com - 02.02.10

    Et s'il s'occupait des crimes contre l'humanité commis par Israël?

  • Rapport Goldstone: Israël ment effrontément

    Un document nie les «crimes de guerre» mentionnés par le rapporteur de l'ONU sur l'offensive de l'an dernier.

    Jusqu'au bout, Israël aura hésité sur la tactique à adopter pour éviter d'être reconnu coupable de «crimes de guerre». Ce n'est que vendredi, au dernier jour du délai fixé par les Nations unies, que l'État hébreu a présenté à Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, sa réponse écrite aux accusations très graves lancées dans un rapport du juge Richard Goldstone sur l'opération «Plomb durci», menée l'an dernier dans la bande de Gaza.

    Jusqu'à présent, les responsables israéliens s'étaient contentés de dénoncer le caractère «partial», «tendancieux» et «faux» de ce rapport, en soulignant même ces derniers jours qu'il risquait d'alimenter l'antisémitisme dans le monde. Pour tenter de contrer ce document, l'armée israélienne affirme dans le texte de 40 pages remis vendredi pouvoir réfuter, preuves à l'appui, les 32 cas de «crimes de guerre» évoqués par le rapport Goldstone.

    La thèse des militaires est simple : l'offensive a été lancée pour mettre fin à des tirs de milliers de roquettes contre des cibles civiles en Israël et il n'y a pas eu de recours excessif à la force. Ce sont les islamistes du Hamas, maîtres de la bande de Gaza, qui ont utilisé les civils comme boucliers humains, ce qui expliquerait le bilan de plus de 1.400 morts établi par les services médicaux palestiniens. Mais ce plaidoyer laisse entière la question principale. Le rapport Goldstone presse Israël de constituer une commission d'enquête indépendante. Or, sur ce point, les dirigeants israéliens sont divisés.

     

    Comparutions limitées

     

    Ehoud Barak, le ministre de la Défense, et le général Gaby Ashkenazi, chef d'état-major, ne veulent pas entendre parler d'une commission devant laquelle soldats et officiers seraient contraints de déposer. En revanche, les juristes soulignent qu'un tel refus pourrait aboutir à des mandats d'arrêts internationaux contre des militaires et des dirigeants politiques, qui seraient ainsi menacés d'arrestation à l'étranger, sans compter le coup porté à l'image d'Israël comme pays couvrant des «crimes de guerre».

    Benyamin Nétanyahou, qui a le dernier mot, a du mal à trancher. Seule certitude : le temps presse, Ban Ki-moon doit transmettre d'ici à vendredi prochain le rapport Goldstone ainsi que les réponses d'Israël et du Hamas au Conseil de sécurité de l'ONU, qui doit décider des suites à donner. Les islamistes, accusés eux aussi de «crimes de guerre», plaident non coupables en arguant que leurs roquettes tirées de Gaza touchaient des cibles civiles en Israël en raison de leur imprécision.

    Désireux de limiter les dégâts, Benyamin Nétanyahou cherche une formule de compromis. Selon les médias, il pourrait annoncer au début de la semaine prochaine la création d'une commission présidée par un ancien juge de la Cour suprême.

    Toutefois, seuls le chef de gouvernement de l'époque, Ehoud Olmert, les ministres du cabinet de sécurité ainsi que les membres de l'état-major seraient appelés à témoigner. Les commandants, les officiers et les soldats, qui appliquaient sur le terrain les ordres reçus, n'auraient pas à comparaître.

    Le Figaro - 02.02.10

  • Kouchner croit à l'afghanisation de l'Afghanistan

    Afgha - Koucher 02 02 10.jpg
    (Cliquez sur la photo)

    Le ministre croit plus efficace de gagner la confiance des populations plutôt que de courir sans fin derrière les talibans...

    LE FIGARO.- Quelles conclusions tirez-vous de la Conférence internationale de Londres sur l'Afghanistan ?

    Bernard KOUCHNER.- On y a ouvert le chemin de la paix. Le président Karzaï a proposé la réconciliation nationale par le biais de la réintégration des talibans. Il a précisé que cette ouverture s'adressait à tous les insurgés qui acceptaient la Constitution afghane et qui refusaient tout lien avec al-Qaida et le djihad mondial. Ce programme politique est ambitieux et nécessaire. Ambitieux parce que la guerre est rude et l'affrontement quotidien ; et que les talibans ont gagné du terrain, grâce à leur stratégie de la terreur. Ils brûlent les écoles des filles ; ils assassinent les citoyens modérés qui collaborent avec le gouvernement ; ils attaquent les convois de ravitaillement de l'Otan. Et, grâce au trafic de drogue, ils peuvent payer leurs jeunes recrues trois fois plus que les policiers afghans ou les soldats de l'ANA (Armée nationale afghane). Ce programme m'apparaît nécessaire parce que nous ne nous battons pas contre la population afghane, mais aux côtés des Afghans, contre l'extrémisme religieux et contre la misère.

    Mais croyez-vous que le développement du pays peut se faire en pleine guerre ?

    Dans les vallées qui nous ont été confiées par l'Otan - dans le cadre d'une mission générale approuvée par les Nations unies-, c'est ce que font nos soldats tous les jours. Irrigation, réfection des cultures en terrasse, fourniture des semences et des engrais, construction d'écoles et de dispensaires : en deux ans, la France a conquis bien des cœurs dans nos zones de Sarobi et de Kapisa. De voyage en voyage, je discerne chez nos officiers et nos soldats des engagements de plus en plus humanistes. Ils aiment construire. Ils savent très bien pour qui ils le font. Ils ont été très fiers que 47 % des paysans de ces vallées de pierres se soient, au péril de leur vie, déplacés pour voter le 20 août dernier. C'est 10 % de plus que la moyenne de participation du pays. Ce sont surtout les femmes qui ont pris ces risques. L'avenir de l'Afghanistan passera par les femmes et par l'éducation.

    Vous croyez vraiment à la possibilité d'une démocratisation du pays ?

    Je crois dur comme fer à l'afghanisation. C'est la stratégie que nous avions proposée dès la Conférence de Paris de juin 2008. Qu'est-ce l'afghanisation ? Quatre phases : protéger les populations, gagner leur confiance, leur proposer des projets de développement viables, leur transmettre la responsabilité de l'ensemble. Il est plus efficace de sécuriser et développer le pays utile que de s'épuiser à courir, dans les déserts et les montagnes, derrière des insurgés insaisissables. Bien sûr, certaines opérations offensives sont parfois nécessaires.

    Quant à la démocratisation, il ne peut évidemment pas s'agir d'un modèle européen. C'est un pays composite, divisé en communautés ethniques, qui n'a jamais connu, ni l'unité, ni la conquête par un maître extérieur. La loyauté de la plupart des citoyens afghans va à leur communauté, avant d'aller à l'État central. Et Kaboul, où les gens se mélangent, n'est pas l'Afghanistan. Chacune de ces communautés se relie à un autre pays, les Tadjiks au Tadjikistan, les Ouzbekes à l'Ouzbékistan, les Turkmènes au Turkménistan, les Hazaras (chiites) à l'Iran. Les seuls à n'avoir pas jusqu'à présent de référent national et ce sont les plus nombreux, ce sont les Pachtounes.

    Vous regrettez qu'il n'y ait pas de Pachtounistan ?

    Je ne dis pas ça du tout. Mais je constate que si tous les Pachtounes ne sont pas talibans, tous les talibans sont pachtounes. Cette insurrection pachtoune ne connaît pas de frontière. Elle se développe aussi au Pakistan, car les mêmes tribus pachtounes, les mêmes familles, se retrouvent des deux côtés de la ligne Durand (du nom de sir Mortimer Durand, gouverneur de l'Inde à la fin du XIXe siècle). C'est la seule région au monde où l'appartenance à une tribu l'emporte sur toute notion de frontière. C'est le lieu de tous les trafics. Je le sais. Ce sont des zones de fraternité et de dangers. Avec mes amis médecins humanitaires, j'ai maintes fois traversé à pied ces zones tribales, pour rejoindre nos hôpitaux pendant l'occupation soviétique. Rappelons-nous que ce sont les États-Unis et le Pakistan qui ont instrumentalisé le radicalisme islamique des Pachtounes pour battre l'Armée rouge et que le mouvement des talibans est né de cette mouvance. Pourtant, aujourd'hui, il faut soutenir le gouvernement pakistanais de Asif Zardari et convaincre l'armée de poursuivre plus largement son combat contre les talibans sanctuarisés dans les Zones tribales.

    Pourquoi avoir refusé d'augmenter le nombre de nos soldats sur le terrain ?

    Il y a seize mois, la France a augmenté ses troupes de 2 000 à 3 750 hommes et les a placées dans la zone de combat que l'Otan souhaitait nous confier, sur la route stratégique à l'est de Kaboul vers le Pakistan. Personne ne nous reproche de ne pas faire notre travail. En dehors d'éventuels ajustements, liés à la sécurité des soldats français ou à la formation de l'ANA, le président de la République, chef des armées, a décidé de ne pas augmenter le nombre de nos forces combattantes. Il a également confirmé notre engagement au long cours et l'augmentation de notre aide civile.

    Comment donc résumer la politique de la France en Afghanistan ?

    D'abord bâtir un exemple dans notre zone de responsabilité. La réconciliation nationale ne pourra se faire que progressivement, à partir d'accords locaux. J'ai suivi toutes les tentatives discrètes de négociation globale, dans le Golfe et ailleurs. Je ne crois pas à la disponibilité immédiate du mollah Omar, secrètement réfugié à Quetta (Pakistan). Lorsque, par la réussite de nos projets de développement, nous aurons conquis les cœurs de l'écrasante majorité des familles afghanes, nous pourrons, en association avec le gouvernement Karzaï, et bien sûr avec nos alliés, dialoguer en position de force avec les insurgés nationalistes. Sans jamais rien brader de nos valeurs. C'est la multiplication des arrangements de paix locaux qui incitera les grands chefs talibans nationalistes à songer à une réintégration politique.

    Il n'y aura pas de réconciliation nationale sans un double effort : l'Otan devra limiter ses opérations militaires à la stricte protection des populations civiles ; le gouvernement Karzaï devra en finir avec la corruption de son administration. Pour cela, il faudra aider les Afghans à mieux former leurs soldats et leurs policiers, et à mieux les payer.

    Notre but est de confier le plus vite possible la sécurisation de l'Afghanistan aux Afghans. Car le destin politique de leur pays ne nous appartient pas. C'est à eux seuls de le déterminer.

    Le Figaro - 02.02.10

    Nos soldats sont morts pour le N.O.M.!

  • Roubaix: les Gaulois s'en vont...

    Roubaix-300x225.jpg
    ROUBAIX (NOVOpress) 02.02.10 – Notre confrère Nord Eclair a publié récemment un article sur l’une des dernières boucheries européennes de Roubaix. Un exemple emblématique de ce qui menace nombre de quartiers de nos villes.

    Ses propriétaires, Martine et Jean-Luc Delcour, ne s’y plaignent pas de la pénibilité du travail. Mais après trente années, ils ont dû partir, las de devoir subir les insultes et les menaces – voire les voies de faits – de leurs voisins musulmans. Parce que « nous n’étions pas une boucherie hallal, déclare, amer, M. Delcour, les jeunes crachaient sur le comptoir, nous recevions des jets de soda ou de yaourt sur notre vitrine. Un passant a protesté dans mon magasin parce que je mangeais une clémentine en période de ramadan ! » « Une partie de notre clientèle, vieillissante et dépendante, ne pouvait plus se déplacer. Certains ont arrêté de commander des saucisses ou du jambon parce que leur auxiliaire de vie refusait de transporter des morceaux de porc ».

    Après une agression où elle aurait pu perdre la vie, Martine Delcour a déposé plainte. Il n’y aura pas de suite : « C’est le procureur qui décide de la procédure. Les plaintes contre X sont difficiles à résoudre », indique-t-on au commissariat. « Pour notre part, nous avons continué à vivre dans la peur » déclarent M. et Mme Delcour à notre confrère du Nord. « La situation est explosive » avertissent les anciens bouchers.

    Ils viennent de brader leur commerce et leur logement pour « ne plus vivre dans la peur ». Leur nouvel environnement est à majorité blanche. Pour combien de temps ? Roubaix compte près de 50% d’immigrés de culture musulmane.

  • Islam et pédophilie: à 12 ans, elle est mariée/vendue à un octogénaire...

    Une fillette saoudienne de 12 ans a renoncé, à la surprise générale, à demander le divorce à son mari octogénaire à laquelle elle a été mariée de force par son père, rapporte aujourd'hui la presse saoudienne.

    La fillette et sa mère ont retiré la demande de divorce auprès du tribunal de Bouraïda, au nord de Ryad, bien qu'elles aient reçu le soutien d'activistes et de défenseurs des droits des enfants.

    La fillette a assuré devant le tribunal que le mariage avait été conclu avec son consentement, indique le quotidien Okaz, tandis que le journal Al-Riyadh précise qu'elle a seulement exigé de continuer à aller à l'école. L'avocat de la fillette, Salah al-Dabibi, cité par Al-Riyadh, s'est dit "écoeuré" par ce retournement, et n'a pas exclu des pressions sur la mère et l'enfant.

    Une princesse qui dirige une association de défense des femmes divorcées, Sarra Bent Messaed Ben Abdel Aziz, a demandé au roi Abdallah d'intervenir pour interdire le mariage des enfants, selon le même quotidien.

    Le quotidien Al-Riyadh avait rapporté à la mi-janvier que la fillette avait été donnée en mariage à un adulte de 68 ans son aîné contre sa volonté et celle de sa mère, et que le mariage avait été consommé. Selon la presse, c'est le père qui est séparé de sa femme, qui a arrangé le mariage contre le versement d'une somme de 85.000 riyals (22.667 dollars).

    Le Figaro - 02.02.10

  • Les lycées et l'immigration...

    Un jeune scolarisé au lycée Chérioux, à Vitry-sur-Seine dans le Val-de-Marne, a été agressé par quatre jeunes ce matin, révèle leparisien.fr. Un coup de feu aurait même été entendu.

    La victime, blessée à l'oreille, a été conduite à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre. Son état n'inspire pas d'inquiétude.

    Les cours dans cet établissement, qui compte 1500 élèves, ont été suspendus par les enseignants. Selon plusieurs d'entre eux, rapporte le site web du quotidien, les agresseurs étaient encagoulés et détenaient des bombes lacrymogènes, peut être même des armes blanches.

    Dans ce même lycée, un élève de BEP avait été blessé à l'arme blanche au printemps dernier. En décembre dernier, c'était un lycéen du Kremlin-Bicêtre qui était tué par un coup de couteau porté par un de ses camarades. Le ministre de l'Education, Luc Chatel, a annoncé hier l'accélération du plan de sécurisation des collèges et lycées.

    Le Figaro - 02.02.10

  • Portrait du maréchal Pétain à la mairie: le préfet va saisir la justice

    Pétain mairie.JPG
    Dans la salle des mariages
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Le préfet de Basse-Normandie Christian Leyrit va saisir "dans les prochains jours" le tribunal administratif de Caen "aux fins d'annulation" de la décision du maire de Gonneville-sur-Mer (Calvados) de maintenir un portrait du maréchal Pétain dans sa mairie, a-t-il annoncé aujourd'hui.

    Le maire, Bernard Hoyé (SE), avait indiqué dans un communiqué diffusé le 28 janvier qu'il ne retirerait ce portrait présent depuis des décennies dans la salle des mariages que si une procédure judiciaire était enclenchée, le temps que cette procédure soit menée à son terme.

    Deux des 14 conseillers municipaux, le premier adjoint Jean-Claude Bosquain et Jean-Paul Poulain, se sont prononcés publiquement pour le retrait du portrait. Dans son courrier au maire de Gonneville, le préfet avait rappelé que le régime de Vichy avait "permis ou facilité la déportation à partir de la France de personnes victimes de persécutions antisémites", et souligné aussi "le principe de neutralité des services publics".
    Le Figaro - 02.02.10

  • L'ignoble "Baiser de la lune" à l'école - Les pourrisseurs homosexuels

    Baiser de la lune.jpg
    Deux poissons gays...
    (Cliquez sur la photo)
    Il était une fois une chatte appelée "vieille Agathe" qui était prisonnière d'un château de conte de fée. Enfermée, elle l'était aussi dans ses préjugés sur l'amour. Elle l'attendait, elle l'attendait son prince charmant ! Un jour, son protégé Félix, poisson-chat de son état, tombe amoureux de Léon, un poisson lune. Et puis, voilà aussi la Lune qui s'amourache du Soleil ! Pour la vieille Agathe, persuadée que l'on ne peut s'aimer que comme les princes et les princesses, ces deux amours sont tout bonnement impossibles. Mais devant le bonheur dégoulinant et un poil enrageant des deux couples, elle finit par changer de regard... Ce pitch est celui du film d'animation Le Baiser de la lune, un court-métrage destiné à aborder d'une manière poétique les relations amoureuses entre des personnes du même sexe.
     
    Le public visé ? Des enfants de CM1 et de CM2. "A travers ce film, je souhaite apporter une meilleure représentation des relations amoureuses entre les personnes du même sexe, raconte sur son site Sébastien Watel, le réalisateur et producteur. Au-delà de la problématique homosexuelle, ce film est une lutte contre les discriminations, par un apprentissage du respect de l'autre et de sa différence." Mais s'il est encore en tournage, ce projet d'une société de production rennaise suscite déjà des réactions épidermiques.
     
    "Presque un film hétérophobe"
     
    Sitôt le projet connu, les réactions pleuvent. Ainsi mi-décembre, l'hebdomadaire résolument de droite Les quatre vérités lance une pétition "Halte aux incitations homosexuelles dans les écoles primaires !"  "Face à la prise en otages de nos enfants par le lobby homosexuel, nous voulons faire connaître notre profond sentiment de révolte et avertissons la classe politique que sa capitulation devant les exigences exorbitantes dudit lobby sera inévitablement sanctionnée dans les urnes", menace le journal qui dans ses pages critique pêle-mêle la presse, l'Islam en France, le socialisme et les droits de l'Homme. Le Collectif pour l'Enfant suit le mouvement "Des enfants CM1-CM2 sont encore trop petits pour entendre parler de ces problèmes d'adultes, juge Béatrice Bourges, porte-parole de cette association qui milite contre l'homoparentalité. Dans ce film, c'est comme si aussi les relations hétérosexuelles étaient ringardes et archaïques. C'est presque un petit film hétérophobe", s'indigne-t-elle auprès de TF1 News. Et d'estimer que ce n'est pas au rôle de l'Education nationale de parler de "ces choses-là".
     
    Face aux critiques, le Conseil régional de Bretagne, l'un des soutiens du projet, rétorque : "Le droit au respect des choix individuels, y compris sexuels, et leur affirmation reste encore tabou dans notre société, explique Gaëlle Abily, sa vice-présidente. La prévention et l'éducation au respect en matière d'identité sexuelle nous semblent donc essentielles." "Cette polémique est effrayante, elle montre que les préjugés restent forts", renchérit la ville de Rennes.
     
    Associée au projet par son réalisateur, l'Inspection académique d'Ille-et-Vilaine précise que la diffusion du Baiser de la lune dans les écoles n'a pas encore été prise. Elle a, par ailleurs, fait retirer son logo du site Internet consacré au film. "L'Institution m'a précisé que le partenariat n'était pas encore formel", a expliqué Sébastien Watel, interrogé par l'AFP. "Il touchera de jeunes enfants. Il faut prendre énormément de précautions", justifie Jean-Charles Huchet, l'inspecteur d'académie dans Ouest-France. Et Félix et Léon dans l'histoire ? Ils vécurent peut-être heureux, sans doute longtemps et adoptèrent probablement beaucoup d'enfants.
    TF1 News - 01.02.10

  • Inscriptions islamophobes à Crépy-en-Valois

    Une plainte a été déposée hier après la découverte la nuit précédente d'inscriptions islamophobes sur des murs d'un lieu de culte musulman à Crépy-en-Valois (Oise), a-t-on appris aujourd'hui auprès des gendarmes.

    L’Association culturelle et cultuelle des musulmans de Crépy-en-Valois, propriétaire des lieux, a déposé plainte contre X, selon la même source, confirmant une information de l'édition locale du Parisien.

    Dans la nuit de samedi à dimanche, des riverains ont découvert les inscriptions à la bombe de peinture "Islam hors d'Europe", "Islam dehors", sur des murs de la salle et de son enceinte, ainsi qu'un drapeau bleu blanc rouge et une croix celtique. Une inscription "la France aux Français" a également été découverte sur un muret dans une rue voisine où les fidèles se garent habituellement.

    La mairie a dénoncé "un acte odieux, imbécile", tranchant avec le "climat serein qui règne à Crépy-en-Valois entre les différentes communautés". L'effacement des inscriptions était en cours ce matin. L'association, qui existe depuis 15 ans et avait racheté les lieux à une grande surface il y a plusieurs années, "n'a jamais posé aucun problème", a-t-on ajouté de même source.

    Le Figaro - 01.02.10

  • Delanoë: 310.000 € pour Auschwitz

    Le maire de Paris Bertrand Delanoë va proposer, lors du prochain Conseil de Paris les 8 et 9 février, de voter une aide de 310.000 euros, soit l'équivalent symbolique du coût de restauration d'un des 22 bâtiments du camp nazi d'Auschwitz-Birkenau, libéré il y a 65 ans.

    "Je proposerai aux élus du Conseil de Paris, dès notre séance de février, que notre collectivité contribue à ce chantier majeur, à hauteur de 310.000 euros, soit l’équivalent symbolique du coût de restauration d'un de ces 22 bâtiments, où des centaines de milliers d’êtres humains furent parqués dans des conditions parfaitement atroces", a annoncé lundi le maire de Paris dans un communiqué.

    S'étalant sur 191 hectares, le camp d’extermination d'Auschwitz-Birkenau "tombe peu à peu en ruine. 1,1 million de personnes dont 1 million de Juifs, furent exterminées dans ce qui demeure comme le plus terrible symbole de la barbarie nazie. A l'heure du 65e anniversaire de l'ouverture de ce camp, le cri d’alarme lancé par le premier ministre polonais, Donald Tusk, doit être entendu", a-t-il ajouté.

    L'ampleur des travaux "est considérable", intégrant à la fois "les 22 baraques en bois de Birkenau, des bâtiments en briques, les miradors ainsi que les vestiges des funestes chambres à gaz et fours crématoires", a également affirmé M. Delanoë.

    Selon le maire, "seule l’Allemagne s'est à ce jour engagée à hauteur de 60 millions d'euros", insistant sur le fait qu'"il est pourtant essentiel de servir la vérité en préservant la trace de l'indicible comme témoignage à destination des jeunes générations".

    Le Figaro - 01.02.10

  • Paris: un lieu à la mémoire d'Ilan Halimi?

    Une élue parisienne, Karen Taïeb (app-PS), souhaite qu'un lieu de la capitale porte le nom d'Ilan Halimi, le jeune homme enlevé et torturé à mort en 2006, dans une affaire crapuleuse à dimension antisémite.

    Elle a annoncé aujourd'hui dans un communiqué qu'elle déposerait un voeu en ce sens en Conseil de Paris. La conseillère municipale souhaite que ce lieu de mémoire soit situé dans le XIIe, car Ilan Halimi y "a vécu jusqu'à son décès". Ce pourrait être "un lieu de vie, le nom d'un jardin ou une plaque", a-t-elle indiqué.

    "Il est important que Paris redise autant de fois qu'il sera nécessaire son intransigeance pour le respect des valeurs républicaines, pour les droits de l'homme et son combat contre toutes les formes de racismes", a-t-elle argumenté dans son voeu soumis ce soir en conseil d'arrondissement, puis présenté au conseil de Paris des 8 et 9 février.

    Ilan Halimi, 23 ans, enlevé dans la nuit du 20 au 21 janvier 2006 afin d'obtenir une rançon, avait été séquestré et torturé pendant trois semaines dans une cité de Bagneux (Hauts-de-Seine). Retrouvé agonisant dans l'Essonne le 13 février, il était mort lors de son transfert à l'hôpital.

    Le procès en appel des auteurs de l'enlèvement et du meurtre se tiendra devant la cour d'assises des mineurs du Val-de-Marne du 25 octobre au 17 décembre.

    Le Figaro - 01.02.10

  • AVERTISSEMENT

    Certaines personnes cherchent depuis quelque temps, et je le déplore, à empoisonner la vie du blog en y semant la zizanie et le trouble parmi les lecteurs.

    Les commentaires malveillants, agressifs, comportant des attaques personnelles caricaturales, déloyales et chargées d'une animosité sournoise que je ne m'explique pas, n'ont pas leur place sur ce blog.

    Ils seront désormais supprimés.

    Je rappelle que mon blog a pour objectif premier depuis sa création la défense de la France de nos racines ainsi que celle de la civilisation occidentale en péril.

    Un grand merci à tous ceux et toutes celles qui soutiennent ce blog et qui l'enrichissent par leurs commentaires et apports pertinents.

     

  • STATS JANVIER 2010

    Visiteurs uniques:  14 702

    Visites:   27 012

    Pages:  107 407

    Pages par jour (Moy/Max):  3464/4650 

    Visites par jour(Moy/Max):  871/1665 

    (Stats données par Hautetfort)

  • VIDEOS Peer Gynt GRIEG

    http://www.youtube.com/watch?v=iVbq-7o84jU

    http://www.youtube.com/watch?v=9TWckPbKWsE

    Peer Gynt est un drame poétique devenu pièce de théâtre de l'auteur norvégien Henrik Ibsen sur une musique du compositeur norvégien Edvard Grieg. Elle est jouée pour la première fois au théâtre national de Christiana le 24 février 1876 et reçoit un accueil triomphal auquel la scénographie vivante et surtout la musique époustouflante concourent. (Wikipédia)