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GAELLE MANN - Page 638

  • Instructions relatives à l’insertion des multirécidivistes pendant les attentats islamistes : Madame Taubira doit démissionner !

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     Communiqués / 14 janvier 2015 / Mots-clés : /

     

    Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen

    Dans un document de deux pages et demi adressé aux 40 procureurs généraux et aux 160 procureurs de France le 9 janvier dernier, la Garde des Sceaux, Christiane Taubira, préconise « d’aligner le régime des récidivistes sur celui des non-récidivistes en matière de réductions supplémentaires de peines (RSP) ». En d’autres termes, il s’agit de placer sur un pied d’égalité le récidiviste et le primo-délinquant.

    Ainsi, au moment où la France était frappée par des actes terroristes islamistes, le jour même où se déroulait, à la Porte de Vincennes, la prise d’otages de l’épicerie Hypercacher par un multirécidiviste condamné 7 fois en moins de 12 ans à 22 années de prison au total, et qui en a effectué moins de 5, Madame Taubira poursuivait nonchalamment la mise en oeuvre de sa politique laxiste.

    Le Front National appelle le gouvernement à revoir intégralement sa politique pénale. La réforme pénale de Christiane Taubira instaurant la suppression des peines plancher, l’institution de la contrainte pénale qui va réduire considérablement les emprisonnements réels, ainsi que la généralisation des libérations anticipées, doit être immédiatement jetée aux oubliettes. Il en va de la sécurité de tous nos compatriotes, aujourd’hui menacés sur leur propre sol par des djihadistes qui ont profité d’un laxisme judiciaire absolument inouï.

    Il apparaît d’autant plus essentiel d’alourdir les peines pour les multirécidivistes que, si Amedy Coulibaly avait été maintenu en détention pour purger l’ensemble de ses peines, il n’aurait pas été en mesure d’accomplir ses desseins terroristes. Directement responsable de la libération d’individus dont la dangerosité pour la société est pourtant avérée, Madame Taubira doit démissionner !

    NPI

  • 1,5 million de personnes à Paris le 11 janvier ? Et un parcours symbolique ?

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    Avant de parler chiffres, un œil sur les tracés de la manifestation, qui selon certains ressemblent furieusement aux contours de l’Etat israélien.

     

    Voilà une analyse proposée par un lecteur du Salon Beige, dédiée à la Préfecture de police, mais aussi aux décodeurs du Monde, qui avaient pris soins de s’emmêler dans des calculs de superfice et de densité… :

    « Quelques chiffres pour commencer : la place de la République, c’est un tout petit 3,4ha, celle de la Nation 6 ha  et entre les deux 3 km. Les boulevards font 30 m de large. Il y avait deux itinéraires soit une surface totale de manifestation d’environ 27 ha. C’est à peine plus que le Champs de Mars (24,5 hectares)  qui est réputé contenir 300 000 personnes…

    Selon la préfecture de police la place de la République a une contenance de 40 000 personnes, un peu plus d’une personne par m2 environ (30 personne dans un salon de 30 m2, 500 dans un jardin de 500 m2 c’est déjà dense). Donc si on veut se représenter 1,5 millions de personne, c’est 40 places de la République pleines à craquer, ou encore 6 fois la zone de manifestation remplie au même moment !

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  • Aymeric Chauprade: "La France est en guerre aves des musulmans"

    On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique. Certes mais une majorité d’Allemands l’était avant 1933 et le national-socialisme allemand. Une majorité de Russes, de Chinois, de Khmers étaient pacifiques avant qu’ils ne réalisent d’abominables crimes au nom du communisme. Quand le totalitarisme s’empare d’une minorité conséquente et active, l’argument de la majorité pacifique ne tient plus.

    Je refuse de faire ce pari là sur le dos de nos enfants et c’est tout le sens de mon engagement au Front national parce que je vois dans le Front national le seul recours possible pour stopper l’islamisation de la France.

    Nous devons, de manière ferme et claire, engager la lutte pour la dé-islamisation de notre pays. Sinon notre fière civilisation française mourra, démocratiquement, comme nous le conte le roman tragique de Houellebecq, lorsqu’une sorte d’Henri IV musulman aux apparences paisibles finira par convaincre une majorité de Français qu’il est la solution de compromis idéale pour sortir du conflit entre l’islam radical et le réveil identitaire.

    FDS

  • Apologie du terrorisme : Dieudonné sera jugé en correctionnelle. Liberté d'expression ?

     

    Le Monde.fr | 14.01.2015 à 09h08 • Mis à jour le 14.01.2015 à 19h49

                 

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    Dieudonné, en janvier 2014. Dieudonné, en janvier 2014. | GONZALO FUENTES/REUTERS

    A l'issue sa garde à vue, Dieudonné M'Bala M'Bala va être convoqué devant le tribunal correctionnel à une audience ultérieure pour répondre des faits d'apologie d'acte de terrorisme, a fait savoir au Monde le parquet de Paris. Il avait été placé en garde à vue à Paris, mercredi, après que le parquet a ouvert, lundi 12 janvier, une enquête pour « apologie du terrorisme » à la suite de propos tenus par l'humoriste sur sa page Facebook, dans lesquels il disait se sentir « Charlie Coulibaly », en référence à Amedy Coulibaly, l'homme qui avait pris des clients d'un supermarché casher en otage et avait tué quatre d'entre eux.

    Dieudonné M'Bala M'Bala ne s'étant pas rendu à une convocation, les enquêteurs se sont déplacés, a expliqué une source judiciaire. Selon un de ses avocats, Sanjay Mirabeau, « ils ont été impatients, ils sont venus le chercher à 7 heures du matin à son domicile ». « Nous sommes dans le pays de la liberté d'expression ? Ce matin, le gouvernement vient d'en fournir la démonstration », a déclaré un autre avocat de Dieudonné M'Bala M'Bala, David de Stefano, qualifiant cette interpellation de « proprement scandaleuse ».

    Dans sa déclaration sur Facebook, qui a été supprimée depuis, Dieudonné M'Bala M'Bala assurait avoir participé à la manifestation historique de dimanche en hommage aux victimes du terrorisme,  la qualifiant ironiquement d'« instant magique égal au Big Bang qui créa l'Univers ».

    Lire aussi le décryptage : De « Charlie » à Dieudonné, jusqu'où va la liberté d'expression ?

     

    SPECTACLE DÉPROGRAMMÉ

    « Ces propos sont une abjection », a déclaré le ministre de l'intérieur, Bernard Cazeneuve, en marge d'une visite à la communauté juive rue des Rosiers à Paris. « Il ne faut pas confondre la liberté d'opinion et l'antisémitisme, le racisme et le négationnisme », a réagi, lundi, le premier ministre, Manuel Valls.

    « Terriblement outré par le commentaire de Dieudonné », Marc Ladreit de Lacharrière, l'actionnaire de plusieurs salles de spectacle Zénith en France, a de son côté donné pour instruction, lundi, à ses équipes de « ne pas programmer le spectacle de Dieudonné » intitulé La Bête humaine.

    Plusieurs mairies, comme à Limoges et à Nice, ont elles aussi annoncé leur volonté de l'interdire. Les autorités municipales de Strasbourg ont demandé l'annulation du spectacle prévu samedi, sollicitant un arrêté du préfet. La ville de Metz, où un spectacle de Dieudonné est prévu vendredi, a expliqué qu'elle étudiait l'opportunité d'une interdiction. « Le Groupe Vega, gestionnaire des arènes de Metz par délégation de service public, envisage d'annuler la représentation du spectacle de Dieudonné M'Bala M'Bala prévue ce vendredi 16 janvier », a indiqué la municipalité. Dominique Gros, maire (PS) de la ville, « encourage » cette annulation.

     « L'esprit qui a présidé au formidable rassemblement républicain du 11 janvier 2015 ne doit pas être entaché par des dérapages viciés et toxiques. »

    Cette enquête pour apologie du terrorisme est la deuxième à frapper le polémiste. En septembre 2014, le parquet de Paris avait été saisi après la diffusion d'une vidéo où Dieudonné M'Bala M'Bala ironisait sur la décapitation du journaliste américain James Foley par l'Etat islamique.

    Parmi d'autres déboires judiciaires, Dieudonné M'Bala M'Bala a été mis en examen en juillet par le juge financier Renaud Van Ruymbeke pour « fraude fiscale », « blanchiment de fraude fiscale » et « abus de biens sociaux ».

    Lire le décryptage : « Charlie », Dieudonné, réseaux sociaux... la foire aux questions de la liberté d'expression


  • Lettre ouverte du Général Martinez à François Hollande

    http://la-dissidence.org/2014/12/30/lettre-ouverte-du-general-martinez-a-francois-hollande/

    (merci à Dirk)

  • Pour Philippe Tesson, “ce sont les musulmans qui amènent la merde en France aujourd’hui !”

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    13/01/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Dans Le Grand Direct de l’Actu sur Europe 1, Philippe Tesson a fait savoir qu’il en avait assez du discours “Pas d’amalgames” quand il est question d’islam en France.

    “D’où vient le problème dans les atteintes à la laicité ? Des musulmans. C’est les musulmans qui amènent la merde en France.On le dit ça ? Moi je le dis ! Les fanatiques, ils sont quoi ? Ils sont musulmans, zut quoi !”


    (Pas de code d'intégration. Mais on peut écouter la vidéo!)

  • Valls: "des mesures exceptionnelles, mais jamais des mesures d'exception"

    Manuel Valls a estimé que, face au terrorisme, il fallait prendre "des mesures exceptionnelles", mais "jamais des mesures d'exception qui dérogeraient au principe du droit et des valeurs".

    Quel distinguo subtil dont ne s'embarrassent pas nos ennemis!

  • VICTOR HUGO (1802-1885)

    Je prendrai par la main les deux petits enfants

     

    Je prendrai par la main les deux petits enfants ;
    J'aime les bois où sont les chevreuils et les faons,
    Où les cerfs tachetés suivent les biches blanches
    Et se dressent dans l'ombre effrayés par les branches ;
    Car les fauves sont pleins d'une telle vapeur
    Que le frais tremblement des feuilles leur fait peur.
    Les arbres ont cela de profond qu'ils vous montrent
    Que l'éden seul est vrai, que les coeurs s'y rencontrent,
    Et que, hors les amours et les nids, tout est vain ;
    Théocrite souvent dans le hallier divin
    Crut entendre marcher doucement la ménade.
    C'est là que je ferai ma lente promenade
    Avec les deux marmots. J'entendrai tour à tour
    Ce que Georges conseille à Jeanne, doux amour,
    Et ce que Jeanne enseigne à George. En patriarche
    Que mènent les enfants, je réglerai ma marche
    Sur le temps que prendront leurs jeux et leurs repas,
    Et sur la petitesse aimable de leurs pas.
    Ils cueilleront des fleurs, ils mangeront des mûres.
    Ô vaste apaisement des forêts ! ô murmures !
    Avril vient calmer tout, venant tout embaumer.
    Je n'ai point d'autre affaire ici-bas que d'aimer.

    L'art d'être grand-père

  • Discours de Manuel Valls: " La France est en guerre contre l'islamisme radical"

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    Mardi, devant une Assemblée nationale qui l'a ovationné, le premier ministre a salué la mémoire des victimes des attentats et annoncé des mesures pour répondre à la nouvelle menace terroriste.Voici les principales mesures annoncées par Matignon pour répondre à la nouvelle menace terroriste.

     
     

    Quatre standing ovations pour le premier ministre, sur tous les bancs. Une séance sans précédent dans les annales de l'Assemblée nationale. Manuel Valls a enflammé mardi l'Hémicycle, en prononçant un discours qualifié d'«historique», même dans les rangs de l'opposition, en hommage aux victimes des attentats de la semaine dernière.

    Avant son intervention, le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, a cité les noms des dix-sept victimes des attaques à Charlie Hebdo, à Montrouge et dans l'hypermarché kasher de la porte de Vincennes, soulignant que «l'unité nationale est le bouclier qui protège notre société de la division». À l'issue d'une minute de silence, les députés, exceptionnellement nombreux, se sont levés pour chanter à l'unisson La Marseillaise, ce qui n'était pas arrivé depuis le… 11 novembre 1918. Soit il y a près d'un siècle!

    Dans un silence fiévreux, Manuel Valls s'est exprimé pendant quarante minutes, pour «rendre à nouveau l'hommage de la nation à toutes les victimes». Pour la première fois, le premier ministre a lancé: «Oui, la France est en guerre contre le terrorisme, le djihadisme et l'islamisme radical (…) mais pas contre une religion.» «La France n'est pas en guerre contre l'islam et les musulmans (…) La France protégera tous ses concitoyens, ceux qui croient et ceux qui ne croient pas», a insisté Valls, sous des trombes d'applaudissements. «L'islam est la deuxième religion de France, elle a toute sa place en France», a poursuivi le premier ministre.

    «Des risques très élevés demeurent, liés à d'éventuels complices»

    Manuel Valls

    Manuel Valls a tout aussi fermement fustigé «les actes antisémites (qui) connaissent en France une progression insupportable». Face à des députés dont certains avaient du mal à réprimer des larmes d'émotion, Valls s'est exclamé: «Comment accepter qu'en France, terre d'émancipation des Juifs, il y a deux siècles, mais qui fut aussi, il y a soixante-dix ans, l'une des terres de leur martyre, comment peut-on accepter que l'on puisse entendre dans nos rues crier“Mort aux juifs”?»

    Le premier ministre a encore réaffirmé que «sans les Juifs de France, la France ne serait plus la France». Et il a appelé la justice à être «implacable à l'égard de ces prédicateurs de la haine», faisant référence, sans le nommer, au polémiste Dieudonné, soulignant que «le blasphème n'est pas dans notre droit, il ne le sera jamais». Là encore sous les applaudissements de tous les députés, y compris du Front national, Manuel Valls a rendu un hommage appuyé au ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, assis à sa droite pour la circonstance, ainsi qu'aux «forces de sécurité qui ont, au péril de leur vie, mené un travail remarquable». Il a poursuivi: «À aucun moment nous ne devons baisser la garde (…) Des risques sérieux demeurent (…) Des risques très élevés liés à d'éventuels complices.»

    Sous le signe de l'unité nationale

    «Après le temps de l'émotion et du recueillement - il n'est pas fini, vient le temps de la lucidité et de l'action», a encore déclaré Manuel Valls, qui a annoncé toute une série de mesures destinées à lutter contre le terrorisme, dont le renforcement des moyens humains et matériels des services en charge du renseignement intérieur et de la justice antiterroriste, et la généralisation de l'isolement en prison des «détenus islamistes radicaux».

    Dans les couloirs, une pluie d'éloges a accueilli ce discours «historique, empreint de l'esprit républicain», s'est félicité le radical Yves Jégo. Le patron des députés UMP, Christian Jacob, qui continue à réclamer la création d'une commission d'enquête sur les attentats de la semaine dernière, a jugé que «les intentions» de Manuel Valls «sont louables. Mais attendons le passage aux actes», a-t-il prévenu.

    En séance, Bruno Le Roux, le président du groupe PS, a invité tous les députés à «travailler ensemble pour que notre société ne fabrique pas en son sein ces “égarés de la République”, qui cèdent à la haine et à la pulsion de mort, à la barbarie et à l'antisémitisme».

    Très applaudi sur tous les bancs, Philippe Vigier, le président du groupe UDI, a mis en garde, à l'instar d'André Chassaigne, au nom du groupe communiste, contre «le repli sur soi, l'amalgame, l'engrenage de l'intolérance». Même tonalité chez Barbara Pompili, coprésidente du groupe des Verts, qui a affirmé: «Être la France dans de telles circonstances, c'est tenir bon sur le principe de laïcité.» Cette rentrée parlementaire, exceptionnelle, a été placée sous le signe de l'unité nationale. Mais pour combien de temps?


    ● Nouveau fichier pénal terroriste

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, il faut constituer un nouveau fichier pour connaître l'ensemble des terroristes condamnés ou ayant des comptes à rendre à la justice. Justice et Intérieur vont «étudier» la question. Ce fichier ressemblerait à celui existant pour tracer les délinquants sexuels. Le suspect terroriste devrait indiquer ses changements d'adresse sous peine de poursuites. Qui vérifiera et comment? «La loi Taubira sur la probation est déjà en mal d'effectifs. Il faudra faire des choix», dit un syndicaliste policier.

    ● Loi sur le Renseignement

    Une loi encadrant toute l'activité du Renseignement, au-delà même du terrorisme, chemine. Elle sera prête «dans une poignée de mois», dit Renaud Vedel, conseiller du premier ministre. Elle était prévue. Elle ne sera pas vraiment accélérée mais suivie de près et très débattue, c'est certain.

    ● Renfort en personnels de la DGSI

    Outre le plan sur cinq ans de recrutement de 432 spécialistes lancé il y a un an, quelques dizaines d'agents vont être embauchés pour renforcer les cellules judiciaires et analyse de la Direction générale de la sécurité intérieure.

    ● Données des passagers aériens

    Pour un meilleur traçage des déplacements, une plate-forme française de centralisation des données des passagers dès la réservation des billets va être créée pour les vols au départ de la France vers les pays extérieurs à la zone Schengen. «Pas besoin d'attendre l'Europe», dit-on à Matignon. Problème: c'est d'Espagne, par exemple, qu'a décollé la compagne d'Amedy Coulibaly…

    ● Un décret sur les djihadistes

    Le décret sur la mesure d'interdiction de sortie du territoire (pour les nationaux) ou d'accès (pour les étrangers) va entrer en vigueur à la fin de la semaine. Il s'agit de faire vivre la loi Valls-Cazeneuve du 13 novembre dernier sur le terrorisme. Question: quid des binationaux qui veulent partir? «Sauf entorse au droit international, on ne peut empêcher un Marocain de partir, par exemple, ni un Français de rentrer», assure un officier de la Police aux frontières.

    ● Mesures carcérales antiradicaux

    Quatre quartiers spéciaux, en plus de celui de Fresnes, déjà en place, tenteront une politique ciblée d'isolement ou de regroupement des islamistes durs, selon les profils. La «professionnalisation» des imams et aumôniers en prison doit s'accentuer.

    ● Renseignement au sein de la PJJ

    Une formation à la détection et à la prise en charge du radicalisme sera dispensée aux services de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et une unité de Renseignement créée pour centraliser les informations nominatives, comme cela existe déjà dans les prisons. Le gouvernement ne semble pas tenté par le retour de la double peine (expulsion des étrangers condamnés les plus dangereux) ni par les centres de rétention de sûreté pour les cas lourds qui échappent à la prison. Le débat est lancé.

    NdB: Toujours la même rengaine, toujours les mêmes incantations, et des mesures  sans efficacité, irréalistes... tandis que les Kalach et les lance-missiles s'accumulent dans les caches des cités.  

     

  • LA NOUVELLE PENSEE UNIQUE

    Les dessous de l’opération « Charlie ».

     
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    Bruno Mégret

    « Jamais, en effet, on n’avait assisté à une telle opération d’endoctrinement des masses. »

    Les événements dramatiques que vient de connaître notre pays revêtent une dimension particulièrement spectaculaire. Celle-ci cependant ne résulte pas des attentats eux-mêmes mais de l’exploitation ahurissante qui en a été faite par le Système. Jamais, en effet, on n’avait assisté à une telle opération d’endoctrinement des masses. Exploitant l’émotion légitime de nos compatriotes, la classe politique et médiatique a manipulé les esprits au point d’abuser beaucoup de Français sincères. Elle a aussi instrumentalisé tous les patriotes qui s’étaient mobilisés contre l’islamisation de notre pays.


    Car les faits eux-mêmes, aussi abjects et condamnables qu’ils soient, n’ont hélas rien d’exceptionnel. Notre pays a malheureusement déjà connu de nombreux attentats, comme ceux perpétrés par Merah et, sauf à considérer les journalistes comme une caste supérieure, rien ne justifiait l’opération de propagande déclenchée par les médias et par les autorités politiques sur le thème « Je suis Charlie » : une action de lavage des cerveaux d’une ampleur encore jamais égalée et qui constitue à ce titre un événement particulièrement inquiétant. Rappelons quelques vérités.

    Comment, d’abord, ne pas être choqué d’entendre les commentateurs et les responsables politiques déclarer que la France aurait été frappée au cœur ? Cela revient à affirmer que Charlie Hebdo serait en quelque sorte le cœur de la France. Et là réside sans doute la première imposture de cette vaste opération « Je suis Charlie ». Car ce journal satirique, anarchiste et d’extrême gauche n’a cessé depuis sa création de vilipender tous les principes qui fondent notre civilisation. Comment, dès lors, prétendre défendre nos valeurs sous la bannière d’un tel drapeau ? En réalité, les idéologues de Mai-68 viennent de remporter leur ultime victoire dans l’entreprise de destruction de notre nation : réduire les valeurs de la France à celles de Charlie Hebdo.

    Autre imposture : la réaction des politiques et des médias s’est faite au nom de la défense de la liberté d’expression. Or, dans ce matraquage médiatique auquel nous avons été soumis pendant plusieurs jours, la liberté d’expression a été totalement bafouée. Le Front national a été écarté de la manifestation à laquelle il souhaitait manifestement participer et aucune voix dissonante n’a été autorisée à s’exprimer. Nous avons dû subir un unanimisme écœurant digne des régimes dictatoriaux, laissant entendre que la liberté d’expression serait menacée par des terroristes alors qu’elle est constamment mise en cause par les tenants du politiquement correct qui imposent dans notre pays une pensée unique d’essence totalitaire.

    Rappelons, par ailleurs, que Charlie Hebdo a été victime de cet odieux assaut parce qu’il avait publié des caricatures d’Allah et de Mahomet. Si donc les adeptes de Charlie Hebdo voulaient réellement défendre cette forme extrême de la liberté d’expression qui consiste à blasphémer, ils auraient dû brandir sur leur pancarte ces fameuses caricatures. Or, il n’en a rien été. On a pourtant invité les Français à se dresser contre les terroristes et à ne pas leur céder un pouce de terrain, mais ceux-ci ont d’ores et déjà gagné : personne ne publiera plus jamais de telles caricatures offensantes.

    Par ailleurs la France est sous le coup d’une attaque en règle menée par un ennemi qui, sous le nom « d’Etat islamique », est clairement identifié. Or jamais, lors des discours ou des manifestations, cet ennemi n’a été désigné, jamais aucune action n’a été annoncée pour le combattre. Quelles initiatives vont être prises pour mettre hors d’état de nuire tous les djihadistes en puissance, pour saisir tous les dépôts d’armes de guerre dans les banlieues, pour bombarder les camps d’entraînement d’Irak et de Syrie ?

    Et, surtout, rien n’est fait pour tirer les leçons de ces événements. Car ces tueries sont la conséquence directe de la politique d’immigration menée depuis des décennies par la classe politique. En faisant venir des millions de musulmans sur notre sol, on les a amenés à considérer qu’ils étaient chez eux chez nous, ce qui conduit certains à penser qu’ils peuvent nous imposer leurs normes et leurs valeurs. En important l’islam, on a importé l’islamisme. Car, si tous les musulmans présents en France ne sont évidemment pas des terroristes, en revanche, tous les terroristes sont des musulmans et tous les actes de terrorisme sont perpétrés au nom d’Allah. Sans la montée en puissance de l’islam dans notre pays, il n’y aurait pas de progression de l’antisémitisme ni de danger terroriste.

    Au lieu de cela, la classe politique et médiatique, refusant d’affronter la réalité, s’en prend de façon abstraite et théorique à tous ceux qu’elle dénonce comme extrémistes, plaçant sur le même plan les islamistes et ceux qui défendent notre identité et qui s’inquiètent de l’islamisation de notre nation. Ce faisant, elle utilise une technique classique de manipulation des masses, celle de la fausse symétrie. Demandons à notre tour que l’on évite l’amalgame car, de tous les extrémistes désignés par la classe politique, seuls les islamistes pratiquent la prise d’otages, l’égorgement, l’assassinat et l’attentat à la bombe.

    Bruno Mégret
    12/01/2015

    Correspondance Polémia – 12/01/2015

  • Mickaël, 16 ans, poignardé devant son lycée à Marseille

     

     

    Selon les informations qui nous sont parvenues, (JPEG) le jeune Mickaël (Misha) Assaturyan, 16 ans et demi, élève du Lycée professionnel Camille Jullian de Marseille, un « jeune homme bien » apprécié et aimé selon le témoignage de proches, scout apostolique arménien à la section de l’église du Prado, aurait été tué à la suite d’une violente agression à coups de barres de fer administrés par des frères de la jeune fille avec laquelle il aurait eu auparavant une altercation pour un motif banal qui concernait une des amies de cette dernière. Des témoins auraient également vu des coups de couteau.

    Les faits se seraient produits après des insultes proférées au cours d’un match de foot, en cours de sport, entre le jeune homme et une de ses camarades du même âge. Cette dernière, déjà connue pour d’autres faits, aurait alors menacé d’alerter des membres de sa famille qui se seraient présentés à la sortie de l’école, lundi 12 janvier. Elle a été interpellée à son domicile par les services de police.

    Le père de Mickaël, musicien amateur, ayant eu un malaise, a été admis à l’hôpital.

    La députée du 6ème secteur de Marseille, Valérie Boyer, se disant « épouvantée » par ce drame, entend suivre l’affaire de près.

    Si la colère gronde dans les milieux de la communauté arménienne, l’heure est à la tristesse devant ce meurtre.

    Pour lui rendre un dernier hommage, et pour sa famille, un appel au rassemblement a été lancé de se réunir Mardi à 19h30 devant l’église apostolique arménienne du Prado : 339 avenue du Prado 13008 Marseille.

    Toutes nos condoléances attristées à la famille de ce jeune garçon ainsi qu’à ses camarades et proches.

    mardi 13 janvier 2015,
    Jean Eckian ©armenews.com
  • Un jeune homme de 16 ans de la communauté arménienne de Marseille poignrdé à mort devant son lycée

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    Le lycée Camille Julian de la Barasse (13011) a été le théâtre aujourd’hui lundi 12 janvier d’un drame aussi incompréhensible que violent . Un jeune français, membre des scouts apostolique, d’origine arménienne, Michael ASSATURYAN, vient de perdre la vie à 16 ans et demi, agressé sauvagement par une horde de jeunes déterminés à le tuer.

    Le CCAF Sud, Conseil de Coordination des Arméniens de France pour la région Sud, condamne ce drame, et appelle la justice à agir au plus vite. Ce meurtre prémédité, fait suite à de nombreux actes anti-arméniens, et laisse planer le doute quant à la nature de cette agression. La violence a encore frappé aveuglément avec sauvagerie.

    Alors qu’un élan de solidarité envahit la France, pour condamner la haine de l’autre, le fanatisme, et l’extrémisme, Marseille, au lendemain du grand rassemblement citoyen, est le triste exemple d’une situation délétère qui n’a que trop duré.

    Cette tragédie met en évidence un climat de tension qui règne de plus en plus dans nos quartiers, et dont nos jeunes en sont les tristes victimes.

    Ce jeune homme exemplaire par son engagement associatif ne demandait qu’à vivre une vie, paisible et servir son quartier et sa ville.

    Le CCAF, présente ses sincères condoléances attristées, aux parents et aux proches de Michael.

    Il invite, toutes les personnes désireuses de rendre hommage à ce jeune militant, à venir se rassembler ce Mardi 13 janvier à 19h30 Cathédrale apostolique arménienne de Marseille 339 avenue du Prado 13008 Marseille

    Azad BALALAS
    Co Président

    Jacques DONABEDIAN
    Co Président

    Simon AZILAZIAN
    Co Président

    mardi 13 janvier 2015,
    Ara ©armenews.com
  • Eric Zemmour sur RTL

  • Totalitarisme mou ou la mort de la Ve république. Tribune de l’universitaire Anatoly Livry

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    Anatoly Livry est philosophe et homme de lettres, auteur de quatorze livres parus à Paris et à l’étranger, lauréat de trois prix internationaux, russes et américain, helléniste publié depuis 2003 par le Bulletin de l’Association « Guillaume Budé » – géré par l’actuel directeur de la faculté d’Études Grecques de Paris IV-Sorbonne, Alain Billault – et germaniste dont les découvertes ont vu le jour chez l’éditeur berlinois de Nietzsche « Walter de Gruyter ». L’œuvre d’Anatoly Livry ainsi que des évènements de sa vie sont entrés dans des programmes universitaires, analysés lors de conférences internationales et publiés par l’Académie des Sciences de Russie. Anatoly Livry, de nationalité suisse, docteur de l’Université de Nice-Sophia Antipolis et victime de l’acharnement administratif du Ministère français de l’enseignement, est par ailleurs auteur de la pétition pour la NON-reconnaissance des diplômes et titres universitaires français en Suisse.


    En 1941, lorsque les deux Reiche nationaux-socialistes germanophone et russophone se sont finalement affrontés, Staline, sur le point de perdre sa capitale, voire la guerre, a fait appel à l’Église humiliée depuis plus de deux décennies. Ce « génie du dosage » et prêtre supérieur du paganisme marxisant a ressenti que les peuples slaves avaient besoin de leur dieu ethnique (puisque c’est l’essence de l’orthodoxie russe) pour vaincre les dieux païens venus de l’Ouest. Staline n’a pas agi de façon plus calculatrice qu’un Clovis en quête d’une divinité plus puissante. Ce tyran oriental avait un but précis : la création d’une superpuissance, ce qui peut excuser les millions de victimes humaines ainsi que le recours utilitariste à l’Église. La fin justifie les moyens. Dans le cadre de cet empire national-socialiste pluriethnique que fut l’URSS, l’humanité simplifiée mais néanmoins naturelle, sans perversité aucune, pouvait poursuivre sa marche toute humaine sans perdre espoir. Or, si la Russie actuelle trouve dans les siècles à venir un équilibre avec le national-socialisme de l’empire chinois, cela n’aura lieu que grâce à l’élan de la volonté de puissance amorcé par Staline au moment de cet événement mythique fondateur que l’on appelle en Russie la « Grande Guerre Patriotique ».

    Le 8 janvier 2015, le glas de Notre-Dame a retenti. Le président de la Ve république française entouré de sa clique de fous furieux se tenait debout, profitant de l’Église de France pour ses calculs mesquins, la tyrannie francophone molle actuelle répétant logiquement la tyrannie dure soviétique – profiter de l’Église haïe. Cependant, comme il s’agit là d’un totalitarisme mou, ce réflexe parasitaire ne bénéficiera ni à la Nation (ou au moins à ce qu’il en reste) ni aux tyrans ramollis eux-mêmes.

    Cette dizaine de scribouillards parisiens sans talent aucun, pervers et saisis d’une frénésie destructrice était corps et âme liée à cette tyrannie molle de l’inversion idéologique et c’est pour cette raison que le gouvernement,  qui haït non seulement l’ancestrale France mais aussi l’humanité elle-même, a ressenti le massacre de ces journaleux subversifs dans sa propre chair. Ces médiocres, détracteurs acharnés de la liberté, pourchassant les caricatures lorsqu’une ministre y figure à côté d’un singe ou s’acharnant à proscrire des recherches lorsque les historiens aboutissent à des découvertes interdites par la loi, font ainsi taire des artistes ou des scientifiques, les condamnant même à la prison, dès lors que ces chercheurs ou créateurs œuvrent pour le maintien d’une humanité qui est insupportable à leur sinistre doctrine. Ayant acheminé en France des millions d’étrangers séparés des Européens par des siècles de civilisation, ce courant de pensée égalitariste ne pouvait pas ne pas fabriquer artificiellement une atmosphère de pré-guerre civile, affrontement auquel ils ont finalement abouti, mais qu’ils refusent de voir tout comme les tyrans mous soviétiques de la fin du régime n’osaient pas constater la faillite du système, s’occupant à afficher des slogans vétustes et discutaillant du plan quinquennal alors que l’État entier s’effondrait.

    Tout tyran qu’il serait, un Périclès contemporain doté d’une vision à long terme est capable de surmonter la guerre civile et le désastre économique dans lesquels l’Europe francophone est en train de sombrer. En revanche, les malades mentaux qui se succèdent à la tête de la république française depuis la mort de Mitterrand – cet ancien cagoulard devenu le pharaon de la destruction, et cela, en toute connaissance de cause – ne sont que l’expression psychique de la non-politique qu’ils appliquent : ils ne sont que le vomi doctrinal qui coule entre les doigts de la France. Ce qui réjouirait le gouvernement de la Ve république serait de pouvoir proclamer sur les cadavres de quelques journaleux orduriers une pseudo-unité nationale, en vue de remonter dans les sondages pendant un mois, sondages qu’ils financent d’ailleurs eux-mêmes. Cette « victoire » virtuelle ne durera que jusqu’à la prochaine explosion et précipitera la Ve république dans le désastre qu’elle n’a fait que mériter. Et quand ces apparatchiks payés à gouverner le pays s’adressent à la Nation, un analyste nuancé peut dessiner le schéma parfait du discours d’un président d’un kolkhoze soviétique, revenant du chef-lieu et transmettant les oukases à ses alcooliques fonctionnaires. Capter le sens de cette logomachie à peine humaine qu’est le charabia des socialistes actuels est une perte de temps. En revanche, c’est à nous d’élever les générations d’après la guerre civile ouest-européenne qui vient de commencer.

    Dr Anatoly Livry

    Crédit photo : Keno Photography via Flickr (cc)

    NOVOpress

  • Tweet de Jean-Marie Le Pen

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  • EN DIRECT. Allemagne: 25 000 à 40 000 manifestants anti-islamisation à Dresde et 100 000 anti-PEGIDA dans le pays

     

    Le ministre de la justice ne voulait pas d’eux dans la rue ? Ils n’en sont descendus que plus nombreux. Aux cris de « Nous sommes le peuple », plus de 25 000 personnes selon la police (de 30 000 à 40 000 manifestants selon les organisateurs) ont défilé lundi 12 janvier dans les rues de Dresde, en Allemagne, à l’appel du mouvement Pegida. En réaction, des contre-manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes du pays, rassemblant près de 100 000 personnes.

    Les partisans de la tolérance et de l’ouverture, soutenus vigoureusement par la chancelière Angela Merkel pour qui l’« islam fait partie de l’Allemagne », étaient environ 30 000 à Leipzig (est), 20 000 à Munich (sud), 17 000 à Hanovre.

    A Dresde, pour la douzième « Montagsdemo » (« manifestation du lundi ») du mouvement des Patriotes contre l’islamisation de l’Allemagne (Pegida), l’équipe organisatrice – le mouvement n’ayant pas de dirigeants aux postes définis – avait appelé ses fidèles à rendre hommage « aux victimes des attentats de Charlie Hebdo » en arborant un brassard noir. [...] Attentats qui, selon leur page Facebook « confirment que l’islamisme n’est pas compatible avec la démocratie ».

    Le Monde