Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 727

  • Le djihadiste de ISIS qui a décapité le journaliste James Foley serait originaire de Londres et s’appelait John

     

    11h15

    20/08/2014

    Des renseignements récupérés par le journal The Guardian indiquent que le djihadiste anglais qui a décapité le journaliste américain James Foley est apparemment le chef d’un groupe de combattants britanniques détenant des otages de nationalité étrangère en Syrie.

    Celui-ci a été clairement identifié par un de ses anciens otages comme étant le chef de file d’un groupuscule de trois preneurs d’otages djihadistes britanniques oeuvrant à Raqqa, un bastion des rebelles islamistes ISIS.

    Le militant islamiste qui se trouvait sur la vidéo derrière Foley, se faisait appeler « John » et serait originaire de Londres. Il a été en début d’année un des principaux négociateurs pour la libération contre rançon, de 11 otages rebelles islamistes détenus par les autorités turques.

    Les agents de la lutte anti-terroriste, affirment que l’homme en question serait un des 500 terroristes de nationalité anglaise endoctrinés par ISIS, qui sont partis du Royaume-Uni pour aller combattre en Syrie et en Irak.

    Le professeur Paul Kerswill, expert en linguistique à l’université de York a déclaré que l’homme s’exprimait dans un « anglais londonien multiculturel » que l’on retrouve souvent dans les quartiers Est de Londres. « L’homme semblait avoir une intonation d’origine étrangère que l’on retrouve souvent dans cette partie de la ville chez les habitants issus de divers horizons  »

    Le professeur Peter Neumann, directeur du Centre international pour l’étude de la radicalisation au King College de Londres, a expliqué que le fait d’avoir choisi sciemment un combattant anglophone (et non pas arabe. Ndlr) est un choix délibéré afin de produire un impact maximal dans les pays occidentaux. « Ceci peut-être interprété comme : nous allons venir vous chercher à la source si vous nous bombardez… »

    Le docteur Ashraf Afzal de l’Institut Royal United Services, a déclaré que cette vidéo était une nouvelle arme de guerre de propagande menée par le groupe ISIS, destinée à semer la terreur aux États-Unis et au Royaume-Uni mais également d’agir comme un outil de recrutement auprès des extrémistes occidentaux.

    Traduction FDS du Guardian

    ————————————————————————

    « ILS FONT PARTIE DES COMBATTANTS LES PLUS CRUELS »

    Pour Shiraz Maher, du Centre international d’études sur la radicalisation (ICSR) au King’s College de Londres, le bourreau de James Foley « est très probablement un Britannique ».

    « Nous avons toujours dit que les combattants étrangers qui partent en Syrie ne vont pas là-bas pour être des spectateurs. Ils y vont pour participer pleinement à la guerre, pour être aux avant-postes du conflit. Nous avons vu des combattants britanniques là-bas perpétrer des attentats suicides, nous les avons vus agir en tant que bourreaux. Malheureusement, ils font partie des combattants les plus cruels et les plus véhéments sur place. »

    Rappelant que les djihadistes avaient présenté cet assassinat comme une réponse aux frappes américaines en Irak, l’expert a jugé que leur démarche « mettait la pression sur Obama, mais embarrassait également le gouvernement britannique ».

    Le Monde

    FDS

     

  • VIDEO - Décapitation au couteau du journaliste américain James Foley

     19/08/14

    L’Etat islamique a diffusé sur YouTube une vidéo montrant l’exécution du journaliste américain James Wright Foley, kidnappé il y a près de deux ans au cours d’un reportage en Syrie.

    NdB: Regarder la vidéo jusqu'à la fin

    FDESOUCHE

  • L'ARS, allocation de rentrée scolaire, a été versée mardi aux familles


    Mode d’emploi de l’ARS, l’allocation de rentrée... par BFMTV

    ... et plus besoin de certificat de scolarité: une attestation sur l'honneur suffit !

  • A la veille de ses 80 ans, Brigitte Bardot se confie à Match

    Brigitte-Bardot-se-confie-a-Match_article_landscape_pm_v8.jpg

    Celle qui imposé la femme moderne avant de devenir une légende fêtera en septembre ses 80 ans. Elle a reçu Paris Match chez elle, à la Madrague.

     

     

    L’odeur des eucalyptus verts et des lauriers roses accompagne mes pas sur l’allée de gravier qui conduit à «La Madrague». A droite, à l’ombre des oliviers, une centaine de petites tombes et des noms de compagnons à quatre pattes. Dans le grand salon blanc m’attend Bri, notre Bardot. Autour d’elle mille souvenirs d’une vie. Amincie et souriante, appuyée sur ses cannes elle conserve encore et toujours cette silhouette unique d’où émerge cette élégance corporelle incomparable. Elle dégage une énergie et une bonne humeur communicatives à travers nos cinquante-quatre ans d’amitié. Deux petites fleurs rouges du jardin soulignent ses cheveux joliment relevés. Près de la cheminée, sur le mur, le symbole des années Match. Telle une mosaïque de photos réduites les 39 couvertures que le journal lui a consacrées. Une vie complète de star de 50 centimètres sur 60 centimètres. Par la baie vitrée le ponton aujourd’hui vide s’avance vers la mer. Les lèvres de la plus célèbre moue planétaire ne connaissent plus le goût du champagne, mais celui du cidre rosé que nous partageons.

    Paris Match. Tu es le symbole d’une certaine émancipation féminine. Si tu faisais le point, une fois pour toutes ?
    Brigitte Bardot. Le point sur quoi ? L’émancipation des femmes, je n’y suis pour rien. J’ai vécu comme j’en avais envie et je continue, mais je suis à la fois libre et dépendante de l’homme que j’aime.

    Quel regard jettes-tu sur le temps qui passe ?
    Je respecte la loi naturelle de la vie, sans la contredire. Le temps m’a beaucoup appris. J’essaie de transmettre, je suis sereine.

    Dans « La vérité » de Clouzot, tu interprètes une femme qui tue par amour. Ce rôle te ressemble-t-il ?
    Un peu, sauf que je n’ai tué personne. Je l’ai joué à ma manière, passant, comme dans ma vie, de l’impertinence à la grande détresse. J’ai failli en mourir.

    Ta détermination a souvent dérangé les bien-pensants. As-tu évolué ?
    Je continue à choquer les simples d’esprit, les médiocres et les sectaires. Je dirai toute ma vie ce que je pense, que ça plaise ou non.

    "J'ai souffert du manque de liberté que m'imposait cette célébrité encombrante"

    Comment réagissais-tu devant la “bardolâtrie” ?
    Ça m’est passé bien au-dessus de la tête. Ce sont les autres qui ont inventé ces trucs-là. Moi, j’ai toujours vécu de la même façon, ne me prenant pas au sérieux et souffrant souvent du manque de liberté que m’imposait cette célébrité encombrante.

    As-tu aimé comme tu le désirais ?
    Oh ! oui. J’ai aimé beaucoup, passionnément, à la folie et pas du tout, mais j’ai aimé et je continue d’aimer. C’est dans ma nature.

    Je pose tes hommes et n’en retiens qu’un. Lequel ?
    Le prochain.

    Toi qui fus le visage de Marianne, te sens-tu profondément française ?
    Je suis française “de souche lointaine” et fière de l’être. Je déplore simplement que mon si beau pays se détériore à tous les points de vue. C’est criminel de le soumettre à la bassesse.

    Si Marine Le Pen arrive aux responsabilités, accepterais-tu un poste de conseillère pour la protection du monde animal ?
    Marine sait ce qu’elle doit faire et n’a pas besoin de mes conseils. Je souhaite qu’elle sauve la France, elle est la Jeanne d’Arc du XXIe siècle !

    Sincèrement, que t'inspire l'approche de tes 80 ans ?
    Ma vie est tellement remplie que je n'ai pas le temps d'y penser. Les autres y pensent pour moi. Je vis au jour le jour. 

    Christian Brincourt est l’auteur, avec Marc Brincourt, de « Brigitte Bardot, la petite fiancée de Match », éd. Glénat.

  • Le journaliste américain James Foley enlevé et décapité par les islamistes et non par Bachar al-Assad

     

    La presse avait attribué, sans le début d’un commencement de preuve, la disparition du journaliste américain James Foley en Syrie, au président syrien Bachar al-Assad. C’était en novembre 2012.

    Hier, les jihadistes de l’État islamique ont revendiqué non seulement son enlèvement, mais aussi son assassinat par décapitation.

     

    6a00d83451619c69e201a73e052de3970d-800wi-2ae2a.png

  • Ebola : des personnels navigants d'Air France refusent d'embarquer

     

    Florian Litzler | Publié le 19.08.2014, 21h22

     

     

    Aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d’Oise). Face à la progression du virus Ebola, les stewards et les hôtesses d’Air France sont de plus en plus nombreux à refuser de s’envoler pour les pays touchés.

    Aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d’Oise). Face à la progression du virus Ebola, les stewards et les hôtesses d’Air France sont de plus en plus nombreux à refuser de s’envoler pour les pays touchés. | LP / Olivier Arandel

                  

     

     

                                     

     

    Tout y est. Les passagers qui s'engouffrent dans l'aéroport parisien de Roissy - Charles-de-Gaulle. Les avions de ligne qui se livrent, sur les pistes, à leur incessant ballet millimétré. Et au pied des bureaux, les personnels navigants commerciaux (PNC) d', toujours impeccables dans leur uniforme. Mais ils ont du mal à afficher leur sourire d'habitude si rassurant. <btn_noimpr>



    « On a peur, résume une hôtesse. On sait qu'on fait un à risque, les pays en guerres, les dictatures, d'accord, mais là... c'est différent. » Là, c'est Ebola. Air France dessert quotidiennement Conakry, capitale de la Guinée, pays très touché par l'épidémie, et Freetown en Sierra Leone, quatre fois par semaine. « On est beaucoup à ne plus vouloir y aller, admet un steward, moi j'ai arrêté. » Plusieurs de ses collègues hochent la tête. Eux aussi ont arrêté. Ils en ont le droit, comme les pilotes.

    Conakry est classé comme destination à risque par le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) d'Air France. Si la destination apparaît sur leur planning, les personnels peuvent refuser la mission. « Plusieurs vols ont déjà été annulés faute d'équipage suffisant », affirme Patrick Henry-Haye steward et responsable du Syndicat national du groupe Air France (SNGAF, minoritaire). Une allégation aussi rapportée par certains personnels navigants.

    Air France dément toute annulation de vol

    Contactée, la compagnie dément toute annulation. Autre symptôme : « Les vols qui partent ne sont pas au complet, avoue une hôtesse. On est 8 normalement, là on part à 4, le minimum réglementaire, ou 5. C'est une charge de travail énorme, et on ne peut assurer tous les services en vol. » Une pétition du SNGAF passe de mains en mains. Elle demande l'arrêt des dessertes « dans les pays d'Afrique de l'Ouest touchés par Ebola » et a recueilli 700 signatures en trois jours.

    Air France martèle que « la sécurité des personnels et des passagers est la priorité ». « Ils répètent qu'on est formés à Ebola, c'est faux », balaye Patrick Henry-Haye. Les masques et gants embarqués dans les avions semblent légers aux PNC. De même que les consignes de sécurité : « Isoler le passager infectieux », cite un steward, « comment voulez vous isoler quelqu'un dans un avion de 250 personnes ? » Les pilotes sont moins inquiets. « On est dans la cabine. On a très peu de contacts avec les passagers », explique l'un d'entre eux.

    Pourtant le risque ne se limite pas à l'équipage. Ebola a une durée d'incubation qui va de deux à vingt et un jours. « Qu'est-ce qui empêche qu'on embarque un passager sans symptômes et qu'il déclare la maladie une semaine après être rentré ? Rien ! s'énerve une hôtesse. On pourrait être vecteur de l'épidémie. »

     
    Le Parisien
  • Gaza: raids israéliens contre tirs de roquette: deux Palestiniennes tuées

    http://www.leparisien.fr/international/gaza-trois-roquettes-tirees-sur-israel-en-pleine-treve-netanyahu-veut-repliquer-19-08-2014-4073277.php

    + VIDEOS

  • 20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande »

    20 août 2014 par admin4 

    Il n’y a même pas 60 ans.
    Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française (dont le traître Jacques Vergès récemment décédé) et toujours au pouvoir en Algérie - avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.

    Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.
    Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.

    Description puis témoignage :
    Lire la suite

     

    Contre-info.com

  • L’archevêque de Mossoul met en garde les européens

    20 août 2014 par Pierrot 

    L’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona a accordé un entretien au journal italien Corriere de la Sera, il lance un avertissement aux Occidentaux :

    « Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche », a crié l’archevêque à ses frères chrétiens d’Occident. « S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. »

    Via NDF

    Contre-info.com

  • La Major, cathédrale que Marseille redécouvre

     

     
    Marseille / Publié le Mercredi 20/08/2014 à 05H02
     

    Posé sur un front de mer redessiné, le monument se retrouve mis en lumière

    20140820_1_5_1_1_0_obj7058052_1.jpg

     
     

    Équipés de sac à dos et d'appareils photos, plusieurs milliers de touristes visitent chaque jour la Cathédrale de la Major. De son vrai nom "Sainte-Marie Majeure", elle est le premier monument majestueux marseillais visible depuis la mer. Avec des dimensions comparables à l'église Saint-Pierre de Rome, la Cathédrale située sur l'esplanade entre le Vieux-Port et le quartier de la Joliette a vu sa première posée par le prince président Louis Napoléon Bonaparte en 1852. "Ce bâtiment représente merveilleusement bien l'universalité d'une ville comme Marseille, qui est un carrefour de civilisations. Avec le Mucem à côté, c'est une véritable réussite" s'extasie une vacancière entre les allées silencieuses de la Major.

    La cathédrale est un véritable bijou architectural construit au début du XIXe de style romano-byzantin. Elle accueille notamment les reliques de Saint-Lazare, ami de Jésus, décapité sur la place de Lenche. La cathédrale est l'oeuvre des architectes Vaudoyer, Espérandieu et Revoil. Ils l'ont bâti avec de la pierre verte de Florence, du marbre blanc de Carrare et de l'onyx d'Italie et de Tunisie.

    Aujourd'hui, la Major attire de nombreux visiteurs, surtout depuis Marseille Provence 2013 :"Chaque jour des milliers de touristes passent la porte de la Cathédrale. Souvent ils entrent à la Major au détour de leur promenade", affirme le père Alain Ottonello qui officie depuis 1998. "Notre cathédrale est le code-barres de Marseille, c'est la première chose que les croisiéristes voient en arrivant, ils se dirigent ensuite vers le Mucem qui est situé à quelques pas" poursuit le Père. Et le monument ne manque pas de ravir les touristes."Je viens de Londres et je suis impressionné par le mélange de cultures qu'on retrouve dans la cathédrale, à la fois oriental, provençal et byzantin. On ne voit pas ça en Angleterre", affirme Ben.

    Plusieurs Marseillais aiment venir à la Major

    Souvent attirés par la Bonne Mère, symbole marseillais, les touristes n'oublient pas de passer par la Major, porte d'entrée du quartier de la Joliette et du Panier. "Notre-Dame-de-la Garde n'est pas une cathédrale, c'est un lieu de pèlerinage. Il n'y a qu'une cathédrale par diocèse. Les Marseillais viennent à la Major convoqués par l'évêque, qui préside les grands événements comme la messe de rentrée, Pâques, Noël. On ne le dit pas assez, mais les Marseillais sont attachés à leur cathédrale".

    Parmi la foule de touristes, plusieurs Marseillais aiment venir à la Major, comme Caroline accompagnée de ses enfants. " À l'époque on ne venait pas dans cet endroit, le quartier n'était pas fréquentable. Je redécouvre ma ville. La Major fait partie de notre identité marseillaise, c'est un monument somptueux que je veux montrer à mes enfants, en particulier les mosaïques qui viennent de Venise".

    Depuis une douzaine d'années Rima et Alain Rivier qui vivent dans le presbytère, veillent sur la Major. Le couple se partage l'organisation des messes, les relations publiques et à la sécurité des lieux, "c'est un bonheur de travailler dans un lieu saint. Chaque jour je découvre une nouvelle mosaïque, un nouveau détail", confie Rima, "J'aime me sentir utile à Dieu" poursuit la gardienne.

    Gardiens des lieux, ils doivent en permanence rappeler aux touristes la bonne conduite à adopter : "Il y a des incivilités, les gens ne sont pas toujours respectueux". Avec Rima, la Major peut être tranquille, elle est bien gardée.


    Sainte-Marie Majeure cache ses trésors

    La Major, cathédrale que Marseille redécouvre - 3
    La "Vieille Major" est fermée au public pour des raisons de sécurité. L'édifice reste fragile.

     

    Adossée à côté de la cathédrale de la Major, l'ancienne cathédrale Sainte-Marie Majeure, plus connue sous le nom de "Vieille-Major" est en réalité la première église à avoir été construite. Elle fut édifiée à partir du XIIe siècle dans un style roman-provençal à l'emplacement d'une première église datant du Ve siècle, alors berceau du christianisme. L'église est fermée au public depuis 1989 pour des raisons de sécurité, car des pierres se décrochent de la voûte. Observable seulement depuis l'extérieur ses structures ont été de nombreuses fois fragilisées, notamment lors de la construction de la Nouvelle Major au 19e siècle.

    L'église avait dû être amputée en 1852 de ses deux travées et de son immense baptistère. En 1994, le creusement du tunnel de la Major avait nécessité le renforcement, par de larges poutres en bois de l'édifice, vieux de près de 900 ans .

    Des fouilles archéologiques

    L'église a dévoilé en 1996 à la suite de plusieurs fouilles archéologiques des fosses remplis d'ossements, ainsi que des mosaïques paléochrétiennes datant du Ve siècle. Pour le moment, la vieille Major ne prévoit pas d'ouvrir ses portes au public et préserve sous ses voûtes des trésors comme l'autel en marbre de Carrare de Saint-Lazare réalisé en 1481, considéré comme l'une des oeuvres les plus anciennes de la Renaissance en France. Une future rénovation permettrait aux Marseillais de découvrir ce chef-d'oeuvre de leur patrimoine.

    La Provence  20 08 14

     

     

  • Les Guerriers de la plus grande Asie

    Les Guerriers de la plus grande Asie de Jean Mabire, avec une contribution de Christophe Dolbeau, éditions Dualpha

    (propos sélectionnés par Fabrice Dutilleul)

     

    L’union en un grand empire serait-il le rêve secret des hommes enfermés dans des nations devenues trop petites ?

    Sans doute, à l’heure de ce qu’on nomme aujourd’hui « la mondialisation », mot terrible qui plane comme un vautour sur tous les peuples de l’univers et les menace d’une même économie, d’une même direction, d’une même pensée, en un mot d’une même loi devenue le symbole de la nouvelle tyrannie planétaire… Les Européens en parlent depuis longtemps, mais peinent à trouver le chemin de l’indispensable union, tant ils craignent de se séparer de la confortable tutelle américaine qui les empêche d’agir et même de songer à agir.

     

    Et l’Asie ?

    Si nous avons eu Charlemagne, elle a eu Gengis Khan et sait bien qu’elle possède en elle toutes les possibilités d’un fantastique continent, dont l’Europe, selon le mot de Paul Valéry, n’est qu’une petite péninsule, finalement assez dérisoire. L’Eurosibérie est une belle et bonne idée. Mais où sont les dizaines, les centaines de millions de Sibériens capable de créer ce «far-East» sur les débris du tsarisme et du communisme?

     

    L’Asie, la « plus grande Asie » fut le slogan de l’empire du Soleil Levant pendant la IIe Guerre mondiale…

    Oui, dans une fantasmagorie parallèle à celle de l’Europe unifiée sous l’hégémonie du IIIe Reich national-socialiste. Ayant su copier les Occidentaux sans perdre pour autant leur âme ancestrale, les Japonais sont apparus jusqu’au milieu du XXe siècle comme les promoteurs d’une telle construction gran­diose, dont les forces américaines et soviétiques coalisées devaient montrer l’inanité.

     

    Comment l’immense continent asiatique pourrait-il devenir un super empire ?

    Ce fut le rêve de quelques hommes surgis de leur peuple pour tenter d’imposer leur loi aux masses humaines du monde jaune.

    Les premiers à ouvrir la voie sont des Japonais : le général NOGI et l’amiral TOGO. Au début du XXe siècle, ils entreprennent de vaincre la puissance coloniale russe.

    Après la Révolution de 1917, c’est du sein même de l’empire tsariste démembré que surgit un rebelle sans pitié : UNGERN-STERNBERG, qui rêve de reconstituer l’empire de GENGIS-KHAN en défiant à la fois le christianisme occidental et le communisme léniniste.

    La Chine va à son tour connaître la révolution et la guerre civile menée par des « Seigneurs de la guerre » comme le terrible TCHANG SO LIN.

    Au cours de la Seconde Guerre mondiale, apparaissent les modernes samouraï du Soleil-Levant : le général YAMASHITA et l’amiral ONISHI, créateur de l’arme de la dernière chance : les Kamikaze.

    Voulant libérer l’empire des Indes de la domination britannique, SUBBAS CHANDRA BOSE n’hésite pas à engager, lui aussi, des volontaires aux côtés des Japonais et même des Allemands.

    Aujourd’hui, ce rêve impérial millénaire de la plus grande Asie sera-t-il repris par une Chine héritière de Mao Tse Toung ?

     

     

    Les Guerriers de la plus grande Asie de Jean Mabire, avec une contribution de Christophe Dolbeau, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 244 pages, 26 euros.

  • Robert Ménard chez Bourdin : "Je ne serai plus candidat à rien du tout"

    Mercredi, le maire de Béziers Robert Ménard était l’invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Il est notamment revenu sur la candidature d’Alain Juppé aux primaires de l’UMP. « Ça donne une telle impression que chacun veut sa place », a-t-il critiqué, précisant que lui-même ne serait « plus candidat à rien du tout ». « Je suis dans ma ville, au service de ma ville », a-t-il poursuivi.

    NDF  20 08 14

  • La synagogue de Carpentras au patrimoine mondial de l'Unesco ?

    Carpentras_synagogue_02.jpg

     

     
    Carpentras / Publié le Mardi 19/08/2014 à 18H57
     
     
     

    Et si la synagogue de Carpentras entrait au patrimoine mondial de l'Unesco? Tout comme les autres sites vauclusiens de l'Histoire des Juifs du Pape, situés à Pernes-les-Fontaines, Avignon, L'Isle-sur-la-Sorgue et Cavaillon.

    Une démarche a été engagée en ce sens par le maire de Cavaillon, Jean-Claude Bouchet, pour que les sites vauclusiens soient classés à l'Unesco.

    Elle implique 5 communes du département: Pernes-les-Fontaines, Avignon, L'Isle-sur-la-Sorgue, Carpentras et Cavaillon puisque c'est le maire de la cité cavare, Jean-Claude Bouchet, qui est à l'initiative du dossier de candidature.

    La Provence

  • Etats-Unis : Un navire viking découvert près de Memphis (Mississippi)

    19 août 2014 par admin4 

    PSXDdNS.jpg

    Memphis | Un groupe de bénévoles nettoyant les rives de la rivière Mississippi, à proximité de la plus grande ville du Tennessee, ont trébuché sur les restes d’un bateau antique incrusté dans la boue.Une équipe d’archéologues de l’université de Memphis, qui a été appelée rapidement sur ​​le site, a confirmé que le navire est très certainement un knarr viking, ce qui suggère que les Scandinaves auraient poussé leurs explorations en Amérique beaucoup plus loin que les historiens ne le pensaient.

     

    Le navire gravement endommagé a été trouvé près du confluent des rivières Wolf et du Mississippi, et se trouve sur une propriété privée. Il a une longueur d’environ 16 mètres, une largeur de 4,5 mètres, et une coque que l’on estime capable de porter jusqu’à 24 à 28 tonnes, d’une taille typique de ce type de navire. Les knarrs étaient des navires de guerre qui ont été construits par les Normands de la Scandinavie et l’Islande pour des voyages dans l’Atlantique, mais également utilisés pour  le commerce, l’exploration et la guerre au cours d’une période connue comme l’ère des Vikings, qui va d’environ 793 à 1066 de notre ère. [...] Il était capable de naviguer sur 75 miles (121 km) en une journée et d’avoir un équipage d’environ 20 à 30 hommes.

    P1LfitP.png


     Cette épée est l’un des seuls objets trouvés sur le site, probablement abandonnée après qu’elle ait été brisée, ce qui suggère un combat violent.

    Cette nouvelle découverte pourrait être une preuve supplémentaire des anciens contacts trans-océaniques pré-colombiens, et elle rappelle certainement à l’esprit la célèbre colonie du «Vinland» mentionnée dans les sagas islandaises. Cette colonie mythique aurait été établie par Leif Ericson autour de la même période que le peuplement de l’Anse aux Meadows, dans la province canadienne de Terre-Neuve-et-Labrador, le plus célèbre site d’une colonie scandinave ou viking en Amérique du Nord en dehors du Groenland. [...]

    La datation au carbone du navire permet d’estimer qu’il date d’entre 990 et 1050 après JC, à peu près la période associée au Vinland et aux différents sites canadiens (L’Anse aux Meadows, Tantfield Valley, Îles Avayalik). Cela pourrait signifier que les Vikings ont effectivement développé un réseau d’échanges beaucoup plus large dans les Amériques que ce que l’on croyait traditionnellement. Malheureusement, très peu d’autres objets ont été trouvés sur le site, ce qui suggère que l’équipage a probablement abandonné le navire et continué à pied. [...]

    World News Daily Report (traduction fdesouche)

    Contre-info.com

  • Gignac-la-Nerthe (13) : Une famille attaquée chez elle, un enfant de 4 ans menacé d'un couteau sous la gorge

    qRPSs7W.jpg

     

    20h13

    Hier soir, peu avant minuit, quatre individus armés de deux armes de poing, d’un couteau et d’un pied-de-biche ont attaqué une famille de Gignac-la-Nerthe (9000 habitants, Bouches-du-Rhône). Ils se sont introduits dans la maison par une porte-fenêtre qu’ils ont forcée.

     

    Rapidement, ils ont tenu en respect le couple d’habitants, un homme de 47 ans et son épouse de 45 ans, ainsi que leurs trois enfants de 13, 10 et 4 ans.

    Pour obtenir tout ce qui pouvait l’être, ils sont allés jusqu’à menacer l’enfant de 4 ans d’un couteau sous la gorge. Le père a alors tenté de le défendre et s’est attiré les foudres des malfaiteurs qui l’ont blessé à coups de couteau.

    Il a été hospitalisé mais ses jours ne seraient pas en danger. Au final, cette attaque d’une violence rare a permis aux braqueurs d’emporter un butin plus que ridicule : des bijoux fantaisie, et une carte bancaire… sans son code. La Police Judiciaire est à leur recherche.

    La Provence (Merci à TLouGascon, Padamalgam & Fopastigmatizé, bendupont et Julien271

    via FDESOUCHE

  • Marseille, prison des Baumettes: un surveillant violemment agressé par un détenu qui lui fracture les poignets

    4037001_presse-papiers-2.jpg

    Un surveillant de la prison des Baumettes à Marseille (Bouches-du-Rhône) a été agressé samedi par un détenu qui lui cassé les poignets en lui portant des coups «d'une rare violence», selon le syndicat pénitentiaire des surveillants (SPS).

    «Lors du départ en promenade 2e étage bâtiment A, le détenu X prend à partie le premier surveillant présent à l'étage en l'insultant copieusement» résume le syndicat, dans un communiqué.

     

     

    Quand le surveillant lui demande de se calmer, «le détenu ne l'entend pas de cette oreille et n'hésite pas à lui sauter dessus en lui portant des coups d'une rare violence», poursuit le SPS, qui précise que le surveillant a eu les  poignets fracturés.

    «Régulièrement, seulement 2, 3 ou 4 agents sont présents pour couvrir les étages. Les détenus ne sont pas dupes et ont bien conscience que le manque d'effectif de surveillants est propice aux agressions», ajoute le syndicat. «Depuis des mois (...), le SPS n'a eu de cesse d'alerter (...) sur le manque cruel d'effectif aux Baumettes et les conséquences qui en découlent», conclut-il.

    Fin juillet, trois détenus avaient été blessés dans le centre pénitentiaire marseillais au d'une rixe survenue dans les douches de l'établissement. Ils avaient été agressés avec un couteau en céramique.

     

    Le Parisien

    L'effet Taubira!

  • Reprise des hostilités à Gaza: "pas de progrès dans les négociations de cessez-le-feu"

    http://www.leparisien.fr/international/gaza-trois-roquettes-tirees-sur-israel-en-pleine-treve-netanyahu-veut-repliquer-19-08-2014-4073277.php

    + VIDEO

     NdB: Pourquoi le Hamas s'obstine-t-il à envoyer des roquettes qui retombent TOUJOURS dans le désert, dans des zones inhabitées ? Ces roquettes existent-elles? Jamais une photo à l'appui de ces informations auxquelles on finit par le plus croire... 

     

     

     

  • Libye : le fils du colonel Kadhafi pourrait rétablir la paix

     

    C’est du moins l’opinion de Bernard Lugan.

    Lu sur son blog : Au moment où le parlement libyen appelle à une intervention étrangère « pour protéger les civils », nous pouvons lire dans le quotidien Le Monde en date du 12 août 2014 un titre insolite: « La transition en Libye est un échec, il faut la repenser ».
    Que s’est-il donc passé pour que la « bible des bien-pensants », ce point oméga du conformisme intellectuel français, se laisse ainsi aller à une telle constatation après avoir soutenu avec une arrogante indécence l’intervention militaire contre le colonel Kadhafi, cause directe de la situation actuelle ?

    Le but de la guerre calamiteuse décidée par Nicolas Sarkozy était officiellement l’établissement d’un Etat de droit à la place d’un régime dictatorial. Après le lynchage du colonel Kadhafi par les islamo-mafieux de Misrata, un processus démocratique fut imposé aux nouveaux maîtres du pays. Il se mit en place à travers plusieurs élections et par la rédaction d’une Constitution. Les observateurs, à commencer par les journalistes du Monde, louèrent alors ces « avancées démocratiques », preuve de la « maturité politique » des « démocrates » libyens. La « guerre du droit » ayant été gagnée, accompagné de BHL, Nicolas Sarkozy alla ensuite sur place goûter aux félicités triomphales du « libérateur »…

    Le résultat de ces illusions, de cet aveuglement, de ce décalage entre l’idéologie et la réalité, de cet abîme existant entre les spasmes émotionnels et les intérêts nationaux français, est aujourd’hui tragiquement observable. Les dernières structures étatiques libyennes achèvent en effet de se dissoudre dans des affrontements aux formes multiples s’expliquant d’abord par des logiques tribales. Sur ces dernières viennent, ici ou là, se greffer avec opportunisme des groupuscules islamistes soutenus par le Qatar et la Turquie.

     

    Un retour au réel s’impose donc afin de tenter de sortir la Libye de l’impasse. Or, ce réel tient en quatre points:

    1) La Libye n’a jamais existé comme Etat de facture occidentale.
    2) Le colonel Kadhafi avait réussi à établir une réelle stabilité en se plaçant au centre, à la jonction, des deux grandes confédérations tribales de Cyrénaïque et de Tripolitaine.
    3) Son assassinat a fait que, ayant perdu leur « point d’engrenage », ces deux confédérations se sont tournées sur elles-mêmes dans une logique d’affrontements tribaux régionaux ayant pour but la conquête du pouvoir dans chacune des deux grandes régions du pays éclatées en cités-milices aux intérêts tribalo-centrés.
    4) La clé de la stabilité libyenne passe par la reconstitution du système d’alliances tribales mis en place par le colonel Kadhafi. Or, les responsables politiques libyens ne sont pas en mesure de mener cette politique car ils sont tous sont ethno-géographiquement liés par leurs origines.

    Le seul qui, dans l’état actuel de la complexe situation libyenne pourrait jouer ce rôle de rassembleur-catalyseur est Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi. Actuellement détenu avec des égards par les miliciens berbères de Zenten qui constituent le fer de lance des forces anti-islamistes en Tripolitaine, il est soutenu par les Warfallah, la principale tribu de Tripolitaine, par les tribus de la région de Syrte, par sa propre tribu et il pourrait l’être également par les Barasa, la tribu royale de Cyrénaïque, sa mère étant Barasa. Autour de lui pourrait être refondée l’alchimie politico-tribale, le pacte social tribal de Libye.

    Mais pour cela il importe que la CPI, perçue en Afrique comme un instrument du néocolonialisme « occidental », lève le mandat d’arrêt de circonstance lancé contre lui.

    Contre-info.com

  • C’est si dur de dire la vérité…

    18 août 2014

     Il paraît que la vérité finit toujours par être connue, même s’il faut attendre longtemps… De fait, il aura fallu attendre le 18 août 2014 pour lire dans Le Monde (du moins sur le site) un article titré :

    « Nous chrétiens pouvions vivre sous le régime de Saddam Hussein »

    Du moins c’est ce que j’ai lu ce matin. Le titre étant entre guillemets parce qu’il s’agissait d’une citation, d’une interview d’un prêtre irakien.

    Mais c’était trop violent. Et le titre a été changé. Ce soir, c’est une autre citation du même prêtre que l’on peut lire :

    « Pour beaucoup d'Arabes, ici, l'Etat islamique n'est pas un mouvement terroriste »

    Cela dit, c’est également une information importante, qui confirme de nombreux autres témoignages, et qui détruit la stupide propagande du « vivre ensemble ».

    Voici les derniers mots de l’interview :

    « La politique menée par les Etats-Unis en Irak a conduit à monter les communautés les unes contre les autres pour parvenir à leurs fins. Mais ici, les équilibres sont très anciens et fragiles, ils ont privilégié une stratégie à très court terme, et maintenant, le pays est dans un chaos indescriptible. Nous, chrétiens, pouvions vivre sous le régime de Saddam Hussein, ce n’est plus le cas aujourd’hui. »

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Les jumeaux séparés à la naissance révèlent l'impact de la génétique sur nos comportements

    Le Vif

    Céline Bouckaert

    Céline Bouckaert

    Source: Live Science, De Morgen
    mardi 19 août 2014 à 11h20

    Selon une gigantesque étude entamée en 1979 par l’université américaine de Minnesota et relayée par le magazine scientifique en ligne Live Science, la génétique explique pourquoi certains jumeaux monozygotes élevés séparément adoptent le même comportement et souffrent des mêmes problèmes de santé.

    4000720970829.jpg

    © iStock

    Les chercheurs ont étudié 137 paires de jumeaux élevés séparément. Parmi les participants, il y a avait 81 paires de "vrais jumeaux" ou de jumeaux monozygotes et 56 paires de "faux jumeaux" ou de jumeaux dizygotes.

    "Nous étions surpris par certains comportements qui montraient une influence génétique, telle que la religion et les attitudes sociales", explique Nancy Segal, une psychologue de l’Université d'État de Californie qui a participé l’étude, au magazine scientifique en ligne Live Science. "Cela nous a surpris, car nous étions persuadés que ces caractéristiques venaient de l’environnement familial".

    Ainsi, les chercheurs citent l’exemple de Jim Lewis et Jim Springer, des jumeaux monozygotes élevés séparément depuis l’âge de 4 semaines. Réunis en 1979 à l’âge de 39 ans, ils ont constaté qu’ils se rongeaient tous les deux les ongles, qu’ils souffraient de maux de tête liés au stress et qu’ils passaient leurs vacances annuelles sur la même plage de Floride.

    L’étude globale se compose de plus de 170 études qui se concentrent chacune sur certaines caractéristiques médicales ou psychologiques. Les scientifiques ont notamment démontré que les gènes déterminent à 70 pour cent les différences de quotient intellectuel parmi les jumeaux et à 50 pour cent si l’on est croyant ou non. En outre, la génétique joue un rôle clé dans les affections de la gencive, ce qui démontre que les problèmes de gencive ne sont pas causés uniquement par les bactéries.