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  • Vers la polygamie: des juges italiens reconnaissent le mariage islamique contre la loi italienne

    16/05/2011 – 17h30
    TREVISE (NOVOpress) –
    Beaucoup de juges italiens, les « toges rouges » comme on les a surnommés, prennent systématiquement le parti des immigrés, y compris clandestins voire criminels, contre la loi italienne et le simple bon sens. La dernière initiative dans cet ordre est celle du Tribunal civil de Trévise (Vénétie), qui a décidé de donner raison à deux Marocains contre la municipalité de Crocetta, qui refusait de reconnaître leur mariage islamique.

    Fatima E.B., mariée selon le rite islamique au Maroc, en 1988, avec Zaim D., résident en Italie depuis dix ans et désormais titulaire de la nationalité italienne, demandait l’enregistrement de son mariage, afin de pouvoir elle aussi devenir citoyenne italienne. L’officier d’état civil de Crocetta avait refusé en considérant, conformément aux directives officielles du Ministère de l’Intérieur italien, que le mariage n’était pas valide, puisque l’acte marocain ne faisait aucune mention de la volonté de Fatima et Zaim de s’unir par le mariage.

    L’avocat des Marocains, Francesco Tartini, a représenté au Tribunal que « dans beaucoup de pays africains, on se marie selon le rite traditionnel et on demande ensuite au tribunal de reconnaître la validité du lien conjugal. Au Maroc, la loi prévoit que le mariage est civilement valide si 12 témoins attestent que la célébration et ensuite la vie commune ont bien eu lieu».

    Les juges Valeria Castagna, Daniela Ronzani et Manuela Elburgo, se sont facilement laissées convaincre par ces arguments et ont condamné la municipalité de Crocetta. Cette décision, qui reconnaît la validité civile en Italie du mariage religieux marocain, en désavouant les normes du Ministère de l’Intérieur, est appelée à faire jurisprudence. L’avocat Tartini s’en est félicité. «Les seules normes applicables, a-t-il expliqué en commentant l’arrêt, sont donc celles du droit privé international, selon lesquelles le mariage est valide s’il l’est selon la loi du lieu de célébration, ou selon la loi nationale d’au moins un des conjoints. Si le mariage est valide pour le tribunal du Maroc, le droit italien ne peut qu’en prendre acte.»

    Une argumentation et une jurisprudence qui conduisent tout droit à la reconnaissance de la polygamie.


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  • Les non-musulmans n'ont pas à subventionner une religion qui n'est pas la leur

    Intervention de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, lors du « Rassemblement pour la Liberté » à Lyon, avant-hier 14 mai 2011.

    Un  an après l’envahissement du Quick Halal de Villeurbanne, les militants aux masques de cochons sont de retour. De retour, oui mais sans masques à cause d’une ridicule interdiction préfectorale. Mais, qu’importe, aujourd’hui, ils plus nombreux et encore plus déterminés à combattre l’offensive menée par certains religieux ou collabos de l’islam contre le porc, un marqueur important de notre identité française et européenne.

    Citoyens engagés, associations de consommateurs, bouchers et charcutiers, militants laïcs ou de la cause animale, éleveurs ou simple Lyonnais nous sommes réunis aujourd’hui pour montrer notre opposition au développement du halal, symbole phare de l’islamisation de notre pays.

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    Qu’est-ce que le Halal ? Ce terme arabe signifie « licite », « autorisé » par opposition  au « haram » qui signifie « interdit ». En tant que non-musulmans, nous consommons donc des aliments « haram ». Mais les choses ne sont pas aussi simples.

    En effet, le halal n’est pas en effet une simple superstition religieuse qui concernerait les seuls musulmans soucieux de ne manger des bêtes qu’égorgées la tête en direction de la Mecque. Le halal est devenu le mode d’abattage majoritaire dans notre pays sans que les citoyens n’aient été consultés ni les consommateurs informés. En effet, les abattoirs pratiquent le halal à grande échelle. Une partie de la production est vendue dans la filière musulmane. L’autre part sur les marchés classiques et notamment les bas morceaux de la bête que les musulmans consomment en moins grande quantité que les autres. Nous sommes donc aujourd’hui tous concernés !

    S’il paraît nécessaire de dénoncer ces restaurants Quick qui proposent uniquement de la nourriture halal, il faut savoir que le véritable scandale se trouve donc ailleurs : nous consommons déjà régulièrement de la viande rituellement abattue sans même le savoir ! Selon l’OABA (OEuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs), « Sur trois animaux abattus rituellement, c’est-à-dire sans étourdissement préalable, presque deux seront en fait consommés par l’ensemble des consommateurs, toutes confessions confondues ». En France, 80% des agneaux et des moutons sont tués sans étourdissement préalable !

    Acheter du halal, c’est financer l’islam, ses imams, ses mosquées !

    Le halal, c’est aussi une viande plus chère car pour que chaque égorgement soit considéré halal il faut un certificat religieux décerné par des religieux. Cette carte de « sacrificateur habilité » est délivrée par trois mosquées en France : Paris, Lyon, Évry. Ce certificat a un coût. C’est le consommateur qui le paye. Même le consommateur qui n’est pas musulman.

    Une chose est certaine : le halal, c’est de l’argent, beaucoup d’argent.

    Le halal, c’est la souffrance de l’animal qui, au mépris des lois françaises est égorgé sans étourdissement préalable. Un animal qui se voit et se sent mourir. Pour qu’une viande soit « halal », il faut tuer l’animal en respectant trois points essentiels : égorger ou frapper à la poitrine ; le faire en prononçant le nom d’Allah ; l’animal doit avoir la tête tournée vers La Mecque.

    Une chose est certaine : le halal est synonyme de longue agonie pour les animaux. Les bovins et les veaux perdent conscience relativement lentement après l’égorgement. Il n’est pas rare de voir une vache ou un taureau agoniser plus de 2 minutes après avoir été égorgé. L’animal cherche à respirer, à se relever. C’est un spectacle difficilement soutenable pour ceux qui ont pu assister à ce genre de scènes.

    Le halal s’impose dans notre quotidien. Il suffit de citer l’exemple des cantines scolaires. Les parents-élèves-employés font pression pour obtenir de la viande halal. Face à ces demandes (30% de non-consommateurs de porc), la ville de Lyon propose dans ses cantines scolaires des menus sans viande, et ce au nom de la laïcité. Pire, la viande de porc est bannie dans de nombreux établissements. Mais cette situation touche aujourd’hui d’autres secteurs comme les compagnies aériennes. Ainsi, sur certains vols d’Air-France, les repas sont garantis « sans porc ».

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    Afin d’en finir, avec cet état de fait, nous réclamons plus de transparence sur la question du halal car l’information du consommateur est un droit. Nous voulons que sois mise en place une traçabilité du halal. Nous soutenons ainsi l’initiative du député de l’Aube Nicolas Dhuicq qui entend déposer un projet de loi visant à mettre en place une traçabilité du halal. Les non-musulmans n’ont pas à subventionner une religion qui n’est pas la leur.

    Face à l’offensive menée contre le porc dans certains établissements, nous disons simplement qu’il n’est plus question de subir des interdits alimentaires qui ne nous concernent pas. Nos enfants ne doivent plus être les otages des revendications communautaristes et religieuses.

    Vue du rassemblement

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    A travers l’envahissement du Quick Halal, l’apéro saucisson-pinard ou encore les Assises sur l’islamisation, le Bloc identitaire a démontré qu’il était en première ligne dans le combat contre l’islamisation de la France.

    Si l’islam fait autant parler de lui, c’est parce que l’islamisation est une réalité ! Des millions de Français la subissent chaque jour et n’en peuvent plus. Nous voyons bien que nous sommes aujourd’hui dans un rapport de force avec les Musulmans. D’année en année leurs revendications sont de plus en plus nombreuses, d’année en année leur nombre est plus important.

    Mais la résistance s’organise. Partout, les actions que nous avons menées ont rencontré l’adhésion très largement majoritaire des Français présents. Faut-il rappeler qu’une enquête Ifop/Le Monde a révélé que pour 68 % des Français, l’intégration des personnes d’origine musulmane est un échec ?

    Partout, nous faisons le même constat, nous sommes confrontés à la même réalité : le halal est la conséquence de l’immigration de masse.

    A changement de peuple, changement de coutumes, de culture, de mode de vie. Car rappelons-le le halal ne concerne pas que le contenu d’une assiette mais entend régir chaque instant de la vie du croyant… et de son voisin quand celui-ci est devenu minoritaire.

    Parce que l’égorgement halal, c’est dégueulasse !

    Parce qu’en Europe, la tradition veut qu’on tue les bêtes dignement.

    Parce que la loi française interdit l’égorgement rituel.

    La mobilisation doit aujourd’hui s’amplifier. Si, une fois encore, le Bloc Identitaire se trouve à l’avant-garde du combat contre l’islamisation, il ne prétend ni ne souhaite en posséder l’exclusivité.

    Le refus du halal doit former le front de lutte le plus large possible. Le refus de l’islamisation doit fédérer tous ceux qui veulent défendre leur identité et leur liberté. Parce qu’il est hors de question de se soumettre, parce que nous ne voulons pas que la charia s’applique un jour en France, parce que nous voulons rester des hommes et des femmes libres, nous disons clairement que l’islam n’a pas sa place en Europe. Ils veulent plus de mosquées ? plus de halal ? plus de niqab ? Nous ne pouvons donc que conseiller aux musulmans de France d’aller vivre pleinement leur foi musulmane en terre d’Islam ! Car l’Europe ne sera jamais une terre d’islam !

    Fabrice Robert

    NOVOPRESS

  • INFO LE FIGARO - AF 447 : Airbus mis hors de cause par les boîtes noires

    Fabrice Amedeo
    16/05/2011

    Les boîtes noires ont vite parlé. Selon des sources au gouvernement et des proches de l’enquête interrogées par le Figaro, les premiers éléments extraits des boîtes noires mettent Airbus hors de cause dans le drame qui a coûté la vie à 228 passagers le 1er juin 2009.

    Les enquêteurs du Bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) ont pu exploiter dès ce week-end les données du Data Flight Recorder (DFDR), l’une des deux boîtes noires, qui a enregistré les paramètres du vol et en conclure assez rapidement que l’Airbus A 330 était hors de cause. Le travail du BEA va maintenant consister à déterminer ce qui s’est passé dans le cockpit, et si les erreurs commises sont de la responsabilité de l’équipage ou de celle d’Air France, notamment du fait des procédures de sécurité imposée par la compagnie. Pour cela, les enquêteurs disposent de deux sources d’informations : le DFDR qui indique également les actions de l’équipage dans le cockpit ainsi que le Cockpit Voice Recorder (CVR) qui enregistre les conversations dans le poste de pilotage.

    Selon les sources interrogées par Le Figaro, de nouveaux éléments sur la responsabilité d’Air France ou de son équipage seront communiquées par le BEA dans la journée de mardi. Le rapport définitif d’enquête du BEA devrait être rédigé durant plusieurs mois mais il est possible que le scénario du drame soit définitivement établi d’ici la fin de semaine. Contactée par le Figaro, le porte-parole d’Air France s’est refusé à tout commentaire, «tant que le BEA n’aura pas mené à bien l’ensemble des vérifications nécessaires». De son côté, Airbus s'est également refusé à toute confirmation.

    Un dénouement aussi rapide était assez inespéré il y a quelques mois encore. L’épave de l’AF 447 a été découverte il y a tout juste six semaines. «Tout ce qui se passe depuis la découverte de l’épave : la localisation des boîtes noires, leur remontée et le fait qu’elles soient encore totalement lisibles après avoir passé deux ans par 4000 mètres de fond, est totalement extraordinaire », rappelait lundi soir une source gouvernementale.

  • Les 7 chefs d'accusation retenus contre DSK

    Lire l'article: http://www.leparisien.fr/dsk-la-chute/sept-chefs-d-accusation-retenus-contre-dsk-16-05-2011-1452822.php

    Le Parisien -16/05/11

  • La jeune femme de chambre qui accuse DSK est en "état de choc"

    Très peu d'informations filtrent sur la jeune femme de chambre qui accuse Dominique Strauss-Kahn d'agression sexuelle, samedi dans une suite du Sofitel de New York. Prise en charge par la police après avoir témoigné contre le patron du FMI, la jeune femme semble depuis mise au secret. Son anonymat est protégé des médias et aucune photo n'a été diffusée.

    A l'hôtel, consigne a été donnée aux employés de ne pas répondre aux questions des journalistes.

    Après avoir reconnu en DSK son agresseur lors d'un «line-up» - placée derrière une glace sans teint, elle a identifié le directeur du FMI parmi d'autres hommes de même taille -, c'est cachée sous une couverture que la jeune femme est ressortie du bâtiment de la police. Qualifiée de témoin «très fiable», par un haut responsable de la police new-yorkaise, la jeune femme reste un mystère.

    «Une employée modèle», selon la direction de l'hôtel

    Elle serait âgée de 32 ans - peut être 33 selon un rapport de police cité par Atlantico - et pourrait s'appeler Nafissatou Diallo, selon France 2, tandis que les sites américains se refusent à donner son identité. Grande, 6 pieds, soit plus d'1 m 80, selon The Daily News, elle serait mère célibataire et habiterait le quartier du Bronx, à New York, selon le Tabloïd. Sa fille serait adolescente, âgée d'une quinzaine d'années avancent certains médias. Un de leurs voisins l'a décrite comme «discrète».

    La jeune femme aurait emménagé «il y a quelques mois», selon le concierge de l'immeuble cité par le New York Times. «Ce sont de bonnes personnes», a déclaré à propos de la femme et de sa fille un voisin, interrogé par le journal. «Chaque fois que je la vois, je suis content parce que nous sommes tous deux en provenance d'Afrique», continue-t-il, ajoutant qu'elle n'a jamais causé de problème à personne. La jeune femme serait originaire du Ghana, selon le quotidien britannique The Daily Mail, de Guinée pour le Wall Street Journal qui écrit qu'elle aurait deux enfants. Un ami, cité par le journal anglais, la décrit comme «réservée et calme».

    Travaillant au Sofitel depuis trois ans, c'était une employée modèle, selon la direction de l'hôtel. «C'est une femme bien, très agréable, très amicale. Elle est en état de choc
    », a déclaré une de ses collègues de l'hôtel Sofitel au New York Post.
     
    Jorge , le directeur de l'établissement, a tenu à préciser dans un communiqué «qu'[elle] travaille au Sofitel New York depuis trois ans et donne entière satisfaction tant en ce qui concerne la qualité de son travail que de son comportement».

    Source LeParisien.fr - 16/05/11

  • DSK au tribunal avec son avocat - Il est emprisonné à Rickers Island (New York)

    Arrêté samedi à New York pour une agression sexuelle présumée envers une employée d'hôtel, Dominique Strauss-Kahn, qui plaide non coupable, va rester en détention. C'est ce qu'a décidé ce lundi Melissa Jackson, la juge du tribunal pénal de New York, après une courte audience d'une quinzaine de minutes.



    23h55. DSK à Rikers Island. Rikers Island.

     

  • DSK dormira en prison: caution de 1 million de dollars refusée

    1452818_dsk10_640x280.jpg Prison.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    La juge Melissa Jackson a refusé la liberté sous caution proposée par la défense.

    La juge du tribunal de New-York a refusé la libération sous caution de Dominique Strauss-Khan. Ses avocats avaient pourtant proposé une caution d’un montant de 1 million de dollars en échange de sa liberté provisoire. Dominique Strauss-Khan va donc rester en prison au moins jusqu’à sa prochaine comparution le 20 mai prochain.

    L’un des avocats de Dominique Strauss-Khan, Benjamin Brafman s’est dit "déçu par la décision du tribunal". Il a ajouté "la bataille ne fait que commencer"

    D’après les journalistes présents sur place, les procureurs se sont montrée particulièrement durs envers DSK.

    Une impression qui s’explique en partie par le système "accusatoire" de la justice américaine.

    Les premières images montrent un homme mal rasé, dépité.

    Particularité de ce procès : c’est Twitter qui a alimenté les éditions spéciales des principales chaînes d’information françaises.

    Source LCP

  • "Non à l'islamisme" s'affiche de nouveau en PACA

     

     

    C’est le 16 février 2010, que David Rachline, Délégué national du FNJ et Frédéric Boccaletti, Directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen, présentaient en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’affiche « NON À L’ISLAMISME ».

    Quelques jours plus tard, les officines antiracistes poursuivaient Jean-Marie Le Pen et cela en pleine campagne électorale.

    La justice marseillaise cédait face aux lobbies et condamnait injustement Jean-Marie Le Pen et lui interdisait la continuité de cette campagne d’affichage ce qui porta une grave atteinte à sa liberté d’expression.

    Le 12 mai 2011, plus d’un an après, justice est enfin rendue au Président d’Honneur du Front National devant la Cour d’Appel d’Aix en Provence.

    C’est donc fort logiquement que les militants de la région de Provence-Alpes-Côte d’Azur ont voulu rendre hommage ce week-end à Jean-Marie Le Pen et à sa persévérance devant l’injustice, en collant plus de 5 000 affiches !

    Un grand bravo à tous les militants à qui aucun panneau d’affichage n’a échappé !

    Que cela se sache, le Front national ne cèdera jamais face au politiquement correct et réaffirme : NON À L’ISLAMISME !

    (Cliquez sur les photos pour les agrandir deux fois)

  • Bernard Debré sur DSK: "L'hôtel a étouffé d'autres affaires"

    Le député de Paris, qui a posté un billet sur son blog dimanche très critiqué à gauche, affirme que Dominique Strauss-Kahn a déjà agressé dans le passé d’autres femmes de chambre dans ce même hôtel new-yorkais.

    En postant un billet sur son blog dimanche où il qualifie Dominique Strauss-Kahn de « délinquant sexuel  » qui doit se faire « soigner », le député de Paris a déclenché la colère de nombreux hommes politiques de gauche (dont Pierre Moscovici) et d’internautes qui lui reprochent une violence démesurée dans les mots.

    Contacté par L’Express lundi matin, Bernard Debré maintient ses propos et accuse Dominique Strauss-Kahn de s’être déjà livré à des agressions sexuelles, dans ce même hôtel de New York. Elles ont été passées sous silence par la direction contre l’avis des employés.

    « Il faut sortir de l’hypocrisie. Ce n’est pas la première fois que DSK se livrait à ce genre d’agissements au Sofitel. C’est là qu’il descendait toujours. Ça s’est produit plusieurs fois et depuis plusieurs années. Tout le monde le savait dans l’hôtel », déclare Bernard Debré, actuellement en déplacement en Chine.

    Lire la suite

    NPI - 16/05/11

  • DSK reste en prison

    Le juge du tribunal de New York, devant lequel comparaît le directeur du FMI, a refusé d'accorder la liberté sous caution au patron du FMI.

    LE POINT.FR - 18h32

  • Alerte info - 18h13 - DSK: le rapport des experts corrobore les accusations (parquet)

    Avec Reuters
    16/05/2011 | Mise à jour : 18:13

    Le parquet de New York dit que le rapport des experts médico-légaux corrobore les accusations de la plaignante dans l'affaire de Dominique Strauss-Kahn.

    Le directeur général du FMI, inculpé pour agression sexuelle, était présenté ce lundi après-midi à un juge new-yorkais.

    Source Le Figaro

  • EN DIRECT: DSK est devant la juge

    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/en-direct-dsk-est-devant-la-juge_993077.html

    (+vidéos)

    L'Express - 16 mai 2011

  • L'employée d'ACCOR identifie formellement DSK comme son agresseur

    La femme de chambre de l'hôtel Sofitel de Manhattan l'a formellement identifié dans un commissariat de Harlem à New York. DSK doit être présenté à un juge.

    Dominique Strauss-Kahn,inculpé dimanche d'agression sexuelle et de tentative de viol aux Etats-Unis, nie tous les faits qui lui sont reprochés et va plaider non coupable. La femme de chambre de l'hôtel Sofitel à New York, dont la plainte pour agression sexuelle a déclenché toute l'affaire, a formellement identifié dimanche le président du FMI comme son agresseur.

     L'employée s'est rendue au commissariat de Harlem, à New York, où DSK a été entendu après son interpellation à l'aéroport JFK. Comme dans les séries américaines, elle a dû désigner son agresseur présumé parmi un groupe d'hommes réunis pour une séance d'identification. Elle a ensuite quitté le commissariat vers (21H45, heure française) dans une fourgonnette, cachée sous un drap blanc.

    DSK va être présenté à un juge qui doit décider soit de son maintien en détention provisoire, soit de sa remise en liberté sous caution.Le directeur général du Fonds monétaire international a été inculpé dimanche par le parquet de New York d'agression sexuelle, de tentative de viol et de séquestration. Il a été arrêté samedi soir à l'aéroport de New York après la plainte d'une femme de chambre d'un hôtel new-yorkais.

    Le scénario de l'agression supposée

    Les faits se seraient déroulés à 13 heures dans une chambre de l'hôtel Sofitel de Manhattan. Une femme de ménage, âgée de 32 ans, serait entrée dans la suite de l'ancien ministre qu'elle croyait inoccupée pour la nettoyer. Dominique Strauss-Kahn serait sorti nu de la salle de bain.

    Il l'aurait alors jetée surle lit pour tenter d'abuser d'elle. La jeune femme aurait réussi à se libérer, mais le directeur du FMI l'aurait attrapée et emmenée dans la salle de bain de la chambre pour la contraindre à lui pratiquer une fellation. Selon les enquêteurs, Dominique Strauss-Kahn aurait tenté de l'enfermer dans la chambre d'hôtel. La femme serait parvenue à se libérer et aurait aussitôt prévenu des membres du personnel de l'hôtel, qui ont contacté la police.

    Quand les forces de l'ordre sont arrivées sur place, DSK avait déjà quitté les lieux, laissant un téléphone portable (il en aurait plusieurs) et des effets personnels. La police new-yorkaise parle d'un départ qui semble avoir été précipité.

    Des enquêteurs en civil de l'Autorité des ports de New York et du New Jersey sont alors partis le chercher à l'aéroport de JFK, où il avait déjà embarqué à bord d'un vol Air France qui s'apprêtait à décoller. «Nous l'avons mis en garde à vue et remis à la police de New York» (NYPD), a déclaré sous couvert d'anonymat un responsable de l'Autorité des ports de New York et du New Jersey.

    Source Le Figaro -  15/05/11

  • Anne Mansouret regrette d'avoir dissuadé sa fille de porter plainte contre DSK

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    Tristane Banon

    Anne Mansouret, conseillère générale de l’Eure et régionale de Haute-Normandie, candidate aux primaires socialistes pour l’élection présidentielle de 2012, confirme ce dimanche sur ParisNormandie.fr que sa fille Tristane Banon a été victime d’une tentative d’agression sexuelle de la part de Dominique Strauss-Kahn en 2002, comme elle l’a révélé en 2007 dans l’émission 39, Faubourg Saint Honoré. « Aujourd’hui, je regrette d’avoir dissuadé ma fille de porter plainte contre DSK. je porte une lourde responsabilité. Après les faits, on a discuté, beaucoup parlé. Et finalement, elle a décidé, on a décidé, de ne pas lancer de procédure. Vous savez ma fille était très mal, en dépression,  mais Tristane est la filleule de la seconde femme de Dominique. C’était délicat pour des raisons familiales et amicales ».

    Rue89 nous apprend aussi que « Dominique Strauss-Kahn est le père de la meilleure amie de Tristane Banon ». « Porter plainte s’avérait dès lors « compliqué ». « J’en ai parlé une fois avec DSK. Il a dit “je sais pas ce qui m’a pris, j’ai pété un plomb” », explique Anne Mansouret au site de gauche.

    L’élue dénonce les pressions : « c’est un véritable harcèlement. Ce n’est d’ailleurs pas DSK lui-même qui est derrière ce harcèlement, mais son entourage, Ramzi Khiroun [conseiller en communication de DSK, ndlr]. Le prochain roman de Tristane, dont la sortie était prévue à la rentrée 2011, a été mis en suspens à cause de la candidature de DSK ! C’est une pression permanente. »

    « Dominique Strauss-Kahn est malade » continue-t-elle sur ParisNormandie.fr. Dans quelques jours, sa fille tiendra une conférence de presse pour maintenir ses accusations. Les faits ne sont pas encore prescrits…

    Nouvelles de France - 15/05/11

  • La victime de DSK est une Afro-américaine de 32 ans

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    23h40 Selon i-Télé, DSK devrait être entendu par un juge d'ici une heure. 

    22h36 Dissimulée sous des draps, une personne vient de sortir dans un van du commissariat de Harlem, où est retenu DSK. Très probablement la victime présumée. Dominique Strauss-Kahn pourrait suivre rapidement. 

    22h15 Selon un porte-parole de la police de New York, la femme de chambre qui accuse DSK d'agression sexuelle, "une femme noire de 32 ans", serait entrée dans la suite 2806, croyant qu'elle était vide, pendant que DSK prenait une douche. "Il s'est approché d'elle par derrière et l'a touché de manière inconvenante. Il l'a forcée à accomplir un acte sexuel". 

    21h55 Beaucoup d'agitation devant le commissariat de Harlem où est retenu DSK. La police demande de nouveau aux médias de ne pas photographier la victime présumée, qui pourrait être dans le commissariat et en sortir bientôt. 

    21h38: Sur TF1, Jean-Louis Borloo affirme: "Je suis avocat et je sais trop que tant que la justice n'est pas passée, il peut se passer plein de choses. La justice d'hier n'est pas forcément celle d'aujourd'hui ou de demain. (...) Réserve, décence, prudence, après on verra". 

    21h22: La victime présumée va bientôt arriver au commissariat où se trouve DSK. Les photos sont interdites. 

    21h04: Selon 20 Minutes, "Dominique Strauss-Kahn aurait été vu quittant son hôtel newyorkais très calmement, et non pas dans la précipitation, comme indiqué précédemment". Il aurait, selon un témoin, "pris le temps de passer par l'accueil, serait revenu sur ses pas (ayant oublié quelque chose) et aurait discuté avec des clients avant de quitter les lieux calmement". 

    20h22: Alors que Nicolas Sarkozy n'a toujours pas réagi officiellement, son entourage se confie au blog du Monde, l'Elysée côté Jardin: "Cela arrive trop tôt, selon un proche du président. Cela serait arrivé à quinze jours de la présidentielle, cela aurait été le coup de théâtre qui l'aurait empêché d'aller jusqu'au bout. Là, nous sommes dans une période trouble. Tout change, toutes les semaines, pas par petites touches, mais par cataclysme. Selon un ténor de la majorité, "il faut réfléchir à la manière de réagir. Il ne faut pas donner l'impression de se réjouir ou de se précipiter".  

    20h20: Selon un communiqué du directeur du Sofitel de Times Square, l'employée qui affirme avoir été sexuellement agressée par DSK "donne entière satisfaction tant en ce qui concerne la qualité de son travail que son comportement". 

    20h17: Tristane Banon, cette jeune journaliste qui assure que DSK a essayé de la violer y a quelques années, mais qui n'avait pas porté plainte à l'époque, devrait le faire plainte dans les jours qui viennent. C'est sa mère, Anne Mansouret, qui l'a indiqué sur i-Télé.

  • Jean-Marie Le Pen : “Si DSK n’est pas mis en prison, il pourrait être fessé cul-nu en place de la Concorde par exemple”

    Après Jacques Myard, Nicolas Dupont-Aignan et Christine Boutin, Jean-Marie Le Pen, Président d’honneur du Front national réagit au « DSKgate » dans les colonnes des Nouvelles de France :

    Nouvelles de France : Quelle est votre première réaction à l’affaire DSK ?

    Jean-Marie Le Pen : Ecoutez, les Chinois disent que le poisson pourrit par la tête, chez nous il semble que cela soit autrement… (rires)

    Croyez-vous que DSK ait vraiment pu faire cela ?

    C’était sa réputation, on disait qu’il avait des pulsions… Il a déjà eu des histoires de ce type, non ? Il n’y a que Madame Boutin qui l’a épargné, jusqu’à prendre sa défense. Madame Boutin a dû se retrouver dans cette situation là et il ne lui a rien fait. Remarquez, ça se comprend !

    Pensez-vous que l’on ne va pas assez loin dans ces réactions ou, au contraire, qu’on en fait trop ?

    Dominique Strauss-Kahn va être mis en prison, je pense. S’il n’est pas mis en prison, il pourrait être fessé cul-nu en place de la Concorde par exemple !

    Croyez-vous que les Français apprécient les histoires sulfureuses de ce type ou sont, au contraire, qu’elles les dégoûtent ?

    Non, je pense que les Français apprécient la gaudriole, à condition qu’elle soit volontaire mais ils n’apprécient pas du tout la gaudriole forcée. Tout cela s’apparente à un viol non ?

    C’est ce que semble penser la justice américaine…

    Je ne sais pas. Demandez peut-être au juge d’instruction de Carpentras d’instruire l’affaire ! (rires) 

    Certains imaginent un complot visant à piéger Dominique Strauss-Kahn, croyez-vous cela possible ?

    D’habitude, c’est les socialistes qui les font les complots. Encore une fois ça ne m’étonne pas ! Monsieur Strauss-Kahn avait déjà eu des problèmes avec une secrétaire au FMI. Mais il y a quand même quelque chose de curieux dans cette affaire. Qu’il ait quitté sa chambre en y laissant ces affaires et son téléphone portable, c’est tout de même curieux… L’enquête va montrer s’il avait déjà une place réservée dans cet avion ou s’il est parti la paille au cul, si j’ose dire. Moi, je regrette un peu, je trouvais que c’était un bon candidat, très représentatif du Parti socialiste, on perd une bonne cible là ! (rires)

    La cible a été atteinte d’une certaine manière…

    Oui mais, malheureusement, avant le match.

    N’est-ce pas représentatif d’une crise de valeurs dans la classe politique ?

    Ce qui me choque ce n’est pas qu’un personnage bascule dans l’illégalité, c’est que des tas de gens essaient de lui trouver des circonstances atténuantes, comme s’ils se sentaient solidaires de cette affaire, c’est drôle, ça, non ?

    Pensez-vous que les réactions auraient été les mêmes si cela était arrivé à un candidat de droite ?

    Je pense qu’il y aurait eu un tollé général d’indignations. C’est un peu comme quant on tue le fils de Kadhafi, sa belle-fille et ses enfants, ça ne fait pas de bruit. Imaginons que ça soit le fils et la bru de Monsieur Sarkozy et ses petits-enfants, ou bien encore ceux d’Obama, ça en aurait fait du bruit ! Quel crime abominable, contre l’humanité même ! Mais pour Kadhafi, ce ne sont « que » des dégâts collatéraux.

    Nicolas Dupont-Aignan nous disait qu’en France la police n’aurait peut-être pas osé l’arrêter.

    Ça, c’est une réflexion très pertinente.

    15/05/11

     

  • Un long parcours judiciaire attend DSK aux Etats-Unis

    Dominique Strauss-Kahn risque jusqu'à vingt ans de prison s'il est reconnu coupable des crimes dont on l'accuse. 

    Inculpé pour «agression sexuelle», «séquestration de personne» et «tentative de viol», Dominique Strauss-Kahn risque jusqu'à 20 ans de prison s'il est déclaré coupable. Il devait comparaître dimanche après-midi devant un juge new-yorkais, après avoir passé la nuit dans une cellule de la police de Harlem spécialisée dans les crimes sexuels. Son avocat à New York, Benjamin Brafman, a annoncé qu'il plaiderait non coupable et niait en bloc tous les faits dont l'accuse la femme de chambre de l'hôtel Sofitel, qui a porté plainte samedi.

    La comparution de Dominique Strauss-Kahn devant le parquet n'est que la première étape de la procédure judiciaire qui vient de s'enclencher à New York. Contrairement au système inquisitoire français, dans lequel un juge d'instruction met en examen le prévenu, puis décide ou non de le renvoyer devant un tribunal à l'issue d'une longue enquête à charge et à décharge, la justice américaine repose sur un système accusatoire. Autrement dit, le procureur rassemble les preuves pour démontrer l'éventuelle culpabilité de l'accusé. À la défense de prouver l'innocence de son client.

    Extradition 

    Après la comparution de dimanche, le juge devait décider, soit de garder Dominique Strauss-Kahn en détention provisoire, soit de le libérer sous caution. Les avocats pénalistes de Washington, que Le Figaro a pu joindre, penchaient pour cette deuxième hypothèse, tout en restant prudents quant aux spécificités du droit dans l'État de New York. «Les conditions de sa libération et de la caution à payer seront sans doute soigneusement étudiées par le juge, ce dernier évaluera probablement le risque de fuite, vu que le directeur du Fonds monétaire international s'apprêtait à prendre un avion pour la France», commentait dimanche l'avocat pénaliste William Moore.

    «Le souci de la justice américaine sera d'assurer qu'il se présente bien aux futures convocations. Je ne serais donc pas surpris qu'on lui interdise de quitter le sol américain», ajoutait-il, persuadé que le juge allait sans doute se pencher de très près sur les conventions d'extradition qui existent entre la France et les États-Unis. «Si c'était un citoyen ordinaire, l'interdiction de voyager serait plus que probable, mais dans le cas de Strauss-Kahn, une personnalité politique ultraconnue, peut-être sera-t-il autorisé à le faire», tempérait un autre avocat. Il soulignait toutefois que son départ apparemment précipité de l'hôtel, et le fait qu'il ait laissé derrière lui son téléphone portable et plusieurs effets pourraient être retenus contre lui comme des «preuves de la conscience qu'il avait de sa culpabilité».

    Visa et immunité

    L'importance de la caution devrait être à la mesure de la lourdeur des charges qui pèsent sur le prévenu, précisent ces avocats, parlant d'accusations «d'une extrême gravité». La libération peut être assortie d'autres conditions, comme celle de signaler en permanence où il se trouve. La procédure habituelle veut que le juge décide de convoquer dans les jours qui viennent un «grand jury» de 16 à 23 citoyens pour écouter la position du procureur, celle de la défense, et décider d'une inculpation formelle (appelée indictment). «L'accusation devra en principe fournir des preuves supplémentaires» pour que l'on puisse aller au procès, note un autre avocat sans lien avec la défense.

    La police de New York a affirmé avoir relevé sur le corps de la jeune femme, des échantillons de preuves qui pourraient permettre d'identifier l'ADN du directeur du FMI, accusé notamment d'avoir forcé la femme de chambre à une fellation. Selon la législation de l'État de New York, une fellation non consentie est considérée comme un crime sexuel.

    Bien que la police de New York ait affirmé que DSK ne bénéficiait d'aucune immunité, le Quai d'Orsay a battu dimanche le rappel de ses experts, pour vérifier si Dominique Strauss-Kahn ne pouvait exciper de la protection réservée aux diplomates français. Selon l'accord qui régit les relations entre le FMI et les États-Unis, l'immunité ne concerne que les activités menées par un éventuel accusé «dans le cadre de ses fonctions», a expliqué une source française. Mais une autre convention datant de 1947, concernant les organisations spécialisées des Nations unies, spécifie que tous les directeurs et secrétaires généraux bénéficient des mêmes immunités que les diplomates de leurs pays respectifs. «Apparemment, cette immunité ne s'applique pas à Strauss-Kahn, car il est sous visa G4 et non G1», affirmait toutefois une source informée dans les milieux des organisations internationales à Washington.

    Source Le Figaro - 15/05/11

  • La nouvelle carte d'identité israélienne sera un hommage aux victimes de l'holocauste

    Il y a quelques jours, JSSNews révélait que les nouvelles cartes d’identités israéliennes seront parmi les plus sûres du monde :

    Dans les prochains mois, les citoyens israéliens seront appelés à remplacer leurs anciens passeports et cartes d’identité avec de nouveaux moyens sophistiqués d’identification.

    Aujourd’hui et pour la première fois, le ministère de l’intérieur a dévoilé les nouvelles cartes d’identités. L’événement était de taille puisque l’on a appris qu’elles commémoreront tous les Juifs tués lors de l’holocauste nazi.

     

    Des nouveaux immigrants montrant leur carte d'identité israélienne

    Les numéros de cette nouvelle carte débuteront à 6.000.000 comme le nombre de Juifs assassinés par les nazis. Ce qui insinue que ces 6.000.000 de Juifs sont considérés comme autant d’Israéliens. De plus, les nouvelles cartes, qui seront introduites dans les prochains mois, auront en plus du numéro symbolique, une étoile de David symbolisant le caractère juif de l’État d’Israël.

    Baruch Dadon, chef de projet de la nouvelle carte d’identité en Israël au ministère de l’Intérieur, a déclaré que le comité gouvernemental chargé de la planification de ces cartes biométriques a jugé important et nécessaire d’incorporer cet honneur pour les 6.000.000 de victimes innocentes.

    « Nous ne les avons pas oubliés », a déclaré Dadon. « Ils sont avec nous … et ils le seront toujours dans dans le futur. » « Nous sommes l’État des Juifs », a déclaré Dadon. « Je pense que cela était nécessaire. »

    Les nouvelles cartes ont été conçues pour empêcher les falsifications. Chaque carte comportera une puce contenant des informations cryptées, y compris les empreintes digitales du porteur. Dadon a déclaré qu’il espérait que président d’Israël obtiendrait la première carte – numéro 6.000.001.

    Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

     
     09/05/11