Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Israël - No comment

    Célébrations de Yom Kippour

    27/12/11

  • Pour jean-Marc Ayrault, "Noël" est-il un gros mot ?

    27/12/2011 – 14h00
    NANTES (NOVOpress Breizh) – « A toutes et à tous je souhaite de bonnes fêtes et une très belle année 2012, l’année du changement ». Le 23 décembre, sur son blog, Jean-Marc Ayrault a présenté ses vœux à ses concitoyens. Rien de plus normal en cette fin d’année, sauf que le maire de Nantes se garde bien de faire la moindre référence à la fête de Noël.

    Cette disparition n’étonnera pas tous ceux qui ont constaté que les animations municipales de Noël, dans la cité des Ducs de Bretagne, ont supprimé quasiment tous les symboles traditionnels de cette fête – sapin, étoile, crèche, Père Noël et ses rennes – et ne sont plus que d’anonymes illuminations à l’image d’un centre commercial de la société marchande.

    Fête chrétienne célébrant la naissance de Jésus de Nazareth, Noël est pourtant célébré depuis le IVe siècle chaque 25 décembre. On sait qu’avant l’apparition du christianisme cette date correspondait, dans la tradition européenne, aux fêtes païennes du solstice d’hiver. « Noël, fête de la mémoire, fête de la famille, fête du souvenir, fête de la foi et de l’espérance a traversé siècles et millénaires sans mourir », constate le philosophe Alain de Benoist*. Une fête profondément enracinée donc, pour les croyants comme pour les non-croyants, en particulier dans la culture des peuples d’Europe.

    En s’abstenant de citer le mot de Noël, Jean-Marc Ayrault entend sans doute, en bon mondialiste, éviter tout vocable susceptible de heurter la « diversité » ou de troubler le « vivre ensemble ». Dans un pays « multiculturel », il est des références qu’il vaut mieux, selon lui, éviter. Alors quoi de plus « neutre », de plus « universel », que de souhaiter simplement « bonnes fêtes », sans plus de précision ? Etonnante évolution de la part de celui qui fut, durant son adolescence, militant du Mouvement rural de la jeunesse chrétienne.

    François Hollande, dont Jean-Marc Ayrault a été nommé récemment « conseiller spécial », n’a manifestement pas les mêmes pudeurs à l’égard des fêtes islamiques. «Ces jours-ci, nous célébrerons la grande fête de solidarité et de partage qu’est l’Aïd-al-Fitr. A l’issue du mois de jeûne du Ramadan, temps fort de joie, d’échange de vœux et de présents, elle illumine la vie et les demeures de millions de nos compatriotes de culture musulmane. Issue d’une longue tradition et porteuse de riches héritages culturels, par les valeurs qu’elle porte et l’idéal social qu’elle vise, elle s’inscrit pleinement dans cette démarche d’universalité », écrivait en septembre dernier le candidat socialiste à la présidentielle.

    Aujourd’hui s’il est de bon ton, pour les hiérarques du PS, de rendre un hommage appuyé à l’Islam, évoquer le simple mot de Noël leur semble par contre incongru. « Le mot ‘ouvrier’ n’est pas un gros mot » aurait dit un jour Pierre Mauroy à Jospin. Il semble bien, pour Jean-Marc Ayrault, que celui de Noël en soit un.

    * Fêter Noël, Editions Atlas 1982

     

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.nov

  • Tarascon: vu et pris en train d'arracher les affiches du Front national !

     

    Depuis quelques semaines à Tarascon (13), les affiches collées par les militants du Front National sont dégradées. Tags, inscriptions injurieuses et mensongères, affiches déchirées… Les colleurs du FN ont cherché à en savoir un peu plus et surprise ce matin de Noêl ! Caméra au poing, un lecteur de Nations Presse Info a pu filmer l’auteur des dégradations en pleine action : Jean-René Soler, le candidat du PS aux cantonales de 2011 sur Tarascon ! A noter qu’il doit son investiture à Jean-Noël Guérini président du Conseil général des Bouches-du-Rhône mis en examen en septembre 2011 pour prise illégale d’intérêt, trafic d’influence et association de malfaiteurs.

    Hier, les militants frontistes ont encore boîté, l’accueil était remarquable, surprenant, il se passe quelque chose… Les adversaires du front National et de Marine Le Pen le sentent, ceci explique cela !

  • "9-3" - Etrangers au sens strict: 40% de la population - 150 000 clandestins

    26/12/2011 – 20h50
    BOBIGNY (NOVOpress) –
    Selon les chiffres de la préfecture de Seine-Saint-Denis cités par le JDD, le “9-3″ compte 150 000 clandestins (soit 10% de la population) et 450 000 étrangers en situation régulière (environ 40% de la population) !

    Les “étrangers” représentent donc officiellement pas très loin de la moitié de la population du département. Avec les nombreux français “de papier” et de droit du sol, cette moitié doit être très allégrement dépassée avec une substitution de population considérable.

    Avec de tels chiffres, il est facile de se rendre compte que les estimations officielles citées depuis plusieurs dizaines d’années par les différents gouvernements et les médias sont totalement fausses. Un exemple ? En 2004, la Direction centrale du contrôle de l’immigration et de la lutte contre l’emploi clandestin (Diccilec) avançait le chiffre de 200 000 immigrés en situation irrégulière en France…. Un chiffre que l’on peut multiplier par 4 voire 5 et même plus si l’on intègre la Guyane, Mayotte et les départements d’Outre-Mer.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • ALBI - A peine sorti de prison, le violeur agresse sexuellement 4 femmes et.. s'échappe du commissariat

    On peut s'interroger sur l'efficacité du suivi socio-judiciaire strict qui lui était imposé, comme le rapporte La Dépêche.

    Hier matin à Albi (Tarn), un homme de 21 ans a agressé sexuellement quatre femmes en plein centre-ville. En moins d'une heure, il s'en est pris à des femmes croisées par hasard.

    Il a commis des attouchements sexuels sur deux victimes et en a violé deux autres, leur imposant des fellations.

    Informés des faits, les policiers ont mis en oeuvre des moyens importants qui ont permis l'interpellation rapide du violeur.

    Ce dernier, qui était alcoolisé, a été mis en dégrisement avant d'être placé en garde à vue.

    Il s'avère qu'il avait été condamné en 2009 par la cour d'assises des mineurs du Tarn à cinq ans de réclusion criminelle pour viol. Après avoir purgé une partie de sa peine, il était sorti de prison... il y a 10 jours !

    L'individu faisait l'objet d'un suivi socio-judiciaire strict avec notamment une interdiction de séjour dans le Tarn. Cela ne l'a pas empêché d'agresser sexuellement quatre femmes dans ce département.

    Cette affaire pose une nouvelle fois la question de la prévention de la récidive, comme le souligne La Dépêche.

    Selon Le Figaro, le mis en cause s'est échappé du commissariat d'Albi où il se trouvait en garde à vue.

    Non menotté, il a sauté par la fenêtre d'un bureau au premier étage. Selon le Figaro, il allait alors être menotté pour être conduit en cellule.

    Il a atterri sur un fourgon et a pris la poudre d'escampette.

    Retrouvez cet article sur LePost.fr

    25/12/11

  • Photo mystère n°4

    untitled.bmp 4884.jpg

  • Protection des phoques: Bardot remercie Vladimir Poutine

     

    L’ancienne icône du cinéma français devenue militante contre la maltraitance des animaux est loin d’être prophète en son pays. Alors qu’en France, Brigitte Bardot regrette de ne pas voir aboutir certaines de ses requêtes faites au président de la République, la comédienne a apparemment trouvé un homme sensible à sa cause en la personne de Vladimir Poutine.

    Mardi 20 décembre 2011, elle a donc envoyé au Premier ministre russe une lettre dans laquelle elle lui fait part de sa joie après le vote le 17 octobre dernier d’une loi russe interdisant le commerce des peaux de phoques du Groenland. La loi passée inaperçue a été dévoilée tout récemment par le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW).

    Brigitte Bardot a remercié Vladimir Poutine « pour ce plus beau des cadeaux de Noël ». « Mon Premier ministre préféré, je vous souhaite le meilleur pour les mois et les années qui viennent (…) Merci infiniment d’avoir toujours été attentif à mes suppliques, je regrette de ne pas bénéficier d’un pareil soutien dans mon propre pays qui est scandaleusement rétrograde lorsque s’agit de défendre les animaux », écrit la Française. Un courrier que ne manquera pas d’apprécier le premier ministre russe…

    La Russie est en effet un pays sensible au sort des phoques. En 2009, comme le rappelle l’AFP et l’IFAW, le pays avait mis un terme à la chasse aux phoques du Groenland sur son territoire. Une vraie victoire pour Brigitte Bardot, qui se consacre corps et âme à la défense des animaux depuis ses adieux au cinéma en 1973.

    Source

  • De l'intelligence des ces "Droits de l'Homme" qui installent l'islamisme dans le monde arabe...

    De l’intelligence de ces « Droits de l’Homme » qui installent l’islamisme dans le monde arabe…
     
     
     
    Par Aymeric Chauprade le 24 décembre 2011.

    De l’intelligence de ces « Droits de l’Homme » qui installent l’islamisme dans le monde arabe et nous brouillent avec la Turquie

    J’interromps un long silence, volontaire je dois dire. La raison ? Une série de voyages, en Amérique Latine et dans le monde arabe, mais aussi la volonté de prendre du recul sur les nombreux événements qui ont fait l’actualité géopolitique récente. J’espère ne pas avoir trop déçu les lecteurs qui pouvaient légitimement attendre mes commentaires durant ces dernières semaines. Qu’ils se disent que dans notre société d’immédiateté et de bruit de fond, l’abstinence est parfois aussi un bienfait.

    Le vote par l’Assemblée nationale française d’une loi visant à pénaliser la contestation du génocide arménien, me paraît être, pour quelqu’un qui se réclame de la realpolitik, un bon moment pour revenir au débat.

    Chacun sait que je ne suis pas favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, et cela pour une raison simple : non seulement les Turcs ne sont pas Européens, mais l’idée même d’Europe s’est en partie forgée dans l’opposition aux Turcs ottomans. Le monde turcophone est une aire culturelle qui dispose de ses propres critères de civilisation, et qui ne se limite pas à la différence religieuse avec les Européens. Et si j’étais méchant je dirais que comme je ne leur veux pas de mal, je n’ai aucune raison de leur souhaiter de monter à bord d’un bateau qui coule.

    De l’intelligence de ces « Droits de l’Homme » qui installent l’islamisme dans le monde arabe…

    (Cliquez sur la carte pour l'agrandir)

    Pour autant, ni l’affection particulière que l’on peut avoir pour le peuple arménien, ni l’opposition à la candidature turque à l’Union européenne, ni l’hostilité de certains à l’AKP (le parti islamiste turc qui gouverne), ne doivent affaiblir notre sens du discernement.

    J’ai noté, ces derniers temps, que chercher des querelles avec « l’ennemi musulman » était une pente à laquelle cédait facilement nombre de défenseurs des identité française et européenne. Quand on entre dans ce genre de logique, il convient d’observer une règle de bon sens qui consiste à se demander pour « qui roule-t-on vraiment ?». Il est évident que tout ce qui conduit à l’aggravation des relations entre les peuples européens d’un côté, les Iraniens, les Turcs et les Arabes de l’autre, sert les Américains et les Israéliens mais certainement pas les Européens. Que les choses soient dites clairement à ceux qui pensent qu’Huntington a la solution : nous ne règlerons pas le problème de l’immigration extra-européenne par la guerre avec le monde musulman.

    Qu’il soit bien entendu ensuite que le réalisme (la realpolitik) ne signifie pas l’absence de valeurs ou le piétinement de celle-ci. J’établis une distinction entre les « Droits de l’Homme », fabrication révolutionnaire, et la liberté, valeur antique. La liberté, depuis la Grèce, Rome et la chevalerie européenne, est au cœur de ce qu’est l’identité de l’Europe. Les « Droits de l’Homme », droits abstraits d’un homme abstrait, n’ont, quant à eux, rien à voir avec la liberté, et bien au contraire ! C’est au nom des « Droits de l’Homme » que depuis deux siècles, une seule et même politique de Terreur est menée : celle qui terrorise les peuples et les prend pour cible davantage que leurs armées, autant dans la France de 1793, que dans le vieux Sud américain, l’Irak baasiste, la Serbie, la Libye, sans oublier Dresde et Cologne, Hiroshima et Nagasaki. Demain peut-être en Syrie et en Iran.

    La realpolitik c’est d’abord le rejet de cette politique des « Droits de l’Homme » qui au prétexte de libérer les peuples d’eux-mêmes, n’a cessé de les assassiner et de les livrer à des forces étrangères. La realpolitik c’est ensuite la première protection de l’idée de liberté, valeur essentielle de la civilisation européenne, qui, associée à l’exercice de la raison, est sans conteste le premier facteur du succès historique de l’Occident.

    Les « Droits de l’Homme » sont en train de détruire ce que la liberté et la raison ont construit durant des siècles en Occident. Ils détruisent la puissance des Européens, annihilent leur capacité à établir le diagnostic lucide de leur véritable situation (soumission au mondialisme américain et invasion migratoire), et attisent le ressentiment des vieux peuples qui reviennent dans l’Histoire (Russes, Chinois, Indiens, Iraniens, Turcs…).

    Je ne suis pas en train de contester la loi votée sur le génocide arménien au motif d’intérêts purement économiques qui seraient menacés et en m’asseyant sur mes principes. Je conteste cette mauvaise idée, parce qu’elle est, une fois de plus, le produit de l’aveuglement provoqué par la fiction des « Droits de l’Homme ».

    Et plus cette fiction s’impose dans notre pays, au détriment de la realpolitik, plus la liberté recule.

    Cela fait des années que la liberté d’investigation dans le champ de l’Histoire est fragilisée en France, qu’une politique de Terreur mémorielle règne sur notre pays, et que le débat est écarté au profit de la loi, surtout quand les vérités dominantes commencent à être menacées par des arguments « trop convaincants ».

    Il n’est plus permis d’affirmer librement les conclusions de travaux scientifiques portant sur certaines périodes de l’Histoire (Deuxième Guerre mondiale et époque coloniale surtout) ; il n’est plus possible d’énoncer des faits et des chiffres qui établiraient un lien entre immigration et criminalité. Et, à la différence du monde-anglo-saxon, il n’est plus possible de travailler sur les différences génétiques et biologiques entre groupes ethniques et raciaux.

    Ce n’est plus la science (sciences humaines et sciences exactes), ou du moins la résultante de ses libres débats, qui, chez nous, tend à énoncer la vérité, ce sont des dogmes idéologiques. Et quand ces dogmes faiblissent face à l’exercice de la raison, des lois viennent immédiatement à leur renfort pour empêcher la raison de progresser. Il existe un exemple consternant de cet effacement de la vérité scientifique, au profit de l’idéologie, un exemple qui normalement devrait réveiller les Français, ceci tout simplement parce qu’il frappe directement leurs enfants : la théorie du genre (la gender theory) qui postule que la différenciation sexuelle est le produit d’une détermination sociologique et non d’une détermination biologique, et qui est imposée à nos écoliers contre la vérité scientifique, et pas seulement contre les morales juive, chrétienne et musulmane, ou les sagesses asiatiques. Certes, les manuels d’histoire souffrent depuis bien longtemps d’une vision déformée de l’Histoire. Des médiévistes comme Régine Pernoud ou Jacques Heers se sont battus, à juste titre, contre l’image noire que l’enseignement républicain a donnée du Moyen-âge, un Moyen-âge version « Nom de la Rose », ramené aux dents pourries et à la peste, caricaturé à l’extrême pour mieux souligner la césure de la Renaissance, et surtout un Moyen-âge privé de sa dimension fondamentale : « l’enchantement » et la spiritualité. Ce qu’il y a d’essentiel dans le Moyen-âge – la puissance de la foi et l’enchantement du réel- est complètement passé à côté de nos écoliers. Comme la philosophie médiévale d’ailleurs, puisque notre enseignement de la philosophie saute allègrement de Platon à Helvétius.

    Au-delà du seul Moyen-âge, et pour renforcer sa légitimité, la République n’a cessé d’inculquer à ses petits écoliers une vision manichéenne de l’Ancien Régime. Cette vision grossière et contraire à la vérité s’est étendue ensuite à l’époque coloniale, durant les trois dernières décennies, avant d’englober toute l’histoire de la civilisation européenne. Dans les derniers manuels d’histoire, ce qui a été grand est dominateur (Louis XIV, Napoléon) y est volontairement effacé au profit d’empires africains incertains. Mais ce qui est nouveau, c’est que les manuels de Sciences et vie sont maintenant également rattrapés par les dogmes de l’idéologie dominante. Le fait d’être un homme ou une femme est désormais aussi une construction sociologique, et par voie conséquence il devient légitime de pouvoir changer de sexe et de sexualité. Pour donner une légitimité au résultat de la démonstration, on a tordu les prémisses. Le contraire même de la démarche scientifique. Le sexe n’est plus un fait naturel qui s’impose à nous dès notre naissance. Il y a eu d’abord la négation des races, puis celle des nations ; il y a maintenant la négation des sexes. Et la loi est désormais chargée de nous faire entrer dans le crâne cette nouvelle religion mondialiste et ses dogmes si le conformisme n’y parvient naturellement.

    La nouvelle religion a sa nouvelle histoire, laquelle est ponctuée de catastrophes incontournables, l’Holocauste des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale, dans une moindre mesure celui des Arméniens, puis le « petit Holocauste » du 11 septembre. Certains holocaustes, mais pas tous quand même ! On n’imagine guère en effet nos députés votant une loi pénalisant la négation du génocide des Indiens d’Amérique lequel est au fondement pourtant de la création des… Etats-Unis d’Amérique, ou une loi visant à pénaliser la négation de la dispersion palestinienne en 1948 et 67. Il faut dire qu’il y a peu d’Indiens qui voteront à la prochaine élection présidentielle française. Peu de Palestiniens non plus, même s’il y a pourtant beaucoup d’Arabes. Le jour où la proportion de Français rendue à l’évidence deviendra trop importante, on peut s’attendre aussi à une loi pénalisant la contestation de la version officielle du 11 septembre.

    Aujourd’hui en France, un universitaire est emprisonné (après avoir été détruit socialement) non parce qu’il a attaqué une banque, mais parce qu’il a osé contester des vérités historiques établies. A l’inverse, ceux qui martyrisent de façon quotidienne les Français (Français de souche ou nouveaux Français qui ont fait l’effort de le devenir), ceux qui les volent, les insultent, bousculent leurs Anciens, giflent leurs ados maigrichons et terrorisent leurs filles, ceux-là n’intéressent pas la représentation nationale. Non, pour nos députés, ce qui est essentiel, c’est de protéger la mémoire arménienne, comme ils ont cru protéger hier la mémoire juive. Manifestement, ils pensent avoir été élus pour ployer le genoux devant les minorités, plutôt que de s’occuper d’une masse de braves Français qui, inexplicablement, renouvelle leur mandat depuis plus trois décennies.

    Je reviens à cette mauvaise idée de loi sur le génocide arménien.

    1/ Ce débat doit rester celui des historiens. Les Parlementaires, dont l’immense majorité est ignare et n’a jamais lu un seul livre sur le sujet, n’ont pas à s’en mêler. Ils n’ont pas plus à légiférer sur la question arménienne, qu’ils n’avaient hier à légiférer sur les drames concentrationnaires de la Deuxième Guerre mondiale.

    2/ Cette question appartient aux Arméniens et aux Turcs. Elle regarde la Turquie et non la France. Il ne faut pas venir se plaindre si les Turcs rétorquent en se penchant sur notre passé colonial. C’était tellement prévisible. Parler de l’Algérie pour les Turcs c’est à la fois semer la discorde chez nous, mais c’est aussi rehausser un peu plus le prestige de la Turquie dans le Maghreb.

    3/ Puisqu’ils se déchaînent maintenant sur notre Histoire, j’avoue que les Turcs m’amuseraient davantage s’ils s’occupaient de légiférer sur la contestation du génocide des Vendéens. S’ils ne les connaissent pas encore, qu’ils se précipitent sur les ouvrages de l’historien français Reynald Secher, spécialiste des guerres de Vendée. Ils y trouveront les textes de la Convention qui donnèrent l’ordre explicite d’éradiquer une population toute entière, hommes, femmes et enfants, parce qu’elle était, « ethniquement contre-révolutionnaire ». Ils y découvriront des massacres de grande ampleur qui ne furent pas le résultat de débordements de la part des exécutants, mais bien d’une politique criminelle planifiée au plus haut niveau, utilisant des méthodes préindustrielles (noyades de Carrier à Nantes) et la Terreur (tannage des peaux humaines, cannibalisme, nourrissons cuits dans des fours à pain) comme stratégie militaire.

    J’imagine même combien il serait intéressant pour une élite turco-musulmane anti-kémaliste de découvrir combien leurs adversaires « jacobins » kémalistes doivent à cette Révolution française, qui fut aussi la matrice des grands totalitarismes du XXe siècle (bolchévisme et nazisme) et des grandes idéologies modernistes du monde musulman auxquels s’opposent islamistes turcs et Frères musulmans arabes !

    Si nos gouvernants ont décidé de nous faire détester par des pays émergents qui comptent de plus en plus, comme le Mexique (avec l’affaire Cassez) ou la Turquie, qu’ils nous le disent clairement. De ce point de vue, les résultats engrangés durant l’année 2011 sont exceptionnels !

    Le Maroc a interdit ce 24 décembre un numéro de L’Express figurant Mahomet. Début de scandale dans notre presse bienpensante. Et alors ? Nouvelle leçon de Droits de l’Homme à attendre ? Il ne suffit pas de la Tunisie, du Mexique, de la Turquie, il nous faut maintenant nous fâcher avec le Maroc ? Nous ne sommes pas en train de parler d’un titre de presse français sur le territoire français mais d’un titre français sur le territoire marocain. Les Marocains n’ont-ils pas le droit de faire ce qu’ils veulent chez eux ? Ils seraient donc obligés de distribuer L’Express ? Ils n’auraient pas le droit d’estimer que ce numéro peut constituer un trouble à l’ordre public ? Le PJD (parti islamiste) n’est-il pas encore assez fort (il gouverne) à nos yeux qu’il faudrait lui donner encore un coup de main ? Il y a un très bon historien du Maroc (je ne peux que recommander son excellente et tout récente Histoire du Maroc), Bernard Lugan, qui ne doit pas en revenir en ce moment ! Il y a quelques jours, l’émission qu’il enregistrait pour I-Télévision avec Robert Ménard, afin de présenter un décapant essai « Décolonisez l’Afrique ! » (paru aux éditions Ellipses début décembre) a été purement et simplement censurée, c’est-à-dire enregistrée mais jamais diffusée. Nos amis marocains devraient poser la question à la France : si vous interdisez de parole votre plus grand historien de l’Afrique, pourquoi alors ne pourrions-nous pas (de temps en temps mais c’est tellement rare !) bloquer la distribution de l’un de vos titres de presse sur notre territoire ?

    A la vitesse à laquelle la France multiplie les querelles, il faut maintenant se poser une question. La bêtise suffit-elle à tout expliquer ? Ou bien y-a-t-il une force plus profonde qui pousse dans cette direction ?

    Aymeric Chauprade

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Un quotidien lithuanien populaire édite un numéro spécial sur "les Juifs"

     

    Le journal lithuanien Vakaro žinios (Nouvelles du soir) ne parvient apparemment pas à surmonter les vieux sentiments antisémites du passé et la une de son numéro du 21 décembre 2011, intitulé "Les Juifs", révèle un nouveau seuil particulièrement inquiétant de propagation de la haine raciale (dans un style qui rappelle tristement celui des années 30) contre la petite minorité des derniers Juifs lituaniens (environ 95% de la population juive de l'état a été assassinée pendant l'Holocauste).
     
    L'immense gros titre est accompagné de la phrase, en beaucoup plus petit, "On ne voit pas la nécessité de payer leurs taxes et leur sécurité sociale", et laisse l'impression que "les Juifs sont responsables des difficultés économiques de l'état". Le reste de la page comprend une grande photographie du rabbin Sholom Ber-Krinsky, du Centre de Chabad de la capitale lituanienne. L'organisme de surveillance de l'antisémitisme en Lituanie, defendinghistory.com, a publié un PDF du dossier publié par Vakaro žinios, avec une traduction complète en anglais.
     
     
    Pour lire la traduction en anglais (defendinghistory.com)
     
     
    Le Crif - 26/12/11
  • Bernard Lugan dépose plainte contre le socialiste Bruno Julliard-Landau

    Bernard Lugan tient à faire savoir qu’il vient de déposer plainte pour injure publique contre M. Bruno Julliard-Landau, membre du conseil de Paris, adjoint au maire de Paris chargé de la jeunesse et secrétaire à l’éducation du Parti socialiste.
    Le mercredi 21 décembre 2011, dans l’émission Happy Hour présentée par M. Thierry Ardisson, M. Bruno Julliard-Landau a en effet traité Bernard Lugan de « raciste » et d’« antisémite ».
    Pour mémoire, le 30 juin 2004, la Cour d’Appel de Lyon a condamné Bruno Julliard- Landau à payer à Bernard Lugan la somme de 4200 euros à titre d’amende, plus les frais de justice, pour l’avoir accusé de « négationnisme ».
    Monsieur Julliard-Landau qui exerce de hautes responsabilités au Parti socialiste a dans cette affaire un comportement bien peu républicain. Lors de la même émission télévisée il a en effet déclaré qu’il considérait sa condamnation du 30 juin 2004 pour diffamation comme un honneur, insultant en cela l’institution judiciaire.
     
     
    26/12/2011
     
    Blog officiel de Bernard Lugan

  • Nouvelle hausse du chômage en novembre

    Le n’en finit pas de progresser en . En novembre, selon les chiffres rendus public ce lundi soir par le ministère du Travail, le nombre de chômeurs de catégorie A (ceux qui n’ont exercé aucune activité) a encore progressé de 1,1%. Ce qui signifie que 29 900 personnes supplémentaires ont franchi les portes de Pôle le mois dernier.

     

    Au global, les services de l’emploi recensent désormais pas moins de 2 844 800 demandeurs d’emploi sans activité, un chiffre en progression de 5,2% sur un an.

    Toutes catégories confondues (c’est à dire en comptabilisant aussi les personnes qui ont eu une activité réduite durant le mois), le bilan est encore plus sombre: 4 244 800 personnes sont à la recherche d’un emploi durable en France , soit 5,7% de plus qu’il y a un an. Inexorablement, la courbe du chômage repart très nettement à la hausse. Depuis le printemps - à l’exception d’une pause en août - les rangs des demandeurs d’emploi ne cessent de gonfler.

     Ce lundi soir, Xavier Bertrand, le ministre du Travail s’est empressé de commenter ces mauvais résultats, en demandant que «tout soit mis en oeuvre pour garantir la réactivité du service public de l’emploi face aux difficultés des entreprises et des salariés». Pour le ministre, qui se rendra demain dans une agence Pôle Emploi à Reims (Champagne) accompagné de Jean Basseres le nouveau directeur général de l’institution, pas de doute, si l’emploi cale, c’est une «conséquence directe du ralentissement économique». Dans les faits, les licenciements pour motifs économiques sont en effet ceux qui progressent le plus vite au mois de novembre: en hausse de 11,1% par rapport à octobre. La preuve que les entreprises, confrontées à la crise, réduisent leurs effectifs. Et les premiers mois de 2012 ne s’annoncent guère porteurs d’espoir.

    Le Parisien - 26/12/11

  • Russie: échec à la subversion et au nouvel ordre mondial états-unien !

     

    L'oppositon "démocratique" russe : des braillards rouges, "oranges bruns" et quelques "libéraux"... poings levés !

    Libres propos

    Alors que la presse occidentale russophobe n’en fini pas de désinformer quant aux effectifs réels des manifestants anti-Kremlin dans les grandes villes de la Fédération de Russie ce 24 décembre, alors que les réseaux du Département d’Etat américain sont, à l’évidence, à la manœuvre, force est de constater qu’en cette fin décembre 2011 le tandem  Poutine-Medvedev vient, une fois de plus faire échec aux « orange bruns » et leurs alliés « libéraux ». A Moscou, comme le relate depuis quelques jours Daniel Besson (voir sur son site les méthodes pour calculer exactement le nombre de manifestants), observateur averti des questions russes, les premiers chiffres sur le nombre de protestataires en provenance « de toute la Russie » (sic)  commencent à tomber : ils montrent clairement l’échec de la tentative de subversion en cours dans cet immense pays.

    À Vladivostok, ce sont quelques 100 à 150 protestataires, du Parti communiste russe (KPRF) et du parti d’opposition Iabloko, qui on tentés de tenir tête à la majorité présidentielle et gouvernementale. En son temps, Lénine avait quand même fait mieux… Près de 200 manifestants à Khabarovsk, malgré une température de -20°C (ce qui relève tout de même de l’exploit) et quelques dizaines à Blagovechtchensk et Ioujno-Sakhalinsk, selon RIA Novosti. Le comble du ridicule a été atteint à Rostov sur le Don, où le nombre de manifestants était de 30 personnes pour une ville dont la population dépasse le million d’habitants, note le rédacteur de zebrastationpolaire. Pour se rendre compte des très « massives » manifestations en province, cliquez ici.

    A Moscou, une fois de plus, la guerre des chiffres fait rage, mais une analyse des capacités d’accueil de l’ Avenue Sakharov montre que la manifestation a difficilement pu réunir plus de 35.000 à 40.000 personnes au même instant. On est très loin des chiffres dithyrambiques annoncés sur les chaînes de télévision occidentales, en dépit de l’honnêteté intellectuelle la plus élémentaire.

    En excellents joueurs d’échecs, les responsables de la Fédération de Russie ont permis à ces démonstrations de rue d’avoir lieu dans le calme, afin d’afficher l’échec cuisant des responsables de cette agitation hétéroclite, parmi lesquels figurent désormais quelques personnalités politiques d’un autre temps, comme Gorbachev, le dernier dirigeant d’une URSS moribonde, heureusement disparue le 21 décembre 1991, il y a exactement 20 ans, et qui désormais négocie à prix d’or et toute honte bue des séminaires dans les universités américaines. Le principal responsable de l’échec d’un système honni et inhumain, comme porte-parole des opposants anti-Poutine, tout un symbole ! Ou encore l’ex-ministre des Finances Alexeï Koudrine dont les ambitions personnelles « libérales » n’intègrent pas les intérêts des peuples de la fédération. Des personnalités qui n’ont pas eu honte de s’afficher au milieu des drapeaux rouges du PC de Russie, qui se revendique ouvertement de Staline, des fanions de l’extrême droite identitaire et racialiste de groupuscules violents pour la plupart interdits par le pouvoir en place et des banderoles de groupes « libéraux » directement manipulés par des ONG qui ne cachent même plus leur attachement au Département d’Etat d’Hillary Clinton.

     

    Et pourtant, le Premier ministre Vladimir Poutine bénéficie toujours du soutien de la majorité des citoyens russes, comme le note Ria Novosti. Tenues le 4 décembre, les élections de la Douma ont été remportées par le parti au pouvoir Russie unie qui a obtenu la majorité absolue (238 sièges), mais perdu la majorité des deux tiers lui permettant de modifier seul la Constitution russe. Si Poutine et Medvedev avaient triché, on se doute bien qu’ils auraient eu l’intelligence de garder cette majorité des deux tiers…

    Cette opération subversive arrive justement à un moment où Moscou marque des points en matière géopolitique et géostratégique : en Syrie, tout d’abord, en demeurant inflexible vis-à-vis des Occidentaux et des monarchies pétrolières qui veulent remplacer le régime baasiste par un chaos généralisé au profit des islamistes comme en Egypte ou en Libye. Ou encore en Iran, en ayant fourni du matériel sophistiqué d’interception électronique, tout en intervenant auprès du régime afin de le freiner dans sa quête du nucléaire militaire. Moscou vient aussi de faire entrer en service dans sa marine de guerre de nouvelles unités de sous-marins au profit de la flotte du Nord, tout comme la mise en place de radars antimissiles à Kaliningrad. Tout cela inquiète bien évidemment les USA et leurs alliés et contrarie leur plans.

    Depuis plus de 10 ans, maintenant, Washington tente de reprendre la main sur la Russie, par des moyens détournés et ouvertement subversifs, dans le cadre d’une stratégie géopolitique définie par des stratèges occidentalistes comme Zbigniew Brzezinski (Le grand échiquier). Il s’agit d’affaiblir le plus possible cette puissance de la taille d’un empire, riche de ressources énergétiques considérables et géostratégiquement influente à la fois sur une partie de l’Asie et sur l’Europe. La calamiteuse période Eltsine avait autorisé un début de réalisation de ce plan audacieux qui aurait permis à l’hyperpuissance US de mettre à bas un concurrent sérieux dans sa politique visant à asseoir définitivement sa supériorité sur la planète. Il est donc évident que l’ère Poutine, qui permit de relever le pays d’une situation catastrophique, qui empêcha une guerre civile aux conséquences incalculables au lendemain de l’écroulement du communisme étatique et qui redressa en tous points la situation politique, économique, sociale, géostratégique et géopolitique de la fédération, apparaît aux yeux des mondialistes occidentaux comme une période à oublier.

    L’échec de ces manifestations du 24 décembre, en dépit de la désinformation occidentale, est un échec pour les tenants du nouvel ordre mondial états-unien. C’est en revanche une victoire pour les peuples à l’esprit vraiment libre dans un monde de plus en plus globalisé.

    NPI

  • Crèche et sapin de Noël

    photo.JPG crèche et sapin.JPG

    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Photo EB - 25 décembre 2011

  • Noël sanglant au Nigeria: 40 morts - Les attentats contre les catholiques sont revendiqués par une secte islamique

    Ce jour de Noël est aussi un jour de deuil au Nigeria : une série d'attaques visant des églises et revendiquées par une secte islamiste ont fait plus de trente victimes.

     
    L’attentat le plus meurtrier visait l’église Saint Thérèse de Madalla, près de la capitale du Nigeria, Abuja
    L’attentat le plus meurtrier visait l’église Saint Thérèse de Madalla, près de la capitale du Nigeria, Abuja MaxPPP

    Les appels à la paix de Benoît XVI ont tristement résonné au Nigeria, ce dimanche 25 décembre. Alors que des catholiques célébraient Noël, une série d’explosions a fait au moins 35 morts. Trois policiers et un kamikaze sont morts dans un attentat, à Damataru, dans le nord-est du pays. Ce dimanche également, deux autres attentats ont visé des catholiques. Le plus meurtrier a fait 30 morts, dans un église située en périphérie d’Abuja. Dans le centre, une explosion qui visait aussi une église, à Jos, a fait une victime. Une autre personne est morte à Damaturu, dans une explosion sur un rond-point. Samedi soir, un attentat a visé une église à Gadaka mais sans faire de victime.

     

    La secte promet de frapper encore

    Les cinq attaques ont été revendiquées par la secte islamique Boko Haram. L’organisation avait déjà frappé à Damaturu et Gadaka, deux villes situées dans l’Etat de Yobe. «Nous sommes responsables de toutes les attaques de ces derniers jours, y compris celle à la bombe contre l’église de Madalla. Nous continuerons à lancer de telles attaques dans le nord du pays dans les prochains jours», a averti, par téléphone un certain Abul Qaqa, affirmant parler au nom du groupe.

    Le pays est régulièrement la cible d’attaques et d’attentats attribués à Boko Haram. En août dernier, notamment, la secte avait lancé une opération suicide contre le siège des Nations unies à Abuja. Vingt-quatre personnes avaient été tuées. Le 24 décembre 2010, le mouvement s’était également désigné auteur d’attaques sanglantes à Jos. Ce sont là aussi des églises qui avaient été visées. Au total, ces attentats et leurs représailles avaient coûté la vie à 80 personnes.

    Actu France-Soir - 25/12/11

  • Présidentielle! Il n'y aura pas de minaret Nicolas Sarkozy

    Est-ce le 25 décembre ou le 1er avril ? La dernière provocation de Rachid Nekkaz qui a posé la première pierre d’un improbable minaret portant le nom de Nicolas Sarkozy, vendredi à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), passe mal.

     

    A la préfecture des Hauts-de-Seine, département du de la République, on n’apprécie guère la plaisanterie de cet ex-candidat à la présidentielle de 2007, toujours prêt à faire parler de lui. Avec ce minaret, Rachid Nekkaz, fondateur de l’association Touche pas à ma Constitution, prétendait « honorer » Nicolas Sarkozy, qui aurait permis, selon lui, de « sauver » une salle de prière promise à la fermeture. A l’Elysée, le chargé de communication du président de la République n’était « pas au courant » hier de cette « provocation fantaisiste », selon la formule d’un haut fonctionnaire du 92.

    Associé à Hassan Ben M’Barek, le fondateur d’une association baptisée FBI pour Front des banlieues indépendant, Nekkaz s’oppose à la fermeture de l’ancien lieu de culte pourtant décidée avec les fidèles de Gennevilliers, qui disposent aujourd’hui d’une grande mosquée neuve. Il envisageait de racheter le terrain pour 500 000 € et d’y bâtir le plus haut minaret d’Europe. Cependant, le propriétaire, Port de , « a refusé », fait savoir l’entourage du préfet. Et la mairie n’a jamais délivré le moindre permis de construire. Aucun minaret au nom de Sarkozy n’ornera donc jamais le ciel de Gennevilliers !

    Le Parisien - 25/12/11

  • Humour

    untitled.bmp père noël sarkozy.jpg

    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

  • Création d'un tribunal islamique en France prochainement: Sharia4France

    Une première en France

    Nous vous en parlions il y a quelques temps sur notre radio du web, nous envisageons la création d’un tribunal islamique en France qui permettra aux musulmans vivant dans ce pays d’accéder à des jugements tirés du Coran et de la Sounna de la part de savants du haq c’est à dire des savants de la 3aqida (du dogme) inchaalah. Notre travail consistera dans un premier temps à accueillir les dossiers complets afin que nous puissions traiter ceux-ci avec tout les éléments disponibles pour que les jugements rendus soit équitables en conformité avec la charia. Nous vous précisons que les situations trop complexes seront rédigés en arabe puis envoyés vers le minbar (site des savants du haq) pour qu’ils puissent nous aider à délivrer un jugement précis en conformité totale avec la charia. Ceci se fera avec l’aide de plusieurs étudiants en science de la charia et ne sera pas pris à la légère. Les délais pourraient parfois être long pour répondre à toutes les attentes qui sont nombreuses de la part de la communauté. Nous ferons notre possible aussi pour mettre en relation les tuteurs dans les cas où des musulmans de la aqida souhaitent se marier. Il vous faudra pour cela laisser tout vos coordonnés nous permettant de faire le travail inchaalah. Les soeurs seront prises en charges par des soeurs et les frères par des frères. Aucune mixité ne sera permise. Un standard téléphonique sera mis en place pour réceptionner les appels inchaalah.

    Une équipe dédiée à cela

    L’organisation a par conséquent l’ambition d’ouvrir un “tribunal” chargé de régler, selon la justice islamique, les différends matrimoniaux et les questions d’héritage.

    C’est en somme un “Centre de Services et de Conseils Islamiques” qui traitera, en accord avec la charia, tous les cas de divorces, d’annulation de mariage, de réconciliation ou de différends conjugaux et remettra un certificat si nécessaire. Nous avons conscience que les tribunaux mécréants ne seront pas forcément d’accord avec cette idée, cependant nous estimons que l’initiative est profitable même pour eux puisqu’elle se limitera à de la médiation et que cela permettra de désengorger peut-être leurs tribunaux qui prononcent et exécutent des peines sur des musulmans parfois alors que cela contredit le kitab et la sounna.

    La date de création sera le 1 février 2012 inchaalah, aussi, il sera possible de recevoir des gens personnellement dans certaines villes pour parler de vive voix.

    Pour toutes précisions supplémentaires veuillez nous contacter à : sharia4france@gmail.com 

    Nous mettons en garde nos détracteurs et les jaloux du web qui passent leur temps à nous dénigrer et calomnier notre groupe de surveiller leur propos. Nous sommes en période de fin des temps et le jour des comptes est proche. Il existe malheureusement dans cette communauté des gens qui n’épargnent pas les musulmans de leur bouche mais laissent tranquille les kouffars. Que ceux-ci prennent garde de ne pas être les responsables de la fitna.

    On demande à sa majesté ALLAH la science et la compréhension, la lucidité ainsi que la patience et l’endurance face aux épreuves qui risquent d’être de plus en plus nombreux.

    L’Unicité d’Allah dans le Jugement

    La démonstration de l’Unicité d’Allah dans le Jugement

    Allah a dit : « Et Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils m’adorent » (Sourate 51 – verset 56)

     Pour expliquer ce verset, les savants ont dit : « Pour qu’ils attestent de Mon Unicité ; Je leur donne des ordres et leur soumets des interdits »

     Allah a dit : « La création et le commandement n’appartiennent qu’à Lui. Toute gloire à Allah, Seigneur de l’Univers » (Sourate 7 – verset 54)

     Allah nous informe dans ce verset qu’Il est l’Unique Créateur de l’Univers et des humains, de ce fait Il Lui appartient à Lui l’Unique de commander l’Univers, ainsi que les humains, en leur donnant des ordres, et leur soumettant des interdits. En effet, le commandement dans ce verset concerne aussi bien le commandement cosmique, que le commandement législatif, et Allah n’a pas d’associé dans cela.

     Allah a dit : « Et Il n’associe personne à Son commandement » (Sourate 18 – verset 26)

     Allah a dit : « À Lui appartient l’Inconnaissable des cieux et de la terre. Comme Il est Voyant et Audient ! Ils n’ont aucun allié en dehors de Lui et Il n’associe personne à Son commandement » (Sourate 18 – verset 26)

     Allah a dit : « Le Jugement n’appartient qu’à Allah. Il tranche en toute vérité et Il est le Meilleur des Juges » (Sourate 6 – verset 57)

     Allah a dit : « Le Jugement n’appartient qu’à Allah. Il vous a commandé de n’adorer que Lui. Telle est la Religion droite, mais la plupart de gens ne savent pas » (Sourate 12 – verset 40)

     Allah a dit : « C’est Lui Allah. Pas de divinité à part Lui. À Lui la louange ici-bas comme dans l’au-delà. À Lui appartient le Jugement. Et vers Lui vous serez ramenés » (Sourate 28 – verset 70)

     Le Prophète Mouhammad, sallallahou ‘alayhi wa sallam, a dit : « Allah est le Juge, et c’est à Lui qu’appartient le Jugement » (Hadith rapporté par abou Dawoud, an-Nassaï, et Bayhaqi, qu’Allah leur fasse Miséricorde)

     Toute personne monothéiste, y compris celle à qui le Message n’est pas parvenu, sait qu’Allah est l’Unique Créateur de toute chose, que rien ne peut échapper à Sa Volonté, qu’Il voit, entend, et sait toute chose, qu’Il est le Puissant, que rien ne peut Lui échapper car Il est exempt de toute imperfection dans Ses Attributs, qu’Il ne ressemble pas aux créatures ni dans Son Être, ni dans Ses Attributs, qu’Il n’a besoin de rien ni personne, qu’Il est le Sage…

     De ce fait, il est inconcevable que l’Infiniment Sage puisse créer les humains en vain, sans but, pour qu’ils vivent et meurent, sans que rien ne se passe. Toute personne qui pense qu’Allah a créé les humains sans but, et qu’ainsi Il ne va pas les juger pour ce qu’ils auront accomplis, et les récompenser ou punir après le jugement, une telle personne aura sous-estimé Allah et renié la Sagesse d’Allah. De plus, il n’y a pas de véritable peur, sans la croyance en le Jour du Jugement.

     C’est pour ces raisons, entre-autres, que les savants ont dit que l’Islam n’est pas valable sans la croyance en Allah, ses prophètes, ses livres ainsi que le Destin, et au Jour du Jugement.

     Ces trois piliers de la Foi font partie du fondement de l’Islam, et sans la croyance en ces trois piliers, même à une période avant la venue du Message, la personne ne sera pas considérée comme étant monothéiste.

     De ce fait, toute personne qui croit en le Jour du Jugement, sait qu’Allah est l’Unique Juge, et donc le Seul qui a le droit de commander avec Sa création et Ses créatures, en leur donnant des ordres, et leur soumettant des interdits, autrement dit, Allah est le Seul Législateur, et Il est le Seul qui doit être pris comme Juge lors des litiges.

     Ainsi, toute personne qui légifère des lois générales à suivre, s’associe à Allah dans la Législation.

     De même, toute personne qui juge avec cette législation lors des litiges entre les gens, s’associe à Allah dans Son droit d’être le Seul qui doit être pris comme Juge lors des litiges.

     Quant à celui qui, par le biais d’un vote, aide à quelqu’un à obtenir le poste d’un législateur de lois générales à suivre, il l’aura aidé à s’associer à Allah et aura ainsi commis un acte de polythéisme majeur en mettant en place un égal à Allah dans la Législation.

     Allah a dit : « Ou bien auraient-ils des associés qui leur auraient établi des lois religieuses qu’Allah n’a jamais permises ? » (Sourate 42 – verset 21)

     La mise en place d’un égal à Allah est le plus grand des péchés qu’Allah ne pardonnera qu’à une personne sous l’effet de la contrainte, et en aucun cas à celui qui aura fait cela de plein gré pour un soi-disant moindre mal, car il s’agît du Chirk et dans le Chirk il n’y a pas de moindre mal, même si il est vrai qu’un Tâghoût peut être pire qu’un autre. La règle du moindre mal s’applique dans les sujets moindres que le Chirk, dans un cas de nécessité.

     De même, celui qui par le biais d’un vote aide à quelqu’un à obtenir le poste d’un juge qui va régler des litiges entre les gens avec un autre livre que le Livre d’Allah et la Sounna du Prophète Mouhammad, sallallahou ‘alayhi wa sallam, il l’aura aidé à s’associer à Allah et aura ainsi commis un acte de polythéisme majeur en mettant en place un égal à Allah dans le Jugement.

     Allah a dit : « N’as-tu pas vu ceux qui prétendent croire à ce qu’on a fait descendre vers toi (Prophète) et à ce qu’on a fait descendre avant toi ? Ils veulent prendre pour juge le Tâghoût, alors que c’est en lui qu’on leur a commandé de ne pas croire. Mais le Diable veut les égarer très loin, dans l’égarement » (Sourate 4 – verset 60)

     Allah a dit : « Est-ce donc le jugement de la Djahiliyyah qu’ils cherchent ? Qu’y a-t-il de meilleur qu’Allah en matière de jugement pour des gens qui ont une foi ferme ? » (Sourate 5 – verset 44)

     Soulayman ‘ibn Sahman, rahimahoullah, dans son commentaire du verset : « Ceux qui ne gouvernent pas par la Loi d’Allah sont les mécréants » – a dit : « Et cela expose la mécréance du juge en personne, ainsi que de ceux qui recourent à son jugement …, de même que de celui qui ne croit pas en l’obligation de juger d’après la Loi d’Allah, même si lui-même n’est pas juge, ni ne demande le jugement » (Source : ad-Dourar as-Saniyyah, 10/504-505)

    Forsanne Alizza - 23/12/11

  • La loi sur les génocides est-elle anticonstitutionnelle ?

    Pour Robert Badinter, pas de doute : la loi pénalisant la négation des génocides adoptée jeudi par l'Assemblée nationale est contraire à la Constitution française. "Il s'agit d'un texte qui véritablement à mon sens est anticonstitutionnel", a déclaré l'ancien garde des Sceaux et président du Conseil constitutionnel sur RTL. Contacté par leJDD.fr, le constitutionnaliste Guy Carcassonne indique partager l'opinion du socialiste. Le texte pose "un problème de liberté d'expression", argue-t-il. "En tout état de cause, la liberté d'expression fait partie des principes constitutionnels. Rendre pénalement répréhensible l'expression de quoi que ce soit est discutable."

    D'autres lois restreignant la liberté d'expression sont pourtant appliquées en France, telle la loi Gayssot du 13 juillet 1990. Ce texte "tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe" comporte d'importantes restrictions à la liberté d'expression. A-t-il pour autant été reconnu conforme à la Constitution? Guy Carcassonne répond que "cela ne va pas de soi, car le Conseil constitutionnel n'a jamais eu à connaître de la loi Gayssot".

    Bernard Accoyer peut saisir le Conseil constitutionnel

    Les neuf sages auront-ils à se prononcer sur la loi votée jeudi? Il n'est pas certain que les parlementaires opposés au texte soient suffisament nombreux pour pouvoir saisir le Conseil constitutionnel. Soixante députés ou 60 sénateurs doivent être réunis. En revanche, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, peut déférer le texte. Il n'a pas fait mystère de son opposition à cette loi, confiant lors de l'émission Question d'Info sur LCP que "les grandes démocraties n'ont pas à définir l'Histoire par la loi". Joints par leJDD.fr, les services de Bernard Accoyer indiquent simplement qu'il est "encore trop tôt" pour l'envisager et que le président ne prendra pas position avant la fin de l'examen du texte. En clair : la saisine du Conseil constitutionnel n'est pas écartée a priori. Si toutefois elle ne devait pas intervenir, la loi pourrait être contestée par le biais d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), qui permet de saisir le Conseil constitutionnel au cours d'une procédure déjà en cours.

    Pourtant, pour ses partisans, le texte ne présente aucune ambiguïté constitutionnelle. "Il ne s'agit pas d'écrire l'Histoire, mais de poser un acte politique", plaidait ainsi le député UMP Patrick Devedjian dans un entretien au JDD.fr jeudi. "C’est une loi qui est la conséquence d’une directive cadre de l’Union européenne adoptée en 2008", justifiait Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur sur Europe 1. Deux arguments que rejette avec vigueur Guy Carcassonne. "Le Parlement ne peut pas faire de la législation capricieuse, ses compétences sont attribuées par l'article 34 de la Constitution", affirme-t-il. Quant au prétexte du droit communautaire, le juriste observe que le texte européen en question est une "décision-cadre", ce qui "n'a rien à voir avec une directive". "Le caractère impératif n'est pas du tout le même", souligne Guy Carcassonne.

     La loi "visant à réprimer la contestation de l’existence de génocides reconnus par la loi", déjà à l'origine d'importantes tensions diplomatiques entre Paris et Ankara, pourrait donc également être au coeur d'une bataille juridique.

    Adrien Gaboulaud - leJDD.fr

    vendredi 23 décembre 2011

  • Vierge à l'Enfant

     

    vierge ste chapelle.png droite.png

    Statuette en ivoire - Avant 1279

    Provient du trésor de la Sainte Chapelle de Paris

    Musée du Louvre