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  • Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n° 259

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    • Rétrospective : le Front National en 2011
    • Rétrospective : la politique internationale de la France en 2011
    • Rétrospective : l’action du gouvernement pour contrer la crise économique et monétaire en 2011
    • Rétrospective : le bilan de la 4e année du mandat de Nicolas Sarkozy
    • Le rapport Perruchot sur le financement des organisations syndicales et patronales n’a pas pu être publié. Pourquoi ?
    • La nouvelle hausse des tarifs de la SNCF s’ajoute aux nouveaux horaires de trains qui font débat
    • Le sondage sur les politiques qui agacent le plus les Français
    • Les 20 ans de la chute de l’Union soviétique
    • Les persécutions de chrétiens à travers le monde
    • Les déclarations du cardinal Barbarin relatives au Front National
    • Annonce de la manifestation du 7 janvier en l’honneur de Jeanne d’Arc

    29/12/11

  • Deux légionnaires français tués par un soldat afghan en Kapisa

     

    Selon les premiers éléments fournis par la force d’occupation l’OTAN en Afghanistan (Isaf), deux légionnaires, appartenant au 2e Régiment étranger de génie (2e REG), ont été tués ce matin dans la province de Kapisa, au nord-est de Kaboul, une région très infiltrée par les taliban dans laquelle évolue une partie des forces françaises.

    Ils s’installaient à un poste permanent de l’ANA (Armée nationale afghane), quand un soldat afghan a surgi et a ouvert le feu sur deux légionnaires avant d’être lui même neutralisé. Ils étaient en mission de soutien à l’armée afghane, quand le soldat afghan a délibérément tiré à bout portant sur les deux militaires français. Dans la journée, les taliban ont revendiqué cette attaque (voir ici).

    L’un des deux légionnaires tué est l’adjudant-chef Mohammed  el-Gharrafi, 39 ans, marié et père de quatre enfants, qui a rejoint les rangs de la Légion étrangère, le 3 décembre 1992 (sa biographie est disponible ici). En revanche, conformément aux vœux de la famille du sergent également tué ce matin en Kapisa, aucun élément biographique le concernant ne sera rendu public.

    Un tragique épisode qui pose une fois de plus le problème de la fiabilité de l’ANA. Pour l’armée française, cet énième épisode de la guerre en Afghanistan confirme que la situation est de plus en plus difficile.

    Cela porte à 78 le nombre de soldats français tués en Afghanistan, pour rien.

    Qu’ils reposent en paix !

  • Paris XVe: une jeune femme de 29 ans violée et sauvagement poignardée par son agresseur

    Une jeune femme a échappé de peu à la , vendredi, après une agression d’une extrême violence perpétrée dans son appartement à . La victime, âgée de 29 ans, a été frappée puis violée par un inconnu. Plus effroyable encore, l’homme a également tenté de la tuer en la poignardant à une vingtaine de reprises avant de prendre la fuite.

     
    Il est activement recherché par les enquêteurs du 3e district de police judiciaire (DPJ). La jeune femme a été transportée à l’hôpital dans un état très grave avant d’être plongée dans le coma. Hier, son état de était toujours préoccupant. Les faits se sont déroulés le 23 décembre vers 9 heures, dans le XVe arrondissement de la capitale. Aurélie* regagne son domicile.

    Soudain, la jeune femme sent dans son dos la présence d’un homme qui la suit. Elle accélère le pas avant de parvenir à rentrer dans son appartement. Mais l’inconnu réussit à pénétrer chez Aurélie. Il se jette alors sur elle pour lui arracher son sac, tout en la frappant à plusieurs reprises au visage. L’homme parvient à ses fins mais ne prend pas la fuite. Devant la résistance de sa victime, il redouble de violence. L’agresseur abuse d’elle avant de finir par sortir un couteau. Littéralement déchaîné, il poignarde la victime à une vingtaine de reprises avant de quitter rapidement les lieux.

    Laissée pour morte, Aurélie trouve la force de se traîner jusqu’à la loge du gardien de son immeuble pour demander de l’aide. Rapidement secourue par les pompiers, la jeune femme, en état de choc et qui a perdu beaucoup de sang, est évacuée vers l’hôpital le plus proche. Son pronostic vital est engagé.

    Avant d’être plongée dans le coma, elle a le temps de livrer un court récit de son calvaire. « Elle a expliqué que son agresseur s’était acharné sur elle car elle avait résisté, relate un proche de l’affaire. Au départ, cet homme semble avoir juste voulu lui voler son sac. Un tel déchaînement de violence est inexplicable. La victime a été laissée agonisante par son agresseur. »

    Hier, les policiers du 3e district ont continué d’exploiter les images des caméras de vidéoprotection installées sur le chemin emprunté par la victime quelques minutes avant les faits. « Cette jeune femme a été surprise en plein jour, poursuit la même source. Elle a senti qu’elle était suivie mais elle n’a pas pu se protéger assez vite. Le profil de son agresseur est particulièrement inquiétant. Des recoupements sont en cours avec d’éventuels autres faits de même nature. » Hier soir, alors que les investigations se poursuivaient, les enquêteurs envisageaient la diffusion prochaine d’un appel à témoins.

    *Le prénom de la victime a été changé.

    Le Parisien - 29/12/11

  • Pas de chocolats pour les maisons de retraite du Loiret: il faut faire des économies...

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    Un élu de l'opposition communiste du  Conseil général du Loiret a dénoncé mercredi la décision de cette collectivité  de supprimer la traditionnelle distribution de chocolats à Noël dans les  maisons de retraite du département, dans le cadre de nouvelles restrictions  budgétaires. "Les gens trouvent cela choquant, on a besoin d'un peu d'humanisme, de  social, de lien avec ces personnes qui n'ont pas grand-chose dans la vie",  s'est indigné Michel Ricoud, élu du Front de gauche au Conseil général, dirigé par l'UMP Eric Doligé.
     
    Chaque fin d'année, les conseillers généraux vont porter des colis de Noël  - chocolats, pâtes de fruits et autres friandises- aux quelque 60 maisons de  retraite gérées par le département, a-t-il expliqué. Début décembre, lors du  vote du budget 2012, l'assemblée départementale a voté la suppression de cette  mesure à partir de l'an prochain, une décision "passée complètement inaperçue"  sur le moment, selon l'élu.
     
    "S'ils veulent faire des économies, qu'ils en fassent ailleurs !"
     
    "Cette mesure coûtait moins de 30.000 euros", a estimé Michel Ricoud. "S'ils veulent faire des économies, qu'ils en fassent ailleurs ! Ce  n'est pas ça qui grève le budget du Conseil général. On a besoin de convivialité". De son côté, le Conseil général explique que la suppression des "colis de Noël" représentait une économie de 80.000 euros, soit 5.800 boîtes distribuées dans 60 établissements.

    L'assemblée justifie cette décision par la nécessité de financer d'autres  priorités dans les domaines de l'enfance, la famille, les personnes âgées et  handicapées notamment, sur fond de stagnation des recettes. "La suppression de cette action en direction des personne âgées fait partie  des actions supprimées, assez rares, mais aussi des actions dont les montants  sont réduits ou maintenus et d'autres plus prioritaires qui augmentent",  souligne le Conseil général.

    le 29 décembre 2011
     
    TF1 News
     
  • Une église vandalisée à Jumeaux (Puy-de-Dôme) le 24 décembre

    Les paroissiens de Jumeaux ont eu une bien mauvaise surprise, samedi, en début d'après-midi, en pénétrant dans leur église. Des vases et la crèche de Noël ont été vandalisés.
     
     
    La Montagne - 24/12/11
     
     
    Juste un entrefilet, pas de photo...

  • Le Yézidisme, religion non-islamique, cruelle et mystérieuse

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Y%C3%A9zidisme

    Cette religion ou secte monothéiste, de dialecte kurde, pratique la lapidation des femmes

    28/12/11

  • Lapidation d'une adolescente de 17 ans en Irak - A vomir !

    Les images, filmées sur un téléphone portable, circulent sur l’Internet. La victime s’appelait Doaa Khalil Assouad, elle avait 17 ans, elle vivait à Bashika, une ville majoritairement kurde, dans le nord de l’Irak. Un jour d’avril 2007, un groupe d’hommes l’a traînée hors de sa maison, et pendant une demi-heure elle a été bombardée de lourdes pierres jusqu’à ce qu’on soit sûre qu’elle était morte, le tout sous le regard d’un policier qui n’est pas intervenu et n’a pas appelé ses collègues.

    Attention : les images suivantes sont d’une extrême violence et ne doivent pas être montrées aux enfants et aux personnes sensibles.
    Cette vidéo qui refait son apparition sur internet est parfois faussement présentée comme étant la lapidation d’une jeune fille de 12 ans.

    VIDEO http://tom-goldschmidt.blogspot.com/2009/11/les-images-de-la-video-qui-suit-ne-sont.html

    Sources: Défrancisation et Blog de Tom Goldschmidt

  • Triste appel des parents de Benjamin, 16 ans, mort dans un coma éthylique

    untitled.bmp Coma éthylique.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Dix jours après la de leur fils Benjamin, 16 ans, un adolescent d’Albertville décédé lors d’une soirée trop alcoolisée à Tournon (Savoie), Laurence et Arménio Mendes-Condeixa, ses parents, ont décidé de sortir de leur silence. Ils lancent aujourd’hui un appel à la prudence à destination de tous les jeunes, afin d’éviter d’autres drames alors que pour le réveillon du 31 décembre, l’alcool va de nouveau couler à flots.



    Victime d’un coma éthylique, Benjamin affichait 4,5 g d’alcool dans le sang lorsqu’il est mort, le 18 décembre. Il s’est étouffé en régurgitant. Laurence Mendes-Condeixa est une maman détruite : « C’est l’horreur. On ne peut pas accepter de voir son fils mourir comme ça à 16 ans. Benjamin était plein de joie de vivre, avec un cœur en or. C’était un passionné de vélo BMX, de musique. Il était bassiste dans un groupe. Elève de 1re bac pro, il voulait devenir électricien. Je lance un appel à tous les jeunes : faites attention! On peut faire la fête, mais sans boire autant. On ne doit pas faire des concours avec de l’alcool, jouer à celui qui tombera le premier. Il y a des ados plus faibles que d’autres. Et là, c’est mon petit Benjamin qui a ramassé », lâche-t-elle, des sanglots dans la voix.

     Le drame s’est déroulé dans la maison d’un lotissement de Tournon. En l’absence des parents de la jeune fille et du jeune garçon qui organisaient la fête. Benjamin et trois de ses copains sont arrivés avec un pack de bière. Mais d’autres jeunes majeurs ont apporté plusieurs bouteilles de vodka.

    « Tout est allé très vite. Vers 20 heures, j’ai accompagné mon fils à cette soirée. Et vers 22h50, on m’a appelé car il allait très mal, explique Arménio Mendes-Condeixa. Quand je suis arrivé sur place, il y avait le Samu, les pompiers. Mon fils avait le visage tout bleu. J’ai compris que c’était fini. Benjamin buvait un peu, comme beaucoup de jeunes. Mais il a dû aller trop loin. Les jeunes ont une expression qui résume tout : se mettre minable, en buvant une quantité énorme d’alcool en peu de temps. Pour être le plus mal possible. C’est un effet de mode. Ils sont dans un esprit de compétition. Ils ne veulent pas décevoir les copains. Alors, ils boivent cul sec. Ce n’est plus de la fête, c’est de l’autodestruction, qui peut être mortelle. Le décès de Benjamin est malheureusement là pour le prouver. »

    « Outre l’alcool, c’est aussi l’indifférence qui a tué mon fils, reprend le papa en deuil. Alors qu’il y avait une trentaine de jeunes, on l’a laissé seul dans une pièce, allongé sur le dos. Il n’avait plus la force de se tourner sur le côté pour régurgiter sans s’étouffer. Si quelqu’un l’avait mis en position latérale de sécurité, on aurait peut-être pu le sauver. Lorsqu’on voit que quelqu’un ne va pas bien, il ne faut pas attendre en se disant que ça va passer, qu’il va cuver son alcool. Il faut tout de suite appeler les secours, les parents », insiste le père de Benjamin.


    Le Parisien - 28/12/11

     

  • Les funérailles de Kim Jong-il sous la neige, dans un froid polaire...

     

    28/12/11

  • Paris: une vieille dame de 86 ans tuée de 40 coups de couteau - Un suspect interpellé

    Un homme soupçonné d’avoir tué, d’une quarantaine de coups de couteau, une retraitée de 86 ans, le 23 décembre, à a été interpellé, le 28 décembre, au petit matin. Le suspect a aussitôt été placé en garde à vue dans les locaux de la brigade criminelle, en charge de l’affaire.

     


    Le présumé serait un voisin de la victime, dont le corps sans vie avait été découvert dans son appartement, situé dans un immeuble de la rue Brillat-Savarin dans le XIIIe arrondissement de la capitale. Selon les premiers éléments de l’enquête, le suspect aurait dérobé la carte bancaire de l’octogénaire avant d’opérer plusieurs retraits d’argent.

    «Le mobile crapuleux est privilégié, indique une source proche de l’affaire. Cette retraitée a été lardée de coups de couteau. Son agresseur s’est littéralement acharnée sur elle. Elle a été retrouvée par des voisins, inquiets de ne plus avoir de nouvelle d’elle».

    LeParisien.fr - 28/12/11

  • Carpentras, ville occupée

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    Carpentras (Vaucluse) Envoyé spécial - C'est une ville "insulaire". Une ville de 30 000 habitants nichée au cœur du Vaucluse, entre Avignon et Orange, et qui semble isolée. Pour s'y rendre, pas question de prendre le train. Depuis 1938, c'est une gare de fret. Dans son centre-ville historique, en forme de cœur, tout de maisons en pierre typiques de la région, Carpentras montre son lustre d'ancienne capitale politique des Etats du pape.

    A travers son lacis de ruelles, les gens que l'on croise sont presque exclusivement maghrébins. Souvent, les femmes – jeunes et moins jeunes – sont voilées. L'ambiance est paisible, tranquille. Presque trop. Le soir, les rideaux des commerces et restaurants tombent tôt, laissant une ville fantomatique.

     

    Carpentras, c'est presque un laboratoire des vicissitudes actuelles de la vie politique française. Cette ville de droite a élu en 2008 un maire socialiste, Francis Adolphe, à la faveur des divisions de la droite locale. Le premier depuis 1908. Le département et la région sont dirigés par la gauche, alors que l'électorat a voté très majoritairement à droite à la présidentielle de 2007.

    Son député emblématique, Jean-Michel Ferrand, réélu six fois, est membre de la Droite populaire. "C'est dans ma circonscription que Jean-Marie Le Pen a fait le plus gros score en 2002. Pourtant, j'ai été réélu aux législatives sans aucun problème", se félicite-t-il. A l'entendre, l'UMP n'a rien à craindre du Front national dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. "Le FN prospère sur l'insécurité, l'immigration, la crise, mais ils n'ont aucun argument. Ça se joue beaucoup en fonction des candidats. Quand celui de l'UMP est bon, le FN n'existe pas", assure l'élu.

    Le FN, justement. Lors des dernières élections cantonales, Carpentras a donné au parti d'extrême droite son seul conseiller général, Patrick Bassot. L'autre, Jean-Paul Dispard, élu à Brignoles (Var), a vu son élection invalidée. De l'avis de tous – même de l'intéressé –, le candidat frontiste n'a même pas eu à faire campagne pour remporter l'élection, avec plus de 800 voix d'écart.

    Comme ailleurs dans la région, l'UMP locale est issue d'une droite dure. M. Ferrand, qui se réclame du gaullisme et condamne avec des mots très durs le FN, le dit franchement : "Dire certaines choses que le FN a eu tendance à monopoliser, ce n'est pas un crime. Et je ne compte pas laisser se fourvoyer un électorat qui peut être en déshérence." Mais, jure-t-il, il n'y a pas de "passerelle entre FN et UMP". Pourtant, aux cantonales, là où M. Bassot a été élu, le report de voix s'est fait largement de l'UMP vers le FN.

    "UNE UMP UN PEU MUSCLÉE"

    Patrick Bassot, lui, semble serein. Il est bien en délicatesse avec son parti qui ne veut pas l'investir pour les législatives. Mais il jouit de l'aura du seul élu FN en France au scrutin uninominal. Et ne se sent pas du tout menacé par l'UMP et les déclarations tonitruantes du ministre de l'intérieur, Claude Guéant, ou de la Droite populaire.

    "On a toujours eu une UMP un peu musclée ici, mais ça ne m'inquiète pas. Sarkozy a pris des thèmes et des thèses du FN. Pas mal de gens de chez nous y ont cru. Mais il y a un rejet général. La Droite populaire, c'est un leurre", veut-il croire.

    André Mathieu, 66 ans, responsable pour la Ligue des droits de l'homme de la zone "Avignon Carpentras", en est persuadé : "Le FN est dans le jeu, ce n'est pas un épiphénomène. Ils sont implantés dans la région." Ce militant socialiste avoue qu'il ne voit pas de solutions à la poussée frontiste. Pour lui, certains élus de droite ne seraient d'ailleurs pas gênés de faire alliance avec le parti de Marine Le Pen.

    Un scénario que UMP et FN rejettent. "Thierry Mariani [ministre des transports et élu du Vaucluse] et la Droite populaire légitiment le FN, continue M. Mathieu. Avant, les gens avaient honte, maintenant, c'est banalisé. C'est de leur faute, ils ont banalisé le vote extrême. Ils ne les endiguent pas. Ils leur donnent de l'élan."

    "Quand Claude Guéant dit que l'“on ne se sent plus chez nous”, ici, ça parle", assure un jeune membre du cabinet du maire, qui souhaite conserver l'anonymat. "La Droite populaire, c'est juste le FN qui veut gouverner. La droite de l'UMP veut aller sur le discours du FN mais ça ne marche pas." Il ajoute : "Ça ne sert à rien. Les gens peuvent voter Marine Le Pen à la présidentielle et Thierry Mariani aux législatives. Ils sont attachés aux personnes, pas aux étiquettes."

    A Carpentras, deux communautés cohabitent sans pratiquement avoir de rapports entre elles. Au centre-ville, les Maghrébins, venus s'installer dans les logements vides quand les commerçants ont quitté le secteur. Dans les années 1960 et 1970, de nombreux immigrés sont venus pour travailler comme journaliers dans les exploitations fruitières et se sont installés.

    Longtemps, la porte d'Orange –dernier vestige des remparts – a été surnommée le "marché aux esclaves" : c'est là que l'on embauchait à la journée les ouvriers agricoles, tous immigrés. Du coup, la population "européenne" est à l'extérieur de la ville.

    Avec 17 % de chômage, Carpentras est aussi touchée de plein fouet par la crise.

    Mais à cela s'ajoute encore une "crise identitaire" que gauche et droite reconnaissent. Beaucoup d'habitants ont une réaction très dure envers la pratique de l'islam. Carpentras compte en effet deux mosquées. "La droite fait campagne sur l'islam, note-t-on à la mairie. Mais les gens préfèrent toujours l'original à la copie. “Les Arabes dehors”, c'est une vraie motivation ici. Les gens ne veulent plus les voir."

    Abel Mestre

    Le Monde - 28/12/11

     

  • Le génocide des Blancs continue en Afrique du Sud

    !cid_ii_134843f997092e2e.jpg génocide anti-blancs.jpg

    http://konigsberg.centerblog.net/820-le-genocide-des-blancs-continue-en-afrique-du-sud

    + VIDEO et photos

    Blog de Konigsberg - 28/12/11

     

  • Pyongyang prépare les funérailles grandioses de Kim Jong-il

    À l'entrée du mausolée Kumsusan, le visiteur passe dans un sas de décontamination où une soufflerie époussette le moindre grain de poussière. Auparavant, ses semelles ont été brossées et, parcourant un long tapis roulant, il a croisé des familles en costume traditionnel, les traits amaigris, à l'expression terrifiée. Puis, dans le hall des lamentations, il patiente sous les haut-parleurs qui rappellent les millions d'hommages qui ont convergé vers «le plus grand homme de l'histoire de l'humanité». Enfin, le visiteur pénètre dans le saint des saints, au cœur de ce palais aux allures de bunker, fossilisé depuis la mort de Kim Il-sung, en 1994. Au plafond, une lumière orangée tamise l'obscurité et accentue le mystère. Au centre de la pièce, sous des projecteurs blafards, la dépouille du «président éternel» brille sur un catafalque rouge sang, protégé d'un cercueil de verre. L'épicentre d'une secte d'État, qui a érigé en dieu son fondateur.

    C'est ici, à quelques kilomètres du centre de Pyongyang, que Kim Jong-il rejoint définitivement le panthéon nord-coréen, mercredi, lors de funérailles grandioses. Le déroulement précis de cette gigantesque mise en scène reste un mystère pour les étrangers qui ne sont pas conviés, mais le sens idéologique est évident: les obsèques marqueront le passage de témoin symbolique entre la seconde et la troisième génération de «la lignée du mont Paekdu», du nom du lieu de naissance mythique de la nation coréenne. Une première dans l'histoire du monde communiste. Le jeune héritier Kim Jong-un succédera à son père décédé le 17 décembre et sera le grand ordonnateur de cette cérémonie visant à justifier la passation de pouvoir dynastique.

    Suivant le modèle des funérailles de son grand-père, fondateur du régime, le jeune général âgé de moins de trente ans sera le dernier à s'incliner devant la dépouille embaumée. Avant lui, les personnages clés du nouveau pouvoir défileront, en particulier son oncle Chang Song-taek et sa tante Kim Kyoung-hui, générale quatre étoiles et sœur du défunt. Avant le dernier envoi, le corps du «cher dirigeant» traversera la capitale à bord d'une gigantesque limousine noire afin de recevoir l'hommage des habitants massés le long des immenses avenues staliniennes. Son père avait effectué cet ultime voyage à bord d'une Cadillac ; peut-être Kim Jong-il roulera-t-il une dernière fois à bord de son auto immatriculé 216, en l'honneur de sa date de naissance (16 février)?

    L'ère du Songun

    Le périple permet au régime de passer en revue les grands monuments de la cité bâtis à la gloire des Kim, afin de mieux justifier une transmission du pouvoir par le sang qui ne va pas de soi dans un régime communiste. Après avoir roulé le long de la rue de la réunification, le convoi saluera la tour du Juché, cette idéologie exaltant l'autarcie et inventée de toutes pièces pour asseoir l'indépendance des Kim vis-à-vis des grands frères Moscou et Pékin. Puis le cortège traversera la place Kim Il-sung, au cœur de la capitale de 3 millions d'habitants, où le pouvoir montre ses muscles, lors de parades militaires grandioses. En 1996, Kim Jong-il décréta l'ère du Songun, la «priorité à l'armée», pour consacrer plus de 25% du PIB à la défense et décrocher la capacité nucléaire, dix ans plus tard. Une priorité déjà confirmée par son troisième fils et héritier, qui vient d'être bombardé «commandant suprême».

    En dépit des apparences, «il ne s'agit pas d'un régime communiste. Il s'apparente beaucoup plus à l'idéologie fasciste de l'entre-deux-guerres», juge Brian Myers, expert ès propagandes nord-coréennes à l'université Dongseo, à Busan. «Kim Il-sung a emprunté beaucoup au modèle raciste du Japon impérial des années 1930», ajoute le professeur américain, dont l'ouvrage, la «race des purs» résume le projet de Pyongyang. Empruntant également à l'imagerie chrétienne, telle l'étoile mystérieuse apparue le jour de la naissance de Kim Jong-il et à la tradition confucéenne du respect filial, la propagande a établi un socle idéologique visant à prolonger la mainmise totale d'une famille sur 23 millions d'habitants.

    Kim Il-sung et Kim Jong-il, dont les portraits ornent chaque appartement, sont les pères protecteurs d'une population coupée du monde grâce à un contrôle absolu sur l'information. Aucun accès à Internet ou aux télévisions internationales pour des sujets qui portent tous sur la poitrine un petit pin's rouge, en l'honneur de leur «père».

    Un héritage lourd à porter pour le jeune héritier, désormais au pied du mur pour maintenir au pouvoir la «lignée du Mont Paekdu».

    Le Figaro - 27/12/11

  • Deux chauffards français ont écrasé une Israélienne à Tel Aviv

    Le chauffard et son ami se sont enfuis a Paris

    D’apres les elements de l’enquete menee par la police, les suspects seraient le proprietaire de la jeep Eric Robik, citoyen francais age de 38 ans, et son ami, qui conduisait lors de l’accident, Claude Isaac, aussi de nationalite francaise et age de 40 ans. Les deux francais sont des hommes d’affaires qui sejournaient en toute legalite en Israel avec des visas de touristes.

     

     Ils etaient sortis se distraire jeudi soir dans la region de Tel-aviv, et en rentrant chez eux Claude Isaac, qui conduisait la jeep, a percute Lee Zeitouni en l’a tuant sur le coup. Ils se sont enfuis en grillant plusieurs feux rouges, et sont arrives au parking du luxueux immeuble de Tel-aviv ou ils residaient. La bas ils ont dissimule la voiture dans le parking souterrain.

     

    Juste après cela, et avant que la police ne decouvre l’identite des chauffards, les deux ont rassemble leurs affaires et se sont enfuis avec leurs familles sur un vol en direction de Paris avec escale à Genève. Les enqueteurs de l’equipe des enquêtes speciales de la region de Tel-aviv ont reussi a joindre par telephone les deux chauffards, et font de gros efforts – y compris avec l’aide d’Interpol – pour les ramener en Israel pour les interroger, et cela meme si lors de l’entretien téléphonique ils ont promis de revenir seuls.

    Il n’y a malheureusement pas d’accords d’extradition entre la France et Israël

    Un mandat d’arret international a deja ete emis contre les deux suspects. L’officier de police charge de l’affaire a declare a « Hadashot 2″ : « ils ont rassemble leurs affaires et ont pris la fuite. Leurs identites sont connues, et s’il le faut nous demanderons l’aide de la police francaise pour les attraper. L’anneau se resserre autour d’eux, et il vaudrait mieux qu’ils se rendent et qu’il reviennent en Israël ».

    Traduit de l’hebreu par David Goldstein  HAABIR HAISRAELI De Paris a Ashdod

    http://www.mako.co.il/news-israel/local/Article-68b7948d9a87231017.htm&sCh=31750a2610f26110&pId=2082585621

    Source Femininisrael - 27/12/11

     
     
     

     

  • Carla Bruni écrit à une maman israélienne dont la fille a été tuée par deux chauffards français

     

    Carla Bruni-Sarkozy a écrit à une mère israélienne dont la fille a été tuée par deux chauffards français à Tel-Aviv. "Je vous prie d'accepter mes plus sincères condoléances et m'associe à la douleur intolérable que la disparition de Lee (...) représente pour vous et votre famille". C'est par ces mots que Carla Bruni-Sarkozy a répondu personnellement à Kate Zeitouni, une Israélienne dont la fille a été tuée par deux chauffards français à Tel-Aviv.
     
    Le 25 septembre 2011, Lee Zeitouni a été fauchée par un 4x4 noir dans les rues de Tel-Aviv. La jeune professeur de gymnastique de 25 ans est morte sur le coup. Dans la voiture se trouvaient deux Français, qui ont pris la fuite par le premier avion. En écrivant à Carla Bruni-Sarkozy il y a quelques semaines, la mère de Lee espérait toucher la "sensibilité maternelle" de la Première dame de France. " Je suis vraiment très reconnaissante pour ses mots de sympathie et de savoir qu'elle fait ce qu'elle peut pour m'aider", a confié Kate Zeitouni sur Europe 1.
     
     
     
    Le Crif - 27/12/11
     
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    "Je vous prie d'accepter mes plus sincères condoléances et m'associe à la douleur intolérable que la disparition de Lee (...) représente pour vous et votre famille"

    . C'est par ces mots que Carla Bruni-Sarkozy a répondu personnellement à une maman israélienne dont la fille a été tuée par deux chauffards français à Tel-Aviv. L'information est révélée par Caroline Delage la correspondante en Israël d'Europe 1
    Les faits se sont déroulés le 25 septembre dernier. Lee Zeitouni, une jeune professeur de gymnatique de 25 ans, meurt sur le coup après avoir été fauchée par un 4x4 noir dans les rues de Tel-Aviv. Dans la voiture se trouvent deux Français. Qui prennent rapidement la fuite par le premier avion.
    En écrivant à Carla Bruni-Sarkozy il y a quelques semaines, la mère de Lee espérait toucher la "sensibilité maternelle" de la Première dame. "De mère à mère, je savais qu'elle s'apprêtait à donner naissance, j'espérais qu'elle pourrait m'aider. Je suis vraiment très reconnaissante pour ses mots de sympathie et de savoir qu'elle fait ce qu'elle peut pour m'aider", a confié Kate Zeitouni sur Europe 1.

    Le père de la victime voit pour sa part, dans la lettre de Carla Bruni-Sarkozy, des mots encourageants. "La France coopère très bien à la poursuite de ces deux criminels", estime-t-il, avant d'ajouter "ça ne va pas nous rendre notre fille".


    Les deux Français ont été identifiés mais n'ont pas été inquiétés. La France n'extrade pas ses ressortissants. Les deux hommes refusent donc de comparaître. Une chaîne de télévision israélienne a retrouvé la trace de l'un d'entre eux. Dans une interview téléphonique, il a assuré regretter son acte mais reconnaît qu'il n'a pas l'intention de revenir en Israël pour "croupir 20 ans en prison".

    L'Indépendant - 27/12/11

     
  • Fusillade de Vitrolles: la police tient un suspect

    Un individu recherché a été interpellé hier au camp de Ruisseau-Mirabeau

    Hier à 6 heures, dans le camp des gens du voyage sédentarisés de Ruisseau Mirabeau (15e),le GIPN de Marseille et Nice sont venus interpeller un individu recherché.

    Hier à 6 heures, dans le camp des gens du voyage sédentarisés de Ruisseau Mirabeau (15e), le GIPN de Marseille et Nice sont venus interpeller un individu recherché.

    Photo Bruno Souillard

    Cette fois, il n'a pas eu le temps de prendre la fuite. À 6 heures tapantes, hier matin, Jean-Baptiste Dominici était cerné par les effectifs de la police judiciaire assistés des hommes du GIPN de Marseille et de Nice : une centaine d'hommes pour une descente en force dans le camp des gens du voyage sédentarisés de Ruisseau Mirabeau, à Marseille (15e). L'arrestation, "musclée", aurait été suivie d'un bref passage à La Timone où le suspect a été examiné.

    Qui est donc cet homme de 36 ans qui mobilise tant de moyens ? En cavale depuis janvier dernier, il était recherché dans le cadre d'un mandat d'arrêt délivré par la cour d'Assises de Nîmes. Condamné à 15 ans de prison pour le braquage d'une bijouterie à la disqueuse thermique commis en 2007 à Beaucaire, Dominici comparaissait libre. Le jour du verdict, il n'avait pas reparu au tribunal, profitant de la pause-déjeuner pour s'éclipser...

    Ecroué aux Baumettes

    Neuf mois plus tard, le revoilà donc à Marseille, au camp Ruisseau-Mirabeau où vit une partie de sa famille. Et si "pour l'instant, il n'est entendu qu'en vertu du mandat d'arrêt de Nîmes" comme l'a souligné hier son avocat Me Bruno Rebstock, c'est évidemment à une autre affaire que tout le monde pense. Jean-Baptiste Dominici est suspecté d'avoir participé à la tragique fusillade à la kalachnikov de Vitrolles, qui a mis la France entière en émoi.

    Le 28 novembre dernier, des voleurs de crevettes surgelées et de bouteilles d'alcool avaient fait feu sur les forces de l'ordre qui les avaient pris en chasse. Un des malfaiteurs avait été tué par la maladresse de l'un de ses comparses, les autres avaient réussi à prendre la fuite. Très grièvement blessé, le lieutenant de police de la Bac d'Aix, Éric Lalès, 37 ans, est décédé le 8 décembre à l'hôpital Nord, le jour où Nicolas Sarkozy s'était rendu à son chevet.

    La veille de ce décès, d'après une source proche de l'enquête, la police avait tenté une première fois d'arrêter Jean-Baptiste Dominici. Mais celui-ci s'était absenté du camp de Ruisseau-Mirabeau. Hier, en apprenant son interpellation, le syndicat de police Alliance s'est félicité de "cette arrestation qui prouve l'efficacité des services de police ", a déclaré son secrétaire général Jean-Claude Delage, en saluant "le travail conjoint des différents services". Présenté hier au parquet de Marseille, Jean-Baptiste Dominici a été écroué dans la soirée aux Baumettes.

     

      Sophie MANELLI

    La Provence - 27/12/11

  • Un candidat américain à la présidentielle nie à Israël le droit d'exister

     
    Le Républicain membre du congrès américain, Ron Paul, nie le droit d'Israël à exister, selon les déclarations, lundi 26 décembre 2011, de son ancien collaborateur Eric Dondero. Sur son blog, Dondero a déclaré que Ron Paul n’était pas raciste ni antisémite, mais « très anti-israélien ».
     
    Selon lui, le congressiste «souhaiterait que l'Etat d'Israël n’ait jamais existé... Il a exprimé ce souhait de nombreuses fois dans nos conversations privées… parce qu’Israël crée plus de problèmes que de bénéfices pour le contribuable américain…»
     
    Photo (Ron Paul): D.R.
     
    Source : Yediot Aharonot
     
     
    Le Crif - 27/12/11