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  • Gilad Shalit, un héros tombé de son piédestal

     

    Gilad Shalit, un héros tombé de son piédestal
     
    © FRANCE 24  - 01/04/13        

    Un journaliste israélien s'est procuré l'interrogatoire auquel la sécurité militaire a soumis Gilad Shalit après sa libération par le Hamas. Le debriefing met en lumière les erreurs successives du soldat qui aurait pu éviter sa capture.

     
    Par Marc DAOU   (texte)
     

    Il aura suffit d'un article paru dans la presse israélienne pour que l'image de héros national du soldat Gilad Shalit, qui n’avait que 19 ans lors de sa capture en juin 2006 par des combattants palestiniens près de la bande de Gaza, soit sérieusement écornée. Dans le "Jerusalem Post", l'éditorialiste Ben Caspit rend compte du débriefing de Gilad Shalit par des enquêteurs militaires après sa libération. S’il affirme se garder de juger ou de blâmer le comportement au moment de l’enlèvement d’un "anti-héros" devenu "l'enfant de tous", le journaliste dresse néanmoins un inventaire sans concessions des nombreuses erreurs commises par Gilad Shalit au moment de sa capture. D’ailleurs précise-t-il, le jeune Israélien a affirmé lors de son interrogatoire "qu'il savait qu’il n'avait pas fait son devoir de soldat et n'avait même pas fait le minimum pour éviter d'être capturé".

    "Dehors c’était dangereux, l’intérieur était protégé"
     
    Selon le récit rapporté par Ben Caspit, le 26 juin 2006, le soldat israélien s'est endormi à 4h35 du matin dans son char alors qu’en tant que canonnier il aurait dû rester éveillé. D’autant plus que la veille, lors d’une réunion, un avertissement avait été émis par le Shin Bet, le service de renseignement intérieur israélien, à propos d’une probable infiltration de combattants du Hamas chargés d’enlever des soldats. "Je n'ai pas écouté [l'avertissement, NDLR], le commandant était en train de le faire, je lui ai fait confiance", avouera-t-il lors de son interrogatoire.
     
    Au moment où son char, un Merkava 3, essuie un tir de roquettes, Gilad Shalit se réveille en sursaut. Son arme personnelle est posée à ses pieds, il ne porte pas son casque et son gilet pare-balles est posé sur le dossier de sa chaise. Quelques secondes après l’impact, il aperçoit le lieutenant Hanan Barak, suivi du sergent Pavel Slutzker, les deux officiers qui ont péri dans l’embuscade, sortir précipitamment du char. Au lieu de les imiter, Gilad Shalit, aussi surpris que tétanisé par les événements, préfère rester à l’abri dans le Merkava. Une décision qui lui sauve la vie. "Dehors c’était dangereux, l’intérieur était protégé", expliquera-t-il.
     
    Selon Ben Caspit, le jeune soldat aurait cependant dû faire feu, sans pour autant se mettre en danger en sortant la tête à l'extérieur, ne serait-ce que pour donner l’alerte, pour appeler au secours les troupes israéliennes postés à 200 mètres du char. Au lieu de cela, après avoir compris que ses deux camarades ont été abattus en entendant leurs corps s’effondrer près du tank, il se met à "prier pour que tout se termine".
     
    À l’extérieur, les deux assaillants palestiniens lancent des grenades dans la tourelle du Merkava. A l’intérieur, Gilad Shalit n’est que légèrement blessé par les explosions. Et ce, selon le journaliste, grâce au choc absorbé par son gilet pare-balles et sa veste pare-éclats posés sur sa chaise. Pris de panique, il attend une ou deux minutes le temps que la fumée s’échappe, avant de décider de sortir de son abri d’acier. Sans son arme.
     
    Un jeune homme introverti, aussi émotionnel que fragile
     
    "Si seulement Shalit avait pris son fusil d’assaut et s’il avait vu l’assaillant s’approcher du char et commencer à l’escalader, il aurait pu facilement le descendre", écrit Ben Caspit. Ce qui, explique ce dernier, aurait pu faire fuir le deuxième combattant palestinien. Au lieu de cela, Gilad Shalit est fait prisonnier sans avoir résisté et sans avoir utiliser une seule des armes en sa possession dans le char - armes qui lui donnaient "un avantage considérable sur ses adversaires", regrette Ben Caspit.
     
    Pis selon l’éditorialiste, une fois captif, l’Israélien s’est montré très coopératif avec ses ravisseurs qui se sont rapidement dirigés vers la clôture qui les séparaient de la bande de Gaza. Sans essayer notamment de les ralentir pour gagner de précieuses minutes le temps qu’un deuxième char ou du renfort arrivent sur place. "Il a tout simplement couru avec eux en direction de la clôture […]. Les assaillants lui ont dit de presser le pas, et il s’est empressé de leur obéir", rapporte Ben Caspit. Sa captivité qui allait durer 1941 jours pouvait alors commencer.
     
    "Peut-être qu'il n'aurait pas dû être placé dans une unité de chars, il est probable qu'il n'était tout simplement pas fait pour cela, écrit-il. Quand son char a été touché, il a été choqué et a perdu toute capacité d’action", explique le journaliste du "Jerusalem Post" qui décrit Gilad Shalit comme un jeune homme introverti, aussi émotionnel que fragile. Et de conclure : "Il n’y aucun héroïsme dans cette histoire, c’est une histoire humaine qui est la fois triste et touchante".
  • L’énorme scandale de la destruction profanatrice de l’église Saint-Jacques d’Abbeville

     

     
     

    À la benne municipale…

    Comme l’écrivait Michel Janva du Salon Beige : « L’État n’entretient pas les biens qu’il a volés. Alors il finit par les détruire »… C’est la logique du système depuis plus de deux siècles, depuis les « biens nationaux » jusqu’aux « inventaires ». Sommes-nous en Chine communiste, en Corée du Nord ou dans un califat taliban ? Car, nous précise toujours le Salon Beige, cette destruction scandaleuse s’accompagne d’une véritable profanation car l’évêque d’Amiens, Mgr Jean-Luc Bouilleret, n’a jamais été saisi d’une demande de désaffection de cette église d’Abbeville, toujours consacrée. C’est une violation flagrante par la municipalité, avec l’aval de la préfecture, de la loi dite de « séparation ». Une profanation qui s’est accompagnée de nombreux sacrilèges comme ce grand crucifix jeté à la benne à ordures par les employés municipaux. Voyez ce commentaire de l’abbé Jean-Louis Brunel, curé d’Abbeville et vicaire épiscopal du diocèse d’Amiens. L’évêque devrait évidemment faire un procès à la municipalité et organiser une cérémonie de réparation, à l’exemple de son confrère du Togo

    « La démolition du chœur de l’église Saint Jacques d’Abbeville a consterné beaucoup d’Abbevillois après des mois pour ne pas dire des années de silence sur l’avenir de cet édifice. Je suis blessé par cette décision précipitée. Je l’ai apprise, comme beaucoup d’Abbevillois, par la presse et la télévision après le coup de pelle irréversible ! A ce jour, l’église Saint Jacques est toujours affectée au culte catholique. Nous attendons des dispositions de réparation ou de demande de désacralisation. Ainsi est la loi républicaine. Pourtant, aucune décision de ce type n’a été prise par la municipalité d’Abbeville. Je ne préjuge pas de la fragilité avérée de l’édifice qui menaçait depuis longtemps déjà. Je m’étonne de la décision précipitée, sans même avertir les premiers concernés, ne serait-ce que par respect pour la mémoire collective que représente cet édifice. Ce n’est pas une église qu’on “éventre”, c’est une communauté chrétienne et au-delà que l’on méprise et que l’on blesse de la sorte. (…) Faut-il souligner les images bouleversantes sur la chaîne régionale non seulement d’un mur qui s’effondre, mais d’un Christ en croix emmené dans une benne des services techniques, sans ménagement, pour être “inhumé” dans les caves du musée. Le statuaire de cette église s’y trouve déjà, déménagé sans préavis il y a plusieurs années. La démolition, programmée depuis longtemps semble-t-il, atteint durement le cœur des Abbevillois. »

    Il s’agit là, je le répète d’un énorme scandale dont il va nous falloir nous occuper…

    Observatoire de la christianophobie

  • Allons dîner à l'église

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    Dans le diocèse de Périgueux, on ne s’embarrasse pas. Pour attirer les gens à l’église, on propose d’y organiser des dîners en amoureux. Les chanoines de Chancelade en charge de la paroisse Saint Pierre Saint Paul des rives de l’Isle (en l’occurence le Père Sébastien, modérateur,) organisent le mardi 9 avril « un dîner en tête à tête » dans l’église de Saint Astier :

    La paroisse de Saint-Astier annonce cet événement dans son programme hebdomadaire. Il y aura même des animations pour ces diners en couples !

    Pour écrire à l’évêché de Mgr Mouïsse, diocèse où se déroule ce dîner, c’est par là accueil.dio24@orange.fr .

    Sur le plan religieux, il apparaît clairement que le détournement du Temple de Dieu pour en faire autre chose que le service du culte qui Lui est dû, est profondément choquant. Comment ne pas penser à Notre Seigneur chassant les marchands du temple.

    Le Père Sébastien a cru pouvoir atténuer le caractère profondément choquant de cette manifestation en indiquant que ce repas serait animé par les prêtres et qu’en conséquence il aurait une tout autre signification que ce qui est annoncé. Cette casuistique n’abusera personne si ce n’est la pauvre clientèle qui sera abusée par un tract mensonger en ne pouvant pas profiter tranquillement « de ce repas pour échanger sur la vie de leur couple en toute intimité« . La question se pose même de savoir s’il n’y a pas une volonté délibérée de choquer, tant cette organisation est absurde: il serait si simple en effet de faire le tout au restaurant lui même qui est équipé en conséquence et où les animateurs ecclésiastiques pourraient déployer tous leurs talents.

    Sur le plan juridique, les lois de 1905 et 1907 sont très claires. Elles concèdent que les édifices sont réservés à leurs cultes spécifiques (sous entendu catholique et rien d’autre). Dans son art.13 la loi de 1905 désigne comme cause de désaffectation expresse l’hypothèse où les édifices seraient « détournés de leur destination » par l’affectataire. L’art. 5 de la loi de 1907 précise quant à lui que les édifices publics le sont « pour la pratique de leur religion » (en d’autres termes, à église catholique, culte catholique). Ainsi les édifices cultuels ne peuvent être détournés de leur destination par l’affectataire, au profit d’autres activités qui feraient obstacle à la célébration du culte, ou même qui viendraient à s’y ajouter. Le célébrant n’a donc pas le droit d’exploiter un édifice légalement affecté au culte dans un but commercial ou autre.

    Riposte Catholique

  • VIDEO - Destruction de l'église Saint Jacques d'Abbeville


    Démolition de la façade est de l'église Saint... par courrier-picard

    C'est si dangereux, une église !

    06/04/13

  • Esther Benbassa: " Marine Le Pen a placé l'argent" (de Cahuzac) !!!

    A l'émission "Ce soir ou jamais" - 06/04/13

    Esther Benbassa, sénatrice EELV

  • Patrie...

    amour_patrie

    « La patrie est l’oïkos, le site, où convergent et se réalisent les solidarités et les identités. Les patries sont les incarnations territoriales, historiques, culturelles des identités au sein desquelles s’exercent les solidarités, positives (l’entraide) ou négatives ( le conflit). Là encore, il serait plus juste de mettre « patrie » au pluriel, car l’être identitaire et enraciné porte avec lui, suivant l’échelle de ses inclinations, de sa volonté et de son raisonnement, maintes patries : sa patrie locale, charnelle ou régionale, sa patrie nationale, historique, politique, sa patrie civilisationnelle, géopolitique, continentale. Toutes ces patries ne s’additionnent pas, elles se multiplient, ce qui aboutit normalement à des synergies. Ainsi, l’Europe n’est pas la somme de toutes les nations elles-mêmes constituées de patries régionales ; c’est une patrie subsumée qui prend en compte les patries nationales, régionales et locales. Le monde est-il dès lors une patrie ? Peut-on aussi se dire « patriote mondial » ? Certains courants écologistes l’affirment. Pour notre part, le scepticisme prédomine envers cette idée de « patrie universelle »(…). Pour l’instant, défendre ses patries implique inévitablement garder ses identités et donc ses communautés. »

    Georges Feltin-Tracol. Orientations rebelles. Éditions d’Héligoland.

    Le chemin sous les buis

  • Mosquée de Bordeaux: Alain Juppé et Vincent Feltesse (UMPS) main dans la main

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    06/04/2013 – 14h00
    BORDEAUX (NOVOpress/Infos Bordeaux) –
    Hier, le journal Sud-Ouest consacrait un dossier au projet de « mosquée-Cathédrale », dans le quartier de La Bastide, soutenu par le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé, et porté par les islamistes de l’UOIF, proches des Frères Musulmans.

     

    Dans un communiqué de presse, le Front national a vivement réagi à ce dossier qui fait couler beaucoup d’encre depuis de nombreuses années. Ci-dessus photo d’une action du Bloc Identitaire Aquitaine lors d’une inauguration à Bordeaux par Alain Juppé en 2009, voir Novopress.

    « Contre l’avis unanime des habitants de La Bastide et d’une majorité de Bordelais, Alain Juppé et Vincent Feltesse [NDLR député PS de la 2e circonscription de la Gironde], figures bordelaises de l’UMPS, parrainent et poussent l’implantation d’un grand centre religieux islamique à Bordeaux. Adversaires de façade aux prochaines municipales, l’islamisation de Bordeaux les réunit dans «consensus» clair selon les mots du candidat socialiste.

    Ce projet fou de 20 millions d’euros d’une islamisation au grand jour rencontrera l’opposition non seulement de la population du quartier, mais celle déterminée du Front National.

    Crédit photo : Bloc Identitaire Aquitaine, DR.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Pour la sénatrice Michelle Meunier (PS), la famille hétéro-parentale relève du fantasme

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    06/04/2013 – 10h00
    PARIS (NOVOpress Breizh) –
    Le projet de loi sur le mariage homosexuel « sort la famille du fantasme “une maman, un papa et un enfant” ». C’est ce qu’a déclaré – le plus sérieusement du monde – jeudi au Sénat Michelle Meunier (ci-dessus), sénatrice de Loire-Atlantique et rapporteur du projet, qui a dénoncé au passage la famille « hétéro-patriarcale-blanche ». Une intervention qui a le mérite de mettre en évidence les fondements idéologiques de ce projet.

     

    « Notre démarche s’inscrit dans un mouvement international et invite à la tolérance ; la France, patrie des droits humains, s’honore à rattraper son retard. [...] Ce texte s’inscrit dans la devise de notre République. Il permet aux couples homosexuels de faire famille. Assumons-le. Il sort la famille du fantasme « une maman, un papa et un enfant (sic) ». L’élue de Loire-Atlantique, qui avait entamé son intervention en affirmant « nous vivons là un grand moment et entrons, à notre manière, dans l’histoire de France (resic) » n’a pas fait dans la nuance lors de la séance d’ouverture, devant de Sénat, du débat sur le projet de « mariage pour tous ».

    Et cette proche de Jean-Marc Ayrault de poursuivre - sous les sifflets de l’opposition : « car cette famille-là n’a jamais été universelle. De tout temps, des parents ont mis au monde des enfants qu’ils n’ont pas pu ou voulu assumer. De tout temps, des enfants sont nés sans père. De tout temps, des enfants ont été élevés par d’autres personnes que leurs père et mère. Ce qui pose problème, c’est cette famille idéalisée, « hétéro-patriarcale-blanche » de préférence de plus en plus éloignée des réalités. La loi doit s’adapter. »

    Une opinion partagée par Esther Benbassa, sénatrice du Val-de-Marne (EELV) : « Protéger l’enfant ? Tout le monde est pour ! Il lui faut un père et une mère ? Pure idéologie de même que cette conception d’une famille traditionnelle ».

    On savait déjà que pour la gauche « sociétale » la délinquance et l’immigration sont des « fantasmes », c’est-à-dire, selon la définition donnée de ce mot, « des visions illusoires produites par une lésion du sens optique ou par un trouble des facultés mentales ». Aujourd’hui c’est la famille hétéro-parentale qui à son tour en est un, surtout – circonstance aggravante – s’il s’agit d’une famille « hétéro-patriarcale-blanche ». On n’arrête pas le progrès.

    Crédit photo : Nicolas Nocet via Wikimedia (cc)

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Gilles Bernheim : une agrégation fantôme et un nouveau plagiat

     

    Malgré son mea culpa, l’addition commence à être lourde pour le Grand Rabbin de France.

    Le 19 mars dernier, le Grand Rabbin de France Gilles Bernheim n’a pas perdu de temps pour venir nous voir, les yeux dans les yeux, quand on lui a demandé par quel miracle le texte d’un entretien donné par le philosophe Jean-François Lyotard en 1991 pouvait se retrouver, presque à l’identique, dans un livre signé de sa main en 2011. Cette semaine, et un aveu de plagiat plus tard, il paraît que son agenda ne lui laisse pas une seconde pour nous revoir. C’est dommage. On en aurait profité pour lui demander quand il a été reçu à l’agrégation de philosophie.

    La biographie qui présente son CV sur son site officiel n’en fait pas état. C’est bizarre, car elle comporte par ailleurs beaucoup de détails sur son parcours : son diplôme de rabbin du Séminaire israélite de France, les diverses fonctions qu’il exerce ou a exercées, la Légion d’honneur qui lui a été décernée le 12 avril 2009.

    C’est bizarre, parce qu’il est question de cette agrégation à peu près partout dès qu’il s’agit de Gilles Bernheim : dans la plupart des articles que lui consacrent les journalistes, sur le site de son éditeur, dans le communiqué de presse qui accompagnait ses Quarante méditations juives parues en septembre 2011, dans toutes les notices biographiques qui figurent sur l’Internet, depuis celle de Wikipédia jusqu’à celle de Faitreligieux.com. Une légende répandue par des thuriféraires trop zélés prétend même que « cet étudiant très brillant, obtient, très jeune, la difficile agrégation de philosophie, en étant major, malgré un… zéro dans une épreuve qu’il ne peut passer, car elle a lieu un Shabath ».

    Sans doute n’est-ce pas la première fois que des gens – journalistes compris – racontent des bêtises sur quelqu’un. Le problème est que Gilles Bernheim les a manifestement laissés dire sans protester. Un rabbin est-il autorisé à mentir par omission ?

    Lire la suite de l’article sur bibliobs.nouvelobs.com

    E&R

  • Meurtre d'Alexandre Junca: un suspect avoue, trois personnes mises en examen

    Lire: http://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-d-alexandre-a-pau-une-femme-mise-en-examen-pour-assassinat-06-04-2013-2703281.php

  • VIDEO - L'Australie veut sauver ses koalas victimes de l'urbanisation

    L'Australie dispose historiquement de deux animaux emblématiques, le kangourou et le koala. Mais ce dernier petit marsupial attire en ce moment toute l'attention du pays car sa population a diminué de 90% en moins de 15 ans. L'espèce est menacée par l'urbanisation et la déforestation. Les routes qui se multiplient, les lotissements s'étendent au détriment de la forêt et des koalas.

    Dans la région du sud de Brisbane, capitale de l'état du Queensland, des bénévoles et scientifiques se battent pour les préserver. Il en reste à peine 10 000 dans cette région, 50 000 dans le tout le pays selon des estimations les plus pessimistes. Les journalistes Jenny Briffa et Frédéric Capron, pour France 2, ont suivi Maryline, une femme qui tente de sauver les koalas accidentés dans la nuit. Un hôpital vétérinaire existe pour soigner les animaux sauvages, il reçoit 20 koalas blessés par semaine.

    Francetv info

  • Boycottons le sidaction !

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    Sous couvert des meilleurs sentiments, le sidaction, présidé par Pierre Bergé, est vecteur de la culture de mort !

    Contre-info.com

     

  • En 2012, Mélenchon était contre la publication de son patrimoine‎

     

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    Jean-Luc Mélenchon se déclarait, en mars 2013, hostile à une transparence totale du patrimoine des élus. Dans un entretien à La Croix, il assurait ne pas être “un homme public, mais un homme privé avec des activités publiques”.

    “Je suis favorable à 100 % au contrôle du patrimoine des élus par un organisme indépendant, à la condition qu’il soit spécialisé et astreint au devoir de réserve”, précisait alors le candidat du Front de gauche, avant toutefois d’asséner : mais “il n’y a pas de raison que ces informations se retrouvent sur la place publique, ou alors il faut publier la feuille d’impôt de tout le monde. La transparence ne doit pas être une exigence névrotique”.

    Jean-Luc Mélenchon estimait, enfin, qu’“aucune vie n’est possible dans la transparence complète”.

    Source

    NPI

  • L'éclairage des médias suisses sur l'affaire Cahuzac

    Le journaliste de la télé suisse RTS évoque 15 millions d’euros qui auraient transité sur le compte de Jérôme Cahuzac. Il relate également une rencontre entre Pierre Moscovici et son homologue suisse, le 26 janvier, lors du forum de Davos, durant laquelle ils auraient évoqué l’affaire Cahuzac.

    Contre-info.com - 06/04/13 

  • Marseille: laissé pour mort devant son collège après des insultes

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    Devant le collège Don Bosco (6e arrdt)

    Les surveillants du lycée Don Bosco (6e) s'en souviendront toute leur vie. Ils ont dû en affronter des scènes de violences, lors desquelles le regard des jeunes gens qui se battent se transforme, où la haine domine tout. Mais jamais comme la semaine dernière. Devant leur établissement, six ou sept garçons, capuches relevées et écharpes nouées sur le visage ont participé à une expédition punitive, contre un seul adversaire. Un élève de 15 ans, en classe de 3e, finalement victime d'une hémorragie interne et sur lequel les médecins se sont résolus à pratiquer une ablation de la rate.

    Des coups de poings, de pieds se sont abattus sur le jeune homme, à terre, qui n'a dû son salut qu'à l'intervention des "pions". "Mes surveillants ont été très touchés par ce qui s'est passé, déplorait hier le proviseur de ce lycée technique privé, Marie-Jeanne Criado. Surtout quand on leur a dit que l'élève aurait pu mourir dans leurs bras. Ici, nos élèves sont calmes. Beaucoup se font agresser dans le métro ou dans leur cité, où la violence s'est installée. Manifestement, ceux-là étaient venus pour démolir notre élève."

    L'état de la victime s'est vite détérioré

    Quelle faute irréparable a pu commettre le collégien pour recevoir pareil châtiment ? Avoir proféré des insultes, lors d'un après-midi sur un stade de football, dans le 11e arrondissement. Une engueulade comme il peut s'en produire des dizaines, chaque jour entre jeunes gens. Mais cette fois, ceux d'en face ont décidé d'organiser une riposte, extrêmement déterminée. Les six ou sept garçons ont attendu que l'adolescent quitte l'établissement, rue Stanislas-Torrents (6e), pour se ruer sur lui. Le visage masqué, les agresseurs se sont acharnés, avant d'être mis en fuite et de partir en courant dans les rues du quartier. L'état de la victime s'est vite détérioré. Transporté d'urgence à l'hôpital et souffrant d'une grave hémorragie interne, il a dû subir une intervention chirurgicale, l'ablation de la rate, qui va affaiblir son système de défense immunitaire. Il ne devrait quitter l'hôpital que lundi.

    La brigade des mineurs de la Sûreté départementale, face à la gravité des faits, a été saisie des investigations par le parquet. Elle va évidemment enquêter sur les altercations précédant l'agression afin d'en retrouver les auteurs. Il y a une quinzaine de jours, d'autres violences, tout aussi démesurées, s'étaient produites devant le lycée Jean-Claude Izzo (2e). Un élève de 13 ans avait reçu des coups de couteau pour de futiles motifs. "En ce moment, on a une agression grave par semaine, déplore un enquêteur. Les conflits dans le milieu scolaire semblent prendre des dimensions de plus en plus importantes."

    La Provence - 06/04/13

     

     

  • Affaire Cahuzac: d'où vient l'argent de l'ancien ministre ?

    Mardi, Jérôme Cahuzac a été mis en examen. En plus de blanchiment de fraude fiscale, il est soupçonné d’avoir touché de l’argent provenant de l’industrie pharmaceutique. Retour sur un parcours professionnel très lucratif.

    De 1988 à 1991, Jérôme Cahuzac est le conseiller médicament du ministre de la Santé Claude Evin. En contact avec tous les responsables de laboratoires, il se fabrique un important carnet d’adresse .

    "Cahuzac Conseil"

    A sa sortie du ministère, il devient consultant dans ce domaine, et les laboratoires constituent sa principale clientèle. Une activité très lucrative: en un an, sa société "Cahuzac Conseil" aurait engendré 1,9 millions de francs, soit 385.000 euros de chiffre d’affaires selon Mediapart. Soit plusieurs millions d’euros en 10 ans.

    L’activité de consultant de Jérôme Cahuzac est légale, mais les juges vont chercher à savoir si l’ex-ministre s’est fait rémunérer de façon illicite par les laboratoires: car c’est à cette époque qu’il ouvre un compte en Suisse. 600.000 euros figureraient sur ce compte, qui, d’après l’avocat de Jérôme Cahuzac, n’aurait pas été abondé depuis 12 ans. Le compte a été transféré à Singapour en 2010.

    Par ailleurs, l’argent proviendrait également de son activité de chirurgien. Toujours dans les années 90, il ouvre avec sa femme une clinique à son nom spécialisée dans la micro-greffe de cheveux. Très fréquentée par les politiques, les chefs d’entreprises et animateurs de télévision, l’établissement fonctionne bien et enregistre de coquets bénéfices.

    Les enquêteurs s’intéressent ici à des sommes potentiellement versées en liquide et dissimulées en Suisse.

    BFMTV