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  • Paris - Le pont Alexandre III gravement vandalisé

    sans-titre.png Pont Alexandre III.png

    Communiqué de Karim Ouchikh, conseiller de Marine Le Pen à la Culture, à la Francophonie et à la Liberté d’expression, Président exécutif du SIEL

    Symbolisant la grandeur de l’amitié franco-russe, incarnant le savoir-faire du génie civil de notre pays, le plus célèbre des ponts parisiens a été gravement vandalisé. Deux splendides décorations de bronze qui ornent ce vénérable édifice ont été en effet dérobées ces dernières heures, dans des circonstances encore inconnues.

    Commis dans l’un des secteurs les mieux surveillés de la capitale, à quelque pas du Palais de l’Elysée, ce vol stupéfiant met une fois de plus en cause la responsabilité directe des pouvoirs publics de notre pays, lesquels demeurent visiblement incapables d’assurer la protection élémentaire des œuvres d’art conservés aussi bien dans nos musées que dans l’espace public.

    Devant la multiplication préoccupante de ces actes de vandalisme qui frappent partout l’intégrité de notre patrimoine culturel, Marine Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine invitent à nouveau fermement le gouvernement de François Hollande à prendre enfin conscience de la gravité de la situation et à mettre en oeuvre sans plus tarder les mesures de police indispensables pour enrayer définitivement l’expansion de cette nouvelle forme de criminalité qui indigne tant les Français.

    NPI - 05/04/13

  • PAU - Meurtre d'Alexandre Junca: les premiers aveux du principal suspect

    sans-titre.png  Alexandre Junca.png

    La beauté et le regard d'un ange

     

    Une sixième personne a été placée en garde à vue.

    Meurtre d'Alexandre Junca : le principal suspect a parlé

    Le marginal, principal suspect du meurtre d'Alexandre Junca en juin 2011, a parlé. Selon les enquêteurs, le jeune homme de 27 ans a reconnu être passé par la rue Galos, dans la nuit du 4 au 5 juin 2011, date de la disparition de l'adolescent de 13 ans. Il a également indiqué avoir croisé Alexandre mais nie avoir commis des violences sur lui. Par ailleurs, le parquet a annoncé le placement en garde à vue d'une sixième personne.

    "On note de grosses avancées, c’est évident, indique avec prudence une source proche de l’affaire, mais c’est bien plus compliqué que des aveux. Il va falloir vérifier tout cela", soulignent-les enquêteurs. Jeudi, les gardes à vue de cinq suspects arrêtés mercredi, dont le marginal, ont été prolongées jusqu'à samedi matin.

    Une sixième garde à vue

    Les enquêteurs privilégient désormais la piste d'un tueur unique, qui aurait été aidé par des complices pour se débarrasser du corps de jeune garçon.

    Dans un communiqué diffusé ce vendredi, le parquet de Pau a annoncé officiellement qu'un homme avait été placé en garde à vue. C'est la sixième personne en garde à vue dans ce dossier. Le parquet n'a pas précisé quand cette garde à vue a démarré. Elle ne concernerait toutefois pas un personnage central dans l'affaire.

    On peut dire qu'il a "rencontré Alexandre" et donc qu'un "lien direct" a été établi,"des avancées constructives" permettant aussi "de caractériser la présence" de certaines des quatre autres personnes en garde à vue dans cette affaire depuis mercredi matin, a-t-on indiqué de sources proches du dossier. "Le suspect n'a pas reconnu avoir commis des violences sur Alexandre", a-t-on en revanche insisté. "Il n'est pas possible, à ce stade des investigations, d'identifier formellement le ou les auteurs du crime", a dit de son côté le parquet.

    Alexandre Junca avait disparu le 4 juin alors qu'il rentrait chez son père dans le centre de Pau. Un fémur de l'adolescent avait été découvert 26 juin dans le Gave. Le reste de son corps démembré avait été retrouvé les 19 et 20 octobre enfoui sous 40 cm de gravats jetés dans cette même rivière pour faire une digue.

    La Dépêche.fr - 05/04/13

    Le Parisien donne le nom du principal suspect: Michaël Baehrel

    Plus de détails: http://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-d-alexandre-le-principal-suspect-reconnait-avoir-ete-dans-les-parages-05-04-2013-2699915.php

  • Emploi: la préfecture de la Vienne reconnaît appliquer la préférence nationalee

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
  • Le "couscous merguez pour tous" le Vendredi Saint, c'était vrai...

    Lire: http://www.christianophobie.fr/breves/le-couscous-merguez-pour-tous-le-vendredi-saint-cetait-vrai

    05/04/13

  • Sur un parking de supermarché, un vigile issu de la diversité laisse des « jeunes » terroriser les clients

     

    La théorie du vivre-ensemble est aussi jolie qu’un conte de fées, mais n’en demeure pas moins une fable. C’est plutôt un triste compte de faits qu’il faudrait faire ; de ces faits dont j’ai été témoin samedi soir, revenant de Villequier, en Seine-Maritime.

    Le matin, malgré le froid peu engageant, ma compagne et moi avions décidé de longer la Seine normande jusqu’à cette dramatique portion qui vit sombrer dans ses eaux, un jour de septembre 1843, Madame Léopoldine Vacquerie, née Hugo, et son époux Charles. Cataclysme dans la vie du titan de la littérature française, Victor Hugo, que la mort de sa fille préférée ! Entre ces abbayes séculaires, ces havres de nos écrivains et peintres dont le souvenir se perd dans les écoles offertes à l’inculture cosmopolite, je m’octroyais donc une cure de France telle que je me la figure, loin de l’exotisme forcé de la Région parisienne.

    Mal m’en prit ! Le soir, les enfers multiculturels des Yvelines me rappelèrent à l’ordre nouveau : la réalité n’était plus aux Contemplations mais aux Châtiments !

    C’était samedi, et j’avais envie d’une bonne bouteille de Bourgogne afin d’accompagner ma soirée. Las, sur le parking d’un supermarché, dans une ville ordinairement paisible, deux jeunes mâles primitifs donnaient de la voix, juchés sur leurs scooters, exécutant des roues arrières entre les clients, dont certains silencieusement effrayés.

    L’un des deux arborait fièrement le drapeau du Maroc, raillant copieusement la vache-à-lait dont il profitait avec sa tribu, et ricanant bruyamment en frôlant volontairement hommes, femmes et enfants. Il fut toutefois contraint de stopper sa machine (le pauvre !) au passage de ma compagne, motivé dans son geste « courtois » par ma présence et celle d’un objet illicite dans ma main (j’assume !). Je le confesse, chers lecteurs, pourtant chrétien, je n’ai pas encore su apprécier à sa juste valeur la parole christique au point de tendre l’autre joue !

    Mais ce n’est pas là le pire, car à l’entrée même du magasin trônait un vigile exotique, souriant de voir ces chers bambins effrayer une clientèle au secours de laquelle sa fonction l’obligeait de se porter, le parking étant propriété de l’enseigne qui l’employait. D’une carrure cependant très impressionnante, il ne fit pas un geste pour mettre un terme à cette agression collective manifeste. Il n’allait tout de même pas froisser l’ego de ces racailles !

    Plus tard, ma compagne me dit, furieuse, qu’elle envisageait de porter plainte pour non-assistance à personnes en danger. Sur le coup, je me dis que ce serait une chouette idée. Mais je me rembrunis soudain : on pourrait, par les temps qui courent, interpréter ça comme de la discrimination raciale et les agresseurs, suivant la mode du temps, deviendraient les agressés.

    Pendant ce temps, dans l’émission de Frédéric Taddeï, Ce soir ou jamais, ces messieurs, Emmanuel Todd en tête, nous racontaient que tout allait pour le mieux, que l’insécurité c’était du fantasme. Seule la voix dissidente d’Alain Finkielkraut tentait, parmi les quolibets, de réveiller les consciences dans cet océan de déni. Pour la première fois de ma vie, je me sentais hors-la-loi dans mon pays…

    Charles Demassieux

    RIPOSTE LAÏQUE

  • La DCRI, police privée de la présidence de la République – par Spoutnik

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     Siège de la DCRI à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Crédit photo : Mouloud47
    via Wikipédia (cc).

    05/04/2013 – 14h30
    PARIS (via Chez Spoutnik) - Je m’interrogeais déjà l’année dernière, suite à l’affaire Merah, sur les objectifs réels de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur). Il semblait, au vu d’un certain nombre de faits (le traitement de l’affaire de Tarnac notamment) que cette structure, créée par Nicolas Sarkozy en fusionnant les Renseignements généraux et la DST, n’assurait pas sa mission prioritaire de lutte contre le terrorisme. En revanche, il devenait évident que ses objectifs « officieux » étaient de monter des coups politiques au bénéfice seul de l’Elysée. Ce qui fait grincer des dents nombre d’officiers intègres de la DCRI, car fort heureusement il reste encore dans notre pays des fonctionnaires consciencieux. Chose assez inédite, et assez peu médiatisée à l’époque, des officiers de la DCRI s’étaient mis en grève pour protester contre cet état de fait.

     

    Or, qu’apprend-on aujourd’hui dans La Croix ? Selon un rapport rédigé par des officiers de la DCRI, et remis aux parlementaires le 16 février, elle ne transmettrait pas à la justice les éléments de preuves dont elle aurait connaissance en matière d’affaires financières.

    Au contraire, elle entraverait même sciemment les investigations de Tracfin, organisme dépendant du ministère des finances et en charge de la délinquance financière. « Les auteurs de la note se livrent à un véritable réquisitoire, révélant d’une part la surveillance étroite opérée par le renseignement intérieur sur l’organisation de la fraude fiscale internationale, notamment celle qui fut organisée en France par la banque suisse UBS, et dénonçant d’autre part la non-transmission à la justice des informations considérables recueillies lors de cette surveillance »

    UBS ? Tiens, tiens… La banque suisse mise en cause dans l’affaire Cahuzac. Le rapport poursuit : « Pourquoi la sous-direction K a-t-elle axé son travail de surveillance sur les cadres de l’UBS qui dénonçaient le système de fraude plutôt que sur ceux (qui étaient) à l’origine du système ? » Donc la DCRI savait, et si la DCRI savait, l’Elysée savait.

    Flanby est président depuis un an maintenant. Il ne vient pas de débarquer à l’Elysée, les rapports de la DCRI lui sont connus. En particulier s’ils touchent son camp.

    Le rapport exprime clairement ce que je n’osais encore formuler qu’au conditionnel l’année dernière : « Ces services se nourrissent des délits qu’ils ne souhaitent pas voir apparaître ou révéler à l’autorité judiciaire pour ne pas amoindrir leur influence, quand le besoin s’en fait sentir. » En clair, la DCRI garde sous le coude les dossiers de délinquance financière pour les utiliser au moment le plus opportun, au moment le plus politiquement opportun.

    Le renseignement intérieur utilisé uniquement à des fins de politique intérieure ? C’est l’un des marqueurs qui permet de savoir si un pays est encore une démocratie. Dans le cas de la France, la réponse est évidente : NON !

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Emmanuel Ratier - Révélations autour de l’affaire Cahuzac


    Emmanuel Ratier - Révélations suite à l'affaire... par Homme-Mayonnaise

    Radio Courtoisie, 3 avril 2013

    Emmanuel Ratier revient sur l’affaire Cahuzac et livre quelques informations sur le « petit monde » politico-judiciaire

    E&R

    Excellente vidéo!

     

     

     
  • Bienvenue en Palestine : le tribunal condamne Air France pour discrimination raciale 05/04/2013

     

    Le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a condamné jeudi Air France pour sa collaboration coupable avec le racisme d’Etat israélien. La 14ème chambre correctionnelle du tribunal a condamné la compagnie aérienne à 10.000 € d’amende pour discrimination raciale caractérisée ; elle a ordonné la publication du jugement, et a alloué 3.000 € (2000 € de préjudice + 1.000 € de « frais d’avocat ») à la victime, Horia Ankour, participante à la mission internationale Bienvenue en Palestine.
    Le 15 avril 2012, alors qu’elle avait pris place à bord d’un avion d’Air France prêt à décoller de Nice vers Tel Aviv, Horia Ankour avait été approchée par une employée de la compagnie, qui lui avait posé la question suivante : « Etes-vous juive ? ».
    Ayant répondu par la négative, Horia était alors rapidement sommée par le personnel d’Air France de redescendre à terre, les employés cachant mal leur gêne d’obéir à des pratiques aussi discriminatoires émanant, de leur propre aveu, des services israéliens.
    Horia Ankour, élève infirmière à Carcassonne (Aude) avait alors porté plainte, sur les fondements du code pénal français qui réprime expressément la discrimination des personnes à raison de leur appartenance, ou non appartenance, réelle ou supposée, « à une race, une religion, une ethnie, etc ».
    Lors du procès, qui s’était tenu le 17 janvier dernier, l’avocat d’Air France, après avoir cherché sans succès à nier l’évidence des faits, avait eu recours à la classique « excuse » des lâches : « On a obéi aux ordres des Israéliens ». Une salariée d’Air France, citée comme témoin, s’était pareillement retrouvée en posture peu flatteuse : « Je ne pense rien des ordres qui me sont donnés, je les exécute », avait-elle avoué.
    A noter que la condamnation de jeudi dépasse les réquisitions du procureur, qui avait proposé une amende de 5.000 €.

    CAPJPO-EuroPalestine
     
    ALTERINFO
     

     

     

  • Jérôme Cahuzac veut revenir à l'Assemblée nationale !

    Claude Bartolone affirme qu'il veut redevenir député. Et qu'il a tenté de l’en dissuader.

    Cahuzac, le retour ? Jérôme Cahuzac de retour à l’Assemblée, c’est théoriquement possible. Et selon Claude Bartolone, cité par France Info, l’ancien ministre du Budget souhaite effectivement retrouver son siège dans l’hémicycle. Là même où il avait juré, le regard droit et la tête haute, ne pas posséder un tel compte. Le président de l'Assemblée nationale affirme avoir eu l'ex-ministre jeudi longuement au téléphone.

    Rien ne l’en empêche. Le chirurgien de profession a en fait jusqu’au 19 avril, soit un mois jour pour jour après sa démission du gouvernement, pour prendre une décision définitive. Et comme il n’a pas été condamné, rien, juridiquement, ne l’empêche de retrouver un siège de député de Lot-et-Garonne qu’il avait laissé pour être ministre du Budget et actuellement occupé par son suppléant, Jean-Claude Gouget.

    Combien va toucher le groupe R-UMP ?

    Claude Bartolone n’en veut pas. Sauf qu’il sera difficile de trouver un élu favorable à ce retour. Claude Bartolone a en tout cas tenté de le dissuader de revenir. "J'essaye de lui faire comprendre qu'il ne peut pas le faire", assure le président de l’Assemblée à France Info. "Ce n'est pas la justice qui l'en empêche, il n'a pas été condamné, mais compte tenu de son attitude, dans laquelle il s’est piégé lui-même, ce ne serait pas une bonne chose, ni pour lui, ni pour le pays", juge encore l’élu de Seine-Saint-Denis. "J’espère qu’il réfléchit actuellement, je souhaite qu’il écoute, qu’il entende, et que le moment venu, il fasse savoir qu’il ne reviendra pas à l’Assemblée nationale."

    Le reste de la gauche non plus. Si Jean-Marc Ayrault n’a pas encore réagi, il n’est pas difficile de deviner comment il recevra la nouvelle. Le Premier ministre avait en effet demandé mardi soir sur France 2 à son ex-ministre "de ne plus exercer de responsabilité politique" et de tirer "toutes les conséquences de son mensonge particulièrement grave, à l'égard de la République, à l'égard de l'Etat républicain, à l'égard des Français". Par communiqué, le même jour, le porte-parole des députés socialistes l’est encore plus. Après avoir assuré que ses camarades "étaient atterrés", Thierry Mandon a jugé que Jérôme Cahuzac était désormais "disqualifié moralement" pour "revendiquer un mandat de parlementaire".

    Pas plus que la droite. Jean-Christophe Lagarde, député UDI, a très rapidement réagi sur Twitter. Et le député de Seine-Saint-Denis n’est évidemment pas content.

    Europe 1 - 05/04/13

    Veut-il revenir pour  déballer TOUT ce qu'il sait et ne pas jouer seul le bouc émissaire ?

     
  • Sarkozy/Bettencourt: le parquet de Bordeaux dément avoir pris une décision

    La classe politique avait plutôt accueilli avec beaucoup de prudence l'éventualité d'un non-lieu de Nicolas Sarkozy après sa mise en examen pour "abus de faiblesse" dans l'affaire Bettencourt. A raison. Le procureur de la République de Bordeaux a en effet démenti ce vendredi matin avoir pris une décision "quant à l'orientation des réquisitions qu'il sera amené à prendre".

    Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 21 mars pour "abus de faiblesse" © Reuters - Pascal Rossignol

    "Contrairement à une information rendue publique dans la soirée du jeudi 4 avril 2012, le parquet de Bordeaux n'a pris aucune décision quant à l'orientation des réquisitions qu'il sera amené à prendre dans l'information notamment suivie du chef d'abus de faiblesse au préjudice de Liliane Bettencourt" affirme le communiqué signé par le procureur de la République de Bordeaux Claude Laplaud.

    "Plusieurs milliers de pièces à examiner"

    Il insiste aussi sur l'importance du nombre de pièces de ce dossier, "plusieurs milliers", qu'elles ont été communiquées depuis le 28 mars, "soit depuis seulement huit jours", qu'elles doivent faire l'objet "d'une analyse détaillée et ce n'est qu'au terme de celle-ci que le ministère public se déterminera quant au sens de ses réquisitions".

    La rapidité de la prise de décision selon les informations parues ce jeudi soir avait d'ailleurs étonné Francoise Martre, la président du syndicat de la magistrature.

    La mise en examen le 21 mars de Nicolas Sarkozy pour "abus de faiblesse" a donné lieu à de violentes critiques de la justice et des magistrats de proches de l'ancien chef de l'Etat et notamment de son ex-conseiller spécial Henri Guaino.

    France Info - 05/04/13

  • Mgr Dubost était au congrès de l’UOIF ...

     

    Mgr Dubost et le père Lelong interviennent ce week-end lors du rassemblement musulman au Bourget organisé par l’UOIF, proche des Frères Musulmans. Pour Mgr Dubost, son intervention visera à « dépasser les stéréotypes » et à « renforcer les liens avec les musulmans« .

    L’UOIF est la section française des Frères Musulmans qui contrôle tout un ensemble de mosquées. Le principal inspirateur de l’UOIF est Tariq Ramadan, petit-fils du fondateur des Frères Musulmans. Comme son grand-père, il proclame : « L’islam est dogme et culte, religion et État, spiritualité et action ». Les Frères Musulmans se rattachent au rite hanbalite. Le statut pour les chrétiens défendu par l’UOIF comme par l’ensemble de l’islam s’appelle la dhimmitude.

    Plutôt que de croire qu’il va dépasser des stéréotypes, Mgr Dubost devrait s’instruire. Qu’il prêche à ce congrès le Christ Ressuscité !

    Riposte catholique

  • Affaire Bettencourt: non-lieu requis pour Nicolas Sarkozy

    Lire: http://www.leparisien.fr/affaire-bettencourt/affaire-bettencourt-non-lieu-requis-pour-sarkozy-04-04-2013-2697483.php

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  • Les suicidés de l’affaire Woerth-Bettencourt

     

    Par la rédaction d’E&R

    Comme tous les scandales politico-financiers, l’ « affaire Woerth-Bettencourt » mobilise, de près ou de loin, dans toutes les sphères du pouvoir, un nombre important d’intervenants. Parmi eux, deux hommes ont connu récemment une mort brutale : l’avocat Olivier Metzner et le sous-directeur des affaires économiques et financières (AEF) à la police judiciaire (PJ) de Paris, Noël Robin. Dans les deux cas, la piste du suicide est privilégiée par la justice – et par les médias.

    L’affaire Woerth-Bettencourt

    Dans cette affaire, Liliane Bettencourt, première actionnaire du groupe L’Oréal, est soupçonnée de fraude fiscale, des écoutes téléphoniques laissant penser qu’elle posséderait une île aux Seychelles et des comptes bancaires à l’étranger, le tout non-déclaré au fisc. Ces enregistrements, révélés par Mediapart le 16 juin 2010, ont également conduit à la révélation de possibles conflits d’intérêts entre Liliane Bettencourt et Éric Woerth, ministre du Travail sous le gouvernement Fillon, dont la femme Florence Woerth était employée d’une société gérant la fortune de Liliane Bettencourt. Par ailleurs, Claire Thibout, ex-comptable de Liliane Bettencourt, a évoqué lors de son interrogatoire par les enquêteurs le possible financement illégal de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

    Le jeudi 28 mars 2013, les trois juges en charge de l’ « affaire Bettencourt » ont annoncé que l’instruction était terminée et ont transmis au parquet le dossier de la procédure.

    Deux suicidés

    Onze jours auparavant, le 17 mars, le corps de l’avocat Olivier Metzner, 63 ans, avait été retrouvé flottant au large de son île privée dans le Morbihan. Ce célèbre pénaliste était l’avocat de Françoise Bettencourt-Meyers dans l’affaire qui l’opposait à sa mère Liliane Bettencourt depuis 2007. C’est la cliente d’Olivier Metzner qui avait transmis à la police en juin 2010 les enregistrements de conversations au domicile de sa mère, écoutes à l’origine de l’affaire Woerth-Bettencourt. Suite à la découverte du corps de l’avocat, la justice a mis en place la procédure habituelle :

    « Après un suicide [présumé], le médecin constatant le décès mentionne un obstacle à l’inhumation. Le procureur, sur la base de ce constat, diligente une “enquête aux fins de recherche de mort” conformément aux dispositions de l’article 74 du Code de procédure pénale. Le procureur lui-même ou un officier de police judiciaire sur commission rogatoire [...] se rend sur place pour réunir des indices matériels et des témoignages. Le corps est ensuite transféré à l’institut médico-légal pour qu’il soit réalisé des actes complémentaires et une autopsie et ce afin que le certificat de décès soit établi par un médecin lié à l’autorité judiciaire. Seuls les membres de la famille peuvent consulter le rapport d’autopsie. Si le suicide est établi, le corps est transmis à la famille pour l’inhumation. S’il persiste des doutes sur les causes du décès, le procureur peut poursuivre l’enquête selon les dispositions régissant l’enquête préliminaire, ou il peut requérir l’ouverture d’une information auprès du juge d’instruction [1]. »

    Une autopsie était pratiquée dès le 17 mars. Le lendemain, le procureur concluait à un suicide et classait l’enquête.

    Le 2 avril, le haut fonctionnaire de la PJ parisienne Noël Robin était à son tour retrouvé mort dans un véhicule de service à Saint-Germain-Laxis (Seine-et-Marne). Il se serait suicidé par balle avec une arme administrative [2].

    Au cours de sa carrière, Noël Robin s’était illustré notamment dans le cadre de l’ « affaire du Sentier II » en tant que chef de la Brigade parisienne de recherche et d’intervention financière (Brif). Il avait été évincé de cette affaire sensible – instruite par Isabelle Prévost-Desprez [également juge d’instruction dans l’affaire Bettencourt] – en 1999 [3]. Par la suite, devenu chef de la Brigade criminelle, il avait mené l’enquête dans l’affaire dite du « gang des Barbares », où le travail de la police « avait été critiqué par la famille de la victime, le jeune juif Ilan Halimi » [4]. Il lui était notamment reproché « de ne pas avoir suffisamment suivi les pistes en provenance de Bagneux, dont était originaire le gang des Barbares » [5].

    Depuis quelques années, Noël Robin était sous-directeur des affaires économiques et financières (AEF) à la PJ parisienne. Il avait notamment supervisé l’enquête dans l’affaire Woerth-Bettencourt.

    Sa mort, qui a fait infiniment moins de bruit dans les médias que celle du candidat de Koh-Lanta, « a été ressentie avec douleur à la police judiciaire où il était “connu et très apprécié”, selon plusieurs sources policières, certaines avançant des raisons “a priori personnelles”. “Rien ne laissait présager un tel drame”, ont dit d’autres sources évoquant un homme “très équilibré” et “faisant le poids” [6]. » L’enquête sur les causes et circonstances exactes de son décès a été confiée à la PJ de Versailles.

    Nicolas Sarkozy

    Rappelons que dans le cadre de l’affaire Bettencourt, l’ex-président de la « République » Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 21 mars 2013 par le juge Jean-Michel Gentil pour abus de faiblesse [7]. À la fin de l’audition, Nicolas Sarkozy aurait réagi en déclarant au juge : « Je n’en resterai pas là [8]. » Quelques jours plus tard, le juge Gentil, mais aussi des journalistes (Jean-Pierre Elkabbach et Michaël Darmon) ont reçu des lettres de menaces contenant chacune une balle à blanc [9]. Le parquet antiterroriste a été saisi le 28 mars.

    Sans présumer d’aucun rapport entre les suicides de deux ténors de la justice impliqués dans l’affaire Bettencourt et les épisodes tournant autour de la mise en examen de Nicolas Sarkozy dans cette même affaire, force est de constater qu’ils sont loin de rassurer sur son issue finale et ses dommages collatéraux. Quant aux « suicides » eux-mêmes, leur coïncidence défie les lois de la probabilité ; mais on sait aussi que celles, très sales, de la politique avec intérêts financiers sont situées bien au-dessus.

  • Il n'y a plus de rue du Maréchal Pétain en France

    sans-titre.png Mal Pétain.png

    sans-titre.png Belrain.png

    La dernière rue du Maréchal-Pétain de France n’est plus. La plaque apposée en 1936, à Belrain, a été finalement décrochée. Le 15 mars dernier, au terme de débats passionnés mais sans débordements, le conseil municipal de la petite commune meusienne de cinquante âmes a voté le changement de nom à sept voix contre une.

    Dans la foulée, toutes les familles de la commune rurale ont reçu, dans leur boîte aux lettres, un bulletin de participation à une consultation populaire. Elles doivent choisir, avant ce soir, entre plusieurs propositions. Parmi les nouveaux noms suggérés figurent des résistants notoires : Stéphane Hessel ainsi que le couple Lucie et Raymond Aubrac. Cette idée a été formulée, lors du conseil municipal, par Nicolas Chavanne, 50 ans, agriculteur qui souhaitait « faire contrepoids » à l’Histoire.

    Ce dernier est le fils d’Alain, maire de la commune entre 1975 et 2010 et l’arrière petit-fils du colonel Maurice Chavanne, maire de 1935 à 1945, celui-là même qui a choisi, en 1936, de dédier une rue au maréchal Philippe Pétain. Le colonel Chavanne, chef de corps à Saint-Mihel en 1914, vouait, comme beaucoup dans ce secteur meurtri, gratitude et admiration à Pétain, qui n’était encore que le héros de la bataille de Verdun. Le département de la Meuse comptait alors des rues Pétain par dizaines. La Seconde Guerre mondiale et le régime de Vichy ont bouleversé la donne historique. Les rues ont été débaptisées à tour de bras. Partout, sauf à Belrain.

    Sept pour, un contre

    En 1975 pourtant, au moment du remembrement, tous les noms de rue ont été changés. L’occasion était belle. « Mais le conseil a préféré l’existant », explique, laconique, Alain Chavanne, qui siège encore au conseil. Quarante ans plus tard, il a voté pour le changement. « Jamais les préfets qui se sont succédé ou les grands élus n’ont émis de critique sur cette particularité », se défend-il.

    Nouvelle tentative en 2010 sous l’impulsion de Patrick Gondouin, fraîchement élu maire, qui sent confusément que la rue Pétain est susceptible de nuire à la réputation du village. Le conseil « aux trois quarts par inertie et un quart par idéologie » ne donne pas son aval. Mais en 2009, un homme se donne comme mission de bousculer cette inertie. Jean Thouvenin, 82 ans, militant socialiste, en lisant son quotidien régional, tombe, en 2009, sur un texte qui annonce la naissance, à Belrain, du petit Ewen chez Mélanie et Aymeric Dupuis, domiciliés rue du Maréchal Pétain. Il part en croisade. Ecrit, sans succès, aux sénateurs, députés, ministres, préfets. Et n’obtient rien. Enervé, il contacte la presse locale qui met le feu aux poudres. « I l a été pris à partie par les anciens combattants », explique le jeune secrétaire de la section socialiste de Bar-le-Duc pour justifier le silence que s’est désormais imposé Jean Thouvenin sur cette affaire. Une seule voix s’est opposée au changement de la rue, celle d’Aymeric Dupuis, qui « ne se sent pas concerné par cette affaire » qui va l’obliger « à changer d’adresse sur les tous les documents administratifs ». Une galère.

    P. R.

    Le Républicain Lorrain - 04/04/13

     Ouf ! On respire!

  • Quand le maréchal Pétain décorait François Mitterrand de la Francisque...

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                                  Le 16 août 1943, François Mitterrand reçoit la Francisque, médaille marquant l'estime du maréchal Pétain, des mains du maréchal.

  • On connaissait la gauche caviar, on découvre la gauche caïman !

    sans-titre.png Aliot.png

    Communiqué de Presse de Louis Aliot, Vice-président du Front National

    La république irréprochable de François Hollande semble avoir du plomb dans l’aile. Après les affaires Guérini et consorts, les conséquences de l’affaire Cahuzac, ne voilà t-il pas que le trésorier de sa campagne a investi dans des paradis fiscaux!

    En effet, selon les fichiers d’un consortium d’investigation américain, Jean-Jacques Augier, énarque de la promotion Voltaire, celle de François Hollande, Ségolène Royal ou Michel Sapin, trésorier de campagne du Président, serait actionnaire de deux sociétés offshores dans le paradis fiscal des îles Caïmans.

    La première société a été créée à la demande d’un de ses partenaires chinois, alors que pour la seconde, Monsieur Augier se refuse à dévoiler ses associés et affirme qu’elle a été créée à la demande de ses partenaires et aurait depuis été rapatriée à Hong Kong.

    Bref, la gauche morale, très en verve en France pour dénoncer la fuite des capitaux et brocarder les paradis fiscaux semble être totalement imprégnée de l’esprit de la finance mondiale, celle-là même que pointait du doigt le président normal !

    C’est en prenant connaissance de ces informations qu’on mesure la fracture qui existe entre la caste au pouvoir et le peuple. Pendant que les Français souffrent d’une crise financière, économique et sociale dramatique, la finance se porte bien ! Et à gauche, ses serviteurs ne manquent pas.

    La gauche a enfin trouvé une devise qu’elle devra inscrire à l’entrée de la rue de Solferino : « faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais ! »

  • Offshore leaks: qui est Jean-Jacques Augier, l'ex-trésorier de campagne de François Hollande ?

    Lire: http://www.lexpress.fr/actualite/politique/offshore-leaks-qui-est-jean-jacques-augier-l-ex-tresorier-de-campagne-de-francois-hollande_1237338.html

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