Charlotte Corday par Jean-Jacques Hauer
L'assassinat de Marat par Paul Baudry
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Charlotte Corday par Jean-Jacques Hauer
L'assassinat de Marat par Paul Baudry
Quand les situations et les mots pour les décrire n’ont plus le même sens pour les Français et ceux qui sont censés les représenter, l’heure est grave. En témoigne le discours de François Hollande ce 14 juillet, qui a permis de juger une nouvelle fois du décalage effrayant existant d’un côté entre le monde dans lequel évoluent nos énarques pensionnés, la technostructure européiste aux manettes du Système , et le pays réel de l’autre. Le chef de l’Etat a ainsi tenu à mettre en garde les Français contre le danger que constituerait l’opposition nationale , jugeant «d’une extrême gravité» la montée du FN, ainsi que ses propositions, qui «enfermeraient la France» (sic). Le vœu de Marine Le Pen de faire du FN le centre de gravité de la vie politique française ? « D’une extrême gravité». La sortie de l’euro ? «D’une extrême gravité », la preuve Nicolas Sarkozy était contre a t-il avancé ! L’instauration d’un protectionnisme intelligent? «D’une extrême gravité», a-t-il insisté, la preuve les Américains, les Chinois sont protectionnistes mais nous interdisent de l’être…avec le soutien de Bruxelles.
«Quand on dit qu’on va chasser ceux qui ne sont pas comme nous (sic) , ceux qui ne sont pas Français et même peut-être certains Français», c’est aussi « d’une extrême gravité» a encore avancé le président de la République semblant d’adresser à des élèves d’école primaire.
François Hollande semble oublier, note Bruno Gollnisch, que selon la doxa socialo-écolo-communiste, matérialisée par un vote récent à l’assemblée, tout le monde il est comme les Français, tout le monde il est comme nous et que tout le monde y ressemble à tout le monde . En effet, puisque le mot race , selon un engagement du candidat Hollande reprenant une vieille marotte communiste, a été supprimé de la Constitution, les différences l’ont été aussi automatiquement…non?
Éradiquer les mots pour faire disparaître les maux, les problèmes et escamoter le réel, nous voilà en pleine pensée magique socialiste à laquelle les médias sont priés de collaborer. La catastrophe ferroviaire survenue le 12 juillet en gare de la très plurielle commune de Brétigny-sur-Orge (Essonne) en est une nouvelle illustration.
Les sites de Libération, du Monde, du Figaro, du Nouvel Obs, Rue 89, Europe 1, France Info, BFM, France 3, ont ainsi évoqué la conduite des bandes de jeunes présentes sur place. Au micro d’Europe 1, Nathalie Michel, membre syndicat de police Alliance, a raconté: « A 17h 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres. »
Ces détrousseurs de cadavres et/ou leurs amis, ont aussi eu à cœur de caillasser secouristes, pompiers policiers et cheminots.
Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, est intervenu sur les antennes le lendemain pour tenter de minimiser les faits en expliquant, joyeux euphémisme socialiste, que « les pompiers ont été accueillis de façon un peu rude», qu’il n’a pas eu connaissance de victimes dépouillées, évoquant tout juste « des actes isolés ». Le maire socialiste de Brétigny-sur-Orge, Bernard Decaux, terrorisé à l’idée d’être accusé de stigmatiser les « jeunes » (de futurs électeurs ?) de sa commune, a tenu à expliquer que « le mot caillassage paraît très exagéré »…
Des exactions certainement perpétrées par des jeunes normands, berrichons, bretons ou provençaux de passage, bref par des Français comme nous, mais cela M. Cuvillier n’a pas été jusqu’à l’affirmer…
Restons dans le même registre avec cet article paru la semaine dernière dans l’hebdomadaire Minute à la suite de l’audience qui s’est tenue le 3 juillet au tribunal de grande instance de Paris.
Devant celui-ci, « Treize citoyens, des Noirs et des Arabes, attaquaient l’Etat et le ministère de l’Intérieur pour discrimination lors des contrôles d’identité. Les plaignants estiment que, à cause de leur profil ethnique, ils sont trop souvent la cible privilégiée des contrôles policiers. Ils se disent victimes du délit de faciès, le délit de sale gueule . A l’appui, ils ont fourni une étude du CNRS (le Centre national de la recherche scientifique), selon laquelle les citoyens d’origine nord-africaine et subsaharienne risquaient respectivement 7,8 et 6 fois plus de se faire contrôler qu’un individu de type européen ».
Or, rapportait Minute, dans les faits « Si certains citoyens sont plus contrôlés que d’autres, c’est que, malheureusement pour eux, ils appartiennent à une population à risques . Il suffit de consulter les avis de recherche de la police nationale pour s’en convaincre », fichier public consultable sur le site gouvernemental http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/.
« Il n’est pas difficile d’en tirer une statistique. Sur les 85 personnes qui font l’objet d’une fiche de police (…) on ne compte, au maximum, que quatorze individus (…) représentant les Français de souche. Soit seulement 16,47 % du panel. Cela revient à dire que 83,53 % de ces malfrats recherchés par la police n’ont pas pour ancêtres les Gaulois. » Mais de cela aussi les Français ne sont pas dupes car dans tous les domaines les tentatives de dissimulation et les mensonges du Système sont de moins en moins efficients.
Elle s’appelle Lucinda Creighton, elle a 33 ans, elle est irlandaise, elle est ministre et étoile montante de son parti, le Fine Gael. Ou plutôt, elle l’était. Car elle a préféré démissionner plutôt que de voter, comme l’y obligeait son statut de ministre aux Affaires européennnes, pour la loi sur l’avortement défendue par le gouvernement auquel elle participe.
Cela s’est passé jeudi soir : les membres du Dail en étaient à l’amendement 56 rendant l’avortement légal pour les femmes enceintes menaçant de se suicider en cas de poursuite de la grossesse.
Lucinda Creighton, membre du Fine Gael depuis ses 18 ans, savait exactement ce qu’elle avait à faire et et elle en avait mesuré les conséquences. En votant contre l’avortement soutenu par le gouvernement auquel elle participe, elle savait qu’elle serait automatiquement exclue et qu’elle n’aurait plus qu’à démissionner du poste ministériel qu’elle occupait depuis plus de deux ans?
Souriante et calme, elle s’est jointe au 23 autres élus qui ont osé voter contre (130 élus ont voté pour), après avoir expliqué longuement et posément qu’elle n’était pas une militante pro-vie, mais qu’elle était absolument opposée à l’adoption d’une loi que le parti s’était solennellement engagé à ne pas adopter au cours de sa campagne électorale.
A peine son vote émis, Lucinda Creighton est allée parler au Premier ministre Kenny, restant assise quelques minutes sur la marche à côté de son fauteuil. Ayant serré les mains de quelques-uns de ses anciens collègles, tout aussi calmement, elle a quitté les lieux, non sans être félicitée chaleureusement par certains.
« Je ne ressens ni rancœur ni amertume, ni rien de tel. Je suis très triste, mais je souhaite tout ce qu’il y a a de mieux à Enda Kenny et à tout le gouvernement. Je suis très triste. J’aime vraiment mon travail. J’ai eu le très grand privilège d’accomplir mes fonctions et mes devoirs de ministre aux Affaires européennes au cours de ces deux dernières années et même un peu davantage, et c’est triste pour moi que cela soit fini. Mais je savais les conséquences lorsque j’ai voté. »
Son avenir politique est désormais incertain, puisqu’elle est exclue également du Fine Gael.
Dans une déclaration à l’Irish Independent, elle a déclaré :
« C’est très décevant et j’aimerais bien ne pas en être là. Pour moi, il s’agit d’une loi très importante, une loi qui est contraire à un engagement que nous avons pris aux dernières élections : une promesse avait été faite, une promesse très fondamentale, sur l’avortement. J’ai simplement pensé que nous ne pouvions pas nous écarter de cette promesse. »
Et pourquoi n’avait-elle pas accepté de faire un compromis sur une affaire relevant des négociations au sein de la coalition de partis de gouvernement ? Réponse claire au journaliste : « Eh bien, je pense que le compromis est essentielle à n’importe quelle coalition. Je pense que nous avons su trouver des compromis sur des questions économiques, la politique sociale, etc. Mais quand il s’agit d’une affaire de vie et de mort – et en tout cas pour moi ça l’est – je pense qu’il n’est pas vraiment possible de chercher un compromis. »
Le courage de Mme Creighton est particulièrement remarquable dans la mesure où elle a été elle-même favorable à l’avortement alors qu’elle était plus jeune : elle a expliqué au Dail, avant le vote, qu’elle comprenait très bien la position de ceux qui sont pour parce qu’ils pensent que le fœtus n’est pas un être human : « J’ai moi-même pensé la même chose. »
Mais elle a expliqué que l’expérience de proches et de connaissances lui a fait comprendre que l’avortement est un « outil pour l’oppression des femmes » et que les termes de la loi permettent de « sacraliser la menace de suicide dans les livres de loi pour la première fois ».
Elle a également expliqué que sa prise de position n’avait rien à voir avec des vues rétrogrades imposées par l’Eglise catholique, comme le disent les partisans de l’avortement.
Michael Cook rapporte ses propos dans BioEdge :
« Un consensus croît en Irlande selon lequel l’idée d’avoir un sens moral aurait quelque chose à voir avec l’Eglise catholique. On suppose automatiquement que si vous consultez votre conscience, vous êtes au fond en train de consulter Rome. Cela est profondément inquiétant. C’est une manière paresseuse de tenter de miner la valeur d’un argument sans aller jusqu’à s’attaquer à sa substance. Il ne s’agit pas ici d’un problème catholique, pas plus qu’il n’est protestant ou musulman. Il ne s’agit pas d’une question religieuse. Il s’agit d’un question de droits humains… Nous avons tous droit à l’objection de conscience. Elle est sacralisée par l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies. »
ALTERMEDIA INFO
NdB: Valls ferait mieux de se poser des questions sur le déraillement de Brétigny-sur Orge qui a fait 6 morts...
Un train de fret transportant du gravier a vu l’un de ses wagons dérailler ce matin suite à une rupture d’un essieu à 150 mètres de la gare de Saintes (Charente-Maritime), sans faire de blessés.
"C’est une voiture d’un train de fret qui est sortie des voies. Un essieu s’est rompu et du coup elle s’est couchée sur la voie", a indiqué une porte-parole de la SNCF, en confirmant une information de France Bleu La Rochelle.
Selon Guy Rambeau, délégué du personnel CGT à Saintes, l’incident s’est produit au départ de Saintes. L’essieu aurait tapé sur au moins 200 mètres de voie, "cisaillant les boulons des éclisses" ces pièces métalliques reliant les rails entre eux. Un seul wagon s’est couché sur les 15 que compterait le train, a-t-il aussi déclaré.
Sources : Le Figaro / Le Journal du Siècle 16/07/13
16 juillet 2013
Comme quoi c’est possible !
Lu sur La Croix :
Le vote du Parlement polonais a été sans appel : vendredi 12 juillet 2013, la Diète a refusé, par 222 voix contre 178 et neuf abstentions, d’autoriser de nouveau les abattages rituels pour la viande casher. « Le résultat du vote d’aujourd’hui à la Diète (…) a été un choc pour nous », ont immédiatement indiqué le grand rabbin de Pologne Michael Schudrich et le président de la communauté juive Piotr Kadlcik dans une déclaration.
Par conséquent les Polonais sont antisémites et islamophobes…
Pour le journaliste et militant juif polonais Konstanty Gebert, les choses sont claires : « Il y a un courant antisémite, mais aussi islamophobe en Pologne. La question de la protection des animaux est une hypocrisie. Beaucoup de Polonais sont persuadés que, lors de l’abattage, la souffrance de l’animal est requise par le rituel, alors que ce n’est absolument pas le cas. »
Contre-info.com
Kristian Virkenes dit "Varg"
Alors que la côte du président est au plus bas et que son gouvernement se ridiculise chaque jour un peu plus, une affaire tombe à pic pour faire oublier aux Français les déboires des escrocs qui dirigent notre pays… Le péril brun est de retour ! L’extrême drouaaaaaaaate s’apprêtait à commettre un attentat sur le sol national ! Et les médias n’y vont pas de mainte morte…
Soupçonné par la police d’être susceptible de préparer «un acte terroriste d’envergure», Kristian Vikernes, dit Varg, un musicien norvégien de 40 ans, a été interpellé mardin matin en Corrèze avant d’être placé en garde à vue, selon une information de RTL confirmée de source judiciaire. La police a perquisitionné le domicile de ce sympathisant d’Anders Breivik, l’auteur de la tuerie d’Utoya qui avait fait 77 morts le 22 juillet 2011. Source : Le Figaro
Oulala et comment l’individu avait prévu de perpétrer son méfait ? Une bombe ? Des armes ? Et contre qui ?
C’est là que ça se complique…
« Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a justifié aujourd’hui l’interpellation d’un néo-nazi norvégien et de sa femme française, par la nécessité, face au terrorisme, « d’agir avant, et non pas après », tout en reconnaissant qu’il n’y a pour le moment « ni cible, ni projet identifié« . »
Pas de cible, pas de projet, mais pourquoi l’arrestation ?
« Car il présentait un profil particulièrement dangereux pouvant porter atteinte aux intérêts fondamentaux du pays. »
Manuel, merci de nous avoir sauvé et vive la démocratie.
Contre-info.com
PARIS (Reuters) – L’Elysée a confirmé lundi soir la mort de Philippe Verdon, géologue français enlevé avec l’un de ses collègues le 24 novembre 2011 au Mali.
Sa dépouille sera transférée « le plus vite possible » en France, a précisé la présidence de la République.
« J’exprime à sa famille et à ses proches ma totale solidarité », écrit François Hollande dans un communiqué.
« Je partage l’indignation des Français et je rappelle que les responsables de la mort de notre compatriote devront être identifiés et traduits devant la justice. »
Les autopsies devront permettre de révéler les causes de son décès.
Une dépouille a été retrouvée il y a 10 jours au Nord Mali, et Paris tentait depuis d’avoir confirmation de son identité. Dans la matinée, le président avait déclaré qu’il existait une « probabilité très forte » que Philippe Verdon soit mort.
Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) avait revendiqué son exécution en mars dernier en représailles à l’intervention militaire française au Mali, mais son décès n’avait pas été confirmé officiellement.
Cinq ressortissants français restent à ce jour aux mains d’Aqmi en Afrique.
« Je mesure l’angoisse des familles dont les proches sont toujours retenus en otages au Sahel et je tiens à les assurer que le gouvernement continue à se mobiliser pleinement pour obtenir leur libération et leur retour en France », écrit lundi François Hollande.
« L’ensemble des services de l’Etat y travaille constamment et aucune piste n’est ignorée ou laissée de côté. »
Elizabeth Pineau, édité par Chine Labbé
BOULEVARD VOLTAIRE - 15/07/13
Une dépêche de l’AFP parue la semaine dernière et reprise par différents journaux et sites (ici sur Atlantico) informait que l’OFPRA avait accordé l’asile politique à la militante d’extrême-gauche «menacée de poursuites en Ukraine pour avoir découpé à la tronçonneuse une croix orthodoxe. Une action pour dénoncer la condamnation du groupe Pussy Riot, qui avait chanté une « prière punk » contre le président Poutine dans une cathédrale orthodoxe.»
Une petite précision s’impose qui n’est pas innocente puisque l’asile a été accordé à une personne venue en France en août 2012 avec un visa touristique pour fuir des poursuites dans son pays après avoir commis un délit de droit commun. Une personne qui n’a jamais été expulsée malgré ses activités qui n’avaient rien de touristiques et qui étaient donc sans rapport avec son visa. Inna Shevchenko elle-même affirme avoir demandé l’asile en France pour faire de notre pays la base arrière des Femen.
La petite précision qui s’impose, donc, c’est que la fameuse croix orthodoxe, située en plein centre de Kiev, la capitale, avait été érigée en mémoire des victimes du NKVD (devenu plus tard le KGB) et qu’elle se trouvait devant le « Palais d’Octobre » qui avait servi dans les années 1917-41 de prison pour les opposants au régime soviétique et où avaient eu lieu des exécutions de masse. Les Femen et leur leader Inna Shevchenko n’ont certainement pas choisi la croix à saccager au hasard puisqu’elles tirent clairement leur inspiration de la tradition bolchevique. Là où les communistes voulaient créer un homme nouveau en propageant la révolution socialiste, elles souhaitent créer une femme nouvelle.
«FEMEN – c’est le nom de la femme nouvelle
FEMEN – ce sont les nouvelles Amazones, capables d’ébranler les fondations du monde patriarcal par leur intellect, le sexe, l’agilité, de répandre le désordre, d’apporter la névrose et la panique dans le monde des hommes…»
Voici ce que les Femen disent d’elles-mêmes sur leur site Web.
Voici le genre de personne à qui le gouvernement socialiste français accorde en 2013 l’asile politique.
C’est un peu comme si un militant d’extrême-droite français saccageait à la tronçonneuse un mémorial érigé en souvenir des victimes du nazisme pour protester contre la condamnation d’un groupe de jeunes antisémites qui auraient profané une synagogue et que ce militant obtenait l’asile politique en Ukraine. Ici c’est une militante d’extrême-gauche ukrainienne qui a saccagé un mémorial érigé en souvenir des victimes du communisme pour protester contre la condamnation d’un groupe de jeunes christianophobes qui avaient profané une église orthodoxe. Cette militante a obtenu l’asile politique en France.
14/07/2013 – 15h00
BORDEAUX (NOVOpress/Infos Bordeaux) – C’est tout d’abord Vincent Maurin, chef de file du groupe communiste à la mairie de Bordeaux qui lança l’idée de donner le nom de Nelson Rolihlahla Mandela, au futur stade de Bordeaux (photo).
Pour cet enseignant, « La disparition prochaine de Madiba me rappelle cette lutte fabuleuse que nous avons su gagner par-delà les frontières. Un lutte à portée universelle. Et puis Bordeaux, c’est la ville où nombre de rues portent encore le nom de marchands d’esclaves et de nobles qui se sont enrichis durant tout le 18ème siècle sur le dos des esclaves ».
Reprenant l’idée de son opposant communiste, le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a proposé vendredi matin, lors de la séance plénière du conseil de Communauté urbaine, de donner le nom de Nelson Rolihlahla Mandela au futur pont, qui sera réalisé entre 2016 et 2018 dans la partie sud de l’agglomération. Le nom prévu pour le pont était jusqu’à présent Jean-Jacques Bosc, une figure de l’histoire bordelaise ; sans doute trop enraciné pour Alain Juppé.
Si Alain Juppé et Vincent Maurin ont des affinités communes autour de l’ancien président de l’Afrique du Sud, les bordelais, eux, s’interrogent toujours sur le lien qui pourrait les unir au natif de Mvezo !
Crédit photo : DR.
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Heureux événement au Domaine de Chantilly (Oise). Un kangourou est né dans cette ménagerie et, fait rare, il est albinos. Cela porte à une douzaine le nombre de marsupiaux présents dans le parc du château.
La direction note que cette naissance est «dans l’esprit des ménageries présentes dans le parc du Domaine aux XVIIe et XVIIIe siècles».
Comme c'est parfois le cas, les internautes sont invités à se rendre ici ou sur la page Facebook du Domaine pour voter et choisir un nom pour l'animal. Au choix : Kapser, Waly, Ivoire, Cream, Killy ou Ice. En novembre 2012, c'était le zoo d'Amiens qui avait ouvert les votes pour choisir le nom d'un bébé panda roux finalement prénommée Gaïa.
Le Parisien - 15/07/13
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15 juillet 2013
Le vendredi 15 juillet 1099, les croisés enlèvent aux musulmans la ville de Jérusalem. Ils ont quitté l’Europe occidentale trois ans plus tôt et effectué une interminable et périlleuse marche pour répondre à l’appel du pape Urbain II et reprendre aux Infidèles le tombeau du Christ.
Pendant le siège, plusieurs tentatives avaient été faites, mais furent toutes repoussées. Trois machines de siège furent terminées et amenées près des murs dans la nuit du 14 juillet. Elles permirent la conquête de la ville sainte.
Godefroy de Bouillon devient Advocatus Sancti Sepuchri (Avoué du Saint Sépulcre) le 22 juillet, refusant d’être roi dans la ville où mourut le Christ.
Le 12 août, Godefroy conduisit une armée, avec la Sainte Croix qui venait d’être découverte à Jérusalem, combattre l’armée fatimide (égyptienne), qu’il écrasa à Ascalon (ou Ashkelon), bien qu’elle fut très supérieure en nombre.
Mais après la victoire, la plupart des croisés considérèrent leur vœu accompli et retournèrent en Europe.
Cependant, leur succès permit la création du royaume latin de Jérusalem.
Pour creuser le sujet, on pourra lire avec profit le livre de Jacques Heers : Libérer Jérusalem, la première croisade (disponible ici, ainsi qu’en format de poche).
Contre-info.com
Les citoyens d’origine nord-africaine se plaignent d’être trop souvent contrôlés par la police nationale. Seraient-ils victimes d’un « délit de sale gueule » ? Non pas, ils ont le malheur d’appartenir à une population à « risques ». « Minute » vous le prouve, chiffres à l’appui, tirés du fichier des personnes recherchées par la police nationale.
Le 3 juillet, au tribunal de grande instance de Paris, se tenait une audience inédite. Treize citoyens, des Noirs et des Arabes, attaquaient l’Etat et le ministère de l’Intérieur pour discrimination lors des contrôles d’identité. Les plaignants estiment que, à cause de leur profil ethnique, ils sont trop souvent la cible privilégiée des contrôles policiers. Ils se disent victimes du délit de faciès, le « délit de sale gueule ». A l’appui, ils ont fourni une étude du CNRS (le Centre national de la recherche scientifique), selon laquelle les citoyens d’origine nord-africaine et subsaharienne risquaient respectivement 7,8 et 6 fois plus de se faire contrôler qu’un « individu de type européen ».
En attendant le jugement, qui sera rendu le 2 octobre, il serait bon de se poser la vraie question : pourquoi ces citoyens sont-ils, plus souvent que les autres, invités à montrer leurs papiers d’identité ? Tout bêtement parce que la police, pour résoudre ses enquêtes, cherche en priorité là où elle a les meilleures chances de trouver. Tous les pêcheurs vous le diront : on n’envoie jamais l’hameçon dans une pièce d’eau où ça ne mord pas… Quand le prince du conte de fée cherchait à qui appartenait la pantoufle de Cendrillon, il n’a convoqué aucun cul-de-jatte à la séance d’essayage ! Si certains citoyens sont plus contrôlés que d’autres, c’est que, malheureusement pour eux, ils appartiennent à une population à « risques ». Il suffit de consulter les avis de recherche de la police nationale pour s’en convaincre.
Ce fichier, public sur un site gouvernemental (1), recense les personnes recherchées pour crimes de sang, crimes sexuels, évasion et tous autres crimes ou délits aggravés. A ce jour, il compte 85 fiches [Note de Novopress : la copie d'écran que nous publions en Une a été prise par nous le 13 juillet à 23h, il n'y avait plus que 83 fiches. Minute est par contre paru le 10 juillet.] , toutes accompagnées d’une note importante, car à l’évidence ces individus ne sont pas des enfants de chœur : « Cette personne est dangereuse et susceptible d’être armée. Ne tentez en aucune façon de l’interpeller vous-même. Contacter le service de police ou de gendarmerie le plus proche. »
Mais qui sont-ils ? Le premier s’appelle Karim Aderfi Ouali, un « homme de type maghrébin, né en 1976, 1m79, corpulence normale, yeux marron-noirs, cheveux bruns, grain de beauté sur la pommette gauche ». Il est recherché pour « des faits d’homicide volontaire commis à Saint-Louis (68) en avril 2011 ». Oh !, la mauvaise foi, diront certains, « Minute » a pioché la fiche d’un Maghrébin. Pourtant, Karim Aderfi Ouali n’est pas une exception. Loin s’en faut.
Sur les 85 fiches de recherche publiées, 32 mentionnent une caractéristique physique qui permet de connaître l’origine des individus recherchés : dix-sept sont « de type nord-africain », deux « de type maghrébin » – c’est la même chose –, un « de type méditerranéen ». On compte également trois Africains, deux Levantins, un Caucasien, un Asiatique, un Antillais. Et quatre Européens, dont l’identité n’est pas connue.
Sur les 53 autres avis de recherche ne figure aucune caractéristique ethnique. Cependant, les photos, les noms et les prénoms donnent une précieuse indication. Pour s’amuser – car on peut s’instruire en s’amusant –, « Minute » a classé les 53 prénoms figurant sur ces fiches. Huit fleurent bon les pays de l’Est et les Balkans : Dragan, Piotr, Edin, Besnik, Anatoli, Muhamed, Zamir et Muaner. On trouve quatre Latino-Américains : Ernesto, Manolo, Mauro et une dame, la seule du palmarès, une certaine Olga Patricia Cancino Perez, recherchée pour trafic de drogue.
On note également trois Asiatiques (Yong, Yun, Zhong), un Africain (Wangash), deux Anglo-Saxons, John William et Cornelis.
Mais le gros de la troupe est fourni par un bataillon de prénoms, courants en Afrique du Nord. Il y en a vingt-cinq au total : Djaffar, Haissam, Jalouli, Slimane, Souleyman, Hamid, Mohand, Kad da, Mounir, Reda, Fathi, Karim, Samy, Mondher, Nourredine, Seddik, Abdelhakim, ainsi que trois Mohamed, trois Farid et deux Ali.
Au final, sur cette liste de 53 prénoms répertoriés, il n’en reste que neuf à figurer sur le calendrier des postes : Julien, Marc, Michel, Thierry, Raphael, Georges, Emmanuel, Dominique, Tristan. Plus un prénom tiré de l’Ancien Testament : Salomon.
A partir de ces observations, il n’est pas difficile d’en tirer une statistique. Sur les 85 personnes qui font l’objet d’une fiche de police, on ne compte, au maximum, que quatorze individus (les dix dont le prénom fait référence, plus éventuellement les quatre Européens non identifiés) représentant les « Français de souche ». Soit seulement 16,47 % du panel. Cela revient à dire que 83,53 % de ces malfrats recherchés par la police n’ont pas pour ancêtres les Gaulois.
Ces chiffres sont irréfutables. Les associations antiracistes peuvent aller vérifier sur le site où sont diffusés les avis de recherche de la police nationale.
Pierre Tanger
1. http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/. Copie d’écran en Une faite par Novopress le 13 juillet à 23h. Ce qui explique pourquoi le nombre de fiches est un peu différent par rapport à celui du moment où Pierre Tanger a écrit son article (83 fiches au lieu de 85).
Article de l’hebdomadaire “Minute” du 10 juillet 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.
[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
14 juillet 2013
Ce timbre a été dessiné par le duo David Kawena-Olivier Ciappa, ce dernier étant « l’artiste » dont l’exposition de photos en faveur des unions contre-nature – soutenue par la mairie du IIIe – a été mise à mal à Paris en juin.
Or, le dessinateur du timbre a avoué sur Twitter s’être inspiré de la meneuse (visible) des activistes d’extrême-gauche « féministes » et antichrétiennes Femen, Inna Shevchenko !
Celle-ci vient d’ailleurs d’obtenir un aberrant asile politique en France, car elle est poursuivie pour des délits en Russie…
Ils ont osé !
En plus de leur assurer l’impunité en France, le gouvernement tient probablement à marquer encore davantage son soutien et son estime pour ces prostituées (payées par des milliardaires masculins…) gauchistes et hostiles à la religion catholique en priorité.
Le timbre a été dévoilé ce dimanche à l’Élysée par François Hollande, qui a souligné que son effigie était pour lui «l’illustration» de la jeunesse, «priorité de (son) mandat»…
Tout est occasion de militer, pour l’Etat socialiste.
Bon, il faut être clairs, que Marianne soit symbolisée par une prostituée antichrétienne est un scandale de plus mais ce n’est pas illogique, car c’est bien ce qu’est la République maçonnique française, foncièrement, intrinsèquement.
Contre-info.com