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VIVALDI Concerto pour mandoline
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Après la "fournée", Jean-Marie Le Pen conseille à sa fille de ne pas "commander des petits fours"
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A Nice, une femme gravement blessée au couteau en tentant de résister au voleur de son sac
Une femme de 40 ans a été poignardée ce samedi matin à Nice pour avoir simplement eu le tort de s’accrocher à son sac qu’un individu tentait de lui arracher.
Son état était jugé très grave lorsqu’elle a été transportée aux urgences de l’hôpital Saint-Roch de Nice, à tel point que son pronostic vital a été engagé mais ce n'est plus le cas ce soir.
Les enquêteurs de permanence de la Sûreté départementale devaient essayer de recueillir son audition dans les prochaines heures. Les faits sont survenus peu après 10h devant le supermarché carrefour Market du boulevard Gorbella à Nice nord.
La victime marchait dans la rue lorsque son agresseur a tenté de lui arracher son sac. Elle ne s’est pas laissée faire, a refusé de le lâcher, l’homme a alors sorti un couteau et lui en a asséné un coup à l’abdomen avant de prendre aussitôt la fuite. Il est activement recherché.
Var Matin - 14 06 14
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Nice: "Une journaliste d'Europe1 jetée à terre par le service d'ordre du Front national" (vidéo de la journaliste)
FDESOUCHE
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Colombie: un cochon s'échappe du camion qui l'emmenait à l'abattoir
Vive la liberté!
via FDESOUCHE
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Immigration massive : la Suisse contre‑attaque
14/06/2014 – BERNE (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
La Suisse est l’un des pays européens les plus touchés par l’immigration massive. Cette semaine, le pays a décidé d’adopter des actions concrètes pour lutter contre ce phénomène.Le 9 février dernier, l’initiative populaire contre l’immigration de masse a été adoptée à la majorité (en Une, affiche de l’UDC pendant la campagne). C’est en vue de son application effective que le directeur de l’Office fédéral des migrations, Mario Gattiker, a rencontré ce jeudi le service européen pour l’action extérieure. Cet échange visait à demander une adaptation de l’accord sur la libre circulation des personnes. La teneur réelle de cette demande n’a pas été rendue publique. Elle le sera « Une fois que le Conseil fédéral aura tranché sur les éléments essentiels de la législation d’exécution ». La délégation helvétique s’en est donc tenue à la présentation des nouvelles dispositions constitutionnelles sur l’immigration et ses répercussions sur l’accord de libre circulation.
Au même moment, le Conseil national a pris une autre mesure pour lutter contre l’immigration massive
Ce jeudi, une modification de loi visant à réduire le nombre d’entrées de clandestins en Suisse a été adoptée. Cette décision instaure des amendes de 4 000 à 16 000 francs suisses (soit entre 3 200 et 13 000 €) par passager pour les compagnies aériennes transportant des étrangers ne disposant pas de papiers d’identité valables. Jusqu’à présent, il n’existait pas de base légale pour se retourner contre ces compagnies aériennes. Cette mesure peut paraître marginale, pourtant plus d’un millier d’étrangers entrent en Suisse illégalement de cette façon chaque année.
Cette mesure vise également à lutter contre les risques de terrorisme
Avec cette nouvelle mesure, l’Office fédéral des migrations pourra contraindre les compagnies aériennes à lui communiquer les données relatives à certains vols et passagers. Ces données sont communiquées sous forme électronique directement après le décollage. En cas de violation non justifiée de cette obligation, la compagnie s’exposerait à une amende importante.
Publié le 14 juin 2014 - Modifié le 14 juin 2014 -
Le Front national soutient les chrétiens d’Orient
Posté le 14 juin 2014 à 18h46 | Lien permanent
Karim Ouchikh, conseiller de Marine Le Pen à la culture, à la francophonie et à la liberté d’expression, Président exécutif du SIEL, Conseiller municipal de Gonesse, communique :
"Les insurgés se réclamant de L’État islamique en Irak et au Levant (EIIL), groupe fondamentaliste sunnite, étendent irrésistiblement leur emprise sur l’Irak. L’EIIL progresse désormais vers Bagdad. La spectaculaire prise de Mossoul provoque le départ massif des chrétiens. Le témoignage de Monseigneur Amel Shimon Nona, archevêque chaldéen de Mossoul, est accablant :« Il ne reste probablement plus aucun chrétien à Mossoul. »
En détruisant l’État baasiste de Saddam Hussein, dictature autoritaire mais respectueuse des équilibres ethniques et religieux, et notamment des minorités chrétiennes, l’intervention américaine de 2003, soutenue par de nombreux pays européens, a déstabilisé toute la région. Le soutien des États-Unis et de l’Union européenne aux factions rebelles extrémistes en Syrie renforce et légitime une barbarie qui s’enracine partout.
Avec Marine Le Pen, le Front national et le Rassemblement Bleu Marine soutiennent les chrétiens d’Orient menacés par la montée du fondamentalisme islamiste. Seule une politique étrangère équilibrée dans le monde arabe, le rejet des ingérences prétendument humanitaires, guidées en réalité par l’appétit économique des multinationales américaines et une diplomatie véritablement non alignée, pourront empêcher l’embrasement du Moyen-Orient."
Le Salon Beige
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Irak: les Etats-Unis déploient un porte-avion dans le Golfe
L'USS George H. W. Bush
http://www.bfmtv.com/international/irak-etats-unis-deploient-un-porte-avion-golfe-793295.html
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En quoi la perversité mine-t-elle la société ?
http://www.egaliteetreconciliation.fr/En-quoi-la-perversite-mine-t-elle-la-societe-18853.html
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Les questions interdites du drame d’Oradour-sur-Glane
- Publié le : mardi 10 juin 2014
- Source : E&R
La tragédie vécue par les habitants du village d’Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) le 10 juin 1944 est, 70 ans jour pour jour après les faits, est l’otage d’une récupération politique toujours plus pernicieuse.
En effet Manuel Valls, en visite commémorative ce 6 juin, déclarait :
« Oradour, c’est aussi une mise en garde. Pour combattre et ne jamais laisser prospérer les idéologies de mort […]. Elles sont là. Elles rôdent. Elles embrigadent. Elles poussent des individus, parfois très jeunes, à s’enrôler, à prendre les armes, à frapper au hasard, à tuer. »
Dans ce discours qui sentait bon le chantage mémoriel, le Premier ministre a également appelé à « la vigilance absolue face au retour de la barbarie », mettant ainsi dans le même sac des djihadistes de retour de Syrie ou les succès électoraux des partis populistes, comme si tous étaient héritiers de la division SS Das Reich. Bref, il s’agit de faire du drame d’Oradour-sur-Glane le pendant « France profonde » de l’arsenal mémoriel. Une opération qui occulte l’interdiction de la recherche historique sur ce drame et déclenche la persécution de ceux qui s’y risquent 70 ans après les faits.
Le drame vécu par ce petit village de la Haute-Vienne a coûté la vie à 642 personnes entre 15h30 et 19h30 le 10 juin 1944. Les responsables ? Une colonne SS appartenant à la 2ème Division Panzer « Das Reich ». Fruit de la « barbarie nazie », ce massacre aurait été perpétré par le simple désir cruel d’exécuter des populations civiles, des femmes et des enfants. Dans une église de surcroît. Nous n’en dirons pas plus.
Vincent Reynourd a enquêté sur ce drame. Son livre Le Massacre d’Oradour. Un demi-siècle de mise en scène, est interdit en France en 1997 par arrêté ministériel du ministre de l’Intérieur de l’époque, Jean-Pierre Chevènement. Une vidéo sortie en janvier 2001, qui reprend l’argumentaire développé dans le livre, est interdite par le préfet de la Haute-Vienne dès le 8 février 2001, puis interdite en France le 27 septembre 2001 par le ministre de l’Intérieur. En juin 2004, la cour d’appel de Limoges condamne Vincent Reynouard à vingt-quatre mois de prison, dont six ferme, pour apologie de crimes de guerre.
Massacre insupportable, interdiction d’enquêter, « devoir de mémoire », censure au nom de la « lutte contre la barbarie » : le drame d’Oradour-sur-Glane est bien, dans l’esprit de ceux qui veulent l’exploiter à des fins politiques, la Shoah de la paysannerie française.
E&R
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Saint-Pol de Léon : des collégiens invités à simuler un mariage gay à la mairie
- Publié le : samedi 14 juin 2014
- Source : ouest-france.fr
Dans le cadre des activités liées à l’éducation civique au collège, les élèves ont suivi la célébration d’un premier "mariage pour tous" à l’hôtel de ville de Saint-Pol par Hervé Jézéquel, premier adjoint.
Cette cérémonie ne figurera pas cependant dans les archives de l’état civil, puisqu’il s’agissait d’un acte fictif, auquel se sont prêtés deux élèves de 6e du collège Jacques-Prévert.
Comme chaque année, les élèves sont invités à découvrir le fonctionnement de la mairie, lors d’ateliers animés par les élus et agents territoriaux. Ils apprennent ainsi les rouages de l’administration : la mairie, les élus et les services présentés par Nicolas Floch, maire ; les élections et la vie civique par Joëlle Tous-Madec ; la police municipale par Stéphane Cloarec, l’état civil et le mariage par Hervé Jézéquel. Trois autres unions ont été suivies par l’ensemble des 72 élèves en visite.
E&R
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Florian Philippot invité de BFM STORY
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EIIL aux portes de Bagdad
Aurel
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PS: le cri d'alarme de Manuel Valls
Le premier ministre a mis en garde samedi contre le risque de voir Marine Le Pen se qualifier pour le second tour de la prochaine présidentielle. Selon lui, la gauche pourrait disparaître. De fait, il appelle à soutenir François Hollande.
«Il y a ce sentiment que le pays tout entier est en train de perdre pied». Devant le Conseil national du PS réuni samedi à Paris, le premier ministre Manuel Valls a lancé une alerte rouge. Un constat sans appel. Pour lui, le seul message politique «identifié» aujourd'hui face à «une droite exsangue» et «une gauche déboussolée», c'est «celui de l'extrême-droite». En conséquence, «le risque de voir Marine Le Pen au second tour de l'élection présidentielle existe». Et dans cette nouvelle ère, «la gauche peut aussi disparaître».
Le diagnostic sombre étant posé, le chef du gouvernement, bousculé par l'aile gauche du PS, dans le parti comme au Parlement, en a appelé à la responsabilité de chaque socialiste pour qu'il ne se réalise pas. Valls souhaite le dialogue avec ceux qui contestent la politique du gouvernement, «empreint de respect, de confiance, de responsabilité». Mais il prend un soin particulier - «cruel», ironisent certains de ses proches - à préciser que ce dialogue appelle «beaucoup d'intelligence politique». Il prévient les députés frondeurs en particulier que «la reparlementarisation à outrance des institutions n'est pas tenable» et qu'elle est susceptible d'ouvrir la voie à «la multiplication d'initiatives minoritaires qui feraient exploser le bloc central de la majorité». En creux, le premier ministre a brandi la menace de l'article 49.3, même s'il «ne fait pas partie» de la «culture» de la gauche. En jeu: les prochains collectifs budgétaires à l'Assemblée, qui traduisent le pacte de responsabilité, et qui sont susceptibles de secouer la majorité. Devant la presse, Valls a prévenu, sur un même mode d'alerte, que «les votes des prochains jours engagent l'avenir de la France». «Il nous faut tenir», a-t-il dit, insistant sur l'importance d'être «autour» de François Hollande. «Tenir dans la durée. Y compris face à la radicalité de certains mouvements sociaux».
Le PS doit être une force moderne, attractive, conquérante, et non pas une force en difficulté cherchant dans des alliances improbables des sources de renouveau
En pleine grève des cheminots et mouvement des intermittents, ses interlocuteurs politiques ou syndicalistes sont prévenus: «La radicalité en interne ou dans la société mène à une impasse». Aux socialistes qui demandent un virage à gauche de la politique de l'exécutif, à des alliances avec la gauche radicale et les écologistes pour l'infléchir, Manuel Valls répond que «le PS doit être une force moderne, attractive, conquérante, et non pas une force en difficulté cherchant dans des alliances improbables des sources de renouveau». Les alliés en question apprécieront. Le PS qui est «au bout d'un cycle historique» a «vocation à être au centre du jeu» et doit dialoguer «avec ceux qui veulent réellement exercer le pouvoir». «Mais ne nous racontons pas d'histoires, a-t-il ajouté, nous ne pourrons pas apporter de nouvelle solutions avec de vieilles recettes». Coupant court aux critiques, il a précisé que les nouvelles solutions ne sont pas «une politique de droite». Sa politique de l'offre «n'est pas un choix idéologique». «Elle est encore moins l'expression, a-t-il défendu, d'une politique tournant le dos à la demande». «C'est un choix stratégique guidé par la transformation des règles du jeu mondial». «Gouverner c'est difficile, mais renoncer c'est indigne», leur a-t-il lancé. Un discours applaudi à l'issue, mais pas dans le courant de son prononcé.
Rocardisme débridé
«Le discours est bon sur la forme, comme toujours, mais intransigeant sur le fond», a commenté le député PS d'Indre-et-Loire Laurent Baumel, initiateur avec d'autres députés dit «frondeurs» de l'Appel des 100. «Le socialisme municipal s'est effondré en quelques heures, a-t-il ajouté, et ce ne sont pas les députés frondeurs qui en sont à l'origine mais la rupture entre l'opinion publique et l'exécutif.» Pour lui, le discours de Valls, «c'est le retour d'un rocardisme débridé». Pour autant, Baumel s'est exprimé samedi matin devant les socialistes, comme d'autres voix critiques de l'exécutif, et il reconnait le travail du premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis en faveur du dialogue. À la différence du groupe socialiste à l'Assemblée présidé par Bruno Le Roux où selon Laurent Baumel, «tout est devenu totalement étouffant». Dans les rangs des contestataires samedi, plusieurs ont à nouveau évoqué la question des primaires au sein du PS en vue de la présidentielle de 2017.
Proche de Jean-Christophe Cambadélis, soutien de Manuel Valls, le député PS de Haute-Garonne Christophe Borgel, lui, s'est félicité de la fermeté du chef du gouvernement, de son «discours solide d'affirmation, seul susceptible de rassurer le pays, de lui montrer qu'il y a un cap vers la croissance». «Ce n'est pas vrai que tous les patrons s'interrogent sur la façon d'augmenter les dividendes de leurs actionnaires, s'est-il agacé. C'est avoir une vision passéiste des entreprises que de le dire». «Manuel Valls assume, et c'est peut-être, selon Christophe Borgel, ce qui a manqué jusque-là».
Le Figaro
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Réunion au Maroc des producteurs de cannabis sous l’égide de partis proches du palais royal
Les producteurs marocains de cannabis se sont réunis samedi dans le Rif pour discuter de “leur métier”, et trouver des débouchés à une filière qui fait vivre plus de 96.000 familles de ces régions rudes du Maroc. Le Parti de l’authenticité et de la modernité (PAM), parti proche du Palais royal, veut porter le dossier de la culture du cannabis devant le parlement.
Pour rappel, la superficie cultivée par le cannabis au Maroc varie autour d’une moyenne de 140 000 hectares. Production annuelle : 7 000 tonnes de résine de cannabis !
La production est évaluée à son tour à environ 7 000 tonnes dont plus de 80 % “exportées” vers l’Europe. Ces 50 000 exploitations cannabicoles font vivre entre 3 à 5 millions de personnes.
Source : Le Maghreb
Crédit photo : DR
NOVOPRESS
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Après le scandale de la « fournée », une responsable de section du FN (mariée à un musulman) démissionne
21h25Nouveau coup de théâtre au Front national. La responsable de la section bas-rhinoise du FN a annoncé vendredi 13 juin démissionner du parti pour protester contre les récents propos de Jean-Marie Le Pen sur la « fournée ». « Je quitte le Front national, point final, a annoncé Pascale Ellès, 48 ans. Le petit détail (de trop), c’est le coup de la fournée, justement parce que j’ai de bonnes relations avec les communautés juive et musulmane », a expliqué cette ex-responsable frontiste mariée à un musulman. Mme Ellès figurait en 10e position sur la liste frontiste aux Européennes dans le grand Est. Elle avait adhéré au parti d’extrême droite en 2002.
Elle a envoyé mercredi sa lettre de démission. Pour l’ex-militante alsacienne, les propos de M. Le Pen sont en opposition avec « le travail » de Florian Philippot qui, au sein du parti, « n’a critiqué personne durant sa campagne » des européennes :
« Florian Philippot a fait une campagne sur les problèmes qui touchent la France, en s’adressant à tous les Français, quels qu’ils soient »
En octobre 2013, Mme Ellès avait manifesté son désaccord après des propos controversés de l’avocat André Kornmann, alors pressenti pour prendre la tête de liste du FN aux municipales à Strasbourg. Ce dernier avait déclenché un tollé après avoir proposé que la police puisse se servir de chiens d’attaque contre les délinquants.
via FDESOUCHE
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