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Menteuse ?
- Publié le : dimanche 15 juin 2014
- Source : E&R
Jean-Marie Le Pen se rendait à Nice jeudi dernier pour assister à la conférence de presse de Marie-Christine Arnautu, conseillère municipale Front national de la ville. Sa venue a attiré une nuée de journalistes, un engouement en lien avec la récente passe d’armes du fondateur du Front national avec certains cadres du parti dans l’affaire de la « fournée ». C’est dans ce contexte de foule compacte qu’un drame majeur a eu lieu : une reporter d’Europe 1 aurait été « jetée à terre » par le service d’ordre du Front national et « légèrement blessée » [1].
La reporter, Brigitte Renaldi, est toujours sous le choc. Elle n’est pourtant pas une petite nature, elle en a en effet « connu des bousculades », déclare-t-elle, mais ici, la violence était « un cran au-dessus », si bien que la journaliste a porté plainte. Le Front national de son côté fait preuve de prudence et a annoncé avoir entamé une enquête interne. Une précaution inutile aux yeux de la société des rédacteurs d’Europe 1, qui soutient sans réserve Brigitte Renaldi, victime d’une « brutalité » inacceptable [2].
La journaliste s’est en effet vu prescrire cinq jours d’ITT, justifiables au vu de « l’énorme contracture qui va des cervicales jusqu’en bas » dont elle souffre, sans parler du traumatisme bien entendu, dans la continuité de la « crise de tachycardie » qu’elle a subie après avoir été « molestée ».
Pourtant, une vidéo des faits a de quoi rendre perplexe. Après la fameuse « mêlée de rugby » d’une violence « inouïe » du service d’ordre, qui existe plus dans les déclarations de notre pauvre victime que dans la vraie vie, on peut voir Brigitte Renaldi, à peine décoiffée, en train de vociférer à tout va, au top de sa forme.
Seules deux possibilités peuvent expliquer cela. Soit Mme Renaldi a consulté le même médecin que Caroline Fourest après son agression « ultraviolente » par des membres de la Manif pour tous, soit elle se moque du monde. Cette deuxième voie semble bien plausible, au vu des menaces qu’elle profère auprès des vigiles juste après la bousculade, avec toute la vigueur d’une personne bien portante.
Jean-Pierre Elkabbach s’est fendu d’un tweet pour soutenir la reporter :
« Je dénonce moi aussi la violence dont a été victime notre amie Brigitte Renaldi, honneur du journalisme qu’elle a toujours si bien défendu. »
Brigitte Renaldi, une représentante honorable du journalisme français ? Effectivement, on ne peut qu’être d’accord avec M. Elkabbach !
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"La faute : une vie en Corée du Nord", plongée dans le pays le plus opaque du monde
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Pourquoi les commentaires sont souvent fermés
Posté le 16 juin 2014 à 10h00 | Lien permanent
Le plus souvent par manque de temps pour les valider. Mais pas seulement comme l'indique cet article :
"Il faut dire que souvent les commentaires, quel que soit le site, de The Atlantic à Yahoo en passant par YouTube, Facebook, Twitter... sont stupides, ignorants, hors sujet, racistes, sexistes, menaçants, agressifs... En fait, tout simplement sans intérêt si ce n’est de permettre à quelqu’un de se défouler et d’évacuer son mal être et sa frustration.
Pas étonnant, si le sentiment anti commentaires se développe sur le web et si les sites sont de plus en plus nombreux à décider de ne plus en avoir tant ils ont tendance à dévaloriser le contenu publié, les articles et les idées et thèses avancées. «Même sur les sites où les lecteurs sont intelligents et prévenants, les commentaires ont tendance à être des listes d’idées avancées sans lien les unes avec les autres plutôt qu’un vrai débat», écrivait déjà en 2011 Rebecca Rosen toujours sur The Atlantic en dressant un constat sévère sur ce qu’apportent vraiment les commentaires.
L’an dernier Popular Science, qui est tout sauf un site politique et idéologique, a tout simplement décidé de bannir les commentaires de l’ensemble de son site. Pourquoi? Les éditeurs expliquent que les commentaires, anonymes ou pas d’ailleurs, sapent l’intégrité de la science et mènent à une culture d’agression et de moquerie qui fait obstacle à des échanges de qualité.
Le commentaire, souvent écrit par quelqu'un qui n'a pas lu l'article, influence la perception qu'en ont les autres
«Même une petite minorité exerce suffisamment de pouvoir pour fausser la perception d’un article par les lecteurs», écrit Suzanne LaBarre la responsable des contenus en ligne citant au passage une étude très intéressante de l’Université of Wisconsin-Madison. Cette dernière souligne que les commentaires augmentent en général les comportements agressifs. Plus les commentaires sont désagréables, plus les lecteurs se radicalisent et se polarisent sur le contenu de l’article, même si celui-ci est très modéré.
En fait, les commentaires et leur tonalité, écrits souvent par des gens qui n’ont pas lu l’article ou seulement une partie de celui-ci et ne l’ont pas compris, changent considérablement la perception de l’article en question. Un effet pervers.
Il y a quelques semaines, toujours aux Etats-Unis, le National Journal, a décidé lui aussi d’interdire les commentaires sur la plupart de ces articles. Conséquence, l’implication des lecteurs s’est nettement améliorée. Le nombre de pages vues par visite a augmenté de plus de 10%, le nombre de visiteurs uniques de 14% et les lecteurs revenant sur le site de plus de 20%. [...]"
Le Salon Beige
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Le marin Le Pen par Jacques Trémolet de Villers
Nouvelles de la France qui vientLe marin Le Penpar Jacques Trémolet de Villers« C’est le début du commencement du redressement de la France… »Il ne faudra pas l’oublier, cette phrase de Jean-Marie Le Pen, à vingt heures et seize minutes, le 25 mai au soir, sur France Info.Jean-Marie Le Pen est le doyen de la vie politique française. Il est le seul, aujourd’hui, chargé d’un mandat public, à avoir connu, comme député, la IVe République et, avant elle, la Seconde Guerre mondiale, la défaite, l’Occupation, la Résistance, la Libération, les guerres d’Indochine et d’Algérie.Comme le dit d’Ulysse mon poète préféré, « L’existence a mûri son amère bonté. »L’un des signes les plus évidents et les plus douloureux de la barbarie, c’est la méconnaissance des vertus de la vieillesse. Les vieux en sont un peu responsables quand ils n’acceptent pas leur âge. Je ne parle pas des soins du corps qui sont un devoir, non plus que de l’entretien de l’agilité intellectuelle. Je parle d’un « jeunisme » qui tend à faire abstraction de cette expérience, pour vivre comme si on était né d’hier.Pourquoi refuser ce cadeau du temps qui a passé ? Sacha Guitry le disait avec bonheur, « le grand avantage du passé, c’est qu’il est passé ». On peut le contempler, l’interroger, lui demander de dévoiler les énigmes que nous ne comprenions pas quand nous les conjuguions au présent et découvrir, au milieu du labyrinthe, le fil d’Ariane qui lui confère un sens.Pour Ulysse, c’était Ithaque, la journée du retour, le roi enfin revenu dans son royaume, retrouvant l’épouse, le fils, la nourrice, le père et le vieux chien, punissant les prétendants corrupteurs et les servantes qui, trahissant la reine, s’étaient abandonnées à eux.Comparaison n’est pas raison. Le marin Le Pen a couru les périls et les dangers, les bonheurs et les adversités sur la houle électorale, dans le tumulte des assemblées et des meetings, sans compter quelques conflits internes, intrigues de cour et guerres de cabinet qui sont, sans doute, le plus douloureux des lots communs des chefs de parti.« Le sort, aux rois plus qu’aux sujets est prodigue de peines ! »De tous les candidats, en lice ou en coulisse, pour la prochaine présidentielle, aucunn’a connu la première élection de ce type, en 1965.Jean-Marie Le Pen a conduit cette campagne, première du genre… et, pratiquement toutes celles qui suivirent, sauf quand les signatures manquèrent, jusqu’à ce qu’il cède la place à sa fille.Cette stature d’ancien inspire plus que le respect. Elle donne la confiance. Face à cette stabilité dans le même combat, les agitations des jeunes gens, même quand ces « jeunes gens » sont septuagénaires, ont un aspect dérisoire.Dans cette longue course où les succès de la jeunesse ont préludé la traversée du désert, l’oubli, la dérision, les difficultés économiques du quotidien, le secours salvateur, l’envol, les retombées, si l’on compte beaucoup de procédures et encore plus de calomnies, le plus sourcilleux n’y trouvera pas la moindre compromission financière. Ni fausses factures. Ni détournement d’argent public, ni ingérence. Ni même cette spécialité française conçue pour piéger l’adversaire, l’abus de bien sociaux.Tout bien pesé, ce surnom de Menhir lui va comme la pierre levée sur le champ au péril de la mer.Mais alors ?S’il arrivait que nos institutions, à bout de souffle, ne permettent plus aux gouvernants, si misérables soient-ils, de gouverner ; si les forces de police et les armées ne savaient plus, comme à la fin de l’année 1957, à qui il faut obéir ; si, d’un coup, prévisible mais non prévu, nous nous trouvions devant le vide de ce qui reste d’Etat… soit pour une cause intérieure, soit pour des circonstances extérieures, l’ensemble de ce qui reste de l’armée, de la police, de l’administration se retournerait vers…Vers qui ?Le sauveur ? L’homme providentiel ? le général ? le maréchal ? mais personne ne répond à l’appel de ce nom.Alors, peut-être, le doyen ! L’ancien ! Celui qui a vécu, a lutté, a tenu.On dira : mais les forces de l’opinion, les clubs, les loges, les médias, les partis… hurleront à l’extrême droite !Dans ces circonstances-là, les loges et les partis, les médias… et le reste, perdent tout le crédit qu’ils usurpent dans le temps de la normalité. Il en est de ces moments comme dans les tremblements de terre qui surviennent la nuit. Les habitants affolés cherchent, dans le noir, à tâtons, un mur porteur, une pierre haute qui n’a pas bougé.Peu leur importe alors, quand ils l’ont trouvée, que la pierre levée soit un menhir d’extrême droite.L’important, c’est qu’il soit là.Je ne souhaite à mon pays ni l’effondrement des institutions, ni la tempête, ni ce que nos pères appelaient « le coup de torchon ».Mais si l’un de ces événements, ou les trois, advenaient, il serait bon de savoir qu’en haut de la colline, à l’ouest de Paris, derrière sa longue-vue, veille un ancien qui, entendant ces bruits de fin du monde, pourrait dire calmement aux foules qui s’affolent : « C’est le début du commencement du redressement de la France… » -
Incidents graves sur le réseau SNCF : les services publics empêchés par l'insécurité !
Communiqués / 15 juin 2014 / Mots-clés : Insécurité, SNCF /
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L’humain remplacé par la technique : un robot compagnon des personnes âgées et des enfants
16 juin 2014Depuis six mois, c’est un robot qui tient compagnie aux pensionnaires d’une maison de repos d’Ostende, cité balnéaire flamande.
C’est en décembre que « Zora » – le robot a reçu un prénom – a fait son entrée à la maison de repos « De Boarebreker ». Zora est un robot humanoïde d’une cinquantaine de centimètres de haut commercialisé par la société belge QBMT. Son allure pourrait laisser croire que Zora sort d’un dessin animé. Il marche et parle. Sa mission est polyvalente car c’est un robot doté d’une « intelligence artificielle » déjà fort développée.
Le matin, il lit le journal à voix haute aux pensionnaires. L’après-midi, il montre les mouvements de gymnastique que doivent reproduire les personnes âgées. En fin de journée, c’est encore lui qui tire les numéros du Bingo.
L’humanoïde joue également aux échecs. Mais surtout, il est capable de tenir une conversation personnalisée avec les pensionnaires. Ses réponses sont adaptées aux propos qu’on lui tient. Et pour les prochaines versions de ce robot, il devrait être possible de lui choisir un éventuel accent patois pour favoriser le sentiment de proximité chez ses interlocuteurs.
Un autre robot humanoïde du même type est également testé depuis plusieurs mois dans le département « enfants » d’un hôpital gantois.
Ce robot intelligent se vend actuellement 25.000 euros. La société belge qui les produit a déjà reçu des commandes d’Allemagne et des Pays-Bas.
La science-fiction se fait chaque jour un peu plus réalité…
Source MPI
Contre-info.com
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Rouen : le drapeau des militants homosexuels hissé à la mairie
15 juin 2014Ce vendredi 13 juin 2014, la ville de Rouen a hissé le drapeau arc-en-ciel, emblème du lobby homosexualiste, qui flottait encore ce samedi aux côtés des drapeaux français et européen, devant la mairie.
Le motif de cette provocation serait qu’il y avait une « gay pride » (défilé de décadents homosexualistes) le samedi à Rouen.
Contre-info.com
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Pétition - Non au défilé des troupes algériennes à Paris le 14 juillet 2014
Communiqué de Gilbert Collard, député RBM du Gard, Louis Aliot, député français au Parlement européen, Mohamed Bellebou, conseiller municipal de Perpignan, président de France-Harkis
Le député RBM Gilbert Collard a demandé au secrétaire d’État chargé des Anciens combattants si, comme le laissait supposer une rumeur insistante, les troupes algériennes allaient défiler sur les Champs-Élysées le 14 juillet 2014. A cette question, le ministre a répondu par l’affirmative en prétextant qu’il s’agissait d’une invitation dans le cadre des cérémonies honorant les combattants de 14-18. (http://youtu.be/kL9KlsMFuAc)
Si l’on comprend aisément que la France entretienne avec l’Algérie des relations diplomatiques et économiques suivies, il n’en demeure pas moins que le premier devoir du gouvernement français est de défendre le devoir de mémoire de ses concitoyens d’abord.
S’il est parfaitement concevable d’honorer le souvenir de tous les soldats de toutes origines et de toutes confessions, venant de territoires français à cette époque, qui se sont battus ou sont morts pour la France, la présence de l’armée nationale algérienne pose un problème politique et un problème moral grave.
- Problème politique d’abord car l’Algérie est un État policier dirigé d’une main de fer par une caste prédatrice et un autocrate qui ne se distinguent pas pour leur respect du suffrage et des droits de l’Homme. S’ajoutent à cela des insultes permanentes adressées à la France et des obstructions dans des dossiers aussi emblématiques que celui de l’assassinat des moines de Tibhirine.
- Problème moral ensuite, car comme le relève Gilbert Collard dans sa question au gouvernement, l’armée algérienne est née au sein même du FLN, organisation terroriste qui a massacré et spolié des dizaines de milliers de personnes sans jamais exprimer le moindre remords ou adresser la moindre compassion envers les victimes. Qui pourrait oublier le discours haineux prononcé à la tribune de l’Assemblée nationale par le président Bouteflika en juin 2000 comparant les harkis à des « collabos » ? Qui peut oublier le problème des profanations des cimetières chrétiens et juifs à ce jour toujours pas réglé ? Qui peut oublier les enlèvements et les milliers de civils disparus dont les familles attendent toujours des informations ?
Cette présence militaire honteuse sur le sol français est une provocation indigne et le signe d’un très grand mépris pour tous les morts, disparus ou suppliciés victimes de cette armée.
Nous appelons donc à la création d’un collectif du « Non au défilé des troupes algériennes le 14 juillet 2014 » qui rassemblera des organisations patriotiques, d’anciens combattants, de harkis et de rapatriés afin d’organiser la contestation face à cette infamie !
Pétition signée!
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Michael Schumacher est sorti du coma et a été transporté à Lausanne
Source: Belga
lundi 16 juin 2014 à 13h59L'ancien champion allemand de F1 Michael Schumacher "n'est plus dans le coma" et a quitté l'hôpital de Grenoble, a annoncé lundi son entourage. Il a été transporté au CHUV (Centre hospitalier universitaire de Vaud) situé à Lausanne (Suisse), a indiqué Darcy Christen, porte-parole de l'établissement hospitalier.
"Michael a quitté le CHU de Grenoble afin de continuer sa longue phase de réadaptation. Il n'est plus dans le coma", a annoncé lundi dans un communiqué laconique Sabine Kehm, porte-parole de la famille. Sans en dire plus sur l'état de santé du pilote de 45 ans.
Le pilote a été transporté lundi matin au Centre hospitalier universitaire de Vaud, à Lausanne, selon un porte-parole de cet établissement. "Sa famille est avec lui, dans un espace aménagé spécialement pour préserver leur intimité et pour assurer les meilleurs soins possibles".
La famille n'avait pas divulgué l'endroit où Schumacher poursuit "sa longue phase de réadaptation".
Lundi, elle a remercié "expressément les médecins, les équipes soignantes et l'administration de l'hôpital de Grenoble, ainsi que les premiers secours qui sont intervenus sur le lieu de l'accident". Trois pontes français de la neurologie étaient au chevet du champion.
Alors que l'accident de Schumacher, le 29 décembre 2013, avait attiré une foule de médias du monde entier au CHU de Grenoble, son départ a été tenu secret et aucune conférence de presse n'est prévue. "Nous demandons à tous de bien vouloir, à l'avenir, respecter le fait que cette longue phase de réadaptation ne se déroulera que dans le cadre privé", précise l'entourage du septuple champion du monde.Communication au compte-gouttes
Plongé dans un coma artificiel après son accident, Schumacher avait été placé en phase de réveil le 30 janvier, processus très long consistant à diminuer progressivement les sédatifs. Il montrait depuis "des moments de conscience et d'éveil", selon son entourage, muet sur d'éventuelles séquelles et distillant sa communication au compte-gouttes en réponse à des rumeurs récurrentes.
"Michael fait des progrès sur son chemin (...) Nous sommes à ses côtés pendant ce long et difficile combat, avec l'équipe du CHU de Grenoble, et restons confiants", avait indiqué Sabine Kehm le 4 avril.
"Nous sommes et restons confiants que Michael va s'en sortir et se réveiller. Il y a quelquefois des petits signes encourageants. Mais nous savons également que nous devons être patients", avait déjà fait savoir l'entourage du champion le 12 mars.
Le 29 décembre 2013, Schumacher avait heurté un rocher de la tête en skiant à Méribel en compagnie de son fils et d'amis. Il avait été hospitalisé à Grenoble, souffrant de lésions crâniennes "diffuses et sérieuses".
Le 17 février, la justice avait classé sans suite l'enquête sur son accident, excluant toute responsabilité d'un tiers, la famille conservant la faculté d'agir au civil."La route peut être très longue"
Reste à savoir quel avenir peut avoir Schumacher, la famille se refusant désormais à communiquer la moindre information sur sa santé ou ses traitements.
Interrogé début avril, Denis Safran, chef du service d'anesthésie-réanimation à l'hôpital européen Georges-Pompidou à Paris, estimait difficile de tirer des conclusions en l'absence de précisions sur sa phase de réveil. "Cela peut être bon signe: il commence à avoir des réactions d'éveil réel. Mais le niveau de la réaction n'étant pas précisée, ça veut tout dire et rien dire", disait-il alors.
Le 30 janvier, à l'annonce du placement de l'ancien pilote en phase de réveil, un anesthésiste-réanimateur du CHU de Bicêtre (région parisienne), interrogé sur les sorties de coma artificiel et non spécifiquement sur le cas de Schumacher, avait souligné que la route pouvait "être très longue": "on a vu des patients s'améliorer entre un an et trois ans après l'accident".
Le 13 avril à la télévision allemande, Sabine Kehm jugeait "impossible" de faire le moindre pronostic, car "même les médecins n'en font pas". Dans ce genre de blessures au cerveau, "chaque cas est un cas à part", expliquait-elle.Le Vif -
Sicile: affrontements entre Italiens et immigrés africains à coups de pierre
FDESOUCHE
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Najat Belkacem au Brésil avec Cohn-Bendit
vu sur FDESOUCHE
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Debouzze dans Le Monde, fautes incluses : «on vit dans l’air du métissage»
Jamel Debouzze s'exprime sur le Niqab par thyssemDebbouze : «l’Islam est en Europe depuis 3000 ans»
15h31[Extraits] Interview Jamel Debbouzze
« Mes parents sont arrivés en France il y a trente ans. Il y a quelques semaines, le Front national a fait un score de fou aux européennes et mon père pleurait. Que voulez-vous que je vous dise… De voir ces énarques et ces gens érudits, qui ont les outils intellectuels et financiers à leur disposition, ne pas pouvoir régler les problème, je trouve cela incroyable.
La politique n’arrive pas jusqu’aux banlieues. Les gens en ZEP, en ZUP, en zone franche ne sont pas concernés par la politique, ils ne sont même pas concernés par la crise parce qu’ils ont toujours vécu dans la crise.
La crise c’est pour ceux qui avaient un peu d’oseille et qui l’ont perdu. Rien n’a jamais changé pour les gens d’en bas. On se fout d’eux.
[Dire que le Front national est devenu le premier parti de France] c’est faux et dégueulasse. Je le répète, c’est faux et dégueulasse. Nous, artistes, on doit gueuler que cela est faux, que l’on vit dans l’air [l'ère NDLR] du métissage, qu’on n’a pas d’autre alternative que de faire avec l’autre, que l’étranger n’est pas une mauvaise nouvelle mais, au contraire, une très bonne nouvelle, qu’il faut faire corps ensemble face à l’adversité.
Il faut faire très attention aux discours qui tentent d’arrondir les angles. Marine Le Pen – je devrais dire Jean-Marine Le Pen – n’a pas changé, ses paroles sont dangereuses et font du mal à la France. Les gens qui y adhèrent sont fous. Je suis triste de devoir encore parler de cela. Je m’étais pourtant juré de ne pas le faire.
Je ne veux plus parler de ces personnes car en le faisant, je leur rends service. On nous fait peur avec ce spectre du Front national. Il est moins présent que ce qu’on nous dit. Je sais que la France n’est pas raciste ; je suis allé dans de très nombreuses villes, j’ai parlé avec beaucoup de Français. Ces gens qui essaient de nous monter les uns contre les autres le font uniquement pour exister, pour leur propre commerce, pour leur vitrine. Ne soyons pas dupes, je vous en supplie.
Le Monde (article payant)
FDESOUCHE
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Les propos pro-FN de Jean-Luc Godard dissimulés par France Inter?
15/06/2014 – via OJIM.FR – Dans un entretien accordé au Monde, le cinéaste Jean-Luc Godard affirme que France Inter aurait « supprimé » un passage où il évoque favorablement une éventuelle arrivée de Marine Le Pen à la tête du pays.
« J’ai mon opinion… J’espérais que le Front national arriverait en tête. Je trouve que Hollande devrait nommer – je l’avais dit à France Inter, mais ils l’ont supprimé – Marine Le Pen premier ministre », a-t-il affirmé au quotidien du soir.
Comme le rapporte « Le Lab » d’Europe 1, les propos du cinéaste n’ont pas été supprimés mais uniquement retenus dans la version longue de l’entretien (82 minutes), disponible sur internet. Dans celle-ci, enregistrée le 21 mai dernier, il évoque son attachement aux frontières pour préserver la diversité des cultures mais surtout « communiquer et communier ». Ironiquement il déclare : « Je suis pour les frontières mais contre les douaniers. »
NOVOPRESS
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Affiche antisémite: entretien avec l'avocat suisse Pascal Junod
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Israël a-t-il empoisonné Yasser Arafat ?
Nouveaux éléments de preuve
- Publié le : mardi 10 juin 2014
- Source : europalestine.com
A lire, ci-dessous, la passionnante enquête du journaliste suisse Luis Lema, publiée la semaine dernière dans le quotidien Le Temps, à propos de l’empoisonnement de Yasser Arafat, décédé dans un hôpital parisien en novembre 2004.
Le journaliste a suivi le travail des experts suisses qui avaient conclu à une forte probabilité d’empoisonnement du leader palestinien par du polonium 210, une substance radioactive mortelle. Des médias avaient ensuite affirmé que la thèse suisse avait été démentie par deux autres expertises scientifiques, russe et française. Sauf que c’est faux : les Français et les Russes n’ont pas rendu publiques leurs données, lesquelles n’infirment pas le travail des Suisses. Bien au contraire…
Voici maintenant l’article de Luis Lema, contenant des informations troublantes sur le professionnalisme de l’équipe française.
Le Temps , samedi 24 mai 2014
« Yasser Arafat, la valse des isotopes », par Luis Lema
Le leader palestinien a-t-il été empoisonné au polonium ? Les experts suisses ont mis la main sur les rapports russe et français qui semblaient contredire leurs découvertes. A cette lumière, ils se disent plus convaincus que jamais de leur propre travail
Cela faisait des mois qu’ils les attendaient. Jusqu’ici, François Bochud et Patrice Mangin, les deux experts suisses qui ont mené l’enquête sur les causes de la mort de Yasser Arafat, avaient le sentiment désagréable qu’on les faisait un peu « passer pour des idiots ».
Voilà que, sous les regards du monde entier, ils avaient mené leur expertise jusqu’à ses dernières extrémités, explorant toutes les hypothèses qui leur venaient à l’esprit, mettant à contribution toute leur expérience – respectivement dans le domaine des radiations et de la médecine légale – mais entourant aussi leurs conclusions de mille précautions. A tel point que leur rapport, dévoilé en novembre dernier, a été souvent mal compris : les deux scientifiques assuraient que leurs résultats soutenaient « raisonnablement » l’hypothèse que du polonium 210 avait bien causé la mort du chef historique palestinien.
Ils auraient pu le dire autrement : sur une échelle d’un à six, la thèse de l’empoisonnement se situe, pour eux, aux alentours du niveau cinq. Certes, huit ans après les faits, impossible d’évoquer une totale « certitude ». Mais en matière scientifique, l’emploi de ce mot est de toute manière plutôt rare.
Or, coup sur coup, des rapports français, puis russe, se sont montrés bien plus affirmatifs qu’eux, dans un sens toutefois opposé : mort de cause naturelle ! tranchaient-ils, provoquant un double malaise. D’abord parce que cette cause n’était nullement spécifiée. Mais surtout, parce que ces deux autres rapports, à l’inverse du suisse, n’ont jamais été rendus publics. Deux contre un : l’affaire était réglée, au moins en apparence. Aujourd’hui, pourtant, ces deux rapports sont arrivés par des canaux différents entre leurs mains. Les deux Lausannois ont épluché non pas les conclusions – « c’est ce qui intéresse le moins les scientifiques » – mais les données recueillies sur la dépouille d’Arafat en décembre 2012.
Résultat : c’est à leur tour d’être devenus beaucoup plus affirmatifs. « Non seulement nous maintenons notre analyse, mais après la lecture des autres rapports, nous sommes bien davantage convaincus de sa pertinence », résume élégamment François Bochud.
Lire l’intégralité de l’article sur europalestine.com
E&R
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Le mythe de l'Inquisition catholique
E&R
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Le CSA met en garde RTL en raison d'une chronique de Zemmour
14 juin 2014
Objets d'une enquête du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA), suite à la diffusion, le 6 mai, d'une chronique de Zemmour, la station de radio et le polémiste évitent une sanction. Dans un communiqué, l'autorité a seulement annoncé avoir "fermement mis en garde RTL".
Dans sa chronique, Eric Zemmour avait notamment déclaré :
"les grandes invasions d'après la chute de Rome sont désormais remplacées par les bandes de Tchétchènes, de Roms, de Kosovars, de Maghrébins, d'Africains qui dévalisent, violentent ou dépouillent."
Le CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France) avait saisi le CSA, demandant la démission de l'essayiste.
Voici cette chronique ci-dessus.
Le Salon Beige
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A Béziers, le couvre-feu entre en vigueur
Home ACTUALITE Flash Actu
Le couvre-feu décrété par le maire FN de Béziers, Robert Ménard, entre en vigueur ce dimanche, jour du premier match des Bleus au Mondial.
Cet arrêté municipal précise que "tout mineur âgé de moins de 13 ans ne pourra, sans être accompagné d'une personne majeure, circuler de 23 heures à 6 heures". L'ancien président de Reporters sans frontières, élu le 31 mars avec le soutien du Front national, avait fait connaître ses intentions en la matière dès le 16 avril, lors d'un conseil municipal.
38 euros d'amende
Cet arrêté sera applicable du 15 juin au 15 septembre pour les nuits des vendredis, samedis et dimanches, ainsi que pendant l'ensemble des nuits des vacances scolaires. Il ne concernera en revanche que deux zones prédéfinies: l'hypercentre-ville de Béziers et la Devèze, le quartier "sensible" de la ville.
La police municipale de Béziers n'étant pas encore armée, c'est la police nationale qui sera chargée de faire respecter l'arrêté municipal. Si un enfant est aperçu dans la rue entre 23h et 6h sans accompagnement, l'enfant sera conduit à son domicile ou au commissariat. L'amende pour les parents a été fixée à 38 euros. En cas de récidive, des poursuites pourront être engagées. -
Jean-Marie Le Pen en rupture avec sa fille
« Je suis le seul Français qui bénéficie de la présomption de culpabilité. » A entendre Jean-Marie Le Pen, alors qu'il prenait un avion de Nice pour Paris, une semaine après le tollé suscité par ses propos sur la « fournée » et Patrick Bruel, il n'y avait aucune référence aux origines juives du chanteur : « Je n'ai fait qu'employer un mot de la langue française.
SUR LE MÊME SUJET
Mais plus personne ne sait parler le français... », contourne celui qui soufflera vendredi ses 86 bougies.
On se souvient du « détail » en 1987, à propos des chambres à gaz, de « l'occupation allemande qui n'a pas été particulièrement inhumaine » (2005), et récemment de « Mgr Ebola » qui « peut régler ça en trois mois », à propos de « l'explosion démographique dans le monde ». Des sorties qui lui ont parfois valu des condamnations par la justice. Mais lui se pose, encore, en victime : « Quand Le Pen éternue, attention, il y a anguille sous roche ! », dit-il.
«Elle ne me parle plus»
Cette fois-ci, le président d'honneur du FN rit tout seul. Sa « fournée » lui vaut d'être aussi mis au ban de son propre parti. « Faute politique » pour sa fille Marine, qui illico presto a fait retirer le blog de son père du site du Front national. Depuis, ils ne se parlent plus et communiquent par médias interposés. « C'est juste une querelle de ménage », minimise le patriarche, qui reconnaît n'avoir toujours aucune nouvelle. « Elle ne me parle plus. Je crois qu'elle est très occupée par la constitution de son groupe parlementaire à Bruxelles. » Aucun signe de vie, non plus, de sa petite-fille Marion, la députée du Vaucluse, avec qui il est pourtant très proche. « Je suis une vieille chose moi, vous savez... », soupire Le Pen.
« Marine souffre beaucoup de cette séquence, confie l'avocat du parti, Wallerand de Saint-Just. Mais elle n'est pas que sa fille. Elle a des responsabilités en tant que présidente du FN. Et quand on est à 25 % chez les électeurs, on ne peut pas se permettre ce genre de polémique. »
Jean-Marie Le Pen veut croire qu'ils vont « trouver une solution ». Déjà en fin de semaine, son blog réapparaissait indirectement sur le site du FN, via un lien externe sur la page d'accueil. Lui-même a envoyé une lettre vendredi en se disant victime d'une « calomnie odieuse », d'une « injustice » vis-à-vis de sa fille qu'il appelle à faire marche arrière.Le Parisien - 15 06 14