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  • « Fondation pour l’islam de France » : Le ministre de l’intérieur intègre l’organisation islamiste radicale des Frères Musulmans (UOIF)

     
    Posted by La Rédaction on 14th décembre 2016
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (14/12/2016) Dernier avatar de la politique de l’État Français visant à accompagner l’islamisation de l’Hexagone, le gouvernement de Paris a désigné Jean-Pierre Chevènement comme architecte d’une future structure d’appui aux musulmans. Il apparaît que les Frères Musulmans de l’UOIF – auxquels est lié l’imam salafiste de Brest Rachid Abou Houdeyfa (voir ici) – y sont représentés.

    Libération (source) :

    Il y a d’abord l’incontournable séance photos. Chacun veut la sienne avec Bruno Le Roux, le nouveau ministre de l’Intérieur également chargé des Cultes. Pendant la pause déjeuner, la délégation de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF, proche des Frères des musulmans) se serre autour du ministre. La troisième instance de dialogue avec l’islam qui s’est tenue lundi Place Beauvau à Paris, c’est un peu son baptême du feu sur un sujet hautement inflammable. «Dans quelques mois, l’islam de France pourra s’appuyer sur trois piliers», affirme le nouveau ministre. Enfin, on l’espère. «Il se passe quelque chose d’irréversible et de bénéfique pour la société française», poursuit-il.

    L’UOIF est la branche française de la confrérie islamiste basée en Égypte.

    Encore récemment, l’attentat-suicide contre une église copte au Caire ayant visé des femmes et des enfants a été menée par l’organisation islamiste. Le djihadiste responsable de l’attaque était en effet lié aux Frères Musulmans.

    Le Figaro (source) :

    Mahmoud Chafiq Mohamed Mostafa avait été arrêté et remis en liberté en 2014 alors qu’il assurait la sécurité des convois des Frères musulmans, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur. Depuis, il était recherché dans le cadre de deux autres dossiers en lien avec des groupes fondamentalistes musulmans.

    En outre, la collaboration entre l’État Islamique et les Frères Musulmans est avérée dans le Sinaï égyptien où le Hamas, la branche palestinienne de l’organisation, apporte son appui à l’EI contre Israël et l’armée égyptienne (source).

    L’islam radical bénéficie donc de l’appui officiel du ministère de l’Intérieur français qui se charge de le soutenir officiellement, partout où cela est possible.

  • Christine Lagarde : « la roche tarpéienne est proche du capitole »

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    Yves-Marie Laulan, Président de l’Institut de Géopolitique des Populations ♦

    Ainsi donc, la malheureuse Christine Lagarde, actuelle directrice générale du Fonds Monétaire international, va comparaître enfin, menottes aux mains (ou presque) devant la redoutable Cour de Justice de la République. Peu nombreuses sont les personnalités qui ont connu un sort aussi humiliant. On les compte sur les doigts d’une main. Et pour cause.

    Cet épisode me remet en mémoire les débuts de ma carrière internationale, précisément au FMI. Mon modeste bureau était logé dans cette auguste et sinistre tour plantée au beau milieu de Washington , la capitale américaine . Elle se dresse à côté d’ une deuxième tour, également lugubre, celle de la Banque mondiale, l’une étant reliée à l’autre par une élégante passerelle aérienne, le tout dans le style stalinien le plus pur.

    A l’époque, le directeur général de cette institution était un Français, comme le veut la tradition, Pierre-Paul Schweitzer, neveu de l’illustre docteur Schweitzer, un rigoureux et sévère inspecteur général des Finances, protestant bien sûr, incarnation vivante de la vertu des grands serviteurs de l’État.
    Les temps ont bien changé . Car voici que, par un tour malicieux de l’histoire, pour la deuxième fois , notre pays est fâcheusement à l’honneur avec un de ses ressortissants au centre d’un scandale retentissant. La France n’a vraiment pas de chance. Étonnez-vous , dans ces conditions, que les Anglo-Saxons nous prennent des « rigolos »irresponsables.

    La première fois, rappelez-vous , c’était l’ineffable Dominique Strauss Kahn où les gens bien informés (eh oui) voyaient à l’époque un petit génie de la finance. C’est incroyable comme les médias, par manque de jugement et comportements moutonniers, vous font et défont une réputation d’enfer . Il est vrai qu’il était à la fois juif, socialiste et mondain. Avec une telle triple couronne en acier chromé, comment ne pas gravir un à un tous les degrés d’une renommée internationale ? Au surplus, il avait pour épouse une journaliste fort jolie et très lancée. Tous les ingrédients de la réussite sociale étaient réunis. Elle est venue au rendez-vous.

    Las, le gueux, aux appétits sexuels insatiables, s’est sottement laissé surprendre, le pantalon sur les talons, dans un hôtel de luxe newyorkais, en train de présenter ses charmes enchanteurs à une fraiche jeune femme de chambre. Que diable, quand on se livre à ce genre d’exhibitions, on ferme la porte. On se rappelle la suite.

    Si Strauss Kahn avait été élu à l’Élysée, et c’était quasiment assuré, il aurait incontinent transformé ce prestigieux palais en garçonnière de luxe. Et pour l’en déloger, lanlaire. Son successeur à l’Élysée a quand même eu la pudeur de ne pas loger sur place sa bonne amie du moment. On peut acquérir des manières avec le temps. Ceci étant, le Général de Gaulle a eu de biens singuliers héritiers. Mais comment prévoir que des fripons vont inévitablement venir après des parangons de vertu ? C’est la loi de l’histoire des hommes : Néron après Auguste.

    A cet égard, il est curieux de voir comment certains responsables politiques socialistes, quelle que soit leur position sociale, se laissent aisément aller à des incartades plus ou moins burlesques . C’est sans doute inscrit dans leurs gènes. Rappelons -nous François Hollande, le soir même de son élection à la présidence, surpris par le magazine Closer s’échappant en visite privée chez sa copine du moment, en scooter, son garde du corps, recroquevillé sur le siège arrière du passager. Du pur vaudeville ou du meilleur Feydeau. Et aussi une excellente introduction à un « Quinquennat pour rien ».

    Pourquoi en est-il ainsi ? Je crois que cela tient à l’idéologie socialiste elle- même qui commande la morale privée. Le laxisme généralisé, qui caractérise leur comportement politique, trouve son pendant dans leur morale privée, qui est essentiellement permissive. Je suis élu ; je suis le roi ; donc tout m’est permis. Mais il n’est pas surprenant que la réputation des Français à l’étranger soit aussi dégradée. Avec l’épisode Lagarde, qui n’est pourtant pas socialiste, elle n’est pas près de s’améliorer.

    Pour en revenir au sort de cette dernière, on sait que de tradition, le directeur général du FMI est français et le N° 2, américain (pour le surveiller sans doute et l’empêcher de faire des boulettes), de même que le président de la Banque mondiale est toujours américain . Ces habitudes datent de l’après-guerre lorsque les Accords Bretton Woods ont jeté les fondations du système monétaire international. Les Français se sont taillés la part du roi ( grâce notamment à l’incomparable talent du négociateur français, Jean de Largentaye). Et les Allemands , on s’en doute, ont eu celle du pauvre. Les Anglais sont restés à l’écart de cette distribution des prix, sachant que les choses sérieuses se traitaient, de toute façon , sur les marchés financiers de Londres.

    Ce en quoi ils n’avaient pas tout à fait tort. Car l’occupation de tel ou tel trône par tel ou tel favori du moment qu’il fallait récompenser, n’a pas l’importance que naïvement les responsables politiques français lui attribuent. En effet, solidement encadrée par une administration compétente et intègre, le responsable ainsi nommé ne peut guère se permettre de fantaisies sous peine de se voir rapidement remis en question. Sa présence ne change absolument pas le bon fonctionnement de l’organisme dont il assure tant bien que mal la direction. Les postes politique n’ont finalement guère d’importance, si ce n’est de prestige. Or c’est précisément ce prestige qui risque fort d’être mis à mal par ce second scandale bien inopportun qui voit la directrice de cette noble institution accusée de concussion au profit de l’illustrissime Bernard Tapie.

    On connait l’affaire, au moins dans ses grandes lignes..

    Christine Lagarde avait été nommée tout de go au poste prestigieux de ministre des Finances par Nicolas Sarkozy qui avait été la cueillir dans un poste de cabinet conseil lambda à New York . Puis, en récompense des services rendus aux finances, elle avait obtenu le poste, non moins prestigieux, de directeur du FMI .

    Le malheur veut que, à l’occasion de son passage à Bercy , elle avait cru bon de s’affranchir des règles prudentielles habituelles de l’Administration pour confier le règlement de la ténébreuse affaire Adidas à une instance d’arbitrage improvisée dont faisait partie deux autres personnages.
    L’un était un haut magistrat, le vice président de la cour d’appel de Versailles. Il était propriétaire d’une petite ferme juchée à flanc de montagne dans un petit village charmant perché au dessus de Luchon. Il avait par la suite acheté une somptueuse villa dans les Caraïbes, préférant , on le comprend, la douceur des Antilles, aux rigueurs de la montagne. Il ne faut pas, bien entendu , établir un quelconque lien entre ces deux affaires. Mais il est également quand même poursuivi dans cette procédure.
    L’autre est une personnalité connue, héros de l’alpinisme et ancien président du Conseil constitutionnel. Quand même. Décidément le droit mène à tout . Mais , à 86 ans passés , il a été sagement jugé qu’il devait être au dessus de tout soupçon. Ce qui est la moindre des choses pour un ancien montagnard.

    Quant à notre Christine, elle n’est pas encore parvenue à ce stade des hauteurs stratosphériques où se perd le regard de la justice. La voilà , la pauvrette, accusée de complaisance envers Bernard Tapie. Non qu’elle ait , succombé à ses charmes vénéneux du sus dit, mais plutôt cédé aux douces pressions venues des hauteurs de l’Elysée, Nicolas Sarkozy étant à l’époque président de la République. Or on connait le goût de notre Nicolas national pour les combines un peu douteuses. Ne fait-il pas lui-même aujourd’hui l’objet d’une bonne demi-douzaines de procédures judiciaires, après avoir perdu l’Elysée où il espérait trouver un refuge confortable contre la rigueur des lois.

    On est en droit de supposer le scénario suivant, qui est tout à fait plausible. Prestement kidnappée par Sarko, toujours expéditif et impulsif, de son poste de conseiller juridique dans une boite de conseil à New York où elle devait s’ennuyer à mourir , puis implantée par à Bercy sur un poste de ministre du budget, -le fait qu’elle n’y connaisse rien ne faisant qu’ajouter du piment à la chose- , cette dernière ne pouvait que prêter une oreille tout à fait attentive aux desiderata du président Sarkozy dont elle était l’obligée. Et passez muscade.

    Ce dernier n’avait pas , de son côté, été insensible aux clameurs de l’inimitable Bernard Tapie, toujours en quête de puissantes protections pour couvrir ses nébuleuses affaires, pour des raisons que l’on ne connait pas encore, mais que l’on devine inavouables , comme d’habitude .
    C’était l’ami des présidents , quels qu’ils soient. N’oublions pas que François Mitterrand, qu’il amusait et qui ne rechignait pas devant des relations équivoques, en avait fait , on ne sait pourquoi , un ministre de « quelque chose ». Car François Mitterrand, un Thermidorien , avait le sens du dérisoire. Et puis , il aimait se distraire. La manie de nos présidents de s’offrir des caprices de rois est bien ancrée dans les traditions de la V° République. On se souviendra, à cet égard, que notre François avait fait nommer ministre un avocat qu’il avait rencontré quasiment par hasard en Vendée, au cours d’une ballade présidentielle . A cette occasion, on lui avait servi au repas un poisson qu’il avait trouvé fort à son goût. Après tout, Paris vaut bien une messe. Pour François, une morue ou une dorade valaient bien un ministère. Et puis Caligula avait bien fait un sénateur de son cheval.

    Voilà toute l’affaire. Gageons que la charmante Christine, (qui devrait quand même se remplumer car elle souffre manifestement d’anorexie), s’en sortira tout à son avantage, avec, au pire , une petite tape sur le poignet, pour son « manque d’attention » . A moins que, coup de théâtre inopiné, quelque « loup » énorme ne s’échappe du bois en cours d’instruction. Mais cela se saurait déjà. Quoiqu’il arrive, les membres du Conseil d’Administration du FMI lui conserveront toute leur confiance avant de retourner à leur sommeil hivernal. Il est vrai qu’ils sont payés pour ça.

    Quant au héros de l’affaire, Bernard Tapie, on peut être assuré qu’il ne remboursera pas un liard à l’État, ayant eu tout le loisir d’organiser son insolvabilité avec son, ou ses hôtels parisiens, ses comptes bancaires dans des sites enchantés et son yacht ancré à Cannes ou en Grèce. Il y a quand même une justice en France.

    METAMAG

  • Albi (81) : Farouk condamné à 20 ans de réclusion en appel pour la mort de Valentin

     

    17h10

    Farouk Yahiaoui, un Albigeois de 26 ans, vient d’être condamné à 20 ans de réclusion en appel par la cour d’assises de Toulouse pour vol avec violence ayant entraîné la mort.

    Dans la nuit du 31 mai au 1er juin 2012, Valentin Rivié, un étudiant albigeois, est agressé par deux jeunes. Il reçoit des coups de bouteille à la tête.

    Valentin, dans un état critique, s’éteint quatre jours plus tard à l’hôpital Purpan de Toulouse.

    (…)

    La Dépêche

     

     

  • Résistance des crèches : Wauquiez et la christianophobie

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    Trépignant de colère et brandissant la menace du tribunal, les enragés de la fausse laïcité (mais authentique christianophobie) se déchaînent depuis mardi contre le nouveau président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez. Son « crime » ? Avoir osé installer une crèche de 14 m2 au pied du sapin de Noël, dans le hall d’entrée de l’hôtel de région à Lyon.

    On aurait pu penser que le spectacle – véritable ravissement pour les yeux – de cette centaine de petits santons vaquant à leurs occupations au milieu de la reconstitution d’un village provençal typique aurait pu, à lui seul, attendrir un tant soit peu même les plus excités des « bouffeurs de curés ». Mais c’était oublier bien vite que, comme les djihadistes de l’EI dynamitant les symboles chrétiens en Orient, certains héritiers des sans-culottes aimeraient bien en faire autant en France.

    Véritable « provocation » pour les élus du groupe socialiste, dont le président Jean-François Debat s’est même exclamé : « Cette crèche n’a rien à faire là » ! « Caprice en même temps qu’une provocation à la laïcité et à la loi de 1905 », pour les élus du PRG… Chacun y est allé de sa petite condamnation fielleuse. Et jusqu’au secrétaire d’Etat Juliette Méadel, qui a estimé jeudi que Wauquiez avait « perdu la raison », avant de rappeler que « jusqu’à nouvel ordre, la laïcité fait que dans l’espace public, il n’y a pas de manifestations religieuses ».

    Autant de gens qui, étrangement, restent silencieux lorsqu’Anne Hidalgo fête chaque année, à la mairie de Paris et avec l’argent public, le Ramadan ou encore Roch Hachana !

    La menace sur la laïcité, c’est le salafisme

    Cependant, à trop vouloir démontrer la prétendue illégalité de cette crèche, certains laïcistes se sont ridiculisés eux-mêmes. Comme Sarah Boukaala, la présidente du groupe PRG qui, citant l’arrêt rendu en novembre dernier par le Conseil d’Etat, s’est vue répondre par Laurent Wauquiez : « Le Conseil d’Etat a lui-même indiqué qu’on avait parfaitement la possibilité [d’installer une crèche dans un lieu public] dès lors que c’était dans une dimension culturelle, ce qui est notre cas, dans une dimension historique, ce qui est notre cas, en plongeant dans les racines de notre région, ce qui est notre cas. » Et Wauquiez de demander alors très justement : « Au nom de quoi est-ce qu’on va s’excuser de nos traditions ? »

    Mieux : réaffirmant pour ceux qui font mine de l’ignorer que la crèche de Noël ne constitue en rien une « menace pour la laïcité », le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a alors judicieusement rappelé que

    « la menace sur la laïcité en France, c’est la burqa, le salafisme, les femmes dans les quartiers qui font l’objet d’oppression. »

    Franck Deletraz

  • « La migration profite à tous » : grossière propagande de l’ONU

     

     

    Voilà ce que poste sur son compte twitter l’ONU, ce machin qui encourage les « migrations » (vers les pays blancs, en réalité) plutôt que de chercher à en résoudre les causes…

    On peut lire : « La migration profite à tous. Les migrants sont porteurs de compétences et de cultures nouvelles ».

    Ainsi les Européens manqueraient de compétences…
    Pour les cultures nouvelles apportées dans nos riantes et chaleureuses banlieues envahies, la loi ne nous permet pas d’en dire plus…
    La migration « profite » aux élites mondialisées.

  • Migrants: ce ministre belge qui réiste au "pouvoir des juges"

    http://www.bvoltaire.fr/gregoryvandenbruel/migrants-ce-ministre-belge-qui-resiste-au-pouvoir-des-juges,299951?mc_cid=37299327bf&mc_eid=7a51b6d20b

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    Theo Francken, 38 ans

  • Nice : crèche municipale place Rossetti

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    C’est une tradition municipale à Nice d’installer une grande crèche de Noël place Rossetti devant la cathédrale Sainte-Réparate, donc dans l’espace public La crèche est protégée par une société de surveillance privée et très photographiée par les Niçois et les touristes… Comme me l’écrit le lecteur de Nice qui me signale cette installation et m’en envoie l’image, ce dont je le remercie, que « c’est la plus utile réponse de Nice à la terreur islamiste », et il ajoute aussi que la sonorisation commerciale du Vieux Nice pour les fêtes diffuse Il est né le divin enfant… On attend la réaction de la Libre Pensée des Alpes-Maritimes, à laquelle on souhaite par avance un joyeux Noël !

    L'observatoire de la christianophobie

  • Médias: Trump lance sa "Révolution permanente"

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    La court-circuitant sans cesse, s’attaquant à son amour-propre comme à sa bourse, Trump poursuit son dressage de l’industrie des médias. Une industrie qui s’engouffre dans le trou noir de la concentration financière.

    Le Pew Research Center a publié le 15 juin 2016 son « état des lieux » (State Of The News Media 2016), décrivant le stress de l’industrie : « Le secteur des journaux est probablement au pire depuis la récession. Les quotidiens (papier et numérique) ont encore baissé de 7%, soit la plus forte chute depuis 2010. En 2015, les revenus publicitaires des journaux cotés en bourse ont perdu 8%, entrainant des pertes financières, y compris pour les numériques ». Pew Research explique ensuite que la presse quotidienne emploie 33 000 journalistes, dont une grande partie dépend de la politique. Washington (DC) aspire 32 % des journalistes, cependant que 38% se concentrent dans les capitales des 50 États. Les salles de presse ont perdu 10% de leurs effectifs en 2015 et … 20 000 personnes en 20 ans !

    Pas étonnant que la valorisation des entreprises de presse diminue autant que leurs effectifs, ouvrant la voie aux raiders. Plus grave (toujours selon Pew) seuls 5% des américains considéraient (en début d’année) l’information des journaux comme source « la plus utile » à leur compréhension de la campagne électorale.

    Quant à la télévision, dont le chiffre d’affaire croît (encore), elle est concurrencée par le numérique, en particulier dans le créneau-clé des nouvelles, où l’audience est en déclin continu dans les chaines classiques. Aujourd’hui 62% des adultes s’informent sur les médias sociaux.

    A ne pas pouvoir changer la température, les médias en sont conduits à casser le thermomètre.

    Casser les médias sociaux ?

    D’où la campagne actuelle, lancée par le Président Obama lui-même, assimilant les médias sociaux à des vecteurs de fausses nouvelles, ces « fake news » qui auraient fait élire Trump à l’instigation de la Russie. Une justification de la censure ?

    Face aux attaques d’une presse craignant pour son écosystème, Trump soumet les grands médias à la douche écossaise, mêlant sevrage, marginalisation, et appât du gain. Avec plusieurs angles d’attaque :

    • désacralisation : les médias ne sont qu’un vulgaire business. Ainsi « Monsieur 10 milliards » met à nu les journalistes pour ce qu’ils sont : des employés de sociétés en perte de vitesse, privés d’ascendant moral… et dont le job est moins que garanti. Déroutant pour ceux qui ont coutume de voir les politiciens trembler.
    • compétence : on ne peut pas faire confiance à des journalistes qui n’ont réellement rien vu venir dans ces 18 mois de campagne. Pourquoi une telle absence de perspicacité professionnelle ? Pire encore que la malhonnêteté.
    • honnêteté : les journalistes ont essentiellement soutenu Clinton par nécessité alimentaire, se nourrissant paresseusement d’un système qui a floué Bernie Sanders et massacré Trump. Clinton a perdu… et les médias refusent maintenant (mais pas Obama) d’analyser les raisons de son échec. Mauvais perdants…
    • marchandage : laissant les patrons de presse dans le flou, Trump leur fait craindre une exclusion du Corps de presse présidentiel. Ce groupe prestigieux comprend une cinquantaine de correspondants postés à la Maison Blanche qui « suivent » le président en continu, participant entre autre aux conférences ou aux points de presse du Président et de son équipe. Trump n’a toujours pas pris position sur les heureux élus.
    • démocratie directe : ridiculisé pour ses tweets, Trump a créé un univers parallèle pendant la campagne, qu’il tend maintenant à exploiter à la façon des gardes rouges de Mao, journalistes et parlementaires toujours nerveux du risque de figurer dans quelque dàzìbào Il a ainsi constitué ses sections de gardes rouges, rassemblant ses alliés de la presse internet (Drudgereport, Washington Times, LifeZette, Daily Caller, Breibart etc.) qui ont mobilisé plus de 62 millions d’électeurs pendant la campagne.
    • « Révolution Permanente » : Trump innove avec le lancement sur YouTube du programme de ses premiers 100 jours, sans conférence de presse. Puis il lance, le 1er décembre à Cincinnati une « tournée de remerciement » dans les états pivots du Rust Belt (ce « mur bleu » ouvrier qu’il a fait basculer), avec un triple objectif : se ressourcer dans le bain de foule, lancer ses annonces majeures à chaque meeting devant des caméras devenues dernières roues du carrosse (ainsi, à Cincinnati, la nomination de son Ministre de la Défense… et la décision, suite à son intervention, de la société Carrier-United technologies d’annuler l’installation au Mexique d’une importante unité de fabrication), et enfin rappeler aux parlementaires républicains qu’il ne travaille pas pour eux et qu’ils n’ont qu’à bien se tenir.

    Guide de survie du trumpisme

    L’ancien Speaker Newt Gingrich vient de formuler au bénéfice de Trump un guide de survie du « trumpisme », sous forme de trois conseils: ne pas devenir « raisonnable », régler les problèmes de fond et pas les symptômes, faire passer l’importance avant l’urgence. Il insiste : « en se levant chaque matin [Trump] devrait relire ses promesses électorales… il doit son élection au peuple qui a cru en lui et non aux courtisans qui l’ont méprisé avant de l’aimer parce qu’il a été élu. »

    Trump, l’homme du dàzìbào, avance également en trotskiste activiste, sachant que l’establishment le soutient comme la corde le pendu et espère lui forcer la main en matière internationale, comme ce fut le cas pour George W. Bush et Barak Obama. Tous deux élus sur un programme pacifiste et de redressement économique intérieur, pour se convertir ensuite à la réouverture de la Guerre Froide. Résultat : la dette publique est passée de 5 000 milliards de dollars à 20 000 milliards entre 2000 et 2016.

    Trump se constitue une équipe officielle et officieuse, composée des proches en charge de la « vision », des technocrates en charge de l’exécution ainsi que de la cuisine politicienne. Reste à pourvoir son équipe médias et communication, responsable de l’ « agitprop présidentielle». Quel que soit leur rôle nominal, trois passionarias influentes et connectées seront probablement appelées : Kellyanne Conway, Monica Crowley, et Laura Ingraham.

    Troika féminine

    Conway est très proche de la milliardaire conservatrice Rebekah Mercer qui a financé Trump. La voix douce et le commentaire acéré, la 3e et dernière directrice de la campagne de Trump a su canaliser l’énergie du candidat. Son surnom : « The Trump whisperer » (que l’on pourrait traduire par « celle qui murmure à l’oreille de Trump »). Car elle est la seule qui sache cornaquer Trump. Il est question qu’elle agisse en mercenaire, de l’extérieur, avec la famille Mercer, afin de gérer la « 4e campagne » de Trump : celle du contrepouvoir populiste face aux résistances de Washington, caisse de résonnance de la Maison Blanche, hors des frontières du politiquement correct.

    Crowley avait assisté l’ex-président Richard Nixon dans la rédaction de ses articles et ouvrages. Elle a ensuite fait carrière dans la presse conservatrice, avec des interventions et articles remarqués chez Fox News comme au Washington Times. Elle a prédit dès le début la victoire de Trump et a produit plusieurs articles de fond recyclés par Trump dans la préparation de ses débats. Spécialiste des affaires étrangères, elle a évolué de l’hégémonisme au trumpisme dès l’année dernière. Elle pourrait également mettre ce talent à contribution.

    Laura Ingraham est une étoile montante. La créatrice de Lifezette est une dialecticienne, connaissant ses dossiers, structurée dans son argumentation, et parlant concrètement. Elle est la plus populiste des trois passionarias, mêlant le charme à la brutalité. C’est elle qui a fait allusion à une refonte totale du corps de presse présidentiel, qui serait ouvert aux forces nouvelles de l’industrie, des États-Unis comme de l’étranger. Les travaux d’assèchement du marécage semblent avoir commencé.

    En attendant les grands médias, dont CNN, perdent leur calme, espérant peut-être que le recomptage des voix du Wisconsin, de la Pennsylvanie, comme du Michigan, ne sera pas terminé avant le 19 décembre, date de l’élection « juridique » du Président, créant ainsi une confusion constitutionnelle qui fera monter les recettes publicitaires.

    Crédit photo : Gage Skidmore via Wikimedia (cc)

    LES OBSERVATEURS CH

  • Alep : la grande déroute des occidentaux

     

     

    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    Alep est en liesse et l’armée  syrienne vient de reprendre le contrôle total de la deuxième ville du pays, dont le tiers était aux mains de différents groupes salafo-jihadistes dominés par le front Jabhat al-Nosra,  filiale syrienne d’Al-Qaïda et émanation des États-Unis.

    C’est un tournant majeur pour la Syrie et un drame pour les médias. C’est en tout cas un revers majeur pour les différentes factions  que la presse occidentale continue de nommer « la rébellion ». Cette victoire constitue une autre débâcle, celle de la défaite retentissante de la coalition occidentale dont la France fut depuis quatre ans la tête de pont idéologique.  La victoire d’Alep est donc la déroute retentissante de la diplomatie française, de ses supplétifs européens comme la Grande-Bretagne et surtout de ses donneurs d’ordre les États-Unis, les pays du Golfe et Israël même si pour l’État hébreu, la victoire d’Alep est aussi la conséquence d’un énième volte-face au Proche-Orient  pour la défense  de ses propres intérêts.

    Face aux ambitions turques, au lâchage américain et à la fermeté du soutien aérien russe, Israël a renoncé finalement à gagner la guerre contre Assad à la condition d’être toujours protégé de l’Iran et d’être assuré d’annexer rapidement la Cisjordanie .

    La reconquête d’Alep a donc mis à nu ce qui restait encore de politique arabe française tout en révélant au grand jour le fonctionnement partisan de tous les médias français. Dans ce contexte, Jean-Marc Ayrault, notre ministre des affaires étrangères, a tenu à organiser une énième réunion parisienne des « Amis de l’opposition syrienne ». Il n’y eut, nous dit-on,  qu’une quinzaine de participants et l’absence de toute représentation russe et iranienne. Il en fut de même d’ailleurs pour la réunion de décembre visant à relancer le processus de paix israélo-palestinien. La France a tout simplement perdu le fil de l’histoire en raison de conseillers stratégiques ou diplomatiques à la solde de puissances étrangères qui en même temps n’hésitent pas à les lâcher (l’accord secret russo-israélien).

    Ce qui arrive à la diplomatie française, c’est l’absence pour ses responsables, de culture militaire des rapports de force.  La reconstruction économique et politique de la Syrie se fera sans elle. La diplomatie française a, en tout cas, raté la dimension régionale et internationale de la crise syrienne, méconnu la réalité des nouveaux rapports de force des différents protagonistes du Proche-Orient. Elle est restée incapable de penser et d’envisager les pistes à explorer pour revenir à un minimum de stabilité régionale. Elle ne réalise  pas encore que l’un des grands vainqueurs de la libération d’Alep, c’est aussi le Hezbollah libanais qui détient aussi plus que jamais les clefs du Liban de demain.

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    METAMAG

     

  • Anne Frank a pu être arrêtée par hasard, sans dénonciation

    L’histoire officielle vacille

    Comment la cache clandestine où s’était réfugiée la famille d’Anne Frank a-t-elle été découverte durant l’été 1944 ? On a longtemps pensé qu’ils avaient été la cible d’une dénonciation. Après des décennies de vaines recherches, une nouvelle étude suggère que l’adolescente juive et les autres habitants de l’Annexe pourraient avoir été découverts « simplement par hasard  ». Une possibilité qui ajoute encore une dimension dérisoire et tragique au sort de la jeune fille.

     

    Selon l’étude publiée par le musée Anne Frank d’Amsterdam, « il est possible  » que la perquisition qui mena à la découverte de l’appartement secret de l’entreprise familiale n’ait pas eu pour objectif de débusquer des juifs, mais qu’elle ait eu lieu dans le cadre d’une enquête sur des « emplois illégaux » et « un trafic de coupons de rationnement  ». «  Les enquêteurs [auraient] découvert Anne Frank et les sept autres clandestins simplement par hasard. »

     

    263, Prinsengracht

    Née à Francfort-sur-le-Main en Allemagne le 12 juin 1929, Anne Frank avait quitté son pays avec sa famille en 1933 pour échapper aux nazis. Installés à Amsterdam, ils entrent dans la clandestinité en juillet 1942, dans l’appartement aménagé derrière une fausse bibliothèque au dernier étage du 263, Prinsengracht.

    [...]

    Bientôt rejoints par la famille Van Pels et par Fritz Pfeffer, les Frank se terrent pendant deux ans dans la cache, jusqu’en août 1944, avant d’être découverts et déportés.

    [...]

    À partir du 10 mars 1944, Anne évoque dans son journal l’arrestation de deux hommes, qu’elle surnomme « B » et « D ». Ceux-ci, Martin Brouwer et Pieter Daatzelaar, travaillaient en tant que représentants pour la société de matières premières Gies & Co, installée au rez-de-chaussée du bâtiment. Le 14, l’adolescente écrit : « B. et D. ont été arrêtés, nous n’avons donc pas de coupons... »

    Ce qui prouve, assure le chercheur, que les deux hommes fournissaient des coupons aux clandestins de l’Annexe. Sur la base du journal et de nouveaux documents, dont des rapports de police, M. Broek a également conclu que les enquêteurs présents lors de l’arrestation n’avaient pas pour mission de découvrir des juifs, mais qu’ils travaillaient sur des affaires de fraudes.

    Lire l’article complet sur lepoint.fr

  • Le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux a financé une association anti-flics !

    http://www.fdesouche.com/801001-le-ministre-de-linterieur-bruno-le-roux-finance-une-association-anti-flics

  • Marseille - Un homme de 97 ans attaqué chez lui

    http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/4246515/marseille-un-homme-de-97-ans-attaque-chez-lui.html

     

    Ils ont sonné à sa porte, il a ouvert sans méfiance, comme jadis...

  • Offensive LGBT : queer, transgenre tous azimuts

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Offensive-LGBT-queer-transgenre-tous-azimuts-43171.html

     + VIDEO

    A VOIR!

  • JOURNAL TVLibertés DU 16/12/16

  • LIVRE LIBRE – G.COLLARD / ALAIN PAUCARD : MANUEL DE RÉSISTANCE À L’ ART CONTEMPORAIN

    https://www.tvlibertes.com/2016/12/15/11983/alain-paucard-art-contemporain

    NdB: Ne pas confondre, comme on le fait trop souvent, l'art moderne avec le non-art contemporain qui est celui de la haine, de la provocation et de la destruction de la Beauté.

  • Gandhi ou Hitler? Nagui terrorisé!

     

    Mardi 13 décembre 2016, durant l’émission Tout le monde veut sa place, le dernier jeu télévisé animé par un certain Nagui, un candidat a dû répondre à une question de type « Quel est l’auteur de cette phrase ? »… et a commis l’irréparable...

    Petit rappel historique

    La lettre « Mon cher ami » envoyée par Gandhi à Hitler
    le 23 juillet 1939

    « Mon cher ami,

    Des amis m’ont encouragé à vous écrire au nom de l’humanité. J’ai résisté à leur requête, pensant qu’une lettre de ma part serait une impertinence. Mais quelque chose me dit que je ne dois pas faire de calcul et que je dois faire cet appel, quel qu’en soit le prix.

    Il est assez clair que vous êtes aujourd’hui la seule personne au monde qui puisse empêcher le déclenchement d’une guerre pouvant réduire l’humanité à l’état sauvage.

    Devez-vous payer ce prix pour atteindre votre objectif, aussi précieux vous semble-t-il ? Écouterez-vous l’appel d’un homme qui a délibérément évité la solution de la guerre, non sans un certain succès ?

    Je sollicite néanmoins votre pardon au cas où j’ai commis une erreur en vous écrivant.

    Je reste Votre ami sincère,

    Sd. M. MK Gandhi. »

     

  • PACA: Le FN interrompt le Conseil régional aux cris "d'enfoirés de gaullistes" (vidéo)

    LE SCAN POLITIQUE - Un débat sur une meilleure reconnaissance des harkis en Provence-Alpes-Côte d'Azur a dégénéré après le rejet d'un amendement du Front National. La séance a été interrompue.

    Ce vendredi, au conseil régional de Paca, était étudiée une proposition d'amendement du frontiste Philippe Vardon visant à instituer une lecture positive du colonialisme français en Algérie. Un sujet particulièrement sensible dans une région où de nombreux harkis et leurs descendants sont installés depuis les années 60. Appelant au rejet du texte, certains élus de la majorité LR ont accusé les cadres du FN de vouloir instrumentaliser la mémoire de la guerre d'Algérie à des fins politiques. De quoi soulever l'indignation de Thibaut de la Tocnaye, membre du bureau politique du FN et élu de la région, qui a crié à l'endroit de la majorité «enfoirés de gaullistes». Très remonté, Christian Estrosi a interrompu la séance et menacé de poursuites: «M. de la Tocnaye, vous aurez à en répondre devant des instances judiciaires».

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    La pique est donc mal passée, d'autant plus que son auteur est le fils d'Alain de La Tocnaye, l'un des conjurés de l'OAS impliqués dans l'attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle d'août 1962. Conscient de l'émoi suscité, ce dernier a d'ailleurs repris la parole dès la reprise de séance pour préciser qu'il ne visait pas nommément Christian Estrosi. «Ce n'est pas mon genre, je me suis emporté. Pour moi, “enfoirés” reste un terme potache lancé à la cantonade. Quand j'ai entendu les accusations qui nous ont été faites de vouloir instrumentaliser les harkis, je n'ai pas supporté. Deux cent d'entre eux étaient présents au procès de mon père!», fait-il valoir auprès du Figaro.

     

    Lors de l'interruption, Thibaut de la Tocnaye est «allé s'expliquer d'homme à homme» avec Christian Estrosi, avec lequel il assure que l'incident est clos. Reste que cette sortie garde une saveur particulière au regard de la crise qui oppose les soutiens de Marion Maréchal-Le Pen aux proches de Florian Philippot, qui se revendique très volontiers lui aussi du gaullisme. D'ailleurs, au-delà de la volonté de Thibaut de la Tocnaye de calmer l'incendie, les cadres FN entourant Marion Maréchal-Le Pen ont trouvé l'occasion de se saisir d'une diversion tapageuse sur les réseaux sociaux, à l'occasion de la délibération suivante. Dans une série de tweets assassins, ces derniers ont diffusé une série d'images à caractère pédopornographique et zoophile, en rappel d'une exposition polémique qui s'était tenue à Marseille en 2015. La droite régionale et Christian Estrosi sont accusés par le FN de n'avoir pas empêché l'exposition au nom de la défense de la liberté de création.

     

    LE FIGARO

     

  • PACA : Marion Maréchal-Le Pen demande qu’une crèche soit installée au Conseil Régional

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    Bonne initiative – avec ce je ne sais quoi de provocateur qui n’est pas pour me déplaire… – que celle de Marion Maréchal-Le Pen, députée du Vaucluse, qui demande l’installation d’une crèche de Noël au Conseil régional Provence Alpes Côte-d’Azur… Nous attendons la réponde avec gourmandise !

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    L'Observatoire de la christianophobie