Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 246

  • «Angela Merkel, le pilier d’un complot européen anti-Trump»

     

    MerkelObamaBaiserDeJuda

     

     

    Certaines forces aux États-Unis confèrent un rôle spécial à l’Allemagne et surtout à sa chancelière Angela Merkel dans la lutte contre le nouveau président américain Donald Trump, d’après l’ex-secrétaire d'État allemand à la défense Willy Wimmer.

     

     

     

    Extrait de: Source et auteur

    Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

    Les Observateurs ch

  • Un florilège d'inepties pour se divertir !

    1ère quinzaine de novembre 2016

  • Après le vote Trump, l’impératif retour au Réel

     

     

     

     

    Caroline Galacteros, dont nous avons relaté la remarquable analyse sur la Syrie, a récemment publié une tribune sur le site du Figaro, considérant l'élection de Trump comme une chance pour l'Europe. Elle nous gratifie maintenant d'une synthèse remarquable sur la nécessité pour la France et l'Europe de revenir à la réalité de l'identité, de la souveraineté et du monde multipolaire. Notons que ceci est publié sur le site du Point : un début de conversion dextrogyre ? Tout est à lire, mais nous vous proposons la conclusion.

     

    "Seuls les peuples ayant l'âme politique et des dirigeants courageux animés par une vision stratégique nationale survivront dans le nouveau monde. Il faut donc cultiver et nourrir en eux la fibre politique et patriotique. Un patriotisme, faut-il le rappeler, qui ne se confond évidemment pas avec le nationalisme. Il faut leur permettre de développer leur esprit critique, leur discernement, pour exercer à bon escient leurs droits et voter en conscience et en connaissance de cause. C'est cela, la démocratie. C'est cela d'abord, l'État de droit ! Le reste, c'est de l'enfumage démagogique d'électeurs désinformés sous prétexte « d'identité heureuse » et autres billevesées à mille lieues d'un réel trop inquiétant. Nos concitoyens peuvent tout comprendre. Ils le doivent pour vivre mieux ensemble, et surtout pour reprendre confiance dans leurs élites politiques discréditées, car « hors-sol ». L'économisme béat sui generis n'est pas une politique, ni pour l'Europe ni pour la France. Il faut redécouvrir la puissance de l'État. Un État retaillé, remusclé, affiné et ramassé sur ses fonctions régaliennes productrices de cohésion, d'efficacité et d'espérance pour notre nation, dans un monde brutal où la faiblesse politique, le renoncement culturel et la naïveté géopolitique sont des plaies mortelles.

    Les relations internationales ont besoin d'une refondation en profondeur sur un double socle réaliste et éthique, de retrouver un cadre de jugement et d'action en matière diplomatique qui soit légitime et accepté par tous. On en est très loin. L'interventionnisme moralisateur des années 1990 et 2000 a provoqué des désastres insondables et manqué son objectif affiché d'une démocratisation du monde. Dans la foulée de la fin de la guerre froide et d'interventions militaires intempestives, la décrédibilisation accélérée de l'ONU – et de ses principes structurants tels que l'intangibilité des frontières ou la non-ingérence dans les affaires intérieures des États – a permis des coups de force et des fiascos stratégiques aux conséquences humaines tragiques. Il faut sortir de cette impasse. La France a ici un rôle éminent à jouer. Si elle cesse de vendre son âme pour un plat de lentilles, de prendre parti dans des querelles confessionnelles ou politiques qui ne sont pas les siennes, et si elle s'emploie à consolider les États, en premier lieu le sien, au lieu de fomenter leur abaissement sans même mesurer « l'effet boomerang » sanglant de cette politique inconséquente sur son propre territoire."

     

    Extrait de: Source et auteur

    Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

    Les Observateurs ch

  • La créatrice française "pro-diversité" de Michelle Obama ne veut pas habiller Melania Trump

     

    Sophie Théallet, qui a créé de nombreux modèles pour l’actuelle First Lady, refuse de concevoir des tenues pour l’épouse de Donald Trump.

     

    Melania Trump a peut-être plagié le discours de Michelle Obama, mais elle ne pourra jamais plagier son style. Sophie Théallet, la créatrice française installée à New York qui a créé plusieurs modèles pour l’actuelle First Lady a annoncé qu’elle refuserait d’habiller la future première dame des États-Unis. Une façon pour elle de marquer sa désapprobation avec le discours de son mari. Elle a également encouragé d’autres créateurs à faire de même.

    Se présentant comme partisane de la « diversité, de la liberté individuelle et du respect de tous les modes de vie », elle assure qu’elle ne contribuera pas à habiller la future première dame, à laquelle elle ne souhaite être associée « d’aucune façon  », selon une lettre ouverte publiée jeudi 17 novembre. «  La rhétorique raciste, sexiste et xénophobe utilisée par la campagne présidentielle de son mari est incompatible avec les valeurs qui nous gouvernent  », explique-t-elle.

    Lire la suite de l’article sur lepoint.fr

  • GR - La mairie de Roubaix a payé 60000 euros de frais d’hôtel pour une famille de clandestins

    1611192147060105.jpg

     

    17h16

    Expulsés de leur logement à cause de son insalubrité, Zaza, Kamel et leurs trois enfants viennent de passer deux ans et demi dans un hôtel payé par la municipalité. Après ces années de calvaire (sic) liées à un problème de papier, la petite famille voit enfin le bout du tunnel.

     

    (…) Depuis 2010 leur titre de séjour est périmé. Sans papiers, les démarches pour les reloger deviennent un casse-tête. « Pour prétendre à un logement social, il faut nécessairement un papier réglementaire qu’ils n’avaient pas. C’est toute la complexité de pouvoir reloger les personnes sans papier », explique Milouda Ala, adjointe (LR) au logement à Roubaix.

    Se lance alors une longue procédure pour obtenir le Graal. Entre-temps, naît Youra, leur petite dernière de deux ans. Elle apprend à marcher sur la moquette de cette chambre d’hôtel pendant que Mohamed et Zinb, les deux plus grands, eux continuent d’aller à l’école, devenue une échappatoire, explique leur maman.

    Aujourd’hui, après deux ans et demi de bataille, le calvaire prend fin. Le couple vient de signer le bail d’un logement social. Le déménagement est prévu dans deux semaines. Une libération pour cette mère de famille. « Sortir de cet hôtel, c’est l’essentiel », souffle-t-elle, ses trois enfants autour d’elle.

    Impatient, le couple doit attendre la fin des travaux de réaménagement de leur futur appartement, avant de pouvoir y poser leurs valises, définitivement.


    60 000 euros, le coût de deux ans à l’hôtel

    Au total, ces deux années à l’hôtel auront coûté près de 60 000 euros. Une somme considérable liée à une absence de solution alternative, explique Milouda Ala, adjointe (LR) au logement à Roubaix. « Quand on reloge des personnes, on les prend en charge. La mairie dispose de cinq appartements dans le quartier de l’Alma pour de l’hébergement d’urgence mais, ils sont déjà occupés. Trouver une place pour une famille dans un centre d’accueil et d’orientation est devenu aussi très compliqué… »

    Si en temps normal, les frais de relogement sont à la charge du propriétaire, son insolvabilité a forcé la mairie à les supporter pendant deux ans et demi. L’immeuble, lui, a été vendu aux enchères pour rembourser les traites du crédit que le marchand de sommeil ne payait plus.

    Grâce au fonds d’aide au relogement d’urgence, la municipalité est d’ores et déjà assurée de récupérer 14 000 euros. Pour le reste, des négociations sont entamées avec l’État pour obtenir un remboursement des frais. « Ça nous est dû », assure l’élue.

    (…) La Voix du Nord

  • Lille: défilé contre un bar identitaire

    6349254_bar-la-citadelle_1000x625.jpg

     

     

    Au moins 1200 personnes selon les syndicats et 600 selon la préfecture ont manifesté à Lille samedi après-midi pour réclamer la fermeture du bar privé du groupuscule d'extrême droite "Génération identitaire", "La Citadelle".

    "Contre le racisme et la haine, fermeture du bar La Citadelle", pouvait-on lire sur une grande banderole en tête du cortège composé de membres de la Ligue des droits de l'Homme (LDH), du Front de Gauche, de la CGT, de la FSU, du Mouvement des jeunes communistes, de la CNT (anarcho-syndicalistes) ou encore de l'Action antifasciste.

    "Nous réclamons la fermeture de ce bar tenu par un mouvement à la droite de l'extrême droite qui prône des idées contraires aux lois de la République", a lancé Gérard Minet, secrétaire de la section de la LDH de Lille.

    C'est "un bar qui prône l'exclusion d'une partie de la population et ce n'est pas normal que les politiques laissent faire ! Prôner la haine comme ils le font, c'est hors la loi", a renchéri un autre manifestant, membre de la CGT, Frédéric Herrewyn.

    "Français ! Immigrés ! Mêmes patrons, mêmes combats !", "C'est pas les immigrés ! C'est pas les sans-papiers ! C'est les fachos, qu'il faut virer !" ont scandé les manifestants.

    "Nous manifestons contre ce bar ségrégationniste et contre les idées réactionnaires, sexistes, racistes et homophobes", a déclaré un membre du Mouvement des jeunes communistes du Nord, qui souhaite garder l'anonymat.

    De nombreux manifestants ont également dénoncé l'agression physique et verbale dont affirment avoir été victimes des membres de l'UNL, de l'UNEF et des militants de la jeunesse communiste le 12 novembre dans un bar à Lille. "Ils ont été agressés par un groupe de personnes se revendiquant d'extrême droite et affirmant soutenir +La Citadelle+", selon un communiqué cosigné par les trois organisations.

    "La Citadelle" est un bar privé qui a ouvert en septembre dans le centre de Lille, accessible uniquement aux adhérents de Génération identitaire et qui n'a pas pignon sur rue, se trouvant dans une cour. 

    LE FIGARO

     

     

     

     

     

     

     

     

  • La Lettre du Front National - 18/11/16

    Edito

    Face aux marionnettes, Marine !

    Espérant faire oublier son passage au ministère de l'Économie, et sa politique aux résultats désastreux, Emmanuel Macron a donc enfin annoncé sa candidature à la présidentielle. Pur produit du système, celui-ci risque vite de déchanter tant les propositions obsolètes qu'il défend sont aux antipodes de ce qu'attendent les Français. Non, Macron ce n'est pas "l'anti-système" que tentent de nous vendre quelques médias et observateurs émerveillés, c'est le nanti-système !
    A l'image des prétendants s'agitant dans la primaire du centre-droit, Macron a un immense temps de retard. Les uns comme les autres n'ont toujours pas compris que les heures de gloire de la grande messe mondialiste sont révolues. Le grand mouvement du retour des nations et des peuples est en marche, sous les yeux paniqués des Macron de tous pays.
    En Grande-Bretagne, aux États-Unis, en Hongrie, mais aussi début décembre en Autriche, où Norbert Hofer, notre allié du FPÖ, a de fortes chances d'accéder à la présidence, la révolte contre les élites qui ont failli et trahi, a sonné. Le réveil patriotique balaie la vieille caste.
    Face aux représentants des partis qui ont échoué successivement au pouvoir, Marine Le Pen sera l’unique candidate représentant une alternative véritable, l’unique candidate pensant et agissant librement, l’unique candidate uniquement au service de la France et des Français, l'unique candidate parlant au nom du peuple.

    Nicolas Bay - Secrétaire Général du Front National

  • Florian Philippot sur RTL (18/11/16)

  • "Pizzagate" : les internautes ont-ils découvert un réseau pédocriminel d’élite impliquant le clan Clinton ?

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Pizzagate-les-internautes-ont-ils-decouvert-un-reseau-pedocriminel-d-elite-impliquant-le-clan-42647.html

  • Qui est vraiment Angela Merkel ?

     

    Selon un journal polonais, elle est "au service des néoconservateurs américains"

    Les origines de la chancelière. Le nom de naissance d’Angela Merkel est Angela Dorothea Kasner. Elle est le premier enfant de Horst Kasner [1], né Kazmierczak en 1926 à Berlin-Pankow et décédé en 2011 à Templin, et de Herlind Kasner, juive polonaise née Jentzsch en 1928 à Elbing, au nord de la Pologne dans la voïvodie de Varmie-Mazurie, à l’époque en Prusse-Occidentale. Angela Merkel est officiellement née à Hambourg en 1954.

     

    Elle s’est vue fort embarrassée lorsqu’en mars 2013, parut un article de la Gazeta Wyborcza, journal important en Pologne, relayé par n-tv [2], sur son arbre généalogique et sa filiation polonaise, dont se sont enorgueillis les Polonais et plus particulièrement les partisans de la Plate-forme civique (PO, parti européiste, dont l’un des chefs de file est Donald Tusk, nommé à la présidence du Conseil européen en août 2014, avec qui Merkel est très liée). Révélations dont s’est emparée la presse polonaise jusqu’à considérer Aniela Kazmierczak comme leur compatriote ! Tandis que, du côté allemand [3], l’enthousiasme n’était pas au rendez-vous. Ces informations ont eu un grand retentissement outre-Rhin et ont posé la question de la légitimité de la chancelière à gouverner le pays. En outre, les commentateurs se sont offusqués que ces éléments biographiques aient été soigneusement dissimulés par les autorités, puisque la personnalité politique ayant le plus haut niveau de représentation devrait agir en toute transparence.

    La Gazeta Wyborcza nous apprend que son grand-père, Ludwig Kazmierczak, né en 1896 à Posen [4], combattit contre l’Empire wilhelminien pendant la Première Guerre mondiale. Ce qu’atteste une photo exhumée de l’album familial par le cousin polonais au deuxième degré de la chancelière, Zygmunt Rychlicki, comptable à la retraite âgé de 79 ans résidant dans le quartier des Cosmonautes à Poznan, également cousin de son père et neveu de son grand-père. Puis, dans les années 1920, les Kazmierczak quittèrent Posen (Poznan) car désapprouvant l’annexion de cette province par la Pologne, et rejoignirent la communauté polonaise de Berlin. Le grand-père fut policier à Berlin-Pankow et y mourut en 1959.

    Stefan Cornelius, directeur du service étranger du quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung (tendance libérale de gauche) [5], rapporte par ailleurs dans une biographie bienveillante intitulée Angela Merkel. Die Kanzlerin und ihre Welt (« La chancelière et son monde »), que, quatre ans après la naissance de leur fils Horst, en 1930, les Kazmierczak germanisèrent leur nom en « Kasner ». Ce changement de nom n’a pas reçu d’explication jusqu’à présent, car, même après la promulgation des lois raciales de Nuremberg en 1935, il conserva sa nationalité polonaise [6]. Autre détail troublant : au début des années 1930, le catholique Ludwig Kasner se convertit, avec Horst, au protestantisme.

     

    Révélations de Polskaweb News

    Plus incisifs encore, les fins limiers de Polskaweb News [7] ont suivi les traces d’Angela Merkel à l’Est comme à l’Ouest. Ils révélèrent en 2012 qu’Angela Merkel était une personne parfaitement camouflée [8]. Ils soutiennent que sa mère, Herlind Jentzsch, est une Américaine d’origine germano-russe, ce qui expliquerait que sa fille ait maîtrisé dès l’âge préscolaire l’anglais et le russe. Selon eux, le père, la mère et les enfants porteraient des prénoms d’emprunt. Le vrai prénom de la chancelière serait Victoria. Celle-ci serait née, non à Hambourg, mais aux États-Unis, et tous trois seraient détenteurs d’un passeport américain. Puis, comme d’autres sources, Polskaweb News confirme sans surprise que la famille Kasner a quitté Hambourg pour s’établir en RDA en 1954 quatre mois après la naissance de leur fille – chose rarissime à une époque où le mur n’était pas encore complètement verrouillé : dans les cinq premiers mois de 1954, 180 000 Allemands s’échappaient de la dictature communiste ; entre 1949 et la construction du mur en 1961 ce chiffre atteignit 2,5 millions ! – et que le père devint pasteur dans le petit village de Quitzow, dépendant de la localité de Perleberg dans le Brandebourg, au service de l’Église luthérienne de Berlin-Brandebourg.

    En 1957, la famille déménagea à nouveau pour Templin. Là, Horst Kasner se chargea, à la demande du surintendant général de l’époque, Albrecht Schönherr, de la construction et de la direction d’un séminaire pour les services religieux pendant plusieurs années, le Collège pastoral de Templin, ce qui lui assurait déjà une position clé au sein de l’Église protestante de Berlin-Brandebourg : les théologiens devaient avoir recours à lui dans le cadre de leur formation continue ou pendant leur période d’enseignement comme vicaires pour leur deuxième examen de théologie.

    Il ne s’est jamais, en tant qu’homme d’église, opposé au gouvernement de la RDA qui le considérait comme faisant partie des « forces progressistes », il se conforma à la politique du SED (parti communiste de RDA). Curieux, vu la politique de déchristianisation et d’oppression des chrétiens de ce même SED ! Les Kasner bénéficiaient en outre de certains privilèges, comme la permission de voyager dans les pays occidentaux (Horst Kasner participait aux voyages à l’étranger dans le cadre du Front national) – inhabituel pour un citoyen de RDA – et la mise à disposition de deux voitures particulières : une voiture de service et un véhicule privé qu’ils s’étaient procurés grâce à la société Genex (américaine). Et pourtant, d’un autre côté, il était interdit à son épouse d’exercer dans l’enseignement d’État ; la Stasi n’aurait pas réussi à la faire travailler pour elle. Le professeur employa alors son temps à l’encadrement de ses propres enfants, ce qui épargna à Angela Kasner la crèche et la garderie. On n’interdisait pas à ses enfants de faire des études supérieures, ce qui n’était pas le cas pour d’autres familles pastorales. Le père était donc un apparatchik dans le système communiste, contrairement à la version officielle selon laquelle il aurait été envoyé à l’Est par l’évêque de Hambourg Hans Otto Wölber pour remédier au manque de pasteurs existant alors en RDA.

    Horst Kasner fut, en 1958, cofondateur avec Albrecht Schönherr et Hanfried Müller du Cercle de travail de Weißensee [9] (« Weißenseer Arbeitskreis » / WAK). Et, là, on commence à entrer dans les méandres des réseaux souterrains du pouvoir. Cercle qui se présentait officiellement comme la « fraternité ecclésiastique libre » de Berlin [10].

    Lire la suite de l’enquête sur lesobservateurs.ch

    Notes

    [1] http://de.metapedia.org/wiki/Kasner... https://fr.wikipedia.org/wiki/Horst...

    [2] http://www.n-tv.de/panorama/Merkels...

    [3] http://www.faz.net/aktuell/politik/...

    [4] La Province de Posen, ou Grand-Duché de Posen, fut une possession prussienne de 1815 jusqu’en 1920. Elle devint polonaise suite aux dispositions du traité de Versailles. Poznan, en polonais, est la ville éponyme de la province, cinquième plus grande ville de Pologne actuellement.

    [5] http://www.sueddeutsche.de/politik/...

    [6] L’Empire allemand, tout comme l’Empire austro-hongrois (tous deux étant issus du Saint-Empire de nation germanique), était multinational et multi-ethnique. D’où la distinction entre nationalité et citoyenneté, notions étrangères à un État unitaire et centralisé tel que la France.

    [7] http://polskaweb.eu/auch-angela-mer...

    [8] https://volksbetrugpunktnet.wordpre...

    [9] Petite localité au nord-est de Berlin-Pankow. Une de ses caractéristiques : devant l’afflux de Juifs est-orientaux à Berlin, les cimetières juifs de la ville ne suffisaient plus. Aussi la communauté juive de Berlin acquit, à l’est de Weissensee, en 1875, un terrain de 42 ha, qui, en 1880, devint le plus grand cimetière juif d’Europe. Les places y sont aujourd’hui réservées. Ce fut par ailleurs un centre de l’industrie cinématographique et de fréquentation des artistes pendant la république de Weimar. Quelques personnalités s’y sont illustrées, parmi lesquelles Bertolt Brecht, Jürgen Kuczynski et Egon Bahr.

    [10] http://www.weissenseerblaetter.de/u...

  • Obama, Merkel et Hollande veulent maintenir les sanctions contre la Russie

    582efb20c36188ca1e8b461b.jpg Obama.jpg

     

     
    Barack Obama, Angela Merkel, Francois Hollande et Matteo Renzi en réunion à Berlin, le 18 novembre 2016, © Kay Nietfeld / Reuters

    Lors d'une rencontre à Berlin avec le président américain, les dirigeants des trois premières économies de la zone euro, ainsi que l'italien Matteo Renzi se sont entendus pour maintenir les sanctions économiques contre la Russie.

    Angela Merkel, François Hollande, Theresa May et le président américain ont appelé au maintien des sanctions contre la Russie et à la coopération au sein de l'OTAN. Barack Obama est encore aux commandes jusqu'au 20 janvier 2017, date de la passation de pouvoir à la Maison-Blanche. Aussi, la politique des sanctions à l'encontre de la Russie pour son rôle supposé dans le conflit ukrainien va-t-elle se poursuivre ?

    Selon la présidence américaine, «les dirigeants sont unanimement d'accord sur le fait que [...] les sanctions contre la Russie liées à l'Ukraine doivent rester en vigueur».

    La dernière tournée européenne du président américain en Europe est ainsi l'occasion de donner d'ultimes indications quant aux relations entre l'Union européenne et les Etats-Unis. Parmi les autres sujets abordés, les dirigeants européens ont discuté de l'avenir de l'organisation militaire et politique de l'Alliance atlantique, ainsi que de la lutte contre Daesh en Syrie et en Irak.

     

    Le devenir de la politique étrangère comporte désormais de nombreuses inconnue alors que l'élection de Donald Trump pourrait bien changer la donne. Le président élu se présente comme moins interventionniste que Barack Obama et semble souhaiter une normalisation des relations avec la Russie, ainsi qu'une collaboration avec le gouvernement syrien de Bachar el-Assad afin de lutter contre le terrorisme au Moyen-Orient.

    Lire aussi : Poussée des investissements allemands en Russie malgré les sanctions

    Fin juillet 2016, l'Union européenne avait décidé de prolonger les sanctions contre la Russie, malgré l'avis de plusieurs experts, estimant que ces mesures étaient dommageables pour les économies européennes, à défaut de l'être pour la Russie. Lors d'un sommet européen les 20 et 21 octobre 2016, les dirigeants européens n'avaient pas réussi à s'entendre sur de nouvelles sanctions.

    (merci à Dirk)

  • Médecins du monde : « Seuls 13 % des migrants ont fui un conflit armé »

    Médecins-du-Monde-Migrants-600x505.jpg

     

    18/11/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie: L’ONG Médecins du monde vient de publier son rapport sur l’accès aux soins des populations vulnérables sur le plan sanitaire. Douze pays d’Europe ont été ciblés par l’ONG, et quelque 10 000 personnes interrogées, des migrants pour plus de 94 %. Pour illustrer son rapport en ligne, l’ONG exhibe… une fillette, au regard accusateur ! (photo) Un procédé particulièrement déshonnête quand on sait que les « migrants » sont des hommes, à plus de 95 %. L’arrière‑plan de la photo est d’ailleurs en totalité masculin. Que fait donc une fillette dans cet environnement ? On peut supposer un minable montage Photoshop de la part du service de com’ de Médecins du monde…

    Quels chiffres retenir du rapport ? 53,1 % des migrants interrogés ont indiqué avoir émigré pour des raisons économiques, 20,5 % pour des raisons politiques et 13,7 % pour fuir la guerre. Alors que la presse nous vend des « réfugiés » fuyant des zones de combat, le rapport nous apprend ainsi qu’à peine 14 % des migrants ont fui leur pays à cause d’un conflit armé. Mieux : moins de 10 % viennent du Proche‑Orient ! L’ONG avoue même benoîtement que dans certains pays, comme l’Espagne ou la Suède, le taux de migrants pour cause de guerre est… nul ! Il est donc pour le moins inexact de qualifier ces personnes de « réfugiées ».

    Une nouvelle fois, l’analyse du Front national dénote. Dans un communiqué, Nicolas Bay, secrétaire général du Front national et député français au Parlement européen, estime « que ce rapport jette un discrédit cinglant au mythe de migrants majoritairement réfugiés ». Ajoutant : « Il est totalement irresponsable de poursuivre une politique d’immigration de masse dont les conséquences sont terribles pour notre peuple, qui n’a ni les moyens de prendre en charge le coût que cela représente, ni la volonté de voir son identité et son mode de vie remis en cause par ces arrivées massives d’immigrés clandestins. »

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • George Soros concentre toute sa puissance de feu contre Donald Trump

    George-Soros-600x338.jpg

     

    18/11/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le Républicain Rich Swier a publié sur son blog une liste de 187 organisations ouvertement anti‑Trump. Ces 187 ONG présentent toutes la particularité d’être directement financées par le financier américano‑hongrois George Soros, par l’intermédiaire de son Open Society Institute.

    Ces 187 entités sont une déclinaison de tout le spectre de la gauche à l’extrême gauche. On compte ainsi de nombreuses organisations à base ethniciste black ou latinos, comme Voto Latino, ou encore Black Alliance for Just Immigration. Prison Moratorium Project milite pour la suppression des prisons et la libération inconditionnelle de tous les prisonniers. On y trouve aussi de nombreuses organisations LGBT et féministes, naturellement, comme la National Organization for Women, qui prône « l’avortement libre et gratuit » et fustige « les valeurs du christianisme ». La Faithful America milite quant à elle pour une redistribution rigoureusement égalitaire des richesses, à la mode Pol Pot.

  • Clash au Parlement des Pays-Bas : « Retournez en Turquie ! »

    Clash-Pays-Bas-Turquie-600x317.jpg

     

    18/11/2016 – PAYS-BAS (NOVOpress) : « Si vous aimez tant votre pays, retournez y vivre, retournez en Turquie ! » : tels sont les aimables propos que Louis Bontes a lancé à Selçuk Öztürk dans l’enceinte du Parlement néerlandais, où ils siègent tous deux comme députés, ce qui est bien leur seul point commun !

    Selçuk Öztürk, un musulman né en Turquie en 1972, est un ancien du PvdA, le Parti travailliste, qu’il a quitté pour fonder sa propre formation avec un autre élu également né en Turquie et tout aussi musulman, Tunahan Kuzu.

    Louis Bontes est député lui aussi mais il n’est ni turc ni musulman. Elu sous l’étiquette du Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, dont il s’est éloigné depuis tout en continuant à défendre les mêmes convictions, il est même farouchement hostile à l’islamisation de son pays.

    Alors quand Selçuk Öztürk a commencé à prôner la suppression de l’armée des Pays-Bas, le sang de Louis Bontes n’a fait qu’un tour. Et il est allé lui parler du pays…

  • Thierry Ardisson se lâche sur le Qatar

    thierry-ardisson-600x374.jpg

     

    18/11/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Mardi dernier, dans l’émission La Nouvelle Edition de la chaîne C8, à une question sur l’élection de Trump, l’animateur a déclaré :« La fille [sic] qui était en face de Donald Trump a reçu un million de dollars du Qatar pour sa fondation. Le Qatar étant notre pire ennemi, c’est comme si un homme politique français avait reçu de l’argent d’Hitler en 1938 ».

    Consternation sur le plateau. Ardisson continue : « C’est comme Sarkozy : tous ces gens qui touchent de l’argent du Qatar, il faudra bien un jour qu’ils répondent devant un tribunal. Si vous êtes financé par des gens qui veulent nous détruire, y a un moment où c’est de la haute trahison ».

    Manifestement, Ardisson commence à avoir sa carrière derrière lui…

  • Trump, révolution ou simulacre ? 2) Un programme de choc. Par Guillaume Faye

     

    18 novembre 2016 par Guillaume Faye

    Voici le second article du triptyque sur l’élection surprise de Donald Trump Son accès à la présidence des États–Unis peut donner lieu à un séisme américain et mondial, comme ne s’avérer qu’une baudruche vite dégonflée, décevant profondément le peuple qui l’avait élu en ultime sauveur. Analyse en trois parties, dont la première (article précédent) s’intitulait La rébellion du peuple. Voici la deuxième partie, Un programme de choc. La troisième s’intitulera Risque d’échec ou d’explosion.   

    Le premier projet révolutionnaire porté au pouvoir dans l’histoire américaine

    Dans ses trois premiers mois à la Maison Blanche, Donald Trump a promis de prendre des mesures proprement révolutionnaires dans tous les domaines : gel des embauches de fonctionnaires civils, augmentation des budgets de l’armée et de la police, remise en cause des accords de libre–échange nord-américain, asiatique et européen (politique néo–protectionniste), abrogation des réglementations fédérales notamment sur l’environnement, liberté totale d’exploitation des énergies fossiles, annulation de tous les décrets présidentiels pris par Barack Obama, début des expulsions de millions de clandestins, surtout mexicains, construction d’un mur frontalier financé par Mexico, suspension ou durcissement des visas pour tout pays à forte présence musulmane (attention pour les Français musulmans…), préférence nationale américaine pour le travail, abrogation de l’assurance-maladie d’Obama (Obamacare), baisses d’impôts massives pour les particuliers et les entreprises, réforme de l’éducation fondée sur le libre choix scolaire et la décentralisation, tarifs douaniers pour les entreprises américaines qui délocalisent leur production, plan de 1.000 milliards de dollars sur dix ans pour rénover les infrastructures, aides fédérales à l’éducation des enfants pauvres et aux personnes âgées., etc.

    Sans parler d’une réorientation complète de la politique étrangère américaine, avec cet incroyable désengagement de l’Otan, le rapprochement avec la Russie, une politique durcie envers la Chine. Jamais un président américain n’avait réussi à être élu sur un programme aussi radical, pour tout dire révolutionnaire.

    Une révolution conservatrice américaine

    Trump veut entamer un bouleversement politique, proposant une révolution conservatrice, et d’abord une rupture isolationniste, qui ressemble au Brexit. On retrouve une similarité – mais dans un autre registre idéologique – avec l’alliance Thatcher-Reagan. Le Brexit et l’élection de Trump sont liés ; et c’est très paradoxal : les Anglo-Saxons, initiateurs de la mondialisation, se révoltent contre leur propre créature devenue folle !

    La seule dirigeante européenne avec qui Trump s’entend est Theresa May. Il était pour le Brexit. Elle appréciait, ou du moins ne crachait pas sur son programme. Ils veulent relancer la ”relation spéciale” anglo-saxonne (USA–UK) politique et économique. Avec Merkel et Hollande, évidemment, le courant ne passe pas et les relations sont glaciales. Trump est considéré comme un avatar de Satan. La chancelière, juste après son élection, lui a adressé un message ridicule et arrogant de maîtresse d’école moralisatrice, (« rappel des valeurs de base » liant les États–Unis à l’Allemagne et à l’Europe) insistant sur le refus du racisme, de l’islamophobie, la nécessité de la ”démocratie” (enfin la pseudo–démocratie anti populiste, c’est-à-dire l’oligocratie), de la ”liberté” et de l’ouverture des frontières. Bref, la doxa précisément rejetée par son électorat populaire. Ce message menaçant de Merkel préfigure les pressions énormes – de l’establishment américain et des gouvernements européens bien–pensants – que va subir Trump dès son entrée en fonction pour renoncer à son programme. Aura-t-il la force de résister ?

    Tout le monde avait – évidemment – prévu un krach boursier généralisé si Trump était élu. C’est l’inverse qui se produit : les promesses de relance de l’économie par les investissements (infrastructures, etc) et de baisse des impôts des particuliers et des entreprises stimulent l’optimisme des investisseurs. Les indices boursiers sont en hausse depuis l’élection de Trump. Mais, vu la volatilité de ce marché, cela pourrait ne pas durer. En tout cas, la catastrophe annoncée n’a pas eu lieu.

    L’élite américaine, même républicaine et de droite, est déroutée. Le Great Old Party ne sait comment gérer les idées dissidentes de ce Trump qui ne vient pas de ses rangs, notamment le rejet du libre–échange et la contestation de l’Otan. Ce bouleversement idéologique n’a pas été avalé. Quand Trump sera à la Maison Blanche, il sera prié d’amender son programme, jugé inadmissible. Cette difficulté qu’aura Trump d’imposer sa feuille de route, même à l’appareil républicain, sera évoquée dans la troisième partie de ce texte.

    Politique étrangère : rupture avec la tradition américaine

    Les gouvernements européens et la Commission de Bruxelles ont été sidérés par l’élection de Trump comme des enfants surpris par un ouragan. En plein désarroi, ils sont choqués par la politique étrangère annoncée de Trump, nationaliste, isolationniste, et qui romprait avec tout le système conçu en 1945, qui était fondé sur un ” impérialisme soft ”, où l’Europe était confortablement protégée, dirigée et déresponsabilisée.

    Déjà Obama avait amorcé un retrait américain de la scène du monde, notamment au Proche–Orient, un recul du ”gendarme de la planète”. Mais le programme de Trump va beaucoup plus loin. Il semble vouloir abandonner toute une tradition diplomatique et… l’atlantisme lui-même ! En effet, la volonté d’une entente avec la Russie de Poutine (la bête noire des dirigeants européens) notamment pour coopérer militairement à écraser Dae’ch et aider Assad, la menace de ne pas respecter l’article 5 de l’Otan (défense mutuelle en cas d’agression), l’injonction aux Européens d’assumer budgétairement leur défense sans compter sur les financements, le parapluie ou le bouclier américains, tout cela panique le marigot des gouvernements européens. Les vassaux ont peur que leur suzerain les abandonne.

    Les gouvernements polonais et baltes – qui fantasment sur une agression russe parfaitement impossible – se sentent lâchés par leur ”protecteur” américain supposé. Ils vivent l’élection de Trump comme une catastrophe : l’Amérique et l’Otan ne seront plus là pour les protéger contre ce qu’ils appellent l’impérialisme russe.

    Cela dit, un ”lâchage” américain, un affaiblissement de l’Otan, le départ de la Grande Bretagne seraient théoriquement très positifs pour la construction d’une défense continentale européenne. Ajoutons à cela la position anti–chinoise de Trump, – cohérente avec son isolationnisme et son protectionnisme – visant à bloquer les exportations et les offensives monétaires de Pékin, la volonté de dénoncer le traité de libre-échange avec le continent nord–américain (Alena), celui avec l’Asie et celui en négociation avec l’Europe ; mentionnons aussi le projet d’augmenter le budget militaire américain, probablement en prévision d’une confrontation avec la Chine dans la zone pacifique à moyen terme et de la nécessité de dissuader le monde islamique. C’est un principe de précaution militaire que la Russie applique aussi.

    Le national–isolationnisme

    Le slogan « America first » de Trump est le même que le nom du mouvement isolationniste opposé à Roosevelt de l’aviateur Charles Lindberg, adversaire d’une participation américaine à la Seconde guerre mondiale qui débutait. Trump veut en finir avec les interventions militaires coûteuses et improductives (sauf contre Dae’ch, à côté des Russes, intéressant…). Il veut à juste titre enterrer la politique des néo-conservateurs de l’ère Bush du « regime change », c’est-à-dire l’imposition forcée d’un régime ”démocratique”. Mais Obama avait déjà commencé avec le « leading from behind » (diriger en restant en retrait, pilotage en coulisses). Seulement Obama, nullement isolationniste, était immigrationniste, partisan d’une Amérique de moins en moins conforme à ses origines européennes, et n’ayant jamais osé qualifier d’ ”islamique” le terroris

    Trump, l’isolationniste, prend à contre–front les souverainistes et identitaires français et européens généralement anti-américains, et par là–même les séduit. Il rejette le Tafta, l’accord de libre échange USA–UE en négociation, en disant que c’est nuisible pour l’Amérique. Or, l’argument des souverainistes européens était de dire qu’il s’agissait d’une ruse de l’impérialisme commercial américain contre les intérêts européens ! Trump a brouillé toutes les cartes, comme lorsqu’il a fait l’éloge de Poutine et d’une future alliance russe. Là encore, les souverainistes et populistes européens, qui pensaient l’Amérique comme ennemie absolue d’eux–mêmes et de la Russie, voient surgir un Donald Trump qui a plus ou moins leurs idées ! Et qui est nationaliste américain…La solution à ce problème est que Trump a intuitivement compris – mais imparfaitement formulé–  l’idée que, sur le fond, l’Europe, l’Amérique du Nord –sauf le Mexique– et la Russie forment une même civilisation menacée par les mêmes ennemis.

    Les deux alliances fondamentales des USA au Moyen-Orient, avec Israël et l’Arabie saoudite demeureront. L’alliance israélienne sera même consolidée, à l’inverse de la politique d’Obama, très distant envers l’État hébreu et hostile à Netanyahu, le Premier ministre.

    Le cas du Mexique, pays hostile aux États-Unis

    Le Mexique est blessé, humilié et saisi d’angoisse par l’élection d’un Trump qui a traité de « criminels, drogués, violeurs » ses ressortissants clandestins. Le mur frontalier de protection, à payer par le Mexique, est inacceptable pour le président Enrique Pena Nieto. Trump veut contester l’accord de libre–échange nord-américain (Alena) de 1994. Petit problème : à la frontière, les échanges se montent à 1,5 milliards de dollars… par jour ! Le Mexique, est le second plus grand client et importateur de marchandises américaines. Le défi sera donc – ce qui est possible quand on en a la volonté – de laisser circuler les marchandises, pas les migrants. Et de faire repasser la frontière à des millions de clandestins. Ce que les pays européens devraient faire à leurs frontières routières, ferroviaires, maritimes et aériennes, s’ils n’étaient pas paralysés par leur idéologie cosmopolite d’envahis consentants.

    Le Mexique n’est pas un pays ami des USA. C’est un pays objectivement ennemi, depuis longtemps, même si les échanges commerciaux sont très importants. De même que tous les pays du Maghreb et du Moyen Orient sont des ennemis objectifs de l’Europe. Pourquoi ? Parce qu’ils visent tous l’invasion par leurs ressortissants – invasion par le bas, par l’immigration colonisatrice de peuplement – de nos terres ancestrales. La situation est beaucoup plus grave pour l’Europe que pour les États–Unis, puisqu’il s’agit d’une invasion migratoire islamisée – l’islam étant en conflit constant avec la civilisation européenne, qu’il veut détruire, depuis le VIIIe siècle – et que les masses migrantes sont ici beaucoup plus nombreuses qu’aux USA.

    L’élection de Trump, dans un pays nettement moins menacé que l’Europe,  devrait être la cause d’un sursaut pour tous les mouvements populistes et anti–oligarchiques d’Europe. Il faut espérer, néanmoins, qu’une fois installé à la Maison Blanche, le nouveau président ne soit pas neutralisé. Ce sera l’objet du troisième et dernier article de ce triptyque : Risque d’échec ou d’explosion

  • JOURNAL TVLibetés DU 18/11/16

  • Gollnisch, ancien dauphin de Jean-Marie Le Pen, revient aux affaires au FN

    Par Marc de Boni
    Publié le 17/11/2016 à 19h28

    LE SCAN POLITIQUE - La nomination de l'ex-bras droit du «Menhir» au sein du comité stratégique apparaît comme un gage au canal historique du FN.

    C'est un nom que l'on n'attendait pas forcément au sein du comité stratégique de Marine Le Pen, annoncé mercredi 16 novembre, et qui montre que le FN n'a pas totalement mué. Bruno Gollnisch, ancien dauphin de Jean-Marie Le Pen et adversaire malheureux de sa fille pour prendre la présidence du parti en 2011, fait partie de la garde rapprochée de 34 cadres qui suivront en détail chaque étape de la campagne présidentielle. Un geste fort à rebours de la dynamique «de délepénisation» en vigueur, et adressé au canal historique au sein de la base frontiste, dont une partie persiste à regretter l'interminable brouille familiale à la tête du parti.

    S'il est resté membre du bureau politique du parti, Bruno Gollnisch, autrefois incontournable, n'est plus membre des principales instances dirigeantes du FN. Progressivement mis en minorité par l'équipe en place, il avait été jusqu'à remettre sa démission après une crise interne déclenchée après que l'eurodéputé ait accompagné Jean-Marie Le Pen le 1er mai dernier pour célébrer la mémoire de Jeanne D'Arc. Marine Le Pen, qui avait opté pour un banquet, avait proscrit aux cadres du parti de rejoindre son père. «C'était une tempête dans un verre d'eau, tout cela est allé vers l'apaisement maintenant», se félicite auprès du Scan celui qui reste un ami proche du «Menhir».

    Quel sera son rôle dans ce comité stratégique? Bruno Gollnisch lui-même l'ignore encore. «J'ai quelques compétences en matière de relations internationales, je connais bien les institutions avec 30 ans de vie parlementaire derrière moi», se hasarde-t-il. «J'ai toujours participé aux affaires du parti, certes pas autant que je ne l'aurais voulu et je conserve une audience certaine au sein du mouvement», fait valoir ce tenant d'une ligne radicalement de «droite nationale». «Je suis un partisan de l'union des droites, et je l'avais théorisée dans la campagne de 2011. Le manque de soutien de la part d'autres formations politiques reste l'un des principaux écueils de la dynamique actuelle», déplore l'ami de Jean-Marie Le Pen. Malgré les conflits en cours, ce dernier n'a d'ailleurs «pas pris ombrage» de voir son ancien bras droit intégrer l'état-major de sa fille, assure l'intéressé.

    Une aile droite du FN malmenée dernièrement

    Dès lors, le «geste» de Marine Le Pen envers Bruno Gollnisch apparaît comme une volonté d'apaisement en direction de l'aile droite du parti alors que les partisans frontistes de «l'union des droites» semblent clairement lésés cers derniers temps. Ainsi le Rassemblement Bleu Marine (RBM) de Gilbert Collard s'est-il récemment trouvé privé de sa principale composante, le SIEL de Karim Ouchikh, proche de Robert Ménard, et qui porte désormais ses attentions en direction de la fameuse «droite hors les murs» d'un Jean-Frédéric Poisson ou de Philippe De Villiers. Autre indice, l'absence remarquée de Marion Maréchal-Le Pen, autre figure de l'aile conservatrice et identitaire du parti, lors de la présentation du comité stratégique du logo et du siège de campagne, qui vient marquer une séquence de relatives tensions, sur fond de rivalité avec la présidente du parti.

    Par ailleurs, l'affichage d'un proche compagnon de route de Jean-Marie Le Pen à la tête du dispositif de campagne de sa fille pourrait amoindrir le potentiel de nuisibilité des comités Jeanne, qui entendent présenter des candidats concurrents du FN à l'occasion des prochaines législatives. «Je crois en effet conserver une certaine audience parmi les partisans de la réconciliation de Jean-Marie Le Pen avec sa fille. Je voudrais aujourd'hui incarner cette passerelle», élude-t-il. Du côté du FN, on ne veut officiellement pas entendre parler de réconciliation. «Le conseil stratégique rassemble les différentes sensibilités et les différentes compétences, ça n'a rien à voir avec les comités Jeanne», balaye de son côté Jean-Lin Lacapelle, l'important secrétaire national du FN aux fédérations et à l'implantation, en charge de rénover les effectifs du parti.

  • Toulouse : l’ubuesque audience du directeur de l’école musulmane

    1611180643260096.jpg imam.jpg

     

    2h16

    [...] Directeur de l’école privée musulmane hors contrat Al-Badr, Abdelfattah Rahhaoui devait répondre ce jeudi, devant le tribunal correctionnel de Toulouse, de trois accusations: violences volontaires sur mineurs, ouverture d’un collège clandestin et poursuite d’une activité scolaire malgré une mise en demeure de l’Éducation nationale.

    Opposition aux contrôles académiques menés à l’école Al-Badr, refus de serrer la main à l’inspectrice, enseignements «très déficitaires» en dehors de l’arabe et de l’étude du Coran, existence d’un collège non déclaré, intimidations et violences sur deux anciens élèves – dont l’un raconte l’invitation à se cacher lors des inspections… la liste des griefs est longue contre cette personnalité controversée, imam et conférencier au discours rigoriste. Également accusé d’avoir ouvert un collège illégalement, le directeur préfère parler d’activités périscolaires.

    «Chez les musulmans, beaucoup de parents ne sont malheureusement pas instruits», regrette l’homme, qui incarne la volonté de la communauté musulmane de s’emparer de l’instruction de ses enfants, à travers la création d’établissements privés confessionnels sous contrat. [...]

    Le Figaro

    Merci à Lilib