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Ce dernier a dirigé durant 19 ans la communication de Jacques Bompard, le maire d'Orange, fondateur de la Ligue du Sud et ancien du FN. André-Yves Beck, était en quelque sorte son «homme de l'ombre», sa «matière grise». Il devient désormais le principal collaborateur du nouveau maire de Béziers, qu'il va seconder dans ses prises de décision.
Ces deux recrutements, Robert Ménard les assume complètement. «Je me suis entouré de ces personnes parce qu’elles sont extrêmement compétentes. Je sais qu’elles m’aideront à tenir mes engagements» explique-t-il à Midi Libre, tout en soulignant que les deux autres membres de son cabinet ont des sensibilités politiques bien différentes.
Le nouveau maire de Béziers a certes gagné la ville, mais pas l'agglomération. C'est Frédéric Lacas, maire DVD de Sérignan qui l'a emporté jeudi dès le premier tour de scrutin à la majorité absolue 33 voix à 28. Le vote ouvert au public était suivi par près de 500 personnes. Des applaudissements et des hourras ont accompagné la proclamation des résultats précise France 3 Languedoc-Roussillon. «Vous avez trahi Béziers, vous avez voté contre votre ville», s'est emporté de son côté Robert Ménard,cité par Le Figaro.fr.
Un jeune de 28 ans a été grièvement blessé dans la nuit de vendredi à samedi par une décharge de chevrotine lors d'un braquage à La Ciotat (Bouches-du-Rhône), comme le raconte le journal la Provence. <btn_noimpr>
Il a été hospitalisé dans un état très critique à l'hôpital de la Timone, à Marseille.
Le blessé et un complice s'étaient introduits dans la villa d'une famille,armés et encagoulés, lorsqu'ils ont été surpris par le propriétaire des lieux. Ils ont été découverts alors qu'ils allaient pénétrer à l'intérieur du logement.
Selon les premiers éléments de l'enquête, des coups de feu ont d'abord été tirés par les malfaiteurs puis le propriétaire a riposté en tirant avec son fusil de chasse. L'autre cambrioleur a réussi à prendre la fuite.
Une enquête est en cours et devrait déterminer avec plus de précision ce qui s'est réellement passé. Les forces de l'ordre ont été mobilisées car la famille et les proches du braqueur se sont rassemblés à l'hôpital de la Timone où des débordements sont à craindre.
La victoire de Marc-Etienne Lansade, 40 ans, à Cogolin, ville de 11 000 habitants, fait beaucoup de bruit. Ici, pas de triangulaire. Le candidat FN, Parisien d'origine, a largement devancé son concurrent divers droite Jacques Sénequier avec 53,1 % au second tour. Cogolin avait déjà voté à plus de 50 % pour le FN lors des dernières législatives. Lansade était encore inconnu il y a quelques mois. Comme à Fréjus, la nuit a été longue. Un groupe de jeunes hostiles au FN a déclenché des échauffourées devant la mairie et la permanence du FN à l'annonce des résultats. La gendarmerie a été appelée. « Je vais définitivement m'installer ici, acheter une maison et me consacrer entièrement à ma fonction », a promis le nouvel élu, responsable d'une agence de communication événementielle. « Je veux être le maire de tous les Cogolinois dans le respect des lois de la République. » Il se présente comme un « homme de dialogue » et souligne qu'il veut rétablir la sécurité « sans excès ».
Le 21 avril, cela fera 70 ans que les femmes ont le droit de vote et le droit d’éligibilité en France, ce que certains regrettent. Mercredi, lors d’un discours célébrant cet anniversaire, François Hollande a jugé que le droit de vote devait encore évoluer afin de permettre aux étrangers de participer aux élections locales : « Les résidents étrangers installés régulièrement en France depuis de nombreuses années, qui participent à la vie de la cité et pourtant ne votent toujours pas aux élections locales. Ouvrir ce droit de vote suppose, chacun le sait ici, de changer la Constitution. Il nous appartient donc de construire un rassemblement qui, forcément, dépasse les clivages partisans. C’est la condition pour rendre possible cette nouvelle étape ».
Il y a un an, le président avait promis de présenter un texte à l’Assemblée nationale après les élections municipales de mars 2014.
18/04/2014 – CANNES (NOVOpress via islamisation.fr) – Le 11 avril dernier, le député UMP Bernard Brochand a inauguré la mosquée wahhabite de Cannes, entre drapeaux algérien et saoudien. Le terrain a été gracieusement offert par le député-maire cannois Bernard Brochand, qui vient d’installer son dauphin David Lisnard à la mairie, rapporte un reportage de France 3 de juillet dernier. En effet, le terrain municipal est attribué pour 1 euro de loyer, bail de 99 ans… Qui dit mieux ?
Dans Salam News de septembre 2009, l’on pouvait lire : “Le député-maire de Cannes, Bernard Brochand (UMP), avait demandé à David Lisnard, premier adjoint, de diriger ce projet. Et c’est à bras-le-corps que ce dernier a décidé de mener à bien cette mission : « Il vrai que la démarche peut paraître contradictoire vis-à-vis de la loi de 1905. Néanmoins, cette même loi rappelle aux pouvoirs publics le devoir de garantir le libre exercice des cultes, souligne-t-il. C’est donc mon devoir d’élu local, et je m’engage sur le sujet sans complexe. »
“C’est un cheik Saoudien, le principal financier, qui désignera l’imam” apprenait-on sur France 3 Côte d’azur en juillet 2013. Depuis, l’identité de l’imâm est connue, il s’agit de Saïd Nait Ouaziz rapporte Nice-Matin, prédicateur des mosquées fréristes de l’UOIF (ainsi que l’atteste ses venues successives à la mosquée en Nour de Nice).
Le projet avait été vendu par David Lisnard à la presse comme promoteur d’un “islam de France”, on le voit impossible à réaliser dans les faits.
En page 9 de "La Provence" d'aujourd'hui vendredi 18 avril, l'article sur les Rameaux à St Michel transforme "HOSANNA" en "Ô ZANA". Est-ce une plaisanterie ou la preuve d'une ignorance crasse en matière d'orthographe et de culture religieuse?
Contre-vérité démontée par Laurent Dandrieu dans Valeurs actuelles :
"[...] contre-vérité : la France aurait toujours été une terre de métissage et l’expression “Français de souche” serait donc un non-sens. L’antienne n’est pas neuve ; auteur d’une monumentale Histoire de la population française, le démographe Jacques Dupâquier la réfutait déjà au milieu des années 1990 : « C’est un fantasme. De l’an 700 jusqu’en 1800 [la France] n’a reçu que très peu d’apports extérieurs.[…] Pour ce qui est de la masse de la population française, ce qui est vraiment incroyable, c’est la permanence du peuplement. » Ce n’est qu’après les deux guerres mondiales que se produisent des mouvements significatifs.
Apparus seulement au XXe siècle et s’accélérant dans les trente et plus encore les dix dernières années, les flux migratoires étaient jusqu’alors essentiellement composés de populations européennes et catholiques, au rebours de ce qui se passe aujourd’hui. « Nous avons sous-estimé la spécificité de l’islam, note la démographe Michèle Tribalat, en présumant qu’il ne rendrait pas les musulmans plus difficiles à assimiler que ne l’avaient été les migrants en provenance d’Europe. » Le caractère massif de cette immigration, comme son extériorité à la culture européenne, ont favorisé le développement d’un communautarisme vis-à-vis duquel les pouvoirs publics se sont montrés dangereusement bienveillants, comme tétanisés par le risque de paraître stigmatiser des cultures étrangères, et paralysés par l’idée que réclamer aux nouveaux arrivants d’assimiler la culture française puisse apparaître comme une foi dans la supériorité de celle-ci. [...]"
Le président russe Vladimir Poutine a reconnu pour la première fois jeudi que des forces armées russes étaient présentes en Crimée lors du référendum de mars qui a permis le rattachement de la péninsule ukrainienne à la Russie.
"Derrière les forces d'auto-défense de Crimée, bien sûr, se trouvaient nos militaires. Ils se sont comportés de manière très correcte (...) et professionnelle", a-t-il déclaré, lors d'une séance de questions-réponses télévisée, interrogé sur l'identité des hommes armés, ne portant pas d'insignes, apparus dans la péninsule avant le référendum du 16 mars.
"Il fallait protéger les gens", a-t-il ajouté, précisant que de nombreuses armes se trouvaient alors en Crimée et auraient pu être utilisées par des forces loyales aux autorités de Kiev contre les habitants.
"Je n'ai jamais caché à mes collègues étrangers que notre objectif était d'assurer les conditions pour un vote libre", a-t-il poursuivi.
"C'est pourquoi, nous devions prendre les mesures nécessaires pour que les évènements ne se développent pas comme ils se développent actuellement dans le sud-est de l'Ukraine, pour qu'il n'y ait pas de tanks, de troupes nationalistes et des gens (...) avec des armes automatiques" en Crimée, a-t-il expliqué.
Peu après l'arrivée au pouvoir d'un gouvernement pro-européen à Kiev, qui a suivi le renversement du président Victor Ianoukovitch, des milliers de soldats, bien équipés mais ne portant pas d'insignes permettant de les identifier, avaient été déployés en Crimée, encerclant, puis prenant le contrôle des sites militaires ukrainiens.
Kiev avaient immédiatement dénoncé la présence de soldats russes.
Les autorités ukrainiennes et l'Occident craignent que le même scénario ne soit actuellement appliqué à l'Est du pays, où les forces loyalistes sont confrontées à des insurgés pro-russes, qui réclament un rattachement à la Russie ou au minimum une "fédéralisation" de l'Ukraine, pour donner de grands pouvoirs aux régions.
Le Planning dit par antiphrase « familial » annonce une nouvelle campagne de promotion du meurtre des enfants non encore nés. Pour « déstigmatiser » l’avortement qui est un « droit essentiel ». Comme le droit de vivre, par exemple.
Le Planning a lancé un nouveau site, appelant les femmes qui ont avorté à témoigner publiquement à quel point c’est fun de tuer son enfant.
Et il a publié une nouvelle affiche : L’avortement est un droit et c’est moi qui choisis, Oui, destinée à être placardée dans les salles d’attente des professionnels de santé.
Sur cette affiche, on voit une jeune fille ou une jeune femme gueuler le « Oui », face à d’affreux réactionnaires qui font la gueule. Parmi lesquels il y a un prêtre catholique (mais ni rabbin ni imam). Il y aussi une grosse bourgeoise… qui ressemble à Simone Veil.
Ce qui est écrit en dessous, comme toute l’affiche (y compris l’attitude de la jeune femme), montre bien que l’avortement n’est pas un « droit » comme un autre ni un « choix » neutre… On ne supprime pas la loi morale naturelle d’un trait de plume, même après 40 ans de propagande intensive.
Au moment ou la rigueur (ce n’est pas un gros mot) nécessaire au redressement de la France est évacuée par Manuel Valls au profit d’une politique euro-austéritaire qui accablera encore plus les catégories populaires et les classes moyennes, le gouvernement se cherche des soutiens à gauche. Rien de tel que de susciter des réflexes pavloviens en réitérant des attaques contre le FN. Rien de nouveau sous le soleil. Le ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti, dont la contribution remarquable au monde des lettres avec son roman de gare érotique Un Homme dans ma poche a suscité l’hilarité générale, endosse son habit de croisé(e) et le fait savoir.
Invitée hier de Guillaume Durand sur radio classique et LCI, Mme Filippetti, dont les tropismes et le sectarisme ont même été critiqués dernièrement par Ségolène Royal et Frédéric Mitterrand, a réaffirmé qu’elle se rendrait dans toutes les villes FN où des associations dites culturelles sont menacées.
Comprendre que certaines structures sans grande audience et jusqu’alors subventionnées pourraient être mises au régime sec dans le cadre d’un effort de maîtrise des dépenses et de la fiscalité dans les communes gérées par le FN. Ce ne sera d’ailleurs pas forcément une obligation, car il a peut être échappé à Mme Filipetti que certaines de ces associations ont d’ores et déjà annoncé leur souhait de ne pas pactiser avec la Bête en refusant toutes subventions des mairies frontistes comme à Fréjus, voire de déménager comme à Beaucaire…
Mme Filipetti a affirmé hier qu’en 1995, «quand les villes sont passées au Front National, les premières victimes ça a été (sic) les associations culturelles, on se rappelle le festival de Châteauvallon, par exemple, on se rappelle la déprogrammation de Marek Halter d’un festival du livre à Toulon, on se rappelle notamment d’attaques contre les rayonnages des bibliothèques, enfin avec des formes de censure dans d’autres villes…».
L’honnêteté commande de rappeler ce que Mme Filipetti ne fait pas. A savoir la violence de l’offensive menée alors contre le verdict des urnes à Toulon par les animateurs du festival de Châteauvallon et ses soutiens (Gérard Paquet, le membre fondateur de SOS racisme Marek Halter, Bertrand Tavernier, François Léotard, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Culture…). Quant à la réputation controversée de M. Halter, elle n’était pas réductible à son militantisme antinational. Le journaliste Piotr Smolar, qui n’est pas un compagnon de route du FN, nous le rappelions sur ce blog, dressait en 2008 le portrait d’un Marek Halter appréhendé comme un «bonimenteur faisant « un usage esthétique du mensonge », aux amitiés sulfureuses, politiques et financières, soupçonné dans les années 70 par la DST d’être «un agent des services israéliens ».
Quant aux attaques contre les rayonnages des bibliothèques municipales, Marine rappelait dernièrement que le FN fait confiance à l’intelligence et au sens critique des Français. Bref que nous n’entendons pas supprimer des livres mais en proposer de supplémentaires, qui, certes, ont l’inconvénient fâcheux aux yeux des petits marquis de la culture de Gôche, de ne pas forcément d’inscrire dans le moule de la pensée unique, de faire entendre une autre musique que celle de l’idéologie dominante.
Oui, souligne Bruno Gollnisch, nous n’avons pas de leçons de démocratie ou de pluralisme à recevoir d’une gauche qui n’a pas abdiqué ses pulsions totalitaires. Malek Boutih, député PS de l’Essonne, et qui n’est pourtant pas le plus sot des socialistes, a dévoilé cette facette inquiétante en octobre dernier dans l’émission Mots croisés lors du débat l’opposant notamment à Florian Philippot.
Multipliant les références indécentes et oiseuses aux «aux années les plus noires de notre pays », M. Boutih avait osé cette sortie qui en dit long : « Nous sommes des millions de Français… Même si vous (le FN, NDLR) gagnez, vous aurez un problème de légitimité à notre égard. On ne se laissera pas faire».Un aveu qui en dit long sur le mépris, teinté de peur vis-à-vis de la souveraineté populaire, qui anime les figures du Système en place, dés lors que les Français refusent de penser dans les clous et veulent secouer le joug euromondialiste.
C’est ce même PS qui, de manière emblématique et main dans la main avec l’UMP, adopta en 2008 une Constitution européenne rejetée par nos compatriotes trois plus tôt lors du referendum de 2005. Il n’est guère étonnant que dans cette même émission le politologue spécialiste du FN et professeur à Sciences-po, Dominique Reynié, à la tête du club de réflexion progressiste et européen Fondapol, très proche de l’UMP, ait soutenu implicitement les propos de M Boutih. Il avait ainsi qualifié le FN de parti à la fois nationaliste et socialiste, suivez son regard…
Fondapol défend il est vrai des positions identiques à celles de l’écrasante majorité du PS : inféodation plus poussée de la France à l’euro-atlantisme bruxellois, régularisation des clandestins, poursuite de l’immigration, ouverture du mariage et de l’adoption aux couples de même sexe, légalisation de la GPA…
Alors en effet, si nous n’avons pas forcément la même culture, il est évident que le FN n’a pas les mêmes valeurs que les grands prêtres de l’UMPS qui combattent l’hérésie patriotique.
Communiqué de Florian Philippot, vice-président du FN et directeur national de la campagne des européennes
Les annonces de Manuel Valls confirment une cure d’austérité sans précédent qui se traduit par une violence sociale de plus en plus insupportable, de surcroît sans efficacité économique.
En gérant la pénurie plutôt que de se défaire des diktats de Bruxelles pour relancer la croissance et l’emploi, le gouvernement accroît partout l’injustice et la pauvreté. Il prouve qu’il est le serviteur des marchés financiers et non le serviteur des Français. Les fruits les plus pourris de cette politique d’austérité et de pénurie sont la poursuite du gel du point d’indice des fonctionnaires, la non-revalorisation des retraites de base et complémentaires, des prestations familiales, logement ou invalidité.
Des millions de Français vont subir en conséquence un effondrement de leur niveau de vie, parce que le gouvernement s’entête à obéir à l’Union européenne sur l’euro et la politique économique plutôt que de défendre l’intérêt général.
D’autres mesures d’austérité viendront compléter ce triste tableau après les européennes si ces élections ne désavouent pas très clairement les partis, UMP et PS en tête, qui préfèrent l’Union européenne à l’intérêt de la France !