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Blog - Page 961

  • La France bien élevée vous emmerde !

     

     

    3-6

    Mais que cherchent au juste ceux qui, sur Boulevard Voltaire, à l’instar d’un Alain de Benoist, raillent, méprisent, minimisent (en faisant mine de le soutenir) le grand mouvement de cette année, et prophétisent sa fin depuis des mois, comme s’ils l’espéraient ?

    Ils l’appellent la manif des bisounours, des cuculs, des neuneus, des benêts, des trop polis, des naïfs, des ravis de la crèche, bref des cathos qui n’ont rien compris. Ils leur font la leçon, expliquant doctement, ah, là, là, que ce n’était pas du tout comme ça qu’il fallait faire, qu’ils s’y sont pris comme des pieds, que d’ailleurs, c’était perdu d’avance, qu’emmanchés comme ils sont, on ne fera jamais rien d’eux, surtout pas une révolution, bref que tout cela n’a servi à rien, que c’était juste la manif pour les nuls. Fermez le ban.

    Je lis, par exemple, que l’on ne fait pas la révolution avec des poussettes. Dois-je rappeler qu’on ne la fait pas non plus sans poussettes ? Car le propre d’une poussette est de voir, à terme, le contenu s’échapper du contenant… pour aller gambader, par exemple, quelque vingt ans plus tard sur les Champs-Élysées vêtu d’un polo rose La Manif pour tous. L’arme fatale du camp catho contre le camp bobo, pour reprendre la terminologie du dernier Causeur en kiosque, a été sa jeunesse, en nombre, que personne n’avait vu venir, sans soupçonner, bizarrement, que l’accueil de la vie prôné par l’Église à rebours de la société depuis des dizaines d’années finirait par porter ses fruits démographiques. Les cortèges de La Manif pour tous étaient peuplés de familles nombreuses, cela n’a échappé à personne. Les contempteurs de La Manif pour tous sur ce site lui reprochent souvent, à trop s’occuper du mariage gay, de ne pas voir « le grand remplacement ». Et pourtant, quelle meilleure façon, quelle façon plus vitale, plus féconde que bien des longs discours, d’œuvrer contre celui-ci, que ces petits enfants ?

    Ensuite, s’apitoyer sur le sort de Nicolas qui a fait trois semaines de taule serait bien ridicule. Cette bande de chochottes ! La prison est une promenade de santé, sans jeu de mots, une « expérience », a dit Ségolène Royal, avec le même sourire condescendant que certains sur ce site, et ce sont ceux qui n’en ont jamais fait qui en parlent le mieux. Quand Nicolas se réveillait dans sa cellule de Fleury-Mérogis, quand certains passaient la nuit en garde à vue, d’autres dormaient benoîtement dans leur petit lit blanc.

    Oui, je me prends à me le demander, quel objectif poursuivent donc ces contributeurs qui affirment — du bout des lèvres — se réjouir de ce mouvement sans précédent, mais jettent sur lui leurs critiques asséchantes comme du sable pour éteindre le foyer ?

    S’ils savent tout mieux que personne depuis le début, que ne font-ils œuvre de pédagogie par une analyse constructive et en renforçant leurs rangs, plutôt que rester à l’écart pour mieux les écraser de leur supériorité distanciée empreinte de désespérance ?

    Ne craignent-ils pas que cette France qu’ils ont décrétée consubstantiellement niaise, impropre par nature au service, finisse, malgré toute sa bonne éducation, par s’asseoir sur le bord du chemin pour leur demander des comptes : super, les gars, les éminences grises, les inspecteurs des travaux finis plus malins que les autres ; ben maintenant, on vous regarde : où se cache donc le million de gens que vous avez réussi à faire descendre dans la rue, la jeunesse (mal élevée, forcément, pour être efficace) rentrée en résistance qui harcèle le gouvernement, sans craindre l’opprobre pour défendre ses idées ? En plus d’être gnangnan, cette France-là doit être myope, hein, car elle a beau chercher, elle n’arrive pas à les voir, même en remontant loin en arrière. On ne fait peut-être pas la révolution avec la France bien élevée, on ne la fait pas non plus avec la France des éteignoirs et des bonnets de nuit.

    Je ne sais pas, encore une fois, quel objectif poursuivent ces contributeurs, mais je sais que ce n’est pas celui de l’unité, de l’unité pour mener sur tous les fronts le combat de civilisation dans lequel la France — bien élevée ou non — est engagée.

    Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire

     

    ALTERMEDIA INFO

     

  • Le triste anniversaire de l’exécution de la famille Romanov

          

     

    Dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 la famille impériale était assassinée à Ékaterinbourg – l’empereur Nicolas II, sa femme, ses cinq enfants et les domestiques. Bien que le massacre ait eu lieu il y a 95 ans, il continue de susciter l’intérêt du grand public russe et européen qui s’efforce de le reconsidérer et de le comprendre.

     Des recherches controversées, rejetées par la majorité des historiens et des scientifiques, remettent pourtant en cause l’exécution de la famille impériale. La responsabilité de la décision pourrait incomber soit à Lénine, soit à Sverdlov, soit aux autorités locales. Aucune théorie ne peut être prouvée en raison de l’absence de documents.

     « L’Armée blanche portait le drapeau des Romanov, les monarchistes russes espérant le retour au pouvoir de la dynastie. Quand aux bolcheviques, ils croyaient changer la face de la Russie grâce à l’exécution de la famille impériale. Pourtant, le massacre n’a pas eu d’impact considérable sur la situation dans le pays. La pression des Armées blanches sur les faubourgs d’Ékaterinbourg a accéléré le cours des événements. Il n’y a pas eu de procès. Ainsi, l’impartialité de la décision est contestable, notamment parce que les enfants ont aussi été exécutés», relate l’écrivain et historien russe Alexeï Chichov.

     La personnalité même de Nicolas II est discutable. Certains historiens affirment que la Russie a connu un essor dans le domaine économique et sociopolitique, malgré la faiblesse de caractère de l’empereur. C’est le règne doux qui a sans doute mené la Russie aux révolutions. Pourtant, l’historien russe Leonid Katsva n’est pas d’accord.

     « En réalité, Nicolas II est connu pour « son humilité, sa patience et sa douceur ». Pourtant, cela ne veut pas dire qu’il est responsable des multiples révolutions qui se sont suivies l’une après l’autre en Russie à cette époque. Il a succédé au tsar puissant Alexandre III, dont le règne était très calme et paisible. Nicolas II a dû recueillir les fruits du règne de son prédécesseur. »

     Nicolas II a abdiqué après la révolution de 1917, peu avant sa mort. Au début de l’année 1918 les bolcheviques envisageaient la possibilité d’organiser un procès contre le tsar. C’est la raison pour laquelle la famille impériale a été transférée à Tobolsk et après à Ékaterinbourg. Après avoir passé 78 jours dans la cave de la maison Ipatiev, les derniers Romanov ont été exécutés.

     En 2013, ce sont des églises et des chapelles qui se dressent sur ces anciennes places mortuaires, et le triste anniversaire est comme sublimé par une autre commémoration, celle des 400 ans de la naissance de la dynastie Romanov, célébrée avec faste dans tout le pays ainsi que partout dans le monde.

     
     
    La Voix de la Russie
     
  • Autorisation de la recherche sur l'embryon: la primauté de la science et du marché sur l’humain

     

     
    16 juillet 2013 

    Communiqué de Presse de Marion Le Pen – Maréchal

    Autorisation de la recherche sur l’embryon: la primauté de la science et du marché sur l’humain

    L’Assemblée nationale s’est prononcée aujourd’hui en faveur d’une proposition de loi radicale de gauche et soutenue par le Gouvernement concernant la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires. Ce texte majeur modifie la loi de 2004 en passant d’une interdiction de principe avec dérogation à une autorisation de principe assortie de conditions plus souples.

    Le débat a eu lieu en catimini, en quelques heures à peine et à l’insu des Français. Non content de ne pas respecter la loi de 2011 prévoyant un débat public sous forme d’états généraux pour les réformes éthiques, la ministre a demandé l’application de la procédure de « réserve des votes » empêchant ainsi les députés d’amender la proposition afin d’accélérer le débat.

    Par ce texte, l’humanité de l’embryon est niée par principe, l’humain en devenir sera réduit à l’état de matériau d’expérimentation au nom de la compétitivité scientifique. Et ce, alors même que l’utilisation des cellules souches adultes et du cordon ombilical sont à l’origine de la majeure partie des avancées scientifiques et qu’une solution alternative a été découverte par le chercheur japonais Yamanaka grâce aux cellules souches dites IPS.

    De surcroit, le texte a supprimé une disposition de la loi de 2011 prévoyant que les alternatives aux recherches sur l’embryon humain et conformes à l’éthique doivent être favorisées.

    Cette proposition est d’autant plus étonnante qu’une directive européenne de 2010 fixe comme objectif le remplacement total des procédures scientifiques appliquées aux animaux « sous forme embryonnaire ou fœtale » par des méthodes alternatives. Demain l’embryon humain vaudra moins que celui de la baleine…

    On peut s’étonner de la détermination du Gouvernement quand de nombreux chercheurs, comme le professeur Ménasché, affirment que l’ancien régime ne les empêchait pas de mener à bien leur recherche mais faisait obstacle aux investissements privés dans ce secteur…

    Pour toutes ces raisons, Marion Maréchal-Le Pen a voté contre ce texte et cosigné avec Jacques Bompard un amendement interdisant toute recherche sur l’embryon humain.

     

    NdB: Si l'embryon n'a pas de conscience, nous, nous en avons une !

  • Israël déçu par l'interdiction de l'abattage rituel en Pologne

    VIDEO:   http://fr.euronews.com/2013/07/16/israel-decu-par-l-interdiction-de-l-abattage-rituel-en-pologne/

  • Brétigny-sur-Orge : le caillassage et les vols sur des cadavres confirmés. Ce n'était pas une rumeur !

     

    L’information est sortie en début de soirée le vendredi 12 juillet de manière spontanée, après la catastrophe Brétigny-sur-Orge qui a causé la mort de six personnes et fait 62 blessés dont six dans un état grave : des cadavres et des blessés, des victimes de la catastrophe ferroviaire auraient été volés et les secours auraient été attaqués violemment.

    Le lendemain, les autorités d’État comme le service du Ministre des transports et les médias minimisaient les faits, allant même dire que cela n’était qu’une rumeur.

    Nous avons contacté le syndicat Alliance de la police et parlé à son secrétaire général adjoint, Frédéric Lagache, qui lui, au stade de l’enquête, confirme bien des vols sur des blessés et des cadavres, du caillassage et de la violence urbaine.

    Vols sur cadavres et blessés avec caillassage.

    Les médias, depuis le témoignage d’une syndicaliste d’Alliance, s’efforcent de taire la véracité des faits en disant qu’il ne s’agit que d’une rumeur selon laquelle les secours et la police aient dû essuyer des caillassages lors de leur intervention sur le site de la catastrophe. De nombreux lecteurs ont des doutes quant à ce témoignage du syndicat Alliance car les responsables politiques relayés par la majorité des médias se contentent de tuer la véracité des événements dans l’œuf. On ne sait plus où se trouve la vérité des faits. Le secrétaire général adjoint d’Alliance confirme les dires de sa collègue et explique qu’une enquête a lieu pour déterminer les circonstances des actes de vandalisme. Des violences urbaines, un vol de portable et des pillages.

    « Nous, on confirme. Les forces de l’ordre ont été requises par les pompiers car ils ont reçu des projectiles sur place. Le premier fait existe bel et bien. Quand on a fait appel aux renforts de police et aux CRS, c’est que la situation était devenue difficile et sérieuse. Les agents du SAMU ont été agressés. Et ces derniers nous donnent la description de l’individu qui a agressé et volé le portable d’un sauveteur. Je ne sais pas par quel biais du hasard ils n’ont rien vu et rien entendu, nos responsables politiques. Nous confirmons ces faits ».

    Il semblerait que des individus étaient en train de voler des effets sur des blessés et des morts.

    « Les faits ont été rapportés par des collègues et nous tenons à vérifier les dires des collègues par une enquête parallèle qui est actuellement en cours. On a trouvé des SMS dans le portable d’un des jeunes arrêtés : « t’as trouvé quoi dans les bagages ? »…Tout ça est fort suspicieux. Je n’ai pas dit pas qu’ils étaient en train de voler des individus [en raison de l’enquête en cours Frédéric Lagache se doit de garder une distance] mais des indices montrent déjà que c’était le cas ».

    Les responsables du syndicat de la police sont scandalisés qu’on puisse remettre en cause la parole de leurs collègues.

    « Si on fait appel aux renforts, c’est qu’on est mis en difficulté. On doit penser aux victimes dans une telle situation et pas à autre chose comme devoir protéger les pompiers et les urgentistes du SAMU ».

    Le témoignage de la police montre des scènes qu’on peut connaître dans des zones de guerre où il faut protéger les secours de représailles.

    « Je n’ai pas connaissance d’avoir eu ce genre de problématique aussi gravissime en France. Que les officiels disent qu’il n’y a pas eu de caillassage, cela montre qu’ils sont à côté de la plaque. Mes collègues ont sauvé des personnes gravement agressées ».

    Presse. « C’est plus un sujet polémique qui est sorti dans les médias. Les médias se sont limités à relayer les paroles de l’Etat par les paroles du préfet. L’ensemble du monde journalistique me donne l’impression qu’ils ont recopié la déclaration officielle de l’État. Le Point, lui, confirme le caillassage, la violence urbaine et le vol de portable et est bien le seul média qui ait relaté la véracité des faits », termine Frédéric Lagache Secrétaire général adjoint d’Alliance.

    E&R

  • Charlotte CORDAY, une héroïne française (27 juillet 1768 - 17 juillet 1793)

    220px-Charlotte_Corday.png Charlotte Corday.png

    Charlotte Corday par Jean-Jacques Hauer

    445px-Charlotte_Corday.jpg Charlotte Corday.jpg

    L'assassinat de Marat par Paul Baudry

     

    Lire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_Corday

  • « Ceux qui ne sont pas comme nous », par Bruno Gollnisch

     

    nationalité française konk

    Quand les situations et les mots pour les décrire n’ont plus le même sens pour les Français et ceux qui sont censés les représenter,  l’heure est grave. En témoigne le discours de François Hollande ce 14 juillet, qui a permis de juger une nouvelle fois du décalage effrayant existant d’un côté entre le monde dans lequel évoluent nos énarques pensionnés,  la technostructure européiste aux  manettes du Système , et le pays réel de l’autre. Le chef de l’Etat a ainsi tenu à mettre en garde les Français contre le danger que constituerait   l’opposition nationale , jugeant  «d’une extrême gravité» la montée du FN, ainsi que ses propositions, qui «enfermeraient la France» (sic).  Le vœu de  Marine Le Pen  de faire du FN le centre de gravité de la vie politique française ? « D’une extrême gravité». La sortie de l’euro ? «D’une extrême gravité », la preuve Nicolas Sarkozy était contre a t-il avancé !   L’instauration d’un  protectionnisme intelligent? «D’une extrême gravité», a-t-il insisté, la preuve les Américains,  les Chinois   sont  protectionnistes mais nous interdisent  de l’être…avec le soutien de  Bruxelles.

      «Quand on dit qu’on va chasser ceux qui ne sont pas comme nous (sic) , ceux qui ne sont pas Français et même peut-être certains Français»,  c’est aussi « d’une extrême gravité» a encore avancé le président de la République  semblant d’adresser à des élèves d’école primaire.

    François Hollande semble oublier, note Bruno Gollnisch, que selon la doxa socialo-écolo-communiste,  matérialisée par un vote récent  à l’assemblée,  tout le monde il est comme les Français, tout le monde il est comme nous  et que    tout le monde y ressemble à tout le monde . En effet, puisque    le mot  race  , selon un engagement du candidat Hollande reprenant  une vieille marotte communiste, a été supprimé de   la Constitution, les différences l’ont été aussi automatiquement…non?

    Éradiquer  les mots pour faire disparaître les maux, les  problèmes et escamoter le réel, nous voilà en pleine pensée magique socialiste à laquelle les médias sont priés de collaborer. La catastrophe ferroviaire survenue le 12 juillet  en gare de la très plurielle  commune de  Brétigny-sur-Orge (Essonne)  en est une nouvelle illustration.

     Les sites de Libération, du  Monde, du  Figaro, du  Nouvel ObsRue 89, Europe 1,  France Info,  BFM,  France 3, ont ainsi évoqué la conduite des bandes de jeunes  présentes sur place.  Au micro d’Europe 1,  Nathalie Michel, membre  syndicat de police Alliance,  a raconté:  « A 17h 30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres. »

     Ces détrousseurs de cadavres et/ou leurs amis, ont  aussi  eu à cœur de caillasser secouristes, pompiers policiers et cheminots.

     Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, est intervenu sur les antennes le lendemain pour tenter de minimiser les faits   en expliquant, joyeux euphémisme socialiste, que « les pompiers ont été accueillis de façon un peu rude»,  qu’il n’a pas eu  connaissance de victimes dépouillées, évoquant tout juste « des actes isolés ». Le maire socialiste de Brétigny-sur-Orge, Bernard Decaux,  terrorisé  à l’idée d’être accusé de stigmatiser les « jeunes » (de futurs électeurs ?) de sa commune,  a tenu à expliquer que « le mot caillassage paraît très exagéré »…

     Des exactions certainement  perpétrées par des jeunes normands, berrichons, bretons ou provençaux  de passage, bref par des Français comme nous, mais cela M. Cuvillier n’a pas été jusqu’à l’affirmer…

     Restons dans le même registre avec cet article paru la semaine dernière dans l’hebdomadaire Minute à la suite de l’audience qui s’est tenue  le 3 juillet  au tribunal de grande instance de Paris.

     Devant celui-ci, « Treize citoyens, des Noirs et des Arabes, attaquaient l’Etat et le ministère de l’Intérieur pour discrimination lors des contrôles d’identité. Les plaignants estiment que, à cause de leur profil ethnique, ils sont trop souvent la cible privilégiée des contrôles policiers. Ils se disent victimes du délit de faciès, le  délit de sale gueule . A l’appui, ils ont fourni une étude du CNRS (le Centre national de la recherche scientifique), selon laquelle les citoyens d’origine nord-africaine et subsaharienne risquaient respectivement 7,8 et 6 fois plus de se faire contrôler qu’un  individu de type européen ».

     Or, rapportait Minute, dans les faits « Si certains citoyens sont plus contrôlés que d’autres, c’est que, malheureusement pour eux, ils appartiennent à une population à risques . Il suffit de consulter les avis de recherche de la police nationale pour s’en convaincre », fichier public consultable sur le site gouvernemental  http://www.avisderecherches.interieur.gouv.fr/.

     « Il n’est pas difficile d’en tirer une statistique. Sur les 85 personnes qui font l’objet d’une fiche de police (…)  on ne compte, au maximum, que quatorze individus (…) représentant les  Français de souche. Soit seulement 16,47 % du panel. Cela revient à dire que 83,53 % de ces malfrats recherchés par la police n’ont pas pour ancêtres les Gaulois. » Mais de cela aussi les Français ne sont pas dupes car dans tous les domaines  les tentatives de dissimulation et  les mensonges du Système sont de moins en moins efficients.

  • Une ministre irlandaise préfère perdre son poste que de voter l’avortement

     

     

    Lucinda Creighton

    Elle s’appelle Lucinda Creighton, elle a 33 ans, elle est irlandaise, elle est ministre et étoile montante de son parti, le Fine Gael. Ou plutôt, elle l’était. Car elle a préféré démissionner plutôt que de voter, comme l’y obligeait son statut de ministre aux Affaires européennnes, pour la loi sur l’avortement défendue par le gouvernement auquel elle participe.

    Cela s’est passé jeudi soir : les membres du Dail en étaient à l’amendement 56 rendant l’avortement légal pour les femmes enceintes menaçant de se suicider en cas de poursuite de la grossesse.

    Lucinda Creighton, membre du Fine Gael depuis ses 18 ans, savait exactement ce qu’elle avait à faire et et elle en avait mesuré les conséquences. En votant contre l’avortement soutenu par le gouvernement auquel elle participe, elle savait qu’elle serait automatiquement exclue et qu’elle n’aurait plus qu’à démissionner du poste ministériel qu’elle occupait depuis plus de deux ans?

    Souriante et calme, elle s’est jointe au 23 autres élus qui ont osé voter contre (130 élus ont voté pour), après avoir expliqué longuement et posément qu’elle n’était pas une militante pro-vie, mais qu’elle était absolument opposée à l’adoption d’une loi que le parti s’était solennellement engagé à ne pas adopter au cours de sa campagne électorale.

    A peine son vote émis, Lucinda Creighton est allée parler au Premier ministre Kenny, restant assise quelques minutes sur la marche à côté de son fauteuil. Ayant serré les mains de quelques-uns de ses anciens collègles, tout aussi calmement, elle a quitté les lieux, non sans être félicitée chaleureusement par certains.

    « Je ne ressens ni rancœur ni amertume, ni rien de tel. Je suis très triste, mais je souhaite tout ce qu’il y a a de mieux à Enda Kenny et à tout le gouvernement. Je suis très triste. J’aime vraiment mon travail. J’ai eu le très grand privilège d’accomplir mes fonctions et mes devoirs de ministre aux Affaires européennes au cours de ces deux dernières années et même un peu davantage, et c’est triste pour moi que cela soit fini. Mais je savais les conséquences lorsque j’ai voté. »

    Son avenir politique est désormais incertain, puisqu’elle est exclue également du Fine Gael.

    Dans une déclaration à l’Irish Independent, elle a déclaré :

    « C’est très décevant et j’aimerais bien ne pas en être là. Pour moi, il s’agit d’une loi très importante, une loi qui est contraire à un engagement que nous avons pris aux dernières élections : une promesse avait été faite, une promesse très fondamentale, sur l’avortement. J’ai simplement pensé que nous ne pouvions pas nous écarter de cette promesse. »

    Et pourquoi n’avait-elle pas accepté de faire un compromis sur une affaire relevant des négociations au sein de la coalition de partis de gouvernement ? Réponse claire au journaliste : « Eh bien, je pense que le compromis est essentielle à n’importe quelle coalition. Je pense que nous avons su trouver des compromis sur des questions économiques, la politique sociale, etc. Mais quand il s’agit d’une affaire de vie et de mort – et en tout cas pour moi ça l’est – je pense qu’il n’est pas vraiment possible de chercher un compromis. »

    Le courage de Mme Creighton est particulièrement remarquable dans la mesure où elle a été elle-même favorable à l’avortement alors qu’elle était plus jeune : elle a expliqué au Dail, avant le vote, qu’elle comprenait très bien la position de ceux qui sont pour parce qu’ils pensent que le fœtus n’est pas un être human : « J’ai moi-même pensé la même chose. »

    Mais elle a expliqué que l’expérience de proches et de connaissances lui a fait comprendre que l’avortement est un « outil pour l’oppression des femmes » et que les termes de la loi permettent de « sacraliser la menace de suicide dans les livres de loi pour la première fois ».

    Elle a également expliqué que sa prise de position n’avait rien à voir avec des vues rétrogrades imposées par l’Eglise catholique, comme le disent les partisans de l’avortement.

    Michael Cook rapporte ses propos dans BioEdge :

    « Un consensus croît en Irlande selon lequel l’idée d’avoir un sens moral aurait quelque chose à voir avec l’Eglise catholique. On suppose automatiquement que si vous consultez votre conscience, vous êtes au fond en train de consulter Rome. Cela est profondément inquiétant. C’est une manière paresseuse de tenter de miner la valeur d’un argument sans aller jusqu’à s’attaquer à sa substance. Il ne s’agit pas ici d’un problème catholique, pas plus qu’il n’est protestant ou musulman. Il ne s’agit pas d’une question religieuse. Il s’agit d’un question de droits humains… Nous avons tous droit à l’objection de conscience. Elle est sacralisée par l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies. »

     

    ALTERMEDIA INFO   

     

     

  • Valls et le néonazi "sans projet identifié"

     

    NdB: Valls ferait mieux de se poser des questions sur le déraillement de Brétigny-sur Orge qui a fait 6 morts...

  • Un train de marchandise déraille en Charente-Maritime

     

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    Un train de fret transportant du gravier a vu l’un de ses wagons dérailler ce matin suite à une rupture d’un essieu à 150 mètres de la gare de Saintes (Charente-Maritime), sans faire de blessés.

    "C’est une voiture d’un train de fret qui est sortie des voies. Un essieu s’est rompu et du coup elle s’est couchée sur la voie", a indiqué une porte-parole de la SNCF, en confirmant une information de France Bleu La Rochelle.

    Selon Guy Rambeau, délégué du personnel CGT à Saintes, l’incident s’est produit au départ de Saintes. L’essieu aurait tapé sur au moins 200 mètres de voie, "cisaillant les boulons des éclisses" ces pièces métalliques reliant les rails entre eux. Un seul wagon s’est couché sur les 15 que compterait le train, a-t-il aussi déclaré.

    Sources : Le Figaro / Le Journal du Siècle  16/07/13

  • Hymne national polonais

  • Pologne : le parlement vote l’interdiction de l’abattage rituel casher et halal

    16 juillet 2013

    Comme quoi c’est possible !

    Lu sur La Croix :

    Le vote du Parlement polonais a été sans appel : vendredi 12 juillet 2013, la Diète a refusé, par 222 voix contre 178 et neuf abstentions, d’autoriser de nouveau les abattages rituels pour la viande casher. « Le résultat du vote d’aujourd’hui à la Diète (…) a été un choc pour nous », ont immédiatement indiqué le grand rabbin de Pologne Michael Schudrich et le président de la communauté juive Piotr Kadlcik dans une déclaration.

    Par conséquent les Polonais sont antisémites et islamophobes…

    Pour le journaliste et militant juif polonais Konstanty Gebert, les choses sont claires : « Il y a un courant antisémite, mais aussi islamophobe en Pologne. La question de la protection des animaux est une hypocrisie. Beaucoup de Polonais sont persuadés que, lors de l’abattage, la souffrance de l’animal est requise par le rituel, alors que ce n’est absolument pas le cas. »

     

    Contre-info.com

  • "Néo-nazi" norvégien interpellé en Corrèze : ca sent l’enfumage…

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    Kristian Virkenes dit "Varg"

     

    Alors que la côte du président est au plus bas et que son gouvernement se ridiculise chaque jour un peu plus, une affaire tombe à pic pour faire oublier aux Français les déboires des escrocs qui dirigent notre pays… Le péril brun est de retour ! L’extrême drouaaaaaaaate s’apprêtait à commettre un attentat sur le sol national ! Et les médias n’y vont pas de mainte morte…

    Soupçonné par la police d’être susceptible de préparer «un acte terroriste d’envergure», Kristian Vikernes, dit Varg, un musicien norvégien de 40 ans, a été interpellé mardin matin en Corrèze avant d’être placé en garde à vue, selon une information de RTL confirmée de source judiciaire. La police a perquisitionné le domicile de ce sympathisant d’Anders Breivik, l’auteur de la tuerie d’Utoya qui avait fait 77 morts le 22 juillet 2011. Source : Le Figaro

    Oulala et comment l’individu avait prévu de perpétrer son méfait ? Une bombe ? Des armes ? Et contre qui ?
    C’est là que ça se complique…

    « Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a justifié aujourd’hui l’interpellation d’un néo-nazi norvégien et de sa femme française, par la nécessité, face au terrorisme, « d’agir avant, et non pas après », tout en reconnaissant qu’il n’y a pour le moment « ni cible, ni projet identifié« . »

    Pas de cible, pas de projet, mais pourquoi l’arrestation ?

    « Car il présentait un profil particulièrement dangereux pouvant porter atteinte aux intérêts fondamentaux du pays. »

    Manuel, merci de nous avoir sauvé et vive la démocratie.

     

    Contre-info.com

  • Mort de l'otage Philippe Verdon confirmée par Hollande

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    PARIS (Reuters) – L’Elysée a confirmé lundi soir la mort de Philippe Verdon, géologue français enlevé avec l’un de ses collègues le 24 novembre 2011 au Mali.

    Sa dépouille sera transférée « le plus vite possible » en France, a précisé la présidence de la République.

    « J’exprime à sa famille et à ses proches ma totale solidarité », écrit François Hollande dans un communiqué.

    « Je partage l’indignation des Français et je rappelle que les responsables de la mort de notre compatriote devront être identifiés et traduits devant la justice. »

    Les autopsies devront permettre de révéler les causes de son décès.

    Une dépouille a été retrouvée il y a 10 jours au Nord Mali, et Paris tentait depuis d’avoir confirmation de son identité. Dans la matinée, le président avait déclaré qu’il existait une « probabilité très forte » que Philippe Verdon soit mort.

    Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) avait revendiqué son exécution en mars dernier en représailles à l’intervention militaire française au Mali, mais son décès n’avait pas été confirmé officiellement.

    Cinq ressortissants français restent à ce jour aux mains d’Aqmi en Afrique.

    « Je mesure l’angoisse des familles dont les proches sont toujours retenus en otages au Sahel et je tiens à les assurer que le gouvernement continue à se mobiliser pleinement pour obtenir leur libération et leur retour en France », écrit lundi François Hollande.

    « L’ensemble des services de l’Etat y travaille constamment et aucune piste n’est ignorée ou laissée de côté. »

    Elizabeth Pineau, édité par Chine Labbé

    BOULEVARD VOLTAIRE - 15/07/13

  • Asile politique en France pour Inna Shevchenko, leader des Femen – une petite précision s’impose

     

    Une dépêche de l’AFP parue la semaine dernière et reprise par différents journaux et sites (ici sur Atlantico) informait que l’OFPRA avait accordé l’asile politique à la militante d’extrême-gauche «menacée de poursuites en Ukraine pour avoir découpé à la tronçonneuse une croix orthodoxe. Une action pour dénoncer la condamnation du groupe Pussy Riot, qui avait chanté une « prière punk » contre le président Poutine dans une cathédrale orthodoxe.»

    Une petite précision s’impose qui n’est pas innocente puisque l’asile a été accordé à une personne venue en France en août 2012 avec un visa touristique pour fuir des poursuites dans son pays après avoir commis un délit de droit commun. Une personne qui n’a jamais été expulsée malgré ses activités qui n’avaient rien de touristiques et qui étaient donc sans rapport avec son visa. Inna Shevchenko elle-même affirme avoir demandé l’asile en France pour faire de notre pays la base arrière des Femen.

    La petite précision qui s’impose, donc, c’est que la fameuse croix orthodoxe, située en plein centre de Kiev, la capitale, avait été érigée en mémoire des victimes du NKVD (devenu plus tard le KGB) et qu’elle se trouvait devant le « Palais d’Octobre » qui avait servi dans les années 1917-41 de prison pour les opposants au régime soviétique et où avaient eu lieu des exécutions de masse. Les Femen et leur leader Inna Shevchenko n’ont certainement pas choisi la croix à saccager au hasard puisqu’elles tirent clairement leur inspiration de la tradition bolchevique. Là où les communistes voulaient créer un homme nouveau en propageant la révolution socialiste, elles souhaitent créer une femme nouvelle.

    «FEMEN – c’est le nom de la femme nouvelle
    FEMEN – ce sont les nouvelles Amazones, capables d’ébranler les fondations du monde patriarcal par leur intellect, le sexe, l’agilité, de répandre le désordre, d’apporter la névrose et la panique dans le monde des hommes…»

    Voici ce que les Femen disent d’elles-mêmes sur leur site Web.
    Voici le genre de personne à qui le gouvernement socialiste français accorde en 2013 l’asile politique.

    C’est un peu comme si un militant d’extrême-droite français saccageait à la tronçonneuse un mémorial érigé en souvenir des victimes du nazisme pour protester contre la condamnation d’un groupe de jeunes antisémites qui auraient profané une synagogue et que ce militant obtenait l’asile politique en Ukraine. Ici c’est une militante d’extrême-gauche ukrainienne qui a saccagé un mémorial érigé en souvenir des victimes du communisme pour protester contre la condamnation d’un groupe de jeunes christianophobes qui avaient profané une église orthodoxe. Cette militante a obtenu l’asile politique en France.

     

    Présentation des FEMEN sur leur site www.femen.org

     

    Nouvelles de France - 15/07/13

  • Alain Juppé voudrait baptiser le futur pont bordelais « Nelson Mandela » !

                                        

    Alain Juppé voudrait baptiser le futur pont bordelais « Nelson Mandela » !
     

                                                                                  

     

    14/07/2013 – 15h00
    BORDEAUX
    (NOVOpress/Infos Bordeaux) – C’est tout d’abord Vincent Maurin, chef de file du groupe communiste à la mairie de Bordeaux qui lança l’idée de donner le nom de Nelson Rolihlahla Mandela, au futur stade de Bordeaux (photo).

     

    Pour cet enseignant, « La disparition prochaine de Madiba me rappelle cette lutte fabuleuse que nous avons su gagner par-delà les frontières. Un lutte à portée universelle. Et puis Bordeaux, c’est la ville où nombre de rues portent encore le nom de marchands d’esclaves et de nobles qui se sont enrichis durant tout le 18ème siècle sur le dos des esclaves ».

    Reprenant l’idée de son opposant communiste, le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a proposé vendredi matin, lors de la séance plénière du conseil de Communauté urbaine, de donner le nom de Nelson Rolihlahla Mandela au futur pont, qui sera réalisé entre 2016 et 2018 dans la partie sud de l’agglomération. Le nom prévu pour le pont était jusqu’à présent Jean-Jacques Bosc, une figure de l’histoire bordelaise ; sans doute trop enraciné pour Alain Juppé.

    Si Alain Juppé et Vincent Maurin ont des affinités communes autour de l’ancien président de l’Afrique du Sud, les bordelais, eux, s’interrogent toujours sur le lien qui pourrait les unir au natif de Mvezo !

    Crédit photo : DR.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Brétigny: polémique sur l'origine du déraillement du train Paris-Limoges - Une enquête trop rapide?

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/bretigny-les-syndicats-appellent-a-la-prudence-sur-l-origine-du-deraillement-15-07-2013-2984623.php

    + 3 VIDEOS

    2980119_bretigny-new.jpg  Brétigny.jpg

  • Comme il est beau !

    2984593_kangourou.jpg kangourou blanc.jpg

    Heureux événement au Domaine de Chantilly (Oise). Un kangourou est né dans cette ménagerie et, fait rare, il est albinos. Cela porte à une douzaine le nombre de marsupiaux présents dans le parc du château.

     

     La direction note que cette naissance est «dans l’esprit des ménageries présentes dans le parc du Domaine aux  XVIIe et XVIIIe siècles».

     

     
     

     



    Comme c'est parfois le cas, les internautes sont invités à se rendre ici ou sur la page du Domaine pour voter et choisir un nom pour l'animal. Au choix : Kapser, Waly, Ivoire, Cream, Killy ou Ice. En novembre 2012, c'était le zoo d'Amiens qui avait ouvert les votes pour choisir le nom d'un bébé panda roux finalement prénommée Gaïa.

     

    Le Parisien  - 15/07/13