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GAELLE MANN - Page 1575

  • VIDEO La naissance d'un bébé blanc surprend ses parents noirs - Un canular?

    VIDEO  http://www.youtube.com/watch?v=3uvUZbUwOiA 

     

    Les cheveux blonds et les yeux bleus, la petite Nmachi a provoqué la stupeur de ses parents originaires d'Afrique noire, qui n'ont pas d'ancêtres blancs dans leur famille. Un phénomène génétique pour l'instant inexpliqué.

    Les lois de la génétique sont parfois indéchiffrables. Un couple de Britanniques d'origine nigériane, tous deux noirs de peau, a donné naissance à une petite fille blanche, aux cheveux blonds et aux yeux bleus dans un hôpital de Londres, révèle le journal britannique The Sun. Une surprise d'autant plus grande que ces parents ont déjà eu ensemble deux enfants à la peau très foncée et qu'ils n'ont pas connaissance d'ancêtres blancs dans leur famille respective.

    La stupeur passée, le mari s'est tout d'abord interrogé sur la fidélité de sa femme. «S'agit-il bien de mon enfant ?», s'est demandé Ben Ihegboro. Des doutes rapidement dissipés par les médecins de l'hôpital qui lui ont affirmé que la petite fille n'était ni albinos, ni métissée. «Ma femme est sincère avec moi. Et même si elle m'avait trompé, le bébé n'aurait pas la peau aussi blanche et les cheveux aussi blonds», a conclu le père du nouveau né. Sa femme, Angela, a quant à elle qualifié la naissance de sa fille de «miraculeuse». «Elle est magnifique», s'est-elle réjouie, tandis que son mari a assuré que l'essentiel est que leur fille «soit en bonne santé».

     

    «Un phénomène extraordinaire»

     

    Alors que le couple a baptisé l'enfant Nmachi, qui signifie «Beauté de Dieu» dans leur langue maternelle, les généticiens ne parviennent pour l'instant pas à expliquer sa couleur de peau. «C'est un phénomène extraordinaire», a expliqué au Sun le professeur Bryan Sykes, chef de génétique humaine à l'université d'Oxford. «Dans les populations métissées, il arrive que la variante de teinte de peau plus claire ressurgisse sur un enfant. Et elle peut parfois être étonnamment différente de la couleur de peau des parents, poursuit le spécialiste. Cela peut notamment survenir au sein des populations où les mélanges génétiques sont nombreux, comme les afro-caribéens. Mais au Nigeria, il y a peu de mélange». «Les règles de la génétique sont complexes. Nous ne savons d'ailleurs toujours pas ce qui se passe dans de nombreux cas», conclut le généticien, évoquant une probable mutation génétique d'origine inconnue pour la petite Nmachi.

    Le Figaro - 22/07/10

  • Une Congolaise transportait 20.000 euros dans son vagin

    Une Congolaise de 19 ans a été condamnée vendredi à 45 jours de prison ferme après avoir été interpellée à l'aéroport d'Oslo avec 20.000 euros en grosses coupures dissimulées dans le vagin, a-t-on appris auprès de la police norvégienne.

    La jeune femme, dont l'identité n'a pas été fournie, a été condamnée pour "complicité involontaire" dans ce que les policiers norvégiens estiment être un trafic de devises.

    "Elle a été repérée par les douaniers de Gardermoen (l'aéroport international d'Oslo, ndlr) qui lui ont demandé si elle transportait des devises", a expliqué à l'AFP Marianne Klausen, une responsable de la police locale.

    "Au départ, elle n'a montré que 325 euros mais elle a fini par avouer qu'elle transportait 20.000 euros" dans le vagin, a-t-elle ajouté.

    Originaire de la République démocratique du Congo, la jeune femme, qui devait prendre un vol pour Amsterdam, a indiqué à la police qu'elle avait accepté de transporter l'argent à la demande d'un homme rencontré sur Facebook.

    La somme saisie se décomposait en deux "paquets" contenant chacun 20 billets de 500 euros, a précisé Marianne Klausen.

    Selon le journal local Romerikes Blad, un Nigérian résidant aux Pays-Bas avait déjà été interpellé en mai avec 20.000 euros cachés dans le rectum.

    Le Point - 23/07/10

  • Mme Bettencourt voulait 500.000 euros en liquide

    Sur l'agenda de l'ex-comptable de l'héritière de L'Oréal, dont Marianne publie des extraits samedi 24 juillet, il est question de rendez-vous, d'enveloppe, et de sommes à six chiffres...

    Cinq cent mille euros. Tel est le montant du retrait en liquide qu’aurait dû effectuer Claire Thibout pour le compte de sa patronne Liliane Bettencourt. C’est ce qui ressort de l’enquête que publie Marianne ce samedi 24 juillet. La semaine dernière, notre hebdomadaire révélait, fac simili du chèque à l’appui, un retrait de 100 000 euros effectué par la comptable de la femme la plus riche de France fin 2006, en pleine campagne présidentielle. Ce montant n’était donc qu’un zakouski, au regard de ce qu’escomptait obtenir Liliane Bettencourt, et que la banque Dexia aurait refusé d’honorer : « devant l’énormité d’un tel retrait, et craignant sans doute d’avoir à se justifier devant Tracfin, l’organisme chargé de la lutte contre les mouvements illicites de capitaux, les responsables de la banque ont refusé de lui accorder une telle somme. »

    Quelle était dès lors la destination finale de ces fonds ? Là encore, il faut chercher du coté de Claire Thibout. L’ex-comptable de Liliane Bettencourt avait évoqué dans un entretien accordé à notre confrère Mediapart, un financement politique. Ses déclarations, qu’elle n’a que partiellement renouvelées devant les policiers venus promptement la questionner, faisaient ressortir le versement de 150 000  euros à Eric Woerth en vue du financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. Le ministre du Travail a évidemment qualifié de calomnieuses les déclarations de la comptable.

    Les documents que Marianne publie cette semaine, le fac simili de l’agenda de Claire Thibou, font état d’un rendez-vous avec Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt « pour donner enveloppe qui donnera à Patrice ». Ce rendez-vous serait suivi d’un autre « au café » entre celui-ci et Eric Woerth, comme l’indique cette fois les agendas de Patrice de Maistre saisis par la police.  Encore un « amalgame », dira sans doute l'infortuné - façon de parler - ministre...

    Marianne - 23/07/10 

  • Fadela Amara: "certaines pratiques de la police doivent changer"

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    Le 21 juillet, sortant de Matignon - (Cliquez sur la photo)
     Fadela Amara, la secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la Ville, a estimé jeudi que certaines "pratiques" de la police devaient "changer", tout en soutenant "fermement" la politique de sécurité du gouvernement, confronté à des violences urbaines.

    "On le sait, il y a des fois, de temps en temps, des contrôles d'identité qui peuvent paraître pour (certains jeunes) comme étant abusifs, quand on les tutoie" par exemple, a-t-elle déclaré lors d'un déplacement dans un quartier en pleine rénovation de Hem, près de Lille (Nord), consacré aux commerces de proximité.

    "Il faut changer ces pratiques", a estimé Mme Amara tout en soulignant que "la majorité de la police qui intervient dans les quartiers est une vraie police républicaine et respectueuse des citoyens".

    L'ancienne présidente de l'association Ni Putes Ni Soumises a également tenu à soutenir la politique du gouvernement au moment où le président Nicolas Sarkozy hausse le ton sur le thème de la sécurité, suite aux violences urbaines qui ont récemment secoué des quartiers de Grenoble et du Loir-et-Cher.

    "Je soutiens fermement la politique du (ministre de l'Intérieur) Brice Hortefeux" et "totalement la police républicaine", a-t-elle martelé. "Je n'accepte pas et je ne tolère pas l'insécurité dans les quartiers, parce qu'elle touche en premier lieu les habitants".

    AFP. 22/07/10

  • Blocs de béton lancés sur l'A4: 24 véhicules touchés, pas de victime

    A4 blocs de béton.jpg

    Le pire a été miraculeusement évité ce jeudi matin sur l'autoroute A4 à hauteur de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis). Des blocs de béton ont été jetés par un individu posté sur le pont enjambant les voies de circulation, provoquant d'importants dégâts sur une vingtaine de véhicules qui arrivaient à ce moment-là, dont deux poids lourds.

     Ces blocs de sécurité, d'un mètre de long et de 30 cm de haut, ont été descellés de la route.

     

    Au , trois véhicules ont été percutés par les morceaux de béton, tandis que 21 autres ont heurté les débris épars sur l'autoroute, sans qu'aucune victime ne soit à déplorer, a précisé le procureur adjoint de la République en Seine-Saint-Denis, Philibert Demory. Ce geste criminel s'est produit peu avant 5 heures et les deux voies de droite ont été neutralisées jusqu'à environ 7h30.

    Très vite, l'hypothèse d'un acte de malveillance s'est confirmée. Deux automobilistes ont aperçu sur le pont un inconnu lançant ce qu'ils ont pris pour des parpaings. Ils sont intervenus mais l'homme a réussi à disparaître dans un bois proche.

    «Ma voiture est morte»

    Les témoignages de nos internautes, confirment ces explications : «C'est un individu qui a lancé les parpaings sur les voitures en visant volontairement le conducteur, je le sais, j'étais le premier ! Ma voiture est morte. Cela a commencé à 4h50. Ce n'est absolument pas un camion qui a perdu sa cargaison», témoigne Adajo.

    «Je peux confirmer que c'est un acte malveillant. Puisque, j'ai évité un gros parpaing ce matin vers 4h45 sur la A4 et c'était bien une personne qui les jetaient du haut du pont», indique aussi Sydna.

    Une a été ouverte par les policiers pour tenter de retrouver l'individu qui serait à l'origine de ces actes malveillants. 

    Le Parisien - 22/07/10

  • L'indépendance du Kosovo confortée par la Cour Internationale de Justice

    Les États-Unis ont été très prompts à saluer l'annonce de l'organe judicaire des Nations unies, qui est un sérieux revers diplomatique pour la Serbie. 

    En déclarant unilatéralement son indépendance il y a deux ans et demi, l'ancienne province serbe à majorité albanaise du Kosovo «n'a violé aucune règle applicable du droit international». Voilà, c'est dit. Et par la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute instance juridique des Nations unies. Son président, Hisashi Owada, a précisé, hier après-midi, que «la Cour a conclu que l'adoption de la déclaration d'indépendance du 17 février 2008 n'a violé ni le droit international général, ni la résolution 1244 du Conseil de sécurité, ni le cadre constitutionnel».

    L'avis, rendu à La Haye, n'a beau être que consultatif, il est d'une grande portée diplomatique: pour la première fois, en effet, le droit international, exprimé par la CIJ, reconnaît la sécession d'une ancienne province d'un État membre de l'ONU. La Serbie, la partie plaignante dans cette affaire, soutenue principalement par son grand frère slave, la Russie, n'a eu de cesse, ces dernières années, de dénoncer le «défi» lancé par le Kosovo à l'ordre juridique international fondé sur le principe de la souveraineté des États.

    La Russie s'était servie du mauvais exemple que représentait à ses yeux le Kosovo pour justifier l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, deux provinces de la Géorgie qu'elle aura aidée par les armes à s'émanciper de Tbilissi. Bien que le parallèle soit osé, et qu'Abkhazie et Ossétie du Sud n'aient guère été reconnues que par leur puissance tutélaire, la Russie a agité le chiffon rouge kosovar pour expliquer que, demain, il viendrait à l'idée de telle ou ­telle province, en Europe ou ailleurs, de quitter sa mère patrie.

    La Russie regarde vers plusieurs de ses républiques caucasiennes, à commencer par la Tchétchénie. La Chine pense au Tibet et au Xinjiang. L'Espagne songe au Pays basque et à la Catalogne. Pour des raisons plus ou moins officielles, nombre de pays, dont cinq appartenant à l'Union européenne Espagne, Slovaquie, Roumanie, Grèce et Chypre n'ont pas à ce jour reconnu l'indépendance du Kosovo, en revanche célébrée par 69 des 192 nations représentées à l'ONU, dont les États-Unis et les pays fondateurs de l'Europe.

    Après la décision de la CIJ, la liste des parrains d'un Kosovo indépendant devrait rapidement s'allonger. «Le moment est venu pour l'Europe de s'unir pour un avenir commun», déclarait hier Philip Crowley, le porte-parole du département d'État américain. Washington, qui a mis fin par les bombardements de l'Otan sur la Serbie à la guerre dans l'ex-Yougoslavie, continue de veiller sur le Kosovo. C'est d'ailleurs aux États-Unis que le premier ministre kosovar, Hashim Thaci, qui y a rencontré le vice-président Joe Biden, a souhaité attendre la décision de la CIJ de La Haye…

     

    L'enclave serbe de Mitrovica 

     

    Demeuré à Pristina, le président Sejdiu s'est chargé de qualifier la journée d'hier de «journée bénie pour la République du Kosovo et tous ses citoyens». Un sentiment que ne peuvent partager les quelque 120.000 Serbes qui, dans le nord du pays, vivent reclus à Mitrovica et alentour, face à 2 millions de Kosovars d'origine albanaise. Cette enclave est portée à bout de bras par la Serbie voisine, dont le président, Boris Tadic, a encore réaffirmé hier que son pays ne reconnaîtra «jamais» l'indépendance du Kosovo. «Des jours difficiles sont devant nous, de grands défis», a affirmé le ministre des Affaires étrangères, Vuk Jeremic, sans que l'on puisse déduire de tels propos l'attitude qui sera maintenant celle de la Serbie. Belgrade, qui va être de plus en plus isolée sur la question du Kosovo au sein d'une Union européenne à laquelle elle veut adhérer, va-t-elle s'engager sur la voie du compromis ou chercher à maintenir, contre tous ses voisins, sa position historique?

    Le Figaro - 22/07/10

  • Tags antisémites et croix gammées sur la synagogue de Melun

     

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/une-agression-dans-un-quartier-calme-sans-aucune-tension-entre-communautes-1150724

    coix gammée synagogue.jpg

      MELUN — Des tags antisémites et des croix gammées ont été découverts jeudi matin sur le mur qui entoure la synagogue de Melun (Seine-et-Marne), ainsi que sur un mur du bâtiment, a-t-on appris jeudi de source policière.

    Le mur qui entoure la synagogue Etz Haïm a été recouvert dans la nuit de mercredi à jeudi de "tags antisémites faisant référence au nazisme et à Hitler", ainsi que de "croix gammées", a-t-on précisé de source policière, confirmant une information de RTL.

    Les tags ont été inscrits sur toute la longueur du mur qui fait 70 mètres, et la hauteur des caractères atteint 70 cm, a précisé le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) selon lequel une plainte en justice doit être déposée dans la journée.

    "Un des côtés de la synagogue, donnant directement sur la rue" et qui n'est "pas protégé par le mur de clôture", a également été "recouvert de tags antisémites", a ajouté la source policière.

    Une "enquête judiciaire a été diligentée par le parquet de Melun" et "tous les moyens d'enquête utiles sont mobilisés notamment pour analyser les traces et les indices relevés sur place", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Melun, Bruno Dalles.

    "La lutte contre ce type de phénomène exceptionnel est une priorité pour le parquet étant donné que c'est la première fois que cela arrive à Melun", a poursuivi M. Dalles.

    Si les auteurs sont interpellés, "une réponse pénale rapide et ferme sera décidée", a assuré le procureur de la République.

    Selon le Crif, la synagogue a été construite il y a quarante ans.

    Dès jeudi matin, des employés municipaux s'activaient à "effacer ces tags antisémites et ces croix gammées", selon la source policière.

    L'enquête a été confiée au commissariat de Melun.

    "Le Crif demande que les agresseurs soient interpellés au plus vite et que les peines qui leur seront appliquées soient extrêmement lourdes" car "c'est le seul moyen de montrer aux profanateurs qu'ils ne feront pas loi", a déclaré à l'AFP Marc Kmobel, chercheur au Crif.

    "Il n'y a rien de plus horrible que de toucher à la sacralité", a-t-il ajouté.

    AFP. 22/07/10

  • BRUNO GOLLNISCH - Grenoble: vers la guerre civile? - Les nouveaux barbares

    http://www.gollnisch.com/category/actualites/

     

    Le scandale que révèlent les émeutes de Grenoble ne réside pas dans la mort du braqueur multirécidiviste Karim Boudouda. Il y a des risques dans des métiers honnêtes. Il faut bien qu’il y en ait aussi pour les auteurs d’attaques à main armée.

    Le vrai scandale, c’est que l’intéressé, déjà condamné trois fois en Cour d’Assises pour des faits semblables, n’ait pas été fermement et définitivement expulsé vers son pays d’origine, l’Algérie.

    Combien l’éducation, les soins, l’entretien, les procès de Karim Boudouda ont-ils coûté à la France ? Et, toute honte bue, sa mère porte plainte contre l’Etat français !

    Venant après les émeutes de Villiers-le-Bel, celles de Grenoble révèlent les périls dans lesquels les politiques successives ont placé notre pays : que se passera-t-il quand tous les voyous attaqueront en même temps ceux qui sont censés assurer la sécurité des Français ?

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    Membre de la communauté dite « du voyage », Luigi Duquenet a été  tué par les tirs d’un gendarme dans la nuit de vendredi à samedi  à Thésée (Loir-et-Cher) à l’issue  d’une course-poursuite.  Le « voyageur » en question aurait foncé sur les forces de l’ordre parce qu’il n’avait pas son  « permis » avance ses amis, parce qu’il était impliqué dans un cambriolage qui venait de se produire estime  d’autres sources.  Résultat,  la colère de sa « tribu »  a débouché sur l’attaque en règle par plusieurs dizaines d’individus cagoulés   armés de haches,   de gourdins, de tronçonneuses et  de barres de fer ,    des « locaux du peloton d’autoroute et des cabines de péage à Saint-Romain », a expliqué la préfecture.

    Une simple mise en jambe avant le  saccage de la commune de Saint-Aignan où ils ont  attaqué et détruit des commerces du matériel urbain, incendiés des véhicules et abattus des arbres. Hier   trois voitures ont  été  également  brûlées dans le village d’Onzain, une vitrine a été défoncée à la voiture bélier à Meher et une salle de la mairie de Couddes a été détruite par  un engin incendiaire toujours dans le cadre de cette opération  de  représailles. Cette situation insurrectionnelle a nécessité l’envoi sur place de 300 militaires.

     

    Vendredi à Grenoble cette fois, c’est la mort du braqueur multirécidiviste Karim Boudouda, tué lors d’un échange de tirs avec la police à la suite du braquage  du casino d’Uriage-les-Bains en Isère,  qui a  déchaîné la colère de la communauté dite des « jeunes ». 80 voitures  ont été incendiées des commerces pillées dans le quartier de la Villeneuve , base arrière de  ce voyou.  Surtout, depuis trois jours, les forces de l’ordre  ont été le cible de tirs à balles réelles.

     

     Un tabou est tombé depuis l’embrasement général des quartiers pluriels  de l’automne 2005 et les affrontements de Villiers-le-Bel en  2007 : désormais ceux qui ont la « haine » n’hésitent plus à tirer contre les porteurs d’uniformes, symboles à leurs yeux d’un Etat  français détesté.    Les trois nuits de violences urbaines qu’a connu ce quartier périphérique de Grenoble ont une raison simple rapporte l’Afp :    « les jeunes de la cité appréciaient beaucoup (Karim Boudouda), et  (accusent) la police de bavure ». Lourdement armé lorsqu’il a été abattu par les policiers en état de légitime défense,- Un fusil d’assaut et un fusil mitrailleur ont été retrouvé à ses côtés dans son véhicule-   Boudouda avait déjà été condamné trois fois aux assises pour « vol à main armée ».

     

     

    Nous en avons l’habitude en pareil cas,  le  ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux a promené son visage accablé  et résigné sur les lieux samedi pour annoncer le déploiement à la Villeneuve de   240 hommes supplémentaires, dont des   membres du Raid et du GIPN. Au vu  de l’effort en moyens humains et matériels nécessaire pour rétablir la calme, on  peut une nouvelle fois douter de la capacité de l’Etat à assurer l’ordre républicain et la sécurité des Français dans l’hypothèse d’une multiplication  des émeutes. A fortiori alors que  dans la police comme dans  la gendarmerie,  9000 postes ont été supprimés et qu’autant le seront  d’ici 2012…

     

     Relatant les faits,  Le Monde soulignait que   « c’est après une prière au mort récitée dans la soirée par un imam, écoutée en silence par une cinquantaine de jeunes rassemblés dans un parc du quartier de la Villeneuve, d’où était originaire le braqueur tué, que la situation a dégénéré ».  « La famille du défunt qui a récupéré le corps du braqueur dimanche a lancé un appel au calme à l’occasion de l’inhumation de ce dernier,     selon le rituel musulman, dans un cimetière d’une banlieue de Grenoble », a précisé un  proche   de la victime » à l’Afp. « Nous serons en deuil pendant plusieurs jours a-t-il ajouté  et il est hors de question pour nous qu’il se passe quoi que ce soit dans la cité. On respecte l’âme du défunt ». Propos qui ne sont pas anodins puisque ils sont une manière d’affirmer que le retour au calme (relatif) ne découle pas  de la massive présence policière mais des consignes données, eu égard au  respect de la période de deuil et de  la  religion coranique…

     

     La   mère de la victime,  a elle aussi  lancé un «appel au calme» avant d’ajouter :  «ils ont déconné les flics, ils ont déconné. Je vais voir le procureur et je vais porter plainte. Ca va aller très loin» a-t-elle menacé . Loin jusqu’où ? Car si la douleur de cette mère de famille pleurant un fils est dans l’ordre des choses,  nettement plus  inquiétante  est la collusion qui s’est de nouveau manifestée ici entre les « jeunes » de cette  cité et  ce  voyou qui a trouvé la mort.

    Elle révèle  l’état de ghettoïsation de pans entiers de notre territoire national  qui ont  basculé dans l’économie mafieuse, de l’absence  de repères moraux et éthiques d’une jeunesse, très majoritairement de nationalité française, mais qui refuse  de s’assimiler au modèle national, rejette l’Etat de droit  et  qui vit même dans une détestation foncière  de la France et  des Français.

    Ce n’est pas faute pour le FN, d’avoir inlassablement prévenu la classe politique des conséquences  de sa folle politique d’immigration et de fabrication à la chaîne de français de papier. Vox clamantis in deserto

      

  • Prisons 4 étoiles - le dispositif "Botton" va être étendu

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
     

    NANTERRE — La ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie a indiqué jeudi qu'elle allait étendre à d'autres établissements pénitentiaires les mesures, déjà expérimentées à Nanterre, proposées par l'ex-détenu Pierre Botton pour améliorer le premier contact avec la prison.

    En visite à la maison d'arrêt des Hauts-de-Seine où elle a découvert les différents aspects de ce dispositif, la garde des Sceaux a qualifié l'expérimentation de "positive".

    "Nous allons l'étendre à d'autres établissements dans les prochains mois en vue peut-être d'une généralisation", a déclaré Mme Alliot-Marie.

    Les mesures mises en place à Nanterre à destination des détenus découvrant la prison, sont "concrètes" et de "bon sens", a observé la ministre : cellules d'"accueil" fraîchement repeintes, film explicatif décrivant le déroulement des première heures en prison -dont un moment très redouté, la fouille à nu-, téléphone pour prévenir sa famille, bancs plus larges.

    Les WC à la turque ont également été changés, des patères "anti-suicide" (trop souples pour qu'on puise s'y pendre) installées dans les douches. Le "pack arrivant" a été étoffé avec T-shirt, survêtement, et aussi des tongues pour éviter d'attraper des mycoses.

    Ces innovations ont été initiées par Pierre Botton, ex-gendre de Michel Noir, qui a fait vingt mois de prison dans les années 90 pour abus de biens sociaux et s'est trouvé chargé par la Chancellerie de réfléchir à des solutions pour diminuer le "choc carcéral" de l'arrivée en prison.

    Tant le personnel pénitentiaire que le contrôleur des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, qui s'est rendu à Nanterre, ont salué les effets bénéfiques de ces mesures depuis leur mise en oeuvre : "baisse du stress des détenus et des tensions" dans les quartiers arrivants, a noté Mme Alliot-Marie.

    AFP. 22/07/10

  • Des centaines de personnes aux obsèques du braqueur du casino d'Uriage

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    Karim Boudouda

    POISAT (Isère) — Plusieurs centaines de personnes ont assisté jeudi, à Poisat (Isère), près de Grenoble, à l'enterrement du braqueur tué par la police le 16 juillet, dont la mort a entraîné plusieurs nuits de violence dans le quartier grenoblois de la Villeneuve, a constaté une journaliste de l'AFP.

    Au moins 300 à 500 personnes étaient présentes, selon la gendarmerie qui avait fait le choix d'une présence discrète pour faciliter le déroulement de la cérémonie. Celle-ci a duré moins d'une heure dans le carré musulman du cimetière de Poisat.

    Une association musulmane locale assurait le service d'ordre alors que les journalistes et photographes étaient tenus à l'écart.

    Le cercueil était entouré par les anciens, de très nombreux jeunes se tenaient à l'arrière, alors que les femmes sont restées à l'écart, conformément au rituel musulman.

    Dans son prêche, l'imam a insisté sur la nécessité d'un retour au calme, a indiqué un participant qui a souhaité garder l'anonymat.

    Karim Boudouda, 27 ans, père de deux enfants et condamné trois fois aux assises pour vol à main armée, a été tué lors d'un échange de tirs avec la police dans le quartier de la Villeneuve, où il résidait, au terme d'une course-poursuite à la suite du braquage du casino d'Uriage-les-Bains (Isère).

    Son complice est toujours en fuite.

    AFP. 22/07/10

  • Aude: deux femmes entièrement vêtues et voilées interdites de piscine

    NARBONNE — Deux femmes voilées et entièrement vêtues ont été interdites de baignade dans une piscine d'un centre de vacances de l'Aude en raison de leur tenue, provoquant la colère d'un des maris qui a menacé un maître-nageur avec ses boules de pétanque, a indiqué jeudi la préfecture.

    "Ce n'est pas la tenue islamique qui posait problème", a souligné Anne-Marie Charvet, préfet de l'Aude. "C'est une mesure d'hygiène en vigueur dans toutes les piscines de France: il est interdit de porter autre chose qu'un maillot de bain, les shorts ne sont pas admis non plus".

    Mardi vers midi, deux mères de famille portant pantalon, tee-shirt et voile sur la tête ont été priées de quitter le bassin par le maître nageur du village de vacances, situé dans la station balnéaire de Port-Leucate. Leurs maris se sont approchés de lui et se sont montrés menaçants, l'un agitant des boules de pétanques.

    Le directeur du centre de vacances Rives des Corbières a appelé les gendarmes qui sont parvenus à calmer les esprits.

    Les deux pères de famille reprochaient aux surveillants de baignade de ne pas laisser les deux femmes surveiller leurs enfants qui s'amusaient dans la piscine.

    Lundi déjà, le personnel de la piscine avait expliqué aux deux familles le règlement d'accès à la piscine, notamment qu'aucun vêtement ne devait tremper dans l'eau, pour ne pas altérer sa propreté.

    Une plainte a été déposée contre l'homme qui a menacé le maître-nageur, mais la situation s'est apaisée et les deux couples de touristes séjournaient toujours, jeudi, au centre de vacances, selon le directeur de l'établissement.

    Les deux hommes n'ont pas été poursuivis après avoir été entendus par les gendarmes.

    Le directeur du centre de vacances a souligné qu'il n'y avait "aucune discrimination" et que des femmes voilées pouvaient très bien passer leurs vacances dans l'établissement.

    AFP. 22/07/10

  • Sa fille de trois ans fait pipi sous un arbre, il est verbalisé!

    VIDEOhttp://lci.tf1.fr/insolite/2010-07/sa-fille-de-trois-ans-fait-pipi-sous-un-arbre-il-est-verbalise-5934262.html 

    Besoins naturels, vous avez dit ? Pas si sûr. Une fillette de trois ans, qui se promenait au parc de la Tête d'Or à Lyon avec son père et sa sœur aînée, a soulagé une envie pressante au pied d'un arbre. Deux policiers municipaux, qui patrouillaient en vélo, font une remarque à son père, qui commence par s'excuser. Mais très rapidement le ton monte : la fillette a uriné à quelques mètres de WC publics. Le père fait valoir qu'il se déplace à l'aide de béquilles et n'a pas eu le temps de conduire l'enfant aux toilettes.
     
    L'un des policiers lâche :" je ne supporte pas ce genre d'attitude", ce à quoi répond le père : "moi je ne supporte pas une telle agressivité pour un simple pipi d'enfant". Le verdict tombe : contravention de troisième classe pour "miction sur la voie publique". La mairie, pour justifier la sanction, a assuré que "la petite fille s'est soulagée sur le trottoir devant l'entrée d'un restaurant" du parc, et non sous un arbre, ce qui, fait-elle valoir, constitue une infraction.

    Le contrevenant*, un maître de conférence en droit public, devra s'adresser au tribunal de police et pourrait se voir infliger une amende allant jusqu'à 450 euros

    * Stéphane Pinon et sa fille Eléonore

    TF1 News - 22/07/10

  • Tir d'obus à Gaza

    Un activiste palestinien a été tué et sept autres personnes, dont une petite fille de dix ans, ont été blessées par un tir d'obus israélien dans la bande de Gaza, rapportent des médecins palestiniens.

     

     

    Un porte-parole militaire israélien a indiqué pour sa part que des soldats israéliens avaient ouvert le feu sur des activistes soupçonnés de s'apprêter à tirer une roquette dans leur direction. On indique de source proche des services de sécurité que Tsahal a tiré un obus de char sur ces militants palestiniens.

    Voici une semaine, une Palestinienne avait été tuée par des tirs d'obus dans la bande de Gaza. Israël avait affirmé avoir ouvert le feu sur des activistes soupçonnés de préparer une attaque.

    L'Express - 21/07/10

  • La profanation du cimetière juif de Wolfisheim

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    Vingt-sept tombes ont été profanées au cimetière juif de Wolfisheim près de Strasbourg, la seconde profanation de tombes israélites dans le Bas-Rhin depuis le début de l'année, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

    Pierre Lévy, le délégué régional du CRIF qui s'est rendu sur place a évoqué "un spectacle à la fois impressionnant et triste". "C'est un choc pour la communauté juive mais aussi pour tous", a-t-il déclaré à Radio Bleu Alsace.

    "Il n'y a aucune inscription, aucune revendication, des stèles ont été renversées et certaines se sont brisées dans leur chute, c'est un travail de saccage méthodique sur toute une zone du cimetière", a-t-il ajouté.

    Dans un communiqué le consistoire juif a immédiatement condamné la profanation.

    "Les auteurs de ces actes criminels s'en prennent à ce qu'il y a de plus sacré pour la conscience humaine. On peut s'interroger sur le message que d'aucuns veulent faire passer par ces profanations à répétition".

    Dans un communiqué, le président UMP du conseil régional, Philippe Richert, a fait part de sa "plus vive indignation" et dénoncé un "acte odieux, qui va à l'encontre des traditions d'humanisme et de tolérance, qui ont fait et font encore la force de l'Alsace."

    Le président du conseil général du Bas-Rhin, l'UMP Guy-Dominique Kennel, a lui aussi condamné "fermement" des actes "empreints d'une grande lâcheté" tandis que le socialiste Jacques Bigot, président de la communauté urbaine, a déclaré que "ces agissements qui se répètent sont absolument insupportables pour les familles et pour tous les habitants de notre agglomération".

    Selon Jean Hermann, un responsable de la communauté juive de Wolfisheim interrogé par l'AFP, le ou les profanateurs ont renversé "les tombes les plus anciennes, dressées verticalement avec des pierres assez faciles à faire tomber". "Ils se seront introduits dans le petit cimetière d'une centaine de tombes en escaladant le mur d'enceinte puisque la porte en est toujours fermée", a-t-il ajouté.

    Les tombes profanées se situent toutes au fond du cimetière. Celles plus récentes de défunts de la petite communauté juive n'ont pas été touchées, selon Jean Hermann.

    Le cimetière se situe aux abords d'un rue très passante, mais un peu en retrait aux abords d'un champ.

    Aucune information n'a été ouverte pour l'instant, selon une source judiciaire qui a indiqué que la profanation a vraisemblablement eu lieu entre dimanche dernier et mercredi matin.

    Il s'agit de la troisième profanation depuis le début de cette année de tombes juives ou musulmanes dans la région.

    Le 29 juin, 18 tombes d'un carré musulman avaient été profanées au cimetière de la Robertsau, près de Strasbourg. Aucune inscription n'avait été retrouvée sur les sépultures.

    Une trentaine de tombes du cimetière juif du quartier Cronenbourg près de Strasbourg avait été profanées en janvier, le jour de la commémoration de la libération des camps de concentration nazis.

    Dix-huit stèles avaient été taguées avec une croix gammée inscrite en couleur brune et 13 avaient été renversées.

    Mercredi, la gendarmerie du Bas-Rhin se refusait à toute précision sur les circonstances de la profanation, alors que la police de Strasbourg était également présente en fin d'après-midi au cimetière, situé à moins de 10 kilomètres du centre de Strasbourg.

    La Dépêche - 21/07/10

  • Le Jourdain est trop pollué pour les baptêmes

    Le Jourdain est si pollué qu'il est dangereux d'y procéder aux baptêmes sur le site où Jésus reçut ce sacrement selon la tradition chrétienne, affirme l'association les Amis de la terre/Proche-Orient.

    "Nous appelons les autorités régionales à stopper les baptêmes dans le bas Jourdain jusqu'à ce que la qualité de l'eau y soit conforme aux normes requises pour des activités touristiques", affirme dans un communiqué cette association de défense de l'environnement qui évoque un risque sanitaire.

    Le ministère israélien de l'Environnement n'a momentanément pas apporté de commentaire à ces affirmations.

    Le site où Jésus fut baptisé par Jean il y a deux millénaires selon la tradition chrétienne est connu sous le nom de Qasr al-Yehud.

    Il se trouve dans une zone contrôlée par l'armée israélienne et interdite d'accès, aux abords la ville palestinienne de Jéricho, en Cisjordanie.

    Ces dernières années, à la suite des pressions du ministère israélien du Tourisme, l'armée autorise les pèlerins à s'y rendre, sur demande spéciale.

    En mai, les Amis de la Terre avaient affirmé dans un rapport que le Jourdain "a été réduit à un simple ruisseau au sud du Lac de Tibériade, asséché par la surexploitation de ses eaux, dévasté par la pollution".

    Selon cette association, 98% de ses eaux ont été détournées par Israël, la Syrie --qui exploite son affluent le Yarmouk-- et la Jordanie.

    Voila Actualités - 21/07/10

  • Iron Dome: une protection parfaite

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    Le système de défense Iron Dome fournit une protection parfaite contre toutes les menaces de roquettes, qu'elles proviennent du Liban ou de la bande de Gaza. C'est ce qu'a déclaré, mardi, Yossi Drucker, directeur du projet pour la compagnie israélienne Rafaël. Plus encore, le bouclier anti-missiles aurait même dépassé les attentes du ministère de la Défense. Coût de l'opération : environ 200 millions de dollars.

    Les derniers essais d'Iron Dome ont été menés la semaine dernière. Les premiers déploiements sont prévus en novembre, selon le ministère de la Défense, vraisemblablement autour de Sderot. S'il s'avère efficace, le bouclier anti-missiles pourrait présenter des implications stratégiques importantes dans la guerre perpétuelle de l'Etat hébreu contre les attaques frontalières.

    Un système unique en son genre

    Iron Dome est doté d'un radar sophistiqué permettant de localiser des roquettes, des les intercepter et de les détruire avant qu'elles n'atteignent leurs cibles. Il s'agit de l'unique modèle du genre, selon les experts. Les essais menés lundi comprenaient la destruction de cibles multiples en coordination avec l'armée de l'air.

    Aujourd'hui encore, les groupes terroristes de Gaza continuent de tirer des roquettes artisanales en direction d'Israël. C'est l'une des raisons pour lesquelles l'Etat hébreu avait déclenché l'opération Plomb durci en décembre 2008.

    Un autre système - Arrow - avait également été déployé il y a quelques années. Capable d'intercepter et de détruire des missiles à plus haute altitude, ce bouclier, de fabrication israélo-américaine, est notamment destiné à protéger l'Etat hébreu d'éventuelles attaques iraniennes.

    JERUSALEM POST - 20/07/10

     
  • "L'Europe en dormition" par Dominique Venner - La Nouvelle Revue d'Histoire n°49

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    Dominique Venner
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    NRH - Eté 2010  n°49
     
    21.07/10

  • Le Front National Calédonien n'acceptera jamais le drapeau du FLNKS

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    Communiqué de Presse de Bianca Hénin, secrétaire fédérale du FN en Nouvelle-Calédonie – site FN Nouvelle-Calédonie

    Le Front National réclame dès aujourd’hui que les responsables indépendantistes expliquent très clairement aux Calédoniens, et aux Mélanésiens non-indépendantistes le projet politique d’avenir de ce Territoire sans la France.

    Non content d’avoir signé l’Accord de Nouméa, le RUMP (ndlr : le Rassemblement UMP) joue encore une fois les gros titres du quotidien, en faisant croire à une longue réflexion de concertation avec la population Calédonienne, et offre un nouveau cadeau aux indépendantistes en acceptant leur drapeau.

    Par ailleurs, le Front National se dit profondément choqué, par l’Etat complice, qui a effrontément édité l’Almanach 2010 de l’Armée française (pahe 56) avec en titre : « Les forces armées en Nouvelle-Calédonie » accolé au drapeau du FLNKS.

    Merci Monsieur le Président.

    Attendez au moins le troisième référendum.

    NPI - 21/07/10

  • Le Conseil d'Etat confirme le retrait d'un permis de construire à Michel Drucker

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    En 2008 à l'Elysée
     
     

    Le Conseil d'Etat a confirmé une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de Marseille suspendant une décision du maire d'Eygalières (Bouches-du-Rhône), qui avait refusé de retirer un permis de construire accordé à l'animateur Michel Drucker, a-t-on appris mercredi auprès du Conseil.

    Le 26 novembre 2009, le tribunal avait ainsi donné raison à la Ligue de défense des Alpilles qui estimait que la mairie d'Eygalières aurait dû consulter l'architecte des bâtiments de France avant d'accorder ce permis de construire.

    La maison de 293 m2 que construit l'animateur se trouve en effet, selon l'association, dans un rayon de moins de 500 m d'une chapelle, inscrite "dans le périmètre d'un site classé, dans un espace remarquable de la Directive paysage Alpilles".

    "Le juge des référés a pu, sans commettre d'erreur de droit ni dénaturer les pièces du dossier qui lui était soumis, retenir, en l'état de l'instruction, comme de nature à créer un doute sérieux sur la légalité du permis de construire litigieux, le moyen tiré de ce qu'il serait entaché de fraude", affirme le Conseil dans son arrêt, évoqué par Le Canard Enchaîné dans son édition du 21 juillet, et dont l'AFP obtenu copie.

    "Nous sommes très satisfaits de la décision du Conseil d'Etat", a déclaré à l'AFP Annick Blanc, présidente de la Ligue de défense des Alpilles. "La maison est pratiquement construite mais à ma connaissance, il n'y a plus de travaux en cours", a-t-elle ajouté.

    La mairie d'Eygalières, qui avait formé le pourvoi contre l'ordonnance de référé, n'a pas pu être jointe mercredi.

    La procédure administrative au fond suit son cours mais aucune date d'audience n'est pour le moment connue.

    Par ailleurs, l'association envisage, après avoir vu une première plainte simple classée sans suite par le parquet de Tarascon (Bouches-du-Rhône), de déposer une nouvelle plainte, cette fois avec constitution de partie civile.

    "Nous l'envisageons mais nous devons en discuter avec nos avocats et la décision sera prise début septembre lors de notre prochain conseil d'administration, au cours duquel nous ferons un point sur l'ensemble de la situation", a affirmé Mme Blanc.

    Le Point- 21/07/10

  • Devant le juge Isabelle Prévost-Desprez, Claire Thibout réitère ses accusations de financement politique illégal

    NANTERRE — L'ex-comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thibout, a réitéré ses accusations de financement politique illégal lors de son audition vendredi par la juge Isabelle Prévost-Desprez, a-t-on appris mercredi auprès de son avocat, confirmant une information du Monde et de Mediapart.

    "Lors de cette audition, elle a confirmé ce qu'elle a toujours dit, à savoir que des enveloppes d'argent liquide avaient été régulièrement distribuées à des hommes politiques", a indiqué à l'AFP Me Antoine Gillot.

    Selon des extraits de PV d'audition publiés par Le Monde et Mediapart, Claire Thibout aurait précisé dans le bureau de la juge que les sommes contenues par les enveloppes "pouvaient aller de 20.000 à 100.000 euros".

    "Liliane Bettencourt laissait échapper parfois de petites choses sur les destinataires de ces enveloppes. André Bettencourt était plus discret. J'ai fait des déductions entre les demandes d'enveloppes et la venue de certains politiques en campagne électorale", a-t-elle raconté.

    Face à Mme Prévost-Desprez, qui enquête dans le cadre d'un supplément d'information sur les enregistrements clandestins, Claire Thibout a par ailleurs maintenu ses accusations de financement illégal de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

    Interrogée sur l'état de santé de Mme Bettencourt, l'ex-comptable a raconté qu'il s'était sérieusement dégradé à partir de 2003, l'obligeant à apprendre par coeur des "mots écrits" par François-Marie Banier et Patrice de Maistre avant de s'exprimer lors d'interviews ou face à des personnalités.

    "Quand Françoise Bettencourt a porté plainte, Patrice de Maistre lui a rédigé un mot qu'elle a appris par coeur pour le rendez-vous avec Nicolas Sarkozy, président de la République", a ainsi raconté la comptable à la juge.

    "Ce mot disait qu'elle le félicitait pour son élection, qu'elle avait des ennuis avec sa fille en précisant: "je vous ai toujours aidé et je vous aiderai toujours", a-t-elle ajouté.

    Interrogé sur ces propos, Me Antoine Gillot a indiqué à l'AFP que les propos rapportés par les deux organes de presse étaient "tout à fait conformes" à ce que Claire Thibout lui avait assuré avoir affirmé au cours de son audition.

    AFP. 21/07/10