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GAELLE MANN - Page 1769

  • A Washington, on parle ouvertement de la bombe nucléaire israélienne

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    La capacité nucléaire israélienne était jusqu'à présent quelque chose que l'on n'évoquait pas à Washington pour ne pas donner des arguments à ceux qui en Iran et dans le monde arabe exigent que la question nucléaire soit abordée sur un pied d'égalité absolue dans la région.

    Cela a changé cette semaine. "Une adhésion universelle au TNP - y compris par l'Inde, Israël, le Pakistan et la Corée du Nord - demeure un objectif fondamental des Etats-Unis", a déclaré mardi Rose Gottemoeller, déléguée de l'Administration Obama à une session préparatoire pour la conférence mondiale sur le Traité de Non Prolifération nucléaire qui se tiendra en mai 2010 à New York.

    Cette petite phrase se veut anodine mais elle peut augurer d'un changement majeur dans les relations entre les Etats-Unis et Israël. La référence à la bombe israélienne constitue peut-être le principal levier dont va user Obama pour faire plier le gouvernement de Netanyahu qui persiste à refuser la création d'un Etat palestinien, allant ainsi à l'encontre de toute la communauté internationale.

    En Israël, l'inquiétude est grande. Aux Etats-Unis, un article fort documenté, publié hier par le Washington Times (journal proche des milieux néoconservateurs), se fait l'écho de l'inquiétude suscitée par la menace d'un changement de position de l'administration Obama.

    Selon cet article, un accord secret conclu entre Richard Nixon et Golda Meir en 1969 engage les deux pays à ne jamais reconnaître publiquement la détention par Israël de l'arme nucléaire.

    "Les Israéliens redoutent, à juste titre, qu'Obama veuille faire quelque chose avec l'Iran et que cela puisse concerner une nouvelle approche du programme israélien", affirme dans l'article du Washington Times Henry Sokolski, directeur d'un institut sur la non prolifération nucléaire à Washington.

    En 2000, lorsque Bill Clinton avait lancé l'idée d'un traité interdisant la production de matières fissiles pour la production d'armements, idée reprise par Obama, Netanyahu s'y serait fermement opposé.

    Le débat lancé cette semaine à Washington ne manquera pas d'alimenter la rencontre qu'auront Barack Obama et Benyamin Netanyahu le 18 mai à la Maison Blanche.

    Le Figaro - 10 mai 2009

  • Esclave en Mauritanie... au XXème siècle!

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    Yahia Ould Brahim, la trentaine, était esclave en Mauritanie dès l'âge de 5 ans

    La France célèbre aujourd'hui, comme tous les 10 mai, l'abolition de l'esclavage. Des esclaves, il y en a pourtant encore beaucoup dans le monde, comme Yahia Ould Brahim, qui s'est enfui de Mauritanie.

    Il est libre. Mais avec son air perdu, sa voix à peine audible, il semble toujours captif. Il y a quelques années, Yahia Ould Brahim, la trentaine, était esclave dans son pays, la Mauritanie. Vers l'âge de 5 ans, il a été arraché à sa famille. « Mes parents étaient esclaves d'un maître maure, raconte-t-il, les yeux rivés sur la forêt de tours que lui offre cet étage élevé d'un immeuble de Clichy-sous-Bois, à des années-lumière des déserts de Mauritanie. Ils vivaient au sud-est du pays, à Ouidimagha. Ils cultivaient, le maître venait chercher les récoltes. »

    Un jour, c'est lui que le maître vient chercher. « Je gardais les chèvres, et je vivais avec elles. Il me bastonnait, me disait de ne pas le regarder dans les yeux, de ne pas crier ! Il a pris ma soeur, mon frère. » Ould Brahim n'aurait jamais eu l'idée de se révolter. Mais un jour, il perd des chèvres. « Je n'ai pas osé retourner chez le maître. » Le jeune homme s'enfuit à Nouadhibou en 1999.

    Il est libre, mais ne s'en rend pas compte. « J'avais peur que le maître me reprenne ! Des associations aident les esclaves mais il faut porter plainte. Et les gendarmes peuvent vous ramener... Je suis parti en Europe en bateau. Tout valait mieux que cette vie-là. »

    Yahia Ould Brahim, qui tente d'obtenir le statut de réfugié, a laissé derrière lui des centaines de milliers de frères et soeurs d'infortune. L'esclavage colle à la peau de la Mauritanie. Pendant des siècles, les Maures, ou Arabo-Berbères, qui dominent le pays, se sont servis en esclaves noirs. L'esclavage a été aboli en 1905, au temps de la colonisation française, et de nouveau en 1980, sous la pression internationale. Mais les traditions, l'illettrisme, la misère, les croyances religieuses lient les anciens esclaves aux maîtres plus solidement que des chaînes. « Certains, que l'on appelle Haratine, ont été affranchis, d'autres non. De toute façon ça ne change rien, s'indigne Mohamed Yahia Ould Cire, président de l'Association des Haratine de Mauritanie en Europe. Les maîtres disent aux Haratine qu'ils ont une dette devant Dieu, puisqu'ils les ont affranchis. Alors les Haratine leur versent de l'argent, travaillent pour eux. » La moitié des 3,5 millions de Mauritaniens seraient esclaves ou Haratine.

    Les Haratine, sans documents prouvant qu'ils sont libres, reproduisent la domination qu'ils ont toujours vécue. L'esclavage reste ancré dans les mentalités. Mohamed Yahia Ould Cire, 59 ans, le sait: lui est allé à l'école pendant la colonisation. Il est devenu diplomate. « À l'ambassade, je faisais le travail dont les Maures ne voulaient pas ! Mon statut d'ancien esclave me suivait. » Il a dû fuir en 1998, parce qu'il tentait de faire appliquer les lois anti-esclavagistes. « Les Haratine n'ont jamais raison devant la justice. » Pour que la situation évolue, il faudrait que les esclavagistes arrêtent d'instrumentaliser l'Islam, et que le gouvernement cesse de mettre la tête dans le sable. « Sinon, déplore Ould Cire, nous serons éternellement considérés comme des sous-hommes. »

    Florence PITARD. LCI.fr - 10 mai 2009

  • Benoît XVI dénonce la mauvaise influence de "l'industrie du divertissement"

    Le pape Benoît XVI a dénoncé samedi la mauvaise influence de l'industrie du divertissement sur les enfants et les personnes vulnérables, lors de vêpres célébrées dans la cathédrale grecque-melkite catholique Saint-Georges à Amman.

      "Qui, en tant que parent , pourrait ne pas être troublé par les influences néfastes si présentes dans notre monde globalisé, notamment les facteurs destructeurs présents dans l'industrie du divertissement qui exploite sans coeur l'innocence et la sensibilité des jeunes et des personnes vulnérables", a dit le pape lors de sa première homélie de son pèlerinage, au deuxième jour de son voyage en Terre sainte.

    Le pape a souligné que certaines "préoccupations" et certains "soucis" dépassent les frontières culturelles et religieuses, notamment "les espoirs et les aspirations des parents pour leurs enfants".

    Lors de cette célébration en rite grecque-melkite, Benoît XVI a également salué le "trésor antique et vivant des traditions des Eglises orientales" qui ne devrait "jamais être compris uniquement comme un objet à préserver".

    AFP. 09/05/09

  • Ils sont chez nous pour ne pas crever de faim chez eux: merci la France!

    Marche antiraciste et décoloniale 8 mai 09 Paris.jpg
    La "Marche antiraciste et décoloniale" le 8 mai 2009 à Paris
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Plus d'un millier de personnes selon les organisateurs, 300 selon la police, ont défilé vendredi à Paris à l'appel du Mouvement des Indigènes de la République (MIR) pour réclamer la reconnaissance du "massacre de Sétif le 8 mai 1945" et dénoncer les discriminations en France.

    Le cortège s'est ébranlé du boulevard Barbès (XVIIIe arrondissement) à la Place de Clichy (XVIIe), derrière une banderole dénonciatrice: "Si nous sommes ici, c'est que vous étiez là-bas".

    Cette marche est la cinquième organisée par le MIR. Créé en 2005, ce mouvement dit vouloir "combattre les inégalités raciales qui cantonnent les Noirs, les Arabes et les musulmans à un statut analogue à celui des indigènes dans les anciennes colonies".

    "Le 8 mai 1945 est le jour de la fin du régime de Vichy et du rétablissement de l'Etat de droit mais le même jour il y a eu le massacre de Sétif", a rappelé la porte-parole du mouvement, Houria Bouteldja.

    La répression par les forces françaises des manifestations pro-indépendantistes à Sétif, Guelma et Kherrata, trois villes de l'est algérien, a fait des milliers de morts. Alors que les Algériens parlent de 45.000 victimes, du côté français, les chiffres varient, selon les sources, entre 1.500 et 20.000 morts, dont 103 Européens.

    Pour la sénatrice Alima Boumediene-Thiery (Verts), qui refuse que "la France ait des trous de mémoire", "l'Etat doit reconnaître (c)es massacres". "

    Pour Mme Bouteldja, "les contradictions de la République existent toujours": "l'Etat tient un discours "droits de l'hommiste", égalitaire mais les personnes d'origines africaine et maghrébine sont victimes de discriminations à l'emploi, pour trouver un logement et dans leur vie quotidienne".

    AFP. 08/05/09

    Leurs pays ne sont  plus depuis longtemps sous administration coloniale, ce sont des Etats indépendants. Pourquoi  ne retournent-ils pas y vivre, loin de cette France qu'ils haïssent?

  • VIDEOS "Happy birthday to you..."

    http://www.dailymotion.com/video/x97on6_lagarde-fait-sa-marilyn_news

    Reportage enregistré à la salle Gaveau au cours de la petite sauterie organisée par l'UMP pour fêter avec force discours et champagne les 2 ans de Nicolas Sarközy à la présidence de la République.

     Le 19 mai 1962, directement du Madison Square Garden (New-York) Marilyn Monroe chante "Happy Birthday, Mr President" au Président John F. Kennedy

     http://www.dailymotion.com/video/x188do_marilyn-monroe-happy-birthday

  • Sarközy fait ses commémorations

    De Gaulle statue Sarkozy 8 mai 09.jpg
    Aux Champs-Elysées devant la statue de De Gaulle - 8 mai 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)
    La Nartelle Sarközy.jpg
    Discours vibrant sur la plage de La Nartelle
     Avec Fillon à La Nartelle 8 mai 09.jpg
    Avec Filllon à La Nartelle avant de rejoindre Carla au cap Nègre
    Nicolas Sarközy ne se lasse pas des cérémonies de commémoration de la Seconde Guerre mondiale.
     Le 30 avril dernier, il était aux Glières pour célébrer la Résistance, et déclarer : "La fatalité, l'impuissance, ça n'existe que pour ceux qui ont décidé de renoncer. Il ne faut pas renoncer." Aujourd'hui, sur la plage de la Nartelle, à Sainte-Maxime (Var), il a célébré la capitulation allemande. Elle s'est produite en deux temps : 7 mai 1945 à Reims, puis deux jours plus tard à Berlin.
    Le débarquement de Provence s'est, pour sa part, produit le 15 août 1944, voyant des soldats américains et des troupes françaises issues pour l'essentiel des colonies africaines et asiatiques. Dans son discours, Nicolas Sarközy n'a pas manqué de saluer les Spahis, les Tabors marocains, les Tirailleurs sénégalais... Il a également déclaré que les Français devaient "ne rien oublier, mais ne plus haïr", avant de conclure : "Ne plus haïr, mais ne rien oublier... Pour demain, ne pas subir". Il a rappelé l'importance historique du débarquement de Provence, postérieur de deux mois à celui de Normandie : "En débarquant sur ces plages sous le feu meurtrier de l'ennemi, en incorporant dans leurs rangs, au fur et à mesure de leur progression, les Forces françaises de l'intérieur, en rétablissant partout l'autorité de l'État et la souveraineté de la Nation, ils étaient davantage que des soldats victorieux : ils étaient la France qui rentrait chez elle, qui retrouvait son honneur et sa dignité."
    Le Point- 8 mai 2009

  • Des jeunes avaient torturé un vieil homme de 82 ans à Ivry - arrestations

    Roger est toujours entre la vie et la mort. Ce retraité de 82 ans est hospitalisé depuis le 12 avril. La nuit du dimanche de Pâques, il a reçu la visite de trois jeunes, qui l’ont sauvagement battu pour le voler. Trois suspects âgés de 18 à 20 ans plus une jeune fille de 17 ans ont été arrêtés cette semaine.

    Le calvaire de Roger a duré plusieurs heures.

     Ses agresseurs ont forcé la serrure de son pavillon, rue Pierre-Galais à Ivry. Ils l’ont surpris dans son sommeil, puis ils l’ont ligoté avant de s’acharner. Une pluie de coups pour lui subtiliser une carabine, quelques centaines d’euros, sa carte bancaire. Ils ont redoublé de violence pour obtenir le code confidentiel, lui occasionnant un hématome très important à la tête. Puis, le trio est parti.


    Vers 4 heures du matin, Roger a pu se libérer et appeler les secours. Patricia, la voisine, n’a rien entendu. Mais elle a vu le retraité chez lui juste après. « Quand je suis entrée dans la pièce, il y avait du sang partout, ils se sont servi d’un rasoir pour le couper, raconte, encore choquée, cette mère de famille. Lui était totalement déshabillé, ses mains étaient menottées et il avait un sac sur la tête. Ils ont même mis un lit, une table et d’autres meubles sur lui pour ne pas qu’il bouge. Le pire, c’est que des traces de nourriture ont été retrouvées sur la table : ils ont pris un repas après avoir séquestré leur victime. »

    Roger est entendu sur son lit d’hôpital dans la foulée, puis sombre dans le coma. Il n’a pas repris connaissance et les médecins se montrent très pessimistes.

     Mais les agresseurs vont faire usage de sa carte bleue, pour acheter des vêtements au centre commercial Thiais Belle-Epine. Un jeune homme et une jeune fille apparaissent sur les images de vidéosurveillance. Le premier est identifié. C’est un tout jeune majeur, connu pour des peccadilles. Lundi matin, à l’aube, la police judiciaire de Créteil, épaulée par la BRI (brigade de recherche et d’intervention) pour faire sauter une lourde porte blindée, est allée le cueillir à Ivry. Sur son ordinateur, les enquêteurs ont découvert une série de photos d’objets qui pourraient provenir d’autres vols. Le jeune homme a été écroué mercredi. Le même jour, ses deux complices présumés et la jeune fille ont été arrêtés à leur tour. Elle a été placée sous contrôle judiciaire tandis que les deux jeunes gens, qui nient, devaient être incarcérés hier dans la soirée. Ils pourraient être mêlés à une autre agression, il y a dix jours, dans la ville voisine de Vitry-sur-Seine. Chez un couple de personnes âgées.
     

    Leparisien.fr - 8 mai 2009

  • Dieudonné remercie Claude Guéant et présente sa liste antisioniste

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    L'humoriste  Dieudonné a présenté vendredi 8 mai sa très hétérogène liste anti-sioniste pour les européennes en Ile-de-France, remerciant le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, d'avoir popularisé son initiative en lançant la question de son interdiction.
    Très en verve, Dieudonné, qui tenait une conférence de presse sur la scène de son théâtre parisien de la Main d'Or devant de nombreux supporteurs, a d'entrée annoncé qu'il entendait "répondre à M. Guéant, notre ami Guéant, M. Guéant notre attaché de presse".

    Dimanche, le secrétaire général de l'Elysée avait annoncé que les pouvoirs publics étudiaient la possibilité d'interdire les listes "anti-sionistes" que Dieudonné, plusieurs fois condamné pour des propos sur la Shoah et les juifs, veut présenter aux européennes.

    En agissant de la sorte, "Guéant nous a placés au coeur du débat sur les élections", s'est félicité Dieudonné, qui s'est déclaré "étonné" par l'écho rencontré par la polémique.

    Interrogé sur le fait de savoir si la déclaration de l'Elysée n'était pas en réalité une "stratégie" pour faire diversion dans la campagne, Dieudonné a répondu: "si c'est le cas, c'est jouer avec de la nitroglycérine".

    Attablé avec ses deux principaux colistiers, l'écrivain ex-membre du Front national Alain Soral et le président du "Parti anti-sioniste de France", Yahia Gouasmi, Dieudonné a également donné la parole à chacun des autres membres de la liste, venus d'horizons extrêmement différents.

    Nombre d'entre eux ont affirmé avoir milité dans des organisations aussi diverses que les syndicats CGT et Sud, le PCF, les Verts ou le Front national jeunesse (FNJ).

    "C'est un mouvement de tous les horizons, de toutes les régions", s'est félicité Dieudonné. "

    Mais malgré la multiplicité des parcours, l'ennemi était bien le même pour tout le monde: le sionisme.

    "Le seul ennemi de cette République, c'est le sionisme, qui est là et qui nous divise depuis toujours, qui organise en fait les guerres un peu partout, dans le monde et en France", a-t-il déclaré.

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    Alain Soral, qui a quitté le FN en février après que sa candidature eut été écartée pour conduire la liste en Ile-de-France, s'en est également violemment pris à Claude Guéant.

    "Guéant a dit que M. Dieudonné était antisémite "tout le temps". Ce n'est même pas français comme phrase. Je rappelle que même Adolf Hitler quand il caressait son chien avait des petites baisses d'antisémitisme", a-t-il lancé sous les rires de l'assemblée.

    Les trois principaux membres de la liste ont annoncé qu'ils déposeraient leur liste mercredi à 11H00 au ministère de l'Intérieur. Ils s'y rendront à bord d'un car, baptisé le "Dieudonné bus", avec lequel ils entendent faire campagne.

    AFP. 08/05/09

  • VIDEO Tout ce que l'on doit savoir sur la loi HADOPI

    http://www.dailymotion.com/video/x8vhnm_french-connection-v2_news

    Haute Autorité pour la Diffusion des Œuvres et la Protection des Droits sur Internet ou "HADOPI" 

  • La jeune fille retrouvée morte dans un ruisseau à Angres a été assassinée

    L'autopsie de Céline Récollet, lycéenne de 17 ans et demi, retrouvée morte mercredi dans un ruisseau à Angres (Pas-de-Calais) a révélé qu'elle avait été noyée par un tiers, et les enquêteurs ont placé son ancien petit ami en garde à vue jeudi soir.

    Elle étudiait au lycée Henri-Darras. Son corps se trouvait à quelques centaines de mètres de l'établissement, dans un petit ruisseau en contrebas d'une prairie. 

    «L'autopsie a confirmé nos doutes sur l'homicide et exclu la noyade accidentelle», a indiqué le parquet de Béthune, selon qui les examens ont révélé une «striction au niveau du cou» qui montre que la tête de la jeune fille a été maintenue sous l'eau, provoquant la noyade et donc la mort.

     L'ancien petit ami de la jeune femme, avec qui cette dernière aurait rompu une semaine auparavant, est semble-t-il «la dernière personne à l'avoir rencontrée avant sa mort», selon cette source.

    L'homme, d'une dizaine d'années plus âgé que la jeune femme, et qui aurait "mal vécu" cette séparation, a été placé jeudi soir en garde à vue au commissariat de Lens (Pas-de-Calais).

    Le corps sans vie de l'adolescente, à semi-immergé dans 50 à 60 centimètres d'eau, avait été découvert dans la Souchez mercredi, en fin d'après-midi par des promeneurs.

    Le corps -habillé- ne présentait pas de traces de coups apparentes permettant d'expliquer le décès. Un couteau avait été retrouvé à proximité mais l'examen du corps n'avait révélé aucune trace de coups de couteau.

    La jeune fille n'était pas signalée disparue.

    La Brigade criminelle de Lens a été chargée de l'enquête.

    Leparisien.fr 7 mai 2009

     

  • Roman Polanski toujours poursuivi aux EU pour viol d'une mineure de 13 ans en 1977

    Roman Polanski pédophile.jpg
    Le cinéaste Roman Polanski, de son vrai nom Raymond Roman Liebling, est né à Paris en 1933

    Un juge de Los Angeles a rejeté jeudi une requête du cinéaste franco-polonais Roman Polanski de voir abandonner les poursuites qui le visent depuis trois décennies pour avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans, en raison de l'absence du réalisateur à l'audience.

    Le juge Peter Espinoza avait suspendu sa décision jusqu'à l'audience de jeudi, afin de donner à Roman Polanski la possibilité de se présenter en personne devant la Cour, estimant que le cinéaste n'avait pas le droit d'obtenir satisfaction tant qu'il resterait en "fuite".

    Les avocats de Polanski avaient indiqué lundi que la présence du cinéaste à cette audience n'est "ni nécessaire ni utile".

    En décembre dernier, les avocats du réalisateur de "Rosemary's baby" avaient déposé une demande pour obtenir l'abandon des poursuites.

    Ils affirmaient avoir mis au jour de nouvelles preuves montrant que le réalisateur, aujourd'hui âgé de 75 ans, n'avait pas bénéficié à l'époque d'une procédure pénale équitable.

     Roman Polanski avait plaidé coupable de "relations sexuelles illégales" après avoir été arrêté en 1977 à Los Angeles à la suite de la plainte des parents d'une adolescente de 13 ans.

    Envoyé en "évaluation" en prison pendant trois mois, M. Polanski y avait passé 47 jours. Fin janvier 1978, au lendemain d'une réunion entre ses avocats et un juge lors de laquelle ce dernier avait laissé entendre qu'il allait le renvoyer sous les verrous, Roman Polanski avait pris un avion pour la France d'où il ne peut être extradé, étant de nationalité française selon le droit du sol.

    La procédure courant contre lui à Los Angeles n'a jamais été annulée et le cinéaste n'a pas remis les pieds depuis plus de 30 ans sur le sol américain.  AFP. 07/05/09

    En 1977, Polanski est accusé de viol sur une jeune fille de treize ans : Samantha Geimer. Cette dernière avait été choisie par le cinéaste pour une campagne de photos sur les adolescentes commandée par l'édition française du magazine Vogue. Pendant la séance, sur les hauteurs de Los Angeles, aux abords de la propriété de Jack Nicholson, le 10 mars, il l'aurait saoulée avec de l'alcool et droguée avec un anxiolytique. Il aurait ensuite procédé à des pénétrations sexuelles vaginales et anales de l'adolescente malgré le refus de cette dernière. À la suite d'un procès extrêmement médiatique, il plaide coupable aux principaux chefs d'accusation retenus contre lui par le tribunal californien où il était assigné à comparaître. (Wikipedia)

     

     
     
  • "Bienvenue au pape au camp d'Aïda"

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    Camp de réfugiés à Aïda en Cisjordanie: construction d'une estrade pour le pape le long du Mur de séparation

    "Bienvenue au pape dans le camp d'Aïda". L'inscription a été taguée sur le Mur de séparation israélien par des réfugiés palestiniens déterminés à mettre à profit la visite de Benoît XVI pour attirer l'attention du monde sur leur drame.

    Le principal souci du comité d'accueil local chargé de préparer la visite du pape dans le camp, le 13 mai, est en effet de le faire apparaître le plus près possible du mur de béton haut de huit mètres.

    Ce tronçon fait partie de la "clôture de sécurité" érigée par Israël en Cisjordanie et dénoncée comme un "mur de l'apartheid" par les Palestiniens.

    "Nous voulons que le monde le voie avec le mur et le mirador de l'armée israélienne dans le dos", explique Adnane Ajarmeh, membre du comité d'accueil et président d'une association offrant des services aux 4.600 réfugiés qui s'entassent dans le camp d'Aïda, à l'entrée de la ville de Bethléem.

    Après avoir envisagé de recevoir le pape sur une estrade spécialement construite au pied du mur, le comité d'accueil s'est résigné, sur demande de l'Autorité palestinienne, à organiser l'événement dans la cour d'une école distante de quelques mètres seulement.

    M. Ajarmeh soupçonne Israël, qui a ordonné la suspension des travaux sur l'estrade, d'avoir "exercé des pressions" pour que l'emplacement soit changé.
    Mais la tribune sur laquelle le pape prendra place aux côtés du président palestinien Mahmoud Abbas sera suffisamment élevée pour qu'apparaisse la barrière de séparation dans l'arrière-plan sans être éclipsée par le mur d'enceinte de l'école, assure M. Ajarmeh. "On va aussi essayer de ralentir son convoi lorsqu'il longera le mur en arrivant pour qu'un maximum d'images soient prises", ajoute-t-il.

    Présentée par Israël comme une "clôture antiterroriste", la barrière, qui s'étend sur plus de 650 km, empiète sur la Cisjordanie et rend extrêmement problématique la création d'un Etat palestinien viable.

    Les habitants du camp, originaires de 43 villages rasés par les forces israéliennes lors de la création de l'Etat hébreu en 1948, entendent aussi profiter de la venue du pape pour sensibiliser le monde à leur revendication de retourner sur leurs terres, catégoriquement rejetée par Israël. "Je ne suis pas dupe pour croire que le pape pourra nous obtenir le droit au retour, mais sa visite rappellera nos souffrances au monde, ce qui peut servir de levier politique", dit-il.

    La cour de l'école primaire choisie pour accueillir le souverain pontife est dominée par une mosquée et des bâtiments aux façades crasseuses. Des élèves y jouent au football sous les yeux du professeur d'éducation physique.

    Les responsables de l'établissement géré par l'UNRWA, l'agence de l'ONU d'aide aux réfugiés, ont reçu ordre de ne rien dire sur la visite papale. Ils laissent la parole aux enfants.

    "Je veux que le pape voie la misère dans laquelle on vit, le mur, l'occupation et nos familles chassées de chez elles et qui rêvent du retour", clame Bassel Abou Odeh, 14 ans. "J'espère qu'il parlera de nos souffrances au monde entier et dira que le peuple palestinien veut vivre en paix," ajoute son camarade Najdat Al-Azza.

    Abdel-Majid Abou Srour, 75 ans, a été avec sa famille l'un des premiers à s'installer dans le camp, érigé en 1952, après avoir fui de ce que fut le village de Beit Natiff avant sa destruction. Lorsque l'appel à la prière retentit, Abdel-Majid abandonne son épicerie aux étagères dégarnies et marche lentement dans le dédale des rues, en direction de la mosquée.

    "Ce n'est pas le pape qui va nous ramener sur nos terres mais j'espère au moins qu'il dira au monde que nous ne sommes pas des terroristes mais des gens qui veulent recouvrer leurs droits et vivre en paix", confie-t-il.

    AFP. 07/05/09

     

     
  • Mort de Julien Quemener au Parc des Princes: le rapport balistique contredit la version de l'ex-policier Granomort

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    Antoine Granomort

    L’enquête sur la mort de Julien Quemener, ce supporteur du PSG tué par le tir du policier Antoine Granomort en 2006 aux abords du Parc des Princes à Paris, s’est étoffée d’un élément nouveau. Le rapport d’expertise balistique et criminalistique, remis à la juge d’instruction parisienne Nathalie Dutartre, contredit la version d’Antoine Granomort sur les circonstances du tir.

    Selon les conclusions du rapport, daté du 25 mars, le policier était au moment du coup de feu debout et tenait son arme à l’horizontale. Or, l’ex-gardien de la paix a toujours expliqué avoir tiré en se relevant après avoir été projeté au sol.

    Le 23 novembre 2006 à l’issue du match de coupe d’Europe PSG - Hapoël Tel-Aviv, Antoine Granomort, alors en civil, intervient pour protéger Yaniv Hazout, un supporteur de confession juive pris à partie par un groupe d’ultras du PSG.
     A 22 h 53, encerclé par environ cent cinquante personnes, le gardien de la paix, qui a vidé sa bombe lacrymogène puis a été projeté au sol par ses agresseurs, sort son arme et fait feu une fois. La balle de calibre 9 mm transperce Mounir Boujaer, grièvement touché au poumon, puis atteint mortellement au coeur Julien Quemener, 25 ans. Une instruction est ouverte. Antoine Granomort bénéficie du statut de témoin assisté et la thèse de la légitime défense est privilégiée. La juge désigne un expert en médecine légale et un expert en armes et munitions. Le 12 juin 2008, ces spécialistes assistent à la reconstitution du drame, à laquelle participent Yaniv Hazout, Antoine Granomort et Mounir Boujaer.

    Ce jour-là, Antoine Granomort maintient sa version. Selon son récit, il braque son arme vers les supporteurs qui tentent de le frapper, recule, trébuche, perd ses lunettes, se relève puis tombe à nouveau sous l’effet de coups de pied. Il voit alors une « grosse masse » au-dessus de lui et tire, le buste penché en arrière, en appui sur sa main gauche reposant au sol. Ce scénario ne colle pas avec la trajectoire du tir reconstituée par les experts. « La version de M. Granomort correspond a un tir effectué nettement de bas en haut, atteignant la victime à l’abdomen. Elle est incompatible avec les constatations médicales, les trajets intracorporels des projectiles dans les corps des victimes, atteintes à la poitrine, étant nettement orientés de haut en bas », observent les experts.

    Ces conclusions sur la position du tireur ne surprennent pas Mounir Boujaer, partie civile dans la procédure. « Elles confortent ma version, j’ai toujours dit que le policier avait tiré debout. Il aurait dû faire feu en l’air, je lui en veux », réagit Mounir Boujaer. « Ces conclusions permettent de contester la thèse de la légitime défense », estime son avocat, Me Gilbert Collard, qui va demander à la juge la mise en examen d’Antoine Granomort.
    De son côté, l’avocate de l’ex-gardien de la paix se dit très sereine. "J’étais à la reconstitution, indique Me Florence Rault. Les experts ont travaillé avec une pelote de laine rouge ! Je ne remets pas en cause leur compétence mais je m’interroge sur la fiabilité d’une expertise réalisée avec des moyens dérisoires. Je vais en demander une nouvelle. "Cela ne remet pas en cause la légitime défense", a estimé l'avocate en rappelant que son client avait "défendu un jeune juif que l'on voulait lyncher". 
    Leparisien- 07/05/09
  • Marseille: les trottoirs du Prado sont enfin interdits aux vélos!

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    Les pistes cyclables sur l’avenue du Prado à Marseille (8e) sont dorénavant interdites aux vélos. Cette décision municipale fait suite à un jugement du tribunal administratif de Marseille. Des panneaux viennent en effet d'être installés sur les terre-pleins pour avertir que ces zones ne sont désormais autorisées qu’aux cycles des moins de 8 ans roulant au pas.

    La mairie a juste oublié d’effacer les pistes cyclables en question... "Nous avons fait appel. Je comprends l’incompréhension des usagers marseillais", explique l’adjointe au maire Laure-Agnès Caradec.
    Cette décision fait suite au recours déposé par un justiciable, Marc Vergier. Le tribunal administratif de Marseille avait annulé le 30 décembre 2008 deux arrêtés de 2006 autorisant la circulation des cyclistes sur ces terre-pleins.
    La Provence - 7 mai 2009

  • Le premier voyage du Pape en Terre sainte

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    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)
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    Le 6 mai 2009, place Saint-Pierre à Rome

    Le pape Benoît XVI entreprend vendredi en "pèlerin de paix" un premier voyage à hauts risques en Terre sainte où les tensions apparaissent plus fortes qu'en 2000, lors de la visite historique de son prédécesseur Jean Paul II.

    "J'attends avec impatience d'être avec vous et de partager vos aspirations et vos espoirs tout comme vos peines et vos luttes", a affirmé Benoît XVI avant son départ, répétant vouloir venir en "pèlerin de paix".

    "Ma première intention est de visiter ces lieux rendus sacrés par la vie de Jésus et d'y prier pour le don de la paix et de l'unité pour vos familles et tous ceux qui ont pour foyer la Terre sainte et le Moyen-Orient", a-t-il déclaré.

    Mais le pape "arrive dans un moment délicat - surtout après la guerre de Gaza -, dans une région difficile et pour rendre visite à des gens très sensibles", a relevé le patriarche latin de Jérusalem, Mgr Fouad Twal, dans une récente interview à CTS News, un service d'information catholique local.

    "Chaque journée, chaque geste, chaque rencontre et chaque visite: tout aura une connotation politique", a-t-il affirmé.

    Ce 12ème voyage du pape Ratzinger est "important et très complexe", a estimé le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican, lundi devant la presse.

    Israël va dérouler le tapis rouge au pape, comptant sur cette visite pour améliorer son image "altérée" par sa récente offensive contre le Hamas à Gaza, qui a fait plus de 1.400 morts palestiniens entre le 27 décembre et le 18 janvier. Mais les sujets de tension ne manquent pas avec le Vatican.

    L'Etat hébreu a été heurté par la décision du pape de lever l'excommunication de l'évêque intégriste négationniste Richard Williamson fin janvier et elle s'oppose à la volonté de Benoît XVI de béatifier Pie XII, coupable selon les Juifs d'avoir gardé le silence durant la Shoah.

    L'Eglise de son côté déplore les difficiles conditions de vie des chrétiens - en majorité arabes- qui représentent 2% des sept millions d'habitants d'Israël. Benoît XVI a indiqué "vouloir les soutenir par sa présence". La question des chrétiens d'Irak devrait également être abordée, lors de l'étape jordanienne, selon le père Lombardi.

    Le Vatican entend aussi avoir un libre accès aux lieux saints et la possibilité de mener ses activités pastorales en Terre sainte sans limitation ni empêchements, des thèmes toujours en suspens depuis l'établissement de relations diplomatiques en décembre 1993.

    L'arrivée au pouvoir le 31 mars de Benjamin Netanyahu semble enfin rendre plus lointaine la solution du conflit israélo-palestinien.

    Benoît XVI devrait avoir l'occasion d'aborder tous ces thèmes lors de la trentaine d'interventions prévues dans un programme qui apparaît chargé pour un homme qui vient de fêter ses 82 ans.

    Il mettra ses pas dans ceux de Jean Paul II (2000) en allant dans les lieux symboliques de l'Ancien et du Nouveau testament que sont le Mont Nebo, où, selon la Bible, Dieu aurait montré la terre promise à Moïse, Jérusalem, Bethléem et Nazareth. Il célébrera quatre messes publiques à Amman le 10 mai, à Jérusalem le 12, à Bethléem le 13 et à Nazareth le 14.

    L'aspect humanitaire sera particulièrement présent avec des visites au centre Regina Pacis dès l'arrivée à Ammam et celles du Caritas Baby Hospital et d'un camp de réfugiés à Bethléem. Cependant les contacts avec les musulmans auront une place plus importante qu'en 2000, notamment en Jordanie où Benoît XVI restera plus longtemps que son prédécesseur. A Jérusalem il sera également le premier pape à se rendre au Dôme du Rocher, troisième lieu saint de l'Islam.

    AFP.07/05/09

  • Retour en Europe blanche: le Festival de la Chaise-Dieu

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    Un millier d'artistes participeront au 43ème Festival de la Chaise-Dieu (Haute-Loire) dédié aux musiques sacrées, du 19 au 30 août, qui rendra hommage aux compositeurs Haendel, Joseph Haydn et Mendelssohn, mais aussi à des oeuvres moins connues du grand public.

    Vingt des 32 concerts auront lieu dans l'abbatiale Saint-Robert de la Chaise-Dieu, d'une capacité de 650 places, les autres au Puy-en-Velay, à Brioude, Chamalières-sur-Loire et Ambert, a souligné devant la presse Jean-Michel Mathé, le directeur général du festival.

    De nombreux "concerts événements" sont au programme, comme la Symphonie "des Mille" de Gustav Malher (25 et 26 août), le Requiem de Verdi (le 23), le Cosi Fan Tutte de Mozart en version concert (le 26), mais aussi le Requiem du Tchèque Jan Dismas Zelenka (le 22).

    Cette oeuvre "très très belle" de Zelenka (1679-1745), "un contemporain de Bach" n'a été jouée qu'une seule fois à sa création en 1733 pour les funérailles d'Auguste II et il s'agit donc d'une "recréation mondiale", a souligné M. Mathé.

    "Nous essayons d'ouvrir notre répertoire. C'est un équilibre entre des oeuvres très connues et attendues du public, comme Beethoven, des cantates de Bach ou le Requiem de Verdi, et des oeuvres en découverte ou en redécouverte comme celle de Zelenka ou encore des oeuvres de musique contemporaine", a-t-il dit.

    Le Festival rendra également hommage aux compositeurs Joseph Haydn (Stabat Mater et Messe Nelson) et Mendelssohn, à l'occasion du bicentenaire de la mort du premier et de la naissance du second, ainsi qu'à Haendel avec "La Résurrection" (le 21), l'un des premiers oratorios.

    Quatre grandes formations instrumentales participeront au Festival: l'Orchestre d'Auvergne, l'orchestre de chambre de Bâle, l'orchestre de chambre d'Irlande ainsi que l'ensemble flamand Anima Eterna, qui jouera sur des instruments d'époque.

    Le Festival de la Chaise-Dieu, dont plusieurs concerts sont retransmis sur France Musique, a accueilli 24.000 spectateurs en 2008, dont 16.500 payants.

  • VIDEO BACH - BARENBOIM Variations Goldberg - Aria

    http://www.youtube.com/watch?v=AcXXkcZ2jWM

    Daniel Barenboim, né le 15 novembre 1942 à Buenos Aires, est un pianiste et chef d'orchestre de nationalité argentine et israélienne. En 2002, il reçoit la nationalité espagnole et depuis janvier 2008, il est également porteur d'un passeport palestinien.

    Enfant prodige, il donne son premier concert en tant que pianiste à Buenos Aires à l'âge de sept ans. Son père est alors et restera longtemps son professeur de piano.

    En 1952, il s'installe en Israël avec ses parents, juifs d'origine russe (son nom est la graphie yiddish de l'allemand Bachenbaum), .

     (Wikipedia)

  • VIDEO Ruée sur la pilule anti-obésité ALLI vendue sans ordonnance

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafM84d.html

    Alli, premier médicament anti-obésité vendu sans ordonnance, est commercialisé en France depuis mercredi 6 mai.

     Le laboratoire britannique GlaxoSmithKline (GSK) espère réaliser grâce à lui un chiffre d'affaires de 15 millions à 20 millions d'euros par an, ce qui en ferait l'un des dix produits d'automédication les plus vendus en France.