Pins centenaires du Parc des Calanques à Marseille
(Photo EB)
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Pins centenaires du Parc des Calanques à Marseille
(Photo EB)
Dans le cadre de l’enquête pour “trafic d’influence” ouverte par la police après la polémique des costumes de François Fillon, la justice a convoqué maître Robert Bourgi, le mécène et "personal shopper" de François Fillon, le 4 avril dernier. Pour l’occasion, le sulfureux avocat avait été prié de ramener les trois costumes qu’il avait offerts à François Fillon et que le candidat lui avait rendus depuis, comme il l’avait annoncé lors de son passage dans L’Émission politique de France 2.
Mais les enquêteurs soupçonnent désormais François Fillon d’avoir rendu les mauvais costumes. "Monsieur Fillon a fait rapporter chez Robert Bourgi un ensemble de chez Arnys (pantalon et blazer) offert en 2014, ainsi que deux costumes, sans marque aucune. Un troisième costume, offert par Arnys pour le prix des deux premiers, 13. 000 euros, a été conservé par Monsieur Fillon", a expliqué maître Éric Moutet, conseil de Robert Bourgi, le jour de son audition.
À propos des deux costumes sans marques, l’avocat de Robert Bourgi a cependant ajouté : "je ne peux pas dire si ce sont ceux de chez Arnys offerts par Robert Bourgi ou d'autres costumes, puisqu'il n'y avait aucune marque dessus ou griffe de créateur, en dehors d'un 'made in Holland', le pays, pas le président." Comme le souligne Mediapart, la griffe du tailleur Arnys est normalement bien visible.
RTL
NdB: Sordide!
Safarina.fr
(Merci à Infowars France)
Ô saisons ô châteaux,
Quelle âme est sans défauts ?
Ô saisons, ô châteaux,
J'ai fait la magique étude
Du Bonheur, que nul n'élude.
Ô vive lui, chaque fois
Que chante son coq gaulois.
Mais ! je n'aurai plus d'envie,
Il s'est chargé de ma vie.
Ce Charme ! il prit âme et corps.
Et dispersa tous efforts.
Que comprendre à ma parole ?
Il fait qu'elle fuie et vole !
Ô saisons, ô châteaux !
Et, si le malheur m'entraîne,
Sa disgrâce m'est certaine.
Il faut que son dédain, las !
Me livre au plus prompt trépas !
- Ô Saisons, ô Châteaux !
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Les faits se sont produits mardi dernier, aux alentours de 19 heures, à proximité du béguinage de l’église Saint-Paul. Dans l’ancien presbytère ont pris place une famille Rom et un couple de chrétiens d’Irak qui ont fui leur pays en guerre. « Des jeunes du quartier jouaient au football devant l’église et tiraient dans les portes, explique un témoin. Les personnes présentes au béguinage sont sorties pour leur demander d’arrêter. Des noms d’oiseau ont été échangés et l’un des occupants a été sérieusement blessé au nez. »
Des « jeunes du quartier ». A Roubaix, cela veut dire « musulmans ».
On aurait pu croire que l’affaire allait s’arrêter là mais un quart d’heure plus tard, « deux BMW » avec, dans chacune d’elles, quatre personnes à l’intérieur « ont déboulé devant l’église ». Aussitôt, « l’un des occupants de la voiture a sorti un pistolet, a menacé son monde avant de tirer en l’air à trois reprises, explique le témoin. D’autres ont pris des cailloux présents dans les bordures de fleurs et les ont jetés dans les vitres, brisant des carreaux au rez-de-chaussée et au premier étage du béguinage. Ils ont pris la fuite, laissant tout le monde sous le choc. »
Et pour conclure, ces Chrétiens d’Irak ayant échappé aux djihadistes vivent désormais dans le même sentiment de terreur :
« Les Irakiens ont eu peur. La maman, qui était seule avec ses enfants lors de cette agression, est terrorisée. »
Grâce à Angela Merkel, François Hollande et au Pape, un air de Mossoul ou de Raqqa flotte désormais en Europe.
. Carte reçue par un de nos lecteurs:
HONTEUX!
https://fr.sputniknews.com/international/201704121030860363-idlib-attaque-versions-poutine/
Dimitri Casali : "Nous sommes en pleine... par bvoltaire
Dimitri Casali montre que le phénomène de déculturation touche le monde oriental comme le monde occidental. L’Éducation nationale socialiste est en train de « créer un homme nouveau, déraciné, individualiste, altermondialiste, sans frontières, aimant le monde entier »... au détriment de la vraie culture.
Le président hongrois, Janos Ader, a signé lundi la nouvelle loi hongroise sur l’éducation supérieure. Pour qu’une université étrangère puisse avoir un campus et délivrer des diplômes en Hongrie, il faudra à partir du 1er janvier 2018 qu’elle ait aussi un campus dans son pays d’origine et qu’elle fasse l’objet d’un accord intergouvernemental.
Cette loi est accusée de viser tout particulièrement l’université d’Europe centrale (Central European University, CEU) fondée en 1991 à Budapest à l’initiative du financier américain d’origine juive hongroise George Soros (photo). La CEU, toujours financée par le progressiste libéral-libertaire Soros, est une université anglophone accueillant plus de 1 500 étudiants d’une centaine de pays différents et dont l’objectif est de promouvoir les Droits de l’homme, la bonne gouvernance et l’Etat de droit tels que les conçoit le milliardaire américain dont Viktor Orban dénonce régulièrement l’influence néfaste et le rôle dans l’invasion migratoire actuelle.
Le département d’Etat américain s’est dit inquiet de l’impact de cette nouvelle législation sur une université dont il vante les compétences et les mérites tandis que la Commission européenne a annoncé vouloir s’assurer que la nouvelle loi n’est pas contraire aux valeurs fondamentales de l’UE. Malgré les manifestations qui se déroulent depuis quelques semaines en Hongrie, un sondage publié le 13 avril par le groupe de réflexion Szazadveg montre que 70 % environ des Hongrois sont favorables à la nouvelle loi.
Parallèlement, le gouvernement hongrois a adopté un autre projet de loi pour obliger les ONG financées depuis l’étranger de déclarer ce fait aux autorités et de l’indiquer sur leur site internet et leurs publications.
Olivier Bault
Article publié dans Présent daté du 15 avril 2017
Mes chers amis,
C'est une semaine riche en déplacements qui s’achève. Dans toutes les communes que j’ai traversées, j’ai pu constater cet enthousiasme qui grandit, cette incroyable envie de gagner et de faire gagner la France. C’est important pour moi, c’est important pour la France de voir que, tous les jours, les rangs des patriotes grossissent.
Samedi dernier, je me suis rendue en Corse, pour un grand meeting à Ajaccio. L’île de Beauté fait face à de lourds enjeux et j’ai voulu apporter des réponses très précises, pour assurer les Corses que la France continuera d’être pleinement engagée dans ce beau territoire. Mon projet renforcera le « fabriqué en Corse » comme je veux défendre le « fabriqué en France », il protégera la beauté des paysages corses et réaffirmera la loi de la République face à la montée de l’islamisme. J’y ai vu un attachement profond aux traditions corses mais aussi des centaines de cœurs vibrants pour la France.
Lundi, j’ai mené à Paris une conférence sur le terrorisme. C’est un sujet grave, qui n’est pas suffisamment traité par les médias et que messieurs Fillon et Macron n’évoquent jamais. Et pourtant la menace reste élevée sur notre sol. Le terrorisme et la montée du fondamentalisme islamiste menacent directement notre sécurité. Ma main ne tremblera pas quand je serai au pouvoir : je frapperai le terrorisme et je rendrai la France sûre, notamment en renforçant nos forces de l’ordre et en rétablissant des frontières nationales.
Je suis allée à la rencontre des Aubois mardi. Je me réjouis de voir que même dans les petites communes, nous attirons toujours plus de monde. J’ai choisi de faire des réunions publiques dans cette France des oubliés, à laquelle plus aucun responsable politique ne s’adresse. Je veux être la présidente de tous les Français et il me semble essentiel que nous prenions en compte la souffrance qui s’exprime dans la ruralité. À Arcy-sur-Aube, j’ai assuré la ruralité de mon indéfectible motivation pour les sortir de l’enclavement et des difficultés. Et les Aubois m’ont témoigné une chaleur vivifiante !
C’est le même enthousiasme que j’ai retrouvé hier en Haute-Vienne, où des centaines de patriotes se sont réunis dans une petite exploitation agricole.
Nous sommes les seuls à faire cette campagne : messieurs Macron et Fillon s’économisent et se contentent d’aller dans les grandes métropoles.
Nous entamons la dernière semaine de campagne et je vais continuer d’aller à la rencontre des Français. Il nous reste maintenant sept jours pour convaincre ceux qui ne nous ont pas encore rejoints. Pour les convaincre que nous avons le meilleur projet, que nos propositions permettront de rendre à la France son indépendance et sa grandeur, que mon projet est fait pour apporter prospérité et bonheur à tous les Français !
Je compte sur vous pour le porter partout, dans tous les villages et villes de France ! J’ai besoin de vous, de votre énergie, de votre enthousiasme sur le terrain pour rassembler une majorité de Français !
Bonne dernière semaine de campagne à tous !
Par Yves Thréard
Il a été très peu question de l'identité de la France dans cette campagne présidentielle. Et aussi, pour parler plus franchement, de la place de l'islam. Les beaux esprits s'en féliciteront. Un sujet qui dérange est, pour eux, toujours «instrumentalisé». Il ne faut pourtant pas aller bien loin dans les villes et les campagnes pour comprendre que beaucoup d'électeurs s'interrogent: demain, la France sera-t-elle encore la France? Et ce n'est pas faire injure aux musulmans d'affirmer que ces mêmes électeurs redoutent que leur culture, leurs traditions, leurs racines s'effacent peu à peu devant les pratiques d'une religion prise en otage par une poignée de radicaux.
Les attentats à répétition qui ont ensanglanté notre pays ces dernières années ont prouvé que l'islamisme n'était pas qu'une idéologie d'importation, mais qu'il prospérait comme du chiendent sur tout le territoire. L'ennemi est aussi à l'intérieur. Faillite de l'intégration, échec de l'école républicaine, démission des parents, indifférence ou complaisance des élus et des élites? Sans aller jusqu'en Seine-Saint-Denis, il est des endroits où la France a perdu son âme, son identité, sa liberté.
Est-ce réactionnaire de s'en indigner? Pendant que certains le prétendaient, le communautarisme s'est développé, le prosélytisme a fait son œuvre dans les mosquées et ailleurs, le militantisme islamique s'est affiché de façon de plus en plus virulente et provocante. Jusque sur les plages, où le port du burkini a pris ses aises.
De tout cela, les candidats à la présidentielle ont peu parlé, à l'exception de François Fillon et Marine Le Pen. Tous revendiquent leur attachement à la laïcité. Mais encore faut-il se donner les moyens de la faire respecter face aux coups de boutoir des réfractaires à l'ordre républicain. Et ne pas se montrer trop naïf en se contentant, comme Emmanuel Macron, d'affirmer que «la France ne sera jamais une nation multiculturelle». Macron, Hamon, Mélenchon: cette campagne a montré que les candidats de la gauche ont des «pudeurs de gazelle» quand il s'agit d'évoquer le fondamentalisme islamique.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 14/04/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
BREIZATAO – ETREBROADEL (13/03/2017) Un nouvel attentat a frappé la ville de Saint-Pétersbourg. Une bombe a explosé dans une bibliothèque de la ville, près d’une station de métro. On compte à ce stade un blessé. Il s’agirait d’un adolescent de 16 ans.
L’UOIF est né dans les années 1980 d’un petit cercle d’étudiants et d’islamistes en exil. Destinée à incarner l’émanation des Frères musulmans en France, cette organisation s’est rapidement faite connaître dans les « affaires de foulard », instrumentalisant de jeunes musulmanes qui revendiquaient de porter le voile islamique à l’école pour faire pression sur les pouvoirs publics.
Cette première médiatisation de l’UOIF démontre bien la double stratégie de cette organisation islamiste : à la fois se poser en victime et en interlocuteur des pouvoirs publics, dans les deux cas pour faire progresser l’islamisation dans notre pays.
Sur ce point comme sur bien d’autres, l’UOIF s’inscrit bel et bien dans la filiation des Frères musulmans. Ce mouvement politique est né en Egypte en 1928 et s’est aussitôt présenté comme transnationale et sunnite, composé d’une branche militaire et dont les objectifs affichés étaient « une renaissance islamique » hostile à l’Occident et à « l’imitation aveugle du modèle européen » en terre d’islam. Un projet a priori donc peu compatible avec notre civilisation.
Les Frères Musulmans ont été à l’origine du groupe terroriste du Hamas, responsable de nombreux assassinats et attentats contre des civils en Israël. N’hésitant pas à avoir recours à la violence, ils ont été impliqués dans de nombreux massacres dans différents pays, comme en Égypte ou en Syrie. Mais le djihad armé contre les infidèles ne représente qu’une partie de leur activisme. Leur stratégie est avant tout d’islamiser les sociétés « par le bas », en infiltrant ou en créant des associations, en disposant d’un maillage territorial autour de leur réseau, en formant des imams, en prenant le contrôle du maximum de mosquées, en apportant soutien scolaire, nourriture, soins médicaux ou protection aux populations, bref de progressivement se substituer à l’état. La conquête du pouvoir politique arrive dans un second temps, une fois ce premier but atteint.
Si les islamistes n’ont probablement pas lu Gramsci, ils en appliquent néanmoins les principes, dont l’un des plus fameux « l’hégémonie idéologique et culturelle précède la victoire politique ».
Le fondateur des Frères Musulmans s’appelle Hassan Al-Banna (grand-père de Tariq et Hani Ramadan) et très tôt, il va désigner la France comme une cible à abattre. Dans son livre Dar Al-Hadarah Al-Islamiyyah, il n’hésite pas à écrire : « La France qui avait prétendu, pendant un temps, être l’amie de l’islam, devra rendre longuement des comptes aux musulmans. Nous n’oublierons jamais son honteux positionnement à l’encontre de notre chère Syrie. Nous n’oublierons jamais sa position vis-à-vis de la question marocaine et du Dahir Berbère. Nous n’oublierons pas nos frères nombreux, tous ces jeunes de la patrie marocaine, libre et combative, jetés aux fonds des prisons et aux extrémités des exils. Viendra le jour où ce compte sera réglé. » (p.151). Qu’une association opérant sur le territoire national français puisse se prévaloir d’un tel mentor est déjà un scandale en soi.
Le président actuel de l’UOIF, Amar Lasfar, a déjà eu l’occasion d’expliquer très clairement son programme pour islamiser la France. Dans un entretien donné en 1999 dans La Cité mode d’emploi, Homme et migrations n° 1218, il expose ainsi son projet :
« Dans l’islam la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante, car reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » (p.55).
Le théologien Ahmed Jaballah, son prédécesseur à la tête de l’UOIF a quant à lui défini la stratégie de son organisation en ces termes : « L’UOIF est une fusée à deux étages. Le premier étage est démocratique, le second mettra en orbite une société islamique. » (L’Express, 02/05/2005)
Fidèles à leur stratégie, les Frères musulmans de France par le biais de l’UOIF n’ont eu de cesse de prôner un islam en apparence ouvert et tolérant. Ouvert aux autres religions et avenant. Mais la réalité est tout autre : maîtres dans l’art du double discours, leurs références idéologiques et religieuses sont parmi les plus radicales de l’islam, comme par exemple Sayid Qutb, le théoricien du djihad ou Ibn Taymiyya, le père spirituel du courant salafiste.
Yves Bertrand, l’ancien directeur des ex-RG auditionné en juillet 2003 par la Commission Stasi sur l’UOIF ne cachait pas son inquiétude quant à l’aptitude de cette organisation à manipuler les pouvoirs publics français :
« Il y a souvent deux langages : celui destiné aux institutions françaises, sans aucun dérapage et celui à l’adresse de leurs jeunes adhérents […] le discours est agressif : ce sont des chiens de chrétiens ou des chiens de juifs, mais il s’agit de propos tenus en privé ».
Après les rebondissements liés aux Printemps arabes, les Frères Musulmans ont finalement été interdits et placés sur la liste des organisations terroristes en Egypte, puis en Arabie Saoudite. Ils l’étaient déjà dans d’autres pays du monde auparavant. Plus récemment, c’est même sa branche française, l’UOIF, qui a été mise sur la liste des organisations terroristes par les Emirats arabes unis ! Sans que tout cela n’émeuve le moins du monde les autorités françaises qui continuent de faire de cette organisation ouvertement islamiste un interlocuteur.
Résumons : pour quelle raison devrions-nous tolérer sur notre sol une organisation considérée par certains de nos partenaires comme pouvant perpétrer des attentats, dont la maison mère est-elle-même sur la liste des mouvements terroristes de plusieurs pays du monde, dont les fondements idéologiques et religieux puisent dans l’islam le plus littéraliste et le plus violent, qui pratique un double discours parfaitement identifié de longue date par nos services de renseignement et nombre d’ intellectuels, dont l’objectif est d’islamiser notre société et de faire reculer notre civilisation pour la dominer et lui imposer la charia, et qui cultive la haine de notre identité ? Sa simple existence sur notre terre est une insulte à notre peuple et à notre civilisation. Cette organisation islamiste doit être interdite !
Jérôme Barbet
Texte repris du site de : Les Identitaires