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BREIZATAO – ETREBROADEL (08/04/2017) Les grands centres urbains connaissent une accélération de l’islamisation, principalement menée par les salafistes. D’après une note de la Direction centrale de la sécurité publique publiée récemment, il se développe de manière très inquiétante dans certains quartiers français.
La situation est visiblement catastrophique. Dans une note que Le Figaro a pu se procurer, « l’emprise religieuse dans les quartiers sensibles » de Paris et de la petite couronne d’Ile-de-France est très préoccupante. « De véritables méthodes et stratégies locales » seraient utilisées par les salafistes.
Une stratégie patiente d’expansion prend corps, d’après cette note :
Pour se protéger de la surveillance policière, certaines familles radicalisées commenceraient même à quitter leur logement pour s’installer dans les cités, « pour y vivre leur religion en toute tranquillité ». Plus alarmant, le salafisme ne se développerait plus seulement à travers l’action de certaines mosquées, plus faciles à surveiller. Le mouvement s’insérerait dorénavant dans la vie économique et sociale et ce, même dans certaines villes à la réputation plutôt tranquille comme à Montluçon, dans l’Allier.
« Je ne sais pas si c’est du salafisme, mais je constate depuis peu que le communautarisme gagne du terrain en ville. Les commerces sont rachetés un à un, et une ambiance délétère s’installe, qui pousse les riverains à partir et à céder leurs biens, rachetés à vil prix. C’est un vrai système qui s’est mis en place », déplore Daniel Dugléry, le maire LR de la ville au Figaro. Encore plus inquiétant, le travail de la police n’est plus aussi efficace : « Les policiers sont dépassés, car ils ne vivent plus dans les quartiers et ne savent plus bien ce qui s’y passe », avoue-t-il.
L'enfant de trois ans a été provisoirement placée et une enquête est en cours pour identifier les parents.
Dans la nuit de samedi à dimanche, une petite fille de 3 ans a été retrouvée seule errant dans les rues de Villeparisis (Seine-et-Marne). Elle portait des traces de maltraitance et a été dans un premier temps hospitalisée. Dans la matinée, le parquet a pris une ordonnance de placement provisoire pour mettre la petite fille en sécurité. L’enquête est en cours pour identifier les parents. Du côté de la police, on se refusait à tout commentaire ce dimanche.
La police a également donné plus d'informations dimanche sur l'identité du suspect, dont le nom a été révélé par plusieurs médias suédois. Le bilan de l'attaque est de quatre morts et quinze blessés.
L'auteur présumé de l'attentat de Stockholm perpétré vendredi est un demandeur d'asile débouté qui s'était vu refuser un permis de séjour, a annoncé la police suédoise ce dimanche. Interpellé vendredi et placé samedi en garde à vue, l'homme est un Ouzbek de 39 ans, présenté par plusieurs médias locaux comme un sympathisant de l'Etat Islamique. Il montrait «de l'intérêt pour des organisations extrémistes comme l'État islamique», a précisé la police.
Plusieurs médias suédois l'ont identifié comme étant Rakhmat Akilov, un ouvrier du BTP et père de famille ouzbek, entré en clandestinité en décembre 2016 pour éviter son expulsion. Introuvable depuis février, il a refait surface vendredi. Après avoir encastré le poids lourd dans la façade d'un grand magasin vendredi, Rakhmat Akilov s'est engouffré dans la grande station de métro de T-centralen, toute proche, profitant de la panique pour se fondre dans la foule, selon les informations recueillies par la presse auprès de sources proches de l'enquête.
Selon le quotidien Expressen, l'homme a reconnu les faits en garde à vue. Le suspect a déclaré aux enquêteurs être «satisfait de ce qu'il a fait» et «d'avoir accompli ce qu'il voulait accomplir». «C'est moi qui l'ai fait», aurait-il déclaré quelques heures après la tragédie dans une ville voisine de Stockholm, selon d'autres sources citées samedi par Expressen.
Moins de deux jours après sa frappe en Syrie, les Etats-Unis envoient un porte-avion vers la péninsule coréenne. Une façon de répondre aux tests nucléaires nord-coréens.
Un porte-avions américain et sa flotte font route vers la péninsule coréenne, a révélé samedi le porte-parole du commandement américain dans le Pacifique. «Le commandement américain dans le Pacifique a ordonné au groupe aéronaval déployé autour du porte-avions USS Carl Vinson d'être à disposition et présent dans l'ouest du Pacifique, et ce par mesure de précaution», a déclaré le commandant Dave Benham.
Cette flotte américaine qui se dirige vers la Corée est composée du porte-avion nucléaire Carl Vinson, de son escadron aérien, de deux destroyers lanceurs de missiles et de deux croiseurs lanceurs de missiles. Alors qu'il devait initialement aller faire escale en Australie, il a pris la route du Pacifique Ouest depuis Singapour.
Dissuader Pyongyang de poursuivre ses essais nucléaires
Selon le commandant Dave Benham, «la menace numéro dans la région reste la Corée du Nord, en raison de son programme de missiles irresponsable, déstabilisateur et imprudent, et de la poursuite (de ses recherches) en vue de disposer d'armes nucléaire». La Corée du Nord a réalisé cinq tests nucléaires, dont deux en 2016, et les images satellites suggèrent que le régime de Pyongyang serait en train de préparer un sixième essai.
Jeudi et vendredi, le président américain, Donald Trump, et son homologue chinois, Xi Jinping, ont longuement discuté en Floride (Etats-Unis). Trump aurait demandé à son visiteur de faire pression sur Kim Jong-Un, le dictateur nord-coréen, pour que celui-ci cesse son programme d'armement nucléaire.
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise aupres du feu, devidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous esmerveillant : Ronsard me celebroit du temps que j'estois belle.
Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Desja sous le labeur à demy sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s'aille resveillant, Benissant vostre nom de louange immortelle.
Je seray sous la terre et fantaume sans os : Par les ombres myrteux je prendray mon repos : Vous serez au fouyer une vieille accroupie,
Regrettant mon amour et vostre fier desdain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.
Sommes-nous devant une grave manipulation de masse dont les médias sont les courroies de transmission?
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Un médecin, formé au Royaume-Uni et salué comme un héros pour avoir traité les victimes d'attaque au gaz en Syrie, a été jugé pour terrorisme « et appartenance au groupe qui a kidnappé le journaliste britannique John Cantlie »
La police de la capitale norvégienne a bouclé un quartier dans la nuit de samedi à dimanche après la découverte d'un engin potentiellement explosif.
«Nous avons bouclé une vaste zone après avoir découvert un objet ressemblant à une bombe». La police d'Oslo a lancé une intervention de grande ampleur samedi soir et bouclé le quartier du Grønland, en plein centre de la capitale norvégienne. Selon les premières informations données par les forces de l'ordre, un engin potentiellement explosif a été découvert.
A minuit, la police n'avait toujours pas précisé la nature exact du dispositif suspect. «Il semblerait que l'engin soit de faible puissance», a-t-elle tout de même souligné. Un suspect a été arrêté.
Cette alerte intervient au lendemain d'une attaque terroriste à Stockholm, capitale de la Suède voisine. Au moins quatre personnes avaient été tuées et une quinzaine d'autres blessées par un camion-bélier dans le centre-ville.
Après l'attentat qui a fait quatre morts et 15 blessés en Suède, l'identité de l'individu interpellé se précise. L'enquête doit maintenant déterminer s'il avait un complice et si l'engin retrouvé dans le camion était une bombe.
En conférence de presse, les enquêteurs ont donné davantage d'informations sur l'homme qu'ils ont arrêté après l'attaque au camion qu'a connue Stockholm le 7 avril.
Il s'agit d'un homme de nationalité ouzbek, âgé de 39 ans, qui travaillait en Suède depuis un certain temps. Il a été décrit comme un «personnage marginal», dont le nom était connu des services de sécurité, sans pour autant que cet individu ait été l'objet d'une enquête récente.
«Nous ne pouvons pas, pour l'heure, exclure que d'autres personnes aient été impliquées», ont ajouté les enquêteurs.
Ceux-ci n'ont pas été en mesure de confirmer que l'engin retrouvé sur le siège du véhicule était une bombe, conformément aux affirmations de la chaîne de télévision SVT. Ils ont toutefois reconnu qu'un «engin technique qui ne devait pas être là» se trouvait sur le siège du véhicule.
L'attaque de Stockholm, qui a fait quatre morts et 15 blessés, a des «similarités claires» avec celle de Westminster, qui s'est produite à Londres, le 22 mars, ont encore fait savoir les enquêteurs.
Les faits se sont déroulés dans la nuit de samedi à dimanche dans un pré dans la zone de conservation de Siegaue à Bonn, en Allemagne.
Un couple de campeurs dormait paisiblement lorsqu'un jeune homme s'est introduit dans sa tente en la déchirant avec sa machette
Ce dernier, sous la menace de son arme, a violé la jeune femme, âgée de 23 ans, devant son petit-ami. Il les a également dépouillés, avant de prendre la fuite.
La jeune femme a été admise à l’hôpital pendant la nuit puis le couple, en état de choc, a été pris en charge par le service de soutien aux victimes.
Un important dispositif de police a été mis en place pour retrouver le violeur dont un hélicoptère et des chiens pisteurs. En vain.
Un portrait-robot du suspect a été diffusé dans les médias. Cet homme est âgé entre 20 et 30 ans, mesure environ 1m80 et s'exprimerait dans un anglais médiocre.
Les enquêteurs ont déclaré mercredi qu’ils avaient reçu plus de 150 signalements. L'enquête se poursuit.
En savoir plus sur http://www.faitsdivers.org/24968-Sous-la-menace-d-une-machette-une-campeuse-est-violee-devant-son-petit-ami.html#JUxV4sEYUFcxGYCY.99
Ne vous laissez pas illusionner par les jeux diplomatiques et le suivisme des grands médias. Ce qui s’est passé ce matin en Syrie n’a aucun rapport ni avec la présentation qui vous en est faite, ni avec les conclusions qui en sont tirées.
Ce matin, les États-Unis auraient tiré 59 missiles de croisières depuis la Méditerranée pour détruire la base militaire aérienne syrienne de Sha’irat. Il s’agirait d’une action unilatérale visant à sanctionner une attaque à l’arme chimique qu’ils attribuent à l’armée arabe syrienne.
Stupéfaite par l’ampleur de l’action états-unienne, la totalité des commentateurs conclut à un virage à 180° de l’administration Trump sur la question syrienne. La Maison-Blanche aurait enfin adopté la position de son opposition états-unienne et de ses alliés britanniques, français et allemands.
Vraiment ?
La réalité ne correspond pas à la communication
Des missiles de croisière états-uniens ont traversé sans encombre la zone contrôlée par la nouvelle arme russe permettant d’inhiber les communications et commandes de l’Otan. Selon le général Philip Breedlove, alors Suprême commandeur de l’Otan, cette arme a permis à la Russie de prendre l’avantage sur les États-Unis en matière de guerre conventionnelle. Elle aurait dû perturber les systèmes de guidage de ces missiles. Elle n’a pas fonctionné, soit que le Pentagone ait enfin trouvé une riposte technique, soit qu’elle ait été désactivée par la Russie.
La défense anti-aérienne syrienne comprend des S-300 contrôlés par l’armée arabe syrienne et des S-400 servis par l’armée russe. Ces armes sont supposées capables d’intercepter des missiles de croisière, bien que cette situation ne s’est à ce jour jamais présentée au combat. Il s’agit bien sûr d’armes au déclenchement automatique. Elles n’ont pas fonctionné non plus. Aucun missile anti-missile n’a été tiré, ni par l’armée russe, ni par l’armée syrienne.
Lorsque les missiles de croisière états-uniens ont atteint leur cible, ils ont trouvé une base militaire quasi-vide, qui venait juste d’être évacuée. Ils auraient donc détruit le tarmac, des radars et des avions depuis longtemps hors d’usage, des hangars et des habitations. Ils ont cependant fait une douzaine de victimes, dont neuf sont décédées.
Alors qu’aucun missile de croisière n’a officiellement été égaré ou détruit, seuls 23 et non pas 59 ont frappé la base de Sha’irat.
Que signifie cette mise en scène ?
Le président Trump tente depuis son accession à la Maison-Blanche de changer la politique de son pays, et de substituer des formes de coopération aux affrontements actuels. Sur la question du « Moyen-Orient élargi », il a pris position pour la « destruction » des organisations jihadistes (et non pas pour leur « réduction », comme l’évoquait son prédécesseur).
Au cours des derniers jours, il a reconnu la légitimité de la République arabe syrienne et donc le maintien au pouvoir du président démocratiquement élu Bachar el-Assad. Il a reçu le président égyptien, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi, allié de la Syrie, et l’a félicité pour sa lutte contre les jihadistes. Il a rétabli un canal direct de communication entre Washington et Damas.
Le problème du président Trump était de convaincre ses alliés d’appliquer sa politique quel que soit l’investissement qu’ils aient pu dépenser pour renverser la République arabe syrienne.
Il est certes possible que le président Trump ait fait volte-face en trois jours à la simple vue d’une vidéo diffusée par YouTube, mais il est plus probable que son action militaire de ce matin s’inscrit dans la logique de son action diplomatique précédente.
En attaquant, le président Trump a satisfait son opposition qui ne pourra donc pas s’opposer à la suite des opérations. Hier, Hillary Clinton appelait à bombarder la Syrie en riposte à l’usage supposé d’armes chimiques.
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (08/04/2017) Le «Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans», nouvelle formation djihadiste réunissant plusieurs groupes du Sahel, a revendiqué l’attaque qui a coûté la vie à un militaire français au Mali le 5 avril.
L’alliance djihadiste «Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans» affirme que le soldat français est tombé «dans une embuscade dans la région de Douentza» au Mali, près de la frontière burkinabè, dans son communiqué diffusé sur les réseaux sociaux et cité par l’agence mauritanienne Al-Akhbar.
L’attaque a eu lieu quelques jours après la clôture d’une conférence d’entente nationale organisée au Mali le 2 avril, qui avait notamment recommandé l’ouverture de négociations avec deux dirigeants djihadistes maliens, le chef touareg Iyad Ag Ghaly et le prédicateur radical Amadou Koufa. Les groupes armés d’Iyad Ag Ghaly et d’Amadou Koufa font partie de ceux qui ont fusionné, avec notamment celui de l’Algérien Mokhtar Belmokhtar, rallié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), pour constituer le «Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans», dont la création a été annoncée en mars.
08/04/2017 – LONDRES (NOVOpress) Selon son maire, Sadiq Khan, Londres est « une ville dont l’insolente réussite multiculturelle est devenue insupportable aux terroristes ».
Or il semble plutôt que l’inverse se soit produit, et que ce soit le multiculturalisme qui fasse prospérer le fondamentalisme musulman. Depuis 2001, près de 500 églises de la capitale britannique ont ainsi été transformées en habitations privées, alors que pendant la même période, le nombre de mosquées britanniques s’est accru de 473 unités.
Entre 2012 et 2014, la proportion des Britanniques se disant anglicans est passée de 21 % à 17 %, soit une baisse de 1,7 million de personnes, alors que, le nombre de musulmans augmentait quant à lui de près d’un million.
A Londres prolifèrent également des tribunaux de la charia. Plus d’une centaine sont actuellement en fonction. Ces tribunaux tiennent la charia pour supérieure à la « common law » anglaise.
Rappelons les prophéties d’Enoch Powell, en 1968 : « Si je regarde l’avenir, je suis empli de sombres présages. Tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d’un sang abondant ».