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L’armée française de nouveau endeuillée. Un sous-officier du 515e régiment du train de la Braconne à Brie près d’Angoulême, Fabien Jacq, 28 ans, a trouvé la mort au nord du Mali vendredi, a annoncé l’Elysée samedi matin. Ce décès porte à 16 le nombre de militaires tués depuis le début de l’intervention au Mali en janvier 2013.
«Le vendredi 4 novembre 2016, vers 14h00, deux véhicules de l’avant blindé (VAB) appartenant à un convoi logistique de la force Barkhane (Mali), armé par le 515e régiment du train, ont subi une attaque par un engin explosif alors qu’ils faisaient route au nord-est de Kidal», a annoncé le ministère de la Défense. «L’explosion a provoqué la mort du maréchal des logis-chef Fabien Jacq, blessé plus légèrement un autre soldat et commotionné trois autres», a-t-il ajouté. Le convoi d’une soixantaine de véhicules faisait route vers Abeïbera (140 km au nord-est de Kidal) lorsque l’explosion s’est produite au passage d’un des véhicules, a précisé le porte-parole de l’état-major des armées, le colonel Patrik Steiger. [...]
Engagé dans l’armée depuis neuf ans, Fabien Jacq avait servi au Liban, en Afghanistan et une première fois au Mali en 2013. Il avait également participé à deux reprises à l’opération Sentinelle, mise en place sur le territoire national après les attentats de janvier 2015.
Les dernières pertes françaises au Mali remontaient au mois d’avril, quand trois soldats avaient été tués par l’explosion d’une mine au passage de leur véhicule blindé, à l’approche de la ville de Tessalit, également dans le nord du Mali. Six soldats français ont pour leur part été blessés légèrement dans des conditions similaires le mois dernier.
Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a déclaré que sa prochaine publication fournira suffisamment de preuves pour garantir l’inculpation d’Hillary Clinton.
Le fondateur de Wikileaks Julian Assange a déclaré que Wikileaks a obtenu des informations qui, une fois libérées, garantiront un acte d’accusation de Hillary Clinton.
Lors d’une récente interview avec une chaîne de télévision, Assange a déclaré que sa prochaine version «fournira suffisamment de preuves» pour voir Hillary arrêtée. Avec des rapports laissant entendre que son rival et candidat républicain, Donald Trump, a franchi le pas dans le dernier sondage, la fuite pourrait s’avérer un gros coup à sa campagne.
WikiLeaks a déjà publié 30 322 courriels du serveur de messagerie privé de Clinton, couvrant du 30 juin 2010 au 12 août 2014. Alors qu’Assange ne précisait pas exactement ce qui était dans les courriels, il a dit à la chaîne que WikiLeaks avait «accumulé beaucoup sur Hillary Clinton, qui pourrait procéder à un acte d’accusation».
En ce qui concerne l’enquête en cours du FBI, cependant, Assange a exprimé un manque de confiance dans le ministère de la Justice de l’administration Obama pour inculper l’ancienne secrétaire d’État.
« Le procureur général Loretta Lynch ne va pas accuser Hillary Clinton, ce n’est pas possible, mais le FBI pourrait demander de nouvelles concessions au gouvernement Clinton en échange de son inculpation », a déclaré Assange.
WikiLeaks a longtemps été une épine dans le camp de l’ancienne secrétaire d’État, qui a appelé le président Barack Obama à poursuivre le site de dénonciation après sa fuite des câbles du département d’État de 2010. Julian Assange reste confiné à l’ambassade équatorienne au centre-ville de Londres, l’Équateur ayant promis de ne pas remettre le fondateur de WikiLeaks aux autorités américaines.
La tentative de braquage a mal tourné, dans la nuit de vendredi à samedi. Un homme de 36 ans a été abattu par des gendarmes, à Briis-sous-Forges (Essonne), alors qu’il tentait de s’attaquer à un distributeur automatique de billets (DAB) avec l’aide de plusieurs complices. Vers 3h30, les gendarmes de la brigade de Limours auraient remarqué le petit groupe qui s’affairait autour de l'appareil. À la vue des militaires, les malfaiteurs se seraient engouffrés dans leur voiture.
Quatre coups de feu tirés par les gendarmes
« Le conducteur tente alors de prendre la fuite en fonçant en direction du véhicule de gendarmerie, a indiqué, au Parisien, le procureur de la République d’Évry, Éric Lallement. Un gendarme parvient à s’accrocher à leur voiture et essaie d’arracher la cagoule du malfaiteur qui se trouve derrière le volant. Celui-ci accélère et traîne le militaire sur plusieurs mètres. » Quatre coups de feu sont alors tirés par les forces de l’ordre, précise encore le parquet d’Évry. Un des tirs touche le conducteur qui réussit pourtant à prendre la fuite en voiture avec plusieurs de ses complices à son bord.
L’Inspection générale de la gendarmerie nationale saisie
Quelques minutes plus tard, la voiture des fuyards est retrouvée en bordure d’une route. Derrière le volant, le chauffeur atteint par le tir des gendarmes est mort.
«Cet homme était déjà connu de la justice, assure Éric Lallement. Une première enquête confiée à la section de recherches (SR) de la gendarmerie a été ouverte pour tentative de vol en bande organisée. Une deuxième enquête sera menée par l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) sur les conditions d’usage des armes par les forces de l’ordre. »
Sarkozy vote Hollande : la consécration de l'UMPS !
Interrogé sur son choix en cas de second tour opposant Marine Le Pen à François Hollande en 2017, Nicolas Sarkozy a répondu clairement qu'il voterait pour le président sortant. Finies les postures du "ni ni", Sarkozy officialise le système UMPS et démontre la profonde collusion qui existe entre les deux partis complices qui se relaient au pouvoir depuis des décennies. Ces propos sont à mettre sur le même plan que ceux de Manuel Valls, qui avait affirmé, il y a un an, qu’il fallait « assumer l’UMPS » dans l'intention d’une alliance avec les candidats de l’ex-UMP lors des élections régionales et envisager une forme de coalition avec ce même parti pour empêcher Marine Le Pen d’accéder à la présidence de la République en 2017. Nous assistons ainsi à l’émergence d’un clivage désormais véritable et fondé, qui oppose les patriotes rassemblés derrière Marine Le Pen aux mondialistes de l’ex-UMP, du PS et de tous leurs supplétifs issus aussi bien du centre que de l’extrême gauche. L'alternative qu'attendent les Français ne viendra pas de cette clique et de ses petites combinaisons politiciennes, mais de la seule candidate qui place l'intérêt de la France et de notre peuple au-dessus de tout.
SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM
Exemples paroxystiques du marxisme culturel ayant court en Occident, les films historiques actuels participent de la réécriture de notre histoire. Révisionnistes, voire purement négationnistes, ces œuvres travestissent nos mythes au nom de l’idéal égalitariste qui impose la discrimination dite « positive ». Chaque film sur le Moyen Âge européen se doit d’avoir son quota d’acteurs de type africain alors que ces sociétés simples étaient homogènes sur le plan ethnoculturel. C’est ainsi, les faits sont têtus, comme le disait le camarade Lénine.
Hannah Arendt expose, dans La Crise de la culture, une caractéristique de l’éducation américaine, qui tend aujourd’hui aussi à être notre façon d’éduquer les enfants mais aussi les adultes : « Même en Amérique, le monde dans lequel les enfants sont introduits est un monde ancien, […] construit par les vivants et les morts et qui n’est nouveau que pour ceux que l’immigration vient d’y introduire. Mais là l’illusion est plus forte que la réalité, car elle jaillit directement d’une expérience fondamentalement américaine : que l’on peut fonder un nouvel ordre, et qui plus est le fonder avec la conviction intime d’une continuité historique… »
Les images filmés ne sont pas passées au filtre de la critique. Ainsi le spectateur passif prend-il la fiction pour une réalité, son inculture faisant le reste. Demain, nos enfants croiront probablement que Lancelot et Jules César n’étaient pas des Européens puisque les acteurs qui les incarnent sur les écrans ne le sont pas.
La plupart des œuvres de fiction sont, de nos jours, sujettes au politiquement correct, à la pensée unique et à la propagande. Afin de créer le monde tel qu’on voudrait qu’il soit, c’est-à-dire une utopie multiculturelle inédite, il faut que monsieur Tout-le-Monde pense qu’il en fut toujours ainsi. D’où les castings métissés dans des films traitant de périodes où l’ultra-majorité de la population, paysanne et sédentaire, voyait en ses voisins les plus proches des étrangers aux mœurs incompatibles.
Double mépris qui s’exerce tant à l’encontre des peuples qui découvrent une histoire, un pays et un mode de vie à la télévision qui ne sont pas les leurs qu’à l’encontre de la fiction cinématographique, salie par l’irruption du faux comme enjeu obligatoire de la création. Pourtant, cela ne semble pas déranger le moins du monde les « décodeurs », les matons de Panurge ou les objecteurs de conscience de l’empire du bien. Du moins, quand cela touche à la réécriture de notre histoire.
En effet, gare à ne pas « travestir » l’histoire de cet autre idéalisé. On se souvient, notamment, du scandale qui a éclaté lorsque l’actrice Angelina Jolie a été choisie pour incarner la reine Cléopâtre. Immédiatement, les associations dites antiracistes ont hurlé à l’imposture. Le film n’a d’ailleurs toujours pas vu le jour. Pareillement, Leonardo DiCaprio a été empêché de jouer le rôle du poète persan Djalal ad-Din Muhammad Rumi car Hollywood craignait un procès en « whitewashing »…
BREIZATAO – ETREBROADEL (04/11/2016) Un islamiste radical de 35 ans, fiché par les services de renseignement français et portant un bracelet électronique, a été surpris en train de se livrer à ce qui semble être une opération de repérage.
Mardi, les policiers parisiens ont interpellé un homme fiché S qui faisait voler un drone place du Bataillon du Pacifique, à Paris, rapporte Le Point.
Un lieu situé tout proche de l’Accor Hôtel Arena, qui accueille cette semaine le Masters de tennis BNP Paribas, et du ministère de l’Économie et des Finances.
L’homme interpellé, porteur d’un bracelet électronique, est fiché S et serait en lien avec la mouvance islamiste radicale.
Dans une interview exclusive accordée à la chaîne russe RT, le lanceur d'alerte Julian Assange se prononce sur les récentes révélations concernant les couriels d'Hillary Clinton et sur le financement sous-terrain du groupe djihadiste Daech.
Les récentes révélations de WikiLeaks jettent une lumière crue sur le financement du groupe terroriste Daech, qui n’est pas sans liens avec la Fondation Clinton, affirme le lanceur d’alerte Julian Assange.Dans une interview exclusive accordée à la chaîne russe RT, le lanceur d'alerte Julian Assange se prononce sur les récentes révélations concernant les couriels d'Hillary Clinton et sur le financement sous-terrain du groupe djihadiste Daech.
Dans un email datant de 2014, Hillary Clinton s'adresse à John Podesta, alors conseiller de Barack Obama (à présent le chef de la campagne électorale d'Hillary Clinton, ndlr), et l'appelle à « faire pression » sur le Qatar et l'Arabie saoudite, « qui apportent clandestinement un soutien financier et logistique à Daech et à d'autres groupes sunnites radicaux », rappelle le lanceur d'alerte. Il a également indique que le courriel de la candidate démocrate contenait des informations sur le plus important contrat en matière de vente d'armes conclu par les États-Unis avec l'Arabie saoudite, dont le montant s'élevait selon certaines estimations à 80 milliards de dollars.
L’antiracisme dans toute son horreur. Une femme noire SDF qui soutient Trump a été brutalement malmenée puis agressée physiquement par des « social justice warriors » fous. La victime a été identifiée comme Denise Scott. Trump va la récompenser personnellement. Voici sa page GoFundMe :
Interpellée par une riche femme d’affaires opposée au Brexit, la Haute Cour de Justice de Londres, siégeant à trois juges, a décidé hier que la décision prise en juin par 17,4 millions de citoyens britanniques, soit près de 52 % des votants, n’avait qu’une valeur consultative. Pour les trois juges, seul le Parlement de Westminster peut invoquer l’article 50 du Traité de l’UE qui enclenchera le processus de sortie de l’UE.
C’est pourtant bien ce parlement qui avait pris la décision de déléguer sa décision au peuple par référendum ; le pouvoir de signer et révoquer les traités internationaux est au Royaume-Uni une prérogative royale, et revient donc en théorie au Gouvernement de Sa Majesté. C’est pourquoi le Premier ministre Theresa May entend bien faire appel de cette décision devant la Cour suprême, qui devra statuer sur cette question dans les prochaines semaines.
Si les juges de la Cour suprême confirment malgré tout la décision des trois juges de la Haute Cour de Justice, il faudra alors un vote du parlement, dont 480 membres sur 650 avaient soutenu le maintien du Royaume-Uni dans l’UE. Si le parlement vote contre la décision du peuple, Theresa May pourrait être contrainte de convoquer des élections anticipées. Et même si les députés n’osent pas annuler le résultat d’un référendum qu’ils avaient eux-mêmes convoqué, la procédure de sortie de l’UE pourrait être retardée d’au moins un an.
La presse britannique fait remarquer qu’un des trois juges de la Haute Cour de Justice est un ami proche de Tony Blair, l’ancien Premier ministre qui a milité pour rester dans l’UE, et un deuxième juge est le cofondateur d’une organisation juridique européiste. Plusieurs leaders des Tories et de l’UKIP ont violemment dénoncé l’activisme politique de ces juges et ont mis en garde contre la colère qu’un blocage du Brexit pourrait provoquer dans le peuple. Le tract envoyé à tous les ménages du pays avant le référendum était en effet très clair : « C’est votre décision. Le gouvernement mettra en œuvre ce que vous aurez décidé. Si vous avez 18 ans ou plus au 23 juin et que vous avez le droit de voter, c’est l’occasion pour vous de décider. »
Selon WikiLeaks, l’administration Obama aurait favorisé les réfugiés musulmans au détriment des chrétiens.Une nouvelle fois, les démocrates sont pointés du doigts par les chrétiens qui s’indignent de cette discrimination. (…)
À quelques semaines de Noël, les produits fabriqués en France sont à l'honneur dans plusieurs enseignes.
Impossible de rater le slogan: «Cette année, le Père Noël est toujours fier de fabriquer et de créer en France.»Il est visible dans les rayons des magasins de jouets, qu'il s'agisse de JouéClub, La Grande Récré, Toys'R'Us ou King Jouet. La profession s'est mobilisée le mois dernier pour placer le début de la saison sous l'égide de l'Association des créateurs-fabricants de jouets français (ACFJF), créée il y a deux ans. Dans les catalogues des principaux distributeurs spécialisés, le logo «made in France» a également fait son apparition. Les centres E.Leclerc aussi souhaitent aller plus loin dans cette démarche. Dans les nouveaux magasins Jouets E.Leclerc, l'enseigne indiquera en rayon, sur une carte de France, l'origine géographique des marques qu'elle commercialise.
Ces initiatives sont un moyen de sensibiliser les consommateurs et de gagner en visibilité, à l'approche de Noël. Aujourd'hui, un peu plus de 7 % des jouets vendus en France sont produits sur le territoire national, selon l'organisme qui rassemble 34 marques. C'est deux points de plus qu'il y a cinq ans. «Nous sommes convaincus que les jouets français vendus au niveau national pourraient atteindre 10 % d'ici à trois ans», estime Serge Jacquemier, président de l'ACFJF. Le marché du jouet français est estimé à un chiffre d'affaires annuel de 3,3 milliards d'euros.
Même si la concurrence face à la Chine est rude (65 % des jouets y sont fabriqués), le «made in France» n'a jamais été aussi en vogue, dans l'alimentaire comme dans le jouet. Plus que jamais, les consommateurs veulent connaître l'origine des produits et être rassurés sur leur qualité. «Cela fait cinq ans environ que les clients y sont plus sensibles, souligne Alain Bourgeois-Muller, président de JouéClub. Les crises sociales dans certains secteurs industriels interpellent et incitent à jouer la solidarité avec la production nationale.» Certes, il est difficile pour ces fabricants français de rivaliser avec les poids lourds comme Hasbro, Mattel ou Lego, avec des phénomènes comme Pokémon ou les Yo-kai Watch, ou avec les licences de personnages de films (Star Wars, La Reine des Neiges…). Il n'empêche, certains jouets se sont fait une place au classement des meilleures ventes à l'image des jeux de société d'Asmodee ou de Dujardin. «Les fabricants de jouets français ont réussi à se tailler de belles positions dans de nombreuses catégories, estime Franck Mathais, porte-parole de La Grande Récré. Ils parviennent à exprimer leur savoir-faire et leur talent sans avoir recours à des moyens marketing massifs.» C'est le cas de Sentosphère dans les jeux créatifs, de Smoby et d'Ecoiffier dans les jouets de plein air ou de Sophie La Girafe en premier âge. Des nouveaux venus tirent aussi leur épingle du jeu à l'image de Mako Moulages, qui connaît une deuxième vie après vingt ans de sommeil, ou de Topi Games (Memotep, Sauve Ton Permis), start-up lancée en 2014.
Beaucoup n'ont pas hésité à rapatrier tout ou partie de leur production en France. C'est le cas de Smoby, racheté par l'allemand Simba, qui a fait le pari de doper ses usines hexagonales en y investissant 30 millions d'euros depuis 2008. Même pari pour les maquettes en plastique d'Heller Joustra. L'entreprise a relocalisé sa production en Normandie depuis le début des années 2000 et ouvert un atelier de conditionnement. «Cela nous permet de faire la différence à l'international, notamment vis-à-vis de la clientèle asiatique», explique une porte-parole de l'entreprise.
De son côté, Sentosphère a racheté une société de cartonnage et dispose désormais de trois sites en France, ce qui lui permet de renforcer son autonomie en matière de production. «Fabriquer en France a un coût réel, notamment en raison du niveau des charges, commente Véronique Debroise, PDG de Sentosphère. Mais produire en Asie présente des risques financiers, des coûts de stockage et limite la réactivité en raison des délais liés au transport. Cela pose problème lorsqu'un jouet fonctionne bien avant Noël et que le temps manque pour réapprovisionner.»
Mais tous déplorent que, pour les jouets nécessitant des moules à injection ou ayant une composante électronique ou textile, il soit presque impossible de produire hors de Chine. «Il est difficile d'être compétitif lorsque les produits demandent beaucoup de main-d'œuvre, même si les coûts ont augmenté en Chine, déclare Serge Jacquemier. Pour continuer à créer en France, il est indispensable de se démarquer par l'innovation. Si le produit est basique, il est vite copié. On est alors battus!»
L'export représente une planche de salut pour de nombreux fabricants. Le succès des tracteurs Falquet ou des jeux Dujardin (Mille Bornes, Chrono Bomb'!…), vendus aux quatre coins du globe, illustre le potentiel du jouet français à l'international. Encore faut-il disposer de distributeurs ou d'équipes spécialisées dans l'export. Ce qui reste complexe, notamment pour les PME. Pour la première fois, les fabricants français disposeront d'un pavillon au salon de Nuremberg, la grand-messe du secteur, en janvier. Business France joindra ses forces pour promouvoir le savoir-faire hexagonal. Tous comptent bien profiter de cette nouvelle tribune.
Trois réussites en France et à l'export
•SMOBY,premier fabricant de jouets français, racheté en 2008 par l'allemand Simba, se porte bien. L'entreprise, qui est de nouveau en croissance depuis deux ans, a réalisé 150 millions d'euros de chiffre d'affaires l'an passé (+ 6 %). Son actionnaire a investi 30 millions d'euros en huit ans dans ses usines. Ce qui lui permet de continuer à miser sur le «made in France»: 70 % de ses jouets sont fabriqués dans l'Hexagone, 10 % en Espagne (tricycles, poussettes) et 20 % en Chine (nounours, poupées…). Cette année, le fabricant jurassien lance une gamme d'instruments de cuisine pour enfants (Smoby Chef) afin de séduire les 5-8 ans.
•SOPHIE LA GIRAFE,qui fête ses 55 ans, a permis à Vulli de quadrupler ses ventes en dix ans, à 29 millions d'euros. Ce jouet mythique, né à Paris, est fabriqué en Haute-Savoie. Il connaît depuis dix ans une nouvelle vie à l'international. Sur ses emballages, Vulli a choisi des tours Eiffel, une surpiqûre qui rappelle la couture à la française et des couleurs censées incarner un chic français, beige et blanc. Il est vendu dans 77 pays dont les États-Unis, son premier marché. Après le Brésil, Sophie vient de partir à la conquête des bébés chinois. Hochets, jouets de bain, doudous, meubles… La licence fait partie de ses leviers de croissance.
•BIOVIVA, avec ses jeux éducatifs (Bioviva Le Jeu, Sauve Moutons, L'Arbre des 4 Saisons…), souhaite favoriser une prise de conscience collective du respect de l'environnement. Son grand succès, Bioviva Le Jeu, qui permet de découvrir la planète et ses richesses naturelles, s'est vendu à 200.000 exemplaires dans le monde. Cette PME de l'Hérault, qui fête ses 20 ans, fabrique ses jeux dans la Drôme. Tous sont labellisés Origine France Garantie, une spécificité du secteur. En forte croissance, l'entreprise a enregistré 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2016.
Bill Clinton a pris, pour des voyages tous frais payés, 26 fois en seulement trois ans le « Lolita Express », l’avion de Jeffrey Epstein, le délinquant sexuel tombé en disgrâce.
Le financier Jeffrey Epstein a eu une légère peine de prison de 18 mois pour avoir recruté des prostituées et s’être offert les services sexuels de jeunes mineures.
Bill Clinton, avec ses célèbres penchants donjuanesques, fait partie des célébrités qui ont fréquenté Epstein avant que la gravité de ses problèmes juridiques ne soit rendue publique.
Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les hôtes avaient des relations sexuelles avec de jeunes filles.
Les registres de vol montrent que l’ancien président s’est rendu à Brunei, en Norvège, en Russie, à Singapour, à Hong-Kong, au Japon, aux Açores, en Afrique, en Belgique, en Chine, à New York et en Belgique dans l’avion d’Epstein.
Bill Clinton a passé tant de temps à bord de l’avion « Lolita Express » du nabab de Wall Street tombé en disgrâce qu’il pourrait prétendre à un programme de fidélité pour voyageur fréquent, selon de choquantes informations parues dans la presse qui dévoilent à quelle fréquence l’ancien président des États-Unis a fait route avec le délinquant sexuel condamné par la justice.
Les livres de vol analysés par Fox News montrent que Bill Clinton a fait 26 voyages à bord du Boeing 727 d’Epstein, ce qui est plus du double des 11 vols comptabilisés antérieurement.
Dans l’avion d’Epstein se trouvait un lit où les invités avaient des activités sexuelles de groupe avec de jeunes filles.
L’une d’elles, Virginia Giuffre, a soutenu avoir été amenée à rejoindre le harem d’Epstein quand elle n’avait que 15 ans et s’appelait alors Virginia Roberts.
L’ancienne adolescente prostituée a affirmé qu’on l’utilisait comme une « esclave sexuelle ».