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  • Un malade en hôpital psychiatrique met le feu à son matelas et meurt

    Un patient de 38 ans est décédé jeudi soir dans l'incendie d'une aile du bâtiment psychiatrique de l'hôpital Simone-Veil à Eaubonne (Val d'Oise) après avoir mis le feu à son matelas, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.


    Le patient s'est enfermé dans sa chambre avant de mettre le feu à son matelas, selon les pompiers. L'homme est décédé à l'arrivée des secours. Sept autres personnes ont été légèrement intoxiquées.


    Des groupes de parole ont été mis en place dans la journée de vendredi pour les patients de l'hôpital. La famille de la victime a également rencontré un psychiatre durant plusieurs heures, selon la direction de l'établissement.

    La veuve du patient a déclaré à l'AFP vouloir porter plainte contre l'établissement pour dysfonctionnement.

    «Je me pose des questions: pourquoi avait-il un briquet? Comment a-t-il bloqué la porte? Comment expliquer qu'on veut protéger quelqu'un et qu'il meurt à l'hôpital?», s'est interrogée la veuve, à la sortie d'un rendez-vous avec la direction de l'hôpital.

    La direction de l'hôpital, contactée par l'AFP, a confirmé que le patient possédait un briquet. Une réunion doit se tenir lundi «pour analyser ce qui s'est passé», a-t-on précisé.

    Une enquête a été ouverte par le commissariat d'Ermont. Une autopsie sera pratiquée lundi, selon la famille.

    Le Parisien 03 mai 2008

    Il n'y avait donc aucune surveillance, aucune fouille dans cet hôpital psychiatrique? Maintenant, il y a des "groupes de parole"...

  • Abdelkader, 40 ans, égorge sa femme et ses deux enfants

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    Un homme de 40 ans, Abdelkader, a égorgé sa femme Salhia (35 ans) et ses deux enfants, Yonès (4 ans) et Inès (6 ans) dans la nuit de vendredi à samedi à Epinay-sur-Seine.

    Le triple meurtre s'est perpétré vers 23H30, dans l'appartement du couple qui vivait en concubinage, dans un appartement de la cité d'Orgemont.

    Les circonstances précises du drame et les raisons du geste du meurtrier restent à déterminer.

    D'après nos informations, l'homme qui ne travaillait pas, était considéré par ses voisins comme quelqu'un de plutôt discret.

    L'homme s'est rendu à la police dans un commissariat des Yvelines. Le suspect a ensuite été place en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Seine-Saint-Denis où il était entendu samedi matin.

  • Une mère de famille condamnée pour antisémitisme

    Une mère de famille de 40 ans, reconnue coupable d'avoir proféré des propos racistes et antisémites et d'avoir agressé une autre mère de famille devant une école de Fréjus (Var), a été condamnée vendredi à huit mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Draguignan.

    Le tribunal a également prononcé deux années de mise à l'épreuve accompagnées de mesures strictes comme interdiction de parler à la victime et à sa famille, obligation de changer de trottoir et de rester à distance ou encore interdiction de se déplacer à l'étranger.

    La mère de famille a également été condamnée à 1.500 euros de dommages et intérêts et à verser 1 euro symbolique à la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), partie civile.


    Le 7 janvier 2008, Annie Ripoll avait insulté Mélissa Humbert en lui répétant: «tu n'es pas juive pour rien, tu es une mauvaise langue». Le ton était monté et des coups avaient été portés entraînant une incapacité totale de travail (ITT) de dix jours pour Mme Humbert.

    Selon la victime et les nombreux témoignages fournis, dont des attestations rédigées par des policiers municipaux de Fréjus, les insultes duraient depuis près de trois ans. A tel point que Mme Humbert se faisait accompagner par des parents jusqu'à l'école et que parfois les policiers municipaux la raccompagnaient à son domicile.

    Son avocat Me Jean-Christophe Piaux a mis l'accent sur ces «trois années de souffrance et de harcèlement moral quotidien».

    Rappelant la hausse ces dernières années des agressions racistes et antisémites, notamment la propagande sur internet, l'avocat de la Licra, Me Gérard Bentata, a stigmatisé l'attitude de la prévenue «qui vomit du juif au quotidien», «une madame Le Pen en jupon».

    En défense, Me Isabelle Calderari a plaidé la relaxe. Sa cliente a rejeté en bloc les éléments du dossier et s'est dit victime d'un coup monté, assurant à la barre «ne rien avoir du tout contre les juifs».

    Des affirmations auxquelles la procureure Sophie Guichon n'a pas adhéré en dénonçant «l'apogée de la haine vis à vis de la victime et de la religion». Elle a requis trois mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve et 1.000 euros d'amende.
    Le Parisien 03 mai 2008
  • APOLLON, DIEU DU SOLEIL, DES ARTS, DE LA MUSIQUE ET DE LA DIVINATION

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    Chaque automne, Apollon se retire chez les Hyperboréens, dans l'extrême nord, et il revient au printemps.

    L’Apollon du Belvédère est une copie romaine en marbre de l'époque antonine d'après un original grec en bronze habituellement attribué à Léocharès, sculpteur de la deuxième moitié du IVe siècle av. J.-C. Elle représente le dieu Apollon en marche, tenant à la main ce qui était probablement un arc. Elle est exposée au musée Pio-Clementino (musées du Vatican) sous le numéro 1015.

  • Les Druides célèbrent le dieu du Soleil

    AFP. Les druides bretons ont célébré jeudi à Arzano, près de Quimperlé, la fête de Beltaine en l'honneur du dieu du soleil Belenos, marquant ainsi le passage de la saison sombre à la saison claire, a indiqué le nouveau grand druide, Per-Vari Kerloc'h.

    "On fête l'arrivée de la saison chaude, la nature explose autour de nous nous, transmettant une certaine joie de vivre", a expliqué Per-Vari Kerloc'h, portant aube blanche et couronne de gui en argent ciselé, qui officiait pour la première fois depuis le décès en février dernier de Gwenc'hlan Le Scouézec, après une trentaine d'années à la tête de la fraternité druidique de Bretagne.

    Vêtus d'aubes bleues, vertes ou blanches, les bardes (littéraires), ovates (scientifiques) et druides (sacerdoce et enseignement), une cinquantaine au total, se sont dirigés en procession vers l'orée d'une forêt, derrière des drapeaux bretons et au son d'un biniou, pour se retrouver autour d'une fontaine et de son eau "génératrice de vie".

    Après le rituel en langue bretonne à l'intérieur d'un cercle de pierres, les druides sont passés à plusieurs reprises entre deux feux spécialement allumés avec "douze essences sacrées", symbole de purification selon la tradition druidique.

    La cérémonie s'est achevée par l'hymne national breton "le vieux pays de nos pères" (bro goz va zadou), ponctué de "bevet breizh" (vive la Bretagne)

    La fête en l'honneur de Belenos est, elle, prévue pour durer 3 jours. "C'est un hymne à l'amour, à la nature sous toutes ses formes, à la fraternité et au partage", a expliqué de son côté Youen Burel, archiviste au Gorsedd (fraternité druidique) de Bretagne.

    Le Gorsedd de Bretagne est la branche officielle du druidisme rattachée à la branche galloise. L'autorité suprême du Gorsedd celtique a été fondée au XVIIIe siècle. Elle regroupe près de 1.200 membres et se trouve au pays de Galles.

    Ndb: Belenos, le dieu du Soleil, est en fait le dieu grec Apollon, dieu de la Clarté solaire, de la Raison et des Arts.

  • Défaite historique de Gordon Brown

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    Gordon Brown

    Moins d'un an après son arrivée au pouvoir, ces élections locales constituaient un test pour Gordon Brown. Et la défaite est cuisante. Selon les résultats définitifs, le parti travailliste perd 333 sièges, sa plus sévère défaite depuis 40 ans. Sur les 4102 sièges mis en jeu jeudi en Angleterre et au Pays de Galles, hors Londres, le parti conservateur dirigé par David Cameron a conquis 260 sièges et le parti libéral-démocrate, deuxième parti d'opposition, a progressé de 34 sièges.

    Les conservateurs pourraient également confirmer leur victoire en ravissant  au Labour la mairie de Londres, pour lequel les résultats ne seront connus que tard dans la nuit de vendredi à samedi. Selon l'agence de presse britannique Press association, Boris Johnson était en tête dans huit des quatorze "arrondissements" de la capitale britannique après le dépouillement des quatre-cinquièmes des bulletins, tandis que Ken Livingstone menait dans les six autres.

    Brown explique sa défaite par la hausse des prix

    Il s'agit de la meilleure performance des conservateurs lors d'élections locales depuis 1992, et la pire pour le Labour depuis la fin des années 60.

    La défaite est encore plus grande qu'en 2004, élection à laquelle les travaillistes avaient payé la décision controversée du Premier ministre de l'époque, Tony Blair, d'engager le Royaume-Uni dans la guerre en Irak. En 2004, le Labour avait également terminé en troisième position, avec 26% des voix.

    "Il est évident que cela a été une nuit décevante, en fait une mauvaise nuit pour le Labour", a reconnu Gordon Brown lors d'une conférence de presse. "Nous devons en tirer les leçons... Nous allons analyser ce qui s'est passé et aller de l'avant", a-t-il ajouté. Le parti "a entendu" le message, a-t-il assuré, citant la hausse du coût de la vie pour expliquer la sévère sanction électorale. "La population veut être assurée que le gouvernement va les aider à surmonter ces temps difficiles", a-t-il dit, promettant des mesures afin d'aider à compenser la "hausse des factures".

    LCI.fr 02 mai 2008

  • Un autre vrai/faux chauffeur de taxi? Des faits troublants

     Alors que les policiers concentrent leurs investigations autour de Bruno Cholet, incarcéré dimanche pour le viol et le meurtre présumés de Sussanna, une autre affaire mobilise la PJ.

    Hier, le parquet de Meaux a ouvert une enquête à la suite du viol d'une jeune femme de 23 ans, commis dans la nuit de vendredi à samedi vers Saint-Mard, en Seine-et-Marne. Là encore, il s'agirait d'une agression par un chauffeur de taxi. La victime est une hôtesse de l'air qui habite Fontenay-aux-Roses dans les Hauts-de-Seine. C'est un policier de la Compagnie départementale d'intervention qui, revenant de son travail, a trouvé la jeune femme en pleurs alors qu'elle marchait le long de la RN 2 sans savoir où aller. Emmenée au commissariat de Mitry-Mory, elle a expliqué avoir pris un taxi vers minuit à la sortie d'une station de métro de la ligne 13. Le conducteur, au lieu de la ramener à son domicile à l'ouest de Paris, prend l'autoroute A 1 en direction de la Seine-et-Marne où il viole et la frappe avant de l'abandonner. Auparavant, il la menace avec une arme.

    Mais l'enquête du groupe criminel de la police judiciaire de Versailles se révèle difficile, d'autant que la jeune femme avait passablement bu ce soir-là. Bien sûr, on ne peut s'empêcher de faire le rapprochement avec Bruno Cholet soupçonné d'avoir pris dans son taxi clandestin l'étudiante suédoise avant de la violer et de la tuer dans la nuit du 18 au 19 avril. Or, au moment où l'hôtesse de l'air était agressée samedi soir, Cholet se trouvait déjà en garde à vue.

    Alors, un deuxième homme chauffeur de taxi sévit-il dans la capitale ? La psychose pourrait bien s'installer. On se souvient que, fin février, une jeune Sudéoise avait déjà été violée par un inconnu et abandonnée vivante à Orgeval (Yvelines) après avoir pris un taxi en sortant d'une boîte de nuit parisienne. Et les expertises ADN ont permis d'écarter la responsabilité de Bruno Cholet dans cette affaire. Alors, simple hasard ?

    Et faut-il verser aussi au dossier le témoignage de la jeune Albigeoise recueilli ci-dessous ?


    Une Albigeoise a-t-elle croisé l'agresseur ?

    Claire (1), une jeune Albigeoise de 22 ans étudiante à Paris, a-t-elle croisé l'auteur activement recherché d'agressions commises ces dernières semaines ? Voilà deux mois, un samedi soir au sortir d'une boîte située près de Saint Germain-des-Prés, Claire a connu la frayeur de sa vie en montant dans le véhicule d'un chauffeur de taxi qu'elle avait hélé pour regagner son domicile.

    « Dès que je me suis assise à l'arrière, j'ai senti que quelque chose n'allait pas, qu'il ne me fallait pas rester là », raconte-t-elle. « En effet, juste après avoir démarré, l'homme s'est mis à conduire en me regardant, en parlant de sexe,, de plaisirs, et des femmes qui profitaient de leur pouvoir »…»

    Joignant le geste à la parole, l'homme, qui pourrait avoir la trentaine, n'hésite pas à glisser une main à l'arrière sur le genou de sa passagère. Ce geste, pénible, achève de paniquer la jeune fille qui lui demande alors « d'arrêter immédiatement le véhicule et de la déposer ». D'autant que le conducteur, au volant de sa voiture une grosse cylindrée de couleur blanche, semblait vouloir quitter son itinéraire pour emprunter le périphérique dans la direction opposée. Le conducteur avait-il l'intention de sortir de Paris ? Toujours est-il que Claire, qui ne manquait pas de sang-froid, avait déjà saisi son portable. « En lui montrant mon téléphone, je lui ai dit : « Je suis en ligne avec la police. Déposez-moi immédiatement », témoigne-t-elle encore éprouvée par ce souvenir.

    L'homme a-t-il alors paniqué ? Toujours est-il qu'il a déposé la jeune passagère, tremblante mais soulagée. Claire avait tout fait pour oublier cette histoire jusqu'au moment où a surgi dans l'actualité l'affaire Cholet et ses agressions présumées. La jeune Albigeoise s'est rendue alors dans le commissariat le plus proche pour déposer son témoignage.

    (1) Le prénom a été volontairement modifié.

    (LA DEPÊCHE - 30 avril 2008)

     

  • Une 3ème femme violée par un vrai ou faux chauffeur de taxi recherché

    Un deuxième vrai ou faux chauffeur de taxi violeur serait encore dans la nature

     Hier, les enquêteurs ont confirmé que Bruno Cholet, le faux chauffeur de taxi suspecté du meurtre et du viol d'une Suédoise la semaine dernière à la sortie d'une boîte parisienne, était « étranger » au viol d'une autre Suédoise commis il y a deux mois à Orgeval (Yvelines). Agée de 19 ans, elle avait aussi pris un taxi à la sortie d'un club parisien, avant que le conducteur l'emmène dans la forêt pour la violer.

    Mais l'histoire se complique car une autre femme de 23 ans aurait été violée par un chauffeur de taxi dans la nuit de vendredi à samedi dernier, puis abandonnée vers Saint-Mard (Seine-et-Marne)... alors que Bruno Cholet se trouvait en garde à vue à la PJ.

    Elle assure avoir pris un taxi à la sortie d'une station de la ligne 13 dont elle ne se rappelle pas le nom car elle avait trop bu. Elle a été retrouvée en pleine nuit marchant le long de la RN 2, et a raconté avoir été violée « avec les doigts » et frappée par le conducteur. Ce viol n'a pas pu être prouvé par des examens médicaux, mais la police ne voit « aucune raison de douter de ses dires ». Le parquet de Meaux a ouvert une enquête.


    - ©2008 20 minutes


    20 Minutes, éditions du 30/04/2008

  • Communiqué "COLLECTIF 13 MAI 1958 A MARSEILLE"

    Responsables :  

    André Loré  - à Nice : Tel : 06 68 87 77 77

    Jean Paul Selles  - Saint-Raphaël : Tel : 04 94 95 00 93

    Viviane Ezagouri -  Marseille : Tel : 04 91 37 51 92

    Correspondant à Toulouse : Guy Rolland – 06 74 445 946

    Mardi 29 Avril 2008

    Cher ami, Cher camarade, Cher compatriote,

    J’ai le plaisir de vous informer que le 13 Mai prochain est organisée à Marseille une immense manifestation sur le thème de « l’Espérance trahie ».

    Les médias choisissent d’occulter cet événement embarrassant en le remplaçant par celui de "Mai 1968".

    C’est sur un programme spécifique sur lequel il s’est engagé par plusieurs serments prêtés à la face du monde que Charles De Gaulle a conquis le Pouvoir après l’avoir vainement espéré pendant 13 ans. Promettant la renaissance, il a fait cadeau du désastre. Depuis, la France en paie la note la plus salée. Politiquement, humainement, moralement Charles De Gaulle a ouvert la voie du machiavélisme banal. C’est cet anniversaire de la plus grande désillusion de notre Histoire, c’est ce deuil qui seront l’objet de cette immense manifestation.

    Les organisateurs de la manifestation en appellent à tous les Français pour venir rappeler ce dramatique virage de notre Histoire et pour venir réclamer l’abolition du Secret d’Etat et l’expression de la Vérité au nom du Droit de Mémoire. L’occultation obligatoire et le silence officiel ne peuvent pas demeurer la seule facture de la Trahison et de la Forfaiture.

    Merci de venir par milliers. Merci de votre mobilisation générale. Merci d’exiger le retour de la moralisation dans la politique française par l’expression pure et simple de la Vérité.

     13 MAI 1958 à ALGER  - 13 MAI 2008 à MARSEILLE

      A l’occasion du cinquantenaire du 13 mai 1958 à Alger, un collectif apolitique, présidé par un ancien combattant d’Algérie :

    M. André Loré : Tel 06 68 87 77 77 ou 06 08 07 57 29,

    s’est constitué pour manifester en commun, sur le Vieux Port à Marseille, le Mardi 13 mai 2008 à partir de 13h45, ce que furent cet immense espoir et l’immense déception qui s’ensuivit. Tous unis sur le thème de l’espérance trahie, Français de souche nord-africaine ou européenne, Anciens Combattants, nous témoignerons de cette date fondatrice et occultée au profit de mai 1968.

    Toute référence à un parti ou à une association constituée sera bannie.

    Les banderoles sont soumises à un accord préalable.

    Nos consignes: Brassard noir et crêpe noir au drapeau.

    Une motion sera remise aux Autorités et à la Presse à l’issue de cette marche qui ira du Vieux Port à la Préfecture, laquelle a communiqué son autorisation.

    Des déplacements par cars sont organisés en fonction des inscriptions, à partir de diverses villes du Var.

    Coût environ 20 euros.

    Pour tout renseignement, téléphoner pour l’Est Varois : au  06 61 48 44 74 ou au 06 33 79 82 78.

     Avec nos remerciements anticipés et notre amitié veuillez partager avec nous cette volonté libératrice de faire éclater la vérité.

     

     

  • JEANNE D'ARC DANS LA NUIT DE PARIS

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    Place des Pyramides

  • Site internet JONATHAN : 60 témoignages recueillis en une semaine

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    Jonathan Coulom, 11 ans
    Il ne faut pas l'oublier
    Le site internet dédié à l'affaire Jonathan, l'enfant de 11 ans enlevé et assassiné en 2004 en Loire-Atlantique dans des conditions non élucidées, a reçu en une semaine 27.000 visites et a permis aux enquêteurs d'obtenir une soixantaine de contacts, selon la gendarmerie.

    Pour la première fois en France la justice et la gendarmerie ont mis en place un site internet dédié pour tenter de relancer l'enquête sur une affaire en cours et non élucidée, comptant sur cet outil pour «réveiller les mémoires» quatre ans après les faits.

    Mercredi, une semaine après le lancement du site www.dossierjonathan.fr, l'appel à témoin via internet «a conduit plus d'une soixantaine d'internautes à se manifester auprès des enquêteurs», a noté la gendarmerie dans un communiqué.


    «Sans préjuger du degré de fiabilité de ces témoignages, le travail va maintenant consister à effectuer les investigations nécessaires visant à vérifier que les éléments recueillis sont de nature à aider dans l'enquête», a-t-on précisé de même source.

    Les témoignages obtenus vont être vérifiés par la cellule Jonathan qui compte 15 gendarmes. L'enfant, originaire du Cher, avait disparu dans la nuit du 6 au 7 avril 2004 d'un centre de vacances à Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique). Son cadavre avait été découvert le 19 mai, ligoté et lesté d'un parpaing dans l'étang d'une propriété privée proche de Guérande, à 25 km du lieu de l'enlèvement.

    La principale piste dont disposent les enquêteurs est une trace ADN relevée sur le lit de Jonathan. Mais la justice, toujours à la recherche du propriétaire de cet ADN, reste prudente quant à la possibilité qu'il s'agisse de celui du meurtrier de l'enfant. Quelque 1.500 tests ADN ont déjà été réalisés et la trace ADN a même été diffusée auprès d'Interpol, en vain.

    www.dossierjonathan.fr

    (Le Parisien 1er mai 12008)

  • STATS DU BLOG POUR AVRIL 2008

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  • JOYEUX 1er MAI !

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  • La dernière heure reconstituée de Susanna

    Les policiers chargés de l'enquête sur le meurtre de l'étudiante suédoise Susanna Zetterberg ont reconstitué la dernière heure de la jeune femme et relevé de nombreux indices remontant vers Bruno Cholet qui continue de nier les faits.

    Peu après 04H30 du matin le samedi 19 avril, Susanna, 19 ans, étudiante à la Sorbonne, qui passait la soirée avec des amis à La Scala (1er ardt), une boîte de nuit parisienne, décide de rentrer seule en taxi, a raconté mercredi le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, lors d'une conférence de presse.

    Un chauffeur refuse de la prendre et la voit monter dans un monospace blanc sans insignes réglementaires des taxis parisiens.

    A 05H02, une amie suédoise l'appelle sur son téléphone portable.

    Le chauffeur a l'air «un peu bizarre», lui répond Susanna. Elle n'a pas envoyée de SMS.

    Le chauffeur quitte Paris. La jeune femme, qui habite dans le XVIIIe arrondissement, s'inquiète. A 05H13, elle passe deux appels à un ami sans parvenir à le joindre. «L'appel est borné au niveau du Stade de France», détaille M. Marin.

    L'homme la conduit en forêt de Chantilly, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Paris. Il lui extorque les codes de ses deux cartes bancaires.

    Susanna est menottée dans le dos. Les enquêteurs n'ont pas établi pour le moment si elle a été violée. Le tueur lui assène un coup de couteau dans le poumon, provoquant son asphyxie.

    Une fois morte, il lui tire quatre balles de 22 long rifle à l'arrière du crâne. Puis met le feu au corps, qui se propage depuis le bassin.

    Un automobiliste qui se rend à son travail repère un monospace blanc garé à la lisière de la forêt entre 05h30 et 05h40. Vers 05H40, «deux femmes qui circulent également sur le trajet» distinguent un début d'incendie, pensant d'abord qu'il s'agit d'un «mannequin», et tentent de l'éteindre. (Avec quoi? De l'eau? Un extincteur de voiture? Pourquoi n'appellent-elles pas les Pompiers?)
    Le corps, «découvert vêtu, pour ce qui restait des éléments de vêtements» est «très largement calciné», selon Jean-Claude Marin.

    A 06h02, le tueur effectue un premier retrait avec l'une des cartes de sa victime. Il y en aura trois, à Senlis, Chantilly et Luzarches (Val d'Oise), permettant à des caméras de saisir sa silhouette.

    Dès mercredi, les quelque 40 policiers de la brigade criminelle mobilisés sur cette affaire, aidés par ceux chargés de la surveillance des taxis, sont sur la piste de Bruno Cholet, délinquant sexuel multirécidiviste et déjà condamné pour avoir exercé l'activité de taxi clandestin.

    Mis sous surveillance, l'homme se rend vendredi au bois de Boulogne à Paris déterrer quelque chose. Ils est interpellé peu après. Dans le monospace, emprunté par Cholet à son employeur, les enquêteurs mettent la main sur un sac plastique sur lequel est inscrit au feutre «Susanna 377» (bien 377), dont le sens reste «énigmatique» pour les enquêteurs.

    A l'intérieur du sac, se trouvent un pistolet du même calibre que les balles tirées sur le corps de l'étudiante, des cartouches, des gants en latex et des menottes, autant d'éléments qui viennent nourrir «la présomption de culpabilité», estime le procureur.

    Bruno Cholet est mis en examen et incarcéré dimanche notamment pour «enlèvement et séquestration suivi de la mort de la victime» en état de récidive légale. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

    L'homme, qui n'a pas encore été entendu sur le fond par la juge Nathalie Dutartre, «a une attitude de totale dénégation», relate M. Marin.

    Les enquêteurs attendent dans les prochains jours les résultats d'analyses génétiques et balistiques pour éventuellement renforcer les présomptions contre Bruno Cholet.

    (Le Parisien - 30 avril 2008)