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  • Rome: le nouveau maire veut interdire la Gay Pride

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    Gay pride à Rome le 16 juin 2007

    France Info 8 mai. Gianni Alemanno estime que la Gay Pride, qui se tient tous les ans à Rome, est un acte d’exhibition sexuelle, et que la municipalité allait trouver une formule pour que la manifestation n’offense personne.

    A peine élu, le nouveau maire de Rome entend bien marquer sa différence. Premier maire de droite depuis la fin de la guerre, premier ancien néo-fasciste également, Gianni Alemanno semble multiplier les piques - plus ou moins provocatrices.

    Dernière en date : la Gay Pride. “Je respecte les personnes homosexuelles, j’en connais quelques unes et je ne fais pas dans la discrimination. Mais je crains que la Gay Pride soit tout autre chose, un acte d’exhibition sexuelle, et je suis opposé à toute forme d’exhibition, homosexuelle ou hétérosexuelle.” Et pour préciser sa pensée, Gianni Alemanno poursuit : Le problème, ce n’est pas oui ou non à l’homosexualité, mais oui ou non à l’exhibition.”
    Du coup, le maire promet une discussion au conseil municipal pour trouver une formule “qui n’offense personne”.

    Ces propos ont évidemment suscité l’émotion des responsables d’associations homosexuelles - et de la gauche. Comme le résume Franco Grillini, ex-député de gauche, “on savait que la droite italienne, la pire d’Europe, n’aimait pas cette manifestation. Mais qu’elle la conteste en l’insultant montre qu’elle ne sait pas se mesurer avec ses adversaires. Pour la droite, le bon homosexuel est celui qui se cache et ne revendique pas de droits.”

    Fin du round. Auparavant, Gianni Alemanno s’en était d’abord pris au musée de l’Ara Pacis, inauguré voici deux ans. Un musée qu’il faut enlever, dit-il. “A la première bonne occasion, j’organiserai un référendum en demandant ’le musée Meier, oui ou non’ et comme cela, ce sera aux citoyens de décider. S’ils décident ’non’ alors nous trouverons un moyen pour le déplacer.” Le musée, en verre, abrite un petit autel antique ; sa construction a suscité de nombreuses critiques.

    Guillaume Gaven avec agences

     


  • DELPHES

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    LE VOYAGE

                                      

                                          J’ai vu un paysage et puis j’ai vu un fleuve…

                                          Des chèvres oubliées enroulaient à leurs cornes

                                          Le silence des dieux et des déesses mornes,

                                          Lèvres ensanglantées par le vent qui n’abreuve.

                                          A Delphes dans les champs d’oliviers, la Pythie

                                          Enivrée de vapeurs parmi les marbres blancs

                                          Voit la beauté qui meurt avec un dernier cri

                                          Et les nymphes pleurer dans les bosquets de Pan.

      

                                          Mon amour est vivant près des eaux de l’Alphée,

                                          Il respire avec moi le sel bleu de l’été

                                          - Au bord de l’Alphée que silence, herbes folles…

                                          Un chant abolira l’oubli des Immortels,

                                          La flûte d’un berger ou le souffle d’Eole

                                          Mugissant sur la mer qui résonne d’appels.

                                                                                                                           

                                                                                                                              Gaëlle MANN

                                             

  • "La mère de tous les Français"!

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    La mère du président de la République, qui raconte quelques anecdotes sur son fils lors d'un entretien à Omega TV, assure en revanche n'être «pas fan» de Ségolène Royal.

    Ses apparitions sont extrêmement rares. Discrète, douce, Andrée Mallah (divorcée de Pal Sarközy) ne pratique pas la langue de bois quand elle choisit de s'exprimer. La mère du président de la République, avocate de formation, se confie dans une interview accordée à la Web-TV Omega TV, à son domicile de Neuilly-sur-Seine. Sur son surnom, «Dadu», dont l'origine remonte à sa petite enfance, et qui correspond au nom d'un petit cheval parmi ses jouets. (ce n'est pas "dada", c'est Dadu, prononcer "Dadou", son premier prénom)

    Nicolas Sarközy ? Le jeune étudiant en droit travaillait dans les années 70 pour la boutique Hermès en bas de l'immeuble familial, où il faisait les livraisons le samedi pour se faire de l'argent de poche : «Il avait fait quelques erreurs, en livrant par exemple une mangeoire pour hamster alors que c'était pour des oiseaux», s'amuse sa mère, qui lui inculque quelques valeurs que l'on pourrait retrouver dans n'importe quelle famille ordinaire. «Je n'ai pas du tout été sévère, j'ai demandé qu'il travaille, qu'il fasse du sport et qu'il ne me raconte pas d'histoires. Avec ça, on peut réussir !»

    A l'écouter, son fils semblait programmé pour devenir président de la République. «Oui, mais c'était tellement anecdotique. Des amis avaient une maison superbe dans le Midi. A un moment, l'un d'entre eux lui frotte les cheveux. Et Nicolas, qui avait 7 ans, lui dit : "Mais qui vous a permis de me toucher la tête, vous ne savez pas que je veux être président de la République?"  L'ami a beaucoup ri à l'époque, mais maintenant il ne rit plus du tout !»

    «J'ai été la Première dame pendant quinze jours»

     

    L'actuel chef de l'Etat lisait dans sa jeunesse «tous les livres sur de Gaulle. Il est venu à la politique par la lecture», assure Andrée Sarkozy, qui réfute, par contre, l'influence précoce de la religion sur le parcours de son fils : «C'est venu relativement récemment.» Aujourd'hui, elle assure que «rien n'a changé» dans sa vie. Elle se réjouit de «la joie de Nicolas, il a eu ce qu'il voulait. Et puis je n'étais pas vraiment fan de madame Royal», sourit-elle. Elle aurait même parlé de l'ex-candidate PS à la présidentielle avec le président chinois lors un dîner officiel, Hu Jintao lui répondant par un simple geste des deux mains, pas très diplomatique et peu flatteur pour Ségolène Royal. Sans plus de précisions.

    A l'inverse, une femme trouve grâce à ses yeux. Pas Cécilia, «mystérieuse», avec qui, toutefois, elle entretenait de «très bons rapports». Mais sa nouvelle belle-fille, Carla Bruni, «absolument charmante, adorable, très drôle et gentille. Tout le monde l'aime bien. Elle réunit un nombre de qualités assez exceptionnelles. Elle a une aisance, vous l'avez vu en Angleterre, elle est parfaite.» Un reproche, toutefois ? Andrée Sarkozy pouffe de rire : «J'ai été la Première dame pendant quinze jours, seulement, à cause de vous», lui a-t-elle dit.

    D'une lucidité sans faille, Andrée Sarközy ne souhaite ni se projeter dans l'avenir, ni faire de bilan prématuré de l'action du chef de l'Etat. Tout juste concède-t-elle que le «casse-toi pauvre con» adressé à un visiteur au Salon de l'agriculture ne l'a pas surprise. «Vous savez, c'est parce qu'il est très franc et très naturel qu'il est comme ça. A propos de cet incident, il est regrettable que le président de la République emploie un gros mot, mais ça ne me paraît pas dramatique.» Désormais, elle préfère se consacrer à l'innombrable courrier qu'elle reçoit à son domicile ou via l'Elysée. Une lettre l'a particulièrement touchée. Au milieu des félicitations, il lui était écrit : «Vous êtes la mère de tous les Français.»

    Qu'attendre d'autre du FIGARO que cette "pommade" ?

         
  • INDECENT ET ECOEURANT!

    Charleville-Mézières (Ardennes)

    Ils sont deux. « Michel le blanc et Michel le noir. » Deux individus claquemurés derrière cette carapace impassible qui s'efforce de paraître un monstre depuis le début de son procès devant la cour d'assises des Ardennes.

    « Une personne normale - mon frère - et un assassin », résume André Fourniret, 78 ans, tiraillé entre ces « deux extrêmes » : il n'a « pas envie de défendre un tueur d'enfants », mais « pas le droit » non plus « d'attaquer trop fort un consanguin ». Aussi parle-t-il longuement de « quelqu'un d'assez sympathique », dont il n'aurait qu'à « se féliciter » s'il n'était accusé des viols et des meurtres de sept jeunes filles.

    André avait 12 ans quand Michel a vu le jour. « Il ne devait pas survivre. C'est notre mère qui l'a sauvé », explique-t-il à la barre. Lui, comme tous ici, cherche à comprendre comment cet « intello raté », certes « mégalomane, colérique et autoritaire, qui veut dominer le monde », est devenu ce qu'il est. Il n'a pas d'explication, si ce n'est cette double personnalité, « l'homme panthère, le loup-garou, Docteur Jekyll et Mister Hyde ».



    « Par une sorte de transfert sur lui-même, Michel numéro un, le fréquentable, s'arrange pour devenir la victime de l'autre, Michel numéro deux, analyse André Fourniret. Il est coincé. Quand Michel blanc, s'il existe encore, découvrira ce que Michel noir a fait, il ne survivra pas, se suicidera ou deviendra fou. Son mutisme, c'est une forme d'autoprotection qu'il faut respecter. Une manière pour le blanc de ne pas reconnaître les crimes du noir. C'est le blanc que vous avez là, qui se prend pour un martyr. » L'aîné avance une autre explication à la dérive criminelle de son cadet : « Sa rencontre avec Monique. » « Il y a le jerrican et l'allumette. Elle n'a rien fait en soi, mais sa présence a permis de déclencher ses pulsions criminelles, assure-t-il. Sans elle, il est possible qu'il n'aurait pas tué. »

    L'intelligence et le coeur de cet homme donnent, pour la première fois, humanité à celui qui reste de marbre dans le box. « Je voudrais qu'il sache qu'il reste toujours mon frère, malgré tout », tient à préciser André. Il est « difficile » d'être le « frère de... ». Il a dû changer de nom « par politesse pour mes connaissances et mes interlocuteurs ». « Mais, à côté de la douleur des familles des victimes, je ne me sentirai pas le droit de me plaindre. » Il se tourne vers elles pour leur dire, « dans les yeux », « toute l'affection » qu'il leur porte : « Je compatis beaucoup ».

    Avant qu'il reparte, la maman d'Elisabeth Brichet, l'une des victimes de Fourniret, ose une dernière question : « Votre frère aurait-il parlé s'il avait obtenu le huis clos ? » « Oui, mais il n'aurait rien dit. »

    (Le Parisien - 7 mai )

  • Dmitri Medvedev, 3ème président de Russie

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    Dmitri Medvedev est devenu officiellement mercredi le troisième président de Russie, après Boris Eltsine et Vladimir Poutine, après avoir prêté serment sur la Constitution lors d'une cérémonie d'investiture au Kremlin.

    Le nouveau président, 42 ans, a juré, la main droite sur la Constitution, de "défendre les libertés" en Russie et de "servir fidèlement le peuple", en présence de Vladimir Poutine et de quelque 2.400 invités.

    Dmitri Medvedev a ensuite déclaré qu'il aurait comme priorité la poursuite du "développement des libertés civiques et économiques", tout en disant compter sur "le soutien" de son prédécesseur, qui doit devenir dès jeudi son Premier ministre.

     

    Le Premier ministre en exercice Viktor Zoubkov a d'ailleurs immédiatement présenté la démission de son gouvernement.

    La candidature de l'ex-président Vladimir Poutine au poste de Premier ministre doit être approuvée dès jeudi par le Parlement. Nombre de ministres devraient être reconduits aux mêmes postes, selon des informations de la presse russe.

    Conformément à la Constitution, peu après l'investiture du nouveau président, le Premier ministre et son gouvernement doivent présenter leur démission.

    "Je ferai tout pour que la sécurité de nos citoyens soit non seulement garantie par la loi, mais assurée réellement par l'Etat", a dit le nouveau chef de l'Etat.

    "Ces dernières années, nous avons créé une base solide pour le développement continu (du pays), pour des décennies du développement libre et stable. Nous devons surmonter le nihilisme juridique (c.à.d. la corruption) qui freine le développement moderne", a-t-il ajouté.

    Vladimir Poutine, qui a pris la parole juste avant lui, a quant à lui estimé que la Russie avait réalisé "une percée" pendant ses huit ans de présidence (2000-2008) et souhaité "bonne chance" à celui qu'il a lui-même choisi pour lui succéder.

    "Le devoir de prendre soin de la Russie a été et reste mon devoir suprême. Je l'ai accompli toutes ces années et je l'accomplirai toujours", a déclaré le président sortant, qui restera au pouvoir comme chef du gouvernement.

    "Il y a eu des erreurs, mais nous avons réussi à réaliser une percée. Désormais nous nous fixons des objectifs non pour deux ou trois mois à venir, mais pour 20-30 ans. Et ces objectifs sont à notre portée", a-t-il insisté.

    Suivant un cérémonial parfaitement réglé, le nouveau président de Russie Dmitri Medvedev est arrivé juste avant 12h00 (08h00 GMT) au Kremlin, sa limousine encadrée d'une escorte de neuf motos, après avoir emprunté plusieurs grandes artères de la capitale.

    A 12h00 sonnantes, il entrait dans le Grand Palais du Kremlin, avant de remonter solennellement le grand escalier d'honneur, avec le même faste que pour Vladimir Poutine en 2000, dont les images, dignes d'un sacre, avaient alors fait le tour du monde.

    Une double porte dorée s'est alors ouverte sur le nouveau président qui a poursuivi son chemin sur un interminable tapis rouge jusqu'à la salle André où l'attendaient Vladimir Poutine et les chefs du pouvoir législatif et le président de la Cour constitutionnelle.

     (Vladimir Rodionov - AFP)
    Le nouveau président, 42 ans, a juré, la main droite sur la Constitution, de "défendre les libertés" en Russie et de "servir fidèlement le peuple", en présence de Vladimir Poutine et de quelque 2.400 invités.  (Vladimir Rodionov - AFP)

     (Vladimir Rodionov - AFP)

  • VIDEO Naturellement... la mer

    http://www.dailymotion.com/video/x5c1sq_naturellement-la-mer_travel

  • Israël permet à l'Agence des Nations Unis...

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    Agression palestiennienne contre un char de Tsahal
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    Israël a finalement décidé, lundi 5 mai, de permettre à l'Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) de reprendre sa distribution de vivres. L'Unrwa avait averti dimanche qu'elle devrait cesser dès lundi soir ses distributions d'aide alimentaire dans la bande de Gaza, faute de carburant. "Nous avons reçu 200 000 litres de diesel et 20 000 d'essence qui vont suffire pour vingt jours", a déclaré un porte-parole de l'agence de l'ONU, Chris Gunness.

     

    L'agence avait suspendu pendant quatre jours, fin avril, la distribution d'aide alimentaire à 650 000 "réfugiés" palestiniens à Gaza, en raison du manque de carburant pour ses camions de livraison. Israël a interrompu ses approvisionnements d'essence à la bande de Gaza après une attaque palestinienne, le 9 avril, contre le terminal de Nahal Oz, unique point de passage pour les carburants entre Gaza et son territoire. C'est par ce terminal que transitent les approvisionnements en essence pour les véhicules de l'ONU, et il n'a depuis lors été rouvert que de façon sporadique.

    Affamer 650 000 personnes qui dépendent pour leur survie quotidienne de l'Agence des Nations unies... Mais de quoi sont coupables ces 650 OOO Palestiniens de Gaza, hommes, femmes et enfants? 

  • Birmanie: 22 000 morts après le passage du cyclone Nargis

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    Des Birmans dans le port de Rangoon dévasté
    22 000 morts, 41 000 disparus
    Les autorités birmanes ont-elles été prévenues du danger représenté par Nargis ? Etait-il alors possible de prévenir les populations du sud du pays de l'imminence de son passage ? Et surtout, était-il possible de les évacuer et de les mettre à l'abri avant que le cyclone ne rase tout sur son passage ? Il semble que la réponse à ces trois questions soit "oui".
     
    "Quarante-huit-heures avant que
    Nargis frappe, nous avons fourni aux agences birmanes le point d'impact, sa gravité et toutes les questions qui y sont liées", affirme le département de la météorologie indienne. "Notre travail consiste à émettre des avertissements à l'avance et nous sommes fiers d'avoir prévenu très largement à l'avance. Il y avait suffisamment de temps pour prendre des mesures de précaution telles que l'évacuation", ajoute cet organisme public mandaté par l'Organisation météorologique mondiale pour surveiller l'évolution des tempêtes cycloniques au-dessus de l'océan Indien, en Asie du Sud et en Asie du Sud-Est.  
     
    Lundi,
    Laura Bush, l'épouse du président américain George W. Bush, a également accusé le régime birman de ne pas avoir averti la population de l'arrivée du cyclone Nargis. "Il est troublant que de nombreux Birmans n'aient appris la catastrophe qui se préparait que quand des sources étrangères, comme Radio Free Asia et Voice of America, ont donné l'alarme", a-t-elle souligné, dans une très rare intervention sur la politique étrangère.

    LCI.fr 06 mai 2008

  • Traite des Blanches -suite

    Amnesty international et le département d’Etat, à Washington, ont aussi publié des rapports s’alarmant de l’ampleur de ce trafic en Israël. Près d’un million de juifs de l’ex-URSS ont immigré en Israël depuis la fin des années 1980, favorisant l’implantation sur place de réseaux mafieux qui ont notamment développé la traite des êtres humains.

    Agence télégraphique suisse

     

    La traite des Blanches en Israël est une activité qui génère un chiffre d’affaires d’environ un milliard de dollars par an. Ce chiffre étonnant a été révélé ce matin (mercredi 23 mars) au président de la Knesset “Reuven Riflin”, par la commission d’enquête chargée de la lutte contre la traite des blanches, présidée par le membre de la Knesset “Zehava Gal-On”.

    Le rapport précise que 3000 à 5000 femmes entrent chaque année clandestinement en Israël pour travailler dans la prostitution. Il existe actuellement en Israël plus de 10 000 femmes exerçant ce métier. Ces femmes sont séquestrées dans environ 300 à 400 maisons closes dans différentes régions du pays. La femme est vendue pour une somme variant entre 8000 et 10000 dollars. Ces femmes travaillent 7 jours sur 7 à raison de 14 à 18 heures par jour. Elles ne perçoivent que 20 shekels sur les 120 payés par chaque client. Le reste de la somme revient au proxénète.

    Un communiqué à la presse sur la livraison d'une femme à un marchand d'esclaves blanches "La traite des femmes en Israël en 2003" :
    "Le lundi 25 août à dix heures, la commission parlementaire d'enquête chargée de l'affaire dite "de la traite des blanches" participe, sous la présidence du député de la Knesset Zahava Gal-On, à des discussions spéciales sur un rapport dont le titre est : "Livraison d'une femme à un marchand d'esclaves blanches".  Le rapport est publié par le Centre de prise en charge des travailleurs étrangers, le Centre Adva et le Centre La Femme au service de la femme. Ce dernier, nommé également Centre féministe d'Haïfa, s'appuie dans son rapport sur les entretiens effectués auprès de 106 victimes de la traite des femmes entre 2001 et 2002 dans les prisons et les différentes refuges, ainsi que sur les renseignements et informations fournis sur les femmes expulsées, les annonces des journaux, la législation, les arrêts et jugements et les anciennes annonces. Le rapport publie en exclusivité les opinions des femmes elles-mêmes, éclairant l'agression continue dont elles sont victimes quotidiennement et tout au long de l'année.
    Les auteurs du rapport indiquent l'incapacité des différentes autorités chargées d'appliquer la loi à affronter ce crime, notamment en ce qui concerne les victimes elles-mêmes. Ils mettent également en garde contre l'implication des policiers dans la traite des femmes, leur implication, en tant que clients de maisons closes, dans des relations amicales avec leurs propriétaires, et dans certains cas, dans des collaborations directes avec les marchands et les proxénètes ainsi que leur participation à ce commerce même. "


    Lisez le résumé des données du rapport conformément aux entretiens effectués avec les femmes :

    ---> Les femmes étaient venues en Israël pour fuir une crise économique, elles se sont retrouvées prostituées par la force.
    ---> 72% d'entres elles ont témoigné qu'elles étaient passé en Israël par les frontières égyptiennes.
    ---> Les marchands étaient Israéliens, mais la plupart appartenaient aux états indépendants de l'ex Union soviétique.
    ---> Les femmes coûtaient entre 5000 et 10 000 $. Elles devaient rembourser leur prix d'achat en travaillent dans des maisons closes.
    ---> Elles devaient recevoir des clients 7 jours / 7, pendant 13h par jour en moyenne... Pas de congé, jamais, même pendant les périodes de règles...
    ---> La moitié de ces femmes étaient emprisonnées dans les maisons closes : aucun droit de sortie.
    ---> 33% étaient victimes de violences quotidiennes (les clients et les proxénètes les considéraient comme des objets et les battaient sans relâche !)
    ---> Environs 10% étaient à peine nourries.
    ---> Les maquereaux reçoivent au maximum 600 $ par rencontre, et les femmes obtiennent moins de 20 $ par client (après avoir payé le prix de leur rachat !)
    ---> 15% n'ont reçu aucun argent.
    ---> La moitié d'entre elles ont avoué que beaucoup de policiers fréquentaient ces maisons closes, ils étaient des clients réguliers. Ils avaient des relations amicales avec les proxénètes, ils étaient très liés, et souvent en affaire...

    De plus, la plupart des clients des maisons closes sont des Israéliens appartenant à toutes les couches de la société, dont des adolescents de 13 ans !!!

    http://www1.france-jeunes.net/lire-la-traite-des-blanches-14749.htm

  • Traite des Blanches en Israël

    Traite des Blanches en Israël
    Maisons closes aux portes ouvertes Simon Coutu


    Tel Aviv - «Salut, j’ai vingt ans, tu peux venir me rejoindre au 20 Bograshov, au deuxième étage. C’est 200 shekels (50$ CAN) pour quarante minutes, relation complète», lance une voix au bout du fil.»

    Banana est une revue publicitaire disponible gratuitement dans les kiosques à journaux de Tel Aviv. C’est dans cette publication qu’a été trouvé le numéro de téléphone de la jeune femme. Il suffit de choisir au hasard une annonce illustrée avec un corps nu pour découvrir l’accessibilité aux services de prostituées.

    Depuis l’arrivée de près d’un million de Juifs est-européens à la fin des années 1980, la région est devenue une plaque tournante de l’industrie du sexe. La prostitution n’est pas une activité illégale en Israël. Tenir des maisons closes de manière organisée est toutefois interdit.

    Cette nouvelle traite des Blanches est organisée par des réseaux mafieux qui font entrer des femmes en Israël. La majorité des prostituées en Israël sont ainsi victimes du trafic sexuel. «Elles transitent par Moscou, où elles sont enfermées dans des appartements, pour ensuite se rendre à l’aéroport d’Alexandrie ou du Caire, explique Uri Sadeh, coordonnateur de la ligne ouverte pour les travailleurs immigrants à Tel Aviv (Hotline for Migrant Workers, HMW). Elles traversent le désert du Sinaï avec l’aide de groupes de nomades bédouins qui leur font passer la frontière. On a un cas où un Bédouin a décidé de garder une femme durant cinq mois.»

     

    Esclavage

    La plupart des femmes savent qu’elles se rendent en Israël pour se prostituer. Par contre, elles ne connaissent pas les conditions d’esclavage dont elles seront victimes. «Plusieurs croient qu’elles travailleront dans des hôtels luxueux avec de bons revenus, affirme Uri Sadeh. C’est rarement le cas. Elles servent environ dix clients par jour, mais elles ne peuvent pas en refuser. Durant les jours de congé, ce chiffre monte parfois à trente. Parfois, elles ont deux jours de congé durant les menstruations, mais il arrive qu’on les oblige à travailler avec un diaphragme.»

    Ces femmes sont prisonnières de leurs proxénètes. «Elles ont une dette envers leurs «propriétaires» pour le coût du voyage et de leur vente, explique Talia Engelhart, une représentante d’ATZUM, une organisation basée à Jérusalem qui combat le trafic d’humains. Elles sont vendues entre 8000$ et 10 000$. Pour savoir si elles sont en bonne santé, elles se font examiner le corps, les dents, les parties génitales, comme du bétail. Il y a aussi un système d’amendes. Si elles sortent sans surveillance, qu’elles mangent sans permission ou qu’elles imposent un condom à leur client, leurs dettes risquent d’augmenter.»

    Certaines prostituées sont très réticentes à prendre contact avec les autorités. «Elles sont originaires d’Ukraine, de Russie, d’Ouzbékistan, de Moldavie, de Géorgie, des régions où la police est très corrompue, explique Talia Engelhart. En plus, les trafiquants menacent de s’en prendre à leurs familles. Le réseau est international, ils savent exactement où elles résident en Europe de l’Est. En outre, les trafiquants gardent les passeports des femmes en otage. Si la police les trouve, elles seront probablement arrêtées comme immigrantes illégales.»

     

    Pas le choix

    Liad Kantorowicz est une travailleuse du sexe israélienne. Elle œuvre dans ce milieu depuis plus de dix ans.  Elle est aussi journaliste et étudiante à l’Université de Tel Aviv. Sans minimiser le problème, elle croit que les médias ne se soucient pas assez de la prostitution locale. Selon elle, les prostituées victimes de la traite vivent une situation très précaire. «Il y a trois ans, je travaillais comme concierge dans une maison close où il y avait des femmes victimes de la traite et des Israéliennes, dit-elle. Je répondais au téléphone et j’accueillais les clients. S’il y avait une descente de police, c’est moi qu’on arrêtait, le propriétaire n’était jamais présent. J’étais la patronne par intérim. Quelques femmes vivaient vraiment dans la misère, j’en ai aidé deux à s’enfuir, mon patron ne l’a jamais su.»

    Elle croit que les organisations comme Atzum et HMW en savent peu sur la réalité du terrain. «Les organisations qui militent contre la traite d’humains ont un agenda anti-prostitution. Ils n’admettent pas que l’on puisse travailler avec dignité. Leurs statistiques ne reflètent pas du tout ce qui se passe dans le milieu. La prostitution en Israël est un monde souterrain, difficilement accessible si l’on n’en fait pas partie.»

     

    Mauvaise figure

    En juin dernier, le département d’État des États-Unis publiait un rapport dérangeant sur le trafic d’humains. Il classe Israël parmi les pays «qui ne se conforment pas aux standards minimums pour éliminer le trafic d’humains», une catégorie qui regroupe plusieurs régimes non démocratiques. Certains quartiers de Tel Aviv regorgent toujours de bordels. Le gouvernement israélien risque de subir des sanctions économiques s’il ne prend pas des mesures sérieuses pour améliorer la situation.

    Après la parution du rapport du département d’État américain, les autorités ont enclenché une vague de descentes dans des maisons closes, arrêtant un nombre important d’immigrantes illégales. La plupart d’entre elles ont été déportées dans leurs pays d’origine. «Le gouvernement ne prend pas de mesures sérieuses pour régler le problème, estime Uri Sadeh de HMW. On n’a qu’un refuge à Tel Aviv. On manque de ressources pour aider les victimes.»

    Selon lui, les immigrants illégaux entrent facilement. «La frontière égyptienne est une véritable passoire. Il n’y a presque pas de clôtures et elles ne sont pas électrifiées. Les autorités croient qu’ils arrêtent 10% des immigrants illégaux. C’est facile d’estimer les entrées grâce aux traces laissées dans le désert. Le gouvernement ne concentre ses efforts que sur la construction du mur autour des territoires palestiniens et sur la surveillance de la frontière libanaise.»

    Le trafic place le gouvernement israélien dans une position assez inconfortable. «Le gouvernement ne veut pas montrer au grand jour les côtés les plus sombres d’Israël, affirme Uri. Pourtant, si on s’attaquait à l’industrie du sexe, on deviendrait un exemple de lutte pour les droits des femmes.»

     

    http://persil2.si.uqam.ca/nobel/campus/lecture_archives.php?articleid=555

  • Delanoë veut interdire une manifestation/commémoration d'extrême droite

    Le maire de Paris ne veut pas revoir «ce cortège de plusieurs centaines de personnes masquées et cagoulées, tenant des torches, des manches de pioche et des drapeaux noirs marqués de la croix celtique». Bertrand Delanoë (PS) a demandé mardi au préfet de police de Paris Michel Gaudin d'interdire une manifestation d'extrême droite qui doit avoir lieu vendredi soir autour de Port-Royal et de la rue d'Assas (Paris VIème), pour finir rue des Chartreux.

    Cette manifestation a lieu chaque année pour honorer la mémoire d'un jeune militant, Sébastien Deyzieu, proche de l'ex-GUD (Groupe Union Défense), mort accidentellement en 1994 après avoir glissé d'un toit rue des Chartreux, lors d'une manifestation «contre l'impérialisme américain», interdite par le préfet de police de l'époque, Philippe Massoni.



    De nombreux «hooligans» du Paris-Saint-Germain s'étaient joints à ce cortège de 400 à 500 personnes.

    «D'après des témoins, le service d'ordre de cette manifestation semblait faire la loi sur le parcours, s'en prenant physiquement à des touristes de passage qui prenaient des photos», rappelle M. Delanoë.

    Plusieurs stations du RER avaient été fermées afin de prévenir toute contre-manifestation et des militants d'extrême gauche avaient été interpellés pour vérification d'identité.

    «Il m'apparaît déplacé qu'au lendemain du 8 mai, soit autorisé un rassemblement, qui sous couvert d'honorer la mémoire d'un homme, est en réalité une manifestation faisant l'apologie du fascisme», écrit M. Delanoë.

    Le maire de Paris demande au préfet de police de «bien vouloir prendre toutes les mesures nécessaires afin d'interdire le rassemblement».

    Bertrand Delanoë préfère autoriser les défilés de la Gay Pride... 

  • Test ADN iGENEA: "Etes-vous juif?"

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    Menorah

    Etes-vous juif?

    Un test ADN à € 105.- dévoile l’origine de tout homme.

    Un échantillon de salive suffit pour déterminer votre origine dans la lignée maternelle et paternelle. Chez iGENEA on analyse et évalue les échantillons. En 5 semaines, vous apprenez quel est votre peuple d’origine. Vous avez peut-être des racines juives ?

     

    Avez-vous des racines juives? Etes-vous un Ashkénaze?
    Etes-vous un Levi ou un Cohen?


    Il y a certaines caractéristiques génétiques qui réfèrent à une origine juive. Avec un test ADN d’iGENEA on peut chercher le profil de votre ADN sur la base de ces caractéristiques.

    Les porteurs de ces caractéristiques ou de caractéristiques semblables sont rassemblés en haplogroupe. L’appartenance à certains haplogroupes peut indiquer une origine juive. En outre, un certain profil ADN est appelé " Haplotype Cohen Modal”, car on le retrouve plus souvent dans le sous-groupe juif des Cohanim. Ce haplotype réfère clairement à une origine juive.

    Même si vous n’appartenez pas à un haplogroupe juif typique, vous pouvez avoir quand même des racines juives. Par la comparaison du profil ADN avec tous les autres profils dans notre base de données ( plus de 240.000), vous trouverez des personnes qui vous correspondent génétiquement ( « cousins génétiques »). Si beaucoup de vos cousins génétiques sont juifs, la probabilité que vous ayez des racines juives est très élevée.

    La judaïcité est-elle plus qu’une religion? Y-a-t- il un gène juif"?

    Selon le droit Halacha, est juif quiconque est né d’une mère juive ou qui s’est converti au judaïsme. Le lien serré entre culture, tradition, religion et appartenance à un peuple caractérise particulièrement la judaïcité. Au cours des siècles s’est développée une certaine homogénéité génétique qui est visible par un test ADN.

    Que coûte un test ADN qui me permettra d’apprendre si j’ai des racines juives?

    On peut avoir un test ADN à partir de € 105.- : Tests & Prix .
    Pour les hommes, nous recommandons le test Starter combiné pour € 185.-, qui répond à la question, d’où une personne provient pour les lignées paternelles et maternelles.
    Vous recevrez un résultat par écrit avec votre peuple d’origine, votre pays d’origine et votre haplogroupe dans les lignées paternelle et maternelle ainsi qu’un accès illimité dans le temps à la Banque de données iGENEA.
    Pour les femmes, nous recommandons le test ADNmt plus pour € 150.-, qui répond à la question, d’où une personne provient pour la lignée maternelle.
    Au cas où en tant que femme vous souhaiteriez tester votre lignée paternelle, vous devez impliquer un membre masculin de votre famille (Pourquoi?). Cela peut-être le: père, oncle, frère, grand-père ou cousin dans la lignée paternelle.

    C O N C E P T S
    • Les haplogroupes représentent les diverses branches de l’ Homo sapiens et montrent l’origine et les migrations de nos ancêtres.
    • Ashkenasim (Ashkénazes allemands) c’est l’auto-appellation des juifs de l’occident et de l’orient qui se partagent une tradition et une culture religieuse.
    • Les Levi portent le nom de leur père d’origine, ils proviennent de l’une des douze tribus d’Israël qui dérivent des fils de Jacob.
    • Cohen est le nom biblique de la classe des prêtres dans la judaïcité.

    E T U D E S
  • Il y a un an, le 6 mai...

    Il y a un an, jour pour pour jour, SarkÖzy était élu président de la République. Quel bilan tirer des douze premiers mois du quinquennat?

    Le 6 mai 2007, 53.06% des Français élisaient Nicolas Sarközy à la présidence de la République.

    Des temps nouveaux étaient annoncés. La rupture était en route. Un an après, c'est la douche froide, et l'impopularité qui grimpe en flèche. Sarkozy est surtout devenu le président de tous les records...

    > Records de visites à l'étranger et de déplacements en France.

    > Records de discours, d'interventions médiatiques, de grands mots, de petites phrases et même de dérapages: le «casse toi pauv' con» du salon de l'agriculture, révélé sur leparisien.fr, fait déjà partie de l'histoire du quinquennat. Il a été visionné plus de 5 millions de fois sur le Net.

    > Records de livres, aussi, qui décortiquent jusqu'au plus infime détail l'oeuvre et la personnalité du chef de l'Etat.

    > Records de mariages. Divorcé en novembre de Cécilia, il s'est remarié en février avec Carla. C'est la 3e fois qu'il passe devant le maire.

    > Record d'impopularité. Dans l'opinion, le chef de l'Etat, après avoir séduit, a vite intrigué, puis inquiété. Et a dégringolé dans les sondages plus vite que tous les présidents de la Ve République.

  • Un collège attaqué au gaz lacrymogène!

    Une vingtaine de personnes cagoulées ont fait irruption dans un collège de Pontoise (Val d'Oise), le Parc aux Charettes, cet après-midi vers 15 heures, et ont arrosé plusieurs personnes de gaz lacrymogène.

    Le groupe a pris la fuite avant l'arrivée de la police.

    Six personnes, dont quatre adolescents, ont été conduites par les pompiers au centre hospitalier de Pontoise.
    Une enquête judiciaire a été ouverte et confiée au commissariat de Cergy-Pontoise.

    Le Parisien 5 mai 2008

  • Les stages de soutien aux enfants d'immigrés

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    80 000 élèves de CM 1-CM 2 ont bénéficié pendant ces vacances scolaires des premiers cours de soutien scolaire dispensés par des enseignants volontaires. Très décriée par les syndicats de profs, la mesure satisfait plutôt ceux qui y ont participé.

    Qui est resté à l'école pendant ces vacances de printemps ? Alors que les élèves de la dernière zone (C) regagnent leurs bancs ce matin à Versailles, Créteil, Paris ou Bordeaux, avec pour la plupart des souvenirs de grasses matinées, de colos ou de fous rires entre cousins, au ministère de l'Education nationale, on fait les comptes. Plus de 80 000 enfants ont eu droit à cette première fournée de stages de soutien proposés à des élèves de CM 1-CM 2 : cinq matinées de trois heures de français et de maths, par groupes de six élèves au maximum. Un succès, se félicite-t-on rue de Grenelle.

    Malgré les refus retentissants de certaines villes. A Toulouse, le nouveau maire, Pierre Cohen, stigmatisait la « précipitation » du dispositif lancé en février et refusait d'ouvrir ses 197 écoles. A Roanne, la municipalité socialiste s'est opposée à confier un groupe de six élèves inscrits au stage dans une école publique à un enseignant volontaire venu d'un établissement privé sous contrat, « en vertu du principe de laïcité ». « Inacceptable », fustige Xavier Darcos. Le ministre n'a cessé de répéter que sa mesure, « destinée à offrir gratuitement ce que d'autres peuvent s'offrir dans des officines privées », tenait de la « justice sociale ». De leur côté, la FSU dénonçait une « opération démagogique » et le Snuipp, principal syndicat du premier degré , invitait ses adhérents à refuser le « volontariat ».

    Le Parisien 5 mai 2008

  • "QUI COLONISE QUI?" Un communiqué de Vitus

    ILS ONT PARLE DES MEFAITS DES COLONIES DE PEUPLEMENT – PARLONS-EN Le 8 mai 2008, les « Indigènes de la République » et une quinzaine d’autres associations d’immigrés entendent organiser à Paris une « marche contre la république raciste et coloniale ».

     

    Apparus en 2005 et composés de militants d’extrême gauche, principalement issus de la communauté maghrébine, ces « Indigènes » vouent une haine rabique à la France gauloise : - Se présentant comme les « descendants d’esclaves et de déportés africains, filles et fils de colonisés et d’immigrés », ils développent un communautarisme afro maghrébin et appellent les « habitants des quartiers » (comprenez les Noirs et les Arabes) à « construire leur propre organisation de lutte politique ». - Ils soutiennent les manifestations ostentatoires de l’intégrisme musulman, estimant que « la loi anti foulard est une loi d’exception aux relents coloniaux » ;

     

    - Ils n’hésitent pas à se référer aux Black Panthers, mouvement terroriste noir américain des années 60 qui prônait le viol des Blanches comme actes de libération des hommes noirs ;

     

    - Houria Bouteldja, la porte-parole du mouvement, a laissé éclater sa haine de la France et des Blancs, notamment le 21 juin 2007, dans l’émission Ce soir (ou jamais) sur France 3 (1) :

     

    ** « Il faut dénationaliser l’histoire de France, il faut arrêter avec le mythe des Gaulois ! Les Français ne sont pas les héritiers des Gaulois ! ».
    ** « Il faut faire exploser, je dis bien exploser, cette identité franco-centrée ».

     


    ** « Il faut rééduquer le reste de la société, la société occidentale. Nous, on les appelle les
    sous-chiens, puisqu’il faut bien leur donner un nom : les Blancs ! » Le 8 mai prochain, si nous ne faisons rien, ces « Indigènes de la République » viendront en toute impunité vomir leur haine de la France et des Blancs. Or les mots peuvent tuer : Des années de haine anti française et anti blanche véhiculée par de nombreux groupes de rap se sont transformées en actes lors des émeutes raciales dans les banlieues en novembre 2005.   La référence aux Black Panthers n’est pas innocente, alors qu’en France 72 % des viols collectifs (appelés « tournantes ») sont commis par des Noirs et des Arabes (2). Tout Français, tout Blanc attaché à son Identité, à sa Nation, à son Histoire doit impérativement se mobiliser pour que la Préfecture de Police de Paris ne laisse pas ce torrent de haine se déverser dans Paris : Ne rien dire, ne rien faire, c’est cautionner cette haine, c’est en subir ses conséquences… C’est aussi subir le matraquage de la Pensée Unique politico médiatique qui fait passer l’agressé pour le l’agresseur, la victime pour le raciste et l’agresseur pour la victime perpétuelle. NOS ARMES : LE TÉLÉPHONE, LE FAX, LE COURRIER ÉLECTRONIQUE !
    (Et toujours avec fermeté mais courtoisie)
    ** Préfecture de Police de Paris :
    Tél : 01 53 71 28 76 (demander la responsable de la communication du Préfet de police : Marie Lajus)
    E-mail : pppcom-internet@interieur.gouv.fr /courriel.prefecturepoliceparis@interieur.gouv.fr
    ** Préfecture de Paris :
    Tél : 01 56 06 16 00 (demander le secrétariat du Directeur de cabinet du Préfet)
    E-mail : lydia.lecouturier@paris.pref.gouv.fr

     

    (1) Vidéos visibles sur :
    http://www.dailymotion.com/relevance/search/souschien…
    http://www.youtube.com/watch?v=ZpPuI3ZrRdQ&feature=related

    (2) Dr Patrice HUERRE (Psychiatre près la Cour d’Appel de Paris) : Viols et agressions sexuelles en réunion

  • Deux annonces à l'ANPE: "Travailler en Inde pour 320 € mensuels"

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    1,6 million d'Indiens travaillent déjà dans l'informatique

    Travailler en Inde pour 320 € mensuels, c'est ce que proposent deux annonces sur le site de l'ANPE.

    C'est Attali qui les a mises?

    Deux offres d'emploi, consultables sur le site Internet de l'ANPE depuis le 23 avril, commencent à défrayer la chronique. Et pour cause, les postes ne sont pas à pourvoir en France, mais à l'autre bout du monde.
    A Pondichéry, exactement, ville côtière du sud-est de l'Inde située à quelque 9 000 km de Paris ! Bel exemple de mobilité géographique au moment où le gouvernement entend obliger les chômeurs à élargir le périmètre de leurs recherches d'emploi...


    Les contrats proposés sont des CDI d'agent de maîtrise dans une entreprise de plus de 5 000 salariés spécialisée dans l'informatique. Est-elle indienne ou française ?

    Invoquant la confidentialité, l'ANPE ne veut révéler ni le nom ni la nationalité du recruteur. Titulaires d'un BTS ou d'un DUT en informatique, les candidats peuvent être débutants à condition, toutefois, de parler anglais couramment. Rien que de très classique. Sauf que la rémunération, elle, est très « couleur locale » : entre 10 000 et 20 000 roupies par mois. Soit près de 320 €, soit 3 840 € par an...

    Un salaire correct pour l'Inde, mais qui, forcément, est largement inférieur aux 20 000 € annuels auxquels, à qualification égale, un informaticien peut prétendre en France.

    « En tant que service public, nous avons l'obligation de publier toutes les offres que nous recevons dès lors qu'elles respectent les obligations légales du pays concerné », se défend-on à l'ANPE, avant d'ajouter que « si un cadre confirmé ne sera pas forcément intéressé par l'annonce, un jeune, lui, pourra être tenté par une expérience à l'étranger ».

    Tout juste reconnaît-on que les candidats potentiels bénéficieront d'une couverture sociale « locale » et auront donc tout intérêt à négocier « certains avantages » avec leur futur employeur.

    Il n'empêche, ces deux annonces ne laissent pas d'étonner, tant l'Inde, a priori, ne manque pas de main-d'oeuvre. Surtout, dans le secteur informatique dont l'industrie locale, à l'image du géant Infosys, s'est fait une spécialité . C'est pour cette raison que Barane Anandane, ingénieur indien qui partage son temps entre la France et Pondichéry, ne croit pas une seule seconde que cette offre émane d'une entreprise locale.

    « Outre le fait qu'il est difficile, pour un étranger, d'obtenir un visa d'une durée de plus de six mois, estime cet Indien de 47 ans qui dirige une entreprise d'informatique, je suis persuadé que ces offres émanent d'un groupe français qui ne veut pas dire son nom. Pour la bonne et simple raison que ce type de profil, ça court les rues en Inde. C'est plutôt dans le hardware ou la programmation appliquée aux métiers des télécoms que le personnel manque. » Alors, qui veut délocaliser des travailleurs français à un prix super-discount ?

    Le Parisien 03 mai 2008

  • 62% des Français craignent une crise majeure avant 2012

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    Une crise majeure avant la fin du mandat de Nicolas Sarközy : 62 % des Français peuvent l'envisager, selon un sondage à paraître dans "Marianne".

    62% des Français pensent que la France va traverser une grave crise d'ici la fin du mandat de Nicolas Sarkozy, et plus d'un Français sur deux (55%) ne souhaite pas qu'il se représente en 2012, selon un sondage CSA à paraître dans l'hebdomadaire "Marianne".

    Selon cette enquête réalisée au lendemain de l'intervention télévisée du chef de l'Etat, 30% seulement des Français (dont 54% de sympathisants de droite) pensent que le chef de l'Etat va terminer son mandat sans difficultés majeures, et 8% ne se prononcent pas (NSPP).

    Parmi les 62% qui pensent que le pays va traverser une grave crise d'ici 2012, figurent 75% de sympathisants de gauche, 60% de sympathisants du MoDem et 41% de sympathisants de droite.

     

    55% des Français ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se représente à l'élection présidentielle de 2012, tandis que 29% le souhaitent (dont 59% de sympathisants de droite). 16% NSPP.

    49% souhaitent qu'il garde François Fillon comme Premier ministre jusqu'à la fin de son mandat en 2012, 20% qu'il le laisse terminer ses dossiers en cours, 11% qu'il change rapidement de Premier ministre (20% NSPP).

    Plus d'un Français sur deux (52%) pense que sa situation personnelle sera moins bonne en 2012 qu'aujourd'hui, tandis que 21% pensent qu'elle sera meilleure. 14% ne se prononcent pas, et 13% pensent qu'elle ne sera ni meilleure ni moins bonne.

    68% des personnes interrogées pensent que leur pouvoir d'achat aura diminué en 2012 (23% qu'il aura augmenté, 9% NSPP), 64% que la société française sera plus divisée qu'aujourd'hui (23% qu'elle sera plus rassemblée, 13% NSPP), 49% que les déficits et la dette publique auront augmenté (38% qu'ils auront diminué, 13% NSPP).

    En revanche, un nombre plus important de Français (49%) pensent que le chômage aura baissé, comparé à 39% qui pensent qu'il aura augmenté et 12% NSPP.

    Sondage réalisé par téléphone le 25 avril 2008, sur un échantillon national représentatif de 1.002 personnes âgées de 18 ans et plus, constitué d'après la méthode des quotas (notice complète disponible auprès de la Commission nationale des sondages).

  • Discriminations: le Sénat contre Bruxelles

    La Haute Assemblée dénonce un texte transposant des directives européennes.

    Au nom de la lutte contre les discriminations, le modèle républicain de l'égalité va-t-il disparaître ? C'est l'inquiétude du Sénat, qui s'oppose au gouvernement sur un projet de loi visant à transposer en droit français cinq directives européennes «antidiscrimination».

    Le 9 avril, dans l'hémicycle de la Haute Assemblée, le rapporteur du texte, Muguette Dini (Union centriste-UDF, Rhône) a appelé ses collègues à «ne pas fermer les yeux sur le contenu du texte» qui risque de «nous entraîner sur le chemin du communautarisme».

    Très applaudie par la majorité sénatoriale, Muguette Dini s'est in­­quiétée de la définition des discriminations défendue par Bruxelles et entérinée par le projet de loi. Selon les directives communau­taires et le gouvernement, constitue une discrimination tout cas où une personne «est traitée de ma­nière moins favorable qu'une autre ne l'est, ne l'a été ou ne le serait dans une situation comparable» en ­raison de son sexe, de ses origines ethniques, de sa vie privé, de sa religion ou encore de ses convictions politiques.

    Or, pour le sénateur centriste, cette définition, «inspirée des pays anglo-saxons», «incite à la mise en exergue des identités particu­lières» et abolit un principe essentiel du droit français : «Toute différence de traitement ne constitue pas nécessairement une discrimination et certaines d'entre elles sont légales.» Le président de la commission des affaires sociales du Sénat, Nicolas About (Union centriste-UDF, Yvelines), a jugé lui aussi «très regrettable» que les gou­vernements français successifs n'aient pas défendu «la conception républicaine de l'égalité» lors de la négociation des directives.

    Sensibles à ces arguments, les sénateurs de la droite et du centre parfois rejoints par certains socialistes ont adopté des amendements modifiant le texte en dépit de l'opposition affichée du gouvernement. Le Sénat a retranché de la définition des discriminations les phrases rédigées au conditionnel, qui, selon Muguette Dini, «ouvrent la porte à des procès d'intention» et «aboutiraient à des condamnations fondées sur de simples suppositions et des hypothèses invérifiables».

    Demande de la Commission

     

    Suivant là encore l'avis du rapporteur, la Haute Assemblée a précisé la définition du harcèlement sexuel, pour éviter de «transférer au juge le pouvoir considérable de dire la loi».

    Hostile aux amendements du Sénat, le gouvernement espère ob­tenir leur suppression lors de la commission mixte paritaire  composée de sept députés et sept sénateurs qui se réunira le 13 mai.

    «La Commission européenne nous a demandé très explicitement de reprendre sa définition des discriminations, a argumenté Nadine Morano, secrétaire d'État à la famille, qui représentait le gouvernement lors des débats. Si le Parlement retient une autre définition, la Commission n'hésitera pas à sai­sir la Cour de justice européenne, qui lui donne raison dans 95 % des cas.»

    Le Figaro 03 mai 2008

  • Info LCI: expertises ADN accablantes pour Bruno Cholet

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    Le corps de la jeune Suédoise avait été retrouvé par un promeneur dans la forêt de Chantilly

    INFO LCI 02 mai

    Alors que Bruno Cholet continue de nier toute implication dans le meurtre de l'étudiante suédoise Susanna Zetterberg, les objets saisis par la police commencent à livrer leurs secrets. Selon nos informations, les résultats des expertises balistiques révèlent que l'ADN du suspect et celui de la victime ont été identifiés sur l'arme retrouvée dans la voiture de Bruno Cholet.

    Il s'agissait en effet de vérifier si le pistolet 22 long rifle retrouvé dans un sac dans le monospace de Bruno Cholet était bien celui avec lequel quatre balles avaient été tirées dans la tête de l'étudiante suédoise après sa mort, occasionnée par un coup de couteau dans le poumon.

    Mais le suspect, mis en examen pour le meurtre, a "une attitude de totale dénégation" vis-à-vis des faits pour lequel il est soupçonné, selon le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin. "Il n'admet pas s'être trouvé dans un monospace blanc à proximité de la boîte parisienne La Scala [où l'étudiante suédoise se trouvait avant sa disparition], ni d'avoir joué un rôle de taxi clandestin et d'avoir chargé la victime", a expliqué Jean-Claude Marin mercredi.

    Bruno Cholet a été mis en examen et incarcéré dimanche notamment pour "enlèvement et séquestration suivi de la mort de la victime" en état de récidive légale. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.