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  • Mayotte: 101ème département de l'Hexagone

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    Les habitants de Mayotte, cette île de l'océan indien, communauté d'Outre-Mer française située entre l'Afrique et Madagascar, votent dimanche pour décider si leur île doit devenir département. Un référendum sans suspense tant le camp du "oui" domine pour arrimer un peu plus le territoire à la France, promesse à la fois de stabilité et d'amélioration du niveau de vie.
     
    La départementalisation est la dernière étape d'un processus entamé en 1974, lorsque
    Mayotte a choisi de rester française alors que les trois autres îles de l'archipel des Comores optaient pour l'indépendance. "Tout le monde votera oui, parce que nous voulons devenir des vrais Français, avec tout ce que cela implique de droits équivalents. J'ai vécu 16 ans à la Réunion : je vois bien la différence avec ce que nous vivons ici", assure Mohamed, fonctionnaire de 39 ans.
     
    Dans une rare unanimité, tous les partis politiques représentés au conseil général, présidé par l'UMP, font campagne commune, organisant des rassemblements en plein air, où les femmes en tenue traditionnelle viennent chanter pour le "oui" sous des fanions bleu-blanc-rouge. Les quelques têtes qui émergent dans le camp du non sont celles de responsables religieux qui craignent une "acculturation" de l'île, qui pratique un islam modéré, et qui redoutent la fin progressive des cadis, tribunaux qui disent le droit au nom du coran. Avec un PIB trois fois inférieur à la Réunion, mais neuf fois supérieur à ses voisins des Comores, Mayotte, où la moitié des salariés travaillent pour le secteur public, espère tirer de nouveaux bénéfices de la départementalisation.

     
    Mais le gouvernement n'a pas caché aux Mahorais que le rattrapage avec la métropole mettrait du temps à se faire sentir : le revenu de solidarité active (RSA), l'allocation de parent isolé et l'allocation de solidarité spécifique ne seront mis en place qu'à partir de 2012, à un niveau qui sera seulement le "quart" de ce qu'ils représentent en métropole ou dans les DOM, avant une montée vers l'égalité sur 20 à 25 ans. Parallèlement, certains impôts aujourd'hui inexistants vont apparaître à partir de 2014, comme la taxe foncière et la taxe d'habitation. Et des pratiques culturelles anciennes vont être bousculées, avec la fin définitive de la polygamie, la disparition du tuteur matrimonial ("wali") et la réduction des attributions du "cadi" (juge musulman).
     
    A l'extérieur en revanche le scrutin est vu d'un très mauvais oeil par le gouvernement de l'Union des Comores, soutenu par l'Union africaine, la transformation de Mayotte en département devant mettre fin à toute possibilité de retour dans son giron de la quatrième île de l'archipel.

    LCI.fr- 28.03.09

    Un nouveau boulet à traîner pour la France!  Ils ne veulent devenir "français" que pour l'argent!

    Le Peuple français n'a pas été consulté...

  • L'avion de Sarközy a un "incident mécanique": tout le monde est resté "très détendu"...

    Le président, qui s'apprêtait mercredi soir à décoller pour l'Afrique, a dû changer d'avion après un problème survenu sur un réacteur alors que l'appareil roulait déjà sur le tarmac.

    «Aucune panique». C'est le secrétaire d'Etat à la Coopération et à la francophonie Alain Joyandet qui raconte l'incident : alors que Nicolas Sarkozy s'apprêtait mercredi soir à décoller pour l'Afrique pour une tournée dans trois pays africains (la République démocratique du Congo, le Congo et le Niger), il a dû brusquement changer d'avion.

    Selon ce membre du gouvernement, un «incident mécanique» est survenu sur un réacteur alors que l'appareil roulait déjà sur le tarmac de l'aéroport militaire de Villacoublay, près de Paris. «Nous roulions sur le tarmac quand nous avons entendu un gros bruit. Mais le moteur n'a pas pris feu. L'avion s'est immobilisé. Deux ou trois camions de pompiers sont arrivés vers nous mais ne sont pas intervenus».

    D'après le site Bakchich.info, qui a révélé l'information et obtenu une confirmation des faits par l'Elysée samedi matin, une enquête va être ouverte sur un incident qui, à quelques minutes près, aurait pu prendre des proportions plus graves.

     

    «Tous les passagers sont restés très détendus»

     

    Le chef de l'Etat, ses ministres, ainsi que la vingtaine de personnes présentes à bord de l'avion sont descendus. Une heure plus tard, tous reprenaient un autre avion, direction Kinshasa. Selon Alain Joyandet, «le président comme les autres passagers sont restés très détendus».

    Le chef de l'Etat était accompagné notamment de la ministre de l'Economie Christine Lagarde, de celui du Travail, Brice Hortefeux, ainsi que d'Alain Joyandet lui-même et de la secrétaire d'Etat chargée des Droits de l'Homme, Rama Yade.

    Le Figaro - 28 mars 2009

  • Noblesse de l'artisanat européen: les fonderies de cloches

    Héritière d'un artisanat né en l'an mil au pied des Abruzzes, la fonderie Marinelli est le fournisseur officiel des cloches du Vatican ainsi que la plus ancienne entreprise familiale italienne, mais la rareté de la main d'oeuvre pourrait menacer ce savoir-faire ancestral.

    "La première cloche signée d'un Marinelli date de 1339, mais le village d'Agnone a une tradition de fondeurs qui remonte à dix siècles", raconte à l'AFP Armando Marinelli, propriétaire de l'entreprise nichée sur une colline de la petite région du Molise (sud).

    Sombre et poussiéreux, l'atelier n'a rien de prétentieux: au milieu de tas d'argile, de briquettes et de bois, quatre ouvriers s'activent, remuant un foyer de braises où sèchent de petites formes grises qui serviront à mouler des cloches miniatures.

    "Le Vatican nous a conféré en 1924 le titre de fonderie pontificale et l'Eglise représente aujourd'hui 90% de nos commandes. Notre plus grande cloche a été créée pour le Jubilé de l'an 2000: cinq tonnes et six mètres de circonférence", raconte fièrement M. Marinelli.

     

    "Une cinquantaine de cloches sont fondues ici chaque année, parfois moins lorsqu'il y a de grands modèles", explique un des plus anciens ouvriers, Antonio Delli Quadri, dans une pièce recouverte du sol au plafond d'empreintes de plâtre représentant en creux madones, saints et frises décoratives.

    Une fois démoulées, ces ornementations religieuses en cire rouge sont apposées sur une "fausse cloche" de terre que l'on recouvre d'argile. Un feu allumé à l'intérieur de la structure fait fondre la cire selon la technique de la "cire perdue", et le décor de la future cloche apparaît alors en négatif sur la chape.

    C'est entre cette chape et une forme légèrement plus petite que sera coulé le bronze fondu à 1.200 degrés.

    "Une fonderie de cloches est tout sauf une chaîne de montage, il faut avoir la passion de créer", souligne Armando Marinelli, la quarantaine, propriétaire avec son frère Pasquale de l'entreprise familiale considérée comme la plus ancienne d'Italie et la deuxième au niveau mondial, selon la revue américaine Family Business.

    "Le problème est de trouver de la main d'oeuvre: beaucoup de jeunes viennent et se lassent", explique-t-il. L'entreprise emploie une douzaine de salariés et fait partie des douze grandes fonderies encore existantes en Europe.

    "Notre principale crainte est aussi que la dynastie familiale s'arrête, on y pense constamment. J'ai trois jeunes enfants, pour l'instant l'atelier n'est pour eux qu'un terrain de jeux!", s'exclame Armando Marinelli.

    "Mon arrière-grand-père était déjà fondeur de cloches, mais malheureusement je serai le dernier car mes deux enfants font complètement autre chose, c'est comme ça", renchérit Antonio Delli Quadri, yeux bleus pétillants sous un casque de cheveux blancs.

    Son secret d'une cloche au timbre parfait? "Sa base, d'où part le son, ne doit pas être chargée d'ornements, et ses proportions doivent répondre à des règles mathématiques très précises. Et un bon fondeur doit être capable d'offrir la gamme chromatique complète", sourit-il.

  • MAYOTTE: exigeons un référendum! Pétition à signer

    http://www.contribuables.org/campagnes-petitions/exigeons-un-referendum-sur-mayotte/?camp=NL071

    Monsieur le président,

    Vous demanderez l’avis des Mahorais, dimanche 29 mars, par référendum sur la transformation de leur collectivité départementale en DOM …

    Mais les Français ne seront même pas consultés pour se prononcer sur l’extension de leur territoire.

    Comment pouvez-vous envisager de créer un nouveau DOM dans la tourmente actuelle ?

    Comment pouvez-vous accepter de jeter notre argent dans l’Océan indien en pleine crise financière, à un moment où nous ne sommes même pas en mesure de financer la dette publique de l’Etat ?

    Car c’est bien aux Français que vous ferez appel lorsqu’il sera question de financer MAYOTTE !

    L’alignement des aides sociales avec la Métropole ne fait aucun doute : RMI, aide de retour à l’emploi, allocations familiales, tout est écrit d’avance :
    - Un habitant sur 4 est en situation irrégulière
    S’il fallait régulariser ces 60 000 personnes, ce serait les contribuables qui paieraient.

    - 2/3 de sans-emploi « officiels », alors que le travail au noir bat son plein

    S’il fallait indemniser ces 165 000 chômeurs, ce serait les contribuables qui paieraient.

    Baissons les impôts et les dépenses publiques au lieu de dilapider notre argent à Mayotte !

    Monsieur Le président, soyez courageux et demandez-nous notre avis !

    Nous exigeons, nous aussi, de nous prononcer par référendum.

    Bien cordialement

    Contribuables associés

    Je viens de signer la pétition

  • VIDEO "Quand il ne prépare pas ses discours..."

    http://www.dhnet.be/infos/monde/article/254585/quand-sarkozy-ne-prepare-pas-ses-discours.html#video

  • Les enfants héros étaient seuls... Une drôle d'histoire...

    APlaisir rapt enfants école.jpg
    Ecole Albert-Camus à Plaisir (Yvelines)

    Un homme a tenté d’enlever une petite fille de 7 ans, Manon,  dans l’enceinte de son école primaire de Plaisir (Yvelines). L’enfant ne doit son salut qu’à l’intervention de Valentin son petit camarade de 8 ans et à celle des élèves de sa classe de CE 1-CE 2. Hier, le commissariat de Plaisir a lancé un appel à témoins afin de retrouver la trace de ce mystérieux agresseur.

    «Nous recherchons un homme européen, de corpulence normale et d’environ 1,70 m, aux cheveux gris blanc avec des moustaches, un petit bouc et des pattes, précise un policier. Lors des faits il était vêtu d’un chapeau blanc, d’un haut gris et d’un pantalon bleu. Il aurait pris la fuite au volant d’un cabriolet noir. »

    Vendredi dernier vers 11 h 15, les enfants de l’école Albert-Camus participent à une course d’orientation dans le groupe scolaire de la Haise qui comprend quatre écoles, un gymnase et des logements de fonction.
    Ils jouent par groupes de deux pour aller chercher des balises. La fillette mène ses recherches dans une cour de l’école qui donne sur la rue Marcel-Jeantet. Le pervers gare sa voiture sur le parking des résidences voisines de l’école. Il ne voit aucun adulte et entre dans la cour. Il s’approche de la fillette et lui dit : « Viens, j’ai des bonbons. »


    La petite fille refuse, mais il l’attrape par le bras et tente de la traîner vers son véhicule. L’enfant bloque son pied sur le portail et hurle. Son copain de classe se précipite vers l’agresseur et lui fait un croche-pied. L’inconnu lâche sa victime et attrape le gamin par le col. Les deux enfants redoublent de cris et alertent l’ensemble de la classe.
    Une demi-douzaine d’enfants arrivent alors à la rescousse et mettent l’homme en fuite. Aussitôt après, la police est sur les lieux mais l’homme est déjà loin.

    Hier, presque une semaine après les faits, Yannick, le papa de la petite fille, ne cachait pas son angoisse. « Ma fille va bien. A l’école, on parle déjà beaucoup de l’événement, alors à la maison on n’aborde pas vraiment le sujet, confie-t-il. Mais si la petite n’a pas peur, moi en revanche, je suis très mal. C’est une vraie catastrophe. »

    Malgré les explications qu’on lui a données à l’école, il ne comprend pas comment un homme a pu entrer dans l’enceinte du groupe scolaire et tenter d’enlever un enfant. Car cette affaire ne s’est bien terminée que grâce à la présence d’esprit des enfants. « Je pense en effet que les conseils basiques, tels que ne jamais suivre un inconnu ont payé », ajoute Yannick.
    De son côté, le camarade qui est venu en aide à la petite fille reste choqué, il vit très mal cette agression. « C’est vraiment un petit très courageux, insiste le maire de la ville, Joël Regnault (UMP). Je le connais car il vient souvent me serrer la main. »
    Le maire estime que toutes les conditions de sécurité étaient remplies. « En principe, dans l’enceinte du groupe, les enfants sont libres d’aller et venir avec leur enseignant, précise-t-il. Et la commune leur adjoint un éducateur afin de mieux les surveiller. »
    Le parisien - 26.03.09
    Et si toute cette histoire avait été inventée par les deux enfants? Nous osons à peine formuler cette hypothèse, mais...
  • "Un animal adorable!" Le rottweiler mord grièvement une dame...

    Chien mordeur rottveiler.gif
    Le rottweiler et son maître

    Une femme de 55 ans a été grièvement blessée par un rottweiler, dans la soirée de mercredi, à Triel-sur-Seine. Cette personne promène son caniche vers 22 heures, dans la rue de Sablonville. A cet instant, Stéphane, 29 ans, rentre sa voiture dans la cour de sa maison. « Ma chienne Tania n’aime pas ce caniche, avance le jeune homme.

    Elle a cassé sa chaîne avant de sauter sur le petit chien. » La maîtresse du caniche pousse des cris. Elle se jette sur les bêtes et attrape Tania par la gueule. « Ma chienne a pris peur et elle a mordu la dame », ajoute Stéphane.

    Le rottweiler plante ses crocs dans un bras, une cuisse et la nuque de la quinquagénaire. Stéphane sort dans la rue et écarte l’animal. « La dame saignait beaucoup, précise une source proche de l’affaire, mais sa vie n’a jamais été en danger. » Elle est conduite aux urgences de l’hôpital de Poissy. Le caniche, lui, est indemne.


    Les policiers ont constaté que le chien n’est pas déclaré à la mairie comme chien dangereux. La femme de Stéphane, âgée de 21 ans, a été placée en garde à vue au commissariat de Poissy, car elle est la propriétaire officielle de la bête. « Ma chienne risque d’être piquée, s’inquiète le jeune homme. C’est pourtant un animal adorable. Elle a 2 ans et jamais elle ne s’était montrée agressive. Je pense qu’elle n’aime pas ce chien qui passe tous les soirs devant le portail et qu’elle a eu peur des cris de la dame. »

    Dans le voisinage, les habitants ne partagent pas cette vision du jeune homme. « Cette chienne passe ses journées à aboyer sur les passants, souffle un voisin. Elle reste toute la journée attachée. C’est bien d’avoir un gros chien. Mais il faut pouvoir s’en occuper. Ces bêtes ont besoin de se dépenser. »

    Hier soir, la garde à vue de la jeune femme a été levée et elle a pu regagner son domicile. Le chien a été conduit à la fourrière et son sort est maintenant entre les mains du maire de Triel.
    Le parisien - 27/03/09
    On croyait que MAM avait pris des mesures après les décès d'enfants mordus par des chiens dangereux...

     

  • VIDEO Des enfants mettent en fuite un kidnappeur - Aucun adulte n'a vu cet homme "de type européen"

    http://www.dailymotion.com/video/x8sda5_tentative-de-rapt-a-plaisir-78_news

  • Un homme nuisible

    Marin Hirsch financement emploi jeunes.jpg

    Les propositions du haut-commissaire Martin Hirsch pour réinsérer les jeunes ont été jugées intéressantes mais doivent être expertisées.

    Martin Hirsch semble être allé un peu vite en besogne dimanche lors du «Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI» en faisant trois propositions pour venir en aide à une jeunesse «sacrifiée». Primo, de porter à 30 000 le nombre de volontaires pour effectuer un service civique rémunéré 600 euros par mois. Secundo, de conditionner la réduction du taux de TVA dans la restauration à l'embauche massive de jeunes sans qualification. Et tertio, de faire financer par l'État 100 000 embauches de jeunes dans les entreprises pour les deux ans à venir. Avec, en contrepartie pour les employeurs, l'obligation d'assurer la formation des jeunes et, pour les embauchés, de rester trois à cinq ans dans le secteur. Coût estimé par le haut-commissaire à la Jeunesse ? 1,5 milliard d'euros sur 2009-2010. Cette dépense ne serait pas un cadeau aux entreprises, juste «une avance» avec un «retour sur investissement» garanti, grâce à une réduction de 1 % par an pendant cinq ans des allégements de charges.

     

    Prendre l'opinion à témoin

     

    «Rien n'est arbitré, soulignait lundi un proche du haut-commissaire. Martin Hirsch a mis sur la table trois idées pour faire avancer le débat.» Ces propositions doivent être débattues ce soir par les membres de la commission de concertation sur les politiques de la jeunesse qui planchent sur «les jeunes et la crise». L'Élysée cherche lui aussi à faire retomber le feu allumé par le haut-commissaire à la Jeunesse, fidèle à sa technique - éprouvée avec le RSA - de prendre l'opinion à témoin en rendant publiques ses propositions avant que le moindre arbitrage ait été rendu.

    «Rien n'est expertisé ni décidé, confirmait ainsi lundi un proche du chef de l'État. Ce sont des pistes Martin Hirsch et non gouvernement ales.» Si on loue à l'Élysée le caractère «imaginatif et inventif» de l'ancien président d'Emmaüs France, on remarque qu'un certain nombre d'hypothèses importantes restent encore à être validées. «Cela suppose que les entreprises vont continuer à embaucher, qu'elles ont une visibilité sur les années à venir - ce qu'elles n'ont pas aujourd'hui - ou que l'on connaît la date de fin de la crise», nuançait-on ainsi lundi rue du Faubourg-Saint-Honoré.

    En tout cas, les propositions de Martin Hirsch font parler. Ce qui est le but. «Elles vont dans le bon sens, juge Jacques Vinet, le président du CNCE-GEIQ, un groupement d'employeurs qui forme 4 000 jeunes sans qualification par an. Nous avons du mal en ce moment à convaincre les entreprises de former des jeunes et un coup de pouce financier de l'État serait le bienvenu.» Pour Emmanuelle Pérès, la secrétaire générale du Centre des jeunes dirigeants (CJD) et membre de la commission de concertation sur les politiques de la jeunesse, «Martin Hirsch montre une détermination pour trouver des solutions à l'emploi des jeunes adultes et c'est bien car il y a des mesures d'urgence à prendre».

    Reste à savoir si Nicolas Sarközy, qui a indiqué vendredi qu'il fallait faire davantage pour les jeunes et dont on attend peut-être ce soir des annonces, se laissera une nouvelle fois séduire par les idées du haut-commissaire.

    Le Figaro - 24 mars 2009

       
  • La HALDE veut supprimer les monuments aux morts: un canular crédible et peut-être prophétique

    http://fromageplus.wordpress.com/2009/03/17/la-disparition-programmee-des-monuments-aux-morts/

    Si ce n'est pas vrai, c'est bien trouvé...

  • Obama veut détruire le spectre d'Al-Qaïda et entraîner le monde dans la guerre

    Hussein Obama Al qaïda 27 mars 09.jpg
    Obama ou  le terrorisme du Bien  (27 mars 2009)
    Le président américain Barack Obama a placé vendredi le Pakistan au coeur de sa nouvelle stratégie pour l'Afghanistan, prévoyant un effort civil et militaire accru mais aussi une aide financière en hausse pour Islamabad, afin de vaincre le réseau terroriste Al-Qaïda.

    "Je veux que les Américains comprennent que nous avons un objectif clair: désorganiser, démanteler et vaincre Al-Qaïda au Pakistan et en Afghanistan et empêcher leur retour dans l'un ou l'autre de ces pays à l'avenir. Et aux terroristes qui nous combattent, mon message est le même: nous vous vaincrons", a-t-il déclaré .

    Selon lui, le réseau terroriste responsable des attentats du 11 septembre 2001 "prépare activement des attentats contre les Etats-Unis depuis ses refuges au Pakistan", où se cachent également des talibans qui alimentent la rébellion en Afghanistan.

    Chez le voisin afghan, la situation est d'ailleurs "de plus en plus dangereuse", a-t-il constaté, alors que les violences des insurgés ont redoublé d'intensité depuis deux ans, malgré la présence de plus de 75.000 soldats étrangers, dont 38.000 Américains.

    Pour tenter d'enrayer cette spirale, le président américain a annoncé l'envoi de renforts civils pour aider au développement économique et politique du pays, et le déploiement de quelque 4.000 soldats supplémentaires pour former les forces de sécurité afghanes. M. Obama avait déjà annoncé un renfort de 17.000 soldats le mois dernier.

    Il a réclamé aux alliés des Etats-Unis de contribuer sur ces deux fronts, alors que doit se tenir les 3 et 4 avril le sommet de l'Otan. La requête a déjà reçu des reponses favorables "en privé", selon l'émissaire américain pour la région, Richard Holbrooke.

    En parallèle, un soutien aux efforts anti-terroristes du Pakistan est "indispensable à nos efforts en Afghanistan, qui ne verra pas la fin des violences si les insurgés peuvent se déplacer librement des deux côtés de la frontière", a insisté le président , en annonçant un triplement de l'aide au Islamabad à 1,5 milliard de dollars par an sur cinq ans.

    "Al-Qaïda et ses alliés extrémistes sont un cancer" qui risque de détruire le Pakistan", a déclaré M. Obama, alors que plus de 50 personnes ont été tuées dans un attentat-suicide vendredi dans le nord-ouest du pays, l'un des plus meurtriers de son histoire.

    Mais le soutien financier de Washington n'est pas un "chèque en blanc", a averti M. Obama: "Le Pakistan doit donner la preuve de sa détermination à éliminer Al-Qaïda et tous les extrémistes violents qui se trouvent à l'intérieur de ses frontières".

    Soucieux d'impliquer les pays de la région dans la résolution du casse-tête afghan, le président américain a affirmé vouloir associer à la réflexion des pays aux relations très tendues avec le Pakistan, comme l'Inde, ou hostiles aux Etats-Unis comme l'Iran.

    L'Afghanistan et le Pakistan ont salué vendredi via leurs ambassadeurs à Washington la nouvelle stratégie américaine.

    L'ambassadeur d'Afghanistan, Said Jawad, a assuré que Kaboul était "très reconnaissant" envers l'administration Obama pour cette "nouvelle stratégie vers la victoire", tandis que son collègue pakistanais, Husain Haqqani, a déclaré que son pays était "particulièrement satisfait" de l'engagement du président Obama "pour redynamiser nos efforts communs destinés à endiguer le terrorisme et l'extrémisme".

    La France a salué les nouvelles orientations de la stratégie américaine, tandis que les ministres européens des Affaires étrangères réunis à Prague se sont déclarés prêts à accroître leur action civile en Afghanistan.

    AFP. 27/03/09

  • Un gendarme raciste sur Facebook?

    La direction générale de la gendarmerie nationale a indiqué à l'AFP qu'une mesure de suspension administrative va être prononcée à l'encontre d'un sous-officier de la gendarmerie mobile s'étant prononcé entre autres pour «les ratonnades», dans un profil Facebook.

    Selon l'article publié par le Monde, daté de vendredi, le sous-officier exprime clairement sur Facebook ses opinions «d'extême droite, mais très extrême» et définit ses centres d'intérets: «les croisades, les ratonnades, le nationalisme».


    La direction générale de la gendarmerie indique que «sitôt qu'elle a eu connaissance de cette information» elle a fait effectuer des recherches et «confirme l'existence d'un profil Facebook correspondant effectivement à celui d'un militaire de la gendarmerie».

    Elle précise avoir immédiatement alerté l'autorité judiciaire ajoutant qu'une «enquête sera diligentée aux fins d'établir la matérialité d'infractions à la loi pénale».

    La direction de la gendarmerie a aussi annoncé que «dès cet après-midi (jeudi 26) une mesure de suspension administrative sera prononcée à titre conservatoire à l'encontre de l'intéressé».

    Selon la gendarmerie dans l'article, il est notamment fait mention «d'opinions manifestement contraires à l'éthique et dont l'expression publique porte atteinte de surcroît à l'obligation et au devoir de réserve qui s'imposent à tout gendarme».

    Elle condamne «avec la plus grande fermeté des agissements ou propos qui sont à l'opposé de ses valeurs», concluant «les hommes et les femmes qui oeuvrent au quotidien avec droiture et dévouement pour assurer la protection de leurs concitoyens ne sauraient se reconnaître dans de tels comportements».
    Le parisien - 26.03.09
    Une provocation?
  • MEDECINES

    Un docteur anglais dit :
    La médecine en Angleterre est tellement avancée qu'on implante les testicules de quelqu'un à un autre et il peut chercher du travail en 6 semaines!

    Un docteur allemand rétorque :
    Ce n'est rien! Chez nous, on transplante une partie du cerveau de quelqu'un chez un autre et le deuxième peut chercher un travail en 4 semaines!

    Le Russe répond:
    «Voï voï ce n'est rien à côté de nous! En Russie la médecine est tellement avancée que si on enlève un bout du coeur et on le replace chez un autre, au bout de 2 semaines tous les deux peuvent chercher un travail!

    En entendant tout ça, le Français se met à rire:
    Tout ça c'est des babioles en comparaison avec notre médecine!
    Nous en France, nous avons pris quelqu'un sans cerveau, sans coeur et sans testicules, nous l'avons nommé président et maintenant tout le pays cherche du travail !!!

     

  • VIDEO Parlement européen: Sarközy socialiste - Dialogue avec Martin Schulz

    http://www.dailymotion.com/video/x75t4c_sarko-socialiste-devant-le-parlemen_news

  • Silvio Berlusconi se trouve "plus pâle"... Juste une question de soleil?

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    Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi s'est jugé jeudi "plus pâle" que Barack Obama, qu'il considère "plus beau, plus jeune et plus grand" que lui, quelques mois après sa déclaration controversée sur un président américain " bronzé".

    "Je suis plus pâle" que Barack Obama, "notamment parce que cela fait quelque temps que je ne me mets pas au soleil", a déclaré le chef du gouvernement à des journalistes en marge de l'inauguration d'un incinérateur près de Naples (sud), a rapporté l'agence Ansa.

    M. Obama "est plus beau, plus jeune et plus grand", a-t-il ajouté...

    AFP. 26/03/09

  • La statue d'Hitler qui avait été décapitée a retrouvé sa tête

    Hitler musée Tusseaud.jpg

    http://www.liberation.fr/monde/010132954-video-hitler-a-retrouve-sa-tete

    Mais la vidéo annoncée reste introuvable...

     

     

  • Tapie-Sarkozy, les clefs d'un scandale

    Bercy se prépare à solder les comptes de l'affaire Tapie : d'ici à la fin du mois de mars, le CDR (Consortium de réalisation), l'organisme étatique chargé d'apurer les contentieux de l'ex-Crédit lyonnais, va établir un troisième et dernier chèque aux liquidateurs de l'homme d'affaires, d'un montant de 101 millions d'euros.
    Au total, l'ancien ministre aura refait fortune : plus qu'il ne l'avait annoncé, mais moins que ne l'avaient affirmé ses détracteurs.

    Le tribunal arbitral ayant tranché en sa faveur, le 7 juillet 2008, le vieux contentieux qui l'opposait à ses banquiers sur la revente d'Adidas, l'État a été condamné à verser à Tapie 240 millions d'euros au titre du manque à gagner, et 45 millions en réparation de son préjudice moral. Le montant à venir représente, lui, les intérêts cumulés sur les sommes dont l'ancien ministre a été privé, selon les arbitres - moins des frais de liquidation estimés à 12 millions d'euros. Au total, Bernard Tapie aura ainsi reçu 333 millions d'euros d'indemnités.

    Savant calcul

    Mais la totalité de cette somme n'ira pas dans sa poche : au moins 204 millions serviront à rembourser ses dettes, ainsi réparties (sous réserve des contestations en cours) : 162 millions d'euros pour l'ex-SDBO, filiale du Crédit lyonnais ; 31 millions pour le fisc ; 11 millions pour des tiers.
    Une fois ces opérations effectuées, le solde - autour de 129 millions d'euros - sera taxé d'un tiers au titre de l'impôt sur les sociétés. Resteront alors 86 millions, sur lesquels l'ancien président de l'OM et son épouse devront encore acquitter l'impôt sur le revenu, dans des proportions qui feront sans doute l'objet de discussions avec l'administration fiscale. Si Tapie parvient à conserver 50 millions, cette somme s'ajoutera, in fine, aux 45 millions déjà reçus en guise de dommages et intérêts - et qui, à ce titre, ne sont pas imposables.

    Résultat de ce savant calcul : l'ancien ministre conservera 95 millions d'euros. Pour lui seul ? Non, car il consacrera, de son propre aveu, 23 millions d'euros à régler les frais de procédures et d'avocats que représentent ses quinze années de bataille, finalement victorieuse, contre ses banquiers.
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    Bernard Tapie a-t-il ou non bénéficié de la bienveillance active de Nicolas Sarközy pour obtenir un arbitrage en sa faveur de 390 millions d'euros dans le contentieux qui l'opposait au Crédit lyonnais ?

    La question a été tournée dans tous les sens par de nombreux commentateurs. Aujourd'hui, Denis Demonpion, collaborateur du Point , et le journaliste Laurent Léger tentent d'éclaircir cette énigme dans un livre, « Tapie-Sarkozy, les clefs d'un scandale » (Pygmalion), qui tend à démontrer que le chef de l'Etat n'est pas étranger à la bonne fortune de l'homme d'affaires devenu acteur.

    Les auteurs retracent les nombreux points communs de leurs deux héros. Ils se sont connus très tôt, à Neuilly, où Tapie installe le siège social d'une de ses sociétés pour se rapprocher du tout jeune maire RPR. Ces deux espoirs se sont tout de suite plu. Même style conquérant, même culot, même appétit pour ce qui brille. Ils se croisent et se décroisent pendant des années, fréquentant les mêmes milieux argentés, jusqu'à être mêlés à des affaires où la justice mettra son nez. L'un et l'autre minimiseront toujours cette relation à éclipses mais bien réelle.

    Arrive le jour où Nicolas Sarkozy, devenu ministre de l'Economie, peut aider son ami qui se débat avec le Crédit lyonnais, accusé par Tapie de l'avoir grugé. Des procédures judiciaires sont en cours, qui pourraient être interminables et moins favorables au patron de l'OM qu'il ne le souhaiterait. Tapie va frapper à la porte de Bercy. Claude Guéant, qui est le directeur de cabinet du ministre, le reçoit discrètement à plusieurs reprises. Enjeu des discussions : persuader le président du CDR, Jean-Pierre Aubert, qui est en procès avec Tapie, de passer plutôt par un processus de médiation. Reçu à son tour, Aubert, estomaqué, se voit suggérer cette solution. L'actuel secrétaire général de l'Elysée confirme avoir joué un rôle : « J'ai eu l'occasion de rencontrer Bernard Tapie. Le ministre de l'Economie de l'époque n'a jamais caché qu'il lui semblait judicieux d'engager une médiation entre les parties plutôt que de laisser se poursuivre une bataille judiciaire dont nous avions tout lieu de penser qu'elle serait sans doute plus coûteuse pour l'Etat. » Une note, transmise par la chancellerie et signée par Jean-Louis Nadal, procureur général de Paris, assurait en effet que le CDR avait « de bonnes chances de perdre ce procès ». La médiation fut donc enclenchée au forceps. Mais elle n'aboutit pas, faute d'accord entre les parties.

    Tout était à recommencer pour Tapie. A l'approche de la présidentielle, alors qu'il est toujours en plein procès, il espère obtenir non plus une médiation, mais une procédure d'arbitrage. Il appelle à voter pour le candidat Sarkozy. Depuis quelques mois, il rêve de se rendre indispensable au ministre de l'Intérieur. Il a même organisé un petit déjeuner Place Beauvau réunissant le ministre Brice Hortefeux (avec qui il est très lié) et son copain Bernard Kouchner. Entre les deux tours de la présidentielle, Tapie exulte, « donnant le sentiment que ses affaires iront mieux grâce à Nicolas Sarkozy ». Il dit même, à propos du candidat arrivé en tête : « C'est un peu mon meilleur ami. » Le cours de la justice n'est toujours pas interrompu. Le jugement de la cour d'appel ayant été cassé, il est renvoyé devant une nouvelle formation de cette cour. Pour Tapie, le temps presse.

    Le président assume

    Dès que Sarkozy est installé à l'Elysée, Tapie vient rendre visite régulièrement au président et à ses conseillers. Claude Guéant, bien sûr, mais aussi François Pérol, qu'il connaît bien et qu'il amuse, et Patrick Ouart, dont il va se faire un allié majeur. Un ami ? « La notion d'ami est un peu excessive. Mais j'ai de bonnes relations avec lui », admet cet influent collaborateur du chef de l'Etat. Interrogé par les auteurs, après qu'a eu lieu le fameux arbitrage finalement obtenu par Tapie, pour savoir si c'est Nicolas Sarkozy qui avait pris la décision, il répond : « J'imagine. Le président assume sa relation avec Bernard Tapie. » Résultat : un beau pactole de 390 millions d'euros.

    Le Point - 17 et 19 mars 2009