Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Plus belle l'insécurité! Après la Kalachnikov, le sabre japonais!

    stephane_ravier.jpg

    Communiqué de presse de Stéphane Ravier, conseiller des XIIIe et XIVe arrondissements de Marseille, conseiller régional de PACA, secrétaire départemental du Front National 13 en charge de Marseille.

    La barbarie a franchi un pas supplémentaire vendredi dernier au collège Henri Wallon situé dans le XIVe arrondissement de Marseille.

    Animés par un sentiment de vengeance et au cri de « Plantez-les ! » une dizaine de « jeunes » se sont introduit dans le collège armés de couteaux et d’un sabre japonais afin d’y assassiner un professeur, trois surveillants, deux conseillers d’éducation et même la gardienne, rapporte le quotidien La Provence.

    C’est grâce à la défense courageuse des fonctionnaires que le pire a pu être évité.

    Malgré les promesses sécuritaires du ministre de l’Intérieur qui n’impressionnent que Gaudin, et les sommes considérables englouties dans ces quartiers par l’UMP via la Mairie, et le PS, via le Conseil général et le Conseil régional, rien n’y fait !

    Au contraire, le personnel enseignant n’est plus seulement victime d’agressions mais de tentative d’assassinat !

    Après la fusillade de la Rose-le-Clos et les coups de menton médiatiques de Gaudin et d’Hortefeux, cet acte de sauvagerie marque l’échec de la politique spectacle du gouvernement et de la politique de la ville chère, si chère, à Jean-Claude Gaudin.

    Enfermées dans leur dogmatisme, les élites de l’UMP et du PS n’aperçoivent toujours pas l’éléphant dans le couloir de la réalité du peuple marseillais !

    Stéphane Ravier appelle les électeurs phocéens à faire connaître leur ras-le-bol lors des prochaines élections cantonales en apportant leurs suffrages aux candidats du Front National, les seuls résolus à appliquer la tolérance zéro.

    NPI - 16/12/10

  • Horreur: un nourrisson retrouvé mort dans un cimetière du Val-d'Oise

    Un nourrisson a été retrouvé mort mercredi dans le cimetière du Plessis-Bouchard (Val-d'Oise), a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

    Une autopsie devait être pratiquée.

    L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale.

    AFP. 16/12/10

    Un ange de plus dans le ciel

  • Pour le plaisir

    château de Versailles.jpg

    Versailles

     (Cliquez sur la photo)

     

  • Signature d'un partenariat entre la SNCF et le Mémorial de la Shoah

    8a1fad32-2795-4a6c-834d-465499338717.jpg

    Guillaume Pepy et Eric de Rothschild (D)

     

    PARIS (AFP-EJP)---Le Mémorial de la Shoah et la SNCF ont signé un partenariat pour le développement des activités pédagogiques destinées aux scolaires sur la période de la deuxième guerre mondiale, annoncent-elles dans un communiqué commun.
       

    Le Mémorial rappelle qu'il a pour mission "la transmission et l'enseignement de l'histoire de la Shoah, la réflexion sur les circonstances dans lesquelles un tel crime a pu être possible" et mène des actions de sensibilisation "contre toute forme de racisme, d'antisémitisme, d'intolérance et de haine de l'autre".
       

    La SNCF, dont les trains avaient été réquisitionnés pour transporter les juifs de France vers les camps d'extermination a "engagé depuis une vingtaine d'années des initiatives visant à mieux connaître son rôle" pendant la guerre.

    Elle ouvre ses archives aux chercheurs et va notamment publier un guide-sources d'archives de et sur la SNCF.
       

    La convention de partenariat a été signée par le président du Mémorial Eric de Rothschild et par le président de la SNCF Guillaume Pepy. Selon cette convention signée pour 4 ans, la SNCF devient "entreprise partenaire principale du Mémorial de la Shoah" pour le développement de ses activités pédagogiques.

     

    « Depuis sa création, le Mémorial tente d’affiner la connaissance de l'histoire de la Shoah et s’est donné comme priorité de l’enseigner pour qu’elle soit utilisée au présent pour bannir l’intolérance, le racisme et l’antisémitisme de nos sociétés. Aujourd’hui, la SNCF a la même volonté. Nous sommes honorés de l’accompagner dans cette démarche. Certains la trouveront tardive, pour nous l’essentiel est qu’elle soit engagée… »


    La Mémorial de la Shoah apportera son expertise et son soutien technique à la SNCF pour conduire des nouvelles recherches historiques sur les actions de l’entreprise pendant la Seconde Guerre mondiale.


    Dans ce communiqué commun, Guillaume Pepy souligne que la SNCF va agir dans "trois directions : transparence et clarté sur notre passé, avec un nouveau travail de connaissance et de compréhension de notre situation et de notre action pendant la seconde guerre mondiale" (...) "Devoir de mémoire sur ce qui s'est passé pendant cette période, sans jamais oublier l'héroïsme de nombre de cheminots. Et surtout maintenant, en se tournant vers l'avenir, devoir de pédagogie et d'éducation vers les nouvelles générations".

    Cette année, la SNCF lance un nouveau programme de recherches historiques avec la création de bourses d’études pour des chercheurs français et internationaux.

    Un colloque présentant le bilan des connaissances sur le rôle des chemins de fer en Europe durant cette période sera également organisé.

    EJP - 16/12/10


  • 119 - Bravo, Abad!

    119 - Elisha Graves OTIS - (1811-1861) Inventeur américain  de l'ascenseur sécurisé par un frein en cas de rupture du câble, autrement dit des ascenseurs que nous utilisons actuellement.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Elisha_Otis

    Félicitations à Abad, le seul à m'avoir donné la bonne réponse!

    Quelques indices:

    pour le 118: inventeur français très célèbre. Il a sa statue sur la place d'une grande ville de France.

    pour le 120: inventeur français. Un "bienfaiteur de l'humanité". Son invention est inutilisée de nos jours par une décision politique qui ne fait pas l'unanimité. 

    Cherchez et vous trouverez!

    Merci de participer!

    Le jeu continue! 

  • Qui est-ce? 120

    120 Qui est-ce.jpg

    120

  • Qui est-ce? 118 - 119

    118.jpg

    118

    119.jpg

    119

  • Le meurtrier d'Anne-Lorraine Schmitt est condamné à perpétuité avec une peine de sûreté de 22 ans

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/meurtre-du-rer-d-condamne-a-perpetuite-1869432/

    Thierry Devé-Oglou a été condamné mercredi à Pontoise à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans pour le meurtre d'Anne-Lorraine Schmitt, tuée de 34 coups de couteau lors d'une tentative de viol dans le RER D en novembre 2007.

    Dans sa dernière intervention avant le verdict, il avait dit "regretter sincèrement". Parlant de la famille de la victime, "j'espère qu'un jour, ils me pardonneront, j'espère recevoir des soins", avait-il ajouté.

    La cour d'assises du Val-d'Oise a suivi les réquisitions de l'avocat général, Eric Maurel, et assorti la condamnation de "mesures de suivi socio-judiciaire", dont une injonction de soins sans limite dans le temps.

    "Je souhaite prémunir la société le plus longtemps possible", avait déclaré M. Maurel dans son réquisitoire, expliquant avoir requis la perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans "pour être sûr qu'il fasse les 22 ans", car tous les psychiatres ont affirmé ne pas avoir "l'absolue certitude qu'il ne recommencera pas".

    AFP. 15/12/10

  • Meurtre d'Anne-Lorraine: verdict attendu après le réquisitoire

    "Vous appartenez à cette société M. Devé-Oglou et c'est bien parce que vous êtes un homme que nous pouvons vous juger", a-t-il lancé à l'accusé, qui n'a pas quitté l'avocat général du regard durant les 40 mn de réquisitoire.

    M. Maurel n'a eu de cesse de s'adresser à l'accusé, âgé de 43 ans, alors qu'était projetée sur les écrans de la salle une photo d'Anne-Lorraine souriante.

    "C'est un joyau que vous avez tué! Il est beau ce visage. Elle est tout ce que vous n'êtes pas: amour de chacun, don de soi, exigence vis-à-vis d'elle même", a déclaré l'avocat général.

    Se tournant vers la famille sur les bancs des parties civiles où se trouvait notamment le père d'Anne-Lorraine, le général Philippe Schmitt, il ajoute: "malheureusement ce n'est pas un monstre, mon général, c'est un homme, sinon il ne serait pas là".

    Puis il s'adresse de nouveau à Thierry Devé-Oglou, lui rappelant ses déclarations selon lesquelles le meurtre précédé d'une tentative de viol, avait duré "cinq minutes". "Eh bien voyons!", lance M. Maurel avant de se taire pour laisser les minutes s'écouler.

    Durant quatre longues minutes, pas une parole ne sera prononcée. Thierry Devé-Oglou soutient le regard sévère de l'avocat général, sans jamais ciller ou baisser les yeux.

    Puis l'avocat général reprend: "Je vous fais grâce d'une minute, M. Devé-Oglou, cette minute que vous n'avez pas laissée à Anne-Lorraine, cette minute durant laquelle vous avez plongé votre couteau dans l'aorte".

    Il a requis la perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans "pour être sûr qu'il fasse les 22 ans" car tous les psychiatres ont affirmé que nous n'avons pas "l'absolue certitude qu'il ne recommencera pas".

    L'avocat des parties civiles, Me Bruno Drye, a demandé au jury "de mettre hors d'état de nuire M. Devé-Oglou avec les moyens dont nous disposons aujourd'hui. Il appartiendra ensuite aux hommes politiques de prendre leurs responsabilités".

    Thierry Devé-Oglou avait été condamné en février 1996 par la cour d'assises de l'Oise à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour un viol commis en janvier 1995, dans le même RER D, en menaçant une jeune femme avec un couteau. Il avait été remis en liberté en février 1997.

    Le meurtre d'Anne-Lorraine Schmitt avait eu un fort retentissement médiatico-politique, alors que le projet de loi sur la rétention de sûreté était en débat au Parlement.

    "La peine de mort sociale n'est pas la solution", a plaidé Me Ahmed Naoui, avocat de la défense. "Je vous demande une décision qui ne soit pas un lynchage habillé de justice", a-t-il ajouté.

    Auparavant, son collègue, Me Mahieddine Bendaoud, avait défendu "un homme malade". "Que faisons-nous de nos malades? Nous les tuons?", a-t-il interrogé. "La décision judiciaire ne doit pas être celle de l'opinion publique", a-t-il exhorté.

    Pour sa dernière intervention avant le verdict, Thierry Devé-Oglou a dit "regretter sincèrement". "Je sais que la famille ne voudra pas recevoir les sincères condoléances. J'espère qu'un jour, ils me pardonneront, j'espère recevoir des soins", a-t-il ajouté.

    Le verdict est attendu dans la soirée.

    AFP. 15/12/10

  • L'ex-Garde de sceaux Albin Chalandon en garde à vue chez lui

    L'ancien ministre de la Justice Albin Chalandon, 90 ans, a été placé depuis mardi en garde à vue à son domicile, en raison de son grand âge, dans l'affaire Visionex, a-t-on appris mercredi de source policière.

    Albin Chalandon est soupçonné d'avoir intercédé auprès du ministre de l'Intérieur à l'époque des faits, Michèle Alliot-Marie, pour obtenir les autorisations d'exploitation des bornes fabriquées par Visionex et permettant des paris clandestins.

    Son interlocuteur était alors David Sénat, l'ancien conseiller de Michèle Alliot-Marie, dit-on de même source.

    Ce dernier été mis en examen dans ce dossier, tout comme le fils d'Albin Chalandon, Fabien, poursuivi pour infraction à la législation sur les jeux de hasard alors qu'il était conseiller technique de Visionex.

    L'Express - 15/12/10

  • Perpétuité requise avec 22 ans de sûreté contre Devé-Oglou

    Le ministère public a requis mercredi la prison à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans à l'encontre de Thierry Devé-Oglou, jugé à Pontoise pour le meutre d'Anne-Lorraine Schmitt de 34 coups de couteau en 2007 lors d'une tentative de viol dans le RER D.

    "Vous appartenez à cette société, M. Devé-Oglou, et c'est bien parce que vous êtes un homme que nous pouvons vous juger", a-t-il lancé à l'accusé, qui n'a pas quitté l'avocat général du regard durant les quarante minutes de réquisitoire.

    Le verdict était attendu dans la soirée.

    AFP. 15/12/10

  • Les psys n'excluent pas une récidive de la part du meurtrier d'Anne-Lorraine Schmitt...

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/proces-du-meutre-du-rer-d-une-victime-temoigne-1863272/ 

    "Je crains que l'efficacité d'un traitement neuroleptique soit modeste même s'il doit être mis en place", a expliqué à la barre un expert psychiatre. "Nous n'avons pas de garantie quant à l'efficacité de ce traitement à l'extérieur", a-t-il ajouté.

    Pour les experts psychiatres, Thierry Devé-Oglou a une "affectivité froide", "il fait illusion" dans ses sentiments "évitant les chamboulements dans sa vie". L'un d'eux a évoqué à la barre la "dangerosité du patient".

    La récidive était au coeur du procès qui a débuté lundi, l'accusé ayant déjà été condamné en 1996 pour un viol commis sur une jeune femme menacée d'un couteau dans le même RER D, au même endroit.

    Concernant le meurtre d'Anne-Lorraine Schmitt, tuée après une tentative de viol, les experts ont estimé qu'"il sait que c'est interdit et que c'est mal". Pourtant, "il n'a aucun ressenti émotionnel vis-à-vis de la victime ou de sa famille".

    Thierry Devé-Oglou, accusé d'avoir tué Anne-Lorraine Schmitt dans des circonstances décrites par les pompiers et les policiers comme "horribles" et "inimaginables", est "incapable d'empathie, de sympathie, il réduit l'autre à rien".

    A la mi-journée, l'accusé s'est finalement excusé auprès de la famille au troisième jour du procès, après avoir entendu les psychiatres. "Je regrette tellement que je m'excuse devant les parents", a-t-il déclaré en sanglotant. "Je regrette (...) je regrette pour la famille", a-t-il ajouté.

    Thierry Devé-Oglou n'a toujours pas raconté ce qui s'est réellement passé dans cette rame le dimanche 25 novembre 2007. Pourtant les psychiatres affirment qu'il "a gardé une trace mnésique de son passage à l'acte. Il a conscience de ce qu'il a fait. Il était présent, acteur de son acte".

    Les psychiatres ont évoqué "une vie à l'économie", centrée sur la famille avec peu d'amis, avec une "carence par rapport à la dimension affective". "Il imite l'affectivité des autres", a dit l'un d'eux.

    L'accusé écoute attentivement assis dans le box, manifestant une certaine nervosité.

    Lors de sa condamnation pour viol en 1996, une psychiatre avait estimé une récidive "peu probable" étant donné "les remords" du patient. Sa victime, Valérie, qui est venue témoigner mardi, a elle, "toujours eu l'intime conviction que le jour où il recommencerait, quoi que la victime fasse, elle n'aurait aucune chance".

    A sa sortie de prison, Thierry-Devé Oglou n'avait pas respecté l'injonction de soins à laquelle il était soumis.

    "Vous pouvez sauver des vies, cet homme est très dangereux", avait imploré à la barre, mardi, Elisabeth Schmitt, la mère d'Anne-Lorraine qualifiant l'accusé de "barbare".

    Son époux, le général Philippe Schmitt, déclarait lui à la presse: "ce n'est pas le verdict qui me fait peur, c'est l'après-verdict. Ce qui m'inquiète c'est dans dix ans, c'est dans quinze ans quand un juge des libertés décidera sur l'avis d'experts de le relâcher".

    Le verdict est attendu tard dans la soirée.

    AFP. 15/12/10

  • L'UE va-t-elle reconnaître l'indépendance de l'Etat palestinien?

    L’Allemagne, considérée comme une amie d’Israël, est à l’origine du projet de résolution qui devait être soumis lundi 13 décembre 2010 au vote du conseil des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne.
     
     Selon ce projet, affirme le quotidien israélien Maariv, si un accord de paix dans la région n’est pas conclu d’ici un an, l’UE reconnaîtra l’indépendance de l’État palestinien.
     
    Le ministre d’État allemand, Eckart von Klaeden, a transmis au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu un message personnel à ce sujet de la part de la chancelière allemande Angela Merkel.

    vonklaedengg.jpg

    CRIF  14/12/10

  • Le cri de douleur des parents d'Anne-Lorraine

    025a2196-07b2-11e0-bcb5-f86a1b4ac373 Schmitt.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Les parents et les deux frères de la victime sont venus mardi à la barre évoquer la jeune fille. Avec une grande retenue, Philippe Schmitt a raconté ce jour terrible où, informé le premier du drame, il s'est demandé comment il allait annoncer la disparition d'Anne-Lorraine à sa famille. En marge du procès, cet ancien militaire s'est longuement exprimé pour réclamer la plus forte peine contre l'accusé. À l'audience, il parle de cette «violente colère» qui l'envahit toujours. «Ce monstre a été remis en liberté  » dénonce-t-il, en évoquant «l'irresponsabilité criminelle » de la justice.

    Puis son épouse, Élisabeth Schmitt, prend à son tour la parole : «Quand elle riait, je ne savais pas que son destin s'achèverait dans ce train avec ce barbare. Il m'a arraché mon enfant.» Cette mère meurtrie avoue aujourd'hui qu'elle ne vit plus tant elle s'inquiète pour ses deux autres filles. «Ma souffrance est accompagnée d'une peur immense», dit-elle avant de s'adresser aux jurés : «Vous avez le pouvoir de sauver et de protéger d'autres vies.»

    Le Figaro - 14/12/10

    Le quotidien Le Parisien le relève,   Dève-Oglou  est  un criminel sexuel récidiviste. « Douze ans auparavant, dans ce même RER, quelques stations plus loin, il avait violé une autre étudiante, blonde aussi, sous la menace d’un petit couteau. Troublante répétition de l’histoire »….
    Répétition odieuse des agissements d’un détraqué que le laxisme de la justice n’a pas voulu mettre définitivement  hors d’état de nuire comme l’a noté le père d’Anne-Cécile Schmitt qui se bat depuis le « massacre » de sa fille « contre les criminels récidivistes et les remises de peine.» 
     Rédacteur en chef à Valeurs Actuelles, hebdomadaire où Anne-Lorraine fut stagiaire, ce qu’écrivait au moment de ce drame Frédéric Pons  sur son blog reste d’une terrible actualité : «une  nouvelle fois la peine de mort a été appliquée par un loup qui n’aurait pas du se trouver en liberté. On sait pourtant que les délinquants sexuels sont très difficiles à réintégrer, voire impossibles. Le doute est toujours présent, les risques immenses.
     Mais dans le doute, qui faut-il privilégier ? Le criminel ou la future victime ? N’est-ce pas la responsabilité de la société – les politiques à défaut des juges – d’éliminer ses éléments les plus dangereux ? La peine de mort est abolie, sauf pour les victimes innocentes. Il faudra faire le compte un jour des dégâts irréparables commis par tous ces malfaisants remis en liberté. Quand ressortira-t-il de prison ce violeur au couteau ? 8, 10, 15 ans ? Notre société doit avoir le courage de l’éliminer définitivement de la circulation, lui et tous les tueurs et violeurs d’enfants ».

    Gollnisch.com 14/12/10

  • Marseille: un collège attaqué au sabre et aux couteaux

    Un silence oppressant a envahi le collège Henri-Wallon (14e). La cour et les classes, entièrement vides, résonnent du même écho sinistre. Depuis hier matin, l'ensemble des enseignants et l'équipe éducative ont décidé unanimement de laisser l'établissement fermé. Pas le choix. Le week-end n'a pas suffi à dissiper ces images de haine et de violence, qui hantent encore ceux ayant assisté à l'impensable.

    Vendredi, aux environs de 14 heures, un groupe de jeunes gens surexcités a tenté d'assassiner un professeur, trois surveillants, deux conseillers d'éducation et même la gardienne, à coups de couteau et de sabre japonais. Sans l'intervention de Guillaume,l'un des enseignants, et celle de ses collègues, le sang aurait coulé : "Ils étaient clairement là pour nous tuer. Celui qui a sorti le sabre japonais a crié à ses complices : 'Plantez-les et vengez-vous !' Ça a duré 3 ou 4 minutes, mais j'avais l'impression que ça n'allait jamais s'arrêter."

    L'incroyable détermination des jeunes gens commence à s'amplifier après une première incursion dans le collège, vers 13h30. Prétextant d'abord vouloir boire et se rendre dans les toilettes, quatre garçons, de 15 à 17 ans, étrangers à l'établissement, tentent d'y pénétrer. Après avoir proféré des insultes aux surveillants, ils sont raccompagnés jusqu'à la sortie. "Ils nous ont dit : 'bougez-pas, on revient', sur un ton très menaçant", se souvient Guillaume. Trois-quarts d'heure plus tard, un groupe de dix individus, agissant à visage découvert, se rassemble devant le portail. Quatre d'entre eux enjambent la grille et s'opposent d'abord à la gardienne, prise à partie la première. "On s'occupe d'eux et après on s'occupe de toi", lui lancent les intrus.

    Le premier, exclu il y a quelques années de l'établissement, se transforme alors en meneur de cette expédition punitive, agissant de façon méthodique. "Il a sorti deux couteaux de cuisine de son blouson, qu'il a confiés à deux complices, détaille Guillaume. Ensuite, plongeant encore une fois la main dans sa veste, il a brandi un sabre pour le donner à un troisième garçon. Tout le monde se trouvait alors dans le hall."

    Galvanisés par leur chef, les agresseurs vont tour à tour se ruer sur les fonctionnaires. Le premier réussit à parer un coup de couteau, porté à hauteur du coeur, selon un témoin. Une bagarre s'engage et l'arme tombe au sol. "J'ai réussi à la pousser d'un coup de pied, détaille Guillaume. Ensuite, j'ai vu le sabre japonais, au-dessus d'un autre surveillant. Par chance, il a réussi à se protéger." Peu à peu, la défense des victimes commence à décourager les agresseurs qui préfèrent prendre le large.

    Hier soir, les suspects, dont certains sont clairement identifiés, étaient toujours en fuite. Le collège restera partiellement fermé jusqu'à mercredi, le temps pour les enseignants d'organiser un accueil personnalisé de tous les élèves pour analyser avec eux ce qu'il s'est passé et en souligner l'extraordinaire gravité.

    La Provence - 14/12/10

     

  • Peine de mort: une pensée émue pour tous ceux à qui elle n'a été épargnée

    Intervention de Bruno GOLLNISCH au Parlement Européen

     
    Pour la huitième édition de la journée mondiale contre la peine de mort, j’aurai une pensée émue pour tous ceux à qui elle n’a pas été épargnées :
     
    Pour les 220.000 enfants à naître innocents que l’on fait disparaître chaque année en France.
     
    Pour Anne Mougel, cette jeune femme de 29 ans assassinée il y a quelques semaines à coup de tournevis par un récidiviste.
     
    Pour ce gamin de 4 ans égorgé il y a dix jours à Meyzieu près de chez moi.
     
    Pour ce vieil homme poignardé en janvier à Roquebrune par un homme qui avait déjà été poursuivi pour des agressions au couteau.
     
    Pour les 6 à 700 innocents assassinés chaque année en France et combien de milliers d’autres en Europe et dans le monde.
     
    Pour Marie-Christine Hodeau, Nelly Crémel, Anne-Lorraine Schmitt, et tant de leurs semblables dont le seul tort a été de croiser un jour la route d’un criminel que souvent la loi avait permis de libérer après un premier crime odieux.
     
    Pour les victimes de tous les Dutroux, les Evrard et les Fourniret dont la vie, si elles ne l’ont pas perdue, a été saccagée.

    Pour les morts de Londres, de Madrid et d’ailleurs victimes du terrorisme aveugle.
     
    Je pense à eux parce que pour les victimes, on n’organise pas de journée mondiale. Mais souvent les bourreaux, eux, méritent la peine de mort.
     
    Dans un Etat de droit, et là seulement, la peine de mort n’est pas un crime d’Etat. Elle permet de protéger définitivement la société et la population contre ces criminels dont c’est aussi, parfois, la seule voie de rédemption.
     
    Gollnisch.com 
  • Conférence de presse de Marine Le Pen le 13 décembre 2010 - Questions/réponses aux journalistes présents


    Conférence de Presse de Marine LE PEN

    envoyé par polecom. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

    NPI. 13/12/10

  • La basilique Notre-Dame d'Afrique rouverte en grande pompe

    Basilique d'Alger.jpg

    Notre Dame d'Afrique.jpg

    (Cliquez sur la photos pour les voir en totalité)

    Michel Vauzelle et Jean-Noël Guérini, respectivement présidents du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) et du conseil général des Bouches-du-Rhône, ainsi que le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin (UMP) accompagnés d'une importante délégation sont arrivés en avion spécial pour la cérémonie.

    L'archevêque d'Alger, le Jordanien Mgr Ghaleb Bader, a souligné que la basilique catholique, érigée dans les années 1850 par les colons français, était un symbole de l'Algérie mais surtout "un symbole des rencontres entre les personnes", lors d'un sermon devant plusieurs centaines d'invités.

    Il faut que Notre-Dame d'Afrique reste un "symbole d'entente et de rencontre", a insisté Mgr Bader auprès du corps diplomatique et des dignitaires algériens, dont le ministre des Affaires religieuses et du Waqf, Bouabdallah Ghlamallah, les dirigeants de la wilaya (département) d'Alger et le patron du Front de Libération National (FLN, au pouvoir) Abdelaziz Belkhadem, représentant du président Abdelaziz Bouteflika.

    "Notre Dame d'Afrique priez pour nous et pour les Musulmans", peut-on lire sur la paroi intérieure de la coupole, près de laquelle s'étalent peintures naïves de scènes de saints, prières en français, arabe et amazigh, langue des Kabyles algériens, et vitraux multicolores tout juste renforcés.

    Dans une déclaration en marge de la cérémonie, M. Belkhadem a souligné que Notre Dame d'Afrique permettait de renforcer le dialogue entre les religions, cultures et civilisations.

    "En Algérie, a-t-il aussi affirmé, il n'y a aucune forme de restriction dans la pratique religieuse, ni aucune distinction entre les musulmans et les chrétiens".

    Le wali (préfet) d'Alger Mohammed Kebir Addou a fait l'éloge de la collaboration franco-algérienne pour restaurer la basilique. "Cela donne l'opportunité de resserrer les liens d'amitié avec la région de Marseille", a-t-il souligné, un clin d'oeil à Jean-Claude Gaudin, habitué d'Alger.

    Tant Notre-Dame d'Afrique que son "miroir", Notre-Dame de la Garde, de l'autre côté de la Méditerranée à Marseille, ont été restaurées par les mêmes équipes.

    L'architecte en chef, Xavier David, a expliqué les travaux de consolidation de l'édifice, à la fois de réparation, de restauration et d'insertion innovante de matériau de protection para-sismique.

    "Cela n'a pas été facile au début", a reconnu Christian Pons, le chef de l'entreprise Girard chargée de l'exécution des travaux avec la partie algérienne, dont de jeunes professionnels ont été formés par les Compagnons du Devoir.

    Notre-Dame d'Afrique a souffert d'abandon, surtout durant la décennie du terrorisme, et a subi une onde de choc grave du séisme de 2003 à Boumerdès (50 km à l'est d'Alger), qui a menacé d'effondrement ses deux tourelles.

    La basilique a maintenant retrouvé son panache pour un coût de 5,1 millions d'euros. L'UE en a versé un million, Marseille 1,08 M, l'Etat algérien et l'Etat français un demi-million chacun, le PACA 360.000 euros et des donateurs privés 35%.

    Ces équipes sont désormais chargées de restaurer la basilique de Saint-Augustin à Annaba (600 km à l'est d'Alger), érigée en 1909.

    Interrogé sur le nombre de catholiques en Algérie, Mgr Bader les a estimés à "quelques milliers", essentiellement des expatriés, tout en expliquant que Notre-Dame d'Afrique accueillait quelque 100.000 visiteurs par an, dont des musulmans qui vénèrent aussi Marie.

    AFP. 14/12/10

  • Meurtre d'Anne-Lorraine Schmitt: "J'ai vu la mort en face" dit une autre victime

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/proces-l-horreur-du-meurtre-dans-le-rer-d-1861332/

    Valérie avait 26 ans lorsque ce 25 janvier 1995 elle croise le chemin de Thierry Devé-Oglou.

    A la gare de Louvres (Val-d'Oise), "j'étais seule dans ce wagon à l'étage, j'ai entendu quelqu'un monter. Devant moi, il y a eu un homme. Il ne m'a pas regardée alors que je le fixais. Il s'est installé sur une banquette derrière moi".

    Les portes se ferment, l'homme apparaît avec un couteau. "J'ai regardé ses yeux, son regard était extrêmement violent. Il était très nerveux. Il soutenait mon regard", était "menaçant".

    Elle pense que l'agresseur en veut à son argent et lui tend son portefeuille. "Il l'a jeté et j'ai compris ce qu'il me disait: "Suce-moi". Par réflexe, la jeune femme se lève, "les mains en avant". Elle reçoit un coup de couteau qui la blesse à l'auriculaire droit.

    "Il a volontairement donné un coup de couteau. Il a fait le geste!", se souvient-elle. Elle tente alors de l'apaiser en lui parlant, il répète "vite, vite, suce-moi". Elle s'exécute. L'acte accompli, Thierry Devé-Oglou redescend à l'étage inférieur.

    Elle l'entend taper dans la cloison du RER en "criant contre lui-même". "Je priais pour qu'il m'oublie. Je venais d'être violée mais j'étais vivante", souffle-t-elle.

    Il remonte à l'étage, son couteau à la main. "Il soutenait mon regard, je me suis dis qu'il n'était pas fort physiquement mais psychiquement. Il n'avait aucune pitié", se souvient-elle. "J'avais une bombe en face de moi", analyse Valérie.

    De nouveau, elle lui parle, elle refuse la "liasse de billets" qu'il lui propose et lui demande de ranger son couteau "qui lui fait peur". Thierry Devé-Oglou accepte.

    "Pardon", lâche-t-il avant de disparaître lors d'un arrêt dans une gare en forêt.

    En février 1996, Thierry Devé-Oglou a été condamné pour ces faits par la cour d'assises de l'Oise à cinq ans de prison dont deux avec sursis.

    AFP. 14/12/10