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  • Livre de Laurence Parisot contre Marine Le Pen: l'hommage du vice à la vertu

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Le projet de Marine Le Pen trouve la confirmation de sa pertinence dans les violentes attaques de la présidente du Medef, dans un livre à paraître.

    Laurence Parisot s’est toujours trompée, elle est la meilleure représentante d’un vieux monde en train de disparaître : le monde de la dérégulation à tout-va, le monde des grandes banques folles de cupidité, le monde des marchés financiers et des puissances d’argent.

    Laurence Parisot, c’est l’incarnation de l’argent roi qui écrase les peuples et les soumet à la dictature des marchés. C’est la représentante parfaite d’une caste qui éprouve un plaisir assez pervers à toujours enfoncer les petits, ceux qui n’ont que leur salaire ou leur retraite pour vivre.

    Bref, Laurence Parisot, c’est l’exact opposé du projet démocratique et républicain de Marine Le Pen, un projet d’espérance qui remet l’homme et la nation au centre de la politique.

    C’est donc un honneur que d’être la principale adversaire d’une personne qui incarne aussi bien la faillite du système ultralibéral.

    C’est aussi un motif de fierté parce que Laurence Parisot c’est l’incompétence personnifiée. Elle a toujours prôné les vieilles recettes qui nous ont conduits à la crise : plus de marché, moins de protection.

    Elle a encore démontré son incompétence économique sur Europe 1 ce matin en avançant un chiffre totalement fantaisiste au sujet du montant de la dette de la France (« 1.300 milliards », quand il excède 1.650 milliards d’euros).

  • Europe, euro: la fin d'un tabou, les voeux de Gollnisch...

    Rappelez-vous: il y a encore quelques semaines, la quasi totalité des chroniqueurs, analystes, spécialistes,  hommes politiques  invités dans les médias,    juraient de l’unité inébranlable  de l’UE, de sa solidarité sans faille avec les pays membres  pris dans la tourmente financière, de la nécessité de ne laisser aucun pays sur le bord de la route et  s’affranchir de  l’euro. En un mot, pas question pour la Grèce de quitter l’euroland, même si le remède de cheval administré à Athènes était très grandement susceptible d’achever le malade… Les choses ont bien changé depuis avec la chute continue des places boursières européennes, les attaques contre les banques françaises fragilisées par leurs investissements en Grèce. Et surtout avec les doutes exprimées à haute voix en Allemagne  sur la pérennité de la présence d’Athènes au sein de la zone euro.

    Dernier épisode visible  de cette guerre, qui est aussi psychologique,   lancée par certains milieux d’affaires, voire par le gouvernement américain lui même  contre la France, selon les propres dires de Laurence Parisot que nous citions  dernièrement,   la Société Générale a porté plainte pour diffamation contre le tabloïd anglais Mail on Sunday. Ce journal   avait publié début août  un article   annonçant que cette banque française était au bord du krach financier…

    L’Europe, la France sont elles en mesure d’enrayer la gangrène  sans couper la branche  grecque? Hier, interrogé sur le site de   l’Express, Thibault Mercier, économiste chez BNP Paribas,  se voulait optimiste  quant aux capacités d’Athènes à  sortir du marasme sans rétablir sa monnaie nationale. Pour autant, il   résumait  les conséquences du traitement imposé à ce pays avec l’aval de son gouvernement : «Le niveau de vie a baissé fortement en quelques mois. (La Grèce) a voté de nouvelles mesures d’austérité en juin dernier avec le risque d’accentuer la spirale austérité-récession. La demande intérieure a flanché, la récession s'est accélérée. Conséquence: les mesures d’économie portent de moins en moins leurs fruits. »

    Aujourd’hui,  le site libéral contrepoints relevait très justement que «l’un des derniers tabous de la zone euro est tombé» hier. Dans un entretien accordé au journal Die Welt «le ministre allemand de l’économie Philipp Rösler a estimé que « pour stabiliser l’euro, il ne doit plus y avoir à court terme d’interdiction de penser à certaines options », dont celle d’une « insolvabilité ordonnée ». En d’autres termes, la Grèce va bientôt devoir être mise en faillite pour restructurer sa dette. Certes Bruxelles a rejeté à nouveau cette possibilité le jour même, après les déclarations du ministre. Mais pour combien de temps ? On murmure déjà à Berlin qu’il pourrait s’agir d’une question de semaines, voire de jours.»

    Et de relever  qu’« en Allemagne, le scepticisme qui a accueilli l’annonce des différents plans de sauvetage est en train de se transformer en hostilité affichée. Le 9 septembre dernier, un sondage (…) révélait que trois Allemands interrogés sur quatre se déclarait hostiles à l’élargissement des garanties allemandes en faveur des pays surendettés de la zone euro, de €123 à €211 milliards, soit 27% du montant total. Autant dire qu’un retrait allemand priverait la zone euro tout entière de son principal sauveteur.»

     Des sauveteurs qui sous la pression de leurs opinions publiques, sont contraints de lâcher du lest et d’évoquer des scenarii qualifiés  jusqu’alors d’improbables:  « en dernier lieux, on ne peut plus exclure que la Grèce doive sortir de la zone euro », a déclaré Christian Lindner, le secrétaire général du FDP, parti allié de la CDU d’Angela Merkel.»

    L’article de contrepoints cite encore  Hans-Werner Sinn, «économiste et président du très influent think tank Institut for Economic»  qui estimait le 12 septembre (…) qu’une faillite grecque serait une « libération » pour le pays. L’économiste a par ailleurs affirmé que « la seule issue pour la Grèce est de dévaluer au moins de 20% à 30% » sa monnaie, a-t-il dit. « Pour cela il faut quitter la zone euro, ce serait le scénario le moins grave . Mais cette décision revient à la Grèce seule.»

    Cette accélération de la crise que traverse l’Europe de Bruxelles et de la zone euro, anticipée, prévue de longue date par le FN et sur laquelle il  avait mis en garde nos compatriotes, donne  en retour une grande légitimité au programme  alternatif  à l’européisme béat  porté par Marine Le Pen dans cette campagne présidentielle. C’est pourquoi Bruno Gollnisch a estimé cette fin de semaine, propos rapportés sur le site du Point, qu’il préfèrerait  que  le projet présidentiel du FN  «définisse exactement ce que l’on veut faire»  vis-à-vis de la construction européenne, afin que le cap fixé  par les nationaux apparaisse clairement aux yeux des électeurs.

     «Je souhaite évidemment que mon point de vue soit pris en compte lors de la campagne présidentielle » a-t-il ajouté. Car il y a un  risque, paradoxal peut être, qui pèse sur la candidature de  Marine et qui a été pointé par Bruno Gollnisch,  rapporte encore Le Point.  A savoir que cette crise suscite un réflexe légitimiste,  conservateur,  de mauvais aloi, pouvant faire redouter   aux Français un vrai  changement de  politique; une  crainte  qui serait susceptible de favoriser le pouvoir  en place.

    Blog de Bruno Gollnisch - 13/09/11

  • Du Congo au "bois de Boulogne", offensive sarkozyste

    L’ avocat libanais Robert Bourgiassumant son rôle de porteur de valises des années Chirac, celles des   dirigeants africains alimentant certains partis et dirigeants politiques -phénoméne amorcé sous Pompidou, qui s’est poursuivi sous Giscard, Mitterrand et le prédecesseur de l’actuel chef de l’Etat-  a accusé MM. Chirac et Villepin d’avoir bénéficié de ses largesses financières là. 

     Me Bourgi, successeur de Jacques Foccart, cheville ouvrière de la françafrique mise en place par le  Général De Gaulle,   a également accusé -pour faire bonne mesure?- Jean-Marie Le Pen d’avoir touché de l’argent d’Omar Bongo lors de la présidentielle de 1988!   Dimanche, à Nice, Marine Le Pen  dénoncait l’immigration- invasion… Claude Guéant faisait quelques heures plus tard une sortie très méditiasée sur le lien entre immigration et délinquance. 

    La candidate du FN pointait pareillement la corruption de la classe polticienne et,  comme par hasard, Me Bourgi tente lui aussi maladroitement de court-circuiter le discours de la présidente du FN en  mouillant  Jean-Marie Le Pen dans les détournements financiers évoqués plus haut… 

    Ami de longue date de Nicolas Sarkozy (depuis 1983), conseiller de l’ombre de ce dernier sur les questions africaines,  Robert Bourgi fut décoré  des insignes de chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur par le président de la République  le 27 septembre 2007.  Celui-ci  avait alors prononcé  l’éloge de Me Bourgi,  en utilisant un tutoiement normalement interdit par le protocole… Le site Rue 89 souligne malicieusement que « des ambassadeurs et représentants personnels de pays accusés par Robert Bourgi d’avoir financé Jacques Chirac» (Angola,Congo-Brazzaville, Cote d’Ivoire, Gabon,  Guinée équatoriale,  Sénégal…) assistaient à cette cérémonie.

    Si Henri Guaino, conseiller officiel du Président, déclarait  lundi sur France Info  ne pas connaître Me  Bourgi, tandis que le chiraquien et secrétaire général de l’UMP  Jean-François Copé, se refusait à tout commentaire,  «Claude Guéant, qui a oeuvré pour que Bourgi soit décoré, déclarait dimanche que Nicolas Sarkozy savait  dans les grandes lignes ce que Bourgi a dit dans les médias. Le président de la République a donc remis la Légion d’honneur à un homme qui lui a raconté avoir commis des actes délictueux» affirme Rue 89 .

    Sur le Président d’honneur du FN, Robert Bourgi pousse le bouchon très très loin, ce qui lui vaut aujourd’hui d’être logiquement attaqué en diffamation par ce dernier.  « Je le dis aujourd’hui, affirme sans rire Bourgi,  je n’aime pas faire parler les morts, M. Jean-Marie Le Pen a été reçu par le président Bongo et le président Bongo a financé la campagne électorale de M. Jean-Marie Le Pen en 1988 ». « J’affirme aujourd’hui que M. Jean-Marie Le Pen, avec le discours xénophobe et raciste qui est le sien, a fait le détour de Libreville et d’Abidjan avant les élections présidentielles de 1988. Peu de Français savent que ce raciste et ce xénophobe était allé à Libreville et à Abidjan. »

    Mêlant l’odieux au ridicule, ce soutien actif à a  la candidature de Nicolas Sarkozy a encore persiflé:  « le président Bongo m’a dit, moi, et monsieur Foccart  était présent, s’adressant à monsieur (Jacques Foccart) il lui a dit: ‘doyen’, comme tout le monde l’appelait, ‘le Le Pen il a été content de partir avec l’argent d’un nègre ». Dans un communiqué, comme sur l’antenne de BFM-TV notamment, Jean-Marie Le Pen a relevé que les propos  « totalement faux et ridicule» de Robert Bougri sont ceux d’un  « malade mental ou  (d’un) voyou »

    Le président d’honneur du FN  a rappelé cette évidence, à savoir qu’en 1988, il n’était pas un candidat «qui caressait l’espoir d’être élu» et que dans ces conditions, il n’y  avait aucune raison pour un quelconque  dirigeant africain de tenter de  l’arroser. Bref,  si  Robert Bourgi « était chargé de me remettre de l’argent il a  du garder les fonds pour lui! (…)  La source   des informations est la même que celle qui dit que Monsieur Bourgi fait des  passes au bois de Boulogne mais je ne l’ai jamais cru .. compte-tenu de la tête qu’il a, il ne ferait pas de clients! »

     Et Jean-Marie le Pen de  relever  encore  que Robert  Bourgi  « qui donne des brevets d’accusation, donne aussi des brevets d’honnêteté à toute une série  de gens . Sachant les liens qui unissent monsieur Bourgi à monsieur Sarkozy, sachant qu’il fait partie du premier cercle, on peut se dire que, sans doute, tout cela est téléguidé.  C’est ridicule!»

    De basses manoeuvres qui ne sont pas pour étonner Bruno Gollnisch, lequel sait parfaitement de quoi  sont capables les adversaires  de l’opposition nationale quand celle-ci menace directement leurs prébendes, leurs magouilles, le systéme  qu’ils ont patiemment mis en place pour se maintenir au pouvoir.

    Blog de Bruno Gollnisch - 13/09/11

  • PO - Une Palestine indépendante, gage de stabilité (Erdogan)

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    Recep Tayyip Erdogan - (Cliquez sur la photo)

    Un Etat palestinien indépendant sera un gage de stabilité au Proche-Orient, a déclaré mardi le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan devant les chefs de diplomatie des pays membres de la Ligue arabe au Caire.

    "Il est temps de hisser le drapeau palestinien aux Nations unies. Hissons le drapeau palestinien et qu'il devienne le symbole de la paix et de la justice au Proche-Orient", a déclaré M.Erdogan, en tournée dans les pays du "printemps arabe", dont l'Egypte est la première étape

    Et d'ajouter que la reconnaissance d'un Etat palestinien n'était "pas une option, mais une obligation".

    M.Erdogan a fait cette déclaration au moment où les Palestiniens se préparent à faire une demande en ce sens à l'Onu.

    Au Caire, le premier ministre turc rencontrera le chef du conseil militaire au pouvoir depuis la chute du régime du président Hosni Moubarak en février, le maréchal Hussein Tantaoui, ainsi que d'autres officiels égyptiens. Ensuite, M.Erdogane se dirigera en Libye et en Tunisie.

    Les chefs de diplomatie des pays membres de la Ligue arabe se sont réunis mardi au Caire pour discuter de la situation en Syrie et soutenir une reconnaissance à l'Onu d'un Etat palestinien.

    Faute de perspective de reprise des négociations de paix avec Israël, au point mort depuis des mois, M.Abbas a l'intention de présenter la requête palestinienne le 20 septembre prochain lors de la session de l'Assemblée générale des Nations unies, malgré l'hostilité d'Israël et des Etats-Unis.

    RIA Novosti - 13/09/11

  • La pauvreté continue de progresser aux Etats-Unis

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    Chômeur à Miami - (Cliquez sur la photo)

    La pauvreté a continué de progresser aux Etats-Unis en 2010, où le taux de personnes vivant sous le seuil de pauvreté a atteint 15,1% l'an dernier, son plus haut niveau depuis 1993, a indiqué le Bureau du recensement.

     En termes absolus, 46,2 millions de personnes vivaient "dans la pauvreté" en 2010.

    Europe1 - 13/09/11

     

  • Manifestation contre le retour de Bruno Gollnisch à l'université de Lyon III

    Une quinzaine d'organisations appellent à manifester mercredi contre le retour de Bruno Gollnisch, ancien numéro 2 du Front national, à l'université de Lyon-III après cinq ans de suspension.

    Le député européen, qui avait été écarté de l'université pendant cinq ans après avoir tenu des propos controversés sur les chambres à gaz, est autorisé depuis lundi à reprendre ses cours de langue et civilisation japonaises.

    Le syndicat étudiant Unef, l'Union des étudiants juifs de France, Sos-Racisme, la Ligue des droits de l'homme ne veulent pas laisser "le retour à l'université d'un des leaders du Front National devenir un événement anodin". Les organisations enjoignent Bruno Gollnisch de "présenter toutes ses excuses" pour les propos qu'il a pu tenir ces dernières années et menacent d'en appeler au ministre de l'Enseignement supérieur.

    13/09/11

  • Sarkozy veut un encadrement militaire pour les jeunes délinquants - Est-ce bien le rôle de l'Armée?

     Nicolas Sarkozy a promis mardi 30 000 places de prison supplémentaires d'ici six ans et l'ouverture de centres où des militaires encadreraient des jeunes délinquants. La mise en place de cet encadrement militaire des jeunes délinquants - proposée par le député UMP Eric Ciotti - est une idée que le gouvernement reprendra à l'automne dans son projet de loi sur l'exécution des peines.



    Selon le chef de l'Etat,qui visitait ce mardi le nouveau centre pénitentiaire de Réau en Seine-et-Marne, cette idée doit «permettre que les auteurs de délits puissent accomplir, pendant quelques mois, un service citoyen dans le cadre d'un établissement d'insertion de la défense».

    30 000 places supplémentaires en prison. «Pour assurer une exécution normale des peines d'emprisonnement, la France a besoin de 80 000 places de détention», a lancé M. Sarkozy, «cet effort d'équipement sans précédent devra être achevé en 2017, il nous conduira à créer 30.000 places supplémentaires».

    Au 1er août, la France recensait officiellement 64 052 personnes incarcérées pour une capacité de 56 506 places.

    Encadrement militaire pour les jeunes délinquants. Eric Ciotti avait déclaré fin juillet au «Parisien» qu'il avait déposé une proposition de loi visant à créer une sorte de service citoyen pour les mineurs récidivistes, encadré par d'ex-militaires, une mesure «voulue», selon lui par le chef de l'Etat. La proposition consitait alors à détenir les mineurs délinquants dans des Etablissement Public d'Insertion de la Défense (Epide), une alternative à la prison. Ségolène Royal avait alors revendiqué la paternité de cette idée, appelant la droite à la mettre en place «tout de suite». Dès 2006, la candidate à l'élection présidentielle avait en effet proposé cette idée, raillée à l'époque par Nicolas Sarkozy. «Il n'y a pas besoin de loi, c'est déjà expérimenté, il suffit que cela soit généralisé», estimait-elle.

    20 nouveaux centre éducatifs fermés. Nicolas Sarkozy a également promis l'ouverture de 20 nouveaux centres éducatifs fermés, dont il a visité plus tôt dans la matinée un modèle déjà ouvert à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne). Le chef de l'Etat a notamment pu s'y entretenir à huis clos avec quelques détenus, condamnés à de lourdes peines.

    Dans sa panoplie, le chef de l'Etat a également détaillé quelques nouvelles mesures de lutte contre la récidive. Il a ainsi promis des moyens supplémentaires pour les injonctions de soins destinées aux délinquants sexuels, ainsi qu'un effort pour améliorer la connexion des outils informatiques des différents services de police.

    Il s'agit d'éviter «l'erreur qu'on a connue récemment où il a été décidé de remettre quelqu'un en liberté parce que la dernière infraction n'était pas grave», a-t-il expliqué en allusion à l'affaire Laetitia.
    Source Le Parisien - 13/09/11


  • 650 Tunisiens débarquent à Lampedusa

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    Gardes-côtes italiens - (Cliquez sur la photo)

    11/09/2011 – 18h00
    LAMPEDUSA (NOVOpress) — 
    Quelques centaines de clandestins à Lampedusa ne sont plus un événement, mais ceux-là sont des Tunisiens, de ces Tunisiens qui sont censés ne plus arriver depuis l’accord italo-tunisien du 5 avril dernier. Vous vous souvenez, ce mirifique accord négocié par le ministre Roberto Maroni pour “fermer le robinet” des nouveaux débarquements en échange de la régularisation de 22 000 clandestins déjà arrivés (et que l’Italie comptait bien refiler à la France, mais c’est une autre histoire). Les forces de sécurité tunisiennes s’étaient engagées à contrôler leurs côtes, grâce à des moyens généreusement offerts par l’Italie (six vedettes, quatre patrouilleurs, une centaine de véhicules tout terrain) pour empêcher de nouveaux départs. Accord italo-tunisien dont Maroni répète depuis des mois qu’il fonctionne à merveille et qui était destiné à servir de modèle pour les négociations avec le nouveau gouvernement libyen, sitôt la chute de Kadhafi. Et alors, c’était promis, les débarquements prendraient fin.

    En réalité, les débarquements de Tunisiens n’ont jamais cessé mais ils se faisaient par petits paquets moins spectaculaires, quelques dizaines à chaque fois. Ironiquement et comme il fallait s’y attendre, c’est à présent que Kadhafi est tombé qu’ils retrouvent une ampleur jamais vue depuis plusieurs mois. Dans la nuit de vendredi à samedi est arrivé à Lampedusa un bateau de 66 Tunisiens. Ce n’était que l’avant-garde. Samedi en début d’après-midi, on en a repéré six autres, tous partis de Tunisie, qui étaient alors entre dix milles et quarante milles de l’île. Les gardes-côtes ont été informés… pour qu’ils puissent lancer immédiatement les procédures de sauvetage, qu’alliez-vous croire ? Trois bateaux sont arrivés dans la soirée, respectivement chargés de 80, 66 et 60 clandestins tunisiens, selon la Gazzetta del Mezzogiorno. Mais, selon une dépêche plus récente de l’agence Adnkronos, le dernier bateau, amené à bon port par une vedette des gardes-côtes à 20h30 hier soir, portait 153 Tunisiens, et le total était alors de 400. Le reste était attendu pour cette nuit. Le centre d’accueil prévoit de recevoir 650 clandestins supplémentaires. Ils vont s’ajouter aux 568 déjà présents, lesquels ont multiplié les manifestations violentes ces derniers jours pour protester contre les rapatriements forcés.

    Cette nouvelle vague de débarquements semble avoir eu enfin raison de l’immigrationnisme du maire de Lampedusa, Bernardino De Rubeis, qui se vantait jusque là de « la générosité » et de « l’accueil » de sa commune – tout en réclamant que les clandestins soient transférés au plus vite dans le reste de l’Italie : l’accueil c’est bien, mais surtout chez les autres. Au mois de juin, il avait fièrement posé au côté de la super-people Angelina Jolie dans une vidéo dégoulinante de bons sentiments, venue remercier les Lampedusans « pour avoir maintenu les frontières ouvertes, cela a fait une grande différence. Il y a besoin de plus de tolérance dans le monde ».

    Mais M. le maire en a assez. Il a lancé un nouvel appel à Silvio Berlusconi, cette fois « pour qu’il intervienne immédiatement pour arrêter cette nouvelle vague de débarquements de clandestins en provenance de Tunisie. Il est tout simplement honteux de ruiner l’économie et le tourisme de Lampedusa. Où sont passées les vedettes de la Garde côtière et de la police des frontières qui devraient patrouiller la mer pour éviter l’arrivée de clandestins ? C’est de clandestins qu’il est question ici, et plus de réfugiés qui fuient la guerre civile, comme les Africains sub-sahariens. Ce sont des immigrés économiques provenant d’un pays où il n’y a même plus la révolte de l’hiver dernier. »

    M. le maire de Lampedusa découvre enfin que la mission des gardes-côtes est de garder les côtes. Les mécanismes mentaux des politiciens ont quelque chose de fascinant. Un enfant de douze ans, normalement intelligent et pas trop déformé par l’Éducation nationale, comprend aisément que, plus on « accueille » d’immigrés clandestins, plus il en arrive. Le réservoir est inépuisable.

    Crédit photo : Nicola Licata via Flickr (cc). Vedettes des gardes-côtes italiens

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Lombez (32) : elle accouche au travail et jette son bébé à la poubelle

    Après les aveux ce week-end, d'une jeune mère de famille qui avait accouché sur son lieu de travail la semaine dernière, les gendarmes cherchent le corps du nourrisson qu'elle aurait jeté à la poubelle

     
    L’affaire évoque de douloureux précédents. Mais pour l’instant, les gendarmes gersois sont toujours à la recherche du petit corps. Depuis vendredi et les aveux de la jeune maman, ils retournent, dans des conditions apocalyptiques dûes à la chaleur des derniers jours, la décharge de la communauté de communes de Lombez où cette trentenaire aurait envoyé son bébé.

    Tout a commencé le samedi 3 septembre. Alors qu’elle s’active normalement à son travail, au supermarché discount Aldi de Lombez, la jeune femme ressent les symptômes d’un accouchement imminent. C’est avec l’aide d’une collègue qu’elle met au monde son bébé, dans un local isolé du magasin. C’est cette même collègue qui la raccompagnera chez elle, dans un village entre Lombez et Auch, avant de la quitter rassurée, puisque la jeune mère lui assure que tout va bien et qu’elle a déjà eu des enfants.

    A Lombez, la brigade de gendarmerie, avisée de cet accouchement un peu exceptionnel par le personnel de l’Aldi, entame une vérification de routine. La jeune mère déclare alors que l’enfant va bien. Mais interrogée de nouveau, elle craque et confie que lors de son retour à la maison, elle a laissé l’enfant seul et endormi, le temps d’aller prendre une douche. Et qu’à son retour, le bébé était mort.

    Cette mère de famille de 32 ans aurait alors commis l’impensable en mettant le nourrisson dans un sac plastique, avant d’aller le jeter dans un conteneur à poubelles, à une centaine de mètres de son habitation.

    Forts de ces déclarations, les gendarmes ont aussitôt entrepris des vérifications, mais les poubelles ayant été ramassées déjà deux fois depuis le samedi 3 septembre dernier, ils n’ont rien trouvé dans les conteneurs. Depuis, c’est donc à la décharge qu’ils concentrent leurs efforts. Les gendarmes de Lombez, mais aussi la brigade de recherches, avec le renfort de la brigade canine du Centre d’études de Gramat (Lot) spécialisée dans la recherche de restes humains, ratissent inlassablement le site. Ce soir, ils n’avaient toujours pas trouvé la moindre trace du bébé.

    Quant à la jeune mère, elle a été placée en garde à vue vendredi en fin d’après-midi. Une garde à vue qui a été prolongée, avant son défèrement hier après-midi au pôle d’instruction d’Agen.

    Du côté du parquet d’Auch, on ne croit guère au décès naturel de l’enfant. D’après les premiers éléments d’une enquête «qui ne fait que commencer» insistait tout à l'heure la procureur de la République, Alix Chaumeton, personne n’était au courant de la grossesse de la jeune femme, pas même son mari qui semble pour l’instant être hors de cause. La jeune femme a donc été mise en examen pour homicide volontaire et elle est désormais placée en détention à Agen. Une information judiciaire a été ouverte et les gendarmes travaillent désormais sur commission rogatoire, sous l’autorité du juge d’instruction lot-et-garonnais.

    «Trouver le corps est notre priorité» affirmait ce soir Alix Chaumeton qui ne cache pas son inquiétude quant à la famille de la jeune femme et en particulier ses trois enfants âgés de 5 à 10 ans et scolarisés dans les environs. «On touche à l’intimité d’un couple et d’une famille. Ces enfants doivent être protégés». Il y a cependant fort à parier que cette affaire retentisse bien au-delà des côteaux du Gers.

     Si l’infanticide n’existe pas en tant que tel dans le code pénal (on parle alors d’homicide volontaire sur personne de moins de 15 ans), il reste un tabou puissant.

    Source Sud-Ouest - 12/09/11

  • "Qui sommes-nous?" "Où essayons-nous d'aller?" Fabrice Robert à l'Université de rentrée du Bloc Identitaire

    Chers amis,

    Conclure une université d’été ramène souvent au passage obligé d’un rappel de nos fondamentaux. Qui sommes-nous ? Où essayons-nous d’aller ? Confronté au flux massif, quotidien, de l’écume de l’histoire, de ce qu’on appelle l’actualité, il faut savoir régulièrement lever la tête du quotidien et recalculer notre cap. Il faut savoir penser à l’essentiel.

    Qui sommes-nous ?

    Nous sommes les Identitaires. C’est-à-dire que nous sommes une famille politique de pensée et d’action. Nous ne sommes ni des socialistes, ni des libéraux. Nous avons rompu avec les idéologies mortes qui courent encore comme les poules qui ne savent pas qu’elles n’ont plus de tête. Nous ne sommes pas non plus de simples patriotes car nous savons que le patriotisme est un sentiment et n’est qu’un sentiment. Le patriote est souvent un réactionnaire dans le sens où il réagit à une action qu’il subit, sans pour autant clairement en discerner les causes essentielles. C’est ainsi que l’on peut aimer la France et voter à gauche, que l’on n’en peut plus de l’immigration et voter pour le discours de Sarkozy.

    Cette famille identitaire est toute entière rassemblée autour de nous. Soyons clairs ! En dehors de nous, il peut exister des gens qui se disent identitaires parce que ça fait bien, parce que lorsqu’on n’a pas d’autre imagination que le fantasme du passé, le mieux est encore de copier. Mais n’est pas Identitaire qui veut mais seulement qui le prouve !

    “Qui sommes-nous ? Où essayons-nous d’aller ?” Fabrice Robert à l’UDR du Bloc Identitaire

    Fabrice Robert pendant la conférence

    Être Identitaire, ce n’est pas ronchonner à 50 dans une salle parisienne en disant du mal des américains, des musulmans, des sionistes, des banquiers, des marxistes et des traîtres. Être identitaire ce n’est pas se déguiser une ou deux fois par an pour descendre deux heures sur le pavé et ensuite échanger des photos floutées sur facebook.

    Être identitaire, c’est une attitude de tous les jours, une volonté de chaque instant, c’est se montrer à visage découvert et accepter le risque comme un honneur.

    Être identitaire, c’est aussi sur le fond avoir dépassé les petits égoïsmes nationaux et avoir compris qu’au troisième millénaire, seule la communauté de civilisation prime. Il a sans doute existé à la fin de l’Empire Romain des souverainistes de la Rome seule. Ils ont disparu sans comprendre le monde qui se faisait autour d’eux.

    Dans un monde où l’homme européen est aujourd’hui ultraminoritaire, dans un monde où la Chine et l’Inde alignent près de trois milliards d’hommes, dans un monde où l’Afrique ne connaît pas de transition démographique, le souverainisme est une faute majeure.

    Pour sauver la France, pour que soit transmise l’essence de sa culture particulière, il faut l’Europe. Qu’importe que celle-ci soit entre les mains de nos ennemis ! Qui demanderait la suppression de la France au prétexte qu’elle est dirigée par Sarkozy ? Qui ne comprend qu’avec ou sans Union Européenne, ceux qui nous dirigent veulent la disparition des peuples, des nations, et, au premier chef, la disparition des peuples européens et de l’homme européen ?

    Notamment, face à la crise économique, nous n’accepterons jamais le repli sur la France seule. Face à cette crise, il faut se garder des « ya ka ». La crise économique est la crise d’un système. Vouloir arranger les choses sans toucher au système consisterait à larguer les chaloupes de sauvetage dans la soute du Titanic et non dans l’océan.

    La crise ne doit pas provoquer les égoïsmes nationaux des nations d’Europe. Le réflexe national qui consisterait à se renfermer sur la France seule, avec ses 10 millions d’allogènes, afin soi-disant de ne pas sombrer avec des Grecs ou des Espagnols, ne peut pas être le nôtre.

    La crise doit permettre l’émergence d’une vraie conscience européenne, de même, qu’elle doit permettre de revenir à une vraie conscience française. L’ennemi, c’est l’universaliste ! Il est l’ennemi de l’Europe comme il est celui de la France. Cette idéologie mortifère, aliénante, transforme les êtres humains, avec leur enracinement, avec leur personnalité propre, en des « citoyens du monde », c’est-à-dire des consommateurs of the world.

    C’est là, entre autres, notre travail politique. Incarner la voie vers l’Europe, la voie vers l’avenir de la puissance. Laissons le rabougrissement à ceux qui ne se sentent bien que recroquevillés.

    L’Europe est un mythe. Mais un mythe du Devenir. Il n’est pas une chimère du passé. Ce mythe est une réalité de l’avenir. Ou l’Europe aux Européens, ou bien la France, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne, à tout le monde !

    Ce mythe européen n’est pas un sentiment et un romantisme ou, du moins, il nait d’une triple réalité universelle qui définit la position identitaire. Cette position se caractérise par trois faits majeurs :

    L’impératif du territoire.

    La singularité des peuples.

    La nature comme entité vivante et non comme chose.

    - L’impératif du territoire implique qu’à un sol correspond un seul peuple. Toute autre vision n’est qu’idéologie et viol des réalités. C’est ce qui se passe actuellement en Europe. C’est ce qui nous imposera à court terme des événements dramatiques auprès desquels l’insécurité actuelle n’est rien.

    - La singularité des peuples. La diversité dont on nous parle tant est réelle. Les peuples sont singuliers, les ethnies sont différentes, les civilisations par nature frontières psychiques. Penser que le métissage permet la diversité est un mensonge à usage des bobos et autres bonobos de la pensée. Un Chinois en Afrique ne se comportera jamais à l’égard des Africains comme un Européen. Un Africain, où qu’il soit, se comportera comme un Africain. C’est le propre de la psyché européenne, et son malheur, d’être dans l’empathie et la capacité à se mettre à la place des autres.

    - La nature comme entité vivante. Les principales idéologies du passé – capitalisme, marxisme… – voient le monde comme un lieu à exploiter. Elles ignorent le sacré et l’enchantement du monde. Elles ne fixent aucune limite à la destruction des sols, des océans, des airs.

    Ces trois principes sont, pour nous, fondamentaux. On voit qu’il s’agit de principes au long cours et pas d’un programme présidentiel. L’islam passera, des banques disparaîtront, des empires sombreront, ces principes seront toujours valides.

    Dans le contexte de risques de haute intensité de ce début de siècle, notre mission est de nous préparer au mieux pour y faire face et pour triompher.

    C’est le « où essayons-nous d’aller »

    Je le redis : le mouvement identitaire n’est pas un parti politique. Le parti, c’est le Bloc. Il est notre vitrine, notre outil pour aller à des élections. Il est une étiquette, un moyen. Parmi d’autres.

    Qui sommes-nous ? Où essayons-nous d’aller ? : Fabrice Robert à l’UDR du Bloc Identitaire Le Bloc est à la fois groupe de pression, tête de réseaux, syndicat d’associations et mouvement politique à part entière qui dispose de ses propres particularités.

    Mais à côté du Bloc, il existe des structures politiques locales, bien implantée comme, par exemple, Nissa Rebela ou Jeune Bretagne, la Ligue du Midi ou ADA. Il existe aussi le réseau des groupes jeunes, celui des maisons de l’identité. Il existe des blogs, des associations et des outils de réinformation comme Novopress.

    C’est ça le mouvement identitaire. C’est ce foisonnement toujours en mouvement qui fait notre force politique, métapolitique, militante, financière. Nous devons rester souples et manouvriers, trouver le juste équilibre entre nécessaire structuration et logique de réseau. Ne comptez pas sur moi ni pour le Léninisme, ni le Stalinisme. Le centralisme est par essence mortifère. Certes, il faut des chefs. Mais il en faut à tous les échelons et dans tous les secteurs du combat. Et c’est en respectant au maximum la règle du réseau que nous le développerons au-delà de nos propres frontières politiques.

    Le parti de type XXème siècle est obsolète. A la limite, il est encore adapté pour les partis du Système. Mais nous ne battrons pas le système avec ses propres outils.

    Quelle est notre tactique ?

    D’abord, nous faire connaître toujours davantage. Notre taux de notoriété est encore faible. La majorité de nos concitoyens ne nous connaît pas. Se faire connaître passe par internet. Encore faut-il nourrir la toile de faits et d’actions. L’apéro saucisson-pinard a plus fait pour nous qu’une distribution d’1 million de tracts. Nous allons donc très bientôt lancer de nouvelles actions d’envergure de ce type.

    Ensuite, augmenter notre puissance de feu financière. En deux ans, nous sommes passés des finances d’un groupe de province à celles d’un petit parti national. Je pense que le meilleur reste à venir.

    N’oublions jamais que sans argent, nous ne pourrons mettre en place la communauté militante apte à faire face aux combats – politiques ou non politiques… – qui nous guettent.

    Enfin, développer cette communauté. Numériquement. Mais aussi sectoriellement. Nous avons les maisons de l’identité. Il en faut plus. Nous devons mettre l’accent sur le développement associatif. Nous devons développer les fédérations du Bloc identitaire sur l’ensemble du territoire. Nous lançons une maison d’édition. Nous avons besoin à terme de créer des écoles, des colonies de vacances pour nos enfants. Nous avons besoin de créer des zones de libération.

    Voila nos buts de guerre politique. Ils sont à l’échelle d’une génération. Nous devons agir dans l’urgence, être prêts à tout, et, en même temps, penser au cycle long.

    C’est dans ce contexte que nous avons placé notre candidature à la candidature présidentielle. Une candidature dans laquelle nous n’avons pas jeté toutes nos forces, ni militantes, ni financières. Arnaud vous a dit ailleurs les raisons qui nous conduisent à arrêter cette candidature. Je n’y reviendrai pas si ce n’est pour vous dire que nous sortirons de ce dossier comme nous y sommes entrés. La position du mouvement identitaire aux Présidentielles sera décidé par la consultation de nos membres. Sous deux mois, tout le monde pourra donner son avis. Abstention, pas de consignes de vote, vote blanc, vote pour tel candidat… Toutes les positions peuvent être validées et offrir un intérêt Je ne peux et ne veux préjuger du résultat et c’est la raison pour laquelle je ne vous dirai pas aujourd’hui quelle est ma position personnelle.

    Mais ce que je peux vous affirmer, c’est que quelle que soit la position majoritaire, nous ne changerons pas un atome de l’ADN identitaire.

    Depuis maintenant la convention d’Orange, tout prouve une montée en puissance de notre mouvement. Nous ferons plus que doubler cette année notre nombre d’adhérents, nous multiplions par cinq les dons recueillis. Certes, il reste tant à faire… Mais ce qui a été réalisé, au milieu de difficultés inouïes, en partant du néant, est le gage que nous sommes capables d’aller beaucoup plus loin et de devenir le mouvement de libération dont notre peuple a besoin.

    Nous avons déjà réalisé de grandes choses. Nous allons en réussir de plus grandes encore. En nous battant ! En restant des militants ! En nous engageant !

    N’oublions jamais que tout ne dépend que de notre volonté, de notre engagement, de notre patiente résolution. Face à ceux qui disent : « tout est foutu », nous affirmons : « tout est en train de se faire ». Attirons à nous les meilleurs, les hommes de caractère, sachons conserver l’esprit de camaraderie, soyons imperturbables dans les épreuves et joyeux dans le combat, alors, aux côtés des autres forces identitaires du continent, nous serons dignes d’être les chefs de la France et de l’Europe retrouvés.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

    12/09/11

  • VIDEO - 11 Septembre: 10 ans d'une phénoménale arnaque

    http://www.contre-info.com/11-septembre-10-ans-dune-phenomenale-arnaque

    L’arnarque du 11 septembre aura permis de :

    - mener des guerres illégitimes pour des motifs idéologiques et financiers.
    - accentuer la marche vers la mondialisation.
    - augmenter l’allégeance des gouvernements démocratiques en place.
    - augmenter les pouvoirs de surveillance et de répression envers les populations, sous couvert de sécurité : par exemple Patriot Act aux Etats-Unis, lois Perben I & II en France.

    Croyez-vous à la version officielle du 11 septembre 2001 ?

    • Non (85%)
       
    • Oui (8%)
       
    • Ne se prononce pas (7%)

    A voir absolument!

    Contre-info.com - 12/09/11

  • Marine Le Pen à 19% sans avoir débuté sa campagne

    Dans l’émission « Les éditorialistes » du 12 septembre 2011, le sujet d’un des débats était consacré au Front National avec pour question : « Marine Le Pen est-elle fréquentable ? » La présentatrice relève les thèmes de l’insécurité et de l’immigration du discours tenu par Marine Le Pen lors des « Journées d’été de Marine Le Pen », son attrait auprès des français dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012.

    Judith Waintraub, journaliste au Figaro, souligne les nouvelles têtes autour de Marine Le Pen : « On note l’arrivée de Paul-Marie Couteaux, un chevènementiste souverainiste dans le camp des recrues les plus fraîches de Marine Le Pen aux côtés de Gilbert Collard. Il y a Yves Bertrand, c’est le patron des RG qui ne s’est pas rallié mais qui dans Causeur [...] explique finalement que Marine Le Pen est tout à fait respectable … ».

    Muriel Gremillet, journaliste à Causeur.fr, pour le mot de la fin déclare que « Marine Le Pen revient aux fondamentaux et en même temps elle n’a rien besoin de faire parce qu’elle a fait campagne contre l’euro et la sortie de l’euro, là on voit que la Grèce commence à s’éloigner de l’euro. [...] Et par ailleurs quand j’entends les commentateurs dire « elle commence à se tasser ça devient vraiment difficile pour elle », honnêtement elle est toujours à 19 %, elle n’a pas commencé la campagne ! »

    NPI - 12/09/11

     

  • Guéant s'en prend aux Comoriens de Marseille, qui seraient la cause de beaucoup de violences

    2011091121111722.jpg Guéant Marseille.jpg

    L'onde de choc n'a pas tardé à secouer Marseille. Interrogé, hier soir, sur les racines de l'insécurité dans la cité phocéenne, lors du Grand jury RTL -LCI-Le Figaro, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, vient d'avoir cette phrase : "Il y a une immigration comorienne importante qui est la cause de beaucoup de violences. Je ne peux pas la quantifier."

    Les réactions indignées se sont multipliées à Marseille. Des représentants des quelque 80000 Comoriens d'origine y résidant, mais aussi des élus. À gauche, Patrick Mennucci, leader de l'opposition socialiste, se dit "stupéfait. Sur quelles statistiques se fonde Claude Guéant pour stigmatiser une population qui fait partie de l'histoire et l'avenir de la ville ? Comme toujours, la droite désigne un bouc émissaire."

    Consternation aussi, chez l'écologiste Sébastien Barles qui voit dans "cette injure raciste scandaleuse une volonté de courir derrière le FN" et chez le communiste Frédéric Dutoit qui dénonce "des statistiques ethniques condamnables" et demande "la démission d'un ministre qui déshonore la République".

    Sénatrice-maire PS dans les quartiers Nord, où vit une grande partie de la communauté comorienne, Samia Ghali pousse l'analyse. "La ghettoïsation de certaines communautés est une réalité ici. Les conditions de vie et de scolarisation sont déplorables. De là à dire qu'une d'entre elles est la cause des violences, c'est un raccourci scandaleux. Beaucoup de jeunes Comoriens subissent au quotidien les violences des autres, quelle que soit leur origine."

    Claude Guéant a multiplié les sorties du genre ces derniers mois. En mars, sur Europe 1, il notait que "les Français ont parfois le sentiment de ne plus se sentir chez eux." En mai, il expliquait, à propos de l'immigration, ne pas avoir "besoin de maçons, de serveurs de restaurants. Il y a en France de la ressource parmi les Français."

    En rentrant hier des Journées d'été du Front national à Nice, l'élu marseillais au Conseil régional Stéphane Ravier se demandait en souriant "quelle mouche a piqué monsieur Néant (sic) ? Jamais Le Pen n'a stigmatisé une communauté. On est au-delà du caricatural."

    À l'UMP, en revanche, personne n'avait envie de rire. "En tant que maire, souligne Jean-Claude Gaudin, j'ai toujours oeuvré pour faciliter la coexistence des nombreuses communautés immigrées dans notre ville, même si cela engendre parfois des problèmes difficiles à gérer. Pour autant, on ne peut pas incriminer une communauté en particulier."

    Même ton chez son premier adjoint, le député Roland Blum qui estime que "c'est une erreur profonde de stigmatiser une communauté qui a toute sa place dans notre ville." Encore présent samedi à Marseille, Claude Guéant est venu quatre fois depuis le mois de mai. Pas sûr qu'il se risque de sitôt à s'inviter sur le Vieux-Port.

    François TONNEAU-  La Provence - 12/09/11

     

  • Accident nucléaire dans le Gard: l'urgence de la sécurisation des centrales

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’accident qui a fait un mort et quatre blessés dans l’installation nucléaire Centraco, située près du site de Marcoule (Gard) illustre la dangerosité de cette énergie et la nécessité d’envisager une sortie progressive et réfléchie du nucléaire

    Comme l’avait déjà demandé le Front National après la catastrophe du Fukushima au Japon, il appartient à l’Etat de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour sécuriser les 58 centrales nucléaires françaises et d’investir dans les recherches pour traiter les déchets nucléaires, recherches arrêtées sous la pression des Verts.

    Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle, rappelle la volonté du Front National d’engager la diversification énergétique de la France notamment par un programme ambitieux de recherche sur l’hydrogène.

    NPI - 12/09/11

  • Pour Les Echos, une salle pleine à craquer est "forcément clairsemée"!

    Article et photos:  http://www.nationspresse.info/?p=143555

    NPI - 12/09/11