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  • Procès Chirac : relaxe générale requise - Me Kiejman est satisfait et parle de La Fontaine

     Procès Chirac : relaxe générale requise par BFMTV

    La relaxe générale. C'est ce qu'a requis mardi le parquet contre l'ensemble des prévenus de l'affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris, dont évidemment Jacques Chirac. « Je demande la relaxe pour l'ensemble des prévenus pour les faits qui leur sont reprochés, a ainsi déclaré le procureur Michel Maes après deux heures et demi de réquisitoire. (…) Si vous deviez considérer que le délit est constitué, vous prononcerez une dispense de peine. » 

     

     

    Évoquant « un manque de rigueur administrative » et une éventuelle « dilution des responsabilités », l'autre représentante du ministère public, Chantal de Leiris, a considéré qu'il n'y avait pas, en l'espèce, « de système frauduleux », « encore moins mafieux ». « On est loin des affirmations péremptoires de l'ordonnance de renvoi » a-t-elle affirmé.  

    La relaxe a également été requise dans l'autre volet de l'affaire, instruit à Nanterre. 

    En septembre 2009 et octobre 2010, déjà, au terme de l'instruction des deux volets de l'affaire, le ministère public avait requis un non-lieu général. Ses deux représentants, Michel Maes et Chantal de Leiris, n'ont donc pas soutenu l'accusation depuis le début du procès le 5 septembre, se contentant de poser de rares questions aux témoins.

    Cette relaxe requise est un rayon de soleil dans un ciel très sombre pour l'ancien président de la République, accusé depuis quelques jours par Robert Bourgi d'avoir bénéficié de fonds occultes de chefs d'état africains pour financer sa campagne électorale de 2002. L'homme a depuis, maintenu ses accusations. Robert Bourgi explique : « J'étais le porteur de valises de Chirac puis Villepin », « j'ai vu Chirac et Villepin compter les billets".

    Source Actu France -Soir - 20/09/11

  • Carla Bruni est impatiente d'accoucher

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    Elle était devenue la star des journaux people américains qui guettaient chaque année ses apparitions dans les rues de New York ou les soirées de gala, au bras du chef de l’Etat. Mais cette fois, -Sarkozy n’accompagnera pas son mari aux Etats-Unis. Pas question de prendre l’avion pour un voyage qui pourrait se révéler risqué, alors que la première dame est désormais enceinte d’environ huit mois.

    Selon nos informations, ses médecins lui ont d’ailleurs recommandé du repos et la plus grande prudence dans les jours qui viennent.

     

    « Elle a 43 ans, c’est une grossesse tardive, ça fait très longtemps qu’elle essayait d’avoir un second enfant. C’est tout à fait normal de s’entourer d’un maximum de précautions », confirme une de ses amies d’enfance. Carla Bruni-Sarkozy est apparue quelques minutes, samedi à l’Elysée, pour saluer les premiers visiteurs des Journées du patrimoine.

    Quelques jours auparavant, elle avait rencontré les élèves boursiers de sa fondation dans une galerie, place des Vosges, à deux pas du domicile de… DSK. Autographes, photos, la première dame a passé une heure avec les élèves, avant de s’asseoir sur une chaise et de leur livrer quelques confidences. « Franchement, je n’en peux plus : je dois rester assise ou allongée la plupart du temps. Ne plus fumer, ni boire de vin. J’ai hâte que ça se termine. A partir du 1er octobre, cela peut intervenir n’importe quand. D’ailleurs, mon premier enfant, Aurélien, est arrivé avant terme. C’est long. Mais j’en avais tellement envie. »

    En attendant, « Carla continue de jouer de la musique, de composer. Elle lit, regarde des films, téléphone longuement à ses amis », raconte une proche, qui précise que « normalement, elle doit accoucher autour du 30 octobre ».

    Fille au garçon? L’épouse du chef de l’Etat maintient qu’elle « ne [veut] pas savoir » et qu’elle n’autorisera « aucune photo » du bébé. Jusqu’à son accouchement, sans doute à la clinique de la Muette, dans le XVIe arrondissement de Paris, la première dame ne devrait plus apparaître beaucoup en public.

    A l’Elysée, la consigne — pour l’instant — est d’en faire le moins possible. « C’est un événement d’ordre privé », souligne un conseiller du président, qui ajoute : « La naissance ne sera d’ailleurs pas annoncée officiellement, aucun communiqué n’est prévu. »

    Source Le Parisien - 20/09/11

  • Marseille, affaire Guérini : Jean-Marc Nabitz interpellé à son retour d'Israël

    Lire l'article: http://www.laprovence.com/article/a-la-une/affaire-guerini-ex-cadre-du-cg-13-jean-marc-nabitz-interpelle-a-son-retour-disrael

    La Provence - 16/09/11

  • Tristane Banon se dit "broyée" mais prévient DSK qu'elle ira jusqu'au bout

    http://www.jeanmarcmorandini.com/article-211897-tristane-banon-dsk-m-a-broyee-mais-j-irai-jusqu-au-bout-regardez.html

    + VIDEO 

    19/09/11

  • Le Sofitel a fourni beaucoup de documents aux avocats de DSK

    L'ancien patron du FMI a insinué que la direction de l'hôtel avait fourni aux avocats de Diallo des données qu'on lui a refusées. Or de nombreuses pièces lui ont été officiellement communiquées par le groupe Accor.

    «Un piège, peut-être. Un complot, nous verrons» : en quelques mots prononcés au milieu d'une interview très calibrée, Dominique Strauss-Kahn a cherché à instiller le doute et à rouvrir la boîte de Pandore des spéculations. Les termes «piège», «complot» ne sont pas anodins. Volontairement, ils laissent la part belle aux suppositions sur de présumées «zones d'ombre» dans le scandale de Manhattan. 

    Dimanche soir, l'invité de Claire Chazal a livré une piste, visant, sans les nommer, le Sofitel de New York et le groupe Accor, propriétaire de l'hôtel. Que leur est-il reproché indirectement ? D'avoir fourni aux avocats de Nafissatou Diallo les données enregistrées par les cartes magnétiques du Sofitel en pleine enquête, en juin dernier. «Je me demande pourquoi on a choisi d'aider celle qui m'accusait…», s'est ainsi interrogé DSK en ajoutant que de telles informations avaient été refusées à sa défense. 

    Sur ce point, le Sofitel s'en tient à sa version. «Tout au long de la procédure pénale, la direction du Sofitel New York a uniquement collaboré avec le bureau du procureur et n'a pas apporté plus d'informations aux avocats de la plaignante qu'aux avocats de l'accusé», assurait lundi au Figaro une porte-parole de la direction du groupe Accor à Paris. Depuis que l'affaire a éclaté, Accor affirme avoir eu une attitude transparente et n'avoir, par exemple, pas prévenu les autorités françaises avant d'alerter le NYPD (New York Police Department) sur l'agression dénoncée par la femme de chambre. Réfutant ainsi totalement les rumeurs d'un «feu vert» donné par Paris, voire par l'Élysée, à la chute de l'adversaire probable de Nicolas Sarkozy à la présidentielle.

    Une thèse «ridicule»

    Dès le 14 mai, jour de l'arrestation de DSK à l'aéroport Kennedy, la ligne du leader mondial de l'hôtellerie semble avoir été arrêtée au plus haut niveau : dans cette affaire ultrasensible, coopération pleine et entière avec la police new-yorkaise et le procureur Vance, pas question de livrer des informations à l'un ou l'autre camp. Mais à New York, les avocats de DSK comme ceux de Diallo cherchent alors à tout prix à nourrir leurs dossiers respectifs. En mai et juin, les premiers auraient ainsi demandé au Sofitel de leur communiquer des documents. Fin de non-recevoir.

    Mes Brafman et Taylor seraient alors revenus à la charge, s'appuyant cette fois sur plusieurs requêtes judiciaires (des «subpoenas») leur permettant d'obtenir gain de cause. De nombreuses pièces leur sont alors officiellement communiquées. Dont, vraisemblablement, les enregistrements des caméras vidéo de l'hôtel puisque l'ancien ministre a assuré dimanche que les images prises dans le lobby, le 14 mai, prouvaient qu'il ne fuyait pas l'hôtel. Côté Diallo, Me Thompson n'a apparemment pas sollicité l'établissement de Times square. «Le Sofitel leur (aux avocats de DSK) a donné quelque 450 pages de documents qu'ils ne nous ont pas transmis», a précisé lundi l'avocat.

    Le rapport du procureur Vance, comme l'a souligné dimanche DSK, indique, lui, que les données des cartes magnétiques des chambres ont été fournies «à l'avocat de la plaignante par quelqu'un d'extérieur au parquet». Une fuite aurait donc alimenté Kenneth Thompson. Peut-être. À la limite, la question peut sembler accessoire. Il n'empêche, l'ancien ministre illustre son hypothèse du «complot» par cet exemple.

    Les cartes magnétiques du Sofitel ont, certes, eu leur importance dans les investigations menées à Manhattan. Elles ont notamment donné le laps de temps (12 h 06-12 h 26 au maximum) pendant lequel la femme de chambre s'est trouvée dans la suite 2806 occupée par l'ex-directeur du FMI. Et elles ont également illustré les versions changeantes de l'employée du Sofitel sur ces faits et gestes après sa «relation précipitée», selon les termes du procureur, avec DSK.

    De New York, Me Thompson ne s'est pas privé lundi d'ironiser sur cette thèse «ridicule» d'un complot et a répété, sur i-Télé, que ni sa cliente, ni lui ne savait qui était Dominique Strauss-Kahn avant son arrestation.

    Source Le Figaro - 19/09/11

  • DSK à la télévision: Me Kenneth Thompson dénonce une "blague"

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    L’avocat new-yorkais de Nafissatou Diallo a qualifié lundi de "blague" la première interview de Dominique Strauss-Kahn et s’est dit déterminé à faire aboutir la procédure civile en allant au besoin jusqu’à Paris pour y recueillir la déposition de DSK.

    "Ce n’était pas une interview, c’était un coup publicitaire. Tout était préparé, c’était une blague", a déclaré Me Thompson, qui défend la femme de chambre guinéenne accusant l’ancien patron du FMI de viol.

    Dimanche soir sur TF1, Dominique Strauss-Kahn a été interrogé par une "amie de (sa femme) Anne Sinclair", a-t-il souligné dans un entretien. La journaliste Claire Chazal "lui a posé des questions faciles".

    "Des millions de personnes voulaient savoir et ne savent toujours pas quelle est sa version de ce qui s’est passé" entre lui et Nafissatou Diallo le 14 mai, a ajouté M. Thompson. "Comment a-t-il pu convaincre une femme qu’il n’avait jamais rencontrée d’avoir une relation sexuelle de neuf minutes dans une chambre d’hôtel ?" s’est-il interrogé dans ses luxueux bureaux de la 5e avenue.

    L’avocat n’a pas caché sa déception après l’abandon de la procédure pénale le 23 août, dénonçant un procureur qui selon lui "n’a pas eu la volonté de mener cette affaire au procès". "Si Dominique Strauss-Kahn avait été un chauffeur de bus de Brooklyn, vous pensez qu’ils auraient abandonné après avoir obtenu une inculpation ? Non", a-t-il lancé.

    Il a rappelé que le procureur avait lui-même évoqué au début de l’affaire des "preuves substantielles". Et l’avocat a affirmé que Mme Diallo n’avait jamais varié dans son récit concernant ce qui se serait passé dans la suite du Sofitel.

    Me Thompson s’est dit "impatient" d’interroger sous serment Dominique Strauss-Kahn, dans le cadre de la procédure civile qui va réellement commencer fin septembre.

    "Il devra déposer ici, dans nos bureaux", a-t-il dit. "Et s’il ne vient pas, nous irons à Paris prendre sa déposition, et cela ne sera pas fait par une amie d’Anne Sinclair, mais par moi ou mon associé Doug Wigdor", a précisé M. Thompson. "Nous n’abandonnerons pas l’affaire, nous la conduirons au procès", a-t-il ajouté.

    "Nous allons prendre les mêmes preuves et nous allons en utiliser d’autres, de femmes qui nous ont contactés", a-t-il ajouté.

    Dans la plainte au civil déposée le 8 août, Mme Diallo demande des dommages et intérêts pour l’attaque "violente et sadique" dont elle a dit avoir été victime.

    Me Thompson s’est indigné de "l’interprétation" faite dimanche par Dominique Strauss-Kahn du rapport du procureur Cyrus Vance, que l’ancien ministre a cité une dizaine de fois.

    "Lisez le rapport. Le rapport ne dit pas qu’il est innocent, le rapport dit que le procureur a décidé d’abandonner les poursuites parce qu’il devait prouver" au delà du doute raisonnable ce qui s’était passé, a fait valoir l’avocat.

    Le procureur a demandé le 23 août le classement de la procédure pénale, expliquant que Nafissatou Diallo, 32 ans, ne pouvait être considérée comme un témoin crédible, ayant menti à de nombreuses reprises aux enquêteurs sur son passé et sur les événements "entourant" sa rencontre avec DSK. Il avait ajouté que si l’enquête avait établi une brève relation sexuelle entre elle et l’ancien patron du FMI, elle n’avait pas pu établir de manière indépendante qu’il s’agissait d’une relation forcée comme l’affirme Mme Diallo.

    Quatre mois après l’incident, celle-ci n’a pas repris son travail.

    "Elle est toujours en dépression", a déclaré son avocat, ajoutant qu’elle n’avait qu’une envie : "retourner travailler au Sofitel dès qu’elle le pourra. Elle y travaillait depuis plusieurs années et n’avait jamais eu le moindre problème avant le 14 mai", a-t-il ajouté.

    Source LCP - 19/09/11

  • Israël: un homme enceinte accouchera d'ici fin novembre

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    Thomas Beatie, transexuel et premier homme enceinte de l’histoire d'Israël.

    Les Israéliens connaissent parfaitement cette expression : « rak baaretz », ce qui signifie « cela ne peut arriver qu’en Israël ». Je n’en ai pas la certitude, mais je pense qu’un groupe de médecin a dû réagir de la sorte en voyant arriver à l’hôpital, ce matin, un homme enceinte ! Par Antoine Chatrier. Source : « JSSNews ».



    L'HOMME ENCEINTE EST UN TRANSEXUEL ISRAÉLIEN

    Le patient est un Américain qui a subi une opération de changement de sexe aux États-Unis… Il a aujourd’hui tout d’un homme : sa pilosité et sa masse musculaire… Mais il a gardé son sexe de femme et ses organes reproducteurs féminins.

    La « coccinelle (nom hébreu donné aux transsexuels ) » devrait accoucher d’ici fin novembre 2011. Ce patient devient aujourd’hui le premier homme ou « transgenre » à être enceinte dans l’histoire du pays. Marié avec une femme (une vraie) et travailleur social « il donne des conseils d’éducation sexuelle  aux adolescents », il est très connu pour son combat en faveur des « homosexuels ».

    En 1998, Dana Internationale devenait la première « transgenre » à gagner le concours de l’« eurovision ». A sa naissance, l’Israélienne Dana Internationale s’appelait Yaron Cohen.

     

     

  • Il y a 30 ans: abolition de la peine de mort en France

    Lire sa biographie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Badinter

    Le projet de loi abolissant la peine capitale, présenté par Robert Badinter, fut adopté par l’Assemblée nationale le 18 septembre 1981 (par la majorité de gauche mais aussi certaines voix de droite dont celles de Jacques Chirac et de Philippe Séguin), puis par le Sénat le 30 septembre 1981.
    Robert Badinter, avocat d'origine juive russe né en 1928, fut l’artisan majeur de cette petite révolution judiciaire (avec François Miterrand, dont ce fut l’une des premières mesures), qu’il avait entamée en sauvant de la guillotine Patrick Henry. Ce dernier avait assassiné un enfant de 8 ans, qu’il avait kidnappé en demandant une rançon. Son procès s’est ouvert en 1977 et le tueur fut condamné à la prison à vie au lieu de la peine capitale. Bien sûr, sa « perpétuité » n’atteint pas son terme et pris fin en 2001 alors que le détenu n’avait que 48 ans.

    La traditionnelle pyramide des peines lourdes fut décapitée avec l’abolition de la peine de mort, qui fut prise contre l’avis majoritaire des Français à l’époque ! En effet d’après des sondages d’octobre 1981, 62% des Français voulaient le maintien. Telle est la démocratie…

    Aujourd’hui, ce sont des centaines de milliers de bébés qui sont tués dans le ventre de leur mère, de nombreux Français (à qui l’on interdit de s’armer et se défendre) livrés aux criminels, et un degré de barbarie rarement atteint dans ce pays…

    Contre-info. com - 19/09/11

  • Libye: les forces kadhafistes revendiquent la capture de militaires français

      

    Sur le front de guerre, les combattants du CNT tentaient d’avancer dans Syrte, l’un des dernier bastion des troupes loyalistes de Kadhafi. Et il n’y a eu aucun progrès dans la bataille pour conquérir la ville de Bani Walid. 

    Les forces de CNT ont reconnu avoir subi de lourdes pertes dans les combats de dimanche, avec au moins cinq morts et 14 blessés. 

    Les blessés ont été soignés dans un hôpital de campagne Harawa, près de Amra, le plus grièvement blessé devant être transféré en ambulance à l’hôpital de Ras Lanouf dans l’est de la Libye. 

    « Nous avons gagné plusieurs batailles contre les collaborateurs de l’OTAN et avons réussi à les pousser hors de Bani Walid et de Syrte », a déclaré Moussa Ibrahim, porte-parole de Kadhafi, joint par téléphone sur la chaîne de télévision Arrai basée en Syrie. 

    Ibrahim a déclaré que les forces de Kadhafi avaient capturé un groupe de 17 « mercenaires » à Bani Walid. 

    « Ce sont des experts techniques, et ils y a parmi eux des officiers.

     

    La plupart d’entre eux sont français, l’un d’eux est d’un pays asiatique qui n’a pas été identifié, deux sont britanniques et un qatari, » a-t-il dit. 

    Ibrahim a annoncé qu’ils seraient plus tard exhibés à la télévision, mais il n’a pas donné plus de détails. 

    Il n’a pas été immédiatement possible de vérifier les affirmations d’Ibrahim. Le ministère français des Affaires étrangères a déclaré qu’il n’avait aucune information à ce propos. 

    L’OTAN, les responsables français et britanniques avaient nié samedi un rapport de la télévision Arrai selon quoi certains soldats de l’OTAN avait été capturés par des loyalistes pro-Kadhafi. 

    Il est connu que des forces spéciales occidentales sont sur le terrain en Libye et assurent une liaison avec les anti-kadhafistes. Des entreprises de sécurité privées ont également aidé les forces anti-kadhafistes, selon les informations publiées par des médias occidentaux. 

     
    Source France éternelle - 19/09/11 
     

  • Double meurtre de Maurepas: Benyahia Lezzaz est resté 8 heures avec les victimes

    Un Algérien de 32 ans, écroué pour avoir torturé et tué un couple de retraités à Maurepas (Yvelines) début septembre, a déclaré être resté huit heures avec les victimes le jour des faits, selon le procureur de la République de Versailles, Michel Desplan.

    Resté au domicile des victimes de 13 h à 21 h

    « Benyahia Lezzaz a indiqué être arrivé à 13 h le jeudi (1er septembre) » au domicile des victimes « et être reparti à 21 h », a dit M. Desplan lors d’une conférence de presse, précisant que l’homme avait agi seul. Selon les premiers éléments de l’enquête, le trentenaire, venu chercher du courrier chez les retraités, s’est emporté après avoir reçu une lettre de son avocat lui réclamant des honoraires.

    Le ton est monté avec les personnes âgées et le jeune homme a pris une bouteille pour frapper la vieille dame. Il s’est ensuite emparé d’un couteau de cuisine pour frapper le septuagénaire à plusieurs reprises.

    L'homme est parvenu à obtenir le code de la carte bancaire du couple, qu’il a utilisée à plusieurs reprises le lendemain, jour de la découverte des corps dans leur modeste pavillon de Maurepas, près de Trappes (Yvelines).

    Les deux retraités avaient été retrouvés ligotés avec du fil de fer. L’autopsie a révélé que le couple a été torturé, avant d’être égorgé.

    Les victimes lui ont ouvert la porte sans méfiance

    Aucune effraction n’avait été constatée au logement du couple, anciens employés de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) âgés de 72 et 74 ans. Le pavillon avait été en revanche complètement fouillé.

    Le couple avait sympathisé avec le jeune homme « plusieurs mois » auparavant, le vieil homme parlant l’arabe. Les septuagénaires réceptionnaient son courrier pour faciliter ses démarches administratives afin d’obtenir un titre de séjour. « Il les appelait « papy » et « mamy », donc les victimes lui ont ouvert leur porte sans aucune méfiance », a ajouté le procureur.

    Selon le directeur de la police judiciaire de Versailles, Philippe Bugeaud, l’auteur présumé n’était connu ni de la police ni de la justice. « Il vivait de petits boulots et résidait occasionnellement avec son père dans un foyer à Coignières » (Yvelines), a-t-il précisé.

    Pour expliquer son passage à l’acte, le jeune homme a dit aux enquêteurs avoir pris des médicaments peu avant les faits. « Mais les cachets n’ont pas été retrouvés », a poursuivi M. Bugeaud.

    Le suspect, interpellé vendredi soir à l’aéroport d’Orly en provenance de l’Algérie, a été mis en examen pour « assassinats » ainsi qu’« actes de torture ou de barbarie sur des personnes particulièrement vulnérables » et écroué dimanche soir.

    Ouest-France - 19/09/11

  • Ne pas regarder TF1 hier soir était une réaction de bon goût, mais plus encore...

     

    Communiqué de l’Institut du Pays libre

    Ne pas regarder TF1 hier au soir, c’était bien sûr une réaction de bon goût, mais plus encore une affirmation de liberté, un devoir de résistance à un insupportable conditionnement médiatique !

    Depuis un an déjà, la petite chrétienne pakistanaise Asia Bibi subit le long martyre de son atroce enfermement dans l’indifférence la plus générale. Mais depuis des jours, 24 h sur 24, toute la machinerie radiophonique et télévisuelle du système de domination des « alpha-plus » a fonctionné pour conditionner les « bêta-moins » à regarder et écouter par millions l’émission de Claire Chazal pour apitoyer le monde sur la persécution subie par monsieur Déesseka et lui donner amplement la parole.

    Cette indécente émission, orgueilleuse et dominatrice, a été concoctée, exigée, commandée par la grande maîtresse de la schlague médiatique que fut et demeure Anne Sinclair, épouse Déesseka.

    Alternant avec ses appels pour « la fête de l’Huma », (le rouge journal de la plus longue collaboration avec le plus grand et le plus long système de torture et d’extermination que le monde ait connu), Yvan Levaï, l’époux précédent d’Anne Sinclair, faisant claniquement bloc, usait de tout l’art de sa dialectique et de sa science de fabrication de l’apitoiement pour inciter les français à être tous des téléspectateurs de cette émission.

     

    À son exemple, au fur et à mesure de l’approche du grand événement, ont battu toujours plus les tambours médiatiques de l’armée des ondes sinclairo-gengiskhanesques. Hier, au fil des heures d’une longue autoroute, je vérifiais qu’il n’y avait pas de bulletins dits d’information sans les incessantes alertes à la mobilisation pour le grand événement télévisuel du soir.

    Ainsi, chaque quart d’heure, inlassablement, les muezzins de France-Info lançaient leurs appels pour que tout le monde soit bien le soir devant son poste de mobilisation citoyenne. Par un formidable et certes fascinant processus d’inversion des valeurs, tout le monde était appelé à s’émouvoir devant l’héroïsme exemplaire du couple d’Anne et de Dominique.

    Les braves ploucs et crétins socialistes allaient encore pleurer dans leurs chaumières sur les malheurs de leurs généreux milliardaires de la Place des Vosges et autres lieux, si frappés par la méchanceté indécente d’une noire diablesse de femme de chambre. Pour beaucoup de bons camarades, cette dernière, sans doute plus inspirée par le vaudou que par l’islam, aura été l’instrument d’un complot, d’une atroce machination sofitellement concoctée dans une diabolique intrigue.

    Mais, fort heureusement, est venue au secours de la cause du couple humilié, du mari persécuté et de la femme fidèle, la blanche fée Claire Chazal.

    Trêve d’ironie. Ne pas regarder cette émission, c’était selon moi un acte de résistance au bombardement médiatique. C’était le choix de la résistance et de la liberté. C’était celui de Moïse contre les adorateurs du Veau d’Or. C’était celui de l’esprit public français contre les Baal-Moloch médiatiques, c’était même le plaisir du mot de Cambronne pour refuser l’immonde totalitarisme idéologique d’anti-culture, de désinformation et d’abêtissement, dont le néo-totalitarisme abreuve les consommateurs de médias pour les soumettre toujours plus à l’insupportable domination du clan des « alpha-plus » sans vergogne.

    NPI - 19/09/11

  • Mahmoud Abbas: " C'est devenu l'enfer "

    NEW YORK (Reuters) - Mahmoud Abbas a confié lundi que "c'était devenu l'enfer" depuis sa décision de demander la reconnaissance d'un Etat palestinien par l'Onu, une initiative rejetée par les Etats-Unis et Israël.

    Le président palestinien a en outre indiqué que les Etats-Unis et l'Union européenne prévoyaient une "situation difficile" après le dépôt de la reconnaissance vendredi prochain.

    "Jusqu'à quel point, nous le saurons bientôt", a déclaré le chef de l'Autorité palestinienne à des journalistes à bord de l'avion qui faisait route vers les Etats-Unis.

    Face à l'impasse des négociations de paix avec Israël, l'Autorité palestinienne, qui dispose actuellement d'un statut d'observateur aux Nations unies entend demander la reconnaissance d'un Etat dans les frontières de 1967 avant la Guerre des Six-Jours, et l'occupation par Israël de la Cisjordanie et de Jérusalem-Est.

    L'octroi d'une reconnaissance d'Etat de droit requiert l'approbation du Conseil de sécurité de l'Onu mais les Etats-Unis, alliés d'Israël, ont fait savoir qu'ils feraient usage de leur droit de veto à toute résolution en ce sens.

    Les Etats-Unis et Israël souhaitent limiter le processus de paix à un dialogue bilatéral mais ce dialogue a échoué, a fait remarquer Mahmoud Abbas, qui s'est dit déterminé à demander une reconnaissance pleine et entière d'un Etat palestinien. "Nous avons décidé de prendre cette mesure et c'est devenu l'enfer."

    Mahmoud Abbas devait rencontrer le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon lundi avant de prononcer vendredi un discours devant l'Assemblée générale et présenter officiellement sa demande d'adhésion à l'Onu à Ban Ki-moon.

    DANGEREUX STATU QUO

    Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a estimé lundi que le statu quo entre Israël et la Palestine n'était ni acceptable ni tenable et comportait un risque d'explosion de violence.

    Le chef de la diplomatie française devait rencontrer Mahmoud Abbas lundi pour discuter "de la stratégie" du président de l'Autorité palestinienne

    Les négociations directes entre Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, qui avaient été relancées le 2 septembre 2010, ont été interrompues quelques semaines plus tard, à l'expiration d'un moratoire de la colonisation israélienne en Cisjordanie occupée.

    Les Palestiniens estiment que le développement de nouvelles colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est minent les chances de création d'un Etat palestinien réunissant ces territoires et la bande de Gaza.

    L'Autorité palestinienne, qui tient Israël pour responsable de l'échec du processus de paix, affirme que la demande d'adhésion d'un Etat à l'Onu permettrait une reprise des négociations avec l'Etat hébreu.

    "NOUS DISCUTERONS"

    Benjamin Netanyahu a déclaré dimanche qu'il s'attendait à ce que cette demande soit rejetée par l'Onu en raison de l'opposition des Etats-Unis.

    "Leur tentative de devenir un membre régulier de l'Onu, cette tentative échouera", a-t-il dit lors du conseil des ministres hebdomadaire.

    "Je crois qu'à la fin (...), après tout ce qui se sera passé aux Nations unies, les Palestiniens reprendront raison, je l'espère, et abandonneront ces manoeuvres d'évitement des négociations pour venir s'asseoir à la table des discussions."

    Plusieurs membres du gouvernement israélien ont appelé à des mesures de représailles contre les Palestiniens pour protester contre l'initiative qui vise selon eux à accroître l'isolement de l'Etat hébreu.

    Rien n'est sorti des dernières discussions avec les médiateurs occidentaux qui tentent de dissuader les Palestiniens de déposer une demande d'adhésion à l'Onu, a fait savoir Mahmoud Abbas. Les négociations restent "mon premier choix mais sur quelles bases ?, a-t-il dit.

    Anticipant l'échec de l'initiative, les Palestiniens ont d'ores et déjà annoncé qu'ils iraient devant l'Assemblée générale pour demander un changement de statut des Palestiniens, d'observateurs à "entité" non-membre.

    "A partir de maintenant et jusqu'à mon discours, nous n'avons qu'un objectif: aller au Conseil de sécurité. Après nous nous assiérons et nous déciderons", a-t-il conclu.

    Avec John Irish, Marine Pennetier pour le service français, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo: Actualités - 19/09/11

  • Les avocats de Nafissatou Diallo ont hâte de poser à DSK les questions que Claire Chazal lui a épargnées

    NEW YORK (AP) — Les avocats de Nafissatou Diallo jugent "inexcusable" que Dominique Strauss-Kahn n'ait apporté dimanche soir aucune explication sur ce qui s'est produit dans sa suite du Sofitel de Manhattan le 14 mai.

    Son interview "avec l'amie de son épouse" n'était qu'un "stratagème désespéré pour gagner la sympathie de l'opinion publique française", écrivent Mes Douglas Wigdor et Kenneth Thompson dans un communiqué.

    "Nous avons hâte de l'accueillir dans nos bureaux pour lui poser les questions que la journaliste a omis de poser", ajoutent les avocats de Nafissatou Diallo, après l'interview de Dominique Strauss-Kahn par Claire Chazal au 20h de TF1.

    "Bien qu'il ait reconnu avoir agi de façon immorale, comme nous l'avions prédit, DSK n'a expliqué aucun détail sur ce qui s'était produit le 14 mai", déplorent Mes Wigdor et Thompson, en rappelant que leur cliente avait donné sa version des faits à "des journalistes réputés".

    Nafissatou Diallo, une femme de chambre du Sofitel de Manhattan, accuse Dominique Strauss-Kahn de l'avoir contrainte à une fellation. Arrêté le 14 mai à New York, DSK a été inculpé d'agression sexuelle et de tentative de viol, avant de voir les charges contre lui abandonnées au pénal le 23 août.

    Nafissatou Diallo a intenté une procédure civile, qui est toujours en cours aux Etats-Unis.

    19/09/11

  • Le couple DSK-Delors en plein déni du réel

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    L’événement politique  de cette fin de semaine n’était pas la présence à la  fête de l’Huma d’un stand du très démocratique parti communiste chinois, ni même  la procession de candidats aux primaires socialistes devant Jean-Luc Mélenchon,    venus  glaner d’éventuels suffrages communistes  dans le cas d’un hypothétique second tour en 2012. Non, l’événement consistait bien en la présence de Dominique Strauss-Kahn sur le plateau du journal télévisé de Claire Chazal sur TF1 hier soir, quatre mois après son arrestation à New York.

    Dire que DSK n’a pas convaincu relève de l’euphémisme. Le ton de  son acte de contrition, visiblement  répété devant sa glace, ses excuses a minima, son désir de ne pas s’immiscer dans la campagne des primaires socialistes, la porte qu’il a laissé  ouverte à un probable retour en politique, tout sonnait le plan com soigneusement calibré avec et par ses conseillers . Petit « cadeau » à sa chère amie Martine, il a confirmé au passage la réalité du « pacte de Marrakech » entre la patronne du PS et lui même pour la présidentielle, niée juqu’alors par cette dernière…

    L’odieux a été atteint plusieurs fois par le mari d’Anne Sinclair, notamment lorsqu’il a tiré une exégèse pour le moins tordue  du rapport  du procureur de New York Cyrus Vance rendu le 23 août. En effet celui-ci  n’écartait pas explicitement d’éventuelles violences, mais estimait que les « éléments physiques (…) n’établissent pas de manière indépendante son affirmation (de Mme Nafissatou Diallo, ndlr) d’une rencontre forcée et non consensuelle ». Odieuse encore la pirouette imaginée par le clan DSK pour le blanchir avec  cette  thèse farfelue du coup monté – « Un piège? c’est possible, un complot, nous verrons »- pour le faire chuter afin d’expliquer l’épisode du Sofitel,  ou encore la morgue avec laquelle il  a balayé  la plainte de Tristane Banon.

    Bruno Gollnisch ne peut que constater que les craintes exprimées par  la féministe Gisèle Halimi avant cet entretien Chazal-DSK sur TF1 se sont vérifiées : « Ce que je crains, disait-elle, c’est que cette interview soit un petit peu mise en scène. Claire Chazal – Anne Sinclair sont assez liées, et transgresser certains principes, c’est très humain. Il ne faut pas que cette interview soit mise en scène pour affaiblir injustement et neutraliser le cri, la plainte de Nafissatou Diallo. C’est la connivence ; on est entre soi, c’est le même milieu. Il y aurait Nafissatou Diallo devant Claire Chazal, on aurait moins peur d’une connivence. On aurait moins peur. On ne parle pas le même langage, on ne parle pas la même langue, on a pas fréquenté les mêmes lieux, on a pas eu les mêmes vacances…”

    Enfin, nous noterons que le professeur ès mondialisme  DSK s’est de nouveau déclaré dimanche soir partisan d’une ouverture en grand   des  vannes de l’immigration afin de compenser les carences   démographiques des pays de l’UE  plutôt que de préconiser une saine politique familiale autochtone;  ou encore  qu’il a préconisé de passer l’éponge sur la dette grecque et critiqué  la lenteur des dirigeants de l’UE à s’entendre pour sauver ce qui peut l’être.

    Critiques qui font écho à celles de Jacques Delors,    une des figures de l’utopie européiste ultra libre échangiste qui a mis nos économies à genoux, les livrant  notamment sans protection  à   la concurrence  des pays à faibles coûts de production .  Samedi, cet  ex  dirigeant de la Commission européenne,  réagissant à la réunion des 17 ministres de la zone euro à Wroclaw  (Pologne),  s’est « indigné » de l’incapacité  des gouvernements européens  à parler d’une seule  voix, « à  se mettre d’accord » sur le versement d’une nouvelle tranche de prêt à la Grèce, renvoyant   »leur décision à mi-octobre. »

    « Je porte le deuil aujourd’hui a-t-il déclaré,  et je suis indigné (…). Ce qu’ils ont fait hier a porté un coup terrible à tous ceux qui, depuis 1948, s’attachent à avoir une vision d’une Europe en paix et d’une Europe prospère ». « J’avais dit il y a trois semaines que l’euro était au bord du gouffre, on m’a dit que c’était une manière d’affoler les marchés mais hélas, les événements m’ont donné tristement raison », a encore affirmé le père de Martine Aubry, incapable de se remettre en question, de comprendre  que c’est SON modéle européen  qui est frappé  de caducité  car bâti sur des préceptes économiques aberrants.

    Et nos compatriotes en ont marre de payer chaque jour davantage le prix de cette impasse euromondialiste. Selon  un sondage publié hier dans Dimanche Ouest France,  68% des  Français interrogés ont déclaré leur désaccord avec la récente augmentation du coup de pouce à la Grèce (32% y sont favorables) , décidé par « leurs » parlementaires.

    87% des personnes interrogées estiment que cet argent prélévé dans les poches des contribuables de notre pays sera   » de l’argent perdu parce que la Grèce ne pourra jamais le rembourser« ; 84% des sondés affirment encore que si la dette grecque n’est pas résorbée, « les difficultés de la zone euro vont s’accroître dangereusement« .

    Le blog de Bruno Gollnisch l’évoquait dernièrement,  le projet de loi de finances rectificative adopté en France  début septembre,  à la suite du second  plan d’aide à Grèce  mis  en place  le 21 juillet par les Etats de l’euroland , se monte à 109 milliards d’euros. Avec  comme premier résultat tangible d’augmenter, du simple  fait de sa mise en oeuvre,   l’endettement français de 15 milliards d’ci 2014. A vot’ bon coeur…

    Blog de Bruno Gollnisch - 19/09/11

  • Marine Le Pen invitée politique de Julien Arnaud sur LCI

    19/09/11

  • Mer, nuages et fleurs de septembre

     

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    Photo017.jpg Panache blanc 2X 17 09 11.jpg

    Les Lecques - 17 septembre 2011 - (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

    (Photos Gaëlle MANN)

     

  • "En réponse à la scandaleuse exhibition cathodique de Strauss-Kahn sur TF1... " - par Claude Ribbe


    Cliquez sur le lien:  www.claude-ribbe.com

      Pas de surprise pour celles et ceux qui ont regardé l’écœurant show à la gloire du mensonge, de l’impunité et de la connivence sur TF1. Cet homme qui récite la leçon que lui ont apprise ses "communicants", cet homme qui se sert de la fortune d’une femme pour s’exhiber en politique et passer à la fois pour un vrai socialiste et un économiste sérieux, cet homme qui bafoue d’autant plus son épouse qu’elle en redemande, cet homme toujours accusé de viol et de tentative de viol et qui se dit "blanchi", cet homme qui ose venir au journal télévisé devant des millions de téléspectateurs non pas pour dire la vérité ou donner sa version des faits, mais pour jouer la comédie, abrité derrière le rapport complaisant d'un procureur de New York, cet homme enfin est l’arrogance, le mépris, la malhonnêteté, la vulgarité personnifiés.

     
    Il aurait pu attendre au moins que le procureur de la République de Paris rende un avis sur la plainte entre ses mains déposée par Tristane Banon pour tentative de viol. Mais non. La brutalité de l’appétit qu’inspire à Strauss-Kahn une France de toute évidence non consentante est telle que rien, désormais, pas même son intérêt, ne peut lui faire entendre raison.
     
    Oui, même s’il prétend n’être candidat à rien, même s’il feint le repentir par rapport à une «faute» dont il ne nous dit rien, c’est bien à une tentative de viol des Français que nous avons assisté, en direct, médusés. Il le sait qu’une bonne majorité d’entre eux ne veut plus de lui dans la vie politique et encore moins en trouble-fête dans les primaires socialistes.
     
    Mais peu lui chaut. Alors que la France lui dit non, non et encore non, il s’impose, il insiste, il revient, il s’acharne, tout en répétant qu’il ne veut rien. Comme si ce refus qui lui est froidement opposé l’excitait davantage.
     
    Cette relation non consentie entre DSK et les Français, entre DSK et le parti socialiste, entre DSK et toutes les femmes, est une pièce de plus dans le dossier des accusatrices. La participation d’une journaliste-vedette - et une femme qui plus est ! - à ce nouvel épisode de la campagne de communication de cet exhibitionniste est un bien mauvais coup pour l’image des journalistes de France
     
    Une nouvelle page est tournée dans l’histoire de notre démocratie. Quand bien même on serait non seulement un vicieux avéré, mais aussi un violeur en série (ce dont Strauss-Kahn, fût-il présumé innocent, est bel et bien accusé), peu importe, si l’on dispose de millions, d’un culot inouï et qu’on est inscrit au parti socialiste...

     

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    Claude RIBBE - 18/09/11

     

  • Dresde: ruines de la Frauenkirche (église Notre-Dame) en 1945

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Lors du bombardement du 13 au 15 février 1945, la ville de Dresde est pratiquement entièrement détruite par la Royal Air Force (RAF) et l'United States Army Air Forces (USAAF). Le 15 février, sous l'effet de la chaleur causée par les bombes incendiaires, et non parce qu'il a été bombardé, l'édifice s'effondre. Il n'en reste qu'un immense champ de ruines.

    La reconstruction à l'identique de la Frauenkirche sera achevée en 2005.

    (Wikipédia)