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  • A Assise, le pape François plaide pour les "exclus" après le naufrage de Lampedusa: "aujourd'hui est une journée de pleurs"

    «Aujourd'hui est une journée de pleurs», a déclaré le pape François vendredi à Assise, à l'occasion de la journée de deuil décrétée en Italie suite à la tragédie de Lampedusa.

     

    C'est un pape François très heureux d'être arrivé à Assise vendredi au petit matin mais au visage très grave quand il a évoqué la catastrophe de Lampedusa pour laquelle un jour de deuil est proclamé en Italie. «C'est un jour de pleurs», a lancé François qui accomplit là son premier pèlerinage sur les pas de saint François, l'apôtre de la pauvreté, qui l'a inspiré pour choisir son nom de pape.

    En laissant son discours de côté et en s'adressant précisément à des pauvres, avec qui il a voulu commencer cette visite d'une journée, François a dénoncé: «Tant de vous, ici, avez été dépouillés par ce monde sauvage qui ne donne pas de travail, qui n'aide pas, et qui est indifférent même s'il y a des enfants qui meurent de faim, qui considère comme sans importance que tant de familles n'ont pas à manger, qui n'ont pas la dignité de porter du pain dans la poche, indifférent que tant de gens doivent fuir l'esclavage, la faim, fuir pour chercher la liberté et ils trouvent la mort comme cela s'est produit hier à Lampedusa: aujourd'hui est un jour de pleurs. Ces choses, c'est l'esprit du monde qui les fait! Il est ridicule qu'un vrai chrétien, prêtre, religieuse, évêque, cardinal, pape veuillent aller sur cette voie de la mondanité qui est une attitude homicide. La mondanité spirituelle tue l'âme, tue les personnes, tue l'Église. (…) Prions le Seigneur pour qu'il nous donne le courage de nous dépouiller, pas tant de nos vêtements que de l'esprit du monde qui est l'ennemi de Jésus.»

    La mondanité fait mal

    Juste avant, et toujours en improvisant, il avait précisé: «Si nous voulons être chrétiens, il n'y a pas d'autre voie. Nous pouvons faire un christianisme un peu plus humain, sans croix, sans Jésus, sans dépouillement et nous deviendrons des chrétiens de pâtisserie, une belle tarte, de choses très douces mais pas de vrais chrétiens! Mais de quoi l'Église doit-elle se dépouiller? D'un danger très grave qui menace toute personne dans l'Église, tous: le péril de la mondanité. On ne peut pas vivre avec l'esprit du monde. La mondanité nous porte à la vanité, au sentiment de supériorité, à l'orgueil. C'est une idole. Ce n'est pas Dieu! L'idolâtrie est le péché le plus fort. Quand les médias parlent de l'Église, ils pensent que l'Église ce sont les prêtres, les sœurs, les évêques, les cardinaux et le pape! Non, l'Église, c'est nous tous. Et nous tous nous devons nous dépouiller de cette mondanité! L'esprit contraire l'esprit des Béatitudes, l'esprit contraire à celui de Jésus.»

    Continuant son réquisitoire, le pape François, parlant lentement, très concentré, dans la salle même où saint François se mit à nu devant les autorités de son temps, a donc appelé les catholiques à poser un choix radical: «La mondanité fait mal. Il est tellement triste de trouver des chrétiens mondains, certains de la sécurité, non de la foi, mais de la sécurité du monde… Il n'est pas possible de travailler dans les deux camps: l'Église, nous tous, devons nous dépouiller de la mondanité qui porte avec elle la vanité, l'orgueil et l'idolâtrie. Jésus lui-même nous dit que l'on ne peut servir deux maîtres: ou Dieu, ou l'argent… Dans l'argent, il y a tout l'esprit mondain, vanité, orgueil… toute cette route-là. Mais nous ne pouvons pas effacer d'une main ce que nous écrivons d'un autre. L'Évangile est l'Évangile: Dieu est l'unique. Jésus le serviteur est avec nous. Et l'esprit du monde n'a rien à voir avec cela.»

    Arrivé à 7h30 en hélicoptère avec un quart d'avance, le Pape vient aussi fêter ici la Saint-François accompagné des huit cardinaux qui forment dorénavant son conseil rapproché et avec qui il vient de passer trois jours de réunions au Vatican pour réformer la gouvernance de l'Église catholique. Ce pèlerinage est donc symbolique du sens de son pontificat mais aussi du dépouillement que le Pape entend imprimer à l'Église catholique.

    Avant de repartir ce soir à Rome, il doit assurer treize rendez-vous en tout genre, dont une messe en plein air, sous un ciel chagrin, en fin de matinée devant un public très nombreux - les organisateurs parlent de 100.000 personnes.

    En arrivant, il a commencé par rencontrer des jeunes malades mentaux puis s'est rendu dans la chapelle de San Damien où saint François raconta avoir entendu ces paroles - début de sa conversion - en regardant une grande croix toujours conservée: «François, va et répare ma maison qui, tu le vois, tombe en ruines.»

     

    LE FIGARO - 04/10/13

     

    NdB: L'antipape fait un étrange amalgame entre les Italiens appauvris par l'immigration de masse et ces  clandestins musulmans qui viennent  manger leur pain sans travailler, en réclamant toujours plus d'aides, de logements et de mosquées! Tout en répandant l'insécurité dans les villes et les campagnes!

    François veut la tiers-mondisation de l'Italie. Il feint d'oublier que les Italiens ne sont pas des migrants, venus d'Afrique dans des barques, mais qu'ils sont le peuple même qui a donné au monde un Michel-Ange, un Léonard de Vinci, et tant d'artistes et de merveilles depuis la fondation de Rome. La fierté de l'Italie, il l'appelle "mondanité"! Que les  catholiques italiens n'aient pas mauvaise conscience: ce sont eux les victimes et les futurs "esclaves" dans le pays magnifique où sont nés leurs ancêtres qui avaient fait l'admiration du monde par leur civilisation.  

     

  • Madagascar: 14 arrestations après les mystérieux lynchages à Nosy Be

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    Accusés du meurtre d'un enfant et de trafic d'organes, deux touristes, dont un Français, puis un Malgache ont été massacrés par la foule à Nosy Be. Les gendarmes ont procédé vendredi soir à 14 arrestations.

     
     

    Nosy Be retrouve doucement son calme. Placée sous couvre feu pour la nuit de vendredi à samedi, la petite île, station balnéaire réputée à l'ouest de Madagascar, se met à réfléchir après le lynchage jeudi, de deux touristes, un Français et un Italien, puis d'un Malgache accusés du meurtre d'un enfant sur fond de trafic d'organes.

    La gendarmerie a indiqué vendredi soir avoir arrêté quatorze personnes, toutes poursuivies pour «des infractions multiples». Les certitudes sont rares. Elles tiennent dans l'attaque jeudi matin d'un commissariat de Hell-Ville, la capitale de Nosy Be, par environ trois cents personnes. Elles exigent qu'on leur livre un homme arrêté la veille sur le soupçon d'avoir tué son neveu, âgé de 8 ans, pour vendre ses organes. Les gendarmes refusent d'ouvrir les portes de leur caserne et finissent par ouvrir le feu pour disperser les manifestants. On relève un mort et deux blessés.

    Jeté au feu sous les vivats

    Le soir, la découverte du corps de l'enfant sur la plage d'Ambatalaoka relance la haine. Une foule envahit les environs et s'empare de ceux qu'elle dit être les tueurs. Selon les autorités locales, Sébastien J. est lynché puis son corps est jeté dans un brasier. Ce Français de 48 ans, décrit comme un homme fatigué par la vie, un peu marginal, était un habitué de l'île et de retour depuis deux semaines.

    Dans la foulée, un Italien, Roberto G., est lui aussi assassiné et brûlé. Les émeutiers se lancent alors sur les traces de l'oncle, tout juste libéré par les gendarmes. Il est finalement capturé, traîné dans une Renault 4 dans le quartier de Dar es-Salam avant d'être torturé et jeté au feu sous les vivats.

    Vendredi, les enquêteurs se montraient discrets sur les raisons du massacre. Certains témoins affirment que les deux étrangers auraient été désignés comme complices du meurtre. Ils auraient été traqués jusque chez eux. Pour d'autres sources, les malheureux n'auraient été que des victimes expiatoires, ramassées au hasard de la rage contre des «trafiquants blancs» introuvables.

    Les circonstances de la mort du petit garçon sont tout aussi mystérieuses. Un responsable local avait d'abord assuré que l'enfant avait été mutilé, la langue et les parties génitales tranchées. Désormais, les gendarmes se taisent et attendent les résultats de l'autopsie.

    Les éventuelles mutilations du garçonnet seraient plutôt le signe de rites magiques

    Seule certitude, la possibilité d'un trafic d'organes à Nosy Be apparaît aux yeux des spécialistes très improbable, même si de telles filières ont déjà été découvertes à Madagascar. Les éventuelles mutilations du garçonnet seraient plutôt le signe de rites magiques, de sorcellerie, qui affectent la Grande Île. Nosy Be, paradis touristique en pleine déshérence, est durement touché par le commerce du sexe et se voit dénoncé comme un haut centre de pédophilie par les associations.

    Si rien ne démontre que les trois victimes du lynchage soient impliquées dans ces dérives, ces comportements, associés à une misère sans cesse plus noire, poussent les populations à bout.

    LE FIGARO - 04/10/13

  • Florian Philippot - 4 octobre 2013 - Partie 1 et Partie 2


    Florian Philippot - 4 octobre 2013 - Partie 1 par hurraken75


    Florian Philippot - 4 octobre 2013 - Partie 2 par hurraken75

     

    Florian Philippot, Vice-Président du Front National, était l’invité de Viens dîner dans ma cité sur France 4.

  • François Hollande poursuit l'escroquerie sarkozyste du faux référendum d'initiative populaire !

       
    Communiqués / 3 octobre 2013

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    En annonçant le vote prochain d’une loi organique d’application de la révision constitutionnelle de 2008, François Hollande poursuit l’escroquerie sarkozyste du faux référendum d’initiative populaire.

    Le dispositif prévu par la révision de 2008 n’est en effet qu’une illusion de référendum d’initiative populaire. Son organisation requiert plusieurs conditions drastiques quasi impossibles à réunir, comme un nombre invraisemblable de signatures (4,5 millions environ !), et laisse la part belle aux parlementaires, qui doivent être près de 200 pour que le référendum puisse avoir lieu…
    Il n’y a donc rien de populaire dans l’initiative d’un tel référendum, la caste ayant pris les précautions de rester totalement maîtresse du jeu.

    Face à cette escroquerie hollando-sarkozyste, Marine Le Pen réitère son projet de véritable référendum d’initiative populaire, déclenché à partir de 500 000 signatures au niveau national et sans nécessité d’avoir l’autorisation des parlementaires. Ce véritable référendum d’initiative populaire, inspiré des exemples suisse et italien, apporterait un surcroît de démocratie à notre République. Elle en a bien besoin !

  • VIDEO - Florian Philippot sur I>TELE

    http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-itele-28/

     (pas de code embed)

     Remarquez le titre sur la vidéo:  Florian Philippot/Extrême-droite !

  • Un historien patriote s’en est allé

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    L’historien et universitaire Raoul Girardet est décédé le 18 septembre 2013 à l’âge de 95 ans. Il était spécialisé dans l’étude du nationalisme, de la vie militaire et du colonialisme.

    Né le 6 octobre 1917, il était descendant d’une famille de militaires patriotes. Nourrie par la lecture de Charles Péguy et exaltée par le souvenir des anciens combattants, sa jeunesse tumultueuse sera notamment marquée par l’engagement dans l’Action française, séduit par l’esprit aventurier, le romantisme de l’action patriotique contre l’ennemi allemand héréditaire et le charisme de Charles Maurras. Néanmoins, en 1940, il s’éloigne du mouvement dont il désapprouve l’antisémitisme et son approbation du régime de Vichy. La guerre et l’occupation allemande lui fournissent alors la deuxième grande aventure de sa vie, la résistance. Indigné par l’armistice, détestant l’occupant allemand et désireux d’agir, il s’engage très tôt dans des actions de résistance (surtout comme porteur de message) et est arrêté par la Gestapo en 1944, évitant de peu la déportation. Il recevra de ce fait la Croix de Guerre 1939-1945.

    Sa troisième grande aventure patriotique sera l’engagement en faveur de l’Algérie française. Dès 1959, Girardet s’insurge contre les velléités du pouvoir gaulliste d’abandonner les départements algériens et devient un anti-gaulliste virulent. Il se fait remarquer en signant en 1960 le « Manifeste des intellectuels français » en faveur de « la mission civilisatrice de l’armée en Algérie. Contre les professeurs de trahison » avec, entre autres, Jacques Perret, Jacques Laurent, Roger Nimier, Jules Monnerot, Thierry Maulnier, Pierre-Ghilain de Bénouville ou le colonel Rémy. Cette initiative visait à répondre au manifeste des 121 publié en septembre 1960 dans Les Temps Modernes qui approuvait le principe de l’insurrection du FLN et incitait les soldats du contingent à l’insoumission et à la désertion. Autrement dit, à un acte de haute trahison. Le manifeste fut lancé par Dionys Mascolo et Maurice Nadeau et reçut notamment les signatures de Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Laurent Schwartz, Claude Roy et autres représentants de l’élite intellectuelle corrompue et encline à la trahison. Girardet participera lui-même à l’OAS dans la branche « Action politique et propagande ». Il rédigera également plusieurs articles engagés dans la revue Esprit public lancée en décembre 1960 par Philippe Héduy et Hubert Bassot pour promouvoir la cause de l’Algérie française. Ces actions lui vaudront d’être emprisonné en septembre 1961 pour « provocation de militaire à la désobéissance » et son procès s’achèvera sur un non-lieu. Homme d’engagement donc, qui affronta la prison à deux reprises en deux grandes occasions historiques, même si, modeste, son temps n’incarcération ne lui avait pas paru « un score remarquable ».

    Par la suite, il se consacrera essentiellement à son œuvre d’historien et d’essayiste. Il enseignera notamment à l’Université de Paris, à l’Institut d’Etude Politique de Paris, à l’Ecole Nationale d’Administration, à l’École Nationale militaire de Saint-Cyr et à l’École Polytechnique. Il aura notamment comme élèves Laurent Fabius, Jacques Attali et Jean-Pierre Chevènement, comme collègues René Rémond, Jean-Baptiste Duroselle et Jean Touchard. Il participe également à la revue monarchiste La Nation française de Pierre Boutang, qu’il quittera cependant lorsque celle-ci professera des opinions gaullistes. Critique des grandes écoles, il a également conspué l’ « assez morne grisaille de la Sorbonne » et s’opposera à la notion de nouvelle histoire.

    Ce fut donc non seulement un grand et érudit historien qui nous quitte mais aussi un homme de conviction acharné qui ne se renia jamais et porta ses idées avec simplicité mais force et courage.

    Lire aussi :
    > Hommage à Raoul Girardet, par Marc Crapez

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Marseille, ville étrangère

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    Le nouveau t-shirt à la mode dans la cité phocéenne :

     

    En un sens, on est assez d’accord…

    En revanche, on suppose que le monsieur en photo et ses congénères résidant à Marseille n’ont pas de problème pour accepter l’argent français (CAF, CMU, RSA, subventions, etc.)

     

    Contre-info.com

  • Chine : des frelons géants tuent 42 personnes et en blessent des milliers

     

    L’insecte, le Vespa Mandarinia, un frelon asiatique qui mesure jusqu’à 5 centimètres de long, a fait 42 morts et blessé au moins 1.675 personnes dans la seule province chinoise du Shaanxi depuis le mois de juillet.

     

    Mu Conghui, récoltait des céréales dans un champ, lorsqu’elle s’est soudainement retrouvée au coeur d’un essaim de frelons.

    "Ils étaient terrifiants. Ils se cognaient sur ma tête, et ont recouvert mes jambes. Ils m’ont paralysée".

    Les médecins dénombreront un total d’environ 200 piqûres. Deux mois après cette attaque, la jeune femme est toujours hospitalisée, incapable de bouger ses jambes, encore très marquées par des crevasses profondes.

    Le venin injecté dans le sang des personnes piquées provoque des allergies et un afflux de toxines pouvant stopper le fonctionnement de certains organes. Les médecins se voient donc contraints d’effectuer des dialyses sur les patients les plus touchés. Mu Conghui en a subi treize jusqu’à présent.

    Les autorités locales ont déployé des milliers de policiers et de pompiers pour détruire les nids.

    Ce pic d’attaques pourrait provenir du temps inhabituellement sec dans la région. L’urbanisation pourrait également être un facteur expliquant cette agressivité, ou encore la disparition progressive des prédateurs des frelons dans cette zone, comme les serpents et les oiseaux.

    Sources : NTDTV / Le Journal du Siècle

  • Marine Le Pen invitée de Ruth Elkrief - BFMTV - 03/10/13

    "Extrême droite" est pour Marine Le Pen "un terme péjoratif", la présidente du Front national l'a réaffirmé sur BFMTV jeudi soir. Et Marine Le Pen compte bien se tourner "vers les tribunaux pour faire admettre que ce terme n'est pas du tout comme on nous l'explique, uniquement un positionnement sur l'échiquier politique".

    Il est utilisé, selon elle pour "dénigrer le Front national", et relève de "l'amalgame avec des comportements ou d'autres mouvements qui sont éminemment critiquables".

    "Guerre sémantique"

    "Nous ne sommes pas un mouvement d'extrême droite" a martelé Marine Le Pen, "je demande juste que les médias qui sont soumis à une obligation d'impartialité, cessent d'utiliser un terme qui est aujourd'hui utilisé comme une injure".

    Marine Le Pen dénonce ainsi une "guerre sémantique contre le Front national et contre les millions d'électeurs du Front national". "Traiter le Front national d'extrême droite, c'est aller à l'encontre de la justice et de la vérité".

    "Au Front national, personne n'a eu la francisque"

    Interrogée par Ruth Elkrief sur les origines du Front national, le groupe néofasciste Ordre nouveau, avec d'anciens poujadistes et des pétainistes, Marine Le Pen a préféré attaquer: "au Front national, personne n'a eu la francisque, la plus haute distinction du régime de Vichy, seul Mitterrand l'a eue".

    Concernant les partis "frères" du Front national en Europe, comme celui du député néerlandais Geert Wilders (jugé en 2010 pour incitation à la haine raciale), le vlaams belang en Belgique (condamné pour racisme en 2004) ou le FPO en Autriche, Marine Le Pen, réfute également l'appellation d'extrême droite, lui préférant celle de "mouvement populiste" ou de "national populiste". "Le FPO n'est pas un mouvement d'extrême droite", a assuré Marine Le Pen.

    "Il faut clairement mettre en place une politique dissuasive d'immigration"

    Invitée à réagir sur le naufrage de Lampedusa jeudi, Marine Le Pen a déclaré: "ceux qui par leur politique, incitent ces hommes et ces femmes à tenter cette folle aventure portent une forme de responsabilité morale dans cette tragédie".

    "Il faut clairement mettre en place une politique dissuasive d'immigration", a-t-elle ajouté. "Il faut clairement leur dire que nous ne pouvons plus rien leur offrir en Europe, que ce n'est pas la peine qu'ils viennent".

    Marine Le Pen, qui s'est rendue en mars 2011 sur l'île de Lampedusa affirme: "La France est le pays le plus attractif de l'union européenne lorsque l'on est un clandestin. Et c'est une incitation à prendre des risques inouïs, des risques qui terminent en tragédie".

  • Jacques-Louis DAVID (1748-1825)

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    Le  Serment des Horaces - 1785

    Musée du Louvre

  • Valeurs de la République

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    "Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme…

    Sans compter que les « Français de souche » (FDS), matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’Homme, de « l’accueil à l’ autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel, comportemental et biologique, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique « charité chrétienne », n’auront plus d’autres ressources que de baisser la tête et les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050.

    Ne désespérons tout de même pas !  Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des « isolats », de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français – et pas nécessairement tous de race blanche – qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Mais cela ne leur sera pas facile. Face aux différentes « communautés » que l’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive puisque c’est nous qu’on intègre à « l’autre » à présent et non le contraire !) et qui, en 2050, seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte d’une communauté de la pérennité française.

    Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne et catholique, avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore (ce dont nous doutons sérieusement). Mais cela ne plaira pas. Le clash surviendra à un moment ou à un autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés.

    Et ensuite ?   Ensuite la France (ou plutôt ce qu’il en restera !) ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des « bernard-l’ermite » qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait le « peuple français ». Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat. C’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr…

    Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’ « éternelle » qui révulse les bonnes consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé. .

    Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces intellectuels qui, jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française. Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes.

    Je sens poindre le mot « renégat », mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République.

    Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini mais sans jamais faire référence à la France. Or, la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie (idéologie avec un grand « I »), l’idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde.

    Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui, sous des dehors bon enfant, éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune française issue de l’immigration, ce jour-là, la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République… ».

    Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie » (Président Boumediene, mars 1974). Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse :

    « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée ».

    Jean Raspail

     

    Le chemin sous les buis

  • Pas de pays libre sans défense nationale. Par Bruno Gollnisch

     

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    Sur l’antenne de RTL, le général Vincent Desportes, ancien directeur de l’École de guerre, professeur associé à Sciences-Po, connu pour son franc parler –voir notre blog- a vivement critiqué les dernières orientations  budgétaires impactant très fortement notre Défense nationale. Une paupérisation de notre  outil militaire qui acte une volonté politique de faire de la France  une puissance de seconde zone. Une France  toujours plus inféodée à l’Otan et tributaire de l’Empire pour assurer sa sécurité, de moins en moins à même défendre nos intérêts, notamment dans sa capacité de projection en  dehors de nos frontières.

      Nous le rapportions en  2010, citant le site Secret défense,  le général Desportes « s’était vu barrer la route à la direction de l’IHEDN et à une quatrième étoile ». En effet, « il  avait déjà été soupçonné d’être l’un des membres du groupe Surcouf, qui avait, en 2008, publié une violente charge contre le Livre blanc de la Défense ». « Livre blanc » dont les orientations délétères entamées  largement  sous Sarkozy, avaient été dénoncées alors par Bruno Gollnisch, car finalisant la volonté   d’amoindrir dramatiquement   notre outil militaire, désormais simple force d’appoint aux opérations du Nouvel ordre mondial.

     Marine Le Pen était la seule candidate lors de la dernière présidentielle à vouloir enrayer cette évolution très inquiétante. Elle  propose  notamment  de porter à au moins 2% du PIB l’effort consenti à notre défense nationale, assurance-vie du peuple français plus que jamais indispensable en ces temps troublés. On sait ce qu’il advient des peuples qui confient à d’autres le soin  de leur protection…

    Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian  détaillera aujourd’hui   les restructurations des armées. Il évoquera certainement  les suppressions de régiments et d’unités pour 2014,  « prévues dans le cadre de la Loi de programmation militaire (LPM), » lesquelles «  provoquent déjà la colère d’élus des territoires concernés et d’officiers » rapporte Le Parisien.

     « Présentée début août, la LPM prévoit notamment 23 500 suppressions de postes supplémentaires à la défense durant la période 2014-2019.  Sur les 23.500, 9000 doivent l’être au sein des forces opérationnelles et 14 500 dans le soutien et l’environnement des armées. Une baisse des effectifs qui s’ajoute aux 54 000 postes déjà supprimés dans le cadre de la précédente LPM (2008-2013). »

     Cette grogne de la grande muette est-il encore écrit,  s’est « exprimé notamment dans un Manifeste pour la sauvegarde de nos armées diffusé par un cercle de réflexion baptisé les sentinelles, regroupant des officiers et d’anciens officiers, qui dénoncent anonymement une entreprise de démolition des armées.»

     La  défiance de l’Etat socialiste vis-à-vis des militaires est aussi au cœur des récriminations légitimes des personnels des armées.  Notamment avec «  le projet de réforme de l’organisation du ministère. Elle retire notamment à l’état-major la gestion des personnels, pour la confier à la direction des ressources humaines du ministère. »

     «En clair, les généraux ou amiraux seraient des techniciens du combat, peu aptes à gérer des hommes, des finances, des relations internationales, voire des services logistiques», écrivait mi-septembre dans Le Figaro le général Henri Bentégeat. L’ancien chef d’état-major des armées mettait notamment en garde contre un système  où les militaires sont tenus en suspicion».

     Dans un entretien accordé au quotidien La Croix le 1e mai dernier, le général Desportes relevait avec justesse que «  c’est déjà une défense minimale que le président de la République conduit à la relégation. Le Livre blanc de 2008 avait fait passer notre format à envoyer dans les opérations conventionnelles majeures de 50 000 à 30 000 hommes et de 100 à 70 avions de combat. Nous avions alors atteint véritablement un seuil. Et voilà que nous passons maintenant en dessous de ce seuil, avec un format de 15 000 hommes et 45 avions de combat. »

     Or, « il était nécessaire de rétablir une autonomie de transports stratégiques (avions gros porteurs, navires de projection) qui manque aujourd’hui cruellement à l’armée française. Cela n’est pas prévu. Nous ne pourrons conduire nos opérations que si les Américains les soutiennent. La France avait la première défense européenne, elle avait cet avantage de pouvoir intervenir dans les crises en son nom et au nom de l’Europe. Elle rentre dans le rang. »

     Le général Desportes concluait son propos en affirmant   que  la sécurité de la France et des Français ne saurait  se réduire à la seule  dissuasion nucléaire. Menace nucléaire, iranienne celle-là,  qui est au cœur des préoccupations du premier ministre israélien.  Mardi soir, à la tribune de l’ONU, Benjamin Netanyahu  a évoqué la possibilité d’une   action militaire unilatérale contre l’Iran.  Une déclaration qui  matérialiserait l’inquiétude de Tel-Aviv devant le  timide réchauffement des relations entre Washington et Téhéran –le dialogue direct renoué, une première depuis près d’un quart de siècle,  entre  Barack Obama  et Hassan Rohani .

      Pour autant , signe de la valse hésitation du  président américain, celui-ci,  après avoir  déclaré la semaine dernière être  prêt à donner une chance à la diplomatie pour sortir de l’impasse actuelle sur  le dossier nucléaire iranien, a  rappelé lundi en recevant M.  Netanyahu à la Maison-Blanche que Washington « ne  (renonçait)  à aucune possibilité, dont l’option militaire ».

     Mardi, le Premier ministre de l’Etat hébreu a donc martelé que «Si Israël doit agir seul, alors Israël agira seul»,  que son pays «n’acceptera jamais de voir des armes nucléaires entre les mains d’un régime voyou qui, plusieurs fois, a promis de nous rayer de la carte».« Pourquoi un pays doté d’un programme nucléaire civil développe-t-il des missiles balistiques intercontinentaux, dont la seule fonction est de transporter des ogives nucléaires?». Aussi a-t-il exigé, relève Le Figaro, «  l’arrêt des centrifugeuses, l’évacuation vers l’étranger des stocks d’uranium enrichis et le démantèlement du programme iranien (…). »

     Mais Israël, qui faut il le rappeler est le seul pays de la région à posséder l’arme nucléaire,  a-t-il les moyens de mettre ses menaces à exécution ? « Le drame de Netanyahu, c’est qu’il menace l’Iran avec un revolver vide, décrypte Yossi Melman, spécialiste des questions de défense pour l’hebdomadaire Sof HaShavua. Le site d’enrichissement de Fordow, dont l’existence a longtemps été tenue secrète, est enterré à 70 mètres de profondeur, hors d’atteinte des armes israéliennes. »

     Dans les faits affirme-t-il,  « seuls les États-Unis disposent de bombes assez lourdes pour frapper ces installations, ainsi que de bombardiers capables de les transporter. Israël peut tout au plus retarder d’un an ou deux le programme iranien et ce, au prix d’un isolement diplomatique qui promet d’être durable».

     En mars de l’année dernière,  Pierre Beylau dans Le Point,  soulignait  les graves conséquences d’une attaque militaire israélienne sur l’Iran pour l’empêcher de mener à bien son programme nucléaire.

      « Un bombardement de l’Iran déclencherait une onde de choc incontrôlable : probable blocage du détroit d’Ormuz (avec envolée des cours du brut), embrasement des fronts Hezbollah libanais et Hamas palestinien. Une telle initiative, de l’avis des experts, ne résoudrait rien. Elle ne ferait, au mieux, que retarder le programme iranien. Tout en confortant Téhéran dans l’idée que seule la détention de l’arme nucléaire permettrait de sanctuariser le territoire iranien. C’était déja l’idée du Shah. »

     La crainte de cette « sanctuarisation » de l’Iran est bien pour beaucoup d’observateurs  la vraie  raison  des propos belliqueux de (certains) dirigeants israéliens.

     Certes,  nous pouvons comprendre   les craintes du peuple israélien  au regard des déclarations (homériques) du prédécesseur de M. Rohani, Mahmoud Ahmadinejad. Si seuls  les Etats-Unis l’ont utilisée, par deux fois contre les civils japonais en 1945, l’arme nucléaire est par définition une arme de dissuasion, c’est-à-dire de non-emploi du fait de  la réponse militaire de même nature qu’elle déclencherait en retour du pays agressé qui la posséderait.

     Une  réalité, note Bruno Gollnisch,  qu’intègre bien évidemment le général Desportes cité plus haut, lorsqu’il réclame pour notre pays un outil militaire cohérent et efficient pour sa sécurité,  qui ne repose pas uniquement sur l’atome…Pas de pays libre sans défense nationale digne de ce nom.

  • Israël prêt à agir seul contre l'Iran

    Le Premier ministre israélien a affirmé mardi à l’ONU que son pays était prêt à agir seul pour empêcher Téhéran de se doter de l’arme nucléaire.

     

    "Israël ne laissera pas l’Iran obtenir des armes nucléaires. Si Israël est obligé d’agir seul, il agira seul", a martelé Benyamin Netanyahu devant l’assemblée générale de l’ONU.

    L’an dernier à la même tribune, Benyamin Netanyahu avait tracé une ligne rouge sur un croquis de bombe atomique iranienne pour montrer la nécessité d’agir vite avant que l’Iran ne devienne une puissance nucléaire.

    Un diplomate iranien a immédiatement réagi en séance au discours de M. Netanyahu en le qualifiant d’"extrêmement provocateur" et de "belliqueux".

    Selon Khodadad Seifi, conseiller à la mission iranienne auprès de l’ONU, "toutes les activités nucléaires iraniennes ont, et ont toujours eu, un objectif exclusivement pacifique".

    Sources : Youtube / Le Journal du Siècle

    02/10/13

  • Lampedusa: 130 migrants africains morts noyés, l'Italie décrète un deuil national tandis que le pape François crie sa "honte" sur Twitter

    Délire collectif en Italie:

    http://breizatao.com/?p=15432

     

    03/10/13

     NdB: Pourquoi ne pas affréter des ferries  pour emmener directement ces clandestins afro-musulmans en Europe ?

    Quant à l'antipape François aux ordres du mondialisme, qu'il démissionne ! Le sort des envahisseurs musulmans l'intéresse infiniment plus que celui des chrétiens submergés par ces hordes venues pour piller l'Europe et la détruire.

  • Jean Roucas à Nice-Matin: "On pardonne plus facilement à Bertrand Cantat qu'à moi !"

     

  • 3 octobre 1987 : mort de Jean Anouilh (+ fable méconnue)

    3 octobre 2013

    à Lausanne, à l’âge de 77 ans.

    Cet écrivain et dramaturge français de grand talent – dont l’œuvre théâtrale est particulièrement abondante et variée – fut marqué par l’horreur de « l’Epuration ».
    Il s’était d’ailleurs largement et courageusement entremis pour obtenir la grâce de Robert Brasillach, qu’il ne connaissait pas :
    « Le jeune homme Anouilh que j’étais resté, jusqu’en 1945, est parti un matin, mal assuré mais du pied gauche, pour aller recueillir les signatures de ses confrères pour Brasillach. Il a fait du porte à porte pendant huit jours et il est revenu vieux chez lui – vieux comme dans un conte de Grimm ».

    Ci-dessous, Le Rat, une fable de Jean Anouilh, qui fait comprendre pourquoi la mémoire de ce grand auteur français n’est pas entretenue…

    Le Rat

    Un rat sortait de l’Opéra :
    Plastron blanc et cravate noire…
    C’était un rat dont tout Paris savait l’histoire.
    On disait que pendant l’occupation des chats,
    Il avait stocké du gruyère.
    Il était décoré pourtant, de mine fière,
    Mais de cette fierté incertaine des rats.
    Il est rare que ces gens-là
    Aient la conscience tranquille …

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    Contre-info.com

  • Répression contre les nationalistes en Grèce : ça continue !

    3 octobre 2013

    Arrêté le week-end dernier avec 17 autres députés de son parti, le chef du parti nationaliste grec Aube dorée, Nikos Mihaloliakos, a été placé en détention provisoire mercredi soir.
    Le Système l’accuse éhontément de « diriger une organisation criminelle » [sic].
    Mercredi, quatre autres députés d’Aube dorée ont été inculpés du même chef d’accusation. Trois d’entre eux ont bénéficié d’une liberté conditionnelle tandis que le quatrième, Yannis Lagos, a été placé en détention provisoire. Le numéro deux du parti, Christos Pappas, doit comparaître à son tour ce jeudi devant le juge d’instruction.

    Communiqué du Renouveau français à ce sujet, que nous relayons volontiers :

    « Scandale et grave répression politique en Grèce

    En Grèce, le Système mène actuellement une campagne d’intoxication médiatique et de répression policière et judiciaire contre le parti « Aube dorée », notamment en emprisonnant son président de façon totalement injustifiée.

    De façon similaire à ce que l’on a connu en France avec les manipulations autour de « l’affaire Méric », la tyrannie en place en Grèce instrumentalise la mort d’un activiste d’extrême-gauche belliqueux, décédé en attaquant des Grecs patriotes.

    Confirmé par de prometteurs sondages, l’essor du mouvement nationaliste – seul porteur des solutions aux graves problèmes que connaît le peuple grec -, effraie visiblement l’Oligarchie, qui craint un réveil populaire et le retour de « la Grèce aux Grecs ».

    Le Renouveau français salue de nouveau le travail et les progrès de l’Aube dorée, dénonce fermement les scandaleuses manœuvres liberticides du gouvernement grec, et assure les dirigeants et les militants de la résistance nationale grecque de sa sympathie et de son soutien.

    Il invite les patriotes français à faire part de leur indignation à l’ambassade grecque :
    17 rue Auguste Vacquerie 75116 Paris
    Téléphone : 01 47 23 72 28 Fax : 01 47 23 73 85
    gremb.par@mfa.gr »

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