Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1493

  • Charles Baudelaire (1821-1867)

    Élévation

    Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
    Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
    Par delà le soleil, par delà les éthers,
    Par delà les confins des sphères étoilées,

    Mon esprit, tu te meus avec agilité,
    Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l'onde,
    Tu sillonnes gaiement l'immensité profonde
    Avec une indicible et mâle volupté.

    Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;
    Va te purifier dans l'air supérieur,
    Et bois, comme une pure et divine liqueur,
    Le feu clair qui remplit les espaces limpides.

    Derrière les ennuis et les vastes chagrins
    Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse,
    Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse
    S'élancer vers les champs lumineux et sereins ;

    Celui dont les pensers, comme des alouettes,
    Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
    - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
    Le langage des fleurs et des choses muettes !

  • Qui est-ce? 130

    130 - Qui est-ce.jpg

    130

  • 129: Bravo, Orion!

    129: Herman MELVILLE - (1819-1891) Célèbre écrivain américain, auteur de Moby Dick

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Herman_Melville

    Orion a été la seule à répondre et à donner la réponse juste!

    Encore bravo!

    Le jeu continue!

  • Le témoignage bouleversant d'une enfant de 11 ans, déportée

    Article paru dans "La Voix du Nord"

    Un récit poignant qui a beaucoup intéressé les élèves des classes de 3e .

    Ce lundi 13 décembre, pendant près de deux heures, sans aucune note, Lili Leignel a retracé « son histoire » d'enfant déportée aux camps de Ravensbrück et Bergen-Belsen devant tous les élèves de 3e et de 3e Segpa du collège Renaud-Barrault. ...

    Depuis plusieurs années, Mme Potier et l'équipe des professeurs d'histoire-géographie organisent une conférence sur la Déportation, dans le cadre du programme d'histoire de 3e et de la préparation au concours national sur la Résistance et la Déportation.

    « L'angoisse de ne pas savoir si l'on va revoir ses proches le soir ».

    Venant de Lille, Mme Leignel a bravé les intempéries pour livrer son témoignage. Avec beaucoup de dynamisme et de pédagogie, elle a retracé sa vie de famille avec ses parents et ses deux frères à Roubaix, ses peurs et l'angoisse permanente durant la période de l'Occupation. Recueillie chez un prêtre, la famille juive a été dénoncée et arrêtée le 27 octobre 1943, date gravée à jamais dans leur mémoire (jour de l'anniversaire de sa maman).

    Commence alors le chemin vers l'enfer où la petite Lili n'a que 11 ans. Aînée de la famille, elle prend soin de ses deux frères de 9 et 3 ans. Mme Leignel a décrit son transfert, sa vie dans les camps, les moments d'attente et d'incertitude pendant toute la journée où sa mère doit exécuter des travaux forcés.

    « L'horreur des camps, la cruauté des nazis, les chiens qui vous terrifient, les blocs, l'appel, la volonté de détruire tout un peuple. » Au moment de la libération des camps, la maman de Lili tombe gravement malade et les trois enfants rentrent en France, seuls. Après quelques recherches, la famille se retrouve mais il manquera toujours le père, mort en déportation à Buchenwald.

    Des élèves très émus

    À l'issue de ce témoignage, de nombreuses questions ont été posées. Celles-ci remettaient en mémoire à Lili les chants de différentes langues appris auprès des autres déportés qui venaient de toute l'Europe. Ainsi, Lili Leignel a interprété plusieurs comptines en allemand, en hongrois, en tchèque, en polonais, en espagnol, en anglais et en russe. Le public n'en croyait pas ses yeux : le courage d'une femme exemplaire qui délivre toujours un message de paix et de tolérance pour combattre le racisme et la xénophobie.

    Sous le coup de l'émotion, plusieurs élèves de 3e n'arrivaient pas à quitter Mme Leignel ; ils ont ensuite répondu à l'appel de leurs professeurs pour rédiger des lettres de remerciements.

    Une fois encore, le collège a réalisé son indispensable travail de mémoire.

    ALLIANCE - 29/12/10

  • Claude Goasguen: 140 députés membres du groupe d'Amitié France-Israël à l'Assemblée

    goasgptthbdgg.jpg

    Claude Goasguen

    Extraits d’un entretien publié dans le Petit Hebdo du 27 novembre 2010. Propos recueillis par Abraham Azoulay.
     
    Claude Goasguen est député-maire du XVIe arrondissement de Paris et président du groupe d’amitié France-Israël à l’assemblée nationale. Son soutien à Israël a toujours été sans ambiguïté. Il a même hissé sur la façade de sa Mairie un portrait du soldat franco-israélien Gilad Shalit. Répondant à l'invitation du Collège Académique de Netanya, il s'est rendu en Israël récemment. Nous avons ainsi pu le rencontrer. Il nous a expliqué son engagement politique envers Israël et nous a livré sa vision du conflit israélo-arabe et de ses répercussions en France.
     
    Aujourd'hui il est politiquement correct de ne pas être pro-israélien. Pourquoi prenez-vous de tels risques ? Est-ce par rapport à la communauté juive qui est nombreuse dans le XVIème arrondissement?
     
    Non, j'étais déjà pro-israélien lorsque j'étais député du XIVème arrondissement et la communauté juive n'y est pas importante. La politique n'est pas mon gagne-pain, je fais de la politique pour afficher mes idées et les exprimer. Et je fais des émules. A l'Assemblée Nationale nous sommes maintenant 140 députés toutes tendances confondues, pour l'amitié franco-israélienne. Les deux vice-présidents sont respectivement communiste et socialiste. Ce courant ami d'Israël est véritable mais ne peut pas souvent s'exprimer pour ne pas gêner le Gouvernement.
     
    Le Président de la République prend-il en compte l'existence d'un tel courant favorable à Israël ?
     
    Il a toujours été conscient de cette réalité. Le problème se pose avec le Ministère des Affaires étrangères. Il ne m'apprécie pas vraiment. Il faut dire que je veille régulièrement à mettre ['accent sur ce que le Quai d'Orsay essaie de taire.
     
    Quelle est votre opinion vis-à-vis du boycott des produits alimentaires israéliens ?
     
    C'est scandaleux ! Notre groupe a interpellé le gouvernement à plusieurs reprises à ce sujet. Ces actions ne sont pas du ressort des affaires étrangères mais du Ministère de la Justice. Il faut reconnaître que la Garde des Sceaux d'alors, Michèle Alliot-Marie, a été correcte. Mais beaucoup de gens ont peur dans un certain nombre de supermarchés.
     
    Peur? En France?
     
    Bien sûr. Certaines zones sont dominées par des groupes salafistes violents. Dans l'ensemble la Ministre de la Justice a très bien réagi. Elle a mené une véritable lutte, mais encore trop d'opérations de ce genre ont lieu.
     
    Vos nombreux déplacements en Israël ont-ils pour objectif d'afficher votre solidarité ?
     
    La plupart du temps, j'emmène avec moi des députés ou des personnalités qui n'aiment ou ne connaissent pas Israël. Le résultat est toujours positif au bout de quinze jours, ils ont laissé tomber leurs a priori et sont devenus pro-israéliens. Je fais ce travail avec d'autres députés. Nous voulons sortir Israël de cette image de pays fanatique, militaire, alors qu'il s'agit du pays le plus libre du pourtour méditerranéen. Tel-Aviv est, à mon avis, une ville beaucoup plus libre que Marseille.
    CRIF - 29/12/10 
     
  • Barbarie et lâcheté contre un SDF

    1206509_lyon.jpg

    Quai de la Part-Dieu à Lyon - (Cliquez sur la photo)

    Un groupe de neuf jeunes dont trois mineurs de 15 à 17 ans ont été placés en garde à vue mercredi après que plusieurs d'entre-eux ont roué de coups sans raison un SDF, qui leur demandait une cigarette et qui a été emmené à l'hôpital grièvement blessé, a dit la police.

    Âgée de 37 ans et souffrant d'une «hémorragie interne», la victime était «toujours dans le coma mais son pronostic vital n'est plus engagé», a déclaré une source policière.

     

     

    Originaires d'Ile-de France

    Les faits se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi, vers 02H00 sur le parvis de la gare de la Part-Dieu, quand la victime a croisé la route d'un groupe de huit jeunes dont trois filles, âgés de 15 à 21 ans originaires en majorité de la région parisienne.

    «Ce sont des jeunes qui erraient à Lyon et ils étaient tous alcoolisés. La victime leur a demandé une cigarette et un coup est parti sans raison, puis un autre et ainsi de suite. Ca été l'effet de meute», a-t-on ajouté.

    Grièvement blessé à la tête, le sans-abri a été «laissé sur place» par ses agresseurs, qui sont déjà connus des services de police et qui ont été rapidement interpellés. Un neuvième jeune, qui se déclarait témoin de l'agression, a été finalement mis en cause et arrêté dans la journée à Lyon.

    Les trois jeunes filles ont été mises hors de cause et devaient être relâchées mercredi dans la soirée.

    La garde à vue des six autres jeunes a été prolongée, selon la même source.

    Le Parisien - 29/12/10

     

  • Les otages sur l'Arc de Triomphe: une mesure choquante et contre-productive

    photo_1293607835046-1-0.jpg

    Communiqué de Bruno Gollnisch, vice-président exécutif du Front National (Affaires internationales)

    Dans un monde dur, où la sensibilité –pour ne pas dire la sensiblerie- ne l’emporte que chez nous en France, la manifestation de soutien aux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, retenus en otages en Afghanistan, et notamment la projection de leurs effigies sur l’Arc de Triomphe, est à la fois choquante et contre-productive.

    -Choquante, parce que, quelque sympathie que l’on ait envers ces otages qui souffrent pour avoir fait leur métier, il existe d’autres otages français de par le monde. Faut-il donc être journaliste pour disposer d’un tel soutien ?

    -Contre-productive, parce que, bien sûr, les Talibans, avec qui la France est en guerre, ont accès aux informations. Il faut beaucoup de naïveté ou d’aveuglement pour croire qu’ils seront en quoi que ce soit sensibles à de telles manifestations.

    Elles ne peuvent au contraire que les inciter à faire monter les enchères, et donc à retarder encore la libération des otages.

    Les bons sentiments ne font pas tout. En l’occurrence, ils manifestent surtout l’immaturité navrante d’un certain nombre de ceux à qui il incombe pourtant de former l’opinion.

    Nations Presse Info - 29/12/10

  • Marine Le Pen: une personnalité populaire et sensée


    Marine Le Pen - Personnalité Populaire et Sensée
    envoyé par FranceDomTom. - L'info video en direct.

    29.12.10

  • Décès à 28 ans d'un ex-mannequin engagée contre l'anorexie mentale

    photo_1293642232330-1-0 Anorexie.jpg

    Isabelle Caro

    Sa photo montrant son corps nu décharné, dans le cadre d'une campagne contre l'anorexie, avait créé la polémique en 2007: Isabelle Caro, ancien mannequin et comédienne française est décédée à 28 ans.

    Son ami, le chanteur suisse, Vincent Bigler, qui devait enregistrer un clip vidéo avec elle sur une chanson traitant de la maladie, intitulée "J'ai Fin" (sic), a rendu hommage à la jeune femme sur son site en confirmant son décès.

    "Elle avait été hospitalisée pendant 15 jours pour une pneumopathie et dernièrement elle était très fatiguée, mais je ne connais pas la cause de son décès", a déclaré le chanteur, cité par 20 Minutes.ch.

    Originaire de Marseille, Isabelle Caro, avait posé en 2007 devant l'objectif du photographe Oliviero Toscani pour une campagne parrainée par la marque de vêtements italiens "No-I-ita", visant à dévoiler les méfaits de l'anorexie et sa conséquence inéluctable.

    "La maigreur ça engendre la mort et c'est tout sauf la beauté, c'est tout le contraire", disait-elle, espérant que les jeunes filles qui verraient sa photo comprendraient la réalité morbide cachée derrière les clichés, "les belles parures et belles coiffures" des magazines féminins.

    Elle disait vouloir "réveiller les consciences" sur la maladie qui frappe nombre de mannequins. "Cette photo sans fard et sans maquillage ne me met pas en valeur. Le message est fort : j'ai du psoriasis, la poitrine qui tombe, un corps de personne âgée", avait-elle déclaré, en expliquant sa démarche.

    La jeune femme souffrait d'anorexie depuis l'âge de 13 ans, ce qui l'avait notamment plongée dans le coma en 2006 alors qu'elle ne pesait que 25 kg pour 1m65. Mais elle avait décidé de s'en sortir et avait lutté, annonçant, début 2010 avoir atteint le poids de 42 kg.

    Suite à cette affaire qui avait jeté l'opprobe sur le milieu de la mode, des professionnels s'étaient engagés à prendre des mesures pour ne pas accepter de mannequins trop maigres.

    Toutefois, seule l'Espagne recourt aujourd'hui à des règles contraignantes.

    Les professionnels de la mode en France, en Italie, aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne s'en tiennent à l'autorégulation, des chartes sans valeur contraignante.

    Madrid a interdit les mannequins en dessous d'un certain indice de masse corporelle en septembre 2006 lors du Pasarela Cibeles, grand rendez-vous de la mode madrilène. Seules les jeunes femmes dont l'indice de masse corporelle (IMC, le poids en kilos divisé par la taille au carré) est supérieur à 18 (plus de 56 kg pour 1m75) sont désormais autorisées à défiler.

    En outre, début 2007, le gouvernement espagnol et les grandes marques comme Zara ou Mango, ont passé un accord prévoyant de placer en vitrine des mannequins de taille 38 au moins, et de ne pas marginaliser les grandes tailles au fond du magasin.

    En Italie, le manifeste anti-anorexie adopté en février 2007 met "en avant un modèle de beauté sain, solaire, généreux, méditerranéen". A Londres, les recommandations du Conseil britannique de la mode - un certificat médical et, si une jeune fille souffre de désordres alimentaires, que ce problème soit "sous contrôle" - sont désormais obligatoires.

    Des professionnels de la mode, de la publicité et des médias se sont engagés en France à proscrire la diffusion d'images de mannequins d'une excessive maigreur.

    L'anorexie touche 30.000 à 40.000 personnes en France, selon le ministère de la Santé.

    AFP. 29/12/10

  • Une lettre ouverte à Madame Alliot-Marie

    Paris, le 29 décembre 2010

    Madame Alliot-Marie

    Ministre d’État

    Ministre des Affaires étrangères

    37, Quai d’Orsay

    75007 Paris

     

     

    Madame le Ministre des Affaires Étrangères,

    A l’Assemblée nationale, le 22 décembre dernier, vous avez répondu à la question du député Hervé de Charrette, qui vous interrogeait sur l’inaction de l’Union européenne au Proche-Orient. L’ancien ministre y soulignait à juste titre que cette situation était plus que choquante, eu égard aux déclarations faites par cette dernière, notamment la déclaration du Conseil des ministres des Affaires étrangères 8 décembre 2009.

    1. Dans votre réponse, vous avez affirmé qu’il n’était pas possible « pour des raisons de stabilité régionale » de rester sur l’échec actuel. Certes, la question de la stabilité est majeure mais ne pensez-vous pas que cette instabilité régionale est la conséquence d’une politique et des complicités dont celle-ci bénéficie et non pas un fait en soi ? Qu'elle résulte du refus obstiné de l’État d’Israël d’appliquer les résolutions pertinentes des Nations unies sur les conflits israélo-palestinien et israélo-arabe ? Et n’estimez-vous pas que les Palestiniens n’en peuvent plus de cette injustice qui les frappe – et la société israélienne par ricochet – depuis plus de 40 ans ? L’instabilité régionale est fruit de la complaisance de la « communauté internationale » à l’égard de cette injustice, de son refus d’imposer fermement le droit à Israël aussi.

    Vous agissez et vous sanctionnez quand il s’agit de la Côte d’Ivoire, par exemple. Mais quand il s’agit de l’État d’Israël, qui pourtant piétine chaque jour les décisions de l’ONU, le mot sanction – et plus encore la chose – disparaît de votre vocabulaire.

    Pis : comme ministre de la Justice et Garde des Sceaux vous avez fait envoyer, début 2010 aux Parquets, une directive exigeant qu’ils poursuivent celles et ceux de nos concitoyens qui - devant l’inaction de la communauté internationale, de l’Union européenne et de votre gouvernement - ont décidé de recourir au boycott citoyen des produits israéliens, comme leurs aînés l’avaient fait contre l’Afrique du Sud de l’apartheid. Vous avez même inventé un « boycott des produits casher », dont je vous mets au défi d’apporter la moindre preuve de l’existence dans notre pays, pour leur appliquer l’article 24 alinéa 8 de la Loi du 29 juillet 1881 réprimant la « provocation publique à la discrimination » : un tract distribué ou un autocollant apposé pourrait leur coûter, comme dans la plus sinistre des dictatures, trois ans de prison ferme, 45 000 euros d’amende et, pour les fonctionnaires, la radiation à vie.

    Bref, au lieu de sanctionner Israël pour ses violations permanentes du droit international, vous sanctionnez ceux qui appellent au respect de ce droit et à la fin de l’impunité d’Israël. C’est le monde à l’envers : vous traitez comme des criminels celles et ceux qui veulent le droit et protégez comme des innocents les responsables – dixit le rapport Goldstone – de « crimes de guerre, voire contre l’Humanité ».

    2. Toujours dans votre réponse du 22 décembre, vous évitez en revanche soigneusement d’informer la représentation nationale d’un aspect majeur du Conseil des Affaires générales de l’Union européenne tenu le 13 décembre dernier : à savoir que celui-ci se proposait, « le moment venu », de reconnaître l’existence d’un Etat de Palestine.

    Or ce serait un acte politique majeur, de nature à débloquer une situation d’impasse qui peut, à tout moment, menacer gravement la paix mondiale. Reconnaître de facto et de jure un État palestinien dans les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme capitale et contribuer à ce qu’il soit bientôt accueilli au sein des Nations unies, comme l’a envisagé le président américain Barack Obama dans son discours à la dernière Assemblée générale de l’organisation, voilà une décision que peut prendre sans tarder l’Union européenne. Car le « moment » n’est pas à venir : il est venu.

    Au lieu d’agir, vous qui vous réclamez du gaullisme vous plaignez de n’être pas assez associée à la stratégie américaine, laquelle, c’est l’évidence, est paralysée devant l’intransigeance des dirigeants israéliens. Mais qui vous empêche de peser de tout votre poids en reconnaissant immédiatement l’État de Palestine ? Personne ! Qui donc pourrait empêcher l’Union européenne de faire ainsi bouger les lignes ? Personne !

    Eh bien, c’est ce que je vous demande de faire, Madame le Ministre.

    Je demande que la France déclare solennellement et officiellement reconnaître l’État de Palestine et entraîne les autres membres de l’Union à agir de même, comme le font en nombre grandissant des États du continent latino-américain, et ce sur la base des paramètres connus, et rappelés ici, conformes au droit international.

    Pourquoi l’Union européenne devrait-elle se placer à la remorque des États-Unis et se rendre dépendante de leur crise stratégique ? Elle peut, au contraire, marquer de son empreinte la politique mondiale. Elle le doit.

    Et je vous demande instamment, par cette lettre ouverte, de faire dès aujourd’hui : que la France reconnaisse l’État de Palestine dans les frontières d’avant la guerre de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale : et qu’elle contribue décisivement, comme membre permanent du Conseil de sécurité son admission comme membre de plein droit par l’Assemblée générale des Nations unies.

    Je vous prie de croire, Madame le Ministre, en l’expression de mes sentiments respectueux.

     

    Jean-Claude Lefort

    Président de l’AFPS

    Député honoraire

    -- 
    Association France-Palestine Solidarité (AFPS)
    21 ter Rue Voltaire 75011 Paris 
    Tél: 00.33.1.43.72.15.79 
    Fax: 00.33.9.56.03.15.79
    afps@france-palestine.org
    www.france-palestine.org

    29/12/10

  • CHARLES BAUDELAIRE

    L'invitation au voyage

    Mon enfant, ma soeur,
    Songe à la douceur
    D'aller là-bas vivre ensemble !
    Aimer à loisir,
    Aimer et mourir
    Au pays qui te ressemble !
    Les soleils mouillés
    De ces ciels brouillés
    Pour mon esprit ont les charmes
    Si mystérieux
    De tes traîtres yeux,
    Brillant à travers leurs larmes.

    Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté.

    Des meubles luisants,
    Polis par les ans,
    Décoreraient notre chambre ;
    Les plus rares fleurs
    Mêlant leurs odeurs
    Aux vagues senteurs de l'ambre,
    Les riches plafonds,
    Les miroirs profonds,
    La splendeur orientale,
    Tout y parlerait
    À l'âme en secret
    Sa douce langue natale.

    Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté.

    Vois sur ces canaux
    Dormir ces vaisseaux
    Dont l'humeur est vagabonde ;
    C'est pour assouvir
    Ton moindre désir
    Qu'ils viennent du bout du monde.
    - Les soleils couchants
    Revêtent les champs,
    Les canaux, la ville entière,
    D'hyacinthe et d'or ;
    Le monde s'endort
    Dans une chaude lumière.

    Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
    Luxe, calme et volupté.

  • Le plus vieil Homo sapiens est israélien!

    Des restes d'un Homo sapiens de 400.000 ans, soit 200.000 ans de plus que ceux connus jusqu'à présent, ont été découverts en Israël, a annoncé aujourd'hui le responsable des fouilles de l'Institut d'études archéologiques de l'Université de Tel-Aviv, Avi Gopher. "Nous avons découvert dans une grotte située à l'est de Tel-Aviv huit dents qui pourraient constituer les premières traces de l'Homo sapiens", a affirmé M. Gopher à l'AFP.

    "L'examen des stalagmites et stalactites, ainsi que d'autres matériaux découverts sur place, indiquent que cette caverne a commencé à être utilisée il y a 400.000 ans", a-t-il expliqué. "Les dents trouvées dans la grotte Qessem étaient éparpillées parmi les diverses couches de la caverne, certaines remontant à 200.000 ans, et les plus vieilles à 400.000 ans", a-t-il ajoutée dit M. Gopher. "Pour l'instant, il est convenu que les traces les plus anciennes de l'Homo sapiens que nous connaissons se trouvent en Afrique de l'est et remontent à 200.000 ans, ou un peu moins", a-t-il souligné.

    M. Gopher a précisé qu'une première dent avait été trouvée en 2006 dans la caverne Qessem, mais que ses collègues et lui-même avaient préféré continuer à fouiller pour trouver d'autres dents et procéder à une série de tests et d'examens de datation avant de faire connaître leur découverte. "Les fouilles continuent dans cette grotte. Les chercheurs espèrent trouver d'autres vestiges qui leur permettront d'étayer leurs travaux et de mieux comprendre l'évolution de l'humanité et l'apparition de l'homme moderne", a indiqué dans un communiqué l'Université de Tel-Aviv.

    Le Figaro Actu - 28/12/10

  • Alassane Ouattara, le président choisi par l'hyper-classe

    dominique-ouattara-2-300x199.jpg

    Dominique Ouattara

    Pour comprendre qui est un homme, il est souvent utile de s’intéresser à… sa femme. Nicolas Sarkozy en est un bon exemple. Alassane Ouattara aussi, et l’on comprend mieux, au pedigree de son épouse Dominique, pourquoi l’hyper-classe a choisi ce haut fonctionnaire du FMI comme président de la Côte d’Ivoire.

    Dans le quotidien belge Le Soir, Colette Braeckman nous explique qui est Dominique Ouattara.

    « Dominique Ouattara, née Novion voici 56 ans, soutient son mari (…). Alors qu’elle était encore Dominique Folloroux, épouse d’un Français, l’ambitieuse et ravissante jeune femme prit, en 1979, les rênes de la société immobilière Aici, gérant les propriétés immobilières du vieux président Houphouët-Boigny et de son collègue Omar Bongo du Gabon. Comment la présidente d’honneur de la Chambre syndicale des syndicats immobiliers de Côte d’Ivoire n’aurait-elle pas rencontré le jeune et brillant Premier ministre du « Vieux », Alassane Ouattara, chargé de remettre le pays sur la voie de la rigueur et de « faire atterrir » la dévaluation du CFA ?

    C’est à Neuilly, en 1990, que le maire de l’époque, un certain Nicolas Sarkozy, célèbre leur mariage et le couple aura deux enfants. Par la suite, Dominique Ouattara, qui est aussi très proche des milieux israéliens, progresse dans le monde des affaires : en 1996, la PDG du groupe Aici devient présidente de la société qui gère l’Institut Jacques Dessange, basé à Washington ; et deux ans plus tard, elle acquiert les franchises de « Jacques Dessange » aux Etats-Unis. Salons de coiffure, instituts de beauté, le groupe acquiert une envergure internationale.

    Villa à Neuilly et dans le Midi, relations dans la jet-set internationale, le couple Ouattara est riche, très riche, (…). Alors que Simone Gbagbo, élue du quartier populaire d’Abobo, se concentre sur l’action politique, Dominique Ouattara crée la fondation Children of Africa dont son amie, la princesse Ira de Fürstenberg, sera la marraine (…). Cette année, délaissant provisoirement ses affaires, Dominique, blonde et radieuse, a mené campagne aux côtés d’ADO : devenir Première dame est la dernière étoile qui manque au palmarès de celle qui comptait, en 2000 parmi les 40 femmes d’affaires les plus importantes du monde.« 

    Et encore Colette Braeckman ne nous dit pas tout. En effet, le bimestriel Flash, se fait l’écho d’autres détails dont la presse africaine fait ses choux gras en comparant Dominique Ouattara à Carla Bruni : « Née à Constantine, elle est arrivée en Côte d’Ivoire, à vingt ans, comme l’épouse d’un professeur du lycée technique d’Abidjan qui aurait pu sans mal être son père. Resta-t-il longtemps son mari ? On ne le sait pas exactement. Ce qu’on sait par contre, c’est qu’elle fut très vite soupçonnée d’être le « deuxième bureau » (terme par lequel on désigne la maîtresse en Afrique francophone) du ministre de l’enseignement Bamba Vamoussa, puis du gouverneur de la Banque central des États de l’Afrique de l’Ouest, Abdoulaye Fadiga. Tout ceci semble avoir facilité grandement son ascension sociale et, dès 1979, elle créa AICI, une société de gestion de biens, s’occupant, entre autre, du patrimoine immobilier du président ivoirien. Dans l’entourage d' Houphouët-Boigny, elle fit la connaissance d’Alassane Ouattara dont elle devint … la maîtresse, avant de l’épouser en octobre 1990. »

    Loïc Baudoin

    http://www.nationspresse.info/

    NPI - 27/12/10

  • Micro-trottoir aux Etats-Unis

    29/12/10

  • Soixante-quinze Haïtiens interpellés aux aéroports d'Orly et de Roissy

    Ils ont fui la misère, la maladie et l’instabilité politique de leur pays. Soixante-quinze Haïtiens ont été placés en zone d’attente aux aéroports d’Orly et de Roissy alors qu’ils tentaient d’entrer en France. Un premier groupe de 32 personnes est arrivé jeudi dernier à Orly en provenance de Port-au-Prince, un second composé de 43 personnes a atterri dimanche à Roissy.

      Les membres du groupe d’Orly, tous titulaires d’un visa pour le Bénin, ont été repérés par la police aux frontières alors qu’ils se dirigeaient vers la sortie de l’aéroport. « Il voulait juste fuir un peu, le temps que ça se calme avec les élections », justifie Betty Dormelus, 34 ans, dont le cousin a été arrêté à Orly. Certaines familles n’étaient même pas au courant de la venue de leurs proches. « Quand elle était dans l’avion, quelqu’un m’a appelé pour me dire d’aller la chercher à l’aéroport. Ce voyage, je ne sais pas comment elle l’a organisé », raconte André Vertil, 48 ans, de Bagneux (Hauts-de-Seine), dont la fille a perdu sa maison après le séisme et était persécutée pour avoir voté pour Mirlande Manigat, un des principaux opposants au régime en place.

    Parmi les Haïtiens arrivés à Orly, 16 ont été transférés à Roissy, la capacité d’accueil de la zone d’attente du premier étant atteinte. Ils ont été rejoints par les 43 personnes interpellées dimanche. Les dossiers ont été répartis entre les tribunaux de Créteil (Val-de-Marne) et de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Hier, le juge des libertés du tribunal de grande instance de Créteil s’est prononcé pour la libération de 14 des 16 ressortissants dont il est chargé d’examiner les dossiers, mais le parquet a fait appel de la décision. La cour d’appel de Paris devait se prononcer en urgence la nuit dernière sur la détention ou non des personnes avant l’examen de leur situation au cas par cas les jours prochains.

    Ces arrestations, qui interviennent alors qu’une centaine d’enfants haïtiens adoptés viennent d’être accueillis en France le 22 décembre, suscitent l’indignation de l’association Réseau éducation sans frontières (RESF) : « On ne peut pas d’un côté accueillir à renfort de trompettes des enfants haïtiens et d’un autre mettre les adultes en zone d’attente et les expulser dans la discrétion », estime Richard Moyon, porte-parole de RESF. Le tremblement de terre du 12 janvier a fait 230000 morts, 10% de la population vit sous des tentes et une épidémie de choléra à la mi-octobre est encore venue alourdir les difficultés de la perle des Antilles et de ses habitants.

    La majeure partie de ces Haïtiens, âgés de 22 à 32 ans, ont de la famille en France. Tous ont demandé l’asile politique. D’après RESF, ces Haïtiens fuient bien entendu la misère, mais aussi l’instabilité politique du pays : « Plusieurs personnes ont fait l’objet de menaces et de persécution, affirme Richard Moyon. Certaines d’entre elles ont des activités politiques ou sont impliquées dans des associations. »

    Le Parisien - 28/12/10

     

  • Chute mortelle d'une jeune femme percutée par un voleur dans le métro parisien

    photo_1293552753715-1-0 Métro.jpg

    Métro: insécurité! - (Cliquez sur la photo)

    Une femme de 27 ans a fait une chute mortelle lundi à Paris après avoir été violemment percutée dans le métro par un présumé voleur en fuite, a-t-on appris mardi de source policière.

    Cette femme a résisté, s'accrochant à l'objet, a été projetée à terre sur le quai, sans être blessée, par le malfaiteur qui a pris la fuite.

    Dans les escaliers, cet homme a alors croisé une autre femme de 27 ans, domiciliée en région parisienne, dont l'identité n'a pas été révélée, qui s'apprêtait à prendre le métro.

    Il l'a poussée violemment car elle entravait sa fuite. La victime a dévalé cinq ou six marches, a expliqué la source, tombant tête la première en bas des escaliers.

    Elle a aussitôt été prise de convulsions. Prise en charge par le Samu afin de recevoir les premiers soins, elle a été admise dans un état comateux à l'hôpital, souffrant d'un grave traumatisme crânien, selon l'enquête.

    Elle est décédée dans la soirée des suites de ses blessures, selon la même source.

    Des caméras de vidéosurveillance ont enregistré la scène, selon cette source, mais les images seraient de piètre qualité.

    Il n'y a eu que peu ou pas de témoins directs, a ajouté la source précisant que l'agresseur présumé n'était pas masqué.

    Selon une autre source policière, ce genre de faits est assez rare mais il est en revanche assez fréquent que des personnes décèdent après une agression en tentant par exemple de résister à leurs agresseurs.

    AFP. 28/12/10

  • "Qu'il revienne! " : les parents de Stéphane Taponier sortent de leur silence

    photo_1293524730119-7-0 Parents st.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    "Je voudrais bien que mon fils revienne! Alors on a décidé de parler": Arlette Taponier, la mère de Stéphane, journaliste retenu en otage en Afghanistan depuis bientôt un an avec son confrère Hervé Ghesquière, sort du silence avec son mari, pour faire pression.

    Q: La semaine passée, le Quai d'Orsay a annoncé avoir reçu une nouvelle vidéo avec votre fils. Vous l'avez déjà visionnée?

    Arlette Taponier: "Non, pas encore. Mais c'est nous qui n'avons pas voulu la voir. D'abord parce que je ne pense pas qu'il y ait grand'chose. Ensuite parce que notre venue à Paris ces jours-ci était déjà programmée. On me l'a juste fait écouter au téléphone, mais je n'ai pas compris grand'chose, le son était très mauvais. J'ai juste entendu que Stéphane avait sa voix des mauvais jours".

    Gérard Taponier: "Personne parmi les proches n'a encore vu cette vidéo. On nous a juste dit qu'ils étaient très amaigris. On doit la voir mardi au Quai d'Orsay".

    Q: Vous disposez d'informations sur les négociations?

    G.T.: "C'est très dur d'en avoir. Lorsque Bernard Kouchner (ex-ministre des Affaires étrangères) était allé à Kaboul, il ne nous avait même pas téléphoné au retour. On n'a rien su, c'est un peu aberrant. Alain Juppé (ministre de la Défense depuis la mi-novembre) a l'air d'être plus consciencieux".

    Q: Vous ne savez vraiment rien?

    G.T.: "Rien du tout. C'est la DGSE qui s'occupe de ça: c'est "motus et bouche cousue". Et quand on est reçu au Quai d'Orsay, c'est très vague. On dirait que nous sommes des numéros: pour eux, c'est une chose normale. Il y a une grande table, il y a quatre personnes devant nous... Mais nous, on n'a pas l'habitude".

    Q: Rien non plus sur leurs conditions de détention?

    G.T.: "Depuis le début, ils disent qu'ils sont vivants et en bonne santé. Pour le reste, on ne sait pas, tout est secret défense".

    Q: Vous aimeriez en savoir plus?

    G.T.: "S'ils nous disent de choses concrètes, volontiers. Mais si c'est pour nous dire qu'ils sont en bonne santé, ce n'est pas la peine..."

    Q: Fin septembre, le chef d'état-major des armées Edouard Guillaud avait évoqué un "espoir raisonnable" d'une libération avant Noël. La semaine passée, la ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie a parlé d'une libération "dans de très brefs délais". Ces propos rassurants n'ont pas encore été suivis d'effet.

    G.T. "On est un peu blasés. Et agacés aussi par toutes ces déclarations. On nous a tellement raconté d'histoires jusqu'à maintenant... M. Juppé (qui revient d'une visite en Afghanistan, NDLR) a dit qu'il était confiant, mais sans donner de dates. Il est optimiste, mais cela fait presque un an qu'ils sont otages".

    Q: Qu'est-ce qui est le plus dur dans cette situation?

    A.T.: "C'est l'attente. On espérait une libération en septembre, puis à Noël... C'est toujours reporté. Je préfèrerais qu'ils ne disent rien".

    G.T.: "Les ministres s'avancent un peu trop. Quand Alliot-Marie parle de "brefs délais", on se dit que c'est imminent; et puis Noël est déjà passé... On espère toujours une bonne nouvelle, mais ça fout le cafard".

    Q: Vous avez l'impression que le maximum a été fait depuis le début?

    G.T.: "Non. C'est parti doucement, doucement... Il a fallu quatre-cinq mois pour que cela commence à bouger".

    Q: C'est votre première interview?

    A.T.: "Ca fait un an, je voudrais bien que mon fils revienne! Alors on a décidé de parler".

    Q: Vous mettez ainsi la pression sur les gouvernements français et afghan?

    A.T.: "Je l'espère. C'est pour Stéphane et Hervé..."

    G.T.: "... et leurs trois accompagnateurs. Il ne faut pas les oublier. Le jour où ils seront libérés, que vont-ils devenir? Mais Nicolas Sarkozy nous a dit qu'ils pourraient obtenir l'asile en France".

    Q: Vous lisez beaucoup les journaux?

    A.T.: "Je suis obsédée par tout ce qui est écrit, j'achète tout, et je regarde tous les journaux télévisés. Mais c'est pénible en fin de compte, car cela me ressasse tout le temps la même chose".

    Q: Les déclarations polémiques du début, lorsqu'on a reproché aux journalistes leur imprudence et dénoncé les coûts de leur recherche, vous ont blessés?

    G.T.: "Il y a eu le (secrétaire général de l'Elysée) Claude Guéant, le général Jean-Louis Georgelin. Ce n'était pas très intelligent de leur part. Ca nous a fichu un sacré coup".

    A.T.: "Mais, il ne faut plus en parler maintenant. C'est fini".

    Q: Les nombreuses manifestations de soutien dans toute la France vous font tout de même chaud au coeur?

    G.T.: "Ca fait du bien, d'autant qu'il y a Florence Aubenas (marraine du Comité de soutien), une personne très sympathique, qui est passée par là et nous aide énormément. Chez nous, toutes les mairies alentour à notre petit village (Reillanne, Alpes-de-Haute-Provence) ont affiché le panneau (de soutien). Ils ont marché à fond tout de suite, sans qu'on leur demande".

    AFP. 28/12/10

  • Pour le plaisir

    800px-Jean-Baptiste-Camille_Corot_012.jpg

    Souvenir de Mortefontaine - Jean-Baptiste COROT  (1864)

    (Cliquez sur le tableau pour l'agrandir)

  • Qui est-ce? 129

    129 Qui est-ce.jpg

    129