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Blog - Page 1490

  • Berlin: une exposition sur Hitler prolongée en raison de son succès

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    BERLIN (AFP)---Une exposition sur Hitler, qui tente pour la première fois d'expliquer comment les Allemands ont vu dans le dictateur nazi un sauveur, va être prolongée de trois semaines en raison du grand succès qu'elle rencontre, ont annoncé les organisateurs jeudi à Berlin.  

    L'exposition "Hitler et les Allemands", qui se tient depuis octobre au Musée d'Histoire allemande de Berlin, devait initialement prendre fin le 6 février mais va finalement être prolongée jusqu'au 27 février, a précisé à l'AFP Rudolf Trabold, porte-parole du musée.  

    "Nous avons enregistré jusqu'ici environ 170.000 visiteurs", a-t-il ajouté.  

    65 ans après la Deuxième Guerre mondiale, l'exposition étudie les mécanismes qui ont entretenu la fascination jusqu'à l'aveuglement du peuple pour son Führer.  

    Elle met ainsi face à face les documents sur l'Holocauste et les produits de la propagande nazie qui s'infiltrait dans tous les aspects de la vie. 

    Les visiteurs découvrent par exemple une affiche qui explique comment faire correctement le salut hitlérien, un jeu de cartes aux effigies des dirigeants nazis, une tapisserie aux motifs nazis qui décorait une église.  

    De l'avis de plusieurs historiens, une telle exposition qui aborde un tabou n'aurait pas été possible en Allemagne il y a dix ans encore.

    EJP. 07/01/11

  • MAM: "N'oublions pas non plus l'otage franco-israélien retenu dans la bande de Gaza"

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    Dans un entretien à 20minutes.fr, mardi 4 janvier 2011, la ministre des Affaires étrangères Michèle Alliot-Marie inclut, pour la première fois, Gilad Shalit dans le groupe des otages français retenus à l’étranger.
     
    Il y a eu espoir que les otages en Afghanistan pourraient être libérés, qu’est-ce qui bloque?
     
    La situation de tous les otages figure en tête de mes préoccupations. N’oublions pas non plus les otages du Sahel, notre otage en Somalie et l’otage franco-israélien retenu dans la bande de Gaza. Ce sont toujours des situations extrêmement délicates et vous comprendrez que je ne veuille rien dire qui puisse gêner leur libération.
     
    Comment réagissez-vous au dernier attentat contre des chrétiens d’Orient en Egypte?
     
    C’est pour moi une préoccupation majeure que dans certaines parties du monde on ne puisse pas exercer librement ses croyances. Cela fait partie des fondements de la République française que de voir reconnu sa liberté de pensée, sa liberté de croyance, quelle qu’elle soit...
    CRIF -05/01/11
  • 135: identifié!

    135 - Antoine WATTEAU - (1684-1721) - Peintre français   

    Portrait peint par Rosalba Carriera en 1721

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Watteau

    BRAVO à Abad et à Orion!

    Le 134 n'a pas encore été identifié.

  • Qui est-ce? 134

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    134

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    (Il s'agit de la même personne)

  • Le Blanc-Mesnil (93): deux jeunes arrêtés à la Cité 212 - Colère de la communauté antillaise

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    Claudy Elisor, 33 ans, lynché à mort par une dizaine de personnes

    Après la première interpellation opérée, jeudi soir, au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), de Ibrahim D., 19 ans, les enquêteurs de la PJ ont arrêté vendredi matin son frère, Demba D., 24 ans, également soupçonné d'avoir participé à la sauvage agression de Claudy Elisor, le DJ lynché lors d'une soirée privée, la nuit du 31 décembre.

      En tout, sur les sept personnes recherchées, six étaient en garde à vue vendredi. 

     «Cinq hommes et une femme, âgés de 19 à 37 ans, ont été interpellés entre jeudi 21H15 et vendredi matin et placés en garde à vue», a précisé Sylvie Moisson, procureur de la République de Bobigny. L'opération a été conduite vendredi à 6 heures du matin à la Cité 212 par la police judiciaire de la Seine-Saint-Denis, aidée d'effectifs parisiens et de l'antigang.

    Des traces d'ADN sur les lieux de l'agression

    Le premier suspect interpellé jeudi soir l'a été non loin de cette cité, près de laquelle les auteurs de l'agression mortelle avaient été aperçus lors de leur fuite le 1er janvier au matin. Claudy Elisor venait d'être lynché par une dizaine de personnes. Un peu plus tôt dans la soirée, il avait éconduit l'un d'eux. Il a succombé à ses blessures cinq jours plus tard.

    «Des empreintes génétiques découvertes sur les lieux des faits sont en cours d'analyse et vont être recoupées avec les ADN des quatre suspects interpellés, précise une source proche de l'affaire. Une cinquième personne, également soupçonnée d'avoir pris part au lynchage de la victime est activement recherchée».

    Vendredi, Christian Lambert, préfet de Seine-Saint-Denis a rappelé que «tous les moyens avaient été mis à disposition pour identifier et arrêter, au plus vite», les agresseurs présumés de Claudy Elisor. «J'ai également reçu la veuve de la victime pour m'entretenir avec elle et l'assurer de mon soutien», a ajouté Christian Lambert.

    Colère et inquiétude de la communauté antillaise

    Jeudi, la communauté antillaise faisait entendre sa colère, choquée par l'absence de réaction du gouvernement. La belle-mère du défunt avait lancé jeudi sur les ondes de RTL un appel poignant pour que les langues se délient afin de retrouver les agresseurs.

    Le Parisien - 07/01/11

  • Le DJ lynché est décédé

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     (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Claudy Elisor, le DJ amateur agressé au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) par une dizaine d’inconnus, au cours de la nuit du réveillon de la Saint-Sylvestre, a succombé à ses blessures hier en fin d’après-midi. Déclaré en état de mort clinique vers 15h30, ce père de famille de deux enfants, employé à la SNCF, est décédé quelques heures plus tard.

    Les médecins de l’hôpital Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine) auront tout tenté pour le sauver. « Il était plongé dans le coma depuis son agression, relate une source proche de l’affaire. Il souffrait de très graves blessures, notamment au niveau de la tête. Par ailleurs, il était resté de longues minutes en arrêt respiratoire avant d’être secouru par le Samu. »

    Ses agresseurs n’ont toujours pas été identifiés

    Françoise, sa belle-mère, nous avait expliqué, à plusieurs reprises, que sa fille et ses deux enfants — un garçon de 7 ans et une fille de 4 ans — ainsi que toute la famille gardaient, malgré tout, « espoir de le voir se rétablir ».

     Né aux Abymes en Guadeloupe, Claudy, 33 ans, a été littéralement lynché par plusieurs jeunes garçons, armés de poings américains, de matraques et de chaises. Quelques minutes avant la sauvage agression, le jeune homme avait aidé le vigile à éconduire une personne qui tentait de s’introduire dans la salle dans laquelle était organisée cette soirée privée, à l’occasion du Nouvel An.

    Les faits s’étaient déroulés vers 5 heures, le 1er janvier. « La soirée touchait à sa fin, rappelle un participant. Un homme de grande taille s’est présenté à l’entrée en expliquant que c’était sa soirée et sa salle et qu’il fallait le laisser entrer. Il avait été gentiment dissuadé mais il avait menacé de revenir avec des amis pour se venger. » L’inconnu était revenu avec plusieurs complices pour s’en prendre à Claudy.

    « Ces types se sont déchaînés sur lui alors qu’il se trouvait déjà à terre et sans défense, ajoute la même source. Ses agresseurs sont ensuite tranquillement repartis. » Selon les investigations menées par les policiers du service départemental de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis, les auteurs des faits ont pris la fuite en direction de la cité 212, située à proximité des lieux de l’agression. Les policiers tentent toujours de les identifier.

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    Quelques heures après le décès du DJ, sauvagement agressé le 31 décembre au beau milieu d'une fête privée au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), sa belle mère lance un appel citoyen.

      Sur les ondes de la radio RTL, elle a exhorté les parents des auteurs à se poser des questions.

    «Vous feriez mieux de poser la question à vos enfants: tu es sûr que tu n'y es pour rien dans cette histoire? Si tu connais quelque chose, va à la police, dis quelque chose», plaide la belle-mère de la victime. Estimant que les familles des auteurs ont sans doute entendu quelques bruits au matin de l'agression quand ils sont rentrés chez eux, elle demande à ce que la loi du silence soit brisée pour aider les enquêteurs.

     

    Agé de 33 ans, père de famille, Claudy Elisor a été plongé dans un profond coma après les violences mais ne s'est jamais réveillé.

    Le Parisien - 06/01/11

  • Yvelines: une famille séquestrée et pillée par trois jeunes encagoulés

    Une mère de famille et ses deux enfants ont été séquestrés pendant une heure et demie dans la nuit de mercredi à jeudi à Vernouillet par un trio d'adolescents encagoulés, gantés et armés d'un pistolet mitrailleur.

    Les voleurs se sont emparés d'environ 4000 € de bijoux, d'un téléviseur écran plat, d'une console de jeux, trois téléphones et un ordinateur portable ainsi que deux appareils photos.

     Ils ont ensuite exigé que la maîtresse de maison leur remette sa carte bancaire et qu'elle leur en révèle le code secret.

     Deux des trois malfaiteurs sont partis à bord de la Golf Break de la propriétaire tandis que le troisième continuait de tenir les victimes en respect. Ils ont défoncé le portail et se sont rendus à la Poste pour retirer 1980 € au distributeur avant de revenir chercher leur complice. Peu avant 1 h 30, le trio a quitté les lieux à bord de la Golf.

    La victime et ses enfants sont choquées par cette expérience, souligne une autre source. Mais personne n'a été blessé. Malgré les cagoules, ils pensent que leurs agresseurs devaient avoir entre 16 et 17 ans. La DRPJ de Versailles mène l’enquête.

    Le Parisien - 06/01/11

  • EPIPHANIE - L'adoration des Mages

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    Jean Fouquet - XVème siècle

    Une fête de la Lumière

    L'Épiphanie, tout comme le cycle de Noël, est loin d'être d'origine purement chrétienne, mais tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière.

    En effet, Noël, avant d'être un jour, est d'abord un cycle, qui atteint son apogée au jour du solstice d'hiver (ou en tout cas un des jours associés au solstice) le 25 décembre. Cette nuit du solstice, qui est la plus longue de l'année, signifie le retour de la Lumière ou, mieux, la renaissance de la Lumière à l'origine de toutes choses. Puis la célébration se prolonge durant un nombre de jours hautement symbolique : 12 jours. Ainsi Noël est-elle une fête qui dure 12 jours et 12 nuits, le 12 représentant entre autres la Totalité (12 mois, 12 heures, 12 Apôtres, 12 Dieux Olympiens, 12 Imâms dans le shî'isme duodécimain, etc.)

    Le cycle prend fin le 6 janvier. C'est à ce moment que les jours commencent à s'allonger de façon sensible, que la promesse de la nuit solsticiale est tenue. On célèbre alors l'Épiphanie, la manifestation de la Lumière. La galette symbolise par sa forme ronde le soleil. Il est à noter également que c'est ce jour (en tout cas son équivalent, car le calendrier de la Rome antique n'était pas le nôtre) qu'avait lieu la fête des 12 Dieux Epiphanes (autrement dit les 12 Olympiens).

    Le christianisme s'est coulé dans ce moule dont le sens symbolique n'est pas altéré, le Christ étant assimilé à la Lumière. (Wikipédia)

  • Pour le plaisir

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    "La Parisienne"

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    "Les dames en bleu"

    (Cliquez sur les photos)

     Fresques crétoises, art minoen (entre 1550 et 1450 av. J.-C.)

  • (2) La vieille dame décédée après un vol s'appelait Simone - A 86 ans, elle s'était débattue courageusement contre son agresseur

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    Elle n'avait plus qu'une cinquantaine de mètres à faire pour arriver, saine et sauve, à son domicile. Simone, une habitante de Vauvert (Gard) âgée de 86 ans, est décédée mercredi matin à l'hôpital Carémeau de Nîmes, cing jours après avoir été violemment agressée par un inconnu qui voulait lui voler son sac à main.

     
     Vendredi, l'octogénaire, qui vivait seule, avait été retrouvée inanimée par sa voisine, le corps étendue sur le trottoir, et le visage en sang. Atteinte d'une hémorragie cérébrale, elle avait été transportée inconsciente à l'hôpital, où elle est restée dans le coma pendant cinq jours avant de succomber à ses blessures.

     Il est environ 18 heures quand Simone, rentrant d'une course, va garer sa à une centaine de mètres de son domicile. Après avoir parcouru la moitié du chemin qui la sépare de son pavillon, un inconnu surgit, et tente de lui voler son sac à main. «L'anse du sac était arrachée, ce qui tend à prouver que la victime s'est débattue», explique une source proche de l'enquête. Sans doute poussée par son agresseur, la victime chute alors violemment sur le sol. «Elle avait du sang qui coulait de ses oreilles et de sa bouche», se souvient, horrifiée, la voisine qui a découvert le corps. Les pompiers transportent le corps de Simone, inanimée, à l'hôpital Carémeau, où elle décède mercredi matin des suites de ses blessures.

    Décrite comme «vive et sympathique» par ses voisins, Simone avait passé sa vie à Paris, où elle tenait un magasin de luminaires dans le VIIIe arrondissement. Elle avait emménagé il y a vingt ans à Vauvert, une ville de 10 000 âmes située entre Nîmes et Montpellier, où elle avait choisi de passer sa retraite. Célibataire et sans enfant, «elle était encore très alerte, et n'était pas du genre à se laisser faire», se souvient son frère, Jean. Décrite par un ami comme «discrète, mais aimant beaucoup bavarder», elle passait l'essentiel de ses journées à promener la petite chienne du garagiste du quartier, qui en échange, lui laisser garer sa voiture dans son garage.

    Quelques heures après les faits, le sac à main de Simone est retrouvée par les gendarmes à plusieurs centaines de mètres du lieu de l'agression. Seule sa carte bleue est manquante. Si aucune piste n'est écartée, «celle du rôdeur en quête d'argent est privilégiée», précise un gendarme. Une enquête pour «vol avec violence ayant entraîné la mort» a été ouverte, et une autopsie ordonnée par le parquet de Nîmes. «Le quartier est bouleversée : c'est le prototype de la victime isolée, vulnérable, qui ne demandait rien à personne», glisse une source proche de l'affaire. Un appel à témoins a été diffusé mercredi dans la presse locale pour tenter de retrouver l'agresseur.

    Le Parisien - 05/01/11

     

  • Un petit pingouin heureux

  • Hippodrome de Chantilly: l'affaire Woerth serait-elle une affaire Fillon ou une affaire du Système?

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Communiqué de Marine Le Pen, vice-présidente du Front National

    Décidément dans la sulfureuse affaire de l’hippodrome de Chantilly, l’écurie présidentielle ne semble ni donner le visage de la sérénité, ni celui de la solidarité intergouvernementale.

    Si M. Woerth ne doutait pas du caractère irréprochable de la procédure de bradage de ce bien public, pourquoi ressent-il le besoin de tenter de refiler le mistigri à Fillon ?

    L’hippodrome qui cache les écuries d’Augias

    On se souvient que le chef de l’Etat s’était discrédité, en s’essayant à une opération d’autoblanchiment indigne et grotesque. On se rappelle également que le Président de l’Immobilier de l’Etat, n’était autre que Georges Tron, autre apostat villepiniste, avant sa nomination au poste de secrétaire d’Etat auprès…d’Eric Woerth.

    Au-delà de cette affaire particulière qui doit être traitée dans le cadre des procédures judiciaires légales, se pose clairement la question du bradage de biens nationaux et leur possible captation par une bande d’initiés plus ou moins proches du Système.

    Le FN s’opposera à la spoliation de biens publics

    Marine Le Pen, vice présidente du Front National, demande que soient rendues publiques toutes les ventes des biens immobiliers ou fonciers (casernes, hôpitaux, gendarmeries, autoroutes….) appartenant à l’Etat ou aux collectivités et qu’un contrôle des prix de vente et des procédures soit immédiatement effectué. Les conclusions de cette expertise doivent être rendues publiques pour être contrôlées par les Français eux-mêmes.

    Elle avertit que dès lors que le Front National aura une parcelle de pouvoir local ou national, les instances publiques auront la mission de vérifier les conditions de cessions financières et procédurales de ces biens et, en cas d’irrégularités, il sera procédé à leur renationalisation et à la sanction des profiteurs.

    Nations Presse Info - 05/01/11

  • Fadela Amara nommée Inspectrice générale des affaires sociales

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    L'ancienne secrétaire d'Etat à la politique de la ville Fadela Amara a été nommée mercredi 5 janvier en conseil des ministres Inspectrice générale des affaires sociales. Agée de 46 ans, l'ancienne présidente de Ni Putes ni Soumises, association de défense des droits des femmes dans les quartiers, a été nommée "au tour extérieur" sur proposition du ministre du travail, Xavier Bertrand, et de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale, Roselyne Bachelot.

    Fadela Amara était entrée au gouvernement après l'élection de Nicolas Sarkozy en 2007, avant d'en être écartée à l'occasion du remaniement du 14 novembre 2010. Elle s'était peu avant prononcée très clairement en faveur de la nomination du ministre de l'écologie, Jean-Louis Borloo, au poste de premier ministre.

    "CONTINUITÉ"

    Interrogée sur la chaîne Public Sénat, Fadela Amara a déclaré mercredi avoir accepté de rejoindre l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) pour "continuer à regarder ce qui se passe politiquement, à évaluer les politiques publiques notamment sur les secteurs qui m'intéressent, la cohésion sociale, les questions de santé et d'accès aux droits". "C'est la continuité du combat que je mène depuis très longtemps", a-t-elle dit.

    Le Monde - 05/01/11

    Mais quel combat mène-t-elle exactement?

  • Premier procès pour discrimination raciale au Marché de Rungis

    La société gérant le marché de Rungis, le plus grand marché de produits frais au monde, va pour la première fois comparaître en justice à Créteil pour discrimination raciale envers un négociant en volailles d'origine maghrébine.

    En avril 2010, Karim R., négociant en volailles à Rungis depuis plusieurs années, avait porté plainte estimant que la Semmaris refusait de lui accorder un emplacement dans un nouveau bâtiment en cours d'aménagement en raison de ses origines maghrébines.

    Selon la Semmaris, qui conteste ces accusations, ce refus notifié en 2008 n'était motivé que par de strictes raisons légales: Karim R. et sa société Felix Fort avaient à plusieurs reprises violé le règlement intérieur qui interdit de revendre des marchandises à des sociétés qui ne sont pas dûment immatriculées au registre du commerce, affirme-t-elle.

    Après avoir diligenté une enquête, le parquet de Créteil a estimé au contraire que la discrimination était bel et bien établie.

    "Dans la lettre de refus (d'un nouvel emplacement, ndlr), la Semmaris se fondait sur l'existence de contraventions au règlement, mais là où le bât blesse, c'est que plusieurs autres sociétés ont commis les mêmes infractions et qu'elles disposent pourtant d'un emplacement", a précisé une source judiciaire.

    Selon les plaignants, la discrimination ne fait aucun doute.

    "C'est clair, nos concurrents ne veulent pas d'Arabes ici. Ils ne me parlent plus, ils appellent les fournisseurs pour les dissuader de me livrer", affirme à l'AFP Abdeslam R., directeur général de la société Felix Fort qu'il a reprise il y a huit ans et dont il a confié les rênes à un de ses enfants.

    A l'entendre, l'enjeu est avant tout économique. "Pour un grossiste, il n'y a pas d'autres endroits que Rungis", explique ce sexagénaire qui affirme avoir été le premier à y vendre de la viande halal, imité ensuite par ses concurrents.

    "Si on ne me donne pas une place dans le nouveau bâtiment, je serai tout simplement obligé de mettre la clé sous la porte. C'est l'avenir de mes enfants qui est en jeu", soutient-il.

    Contactée par l'AFP, la Semmaris n'a pas souhaité faire de commentaire sur "les contentieux en cours".

    Interrogé il y a quelques mois sur ce dossier, le PDG de la société, Marc Spielrein avait réfuté toute discrimination. "Il suffit de voir la diversité des personnes qui travaillent au marché de Rungis pour voir que ces accusations ne tiennent pas", avait-il déclaré à l'AFP, évoquant également la situation financière fragile de la société Felix Fort.

    Alors que le nouveau pavillon de la volaille doit ouvrir ses portes en mars, l'avocat des plaignants, Me Maxime Cessieux, a ouvert un autre front pour éviter une "situation irréversible".

    Depuis la mi-octobre, des travaux de redécoupage interne sont en cours pour attribuer les emplacements dans le nouveau bâtiment.

    "On a envoyé à la Semmaris une mise en demeure pour stopper ces travaux et réintégrer dès maintenant la Société Felix Fort avant qu'il ne soit trop tard", a expliqué Me Cessieux à l'AFP.

    Si cette démarche n'aboutit pas, l'avocat envisage de saisir en référé la justice administrative.

    "On ne fait pas ça pour faire de la procédure. Notre seul but c'est de permettre à la société Felix Fort de survivre", assure-t-il.

    Créé en 1969, le MIN de Rungis est le plus grand marché de produits frais au monde.

    AFP. 05/01/11

  • Une octogénaire décède dans le Gard après avoir été agressée par un voleur

    Une femme de 86 ans, grièvement blessée par un homme qui lui avait arraché son sac le 30 décembre dans un quartier résidentiel de Vauvert (Gard), au sud de Nîmes, est décédée au cours de la nuit de mardi à mercredi, a-t-on appris auprès des gendarmes.

    L'auteur de l'agression - vraisemblablement un jeune homme, selon un témoin de la scène - n'a pas été identifié pour l'instant.

     D'après la même source, l'octogénaire a tenté de lui résister, ce qui a provoqué sa chute au sol. A l'arrivée des pompiers, la victime était inconsciente.

    Selon la compagnie de gendarmerie de Vauvert, c'était une dame active qui ne connaissait pas de problèmes de santé particuliers. L'enquête qui s'est concentrée sur le voisinage n'a rien donné à ce stade.

    Ces faits de violences sur personne vulnérable ayant entraîné la mort sont passibles de 20 ans de réclusion.

    AFP. 05/1 01.11



  • Woerth donne une version contestée de la vente de l'hippodrome de Compiègne

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    L'ancien ministre Eric Woerth a assuré mercredi que Matignon avait tranché en mars 2010 sur la cession par l'Etat de l'hippodrome de Compiègne (Oise), une version contestée par des plaignants et pas totalement confirmée par les services du Premier ministre.

    Matignon a confirmé l'existence de cette réunion et a assuré qu'à cette occasion "les deux ministères de l'Agriculture (chargé des forêts) et du Budget (administration des domaines) sont tombés d'accord sur la procédure de vente".

    "Il y a eu une réunion informelle à Matignon, au niveau des conseillers, à la demande du ministère de l'Agriculture", a déclaré à l'AFP l'entourage du Premier ministre.

    Selon une source gouvernementale, s'il y avait eu demande d'arbitrage par Matignon, une réunion interministérielle aurait été organisée avec un relevé de décisions à la clé, "ce qui n'a pas été le cas".

    De son côté, l'avocat de plaignants dans cette affaire a jugé "curieux" les arguments présentés par l'ancien ministre, en particulier le calendrier de la vente.

    "Il est curieux que M. Woerth puisse dire que Matignon aurait tranché la question de la vente de l'hippodrome de Compiègne lors d'une réunion datée du 12 mars 2010 (..) alors que M. Woerth donnait "l'accord de l'Etat" sur le principe de cette vente dès le 29 octobre 2009", a déclaré Me Grégory Saint Michel à l'AFP.

    L'accord de l'Etat donné à la Société des courses de Compiègne "juridiquement vaut vente", estime Me Saint Michel, avocat de députés PS qui ont porté plainte contre X dans cette vente et ont également réclamé la saisine de la Cour de justice de la République (CJR).

    "Il est surprenant que M. Woerth cite France Domaine dont il est l'autorité de tutelle pour justifier son accord à la cession du 29 octobre 2009 alors que la note de France Domaine sur ce sujet est datée du 24 décembre 2009", ajoute l'avocat.

    La CJR pourrait se prononcer le 13 janvier sur l'ouverture ou non d'une enquête concernant l'ancien ministre du Budget et du Travail dans cette affaire.

    Parallèlement, le parquet de Compiègne a ouvert fin décembre une information judiciaire contre X à la suite de la plainte de députés PS et a demandé le dépaysement du dossier. Cette information judiciaire concerne le volet non ministériel de l'affaire.

    Cet été, Le Canard enchaîné a accusé Eric Woerth, maire de Chantilly (Oise), d'avoir bradé en mars 2010 pour 2,5 millions d'euros une parcelle de la forêt de Compiègne comportant un golf et un hippodrome, lorsqu'il était ministre du Budget. M. Woerth avait déjà vivement contesté la version de l'hebdomadaire.

    Fin août 2010, le journal satirique avait publié une lettre embarrassante signée de l'ancien ministre de l'Agriculture. Dans ce courrier de 2003, Hervé Gaymard refusait la vente de l'Hippodrome du Putois, estimant qu'elle n'était "pas possible" du point de vue légal.

    AFP. 05/01/11

  • Meurtre de Toulouse: Fatima, 70 ans , a été tuée de 389 coups de couteau

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    Cité Empalot à Toulouse

    Malgré ses cris, aucun voisin n'est venu à son secours ni n'a appelé la police

    Son corps portait les traces de plus de trois cents coups de couteau lorsqu’une voisine a découvert dimanche matin le cadavre de Fatima Amine, 70 ans, une retraitée d’origine marocaine, dans son petit appartement de Toulouse (Haute-Garonne). Elle a subi des sévices effroyables. Son bourreau, un voisin, Samir, 33 ans, a été arrêté et mis en examen hier pour « homicide volontaire précédé ou suivi d’actes de torture et de barbarie » et de « tentative d’extorsion de fonds ».

    Il a été écroué. Fatima Amine vivait modestement d’une maigre retraite d’à peine 600 € dans cette tour de la cité Empalot, un quartier populaire de la Ville .

     

    Le calvaire de la vieille dame aurait duré plusieurs heures, samedi soir. Samir, qui vivait seul au treizième étage, descendait souvent au domicile de Fatima, quatre étages plus bas. Elle offrait généreusement un thé ou un café à ceux qui frappaient à sa porte. Vers 22 heures, selon le scénario décrit par l’auteur présumé du meurtre, il aurait demandé de l’argent à Fatima pour acheter des cigarettes. Cependant, Samir a pris un plaisir sadique à torturer la victime, piquée à l’arme blanche à d’innombrables reprises par son meurtrier. « Il voulait obtenir des renseignements dans une intention crapuleuse », indique Michel Valet, le procureur de Toulouse, peu loquace sur les motivations du jeune homme.

    Le suspect est décrit comme un marginal

    « Je le croisais souvent dans l’ascenseur. Il ne disait jamais bonjour. L’air toujours bizarre », confie un habitant de l’immeuble. « Hier dans la tour, il se racontait que la victime aurait conseillé à une amie du meurtrier de s’éloigner de cet homme », renchérit une autre voisine. Une hypothèse qui accrédite l’acharnement déployé par l’agresseur sur sa victime. Samir, aux dires des résidents, était très assidu auprès des femmes de la résidence et recevait souvent chez lui.

    Ce n’est que vers 5h30 le dimanche matin que Samir aurait abandonné Fatima. Il est remonté alors chez lui, où il a bien pris soin de changer de vêtements pour ne pas apparaître taché de sang. Puis, un peu plus tard dans la matinée, il a signalé à d’autres voisins qu’il s’était sans doute passé quelque chose de grave au 9e étage. Samir, décrit comme un marginal consommant alcool et médicaments à haute dose, a été très vite confondu par les enquêteurs de la sûreté avant de reconnaître les faits sans pour autant les expliquer.

    Le Parisien - 05/01/11

     

     

     

     

  • VIDEO - Forum: la place des Musulmans à Marseille

    http://www.lcm.fr/fr/programmes/date-20110104/id-204880-forum

  • Invités : Nasséra Benmarnia, directrice de l'union des familles musulmanes, Mossa Fili Koité, responsable de la mosquée Bilal à St Charles, Stéphane Ravier, élu FN, et Maurad Goual, élu divers droite.
  • A voir et à écouter!

    Le 4 janvier 2011

  • Qui est-ce? 135

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