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Blog - Page 1496

  • Qui est-ce? 124 - 125

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    (Cliquez sur la photo)

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  • 123: identifié

    123 -  Fritz SAUCKEL   (1894 - pendu à Nuremberg en 1946)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Fritz_Sauckel

    Bravo à Aramis et à Orion,  décidément très forts!

    Merci d'avoir participé!

    Le jeu continue!

  • Une vieille dame sauvagement assassinée dans le Val d'Oise: la peine de mort doit être rétablie d'urgence!

    Communiqué de Presse d’Alexandre SIMONNOT, Membre du Comité Central du Front National, Secrétaire départemental du FN dans le Val-d’Oise :

    Une vieille dame de 85 ans, Denise D., a été sauvagement assassinée dans sa maison hier matin à Saint-Leu-la-Forêt dans le Val-d’Oise.

    Rappelons que c’est dans ce département que Nicolas Sarkozy nous avait promis de nous « débarrasser de la racaille » et que rien n’a été fait !

    Ce crime résulte de l’inaction totale du gouvernement en matière d’insécurité. Alors qu’il faudrait renforcer considérablement nos moyens policiers, judiciaires et pénitentiaires, Nicolas Sarkozy fait exactement tout le contraire.

    Ce crime est également la conséquence de l’abolition inconsciente et irresponsable de la peine de mort dans notre pays, alors que celle-ci doit être rétablie d’urgence pour protéger les innocents et mettre définitivement hors d’état de nuire les criminels !

    21/12/10

  • Bruno Gollnisch sur France 3


    Bruno Gollnisch en interview sur Soir 3
    envoyé par brunogollnisch. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

    21/12/10

  • Mediator: la caste UMPS doit s'expliquer!

    Communiqué de Presse de Marine LE PEN, vice-présidente exécutive du FN :

    Le scandale du Mediator pointe de lourds dysfonctionnements de l’administration sanitaire et pourrait déboucher sur des responsabilités politiques. Cette affaire gravissime appelle plusieurs remarques :

    1. La lumière doit être faite sur les informations remontées aux cabinets ministériels et sur le fait que la France ait attendu 2009 pour retirer un médicament que l’Espagne avait déclassé dès 2003. Les ministres de la Santé PS et UMP qui se sont succédé de 1998 à 2009 prétendent tous ne pas avoir été mis au courant des alertes lancées par les autorités sanitaires. On peut s’interroger sur cette très étrange ignorance au plus haut niveau de l’Etat. Si néanmoins elle était confirmée, elle appellerait une nécessaire remise en question de l’autonomie d’organismes comme l’AFSSAPS.

    2. Cette affaire est révélatrice de l’insupportable culture du conflit d’intérêts dans l’administration française : le manque d’indépendance de certains experts de l’AFSSAPS par rapport aux laboratoires pourrait expliquer l’inertie française sur ce dossier. Le personnel politique lui-même ne donne pas l’exemple : la folie du plan de vaccination contre la grippe A l’hiver dernier en est une parfaite illustration, de même que la récente nomination de Nora Berra au secrétariat d’Etat à la Santé malgré son passé professionnel dans l’univers pharmaceutique.

    3. Cette affaire illustre enfin le manque de courage politique des dirigeants UMPS : ils n’ont jamais imposé aux médecins l’obligation d’une formation continue indépendante, préférant laisser les laboratoires assurer cette tâche.

    Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, consciente de l’indignation que suscite chez les Français ce énième et gravissime scandale sanitaire, demande au ministre de la Santé :

    - Que l’on sorte de la culture de la dissimulation et que la lumière soit faite sur la responsabilité de tous les ministres de la Santé PS et UMP depuis 1998,

    - Que l’on mette fin au travers grandissant du conflit d’intérêts en révoquant tous les responsables administratifs et politiques qui ne sont pas en mesure de prouver leur totale indépendance par rapport à des lobbies privés, et en édictant des règles claires pour l’avenir,

    - Que l’on mette enfin en place une politique nationale de formation continue des médecins qui ne repose pas sur la « visite médicale » des laboratoires pharmaceutiques.

    Site officiel du Front National - 21/12/10

  • Bruno Gollnisch sur LCI - 21 décembre 2010

     

    Site officiel du Front National - 21/12/10

  • Noël: des crèches du monde entier à Landogne

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    (Cliquez sur la photo)

    A l'approche des fêtes, les ruelles du village de Landogne, dans le Puy-de-Dôme, brillent d'une lumière inhabituelle: les fenêtres éclairées des habitations abritent des crèches du monde entier, entretenant la magie de Noël pour des milliers de visiteurs.

       
     Jusqu'au 2 janvier, 82 réalisations sont exposées derrière les vitres des maisons, dans les granges, au coeur de l'église ou dans des vitrines en bois fabriquées pour l'occasion.

    Ce parcours gratuit d'une heure trente commence à l'entrée du village puis chemine dans les rues où se succèdent des crèches du Chili, d'Allemagne, de Sicile, de Pologne, du Bénin, de Slovaquie, de Californie, de Bolivie, du Liban, du Danemark, du Pérou, des Philippines ou du Guatemala.

    Statuettes en bois du Rwanda, figurines aux couleurs chatoyantes du Mexique, santons de Provence ou babouchkas de Russie: depuis 1997, la manifestation offre un voyage autour du monde.

    Les matières sont aussi variées que les pays: paille, bronze, tissus brodés, peinture, soie, carton, papier ou bois.

    Une crèche est entièrement fabriquée avec des cornes d'animaux, une autre avec des morceaux de pioches en acier.

    Seuls les bruits de pas dans la neige et les chants de Noël diffusés sur le chemin troublent la tranquillité de ce village d'à peine plus de 200 habitants, qui reçoit pourtant chaque année entre 12.000 à 15.000 visiteurs à cette occasion.

    "C'est très serein, nous voulons conserver l'image d'un Noël traditionnel, qui ne soit pas commercial", explique Monique Labasse, présidente de l'association organisatrice, "Crèches du monde".

    Une soixantaine de bénévoles s'activent chaque année, confectionnant des objets et des pâtisseries ou servant des boissons chaudes.

    "Nous avons commencé avec sept crèches, aujourd'hui nous en possédons environ 350", souligne Mme Labasse. "Au départ, nous n'avions tout simplement pas de lieu pour les installer, d'où l'idée d'utiliser les habitations et de faire appel aux villageois", dit-elle.

    Acquisitions, dons, prêts: "chaque crèche a une histoire" et les anecdotes fourmillent, parfois insolites, parfois plus dramatiques, comme celle d'une crèche de Bali, en Indonésie, acquise auprès d'une école de sculpture juste avant le tsunami de décembre 2004: "je n'ai jamais réussi à avoir de nouvelles de ceux qui l'ont fabriquée", raconte Mme Labasse.

    Une crèche du Rwanda a été rapportée par une religieuse enseignant dans une école du pays, une autre provient d'un orphelinat du Cambodge, offerte par un couple parti adopter un enfant.

    Une autre encore, réalisée par un artiste de Cracovie en Pologne, entièrement conçue avec des morceaux de papiers collés, a été envoyée par l'intermédiaire d'un enseignant polonais de Clermont-Ferrand.

    En 2004, la manifestation a accueilli un record de 20.000 visiteurs: "c'était l'année de la mort de Yasser Arafat et nous avions des crèches qu'il avait offertes à Jacques Chirac, prêtées par le musée de Sarran (Corrèze)", se souvient Mme Labasse.

    Pour cette 14e édition, la Russie a été mise à l'honneur dans le cadre de l'année France-Russie: trente artistes français ont été invités à exposer leurs oeuvres sur ce thème. Un prix doit leur être remis dimanche.

    AFP. 21/12/10

     

     

  • Espace Schengen

    La France et l'Allemagne ont informé mardi la Commission européenne de leur décision de bloquer l'entrée de la Bulgarie et de la Roumanie dans l'espace Schengen, a annoncé un de ses porte-parole.

    Photographe : Patrik Stollarz :: Montage photos présentant les ministres français et allemand de l'Intérieur, Brice Hortefeux (d) et Thomas de Maizière. 
    La Commissaire européenne en charge de la Sécurité, Cécilia Malmström, a reçu mardi une lettre signée par les ministres français et allemand de l'Intérieur, Brice Hortefeux et Thomas de Maizière, dans laquelle ils jugent "prématuré" d'autoriser l'entrée de la Bulgarie et de la Roumanie dans l'espace Schengen en mars 2011, a déclaré son porte-parole, Michele Cercone.

    Les deux ministres insistent sur les carences que ces deux pays ont montré en matière de lutte anticorruption et de lutte contre la criminalité organisée, a-t-il précisé.

    La Commission n'a aucun pouvoir de décision en la matière, a-t-il rappelé. "Elle doit être prise à l'unanimité par les Etats", a-t-il expliqué.

    Le président roumain Traian Basescu a estimé que cette décision était "un acte de discrimination" à l'égard de son pays.

    Des experts des Etats membres se sont rendus en Roumanie et en Bulgarie et vont présenter un rapport en janvier pour permettre aux gouvernements de prendre leur décision. "La Commission n'a pas à rendre d'avis sur ce rapport", a-t-il souligné.

    Les prises de positions de la France et de l'Allemagne signifient que l'unanimité ne sera pas obtenue et que l'entrée de la Bulgarie et de la Roumanie sera différée.

    AFP. 21/12/10 

  • Val d'Oise: Denise, 85 ans, tuée dans sa maison

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    La maison de Denise - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Toute une ville est sous le choc. Hier matin, Denise D., 85 ans, a été découverte morte dans son petit pavillon de l’Ancien-Chemin-de-Paris à Saint-Leu-la-Forêt. La vieille dame, une figure locale, a été retrouvée ligotée et aurait été violemment frappée. D’après nos informations, le drame se serait noué dans la soirée de dimanche.

    Un ou plusieurs individus auraient pénétré dans la maison aux murs gris et aux volets vert et rose avant de fouiller les lieux et de s’attaquer à Denise, qui vivait seule en compagnie de son chien. Dans le voisinage, personne n’a entendu quoi que ce soit. Ce n’est qu’hier matin qu’un membre de la famille de Denise, inquiet de ne pas parvenir à la joindre, a alerté un voisin, lui demandant d’aller la trouver. C’est en pénétrant dans la maison qu’il a découvert l’horreur.

    L’annonce de sa mort a choqué les habitants

    L’enquête a été rapidement confiée à la brigade criminelle de Versailles. Les hommes de l’identité judiciaire ont effectué de nombreux relevés hier après-midi afin de recueillir le maximum d’indices. Le substitut du procureur de la République s’est également rendu sur les lieux. Hier soir, le ou les auteurs des faits étaient toujours activement recherchés.
    Dans l’après-midi, la présence policière dans et aux alentours de la maison a rapidement alerté le voisinage. L’annonce de la mort de Denise a choqué de nombreux habitants de Saint-Leu-la-Forêt qui connaissaient bien cette vieille dame, installée dans la commune depuis des décennies. A commencer par Sébastien Meurant, le maire UMP : « C’est un crime odieux. Comment peut-on être capable de commettre une telle horreur ? Elle était une proie facile, sans défense », lâche-t-il, ému. Denise, il la connaissait personnellement. « Cette petite mamie était très connue, elle parlait à tout le monde, elle a longtemps participé à la vie de la commune. » Dans le quartier, chacun garde l’image d’une dame charmante et souriante qui s’était par le passé beaucoup promenée dans la ville. Plus récemment, affaiblie par l’âge, elle avait pris l’habitude de s’appuyer pendant de longues heures à la barrière de son portail qui donne sur la rue de Paris pour engager la conversation.

    Le Parisien - 21/12/10

     

     

     

  • Dix pays de l'UE approuvent l'idée d'une ambassade palestinienne

    Quelque 10 pays de l'Union européenne ont prévu d’améliorer le statut des bureaux de représentation palestinienne dans leurs capitales dans un avenir proche, a déclaré, dimanche 19 décembre 2010 le chef négociateur palestinien Saeb Erekat. Ce changement signifie que les missions palestiniennes vont faire un pas de plus vers le statut d’ambassades, dont, il faut le rappeler, les employés jouissent de la complète immunité diplomatique.
     
    Saeb Erekat a déclaré que cette démarche fait suite à la décision récente de la Norvège de mettre à niveau le statut du bureau de représentation palestinienne dans le pays. En outre, la décision intervient dans le sillage de la reconnaissance, par trois pays d'Amérique du Sud, d’un Etat palestinien sur les frontières de 1967, a-t-il ajouté.
     
    Photo : D.R.
     
    Source : Jerusalem Post
     
    CRIF - 20/12/10

  • Grenoble: une famille séquestrée et dévalisée par cinq jeunes à son domicile

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    Cité de La Villeneuve - (Cliquez sur la photo)

    Un couple d’une soixantaine d’années, leur fille âgée d’une vingtaine d’années et une amie de 89 ans venue leur rendre visite ont été séquestrés vendredi dernier dans un appartement du quartier de La Villeneuve à Grenoble. Une cité secouée pendant l’été par des violences urbaines et qui, depuis, est placée sous haute surveillance policière.

     


    Simone, 89 ans, tient à raconter cette soirée de cauchemar dont elle a été victime, « pour que les gens sachent qu’aujourd’hui encore on peut être attaqués au cœur de la Villeneuve ». Mais aussi « pour briser la loi du silence, car les amis qui se trouvaient avec moi ont peur de parler, par crainte de représailles ».

    Sous la menace de couteaux

    L’octogénaire avait été invitée à dîner vendredi soir par ce couple d’amis, quand, peu après 20h30, tout a basculé : « On venait de terminer le repas quand on a sonné à la porte. Mon ami s’est levé pour ouvrir. Il s’est retrouvé face à cinq énergumènes cagoulés, en survêtement. C’étaient des jeunes. Le premier avait un revolver à la main, les autres des couteaux. Mon ami a essayé de les empêcher de rentrer. Mais ils ont forcé le passage. Ils étaient déterminés. Ils ont demandé à tout le monde de se coucher par terre. Moi, j’ai refusé en leur disant que j’avais 90 ans. Ils n’ont pas insisté. Mais mes amis, terrorisés, ont dû obtempérer. Ils les ont ligotés, ont coupé les fils du téléphone et flanqué le sapin de Noël en l’air. »
    La fille du couple doit, elle, se mettre à genoux. « Un gars la tenait par le cou, en lui plaçant un couteau sur la gorge », enchaîne Simone. Les autres agresseurs font alors le tour des pièces en s’emparant des objets de valeur, ordinateurs, téléviseur, téléphones portables qu’ils chargent dans des chariots de supermarché laissés dans la coursive. Les victimes, face contre terre, restent sous la menace des couteaux. « Ils ont demandé les codes des cartes bleues. Deux sont partis, sans doute pour aller retirer de l’argent », raconte encore l’octogénaire, qui dit avoir « eu très peur » pour la fille de ses amis : « Ils l’ont amenée avec eux dans les chambres. J’ai bien cru qu’ils allaient la violer. Mais quand elle est revenue, elle a dit que ça allait. » Pour Simone, l’agression dure une éternité. « Peut-être une heure », précise-t-elle. Avant de prendre la fuite, les agresseurs détachent leurs victimes : « L’un des jeunes a eu le culot de s’excuser en disant qu’il comprenait mon émotion, qu’il avait lui aussi une grand-mère de 80 ans. »
    Les amis de Simone sont traumatisés. « Ils veulent quitter La Villeneuve le plus rapidement possible. Pourtant, après les émeutes de cet été, mon ami voulait rester. Mais après ce qui s’est passé vendredi, il a compris. M. Hortefeux, le ministre de l’Intérieur, avait dit qu’il ramènerait le calme. Ça n’en a pas l’air. »

     Simone et ses amis ont porté plainte. Désormais, la malheureuse a peur quand elle sort de chez elle : « Quand j’ai voulu faire mes courses samedi, j’avais l’impression de voir mes agresseurs partout. Je suis vite rentrée. »

    Le Parisien - 21/12/10

  • Déjà 31.000 adhérents au Front National

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    (Cliquez sur la photo)

    Jean-Marie Le Pen l’a annoncé triomphalement lors de la conférence de presse qu’il a tenue vendredi dernier au Carré (Siège du mouvement national, populaire et social), le Front National compte désormais 31.000 adhérents à jour de cotisation.

    Un Front National nouveau est arrivé le jeudi 9 décembre, lors de « A vous de juger », émission présentée par Arlette Chabot avec comme invitée principale Marine Le Pen. Au sortir du direct, soit une heure et demie plus tard, ils étaient déjà plus de 1.500 nationautes à avoir pris leur carte d’adhésion en ligne sur le site du Front National. Vingt-quatre heures après, 5.000 nouveaux adhérents rejoignaient la famille nationale.

    Au lendemain de l’émission de Marine, le secrétaire général adjoint du Front National, Sandrine Leroy, était confronté à un nouveau défi. Il lui fallait désormais faire enregistrer par ces services les nouvelles adhésions avant le vendredi 17 décembre, jour de la remise à l’huissier assermenté de la liste électorale pour le XIVe Congrès. Cette mission était d’autant plus difficile que les adhésions continuaient, et continuent toujours, d’affluer au Siège du Mouvement.

    Prenant le taureau par les cornes, Sandrine Leroy prit la décision le dimanche 12 au soir de mettre, dès le lendemain matin, 9 ordinateurs en ligne dans la salle des CAP du Carré et d’organiser des équipes tournantes de militants et de permanents afin de saisir l’ensemble de ces nouveaux membres.

    Travaillant nuit et jour pendant quatre journées d’affilée, ou plus exactement de 6 heures du matin à 3 heures de l'après-midi pour laisser aux ordinateurs le temps informatique nécessaire aux sauvegardes et autres ré-indexations de tables numériques, l’équipe de bénévoles remplit la mission qui lui avait été assignée avec succès, en terminant dans les délais impartis, dans la soirée du jeudi à 1 heure du matin.

    Tout au long de cette fameuse semaine, malgré une fatigue réelle, la joie de vivre était au rendez-vous. C’est dans cette ambiance torride et amicale que Yann Maréchal devait appeler sa sœur au téléphone en lui disant simplement avec une petite voix complice et ironique : « Merci Marine ! »

    NPI - 20/12/10

  • Les Français d'Abidjan sont inquiets après l'ultimatum de Sarkozy

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    Des partisans de Laurent Gbagbo - (Cliquez sur la photo)

    Les attaques quotidiennes de la presse et de la télévision ivoirienne inquiètent les plus blasés. 

    Il reçoit sur un banc de bois posé sur un bout de trottoir, comme les Ivoiriens aiment à le faire. Entre cette manie, ses traits creusés, son hâle et ses cheveux blancs, Jean-Luc Cancel n'a guère besoin d'étaler ses années d'Afrique. «J'ai derrière moi 68 ans de Côte d'Ivoire», dit-il en guise présentation. En six décennies, l'homme a tout connu du pays. Les années fastes d'avant-1995, quand il tenait un hôtel en bord de mer qui recevait 300 touristes chaque week-end. Puis l'époque sombre de la guerre civile, qui l'a poussé à fermer son établissement. «C'était devenu dangereux de vivre seul là-bas.» Depuis deux semaines, il observe les soubresauts du pays d'un œil intéressé et méfiant. «Il faut faire attention car les choses ici évoluent très vite», dit-il.

    Comme ses compatriotes d'Abidjan, Jean-Luc pense, sans trop l'avouer, à ce mois de novembre 2004 durant lequel des manifestations antifrançaises ont poussé près de 7000 ressortissants à évacuer le pays sous protection de l'armée. «Cette fois la situation est différente. Il y a une opposition politique entre deux partis. Les Français ne sont pas en première ligne», insiste-t-il. Pour autant, Jean-Luc prend des précautions. «Je minimise mes déplacements.» Il passe juste de son usine de congélation de poissons à son quartier, Port-Bouët, où il se dit tranquille. «Ici je suis connu et je ne risque rien. Moi, de toute façon, je ne partirai jamais. Mais je conseille à tous les vrais Français de rester sagement chez eux». Car des Français comme lui, revenus de tout et «tropicalisés» jusqu'au fond de leur âme, le pays n'en compte plus guère.

    Beaucoup, comme Alice, sont des nouveaux venus qui ne cachent pas leur étonnement. Les attaques quotidiennes de la presse et de la télévision contre la France, accusée de vouloir organiser un génocide en Côte d'Ivoire, la glacent. La jeune femme, qui tient «par précaution» à rester anonyme, vit depuis deux semaines cloîtrée dans sa villa. «Je suis très inquiète. On a l'impression que les choses empirent chaque jour.» La présence des 950 militaires français de «Licorne» la rassure. «On sait qu'ils pourront venir nous chercher mais il reste une angoisse.» Elle se refuse à partir. «Mes affaires ne me le permettent pas.» Pour conjurer le mauvais sort, elle téléphone à ses amis, fait renforcer son portail et compte sur son chien.

     

    «Nos politiques parlent trop»

     

    Combien sont-ils ainsi à Abidjan, terrés dans leurs maisons? Les autorités françaises avouent l'ignorer. Officiellement, 15.000 Français y résident mais le chiffre est trompeur. Un grand nombre, au moins 60%, sont des binationaux. Certains ne vivent en Afrique qu'une partie du temps. Enfin, beaucoup, entre les événements politiques et les vacances de Noël, ont déjà choisi de prendre le large. Les grandes entreprises françaises ont ainsi fait partir toutes les familles et la plupart des cadres. «Il y a une inquiétude légitime dans la communauté», dit-on au consulat de France. Paul, un entrepreneur, résume la situation: «Pourquoi prendre des risques alors que l'on peut aller passer des vacances en France?» Bernard Sadet, élu UMP de l'assemblée des Français de l'étranger, s'agace: «Nos politiques parlent trop. Ils nous mettent en danger. Que se passera-t-il dans 15 jours ou un mois si rien n'est résolu?»

    R., propriétaire d'un restaurant connu, reste discret car il entend rester en Côte d'Ivoire. «La communauté française commençait à revenir. On comptait environ mille Français de plus chaque année. C'était bon signe et, comme moi, on espérait investir après les élections. Cela serait dommage de gâcher tout ça.» Alors il se raccroche aux bons signes. Dans ses meetings désormais quotidiens avec les jeunes, Charles Blé Goudé, leader des manifestations de 2004 et nouveau ministre de la Jeunesse, enjoint ses partisans «de protéger les Français et les entreprises françaises». Une main tendue, qu'il suspend à une condition: «Que l'on ne touche pas à un cheveu de M. Ggagbo… Car là, nous serons prêts.»

    Le Figaro - 20/12/10

  • Qui est-ce? 123

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  • 122 - Félicitations à Orion!

    122 -  Alphonse de Châteaubriant  (1877-1951)  Ecrivain français, Prix Goncourt en 1911.

    Lire sa biographie: http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphonse_de_Ch%C3%A2teaubriant

    Il faut savoir pourquoi ce grand écrivain est tombé depuis 1945 dans un relatif oubli...

    Un grand bravo à Orion qui a été la seule à me donner la bonne réponse!  Elle est très forte car ce n'était pas facile!

    Le jeu continue!

     

     

  • Qui est-ce? 122

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    122

  • Pour l'UE, Noël n'existe pas, mais l'Aïd, le Baïsakhi, Roch Hachana et Quing Ming existent!

    La Stampa (Italie) du 17 décembre

    agenda_500La Commission européenne a publié plus de 3 millions d’agendas de l’Union européenne pour des lycéens, ceux-ci ne font aucune référence à Noël, mais l’on y trouve l’ensemble des fêtes juives, hindoues, sikhs et musulmanes. Plus de 330 000 exemplaires de l’agenda, y sont joints 51 pages d’informations de l’UE (propagande pour les plus jeunes), sur papier glacé, ont été remis aux écoles britanniques selon le Daily Telegraph, comme un hommage aux étudiants par la Commission.

    Grand étonnement lorsque la page du 25 décembre est vide et que l’on y trouve uniquement cette phrase « un véritable ami est quelqu’un qui partage vos préoccupations et votre joie ». Le calendrier comprend les fêtes musulmanes, hindoues, sikhs, juives et chinoises et d’autres encore comme la journée de l’Europe et d’autres dates clés de l’UE, mais il n’y a pas une seule fête chrétienne signalée, alors que le christianisme est la religion de la plupart des Européens.

     De même, la carte de vœux de l’UE ne fait mention d’aucune référence à une fête chrétiennes comme la Nativité, se contentant d’un « Season’s Greetings ». Johanna Touzel, La porte parole de la Commission de la conférence catholique des évêques a déclaré que cela était « juste incroyable ».

    NPI - 20/12/10

  • Marine Le Pen - Revue de presse en vidéo

    NPI - 20/12/10

  • Marine Le Pen vue de Suisse

    Cette France du vendredi qui fait peur

    par Philippe Barraud, journaliste suisse

    « En France, le débat sur la laïcité prend un tour inattendu, parce que certains s’octroient des droits que les autres n’ont pas. Mettant délibérément les pieds dans le plat, Marine Le Pen a exposé au grand jour ce que la classe politique voulait taire.

    Chaque vendredi, des dizaines de rues, à Paris et dans toute la France, sont interdites à la circulation, et il est interdit aussi de faire des photos et de filmer : elles sont devenues des lieux de culte musulman, avec hauts-parleurs à fond – tant pis pour les habitants et les commerçants.

    Pendant ce temps, dans une commune de l’Oise, des politiciens veulent faire démolir une modeste crèche de Noël dans la rue, crée à l’initiative du Conseil municipal. Une crèche, avec Marie, Joseph et le Petit Jésus : vous n’y pensez-pas ! Quel scandale ! Quelle provocation à l’égard des autres religions !

    Voilà où en est la France aujourd’hui. Un ancien grand pays, dirigé par une classe politique veule et apeurée, qui assiste sans réagir à une incroyable montée en puissance de l’islam, en même temps qu’à un démantèlement progressif et irréversible des acquis républicains, tandis que le socle de civilisation judéo-chrétienne sur laquelle elle s’est construite se délite. Quel désastre !

    Le paradoxe est que la majorité des Français est consciente de cette déliquescence mais, aussi apeurée que ses dirigeants, elle évite de s’exprimer car cela comporte désormais des risques : les innombrables groupes de pression subventionnés ont la plainte pénale facile, et ils ont les moyens. Certes les Français ne se gênent pas de dire à l’occasion leurs inquiétudes et leur colère, mais ce sera seulement dans un cadre privé, ou sous le sceau de l’anonymat.

    On ne peut pas en dire autant de Marine Le Pen : vice-présidente du Front National, elle sait parfaitement dire tout haut ce que les Français pensent tout bas. Il y a quelques jours, elle a jeté un beau pavé dans la mare en dénonçant une « occupation » des rues – un mot qui pèse lourd en France, 70 ans l’après l’autre Occupation, celle qui porte une majuscule. Et surtout en dénonçant l’incurie des politiciens au pouvoir, au sommet de l’Etat et dans les régions, ces hommes et ces femmes de ce qu’elle appelle l’UMPS, spécialistes de la complaisance, de la lâcheté et de l’inertie.

    Car cette singulière politicienne, dont le courage et la pugnacité détonnent dans le paysage politique français, ne dénonce pas seulement l’occupation autoritaire des rues chaque vendredi, et ceux qui ne réagissent pas à ces violations répétées de l’ordre public et des règles de la laïcité. Elle dénonce aussi, avec encore plus de véhémence, l’abandon progressif par l’Etat de nombreux quartiers urbains, abandonnés aux caïds locaux de la drogue, retombés dans de véritables féodalités maffieuses, où n’entrent plus que les personnes dûment autorisées par les gangs – mais pas les forces de l’ordre, naturellement.

    Ce nouvel épisode suscitera-t-il un sursaut chez les dirigeants français ? Franchement, rien n’est moins sûr, tant les germes du communautarisme ont déjà infecté les esprits. »

    Source

    NPI - 20/12/10

  • Otages en Afghanistan: Paris espère leur libération après l'action de Kaboul

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    La ministre des Affaires étrangères le 15 décembre 2010

    La France espère que l'action du gouvernement afghan dans l'affaire des otages français en Afghanistan permettra leur libération rapide, a déclaré dimanche la ministre française des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, sans précisions sur cette action.

    Elle n'a pas dit en quoi consistaient ces démarches.

    Les journalistes de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, et trois accompagnateurs afghans, ont été enlevés il y a près d'un an, le 30 décembre 2009, dans la province de Kapisa, où est stationnée une partie des forces françaises engagées avec les troupes de l'Otan.

    "Nous savons qu'ils sont vivants, plutôt en bonne santé même s'il est évident qu'au bout d'un an ça doit commencer à peser", a ajouté Michèle Alliot-Marie.

    Interrogée sur la situation des otages français au Sahel, elle a répondu: "Moins on en parle, moins on les met en danger et plus les choses ont des chances d'avancer". "Le gouvernement et les ministres concernés sont totalement mobilisés" pour les faire libérer, a-t-elle assuré.

    Le 16 septembre, cinq Français ainsi qu'un Togolais et un Malgache, pour l'essentiel des collaborateurs des groupes industriels français Areva et Satom, ont été enlevés à Arlit dans le nord du Niger, un site d'extraction d'uranium. Ils seraient détenus dans le nord-est du Mali. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué ce rapt le 21 septembre.

    AFP. 20.12.10