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Blog - Page 1571

  • Un abattoir halal détruit par les flammes

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    Saint-Maximin (Oise)

    «C’est une grosse catastrophe. Nous allions aborder la période du ramadan dans un mois et demi. Tout notre matériel est anéanti », se désole Mohamed Medjahed. Dans la nuit de mardi à mercredi, vers 3 heures, le feu a ravagé la totalité l’entrepôt de son père, Abdellah Medjahed, 1800 m2 situés dans la zone d’activités de Saint-Maximin.

    L’activité d’abattage de volaille halal gérée par la famille a été réduite à néant. Le corps de bâtiment recouvert de bardage en tôle s’est embrasé très rapidement.

     

    « Quand je suis arrivé à 3 h 30, notre secteur commençait à prendre feu », raconte Mohamed Medjahed. Une cinquantaine de sapeurs-pompiers et cinq centres de secours étaient déployés pour éviter que les flammes ne se propagent aux entreprises mitoyennes. En effet, des locaux annexes étaient loués à trois autres sociétés, un grossiste en fruits et légumes et une pizzeria.

     

     

    Abdellah Medjahed avait fermé son entreprise depuis une semaine. Il s’accordait quelques vacances pour préparer la fête du ramadan. Cette année, elle débutera vers le 10 août. Pour ce commerçant, c’est la période la plus faste de l’année. Les chaînes d’abattage de poulets tournent à plein régime, rejointes par l’activité liée à l’Aïd, le sacrifice rituel du mouton.

     « Nous nous sommes battus pendant vingt ans pour monter une installation de cette qualité. Nous avons beaucoup investi pour être en conformité totale avec les normes sanitaires », déclare Mohamed. Depuis deux ans, les musulmans affluaient. Le site tournait toute l’année grâce à la vente de volailles, exclusivement aux particuliers. « Nos clients préfèrent venir à la source et acheter chez nous. Il n’est pas rare qu’une famille nous prenne une quinzaine de pièces. »

     

    L’origine du sinistre est encore méconnue

    Le Parisien - 02 juillet 2010

     

     

     

  • Double meurtre de Pont-Sainte-Maxence: le meurtrier présumé se pend dans sa cellule

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    Halan Florisse

    Halan Florisse, 19 ans, accusé du des époux Prévost, s'est vendredi matin à la prison de Liancourt, selon les informations du Courrier-Picard.fr. L'administration pénitentiaire a précisé que le jeune homme, détenu depuis le 19 mai 2010, se serait suicidé par pendaison.

     

    Le procureur de Senlis, Chantal Berger, a déclaré que l'action publique était éteinte le concernant. Une autopsie sera réalisée lundi mais, a-t-elle souligné, le suicide ne fait quasiment pas de doute.

    Selon Nicolas Caron, de FO pénitentiaire, le détenu avait vu le médecin à 10h30 vendredi dans le cadre d'une visite de routine et se serait donc suicidé peu après avoir regagné la cellule, qu'il occupait seul. «Il ne posait pas de problème depuis son arrivée», a assuré les reponsable syndical. 

    Une agression d'une rare violence

    Le suspect, confondu par des analyses ADN, avait été arrêté le 20 mai au domicile de sa mère près de Vincennes (Val-de-Marne). Les enquêteurs avaient retrouvé sur place des objets volés au couple, «notamment une télévision et un four à micro-ondes». Le jeune homme n'était pas connu des services de police et n'avait aucun antécédent judiciaire. En recherche d', il avait toutefois séjourné quelques années auparavant à Pont-Sainte-Maxence, alors qu'il était en famille d'accueil.

    Thérèse et Jacques Prévost, 76 ans, avaient été retrouvés dans leur pavillon à Pont-Sainte-Maxence, dans l'Oise, le 29 janvier. Le médecin légiste avait relevé 87 coups de couteau sur le corps des victimes, dont 60 pour la femme, ainsi que de nombreuses ecchymoses. Les victimes vivaient de leur retraite après avoir travaillé de longues années dans une usine sidérurgique de Montataire, à une vingtaine de kilomètres de Pont-Sainte-Maxence.

    Au lendemain de la découverte des corps, le ministre de l'Intérieur avait annoncé un durcissement des sanctions pénales contre les agresseurs de personnes âgées. Et pour résoudre cette double affaire criminelle, d'importants moyens avaient été mis en oeuvre : 300 personnes entendues, 172 scellés constitués.

    Halan Florisse avait été mis en examen pour homicides volontaires accompagnés d'actes de torture et de barbarie pour lesquels il encourait la réclusion criminelle à perpétuité.

    Le Parisien - 02 juillet 2010

  • Afghanistan: un général français vivement rappelé à l'ordre pour avoir critiqué la stratégie de Washington

    Une affaire McChrystal à la française? Une semaine après le limogeage du général américain, ex-commandant des forces alliées en Afghanistan, un général de division français a été vivement rappelé à l'ordre pour avoir critiqué la stratégie de Washington.

    Fait rare en France où le débat public sur l'intervention alliée en Afghanistan est réduit à la portion congrue, le général Vincent Desportes a exprimé ouvertement ses doutes, dans une interview au Monde daté de vendredi. Pour lui, la stratégie américaine en Afghanistan "ne semble pas fonctionner".

    "Factuellement, la situation n'a jamais été pire", a-t-il fait valoir, rappelant que le mois de juin avait été le plus meurtrier pour les troupes internationales depuis leur engagement fin 2001 en Afghanistan, avec 100 soldats tués.

    "Tout se passe comme si le président américain n'était pas très sûr de ses choix", a-t-il ajouté, enfonçant le clou.

    Ces déclarations ont suscité la colère de la hiérarchie militaire française. Une "faute", des propos "irresponsables", une "opinion malvenue et insuffisamment argumentée", a dénoncé vendredi le chef d'état-major des armées, l'amiral Edouard Guillaud, sur Europe 1.

    "J'ai bien l'intention de lui demander de venir s'en expliquer", a-t-il enchaîné sans préciser s'il envisageait des sanctions.

    Bien sûr, le général Desportes n'est pas le général Stanley McChrystal, ex-commandant des forces américaines et alliées en Afghanistan dont les effectifs culmineront cet été avec 150.000 hommes. Mais il n'est pas non plus le premier venu.

    A la tête du Collège interarmées de défense (CID), l'ex-Ecole de Guerre, ce général trois étoiles a la responsabilité de la formation intellectuelle de l'élite des officiers supérieurs des armées françaises et son opinion dissidente sur la stratégie américaine prend ainsi un relief particulier.

    Deux visions s'opposent. D'un côté, la sienne, reflet des critiques exprimées outre-Atlantique par nombre d'observateurs civils et militaires et à demi-mots dans les rangs de l'armée française.

    La guerre en Afghanistan, font valoir les Cassandre, s'éternise depuis bientôt neuf ans sans qu'une issue ne se dessine clairement ni même les termes d'une "victoire" alliée. Neuf ans, c'est bien plus que les deux guerres mondiales et bientôt autant que les 3.368 jours de l'occupation soviétique de l'Afghanistan.

    Conclusion du général Desportes: "Si la doctrine McChrystal (qui n'est pas remise en cause malgré son limogeage, ndlr) ne fonctionne pas ou n'est plus acceptée, il faudra bien revoir la stratégie" et "probablement repousser la date du retrait d'Afghanistan". Les premiers soldats américains rentreront en juillet 2011, a promis Barack Obama.

    Cette stratégie n'est pas celle des Etats-Unis tout comme cette guerre n'est pas une guerre américaine, a répliqué l'amiral Guillaud.

    "Cette stratégie a été demandée par le président de la République française Nicolas Sarkozy dès avril 2008 (au sommet de l'Otan) à Bucarest, elle a été validée à Strasbourg lors de la réunion de l'Otan, il y a un an, et elle est mise en oeuvre depuis l'automnne 2009", a-t-il ainsi soutenu.

    Rappelant qu'elle conjuguait l'action militaire avec un "indispensable" effort de développement et de gouvernance de l'Afghanistan, il a estimé qu'il s'agissait de "la bonne stratégie".

    "La situation va rester compliquée pendant plusieurs mois encore", a cependant concédé le chef d'état-major pour qui les 3.750 soldats français présents sur le sol afghan devront y rester "le moins longtemps possible".

    AFP. 02 juillet 2010

  • A qui Liliane Bettencourt distribuait-elle 50.000€ en espèces par semaine?

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    Interrogé ce vendredi matin sur RMC, Maître Antoine Gillot, avocat de l'ancienne comptable de Liliane Bettencourt, Claire T., affirme que sa cliente bénéficiait d'une délégation de signature lui permettant d'effectuer des retraits en espèces hebdomadaires pour le compte de sa patronne. Selon lui, les sommes retirées chaque semaine se montaient à « 50.000 euros par semaine » et étaient ensuite « distribuées ».
    « Des carnets où était noté à qui cet argent était remis »
    Questionné sur l'éventualité que cet argent liquide ait pu être versé à des personnalités politiques, Maître Gillot répond que « cela fait partie des possibilités. […] Ma cliente notait précisément à qui cet argent était remis. Il y avait des carnets qu'elle a restitués à un avocat de Liliane Bettencourt. J'ai même un reçu écrit par ce confrère ».
    « Bettencourt volée, spoliée tous les jours »
    Invité de Bourdin Direct ce vendredi, Maître Olivier Metzner, l’avocat de Françoise Meyers-Bettencourt, fille de Liliane, s’est dit surpris par cette information : « J’apprends maintenant que ces carnets sont chez un des avocats de Liliane Bettencourt, ce qui est très surprenant. Lorsqu’il y a deux ans, j’ai été saisi par la fille, je ne m’attendais pas à un tel déferlement médiatique. On voit bien qu’autant d’agent attise tous les intérêts et que Madame Bettencourt était courtisée par des gens qui en ont profité pour la spolier. On la vole tous les jours, on la spolie. »

    RMC.fr - 02 juillet 2010

  • Un "Genèvagate' menace Mme Bettencourt et les Woerth - Les langues se délient à Genève

    Deux comptes suisses, à Vevey et à Genève, ont été mis au jour par les enregistrements du maître d’hôtel. Le réseau de sociétés gérant la fortune de l’héritière L’Oréal finit sous le Jet d’eau, près de l’Hôtel d’Angleterre. Selon un banquier de la place, «depuis 2008, Florence Woerth était presque à demeure à Genève».


    Au fur et à mesure des révélations entourant la fortune de Liliane Bettencourt et des écoutes – si elles sont authentiques – révélant un véritable montage financier d’évasion fiscale, les langues se délient à Genève
    . Et pour cause! Les gérants de fortune de la place financière genevoise n’en veulent pas tellement à l’héritière de L’Oréal, qui pèse quelque 16 milliards grâce aux 31% d’actions qu’elle détient dans le groupe cosmétique et aux 3% qu’elle contrôle chez Nestlé, faisant d’elle la plus importante actionnaire de la multinationale.

    Ils en veulent à Eric Woerth, aujourd’hui ministre français du Travail, mais qui fut, il y a quelques mois encore ministre du Budget, n’hésitant pas à brandir la liste des 3000 noms de citoyens français, volée par Hervé Falciani en 2009 chez HSBC Private Bank (Suisse) à Genève.

    Actifs gérés depuis Genève

    L’un d’eux, spécialiste des «family offices» (sorte de banques privées pour très grandes fortunes) tempête: «Eric Woerth, qui avait fait de l’évasion fiscale sa priorité, nous a longtemps fustigés comme les ennemis numéro un. C’est lui aussi qui, avec Peer Steinbrück, alors ministre allemand de l’Economie, nous a conduits sur la liste grise de l’OCDE, celle des paradis fiscaux non coopératifs. Mais savez-vous qu’au même moment, sa femme Florence, l’une des gérantes de fortune de Liliane Bettencourt, était vue très souvent dans le «family office» de la milliardaire française, qui se situe à deux pas de l’Hôtel d’Angleterre?»

    Cette entité de gestion de fortune genevoise fait partie de la holding Téthys qui gère les actifs de l’héritière, à savoir principa­lement les dividendes de son paquet d’actions chez L’Oréal et chez Nestlé, ainsi que ses biens immobiliers. Elle travaille main dans la main, mais depuis la Suisse (!), avec la société financière française Clymène, dirigée par l’homme de confiance Patrice de Maistre et employeur, depuis 2007, de Florence Woerth, épouse de l’ex-ministre du Budget.

    Et notre financier fâché d’ajouter: «Eric Woerth, durant ces deux dernières années, ne pouvait pas ignorer que sa femme se trouvait très régulièrement à Genève. Et que ce n’était certainement pas pour voir son Jet d’eau!»

    Les enregistrements illicites faits par l’ex-maître d’hôtel de Liliane Bettencourt ont déjà mis au jour deux comptes bancaires, l’un à Vevey, de 65 millions d’euros, l’autre à Genève, de quelque 16 millions d’euros. Ces deux comptes sont tellement réels que Liliane Bettencourt et son gérant de fortune Patrice de Maistre les ont déplacés au mois d’avril dernier, selon les dernières informations, non plus à Singapour ou Hongkong, mais dans une assurance-vie en France au profit du petit-fils de Liliane et fils de Françoise, aujourd’hui en procès avec sa mère.  En 2009 et 2010, le directeur de la société financière Clymène a donc fait, de son propre aveu, de très nombreux aller-retour à Genève et dans l’arc lémanique, pour «qu’on enlève ces comptes».

    Autre fait avéré des liens entre Clymène et Genève est le transfert, il y a quelque deux ans, de 280 millions d’euros des comptes français de Liliane Bettencourt chez UBS Genève. Enfin, selon des documents publiés cette semaine par l’hebdomadaire Marianne, il s’avère que la fortune déclarée en 2007 dans l’Hexagone par l’héritière L’Oréal et ses gérants s’élevaient à 2,2 milliards d’euros pour une imposition de 40  millions d’euros.

    Enfin, en tant que trésorier de l’UMP, Eric Woerth, lui aussi, connaît visiblement passablement bien la route qui conduit à Genève, chez un autre de ses amis, Pierre Condamin Gerbier, responsable de l’UMP à Genève et gérant de fortune ardent défenseur des «family offices». C’est ce dernier qui s’est chargé, notamment, d’organiser le dîner de gala au Crowne Plaza, puis au Caviar House, avec les plus grandes fortunes françaises exilées en Suisse romande, en mars 2007, lorsque Woerth était venu collecter des fonds pour la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.

    Or, comme le confiait un autre banquier genevois, lui aussi extrêmement courroucé, au Matin Dimanche en septembre 2009, «Eric Woerth ne cherchait pas alors à savoir si les chèques qu’on lui remettait étaient prélevés sur des comptes suisses non déclarés au fisc français.» La collecte finale avait rapporté, en tout, plus de 7 millions d’euros.

    ÉLISABETH ECKERT | 02.07.2010 

    LA  TRIBUNE DE GENEVE  - 02 juillet 2010

  • Bettencourt: Woerth affirme ne pas avoir donné "son aval" au remboursement des 30 millions

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    L'ancien ministre du Budget Eric Woerth a affirmé vendredi dans un communiqué ne pas avoir donné "son aval" au remboursement de 30 millions d'euros à la milliardaire Lilianne Bettencourt dans le cadre du bouclier fiscal, démentant les informations du site internet Mediapart.

    Selon le site Mediapart, qui a révélé l'information jeudi, le versement en mars 2008 de 30 millions d'euros par l'administration fiscale à Mme Bettencourt, dans le cadre du bouclier fiscal, nécessitait l'aval du ministre du Budget de l'époque Eric Woerth, aujourd'hui ministre du Travail.

    D'après le site d'information en ligne, qui cite un fonctionnaire des impôts ayant requis l'anonymat, "les remboursements opérés par l'administration fiscale, lorsqu'ils sont supérieurs à plusieurs millions d'euros, nécessitent l'aval du ministre de tutelle".

    "Un ministre du Budget n'intervient en aucun cas dans cette procédure", affirme le communiqué émanant du ministère du Travail. "Contrairement à ce qui est dit, Eric Woerth, alors ministre du Budget, n'a donc pas "donné son aval" pour le versement du bouclier fiscal de Madame Bettencourt", selon la même source.

    "Eric Woerth appelle à la plus grande prudence celles et ceux qui reprennent les allégations totalement à charge d'un site Internet et leur demande au minimum de vérifier leur vraisemblance au regard de la loi fiscale", ajoute le communiqué.

    Le site Mediapart a rendu public dernièrement des enregistrements pirates de conversations de Mme Bettencourt qui font apparaître des liens troubles entre l'héritière de L'Oréal et le couple Woerth, l'épouse de l'actuel ministre du Travail ayant travaillé pour une entreprise gérant la fortune de la milliardaire.

    Le Point - 02 juillet 2010

  • L'ex-préfet Girot de Langlade, condamné à 1.500€ d'amende, fera appel

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    (Cliquez sur la photo)

    CRETEIL — L'ancien préfet Paul Girot de Langlade a été condamné vendredi à 1.500 euros d'amende pour injures racistes par le tribunal correctionnel de Créteil pour avoir déclaré lors d'un contrôle à l'aéroport d'Orly: "On se croirait en Afrique, ici!".

    Le 31 juillet 2009, M. Girot de Langlade, alors préfet chargé des Etats généraux de l'Outre-Mer, avait lâché cette phrase lors d'un contrôle de sécurité, qui s'était déroulé dans une certaine confusion.

    Ces propos "procèdent d'un amalgame selon lequel toutes les personnes du continent africain partagent le même défaut de l'incompétence et de la désorganisation", a expliqué le juge Philippe Michel, en rendant public le jugement.

    A l'audience, M. Girot de Langlade avait récusé tout racisme. "J'ai simplement voulu dire que c'était le bordel (...) Si le contrôle avait été rigoureux, j'aurais pu dire: "on se croirait à Singapour ou aux Etats-Unis", avait-il déclaré.

    Selon le magistrat, la phrase incriminée "avait d'autant plus de portée qu'elle a été prononcée par un préfet tenu à une obligation de réserve et de sang-froid" et qui n'a "pas tenu compte" du fait que les agents de sécurité présents lors du contrôle étaient "pour partie des personnes de couleur".

    Le magistrat a toutefois reconnu que l'ancien préfet était "très fatigué" au moment de ce contrôle à Orly et qu'il a par ailleurs déjà été sanctionné en étant mis à la retraite d'office à la suite de cette affaire.

    La peine prononcée est inférieure aux réquisitions du parquet, qui réclamait 5.000 euros d'amende.

    Trois agents de la société Securitas, qui avaient porté plainte, se sont vu octroyer entre 300 et 500 euros de dommages et intérêts. La Licra, SOS Racisme et le Mrap ont obtenu le versement d'un euro symbolique.

    L'ex-préfet n'était pas présent au délibéré.

    "Nous allons faire appel", a déclaré à l'AFP son avocat Me Gilbert Collard.

    "Le jugement indique bien que cette phrase n'est pas raciste en elle-même mais en fonction d'un contexte. Or, rien n'indique que mon client ait prononcé cette phrase en tenant compte du contexte", a précisé l'avocat, se félicitant que la peine de 1.500 euros ramène cette phrase "à une proportion moins grande".

    "Jusqu'au bout (M. Girot de Langlade) n'assume pas, il est dans le déni", a déclaré l'avocat des plaignants, David-Olivier Kaminski, à l'issue du délibéré.

    Avant son procès, M. Girot de Langlade avait accusé le ministre de l'Intérieur d'avoir "orchestré" cette affaire pour se refaire "une virginité de parfait antiraciste".

    "Il a le droit de jouer les victimes mais aujourd'hui c'est lui le coupable", a commenté M. Kaminski.

    AFP. 02 juillet 2010

  • Merkel s'est excusée à chaque but allemand contre l'Angleterre!

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    27 juin 2010 - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    LONDRES — Le Premier ministre britannique David Cameron a indiqué que la chancelière allemande Angela Merkel lui avait présenté ses excuses à quatre reprises dimanche, chaque fois que la Mannschaft marquait un but lors du match de Coupe du Monde qui a vu l'Allemagne éliminer l'Angleterre.

    David Cameron a raconté devant la chambre des Communes à Londres "avoir subi le supplice extrême de voir l'Angleterre perdre 4 à 1 contre l'Allemagne, alors qu'il était en compagnie de sa grande amie, la chancelière Merkel et de la délégation allemande au sommet" du G20.

    Les deux dirigeants s'étaient éclipsés de la réunion plénière du G20 dimanche à Toronto (Canada) pour assister ensemble au match en Afrique du Sud, qui s'est conclu par une victoire écrasante de l'Allemagne.

    "Nous n'avons pas été volés, nous avons été battus. Mais pour faire justice à la chancelière Merkel, chaque fois que les Allemands marquaient, elle s'excusait", a déclaré M. Cameron qui informait les députés sur les résultats des G8 et du G20.

    AFP - 28 juin 2010

  • VIDEO Marine Le Pen sur France Info - 01.07.10

    http://www.dailymotion.com/video/xdvrpe_marine-le-pen-france-info-01-07-201_news

    1er juillet 2010

  • VIDEO Intervention de Stéphane Ravier au Conseil régional PACA

    http://www.dailymotion.com/video/xdvsu4_vif-echange-entre-fn-et-m-vauzelle_news

    Lors de la séance du Conseil Régional PACA du 28 juin 2010 à Marseille :
    Vif échange entre Stéphane RAVIER (FN) et Michel VAUZELLE (Président PS) sur la question de l'immigration et de son coût.
    Intervention de Jean-Marc COPPOLA (Front de Gauche).

    1er juillet 2010

  • Landes: des excréments tombent du ciel depuis plusieurs semaines

    De mystérieuses déjections qui tombent du ciel depuis plusieurs semaines sans explication commencent à horripiler des habitants de Saint-Pandelon, près de Dax, qui n'osent plus faire de barbecue ni laisser leurs enfants jouer à l'extérieur.  "Au quotidien, c'est ch..., le mot va bien", témoigne Georges Tastet, l'un des habitants victimes de ces rejets, résidant route des Carrières. Depuis près de deux mois, raconte-t-il, le toit de sa maison est couvert d'excréments, le linge étendu dehors est souillé et il doit laver sa voiture tous les jours.

    "Maintenant, si on veut déjeuner dehors, on se pose des questions. Vous faites un barbecue, il est aromatisé à quoi? Ce ne sont peut-être pas des herbes de provence...", s'interroge-t-il. Le maire, Jean-Pierre Boiselle, a constaté que les rejets tombaient aussi bien le soir que la nuit. "Quand on veut aller cueillir des melons qui sont tachés, on est quand même très hésitant, et je pense à juste raison, avant de les manger", explique l'élu.

    L'histoire, qui au départ faisait sourire dans cette commune de 750 habitants, n'amuse plus du tout la quinzaine de familles concernées qui ont fait appel aux gendarmes, lesquels ont procédé à des constations.

    L'hypothèse envisagée pour le moment serait des rejets provenant d'avions civils, une ligne aérienne long courrier passant dans le ciel de la commune.  "Impossible!", assure toutefois la Direction générale de l'aviation civile (DGAC), jointe à Paris, qui rappelle que les appareils en vol sont pressurisés et qu'aucun largage ne peut avoir lieu dans le ciel.

    Le Figaro - 1er juillet 2010

  • Turquie-Israël: les affaires reprennent...

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    Ben Eliezer et Davutoglu (D) - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)
     
    TEL AVIV - Le ministre israélien du Commerce Benjamin Ben Eliezer a rencontré secrètement mercredi à Bruxelles le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu dans une tentative de désamorcer la crise bilatérale, suite à l'arraisonnement de la "Flottille de la liberté", rapporte la radio Kol Israel.

    Selon la radio, cette rencontre, dont l'initiative revient à Ankara, a été avalisée par le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

    C'était le premier contact ministériel israélo-turc depuis l'arraisonnement le 31 mai dernier par un commando israélien d'une flottille internationale qui tentait de forcer le blocus de Gaza, au cours duquel neuf Turcs avaient été tués.

    Les analystes constatent que cette première tentative de reprise de dialogue entre la Turquie et Israël s'explique par des intérêts stratégiques multiples liant les deux pays.

    Toutefois, le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman s'est mis en colère, en protestant vivement contre le fait que la rencontre ait eu lieu à son insu.

    Des commandos israéliens ont pris le 31 mai d'assaut la "Flottille de la liberté" qui transportait des milliers de tonnes de cargaisons humanitaires vers la bande de Gaza. Six navires avaient à bord au moins 600 défenseurs des droits de l'homme, dans leur majorité des Turcs. Il y avait aussi plusieurs Occidentaux. L'attaque israélienne a fait 9 morts (tous de nationalité turque) et des dizaines de blessés.
    RIA Novosti - 1er juillet 2010 

  • VIDEO Affaire Bettencourt: Mediapart publie de nouveaux enregistrements

    http://www.dailymotion.com/video/xduld5_les-65-millions-de-bettencourt-sur_news

    19 novembre 2009. Patrice de Maistre, gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, lui raconte l'un de ses nombreux voyages en Suisse et lui conseille de déplacer ses 65 millions vers un autre paradis bancaire.
    Plus sur Mediapart http://www.mediapart.fr/journal/france/280610/bettencourt-pourquoi-eric-woerth-ne-dit-pas-la-verite

    1er juillet 2010

  • Woerth, alors ministre du budget, avait "remboursé" 30 millions d'euros à Liliane Bettencourt

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    Eric Woerth en 2008

    Le fisc, à l'époque où le ministre du budget était Eric Woerth, a su se montrer très généreux à l'égard de Liliane Bettencourt. Selon des informations recueillies par Mediapart, l'héritière de l'empire L'Oréal aurait touché de l'administration, au mois de mars 2008, une somme de 30 millions d'euros au titre du "bouclier fiscal" mis en place par le gouvernement dès l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée.

     

    Le versement a été opéré par le trésor public via un virement bancaire, sur un compte détenu par Liliane Bettencourt à la BNP, précise une source fiscale au courant du dossier. Le remboursement a été effectué par l'Etat après que Mme Bettencourt -ou plutôt ses conseils- aient sollicité par courrier l'administration fiscale. Les fonds ont été débloqués avec une célérité remarquable puisque la lettre -rédigée par un avocat fiscaliste du VIIIème arrondissement de Paris mandaté par Mme Bettencourt- avait été adressée, selon nos informations, entre la fin du mois de janvier et le début du mois de février 2008 ...

     

    L'information a été confirmée à Mediapart par Antoine Gillot, avocat de Claire T., l'ancienne comptable de Mme Bettencourt. Après avoir consulté sa cliente, Me Gillot nous a indiqué, jeudi 1er juillet : «Le chiffre que vous avancez est tout à fait juste d'après ce que m'a dit ma cliente, qui a arrêté de travailler pour Liliane Bettencourt en novembre 2008».

     

    Légale, cette "restitution" fiscale - et son montant astronomique - sont évidemment du plus mauvais effet quand on sait, grâce au contenu d'enregistrements clandestins réalisés au domicile de Liliane Bettencourt et révélés par Mediapart le 16 juin, que la milliardaire était à cette même période détentrice de deux comptes en Suisse -crédités au total de 78 millions d'euros- non déclarés à l'administration fiscale. Ce que Mme Bettencourt, depuis que le scandale a éclaté, a reconnu, promettant de rapatrier en France ses avoirs cachés à l'étranger. 

    L'information est également gênante pour l'ancien ministre du budget Eric Woerth qui a été, entre 2007 et 2010, le chef d'orchestre d'une politique fiscale extrêmement favorable aux plus hauts revenus du pays, celle du "bouclier fiscal". Au premier rang de ces fortunes figure Mme Bettencourt, qui était par ailleurs à la même période l'employeur de Florence Woerth, l'épouse du ministre, et une solide bailleuse de fonds de l'UMP, dont le même M. Woerth est le trésorier national...

    MEDIAPART - 1er juillet 2010

  • Une vieille dame démunie, mère d'un schizophrène, condamnée à cause de la maladie de son fils - A quoi sert Bachelot, ministre de la Santé?

    Une femme de 80 ans a été condamnée par la cour d'appel de Paris à 1.500 euros de dommages et intérêts pour trouble de voisinage causé par son fils schizophrène de 36 ans, selon un arrêt rendu public aujourd'hui par son avocate.

    En première instance, elle et son fils avaient été condamnés à plus de 8.000 euros de dommages et intérêts au propriétaire de l'immeuble voisin du leur, en dédommagements de l'installation d'équipements de sécurité tels qu'une caméra vidéo.

    Selon son avocate, Me Ariane Zimra, la vieille dame est très déçue et ne peut pas payer cette somme, n'ayant comme ressources que sa retraite de femme de ménage et l'allocation handicapé de son fils, dont elle s'occupe seule.

    L'avocate a estimé que la décision de la cour, prise le 30 juin, n'était pas "cohérente", puisqu'elle reconnaissait que sa cliente n'était "pas entièrement responsable" des actes de son fils, mais l'a tout de même condamnée. "La maladie est au coeur de cette affaire", avait plaidé Me Zimra à l'audience, le 21 mai.

    Le malade, avait-elle expliqué, est suivi par un psychiatre, mais les médicaments n'empêchent pas totalement les crises. Il est fréquemment hospitalisé, parfois à la demande de sa mère, mais n'a pas trouvé de structure en mesure de l'héberger et de lui procurer un travail adapté.

    La 2e chambre civile de la cour avait entendu ce cas très délicat de trouble de voisinage avec, d'un côté, une vieille dame seule et démunie et, de l'autre, des voisins effrayés qui se plaignent depuis des années de jets de projectiles, tapage, insultes, menaces...

    La présidente, Anne Boulanger, avait expliqué à la vieille dame que "quelle que soit la décision" prise, elle ne serait pas "contre" elle. "Vous êtes dans une situation très difficile, mais nous sommes aussi tenus d'appliquer des règles de droit", avait-elle dit.

    Le Figaro - 1er juilet 2010

  • Vidéosurveillance: le cousin Hortefeux...

    Le quotidien breton Le Télégramme révèle que le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a un cousin ingénieur qui conseille plusieurs municipalités dans l'installation de dispositifs de vidéosurveillance.

    Basée à Paimpont (35), la société Cipcéo dont Fabrice Hortefeux est le responsable réalise des expertises dans les domaines de la sûreté, de la téléphonie, des réseaux informatiques. Mais la vidéosurveillance représente également 30% de l'activité de l'entreprise, indique le quotidien breton. Les villes du Havre, de Roscoff, de Dinan ou de Plouzané figurent, notamment, parmi ses clients.

    Si Brice Hortefeux a décidé de faire passer de 20.000 à 60.000 le nombre de caméras dans les villes françaises, son cousin, Fabrice Hortefeux  reste serein face à ce lien de parenté qui peut paraître gênant : «Avec Brice, nous n'en parlons jamais. Je ne suis même pas certain qu'il soit au courant de mon activité de vidéosurveillance»

    «Cela fait dix ans que je fais ce métier. À l'époque, Sarkozy n'était pas président et Hortefeux n'était pas ministre. Le lien de parenté, je ne peux pas le cacher, poursuit le cousin du ministre de l'Intérieur. Mais il me porte davantage préjudice qu'autre chose: les municipalités de droite ne veulent pas être accusées de favoritisme en travaillant avec un Hortefeux et celles de gauche n'ont pas forcément envie de travailler avec le cousin du ministre».

    Le Figaro - 1er juillet 2010

  • VIDEO Massenet - Pavarotti - Pourquoi me réveiller, ô souffle du printemps?

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    Jules Massenet est un compositeur français né le 12 mai 1842 à Montaud (aujourd'hui un quartier de Saint-Étienne) et mort le 13 août 1912 à Paris.
     

    http://www.youtube.com/watch?v=9bFUZtelNbs

     http://www.youtube.com/watch?v=G8FRLsvfTIs  (poème d'Ossian sous-titré)

    30 juin 2010

  • Le pillage des églises françaises

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
     

    Il s'agirait d'une des plus importantes affaires de pillages d'églises jamais mises au jour.

    Une Vierge à l'enfant sculptée au XIIe siècle, une tête de Saint-Pierre en bois polychrome du XVe, un Christ en croix remontant au Moyen-Âge mais aussi une très précieuse Vierge enlevée de son église de Meillers (Allier) ou encore un admirable panneau latéral en pierre taillée dérobée à Fécamp (Seine-Maritime)...

    Pas moins de seize œuvres d'art cultuelles, d'une valeur inestimable et classées au titre des monuments historiques, ont été restituées mercredi après-midi à Nanterre (Haut-de-Seine), au siège de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) à une douzaine d'élus venus de toute la France.

    Ces trésors nationaux font partie du butin dérobé par un cambrioleur solitaire entre mai 2007 et juin 2008 dans des églises d'Auvergne, de Haute-Normandie, de Champagne-Ardennes et du Limousin.

    Le voleur présumé, Rachid M., âgé d'une trentaine d'années et connu pour des faits similaires, agissait en solitaire. Écumant les églises des villes et des campagnes, il repérait les plus belles pièces artistiques avant de les voler. Selon un dernier bilan, il aurait pillé une quarantaine d'objets d'art au préjudice d'une trentaine de communes. Une autre partie de son butin a été retrouvé en Belgique, grâce à la réactivité de la police judiciaire fédérale de Bruxelles.

    N'hésitant à agir en plein jour, il a décapité ou descellé grossièrement les statues de leur socle, avant de les négocier clandestinement à des marchands parisiens ou les écouler en Belgique.

    Selon l'Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC), qui a centralisé les investigations dans le cadre d'une commission rogatoire réalisée par un magistrat du Havre, il s'agit d'une des plus importantes affaires de pillages d'églises jamais réalisées.

    Depuis 2007, policiers et gendarmes constatent environ 200 vols par an dans les églises françaises. Dans le lot, les vols de «trésors», mieux protégés et inventoriés sur des bases de données, sont assez rares.

    Le Figaro - 30 juin 2010
  • Selon un autre sondage: l'affaire Woerth est "grave" pour 56% des Français

    L'affaire Liliane Bettencourt, héritière de l'Oréal, dans laquelle Eric Woerth est mis en cause, est une affaire "grave" pour 56% des Français, selon un sondage CSA à paraître demain dans Le Parisien-Aujourd'hui en France.

    A la question "diriez-vous que l'affaire Liliane Bettencourt, l'héritière de L'Oréal, dans laquelle le ministre du Travail Eric Woerth est actuellement mis en cause, est une affaire très grave, plutôt grave ou pas grave du tout ?", 56% des Français la jugent "grave", dont 23% "très grave".  72% des sympathisants de gauche la jugent grave contre 36% des sympathisants de droite. 13% (5% à gauche, 11% à droite) ne se prononcent pas.

    A une seconde question "Souhaitez-vous qu'Eric Woerth démissionne ou qu'il reste à son poste de ministre du Travail?", 37% des Français souhaitent qu'il démissionne et 42% qu'il reste à son poste de ministre du Travail. 21% ne se prononcent pas.

    55% des sympathisants de gauche souhaitent qu'il démissionne (30% qu'il reste à son poste) tandis que 15% des sympathisants de droite souhaitent qu'il démissionne (68% qu'il reste à son poste de ministre). A droite, ils sont 17% à ne pas se prononcer et 15% à gauche.

    Le Figaro - 30 juin 2010

     

  • L'affaire Woerth divise l'opinion française...

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    «Si je dis à Eric Woerth qu'il doit partir, ça veut dire qu'il y a quelque chose» à lui reprocher. Nicolas Sarkozy a profité ce mercredi d'une réunion à l'Elysée avec les députés pour tenter encore et toujours d'éteindre la polémique autour du ministre du Travail. Comme le montre le sondage OpinionWay pour 20 Minutes, les Français, eux, sont clairement divisés sur son cas. 

    53% des Français pensent qu'Eric Woerth ne doit pas démissionner du gouvernement car «il faut respecter la présomption d'innocence». A l'inverse, 46% des sondés estiment que les «soupçons de conflit d'intérêts sont trop importants» pour qu'il reste en poste. Sans surprise, 65 % des sondés de gauche sont pour sa démission. 84 % des sondés de droite, contre.

    La moitié des Français ne sont pas intéressés par l'affaire Bettencourt

    Par ailleurs, 51% des Français ne sont pas «intéressés» par l'affaire Bettencourt dans laquelle Eric Woerth est mis en cause depuis les révélations de Mediapart. Parmi les 48% de sondés «intéressés», on trouve essentiellement des sympathisants de gauche et d'extrême gauche.

    Enfin, 62%des personnes interrogées par OpinionWay pour 20 Minutes estiment que l'affaire Bettencourt/Woerth est une «polémique politicienne». Ils sont 37% seulement à penser qu'il sagit au contraire d'une véritable «affaire d'Etat».

    20minutes.fr - 30 juin 2010