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Blog - Page 1598

  • Le Pape parle à Fatima de l'avortement et du mariage homosexuel

    Le pape Benoît XVI a affirmé aujourd'hui que l'avortement et le mariage homosexuel étaient parmi les "défis les plus insidieux et les plus dangereux" d'aujourd'hui, dans un discours à Fatima, au Portugal, pays qui s'apprête à autoriser le mariage gay.

    "Les initiatives qui ont pour but de sauvegarder les valeurs essentielles et premières de la vie, dès sa conception, et de la famille, fondée sur le mariage indissoluble entre un homme et une femme, aident à répondre à certains des défis les plus insidieux et les plus dangereux qui, aujourd'hui, s'opposent au bien commun", a déclaré le pape.
    Benoît XVI s'exprimait devant les représentants des principales organisations sociales, catholiques ou non, du Portugal, qui, debout, l'ont ovationné.

    Après avoir légalisé en 2007 l'avortement après un référendum, le Portugal, pays de forte tradition catholique, s'apprête à autoriser le mariage homosexuel sans toutefois permettre aux couples mariés de même sexe d'adopter.

    Votée en février dernier par la majorité de gauche du parlement, la loi sur le mariage gay doit être promulguée par le chef de l'Etat avant le 17 mai selon les délais légaux, soit trois jours seulement après la fin de la visite du souverain pontife au Portugal.

    Catholique pratiquant, le président Anibal Cavaco Silva a la possibilité d'opposer son veto au texte ce qui obligerait à un second vote, d'ores et déjà acquis, de l'Assemblée et qui serait cette fois définitif.

    Contrairement à l'Espagne où le clergé s'était fortement mobilisé contre le mariage homosexuel, autorisé depuis 2005, au Portugal, l'Eglise catholique est restée en retrait tout au long du débat, qualifié la semaine dernière de "détail dans la vie de la nation" par le cardinal José Policarpo, archevêque de Lisbonne.

    Le Figaro - 13 mai 2010

  • VIDEOS Hymne de l'Algérie française - Nos morts en Algérie

    http://www.youtube.com/watch?v=TMMgJjnQSPg

    http://www.youtube.com/watch?v=HOM6y5LNWKk

    Le 13 mai 1958, une date funeste pour l'Algérie française et pour la France

     

  • Italie: un Marocain voulait tuer Benoît XVI

    D’après l’AFP, un jeune étudiant marocain, expulsé le 29 avril d’Italie avec un compatriote à la suite d’un décret du ministre de l’Intérieur, voulait tuer le pape Benoît XVI, affirme l’hebdomadaire italien Panorama dans son édition à paraître demain.

    Mohammed Hlal, 27 ans, étudiant en communication internationale et Ahmed Errahmouni, 22 ans, étudiant en physique et mathématiques, vivaient à Pérouse, dans le centre de l’Italie, quand ils ont été expulsés d’Italie sous le motif de « prévention du terrorisme » car représentant « une menace pour la sécurité de l’Etat », selon le décret du ministre Roberto Maroni.

    Panorama, hebdomadaire appartenant à la famille du chef du gouvernement Silvio Berlusconi, affirme dans son dernier numéro que Mohammed Hlal voulait tuer le pape, selon des écoutes téléphoniques effectuées par la police anti-terroriste italienne.

    « Hlal a exprimé le souhait de voir mourir le chef de l’Etat de la Cité du Vatican, affirmant être prêt à l’assassiner pour avoir la garantie du paradis », écrit le décret d’expulsion signé par le ministre Maroni, selon un extrait de son article diffusé à l’avance par Panorama.

    Les deux étudiants ont été expulsés le 29 avril vers le Maroc sur un vol direct entre Rome et Casablanca.

    NP Info - 13 mai 2010

  • Marine Le Pen exclut toute alliance avec l'UMP: ele ne sera pas la "Christine Boutin" de Sarkozy

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    Paris : Marine Le Pen, qui aspire à succéder à son père à la présidence du Front national (FN), exclut dans un entretien à l’AFP toute volonté de s’allier à l’UMP, assurant au contraire vouloir faire de son parti un « pôle de rassemblement à vocation majoritaire ».

    Concurrente de Bruno Gollnisch pour prendre la tête du FN lors du prochain congrès des 15 et 16 janvier à Tours, Marine Le Pen se montre par ailleurs également très optimiste sur l’avenir de son parti, après ses résultats aux régionales.

    Elle estime qu’« au bénéfice d’une campagne présidentielle », « on peut beaucoup élargir » cette « base très prometteuse » et croit à « l’hypothèse de la baisse du seuil d’accès au second tour », si les candidatures se multiplient à droite.

    Dans ce contexte, et à huit mois d’un congrès où ce sont les adhérents du FN qui trancheront entre elle et M. Gollnisch, Mme Le Pen exclut toute alliance avec l’UMP, une tentation qui lui est régulièrement prêtée.

    « Être la (Christine) Boutin du gouvernement Sarkozy, non merci ! », affirme-t-elle, en référence à la présidente du Parti Chrétien-démocrate (PCD, allié à l’UMP) et ancienne ministre du Logement (2007-2009) du gouvernement Fillon.

    « Il ne s’agit pas de faire du FN une espèce de béquille d’un gouvernement UMP dont je considère que tous les choix sont mauvais. Mon objectif est de faire du Front national un pôle de rassemblement à vocation majoritaire », poursuit Marine Le Pen.

    « D’ailleurs, le FN influe considérablement sur la vie politique française. C’est le FN qui détermine les axes politiques de Nicolas Sarkozy, c’est par rapport aux résultats du FN qu’il décide des thèmes qu’il lance », assure-t-elle, avant d’ajouter : « notre rôle, c’est de transformer ces victoires idéologiques en victoires politiques ».

    Convaincue que son mouvement « conserve dans l’esprit d’un certain nombre de Français l’image d’un parti ultralibéral », ou « que nous sommes des adversaires résolus des services publics, ce qui n’est absolument pas le cas », Mme Le Pen affirme que « l’élection présidentielle sera l’occasion de leur transmettre l’intégralité de notre programme », notamment en matière économique et sociale.

    Le débat sur les retraites et la crise de l’euro ont notamment été l’occasion pour Marine Le Pen d’intervenir régulièrement sur ce terrain, même si ses propositions (retour au franc, rétablissement de frontières économiques) ne se détachent guère des fondamentaux du FN.

    Évoquant un « effort de pédagogie » vis-à-vis des électeurs, elle réfute néanmoins la possibilité de donner moins de place au discours sur l’immigration.

    « Il ne s’agit pas de lui donner moins de place, il s’agit d’intégrer ce discours dans des grandes thématiques dont il dépend », argumente-t-elle, voyant dans l’« immigration un levier essentiel du mondialisme en matière économique », « une réserve de main d’œuvre à bas coût » et « le moyen de peser, à la baisse, sur les salaires ».


    Source : AFP (489)

    12 mai 2010

  • Le jeune blessé lors de l'apéro géant de Facebook est mort

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    Plus de 9.000 personnes sur la place Royale de Nantes
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    Ecoeurant...
    (Cliquez sur les photos)

    L'homme était tombé d'un pont en sortant du rassemblement géant lancé via le réseau social Facebook.

    C'est premier accident mortel depuis la multiplication des apéros géants, lancés sur le réseau social Facebook, dont la première édition a eu lieu à Nantes en novembre 2009.

    L'homme de 21 ans tombé accidentellement d'un pont en sortant de l'apéro géant de Nantes, organisé mercredi soir, est décédé jeudi en fin de matinée. Selon la police, le jeune homme a fait une chute de cinq mètres sur la tête, depuis le pont de la Rotonde de Nantes, dit Pont LU, qui surplombe des voies de chemins de fer. «Il était accompagné d'autres personnes qui avaient consommé de l'alcool durant la soirée», a indiqué la préfecture. «L'enquête qui sera conduite sous l'autorité de la justice permettra de connaître avec exactitude les causes du décès», a-t-on poursuivi de même source. Selon les pompiers, la victime est un sapeur-pompier volontaire de Vendée.

    Pour les autorités, les apéros spontanés organisés sur le réseau social Facebook sont très difficiles à encadrer. La préfecture a dénoncé une «manifestation collective qui derrière sa représentation festive comporte un risque certain pour ses participants et pour ceux qui, à leur corps défendant, doivent le subir (riverains, commerçants...)». Ce rassemblement «a un coût élevé et a détourné d'importants moyens de secours pour traiter les conséquences des libations collectives. Il favorisé des conduites dangereuses. L'anonymat derrière lequel se dissimulent des personnes ayant appelé à ce rassemblement revêt un caractère d'autant plus irresponsable», a poursuivi la préfecture. Le coût pour la «collectivité» est estimé à «plusieurs dizaines de milliers d'euros».

    Au total, le rassemblement de plus de 9.000 personnes, qui s'est poursuivi jusqu'à 4h30 du matin, a entraîné l'évacuation de 57 participants. Quelque 41 personnes ont été placées en gardes à vue pour trafic de stupéfiants, dégradations, vols, ivresses manifestes ou violences. Il n'y pas eu de dégradations majeures en ville. Environ 570 personnes avaient été mobilisées, dont 370 policiers et gendarmes, 101 sapeurs-pompiers, une cinquantaine de secouristes et autant d'agents municipaux.

    Le Figaro - 13/05/10

  • Affluence monstre à Fatima: le peuple chrétien soutient le Pape

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    FATIMA — Un demi-million de personnes ont participé jeudi à la messe célébrée par Benoît XVI à Fatima prouvant ainsi, selon l'Eglise, que le peuple chrétien soutient son pape face à la crise des scandales pédophiles.

    Pour le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi, cette affluence montre que le scandale des abus sexuels n'a pas "affaibli" le soutien des fidèles au pape, un fait qu'il a jugé "très encourageant".

    Selon le porte-parole de l'épiscopat portugais, le père Manuel Morujao, "environ un demi-million" de personnes assistaient jeudi matin à la messe papale, soit "plus qu'en 2000", lors du dernier pèlerinage de Jean Paul II à Fatima.

    "Les chrétiens ont voulu envoyer un message et dire que le pape, et celui-ci en particulier, est très aimé", a déclaré à l'AFP le père Morujao.

    "En ce qui concerne la crise et les scandales, le peuple a voulu montrer qu'il sait faire la distinction entre les exceptions (des affaires de pédophilie dans le clergé) et la très grande majorité des prêtres", a-t-il estimé.

    La présence d'un demi-million de personnes a ensuite été confirmée par le porte-parole du Vatican. "Les chiffres (...) sont de 500.000 personnes présentes à Fatima", a déclaré le père Lombardi, citant notamment la police.

    Le pape "est très content et a été très touché par l'affluence", a-t-il souligné.

    "Alors qu'on pouvait penser que le scandale des abus pourrait affaiblir la vitalité et l'attention envers le pape, il n'en est rien", a déclaré le père Lombardi. "Le fait que se manifeste de façon aussi évidente la force de la foi est très encourageant", a-t-il estimé.

    Selon les forces de sécurité, l'esplanade du sanctuaire de Fatima, d'une capacité de 300.000 personnes, était "bondée" et des dizaines de milliers de pèlerins "ont dû être bloqués, faute de place", se massant dans les espaces alentour.

    De nombreux fidèles avaient passé la nuit sur le parvis, dormant à la belle étoile malgré la pluie et la fraîcheur des températures nocturnes.

    La messe a débuté peu avant 10h30 (09h30 GMT) après que le pape se fut recueilli dans la chapelle des Apparitions.

    Juste avant, la statue de la Vierge de Fatima, reposant sur un lit de roses blanches, avait été portée jusqu'à l'autel, précédée d'une procession d'évêques vêtus de blanc, pendant que les pèlerins entonnaient l'Ave Maria.

    Jean Paul II, convaincu que la Vierge de Fatima lui avait sauvé la vie lors de l'attentat du 13 mai 1981 à Rome, avait offert au sanctuaire la balle qui l'avait grièvement blessé, aujourd'hui enchâssée dans sa couronne.

    "Je suis venu à Fatima pour prier, avec Marie et de nombreux pèlerins, pour notre humanité affligée par des détresses et des souffrances", a dit Benoît XVI dans son homélie.

    "A la famille humaine prête à sacrifier ses liens les plus saints sur l'autel de l'égoïsme mesquin de la nation, de la race, de l'idéologie, du groupe, de l'individu, notre Mère bénie est venue du ciel pour mettre dans le coeur de ceux qui se recommandent à Elle l'amour de Dieu qui brûle dans le sien", a-t-il dit, en référence au "message" transmis par la Vierge, selon l'Eglise, à trois petits bergers de Fatima, Jacinta, Francisco et leur cousine Lucia.

    Selon l'Eglise, lors d'apparitions répétées, la Vierge a révélé à ces enfants en 1917 trois "secrets", jugés prophétiques de l'Histoire du 20e siècle.

    Si les deux premiers "secrets" étaient connus depuis le début des années 40, le troisième n'a été rendu public qu'en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II à Fatima, la hiérarchie catholique "révélant" alors qu'il prédisait l'attentat contre le pape polonais.

    Mardi, dans l'avion qui l'amenait au Portugal, Benoît XVI avait élargi l'"interprétation" de ce secret à la lumière de la crise qui secoue l'Eglise depuis le début, en novembre, de la vague de scandales pédophiles impliquant des membres du clergé, en Europe et partout dans le monde.

    Le pape avait déclaré qu'"en plus de cette grande vision de la souffrance du pape (...), au-delà de la personne du pape, (...) ce sont des souffrances de l?Eglise qui sont annoncées".

    Jeudi, dans son homélie, Benoît XVI a laissé un avertissement : "Celui qui penserait que la mission prophétique de Fatima est achevée se tromperait."

    AFP. 13/05/10

  • Modération des commentaires

    Chers amis et amies du blog,

    Je me vois dans l'obligation, pour quelque temps, d'activer la modération des commentaires en raison des attaques et insultes incessantes mettant en cause les intervenants et moi-même.

    Vos commentaires paraîtront une fois que je les aurai lus et validés, ce qui demandera un peu plus de temps qu'à l'accoutumée. Mais je n'ai pas d'autres moyens pour enrayer l'invasion de commentaires désobligeants, hargneux, malveillants, de la part de la personne que vous savez.

    Je vous remercie pour votre compréhension.

    Gaëlle Mann, administratrice du blog.

  • Fête de l'Ascension

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    L'Ascension par Giotto di Bondone (1266-1337)
    (Cliquez sur le tableau pour l'agrandir et le voir en totalité)

  • ANTONIO DE OLIVEIRA SALAZAR

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    Antonio de Oliveira Salazar (1889-1970)
    "Plus grand Portugais de tous les temps"

  • En Irak, la chute de Saddam Hussein a privé d'avenir les étudiants en hébreu

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    Etudiantes irakiennes

    BAGDAD — Coiffée d'un joli foulard rose, Marwa chante en hébreu "J'ai de l'amour en moi" de la star israélienne Sarit Hadad sous les applaudissements de ses camarades de l'université de Bagdad, dans un pays où il ne reste plus de juifs et qui est officiellement en guerre avec Israël.

    Voir début mai des élèves chanter et réciter des poèmes dans la langue de l'ennemi à l'occasion de la première fête du département de langue hébraïque depuis sa création en 1971 est un spectacle saisissant d'autant que depuis la chute de Saddam Hussein ces études n'offrent plus de débouchés.

    "J'étais attirée par l'anglais mais comme je n'ai pas obtenu d'assez bonnes notes au baccalauréat je me suis retrouvée à apprendre l'hébreu. Mes parents sont déçus mais moi j'en ai pris mon parti et je parle cette langue", confie Marwa Abdel Karim, 21 ans, qui a trouvé sur internet la chanson d'amour qu'elle a interprétée.

    Aucun des 150 étudiants du département n'a choisi d'étudier l'hébreu. Si les meilleurs élèves peuvent s'inscrire en anglais, français ou allemand, les cancres sont contraints d'opter pour le persan, l'hébreu ou le kurde.

    "Quand je dis que j'étudie l'hébreu, mes amis se moquent de moi mais après ma licence j'espère poursuivre mes études à Amman puis enseigner à l'université de Bagdad", dit-elle.

    A l'époque de Saddam Hussein, qui vouait une haine à l'Etat hébreu et dont les missiles Scud avaient été lancés sur Tel-Aviv en 1991, l'avenir des élèves du département était toute tracée: les services de renseignement.

    Aujourd'hui pourtant, ce n'est plus l'espionnage israélien qui obsède les responsables de la sécurité irakiens, mais le terrorisme.

    "Avant, beaucoup de professeurs et la totalité des élèves travaillaient pour la sûreté nationale mais aujourd'hui les choses ont changé. Nous sommes plus libres, mais les débouchés sont minces", assure Souad Karim, chef du département d'hébreu.

    "Mes études terminées, je frapperai à toutes les portes: le renseignement, les Affaires étrangères et les journaux qui cherchent des traducteurs", confie Ahmad Saadoun, 22 ans.

    Dans un sketch plein d'humour, il répond à un camarade qui lui demande à quoi servent ses études: "A rien, mais au moins pendant quatre ans je fréquente de jolies filles".

    Ils apprennent la grammaire, la littérature, des chansons et la Bible mais aucun n'a rencontré un juif. "Je n'en ai jamais vu. J'utilise internet pour communiquer avec eux mais aucun ne me répond", explique Ahmad.

    Il n'en reste plus dans ce pays où ils ont vécu plus de deux mille ans. La quasi-totalité est partie à la création d'Israël. En 1951, 120.000 Juifs, soit 96% de la communauté d'Irak, avaient émigré vers l'Etat hébreu. Les derniers ont suivi après l'invasion de 2003.

    Pour mettre du baume sur le coeur des élèves, le doyen de la faculté de langues, le professeur Talib al-Qoraishi, titulaire d'un doctorat d'hébreu, assure que c'est un sacré atout.

    "Beaucoup d'entre vous pensent que c'est une perte de temps, mais sachez qu'à travers le monde, ceux qui parlent cette langue occupent des positions très importantes", assure cet homme de 57 ans.

    Les 30 enseignants sont musulmans ou chrétiens et dans la bibliothèque les livres en hébreu sont dans un piteux état faute d'avoir été renouvelés. Il est interdit, selon M. Qoraishi, de s'adresser directement à Israël pour obtenir des manuels et passer par des intermédiaires est onéreux.

    Il rêve de créer un "Musée de la culture juive d'Irak" et insiste pour récupérer les milliers de livres hébraïques retrouvés par l'armée américaine en 2003 dans les caves des services de renseignement de Saddam Hussein et qui sont aujourd'hui entreposés aux Etats-Unis.

    AFP. 12/05/10

  • Benoît XVI entame son pèlerinage à Fatima sous les vivats

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    Arrivée à Fatima
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    Le Pape fait un signe à la foule avant d'entrer dans la chapelle des Apparitions
    (Ciquez sur les photos pour les voir en totalité)

    FATIMA — Le pape Benoît XVI a entamé mercredi après-midi, sous les vivats d'une foule immense, son pèlerinage à Fatima, symbole du Portugal catholique, quelques heures après avoir mis en garde contre les conséquences "dramatiques" d'une perte des valeurs chrétiennes.

    L'hélicoptère de Benoît XVI a atterri à 17H15 (16H15 GMT) au stade municipal de Fatima après avoir survolé à basse altitude le sanctuaire, acclamé par des dizaines de milliers de pèlerins, agitant drapeaux et mouchoirs.

    Le pape s'est aussitôt rendu en papamobile jusqu'à la chapelle des Apparitions, érigée à l'endroit même où, selon la foi catholique, la Vierge est apparue le 13 mai 1917 à trois petits bergers.

    "Ca a valu la peine de marcher huit jours, c'est différent des autres années, les mots me manquent...", confiait José Teixeira, 43 ans, venu à pied de Vila Pouca de Aguiar, à 370 km de Fatima.

    "C'est une grande émotion de le voir si près", abondait Lina Cardoso, déjà présente en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II au sanctuaire.

    Mais, dit-elle, "pour moi, Jean-Paul II reste spécial. Quand il était arrivé ici, l'émotion était plus grande, j'avoue, et il y avait plus de monde, mais je suis persuadée que le sanctuaire sera plein demain", pour la grande messe que doit célébrer le pape à 10H00 (09H00 GMT).

    Accueilli aux cris de "Viva o papa!", Benoît XVI a observé à la Chapelle des Apparitions un temps de recueillement avant de prononcer une prière, à genoux devant la statue de la Vierge à qui il a offert une rose d'or, comme l'avait fait le pape Paul VI, le 13 mai 1967.

    Jean Paul II, convaincu que la Vierge de Fatima lui avait sauvé la vie lors de l'attentat commis contre lui le 13 mai 1981 à Rome, avait offert au sanctuaire la balle qui l'avait grièvement blessé, aujourd'hui enchâssée dans la couronne de la statue.

    Dans sa prière, Benoît XVI a évoqué ces événements: "c'est une profonde consolation pour nous de savoir que tu es couronnée, non seulement avec l'argent et l'or de nos joies et de nos espérances, mais aussi avec le projectile qui symbolise nos préoccupations et nos souffrances".

    Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé aux bergers de Fatima en 1917 trois "secrets", jugés prophétiques de l'Histoire du 20e siècle.

    Mercredi soir, célébrant les vêpres avec plusieurs milliers de membres du clergé portugais, le pape les a appelés à rester "fidèles" à leur "vocation" et à s'"aider réciproquement" à "rester debout".

    "Réservez une attention particulière aux situations d'affaiblissement des idéaux sacerdotaux ou bien au fait de se consacrer à des activités qui ne s'accordent pas complètement avec ce qui est le propre d'un ministre de Jésus Christ", leur a conseillé le pape lors de cette rencontre en l'église de la Très Sainte Trinité, l'une des plus grandes au monde avec 9.000 places assises.

    AFP. 12/05/10

  • Le faux prof de maths abusait des enfants

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Un éboueur de 30 ans a été incarcéré pour s'être livré à des attouchements pédophiles sur des collégiens à qui il donnait de prétendus de soutien en mathématiques près de Toulouse.

    Le suspect, présumé récidiviste, recrutait ses victimes sur un site d'annonces gratuites en proposant des cours à un prix très attractif.

    Il a été engagé par huit familles, qui lui ont confié leur enfant sans se méfier.

    Après avoir découvert des textos à caractère sexuel sur le portable de son fils de 13 ans, une mère a alerté les gendarmes d'Auterive, à 30 km au sud de Toulouse. Les enquêteurs découvriront que le faux prof de maths avait adressé des centaines de messages de ce type aux adolescents, sept garçons et une fille.

    Les cours étaient dispensés à domicile ou dans le du faux professeur, où il a également organisé des soirées avec les collégiens. Au cours de ces soirées, il diffusait des films pornographiques, ponctués de séances de masturbation et de caresses.

    Le pédophile présumé, célibataire et entraîneur dans un club sportif, avait déjà été mis en examen pour des faits similaires. Mais, malgré la demande d'incarcération du parquet, il avait été laissé en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de fréquenter des mineurs. Mis en examen pour corruption de mineurs de moins de quinze ans, agressions sexuelles, détention d'images pédo-pornographiques, il a été écroué fin avril.

    Le parisien - 12/05/10

  • Tarascon: le jeune profanateur serait d'une famille maghrébine...

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    Les sept tombes de soldats musulmans avaient été découvertes profanées jeudi dans le cimetière de Tarascon.

    Toute la smala socialiste et ump  était venue jouer les pleureuses devant les caméras de télévisions et les journalistes ameutés  au cimetière de Tarascon par la clique de l’UMPS, Brice Hortefeux,  Michel Vauzelle et la boxeuse Myriam Lamare en tête.
    Discours de circonstance sur le racisme, sur le retour de la bête immonde et patati et patata.
    Puis séances photos, sourires aux lèvres, larmes séchées, avec les « jeunes » du coin….
    Et voilà qu’on apprend aujourd’hui que les méchants profanateurs racistes ne seraient en fait qu’un gamin de 14 ans qui « aurait agit par jeu » et qu’il aurait préféré préféré cibler les plaques musulmanes, plutôt que les croix chrétiennes, plus difficiles à abîmer à coups de pied.

    Mais, ce n’est pas tout, on apprend aussi que le « jeune » serait issu d’une famille… maghrébine.

    Vauzelle, pourquoi tu tousses ?

    NP Info - 11/05/10

  • Affaire "Hors-la-loi" - Communiqué du CNC

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    Roger Holeindre  - (Cliquez sur la photo)
    Communiqué du Cercle national des combattants

    Les anciens soldats du Cercle national des combattants, représentant toutes les dernières générations du feu, guerre de 39-45, Résistance, déportation, Libération, Indochine et Algérie, remercient les patriotes français qui, par leur action énergique, n’ont pas permis que le dernier film de M. Rachid Bouchareb, « Hors La Loi », soit présenté au Festival de Cannes dans la sélection française !

    Le Cercle national des combattants s’élève une fois de plus contre le fait que des hommes, comme le metteur en scène et les principaux acteurs du film, profitent de leur double nationalité pour abuser les Français, culpabiliser notre pays… et caviarder notre histoire nationale, sous prétexte de « faire connaître la vérité ».

    Il est vrai que les auteurs de « ces révisions des événements d’Algérie » trouvent toujours des « historiens patentés », tel M. Benjamin Stora, pour les soutenir d’autant plus « objectivement »… qu’il était hier trotskyste et suppôt des nationalistes algériens !

    A force d’encourager la « créativité » et la libre « vision de l’Histoire » par des détraqués et des individus aux idéaux politiques débiles, mais aidés par la « Commission d’avances sur recettes », en arrivera-t-on à voir un jour un film inspiré de la vie de Jeanne d’Arc… fusillée à Orléans par la Das Reich… et agonisant dans les flammes en criant vive la semaine de 30 heures… et la retraite à 40 ans !

    Comme il s’agira encore de l’argent des contribuables, ne lésinons pas sur le budget… son bucher serait bien sûr entouré par des milliers de « jeunes » qui… se torcheront glorieusement l’arrière train avec des drapeaux tricolores… et hurleront… Nique ta mère ! Nique la France !

    Roger Holeindre
    Président du Cercle national des combattants

    12/05/10

  • Benoît XVI à Lisbonne dénonce la culture actuelle

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    Le Pape à Lisbonne le 12 mai - (Cliquez sur la photo)

    LISBONNE — Le pape Benoît XVI a plaidé mercredi en faveur des "valeurs" chrétiennes et d'une "saine tradition" au deuxième jour de son voyage au Portugal, pays catholique qui s'apprête à autoriser le mariage homosexuel, avant de s'envoler pour Fatima, "coeur" de son pèlerinage.

    Intervenant devant 1.500 intellectuels réunis à Lisbonne, Benoît XVI a dénoncé la culture actuelle qui "absolutise le présent, le détachant du patrimoine culturel du passé et sans l'intention de tracer les contours d'un avenir".

    Présentant l'Eglise comme "le grand défenseur d'une saine et haute tradition", il a mis en garde contre le risque, pour "le peuple", de "se perdre dans le labyrinthe du temps et de l'histoire, privé des valeurs clairement établies et sans grands buts clairement énoncés".

    Citant en exemple "les inquiétudes et les attentes de l'âme portugaise au milieu des turbulences de la société d'aujourd'hui", le pape a estimé que, pour un pays majoritairement catholique, "la tentative de trouver la vérité en dehors de Jésus Christ s'avère dramatique".

    Une heure à peine après avoir prononcé son discours, Benoît XVI recevait le Premier ministre socialiste José Socrates qui, en janvier dernier, avait défendu, en personne, devant le parlement la loi autorisant le mariage homosexuel, destinée selon lui à "réparer des décennies d'injustices faites aux homosexuels".

    A l'issue d'une brève audience de 30 minutes, M. Socrates s'est félicité de cette "conversation très agréable" avec "son éminence", titre réservé normalement aux cardinaux.

    De son côté, Benoît XVI devait quitter Lisbonne à 16H40 (15H40 GMT) pour gagner en hélicoptère la ville de Fatima, où l'attendent déjà des dizaines de milliers de personnes dans le cadre du traditionnel pèlerinage du 13 mai, commémorant la première apparition de la Vierge, en 1017, à trois petits bergers, Jacinta, Francisco et leur cousine Lucie.

    Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé à ces enfants, au cours d'apparitions répétées, "trois secrets" jugés "prophétiques" de l'histoire du 20e siècle.

    Si les deux premiers "secrets" étaient connus depuis le début des années 40, le troisième n'a été rendu public qu'en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II à Fatima, la hiérarchie catholique "révélant" alors qu'il annonçait l'attentat contre le pape en mai 1981 sur la place Saint-Pierre de Rome.

    Mardi matin, dans l'avion qui l'amenait au Portugal, Benoît XVI avait élargi "l'interprétation" de ce secret à la lumière de l'actuelle crise de l'Eglise, en disant qu'"en plus de cette grande vision de la souffrance du pape", le message de Fatima faisait aussi référence aux "réalités de l?avenir de l'Eglise qui peu à peu se développent et se manifestent".

    "Il est vrai qu'au-delà de la personne du pape, ce sont des souffrances de l'Eglise qui sont annoncées", a déclaré Benoît XVI, se référant à la crise qui secoue l'Eglise depuis le début des révélations sur les cas de pédophilie dans le clergé, et surtout sur l'"omerta" de la hiérarchie ecclésiastique qui s'est poursuivie pendant des années.

    "Concernant les nouveautés que nous pouvons découvrir aujourd'hui dans ce message, a encore dit Benoît XVI, il y a aussi le fait que les attaques contre le pape et l?Eglise ne viennent pas seulement de l'extérieur mais que les souffrances de l?Eglise viennent précisément de l?intérieur de l'Eglise, du péché qui existe dans l'Eglise".

    Commentant ces déclarations faites juste avant son arrivée au Portugal, le quotidien de référence portugais Publico estimait mercredi que "Benoît XVI a voulu "régler" dès le début une polémique qu'on devinait susceptible d'assombrir son voyage".

    Confirmant sa volonté de faire baisser la pression, Benoît XVI s'est autorisé mercredi matin une entorse au protocole, fait rarissime en cinq ans de son pontificat.

    Selon le site officiel de la visite (www.bentoxviportugal.pt), le pape a "rompu le protocole et les règles de sécurité" en sortant de sa limousine blindée pour aller saluer des enfants. "Ca a été le délire", a assuré l'évêque auxiliaire de Lisbonne Carlos Azevedo, cité par le site.

    AFP. 12/05/10

  • Crash en Libye: 103 morts, un enfant de 8 ans seul survivant

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    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    Cent trois personnes en provenance de Johannesburg sont mortes mercredi matin à Tripoli dans le crash d'un Airbus A330 d'une compagnie libyenne, un accident à l'atterrissage qui a fait un seul rescapé, un enfant de huit ans.

    "Nous écartons de manière définitive l'hypothèse que le crash soit le résultat d'un acte terroriste", a déclaré à la presse le ministre des Transports libyen Mohamed Zidane.

    "Il y avait 104 personnes à bord, 93 passagers et 11 membres d'équipage", a-t-il précisé, ajoutant que "96 victimes" avaient jusqu'ici été retrouvées.

    Un garçon néerlandais de huit ans est le "seul survivant", a poursuivi le ministre, notant encore que les boîtes noires avaient été récupérées.

    L'enfant a été hospitalisé à Tripoli et "ses jours ne sont pas en danger", selon le responsable libyen.

    Une source médicale a indiqué qu'il avait "perdu beaucoup de sang", et qu'il subissait une opération pour des fractures aux jambes. Mais elle a également noté qu'il était hors de danger.

    A La Haye, la Fédération nationale du tourisme (ANWB) a confirmé qu'un enfant néerlandais avait survécu, au contraire de 61 autres ressortissants. Plus prudent, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que la nationalité du garçon était à confirmer.

    Le ministre Zidane a souligné que les nationalités des passagers seraient précisées "dans la journée".

    Selon une source au sein de la compagnie aérienne, deux Allemands se trouvaient à bord. Londres a de son côté annoncé qu'il étudiait "de manière urgente" les informations sur la présence de Britanniques.

    L'avion d'Al Afriqiyah s'est écrasé à 06H00 (04H00 GMT) à son atterrissage. L'A330, un appareil neuf, avait été acquis en septembre 2009, selon M. Zidane.

    Les membres de l'équipage étaient tous de nationalité libyenne, selon une source aéroportuaire.

    "L'avion a pris feu juste avant l'atterrissage", selon une source au sein des services de sécurité de l'aéroport.

    Selon un journaliste de l'AFP, l'appareil s'est entièrement disloqué et des milliers de débris étaient éparpillés sur une vaste zone, à 500 m environ du bout de la piste d'atterrissage.

    L'arrivée du vol d'Al Afriqiyah était annoncée pour 06H10 (04H10 GMT) à l'aéroport, situé à une vingtaine de kilomètres de Tripoli.

    D'après le journaliste de l'AFP, les conditions météorologiques étaient bonnes à ce moment-là.

    L'entreprise chargée de gérer les affaires d'Al Afriqiyah en Afrique du Sud a relevé que l'avion avait passé tous les contrôles de sécurité avant le départ. "La compagnie avait un bon bilan en terme de sécurité", a déclaré Charmaine Thomé, directrice pour l'Afrique australe du groupe allemand Aviareps, spécialisé dans le transport aérien et le tourisme.

     

    AFP. 12/05/10

  • Un communiqué de l'AGRIF - Racisme anti-français

    Sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Madame Houria Bouteldja,  présidente de l’association dénommée « Indigènes de la République », a été mise en examen pour avoir proféré une injure raciale à l’égard des Français. Il s’agissait de l’emploi très méprisant et péjoratif du terme « souchiens ».

     Le juge d’instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c’est-à-dire celui de son lieu de domicile.

     Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.

     Par ailleurs, la procédure contre le livre « Nique la France » édité par l’association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti-française est en cours.

     AGRIF                                                             

    70 Bd Saint Germain 

    75005     PARIS                

    Tél: 01.40.46.96.31               

    Fax: 01.40.46.96.47                   

    www.agrif.fr                   

    agrif@wanadoo.fr    

    Le 11/05/10

     

      

  • Carla Bruni confie ses secrets d'alcôve à Michelle Obama

    Un journaliste américain, le plutôt sérieux (d’ordinaire) Jonathan Alter prétend avoir la réponse à l’une des questions que nous nous posons tous: mais que se racontent donc les «premières dames» quand elles se rencontrent en privé, comme dernièrement encore dans les appartements des Obama à la Maison Blanche, loin des yeux et oreilles des journalistes. Et bien voilà: selon Jonathan Alter, dans son livre The Promise : President Obama, Year One, à paraître le 18 mai aux Etats-Unis, Carla Bruni aurait raconté à Michelle Obama avoir déjà fait attendre un important chef d’Etat (la Reine d’Angleterre, spéculent déjà les médias britanniques tout émoustillés) parce qu’elle était occupée à faire l’amour avec Nicolas Sarkozy. «Bruni voulait savoir si, comme les Sarkozy, Michelle et le président ont déjà fait attendre quelqu’un de cette façon, écrit Jonathan Alter dans son livre. Michelle a eu un petit rire nerveux et a répondu non.» Toujours selon l'auteur, Carla Bruni se serait aussi amusée à «raconter à des amis comment elle avait choqué Michelle Obama lors de leur première rencontre» en racontant que «la pression des affaires de l'Etat empêchaient son mari de lui faire l'amour autant qu'elle le voudrait.»

    "L’information" est déjà très reprise aux États-Unis, où précédemment on s’était déjà pas mal intéressé aux "rumeurs" sur les à-côtés conjugaux des Sarkozy. Et pour une fois, les commentaires des internautes américains sont souvent plutôt admiratifs de notre couple présidentiel : «Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir des hommes politiques comme celui-ci dans notre pays. Il a mon vote», lit-on par exemple sur le site du Huffington Post. Ou encore : «J’aime les Français et Miss Bruni. Ils ont leurs priorités claires. La Reine n’est pas importante. Elle peut attendre!», «J’aime les Français, de plus en plus chaque jour». Merci à Jonathan Alter et à Carla Bruni, ce n’est pas tous les jours qu’on apprécie les Français à leur juste valeur sur le web américain...

    Great America - L'Amérique découverte par la correspondante de Libération à Washington, Lorraine Millot - 10/05/10

  • Cour suprême: Obama nomme une "progessiste"

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    Elena Kagan, 50 ans , née à New York City, de religion juive
    Le président a choisi Elena Kagan, brillante juriste progressiste, pour remplacer le juge démissionnaire John Paul Stevens. Un pas de plus dans la féminisation de cette institution cruciale.
    Le Figaro - 11/05/10